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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. J'ai travaillé 5 ans en Allemagne, alors la langue est difficile mais tu peux parler en Anglais, les Allemands qui ne comprennent pas l'Anglais sont très rares. Le temps est mauvais mais la nourriture est tout à fait correcte et moins chère qu'en France surtout au restaurant si tu considère les quantités qui te sont proposées. La carte des restaurants est moins variée qu'en France si tu te limite aux restaurants Allemands mais si tu veux de la variété tu peux choisir des restaurants Indiens, Grecs, Italiens, Argentins, Japonais etc... (et même Français). Et j'ai trouvé les collègues Allemands charmants et chaleureux (et très respectueux de mon expertise).
  2. Mohammed Ben Zayed, le prodigue et controversé allié de l’Elysée Pour son premier voyage officiel à l’étranger, l’autoritaire président des Emirats arabes unis a choisi la France. Une visite qui souligne les bonnes relations entre les deux pays alors qu’Emmanuel Maron a fait d’Abou Dhabi le pilier de son action dans le monde arabo-musulman. Mohammed Ben Zayed Al Nayhane arrive dimanche 17 juillet à Paris pour un déplacement officiel de deux jours. Ce sera sa première visite d’Etat à l’étranger, depuis qu’il a accédé à la présidence des Emirats arabes unis (EAU), à la mi-mai, dans la foulée du décès de son demi-frère, Khalifa Ben Zayed Al Nahyane. Le chef de l’Etat français s’était rendu aux funérailles de ce dernier, le 15 mai, pour renforcer encore les liens tissés depuis plusieurs années déjà avec son successeur. Celui qu’on surnomme « MBZ » se comportait comme le dirigeant officieux de la fédération de sept principautés du Golfe depuis 2014, date à laquelle son prédécesseur, terrassé par un accident cérébral, avait dû se mettre en retrait du pouvoir. « Le fait que “MBZ” choisisse la France pour sa première sortie à l’étranger comme président donne à ce voyage une grosse dimension symbolique, relève François Touazi, ancien diplomate et cofondateur du centre de réflexion CAPmena, spécialisé dans les pays du Golfe. Cela témoigne de la force du partenariat franco-émirati et de la complicité nouée entre lui et Emmanuel Macron. » Pour marquer le coup, l’Elysée a donc mis les petits plats dans les grands. Dimanche, Mohammed Ben Zayed sera accueilli à sa descente d’avion par le ministre de l’économie, Bruno Le Maire. Lundi matin, il verra le ministre des armées, Sébastien Lecornu, à l’hôtel des Invalides, avant de s’entretenir en tête-à-tête avec le chef de l’Etat, à l’Elysée. MM. Ben Zayed et Macron se retrouveront de nouveau dans la soirée pour un dîner d’Etat au Grand Trianon, dans le domaine du château de Versailles. Une centaine d’invités seront présents, des officiels et des personnalités du monde des affaires, de la culture, et des sciences. Accompagné à l’aéroport par la chef de la diplomatie Catherine Colonna, le dirigeant émirati quittera Paris le lendemain, non sans avoir rencontré la première ministre, Elisabeth Borne. ... la suite est payante.
  3. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    India Has Received All 36 Rafale Jets By France: French Envoy Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) L'Inde a reçu les 36 jets Rafale de la France : Envoyé français Les 36 avions de combat Rafale ont tous été livrés à l'Inde, selon Emmanuel Lenain, l'ambassadeur de France en Inde, qui s'exprimait jeudi en marge des cérémonies de la fête nationale française. Bien que 35 jets soient arrivés en Inde, un jet se trouve toujours en France, selon des sources officielles. Une source officielle a déclaré vendredi qu'un chasseur Rafale, qui est l'avion instrumenté sur lequel les 13 mises à niveau spécifiques à l'Inde (ISE) sont évaluées, est toujours en France. Le Rafale portant le numéro de série RB008 a également été fabriqué pour l'Inde. RB est le sigle de l'ancien maréchal en chef de l'Indian Air Force (IAF), R.K.S. Bhadauria, qui a supervisé l'équipe de négociation indienne et joué un rôle important dans les discussions contractuelles alors qu'il était chef adjoint de l'IAF à l'époque. Avec l'arrivée des trois derniers Rafale en février, l'armée de l'air indienne compte désormais 35 Rafale dans son inventaire. Comme l'a rapporté The Hindu, des travaux sont actuellement menés en Inde pour convertir tous les jets Rafale actuellement en service à la configuration standard indienne avec les 13 ISE. Chaque ISE a déjà reçu une formation et une certification. Avec le Boeing F-18 Super Hornet, le Rafale-M, dérivé naval de l'avion français, est en compétition pour l'appel d'offres de la marine indienne concernant les avions destinés à opérer à partir de ses porte-avions. Alors que le F-18 a effectué une démonstration en mai, le Rafale-M l'a fait en janvier en volant depuis le centre d'essai terrestre de la marine à Goa. Le rapport sur la démonstration opérationnelle est attendu prochainement, après quoi la marine procédera à une évaluation par son personnel. Les responsables de la marine ont déclaré qu'ils recommanderaient un accord intergouvernemental (IGA) pour conclure l'accord. L'Inde et la France avaient signé un accord intergouvernemental (IGA) de 7,87 milliards d'euros en septembre 2016 pour 36 avions de combat multirôles Rafale en état de vol, suite à l'annonce surprise du Premier ministre Narendra Modi en avril 2015 citant la "nécessité opérationnelle critique" de l'IAF. 7 ans quand même entre la déclaration de "nécessité opérationnelle critique" et la fourniture associée.
