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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil
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Une entrée d'air doit pouvoir présenter de bonnes performances (en efficacité et en débit) dans un grand domaine de vol: c'est ainsi que l'entrée d'air doit pouvoir présenter une section d'entrée qui peut augmenter dans des proportions importantes avec l'augmentation du nombre de Mach. En effet, lorsque le nombre de Mach augmente, l'efficacité de l'entrée d'air (rapport entre la pression génératrice à l'entrée du moteur et la pression à l'infini amont) impose de dévier de plus en plus l'écoulement arrivant dans l'entrée d'air, pour le ralentir le plus possible par une succession d'ondes de choc obliques afin que le nombre de Mach en amont de l'onde de choc droite finale soit le plus faible possible, généralement autour d'une valeur de 1,4. Par ailleurs, plus le nombre de Mach amont augmente, plus la section de l'écoulement capté doit être importante. Pour les avions rapides les entrées d'air sont à géométrie variable. Cela peut être des rampes de compression et de diffusion mobiles définissant entre elles un piège à couche limite interne (Concorde), un corps mobile (souris) le long de la paroi de la carène (Mirage), un élément avant comportant un volet solidaire de parois latérales formant un ensemble basculant autour d'un axe voisin du bord d'attaque de la carène (F-15). Le Rafale n'a pas de parties mobiles dans ses entrées d'air! Mais celles ci sont quand même optimisées pour qu'il puisse atteindre Mach 2. Seulement cette vitesse est opérationnellement interdite dans les conditions courantes pour ne pas réduire outre mesure la durée de vie de la cellule. Un avion en plastique comme le F-35 ou le Rafale fond plus rapidement qu'un avion en aluminium, en acier ou en titane.
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Non mais vous n'imaginez pas les connaissances de Dassault dans le domaine aérodynamique. Un exemple la navette Hermes les dés étaient pipées en faveur d'Aérospatiale, mais quand le CNES a vu le projet de Dassault, il en est tombé sur le cul et il a été obligé de donner une maîtrise d'œuvre déléguée pour l'aérodynamique à Dassault. Depuis Dassault intervient toujours sur les problèmes de corps de rentrée.
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De toute façon les horloges Suisses sont ITAR free.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est pas le nombre de tubes qui compte, c'est le nombre de munitions -
Oui il s'agit d'un projet du Senate Armed Services Committee pour le 2023 National Defense Authorization Act. Mais d'autre organismes ont d'autres projets et tout cela doit être débattu au Congrès pour être transformé en loi. On verra à ce moment là ce qui sortira.
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scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
Qu'un Français dise ça, j'approuve sans arrière pensée, mais qu'un Allemand en arrive à dire ça, ça me fait mal au cœur, ça me rend triste, mais triste... -
Le fiasco après l'achat des F-35 par l'armée: les entreprises belges sont largement en déficit
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
On constate que le conflit en Ukraine pose la question de la relance de la production de munitions, de pièces de rechanges et d'équipements au bout de quelques semaines. Or, sauf si la France a changé de politique d'approvisionnement, la logique de tranches de production (du Rafale typiquement) limite l'engagement de stockage des composants et matières obsolètes à cette même tranche et aux besoins de dépannage de cette tranche. Cette logique fait qu'une relance de production pose à chaque fois la question de traitement d'obsolescence, donc du délai associé. Le stockage des composants long délai est évidemment aussi critique. Dans la perspective d'implication durable, il serait intéressant de savoir si la logique de stockage est la même pour tous et notamment pour les armements et, dans l'affirmative, si la France se pose la question d'élargir le stock des composants obsolètes. Je commence à être un peu loin des personnes qui seraient impliquées sur un tel sujet pour les interroger. -
[Ministère des Armées, MINARM]
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Le ministère de la défense réfléchit à réquisitionner du matériel du secteur civil pour refaire ses stocks d’armes -
armée de l'air égyptienne
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Chris. dans Afrique / Proche Orient
Un an et € 270 Millions, mais la France en prendrait certainement donc on pourrait partager le prix. -
scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
Dassault Calls for Political Mediation in Airbus Fighter Spat Dassault appelle à la médiation politique dans le conflit sur les avions de combat d'Airbus Les deux entreprises de défense sont en désaccord sur le futur avion de combat. Le PDG de Dassault reproche à Airbus de ne pas avoir signé l'accord. Dassault Aviation SA a déclaré qu'une alliance avec Airbus SE pour développer un futur avion de combat européen n'aboutit à rien, et que seule une intervention politique peut sauver le projet. Les pourparlers entre la société française et les branches allemande et espagnole d'Airbus sont dans l'impasse et une proposition pour passer à la phase suivante n'a toujours pas été signée, a déclaré Eric Trappier, directeur général de Dassault, mardi lors d'une conférence sur l'aviation à Paris. "Airbus bloque", a-t-il déclaré. "C'est maintenant entre les mains des gouvernements". Le conflit s'envenime en public depuis le début de l'année alors que les entrepreneurs de la défense luttent pour cimenter leur partenariat après des années de concurrence entre le Rafale de Dassault et l'Eurofighter Typhoon soutenu par Airbus. M. Trappier a déjà menacé de se retirer du projet et a déclaré mardi qu'il étudiait les options du "plan B". "Nous avons fait notre dernière proposition, qui a été négociée pendant plus d'un an, et nous attendons qu'elle soit signée", a-t-il déclaré à Bloomberg News. "Je ne suis plus en discussion avec Airbus sur ce sujet". Une sortie de Dassault pourrait faire capoter un projet présenté comme un symbole de la coopération de l'Union européenne dans un contexte de guerre en Ukraine. Non seulement le plan allemand d'augmentation des dépenses militaires n'a pas réussi à endiguer les querelles, mais M. Trappier a critiqué sa décision -- avec la Suisse -- d'acheter des avions de combat américains. "Les Européens achètent massivement aux États-Unis", a-t-il déclaré lors d'un débat d'experts. "Nous aimerions voir une véritable préférence européenne". Dassault a rejoint le programme à condition de se voir confier la direction de l'architecture du futur avion et de fournir son système de contrôle de vol, a déclaré M. Trappier. "Il faudra probablement une intervention politique pour que nous puissions nous mettre d'accord ou décrire le paysage sur lequel cette collaboration doit évoluer", a déclaré à Bloomberg Michael Schoellhorn, responsable de la défense et de l'espace chez Airbus. "Ce n'est pas ce qu'Airbus considérerait comme une collaboration européenne -- c'est un leadership de type commandement et contrôle que nous n'allons pas accepter." Le futur modèle d'avion, connu sous le nom de New Generation Fighter, a été évoqué pour la première fois par l'ancienne chancelière allemande Angela Merkel et le président français Emmanuel Macron en 2017, après la décision de 2016 des électeurs britanniques de quitter l'UE. Dans la génération actuelle d'avions de guerre, la France a opté pour le Rafale, tandis qu'Airbus s'est associé au britannique BAE Systems Plc et à l'italien Leonardo SpA pour produire l'Eurofighter. BAE développe actuellement son propre avion en collaboration avec Leonardo et Saab AB, producteur de l'avion de guerre Gripen. -
scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
Oui mais est ce que le Radar du Typhoon sera prêt à ce moment là? -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Pour nous ce sera Pétrole contre Rafale. -