  4. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Il est monomoteur à cause du F-35 B et de son système de décollage qui aurait été trop compliqué avec un bimoteur.
  5. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Mais ils n'en sont pas conscient.
  6. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Ils ne vont plus être obligés d'ouvrir la Soute toute les dix minutes
  7. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Cela doit vouloir dire qu'ils n'ont pas promis assez....
  8. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Normalement ça devrait avoir eu lieu, je ne sais pas ce qui retarde le transfert.
  9. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Rafale indian specific enhancements La DGA a du certifier deux standard au profit des Indiens: le standard SOP (Standard Of Preparation) proche de F3R et le Standard ISE qui apporte des capacités supplémentaires. La certification SOP date du 12 septembre 2019 et la certification ISE du 14 Janvier 2022.
  10. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Israel pourrait reconsidérer l'acquisition de F-35 Si en 2008 l'acquisition de JSF paraissait très attirante pour la force aérienne israélienne, il semblerait qu'il en soit tout autrement aujourd'hui. Le F-35 est considéré par Israël comme ayant une autonomie inadéquate, un emport d'armement limité et une furtivité perfectible. Pire aux yeux des israéliens, les Américains refusent de partager
  11. Je ne dis rien du tout, je poste des articles, les Suisses sont cons, c'est leur droit.
  12. Plafond Transall : 8500 m Plafond ATL2 : 9145 m
  13. Lancer la production de 80 Rafale sans avoir le premier acompte, c'est un risque pour Dassault, mais lancer la production de 6 avions Grecs, alors que les clients se bousculent au portillon, ce n'est pas un risque, dans le pire des cas ils seront réaffectés à un autre client, il suffit d'avoir la configuration finale 18 mois avant la livraison.
  14. Et le casque à géométrie variable et à alignement répétitif.
  15. Boeing se dirige vers un audit de production Une soixantaine de problèmes intervenus en vol depuis la re certification du Boeing 737MAX 8, couplés à la consigne de navigabilité concernant la famille 787 vont entraîner un audit de la supervision de la production de Boeing, dont l’examen de la production du 737MAX fera partie. Un audit sous l'égide du DOT... Le Boeing 737MAX va faire l’objet d’un audit de production, réalisé sous l’égide du DOT, le Department Of Transports, soit l’équivalent de notre ministère des transports. Cet audit fait suite à une enquête réalisée par notre confrère australien ABC (Australian Broadcasting Corporation).
  16. Viola Amherd a-t-elle menti sur les avions de combat F-35? Un document secret jette un nouvel éclairage sur la décision concernant l'achat des avions de combat F-35. Il semble que la ministre de la Défense, Viola Amherd, n'a pas été tout à fait honnête... Voici pourquoi la France nous boude. Un an après la décision en faveur de l'achat des nouveaux avions de combat F-35, la ministre de la Défense, Viola Amherd, se retrouve en mauvaise posture. Des semaines avant la décision, il était déjà clair que le Conseil fédéral opterait pour ces avions-là. Ces jets furtifs étasuniens ne sont pas seulement les meilleurs, mais aussi les plus avantageux des quatre offres qu'a reçu la Confédération, martelait alors l'élue. Et cela aurait déplu... à la France. Nos voisins, qui proposaient leur Rafale face au F-35, se sont sentis lésés. Et pas tant par la décision finale que parce que l'on lui aurait donné de faux espoirs. En effet, peu avant que la décision ne tombe, le Conseil fédéral aurait à nouveau sollicité Paris, dans une optique d'achat contre des contreparties politiques – cela alors que le dévolu de la Confédération était jeté sur les F-35 depuis longtemps. La France s'est sentie flouée. Viola Amherd savait Face à cela, Viola Amherd et son département de la défense, le DDPS, se lavent les mains. «Si de telles négociations ont eu lieu, c'est à l'insu de la cheffe du département et du DDPS», avait affirmé le département dans une prise de position. La Valaisanne a par ailleurs accusé le ministre des Finances, Ueli Maurer, et le ministre des Affaires étrangères, Ignazio Cassis, d'avoir mené ces pseudo-négociations tardives dans son dos. Or, il n'en est rien. Une enquête menée par la radio SRF met en doute les déclarations de la ministre. En réalité, une semaine avant le choix du type d'avion, le Conseil fédéral aurait demandé à la France, qui avait en fait déjà perdu l'affaire, de lui confirmer qu'elle était prête à faire des contreparties politiques si la Suisse achetait l'avion de combat français Rafale. Le gouvernement aurait commandé cette lettre, déclarée secrète, au ministre des Finances. Ce dernier se serait adressé à son homologue français, Bruno Le Maire. Cerise sur le gâteau: Viola Amherd était présente lors de la prise de décision! Paris en colère, le DDPS se tait La France aurait fourni cette confirmation, avec deux promesses: d'une part, Paris s'est montré prêt à verser à huit cantons suisses une part plus importante des recettes fiscales provenant des salaires des frontaliers. Selon les estimations, cela aurait rapporté 3,5 milliards de francs sur dix ans. Deuxièmement, Bruno Le Maire aurait assuré que la France soutiendrait à l'avenir la Suisse dans tous les dossiers de politique européenne. La SRF, dévoilant cela, se réfère à quatre sources indépendantes. Une fois le pot aux roses découvert, Paris aurait réagi de manière brusque, rompant toutes les relations diplomatiques de haut niveau avec la Suisse. Le désaccord entre Berne et Paris perdure encore aujourd'hui. Cela est également lié à des déclarations ultérieures du DDPS de Viola Amherd, rapporte SRF. Le DDPS ne veut pas s'exprimer sur cette affaire. «Comme les séances du Conseil fédéral sont confidentielles, nous ne pouvons pas nous prononcer sur ces questions», botte en touche le chef de la communication, Renato Kalbermatten.