Il est vrai que vu la situation dans laquelle le USA se sont mis, prendre des mesures pour utiliser au mieux l'existant peut se comprendre et peut même susciter des louanges. Par contre c'est se mettre dans cette situation qui n'est pas digne des USA: Boeing et Lockheed Martin ne sont plus les grandes compagnies aéronautiques que l'on a connu, il n'y a pas un seul programme de Boeing sans problèmes importants pour les avions civils et pour le KC 46 aussi. En particulier les problèmes de Foreign Object Debris sont ahurissants. Pour Lockheed Martin ... vous savez ce qu'on pense.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
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IAF to vault Multi Role Fighter Aircraft Program under Buy Global, Make India; 114 Aircraft in the pipeline intact Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) L'IAF va lancer son programme d'avions de combat polyvalents dans le cadre du programme "Buy Global, Make India" ; 114 avions sont en cours de développement. Le méga projet d'avion de combat multirôle (MRFA) de l'IAF, d'un montant de 20 milliards de dollars, fait à nouveau l'objet d'un débat. En raison de l'épuisement du nombre d'escadrons et des menaces latentes des adversaires du Nord et de l'Ouest, il est envisagé de placer le MRFA en procédure accélérée dans le cadre du programme "Buy Global, Make in India", en proposant de passer du modèle de partenariat stratégique à un autre. En fait, le nombre d'avions de combat initialement prévu pour l'acquisition reste de 114. Selon l'évaluation, il n'est pas prévu de réduire le nombre d'avions de la MRFA. Le méga projet de 20 milliards de dollars de l'IAF, le Multi Role Fighter Aircraft (MRFA), fait à nouveau l'objet de débats. Face à l'épuisement rapide des escadrons de l'Indian Air Force, le programme MRFA, qui prévoit l'acquisition de 114 avions de combat polyvalents, est l'un des programmes auxquels les forces armées et le gouvernement indiens attachent la plus grande importance. Compte tenu de l'importance de cette préoccupation et des menaces latentes des adversaires du Nord et de l'Ouest, il est envisagé de placer le MRFA sur une voie rapide dans le cadre du programme "Buy Global, Make in India", qui propose un changement du modèle de partenariat stratégique. En fait, le nombre d'avions de combat initialement prévu pour l'acquisition reste de 114. L'évaluation est basée sur une analyse factuelle avec des experts de haut niveau en la matière. Le discours sur la réduction du nombre d'avions n'est pas une option viable dans le scénario émergent où l'armée de l'air indienne a déjà prévu 500 jets de combat dans un avenir proche pour être en mesure de maintenir une puissance aérienne critique. L'année dernière, le chef d'état-major de l'armée de l'air (CAS), le maréchal en chef de l'air VR Chaudhari, a ajouté l'élément de "fabrication en Inde" au projet MRFA et a annoncé que l'acquisition ambitieuse devait comprendre l'indigénisation. La concurrence est intense, car les principaux constructeurs mondiaux sont en lice pour le MRFA, notamment le F-21 de Lockheed Martin, le Super Hornet F/A-18 E/F de Boeing, le Rafale de Dassault, le Gripen JAS-39 E/F de Saab, les MiG-35 et SU-35 russes, et l'Eurofighter Typhoon du consortium européen. Parallèlement, Boeing envisage également de proposer à l'Inde son F-15EX amélioré, approuvé par le gouvernement américain. Au-delà de l'intense compétition, la quête de 114 avions de combat a connu un parcours tumultueux et tortueux, qualifié de saga sans fin de grandes ambitions sur une trajectoire basse. La quête a consisté à jeter les bases d'écosystèmes aérospatiaux de capacités avancées dans le pays, qui ont connu un certain succès en faisant décoller le LCA Tejas au cours de plusieurs décennies d'essais et de tribulations. La MRFA repose sur l'idée d'étendre ce terrain, en assimilant des technologies avancées du monde de l'aérospatiale et de la défense qui pourraient être conçues et construites en Inde. C'est en 2007 que l'IAF a lancé l'appel d'offres MMRCA (Medium Multi-Role Combat Aircraft) pour acquérir 126 nouveaux jets de combat auprès d'équipementiers étrangers. Il a été proposé de continuer à développer les capacités et de maintenir l'effectif autorisé de jets de combat, car l'avion de combat léger (LCA) Tejas, un remplacement indigène prévu pour la flotte vieillissante de l'IAF, avait besoin de plus de temps pour pouvoir combler les lacunes. En 2012, l'Eurofighter Typhoon et le Dassault Rafale sont apparus comme les candidats finaux, le Rafale remportant la compétition pour le contrat, mais le programme n'a pas pu décoller en raison de certaines clauses sur la garantie contractuelle et d'autres désaccords avec l'équipementier sélectionné. Finalement, en 2015, le projet MMRCA a été annulé. Dans des circonstances aussi graves pour l'IAF de maintenir les capacités opérationnelles, le gouvernement a décidé d'acquérir 36 Rafales en état de vol auprès de l'entité française Dassault. Ceci a été formalisé dans le cadre de l'accord de gouvernement à gouvernement qui doit rendre l'acquisition beaucoup plus rapide et déployable. En 2018, le gouvernement a présenté un nouveau plan, rebaptisé "MMRCA 2.0", en lançant une demande d'information (RFI) pour l'acquisition de 114 MRFA. Puissance aérienne et lacunes en matière de capacités Un regard sur la géopolitique et les conflits mondiaux indique clairement que la dimension aérienne de la guerre a établi une supériorité sans précédent. La prochaine génération de percées technologiques dans le domaine de la guerre aérienne est déjà en train de se déployer dans toute son ampleur et sous la forme de systèmes sans pilote, d'avions de combat hypersoniques et d'armes à énergie laser. Elle redéfinit presque le concept de la guerre moderne dans l'air et dans l'espace. Comment l'IAF aborde-t-elle un tel changement en termes d'évolution des menaces et des capacités ? L'IAF a actuellement prévu 83 LCA, 70 HTT-40, deux escadrons d'AMCA Mk-I et cinq escadrons d'AMCA MK-II. En outre, la commande de LCH et d'autres développements de la flotte d'hélicoptères permettront de disposer de 400/450 appareils. À long terme, l'IAF disposera des versions AMCA et MRFA de l'ACL dans sa ligne de vol, ainsi que de 56 C-295 pour le transport aérien tactique. Nulle part dans le monde un tel engagement de 450 avions n'a été pris. Cela illustre le plan de l'IAF pour le renforcement des capacités. L'année dernière, lors d'un entretien exclusif avec l'auteur, le maréchal en chef de l'air Chaudhari a exposé ses idées sur le développement et l'acquisition de telles capacités : "À long terme, l'IAF disposera des versions LCA, AMCA et MRFA sur sa ligne de vol, ainsi que de 56 C-295 pour le transport aérien tactique. Nulle part dans le monde un tel engagement de 450 avions n'a été pris. Cela illustre le plan de l'IAF pour le renforcement des capacités". Mais une dichotomie subsiste entre la nécessité de combler les lacunes en matière de capacités en construisant une base aérospatiale avancée pour ces jets de combat de nouvelle génération et l'acquisition plus rapide de ces aéronefs dans un contexte de diminution du nombre d'escadrons. Comment aborder les facteurs tels que la production conjointe et le développement technologique avec les équipementiers en Inde ? Ainsi, dans un contexte d'épuisement des escadrons, la priorité est-elle donnée à la technologie ou à l'équilibre du calendrier ? Mais la question ne porte pas sur l'amélioration de la politique et le passage du modèle de "partenariat stratégique" à la catégorie "Acheter mondial, fabriquer en Inde" dans le cadre de la procédure d'acquisition de défense (DAP) 2020. Il s'agit de jeter les bases d'une feuille de route pour le renforcement des capacités, qui consiste à tirer parti du projet MRFA pour réaliser des gains technologiques substantiels et construire des systèmes et des sous-systèmes répondant aux normes mondiales. L'écosystème aérospatial de l'Inde est prêt à accueillir des flux technologiques de toutes dimensions pour la prochaine génération d'avions de combat. Il s'agit également de faire un grand pas en avant dans notre technologie de fabrication, que nous avons appris au fil des ans pour le LCA Tejas. Outre le nombre d'avions, l'IAF se concentre sur le besoin de technologies de nouvelle génération prêtes pour les futurs conflits. Les progrès réalisés dans l'ensemble de l'aérospatiale brisent les frontières dans des domaines tels que la furtivité, la vitesse, la suite électronique et les capteurs, ainsi que les plateformes en réseau sur le nuage de combat quantique, associées à des systèmes aériens sans pilote dotés d'une puissance de feu supérieure. Outre la dimension sécuritaire, le projet