  17. Les M142 HIMARS frappent en profondeur et détruisent une dizaine de stocks de munitions et de carburant russes
  18. Pourraient faire attention quand même, il y avait pourtant des panneaux mettant en garde contre les risques d'incendie.
  19. Parce qu'il a besoin d'un alibi? Alibi ou pas ce sera impopulaire mais ça passera.
  20. Je crois que Armasuisse confond les intérêt de la confédération avec les intérêt des politiques de la confédération.
  21. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Comment Safran Helicopter Engines renforce à nouveau ses liens avec le groupe indien HAL
  22. Le Contrôle fédéral des finances pointe les risques financiers du F-35 La Suisse ne peut pas compter sur des prix fixes pour l'achat du nouvel avion de combat, avertit vendredi le Contrôle fédéral des finances. Armasuisse est appelée à compléter son inventaire des risques avec les aspects financiers. L'annonce de l'achat du F-35 de Lockheed Martin a fait des remous aux niveaux politique et médiatique. Certains points soulevés dans ces discussions ont été repris par le Contrôle fédéral des finances (CDF) afin d'évaluer leur pertinence en termes de risques. Notion de prix fixe pas claire Celui-ci estime qu'il n'existe pas d'assurance juridique d'un prix fixe, au sens de forfaitaire selon la jurisprudence suisse, pour l'acquisition des F-35. La notion de prix fixe mentionnée dans la "Lettre d'offre et d'acceptance" (LOA) n'est pas clairement définie. Le CDF ne peut pas dire quel type de contrat à prix fixe a effectivement été conclu, respectivement si cela correspond à un prix forfaitaire selon la conception du droit suisse. D'autres éléments, comme la mention répétée de "coûts estimés", laissent planer le doute quant à un prix fixe au sens de forfaitaire. Il est possible d’interpréter les différents éléments comme une assurance du gouvernement américain que ce dernier n’a pas l’intention de faire de bénéfice sur la transaction, mais que les coûts du constructeur seront répercutés sur l’acheteur. En conséquence l'incertitude est trop importante, estime le CDF. Armasuisse doit faire figurer ce point dans son analyse des risques du programme Air2030. Coûts d'exploitation sous-estimés? Les coûts d'entretien pour l'ensemble de la durée de vie comportent également une incertitude, indique le CDF. Selon Armasuisse, les coûts d’exploitation seront fixes jusqu’en 2040. Mais les expériences des autres pays acquéreurs du F-35A laissent planer un doute sur l'estimation des coûts d'exploitation, souligne le CDF. Un rapport des Etats-Unis montre que ces coûts ont été estimés de manière trop optimiste. Ces informations n’ont pas été considérées par armasuisse dans l’analyse des risques, critique le CDF. Audit de l'ensemble du programme Air2030 Le CDF a audité l'ensemble du programme Air2030 de l'armée. Celui-ci est constitué de quatre projets: l'acquisition d'un nouvel avion de combat pour remplacer les F/A-18 et les F-5, l'acquisition d'un système de défense sol-air de longue portée, le remplacement du système de conduite des opérations aériennes et le maintien et remplacement des installations radars. La CDF donne "une fausse image" répond Armasuisse Armasuisse rejette les critiques et les recommandations de Contrôle fédéral des finances. Selon l'Office de l'armement, la présentation du CDF donne une fausse image des risques du projet en suggérant qu'il existe des doutes quant aux accords contractuels sur le prix fixe ou que les coûts d’exploitation auraient été calculés sur une base aléatoire. Le CDF met considérablement en danger les intérêts de la Confédération en remettant en question les accords passés avec les Etats-Unis et en émettant des doutes quant à leur caractère contraignant, malgré des accords contractuels clairs et expressément confirmés, relève encore Armasuisse.
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