MRFA, d'une valeur de 20 milliards de dollars, constitue un argument convaincant pour l'Inde en termes d'économie d'échelle, puisque nous avons la capacité de concevoir, développer et produire des avions de combat de 5 à 6 générations. Actuellement, les avions Tejas Mk1 en version FOC sont en cours de livraison par HAL. La production du LCA Mk 1A devrait commencer d'ici 2023-2024. Le LCA Mk-1A aura de meilleures capacités grâce à des technologies indigènes telles que le radar AESA, la suite intégrée de guerre électronique (EW), le missile longue portée au-delà de la portée visuelle (BVR), le ravitaillement en vol avec une meilleure maintenabilité et une suite avionique. Un autre projet révolutionnaire, le programme AMCA de la Defence Research and Development Organisation (DRDO) et de l'IAF, a été mené en août 2020, tandis que la revue critique de conception est en cours d'examen. La DRDO, avec le soutien actif de l'IAF, travaille au développement d'un démonstrateur technologique de nouvelle génération. Des projets aussi complexes nécessitent un flux plus important et une collaboration avec les innovateurs mondiaux du secteur de l'aérospatiale et de la défense. Comme le chef de l'IAF, VR Chaudhari, l'a encore fait remarquer à l'auteur lors de l'interaction de l'année dernière : "L'IAF envisage de doter l'AMCA d'une conception de pointe et d'une meilleure capacité multi-rôle grâce à l'infusion de technologies de 6e génération. L'expérience de la production du LCA influencera la conception de l'AMCA pour répondre aux exigences opérationnelles de l'avenir." Mais l'aspect le plus important de l'AMCA est la possibilité d'acquérir et de développer la technologie insaisissable des moteurs à réaction. La profondeur de la négociation consiste à combler ces lacunes, que ce soit dans le cadre du modèle "SP" ou du modèle "Buy Global, Make in India". Dans l'ensemble, il s'agit de trouver le moteur à réaction approprié pour les 500 avions de combat prévus pour la prochaine génération d'avions de combat moyens avancés et le Tejas Mk-2 de l'Inde. Ce qui manque à l'Inde, c'est la capacité insaisissable du moteur à réaction. Alors que le projet du DRDO sur les turbines à gaz militaires a atteint un certain niveau de préparation technologique (TRL) en produisant des systèmes de propulsion essentiels pour les drones et les plates-formes d'armes ainsi que pour les systèmes de livraison d'armes à longue portée, les moteurs à réaction restent une tâche complexe. Comme l'a expliqué G. Satheesh Reddy, secrétaire DDR&D et président : "Comme vous le savez, ces moteurs sont refusés par les équipementiers mondiaux pour des applications stratégiques". L'ouverture internationale dans ce cas permettra à l'Inde de développer conjointement dans le cadre de la matrice d'architecture ouverte, en ayant un accès et des droits complets sur le moteur d'avion. Il convient de noter que la Chine a déjà modernisé les avions J-20 et J-31 et travaille sur de nouveaux avions de combat dotés de capacités de sixième génération dans des domaines tels que la furtivité et les armes hypersoniques. La Chine prend l'initiative dans la dimension aérienne du laser et des capacités de guerre de précision basées sur l'IA. La clarté est la clé pour faire des progrès substantiels sur des projets cruciaux comme le MRFA. L'énigme politique qui bloque le calendrier va à l'encontre du but recherché. La proposition de 114 MRFA doit passer par de tels chemins pour construire une base industrielle aérospatiale avancée et permettre à l'IAF de consolider sa formidable position dans la guerre aérienne.
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Allemagne
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Par contre il y a plus de bombes atomiques qui explosent de manière intentionnelle que des centrales nucléaires qui font de même. -
@Stark_Contrast veut changer notre façon de penser! Il pense qu'il peut prouver que le F-35 est un avion décent! Mais nous on regarde l'ampleur des retards, l'inflation des budgets, la ribambelle des pratiques douteuses, et on en déduit que le programme F-35 est merdique. Après on cherche une explication de cette vérité et on ne va pas la chercher dans les bonnes nouvelles.
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Avant que le MRFA soit ramené de 114 à 57 avions, l'IAF au vu du prix du contrat EAU avait pronostiqué que le prix allait dépasser $ 20 milliards qui semblait être la limite acceptable pour eux. Ils avait donc propagé vers le MOD qu'ils voulaient 80 Rafale ou 114 de n'importe quel autre avion, mettant en équivalence 80 Rafale et 114 Avions "ordinaire"!!! Avec 57 avions on devrait pouvoir rejoindre la valorisation des concurrents car on a un avantage sur le nombre de bases qu'il faudra équiper qui est d'autant plus important que le volume du RFP est petit.
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C'est une amélioration qui était connue au moment des rapports alarmistes sur les moteurs: http://www.air-defense.net/forum/topic/29-le-f-35/?do=findComment&comment=1519974
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Moi j'écarterais les deux moteurs et je mettrais une soute entre les deux. Il faudrait redessiner les entrées d'air pour pouvoir installer un moteur plus puissant et c'est tout, aux adaptations obligatoire près.
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scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
European sixth-generation fighter stays stalled amid industrial rancour Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Le chasseur européen de sixième génération reste bloqué dans un contexte de rancœur industrielle Les tensions persistantes entre les partenaires industriels impliqués dans un effort trinational pour développer un avion de combat de sixième génération ne semblent pas près d'être résolues, les efforts pour faire avancer le projet étant toujours au point mort. Airbus Defence & Space et Dassault Aviation devaient signer en 2021 un contrat portant sur la création d'un avion démonstrateur pour le New Generation Fighter (NGF) développé pour la France, l'Allemagne et l'Espagne dans le cadre du programme plus vaste Future Combat Air System (FCAS). Cependant, ce contrat - connu sous le nom de phase 1B - n'est pas près d'être conclu, selon Eric Trappier, directeur général de Dassault, le maître d'œuvre du projet NGF. "Nous étions prêts à aller de l'avant, mais entre septembre et décembre, les choses se sont arrêtées. Je ne sais pas comment il va repartir", a-t-il déclaré à FlightGlobal lors du salon de l'aviation d'affaires EBACE la semaine dernière. Alors que le FCAS était à l'origine un projet franco-allemand, l'admission de l'Espagne en 2019 a fait monter la tension, notamment au sein du FNG, où Airbus représente désormais à la fois Berlin et Madrid. "Ce n'est pas seulement une question politique, c'est aussi une question de partage du travail entre Airbus et Dassault", explique M. Trappier. "Nous avons fait de gros efforts, [mais] en ce qui concerne Dassault, nous n'avons qu'un tiers du travail. Nous sommes l'architecte principal qui prend la responsabilité globale devant les ministères de la défense et nous voulons être capables d'assumer cette responsabilité sans qu'Airbus dise toujours qu'il veut en faire plus." La principale objection de Dassault est l'insistance pour que la propriété intellectuelle relative au logiciel de contrôle de vol soit partagée entre les partenaires. Mais Trappier souligne que le système du démonstrateur NGF sera une solution "sur étagère", dérivée d'un jet d'affaires Falcon. "Pourquoi devrions-nous partager notre technologie sur le Falcon avec Airbus ? Airbus, à Toulouse, sait parfaitement comment développer des commandes de vol", argumente-t-il. Cependant, comme l'Allemagne et l'Espagne insisteront probablement pour une coopération totale - ou au moins un accès à la technologie - sur le système de commande de vol de tout futur avion de série, cette question risque de rester épineuse. La tension risque également d'être alimentée par le fait que le Rafale de Dassault et le Typhoon d'Eurofighter - pour lequel Airbus est le fournisseur des commandes de vol - restent rivaux pour les ventes de chasseurs de cinquième génération, aucune des parties n'étant disposée à céder un avantage perçu. Mais M. Trappier oppose l'impasse dans laquelle se trouve le FGN au projet EuroDrone, qui regroupe quatre pays et qui est dirigé par Airbus : "Nous les suivons", dit-il, en ajoutant : "Nous n'essayons pas de dire que nous devons tout savoir et qu'ils devraient faire de même [sur le NGF]". Dassault développe les commandes de vol de l'avion sans pilote. Il affirme que Dassault est toujours prêt à signer le contrat de la phase 1B, mais uniquement dans le cadre convenu précédemment, et non selon des règles "qui sont modifiées tous les trois mois" pour répondre aux demandes des autres parties. Et tandis que le retard des activités de la phase 1B se poursuit, Dassault a dû redéployer son équipe de projet ailleurs dans l'entreprise. Si la signature d'un contrat est encore possible cette année, "j'aurai besoin de temps pour rassembler à nouveau l'équipe", note-t-il. Airbus défend toutefois sa position, notant qu'un accord a été trouvé sur "les six autres piliers" du développement du FCAS, "où même sous un leadership défini, les compétences et les capacités de chaque partenaire sont respectées et peuvent participer de manière équitable", dit-il. "Airbus a fait plusieurs propositions pour converger également sur le NGF et nous soutenons toute solution qui respectera à la fois les compétences de chaque partenaire et le rôle de leader de Dassault, conduisant à un accord équitable." "Nous sommes convaincus qu'une résolution peut être obtenue si les règles de coopération convenues par les nations sont respectées dans le FNG, comme c'est le cas sur les autres piliers." -
Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Je me demande parfois si les Ahglo-saxons ne raisonne pas "à l'envers". -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
1/ TVD ukrainien, jours 89-97. Des combats intenses se sont poursuivis dans le Donbas au cours des 9 derniers jours. Les forces russes continuent d'étendre leur percée autour de Popasna et ont capturé de grandes parties de Severodonetsk. L'Ukraine contre-attaque à Kherson. 3/ DO de Kharkiv. L'activité offensive ukrainienne dans cette région s'est concentrée sur la libération de Ternova, tout en reprenant sa progression en direction de Vovchansk par des assauts visant à reprendre Starytsya et Rubizhne. L'activité de Kozacha Lopan à Vesele a été limitée à des échanges d'artillerie. 4/ La tête de pont de Staryi Saltiv est considérée comme la zone la plus critique de la DO de Kharkiv pour l'Ukraine. Depuis Staryi Saltiv, les forces ukrainiennes seront en mesure d'exercer une plus grande pression sur la capacité de la Russie à maintenir sa défense superficielle en avançant dans le nord de l'Oblast de Kharkiv. 5/ DO de Severodonetsk-Donetsk. Les forces armées russes (FAR) ont étendu leur saillant de percée de Popasna à la ligne d'autoroute M06 / T1302, tout en capturant simultanément Lyman et en pénétrant profondément dans le centre de Severodonetsk. #Lyman #Popasna #Severodonetsk #Izyum #Avdiivka 6/ Malgré toutes ses lacunes, la RAF peut obtenir des succès tactiques. Cependant, un succès tactique ne se traduit pas immédiatement par une opportunité opérationnelle ou une victoire stratégique à court terme. La RAF paie un prix élevé pour ses gains et n'a pas encore montré sa capacité à les exploiter réellement. 7/ Il reste à voir si le petit groupe de manœuvre opérationnel de la RAF (c'est-à-dire les unités tchétchènes, Wagner, VDV et certaines unités de la Garde) peut continuer à être le fer de lance d'une avancée russe vers la frontière de l'Oblast de Donetsk si le succès est finalement obtenu dans le saillant de Severodonetsk. 8/ DO de Zaporizhzhia. L'activité russe et ukrainienne dans la DO de Zaporizhzhia a été limitée à des attaques localisées pour améliorer le positionnement tactique, généralement au niveau de la compagnie ou en dessous. Les renseignements ukrainiens indiquent que les FAR continuent de renforcer leurs forces dans la région de Vasylivka. #Zaporizhzhia 9/ L'activité des partisans ukrainiens continue de croître dans la région occupée de Zaporizhzhia, les renseignements ukrainiens signalant que les convois de la RAF se déplacent en colonnes lourdement armées et le long des routes principales pour mieux se défendre contre les embuscades. Les unités de la RAF ici sont toujours de faible qualité et de faible effectif. 10/ Odesa-Kherson OD. Bien qu'un nombre important de bataillons ait récemment été redéployé du CO Sud au CO Est dans le Donbas, les forces ukrainiennes ont lancé une contre-offensive dans le nord de l'Oblast de Kherson & contre Snihurivka occupé par les Russes dans l'Oblast de Mykolaiv. #Kherson 11/ L'assaut dans la région de Davydiv Brid est probablement destiné à couper la principale ligne de communication russe (c'est-à-dire l'autoroute T2207) entre Kherson et Vysokopillya et à contraindre les forces russes à abandonner leurs positions défensives faiblement occupées dans le nord de Kherson. Citer le Tweet 12/ Les assauts de Vysokopillya à Zolota Balka sont probablement destinés à neutraliser les troupes russes dans cette zone pour les empêcher de soutenir la pénétration à Davydiv Brid tout en empêchant l'achèvement des défenses fortifiées russes, perturbant ainsi les efforts pour occuper l'Oblast. 13/ L'assaut sur Snihurivka est probablement destiné à rompre la capacité des FAR à maintenir une défense cohérente du nord de l'Oblast de Kherson et à forcer les forces russes à se consolider dans leur ceinture défensive toujours plus grande autour de Kherson même. Les combats restent intenses pour Snihurivka. 14/ OTMO de la mer Noire. Le blocus russe d'Odessa et de la côte ukrainienne se poursuit. Les SSN russes de classe Kilo continuent d'opérer en toute impunité dans l'ouest de la mer Noire, lançant des attaques de missiles Kalibr. Les défenses russes autour de l'île des Serpents continuent d'être renforcées. 15/ Évaluation aérospatiale. Le VKS alloue un grand nombre de sorties pour soutenir les opérations terrestres dans le Donbas ; les missions SEAD sont également devenues une priorité car l'Ukraine aurait introduit des systèmes SAM plus lourds dans la région. Le VKS a utilisé des bombardiers Tu-95 et T-160 pour cibler les SAM. 16/ L'historien et analyste autrichien de la guerre aérienne Tom Cooper a récemment fait une brève critique de l'utilisation de roquettes non guidées par le VKS et l'UAF. Il affirme que le VKS et l'UAF appliquent tous deux des techniques de bombardement de type "toss" (ou "loft") sans grand effet, ce qui entraîne un gaspillage important de munitions. 17/ Evaluation des dommages de la bataille. Les renseignements ukrainiens suggèrent que les BTG de la RAF dans la zone de Popasna sont réduits à environ 250-300 effectifs chacun, avec des pertes élevées en véhicules blindés. Ils spéculent en outre que le ministère russe de la Défense acheminera tous les remplacements disponibles vers les zones d'Avdiika et de Popasna. 22/ Évaluation globale. Plus la guerre se prolonge, plus elle devient un problème épineux, ce sur quoi la Russie compte peut-être pour atteindre certains de ses objectifs. Une longue guerre met à l'épreuve l'engagement réel de l'Occident envers la défense de l'Ukraine et sa capacité à récupérer son territoire. 23/ L'Ukraine est mieux placée pour atteindre ses objectifs de guerre grâce à un soutien continu ; militairement, financièrement et surtout moralement. Bien que l'Ukraine ait ses propres problèmes de ressources, elle gère mieux ses capacités militaires. Le soutien occidental conduira à la victoire. 24/ Toutefois, si le Kremlin se montre suffisamment habile et exploite les désaccords diplomatiques occidentaux actuels, il peut avoir un impact considérable sur le flux et la rapidité de l'aide, au point que quelques livraisons retardées d'armements critiques peuvent faire pencher la balance à un moment périlleux. 25/ Les 90 premiers jours de cette guerre ont vu l'excellence des généraux ukrainiens et l'audace combative des forces armées ukrainiennes. La Russie, cependant, peut encore retourner la situation en sa faveur si elle est plus prudente sur le plan stratégique et plus avisée sur le plan opérationnel. L'Occident doit maintenir le cap. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) -
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