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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil
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Production d'avions de chasse en Europe
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Teenytoon dans Europe
Pour la FAL DE, le nombre d'avions commandés est de 196 et le nombre livrés est de 158 donc le reste à livrer devrait être de 196 - 158 = 38. C'est la seule façon de faire un total de la colonne égal à 100. (38 + 20 + 22 + 20)- 891 réponses
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
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scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
Oui mais est ce que tu te rend bien compte que c'est une PME qui a réussi ça? -
Un liner ça vole énormément, c'est pour ça qu'on peut garder les ravitailleurs très longtemps, on n'arrive pas à consommer leurs potentiels.
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Production d'avions de chasse en Europe
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Teenytoon dans Europe
C'est un tableau qui a été réalisé avant la commande des 42 Rafale. https://omnirole-rafale.com/60-rafale-de-plus-pour-la-france/- 891 réponses
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Quelques pincettes pour celui-là! -
Oui mais c'est 2 ans tous les 2 ans...
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
L'expert russe Pavel Baev : "Les jours de Poutine sont comptés" Pour l'analyste russo-norvégien du prestigieux Institut de recherche pour la paix d'Oslo, l'érosion du pouvoir du maître du Kremlin a atteint un point de non-retour. La semaine dernière, le professeur russo-norvégien Pavel Baev a fêté le 30e anniversaire de son déménagement en Norvège, où il travaille au sein du prestigieux Institut de recherche pour la paix d'Oslo. Diplômé de l'Université d'Etat de Moscou en 1979 (en économie et en géographie politique), il a commencé sa carrière en Union soviétique au sein du ministère de la Défense. Considéré par ses pairs chercheurs comme l'un des meilleurs connaisseurs des transformations au sein de l'armée russe, Baev étend son champ d'expertise à d'autres domaines comme la relation sino-russe, la politique russe dans l'Arctique ou encore le Caucase. Chercheur associé au Centre Russie/ NEI de l'Institut français des relations internationales, il vient de publier un passionnant article intitulé "La guerre de la Russie en Ukraine : doctrine trompeuse, stratégie erronée" ( Russia's War in Ukraine : Misleading Doctrine, Misguided Strategy ) disponible gratuitement, en anglais, sur le site du think tank français. Selon Pavel Baev, la rigidité de la chaîne de commandement est, avec la corruption au sein de l'institution militaire, la raison principale de l'échec de Poutine en Ukraine. Entretien. L'Express : Jusqu'à quel point Vladimir Poutine est-il correctement informé de la situation sur le terrain en Ukraine? Pavel Baev : Dans les systèmes politiques rigides et autocratiques comme l'est celui du pouvoir poutinien, les subordonnés ont tendance à uniquement annoncer des bonnes nouvelles à leur chef, lequel ne veut pas contrarier son supérieur qui, a son tour ne veut pas fâcher le type au-dessus de lui. Résultat, les mauvaises nouvelles voyagent lentement. Or l'urgence de la guerre requiert au contraire un reporting efficace. Dès le début de la guerre en février, Vladimir Poutine ne disposait pas de toutes les informations qui lui auraient permis d'éviter des erreurs de calcul avant même le déclenchement de son "opération spéciale". Au fil de la guerre - où, par nature, comme dans toutes les guerres, la situation change constamment -, il est alternativement bien et mal informé. Lorsque les troupes russes ont évacué la région de Kiev en mars-avril, il disposait forcément des vraies informations concernant la situation du terrain sans quoi il n'aurait pas donné son feu vert au repli de ses troupes. A l'inverse, en juillet, à l'apogée de l'avancée russe dans l'oblast de Donetsk et après la prise de Lyssytchansk dans l'oblast de Louhansk, ses généraux ne lui ont pas présenté un panorama complet de la situation. Par exemple, ils ne lui ont pas expliqué qu'ils ne pourraient pas continuer leur avancée à cause du manque de ressources humaines. Si, à ce moment précis, ils l'avaient fait, alors Poutine aurait peut-être pris une décision différente. Il aurait pu, par exemple, annoncer dès juillet l'annexion compète de l'oblast de Louhansk, ce qui aurait été bien accueilli en Russie. Il aurait pu, aussi, annoncer une mobilisation partielle d'une partie de l'armée de terre, par exemple en se limitant aux Russes qui avaient servi dans sous les drapeaux au cours de cinq années précédentes, ce qui aurait également été bien reçu. Avec ces 100 000 soldats supplémentaires, il aurait pu poursuivre son offensive. Ainsi il aurait "surfé" sur une victoire militaire, une mobilisation limitée et une annexion qui aurait paru sensée. Mais il a raté cette fenêtre d'opportunité. Mal informé du rapport de force sur le terrain, il a attendu mi-septembre pour annoncer une "mobilisation partielle". Mal "vendue" à l'opinion russe et très mal organisée, elle s'est transformée en énorme ratage. On voit par-là que Poutine n'est pas informé correctement. La guerre d'usure dans laquelle il s'est lancé peut-elle réussir? Non, parce que ce genre de guerre d'attrition exige une capacité d'endurance dont ne disposent ni l'économie russe ni le complexe militaro-industriel. Malgré cela, Poutine s'est lancé dans un bras de fer contre l'Occident tout entier. Il ne pourra pas continuer indéfiniment à subir des défaites militaires tactiques comme celles qui se profile à Kherson (sud) et dans le Donbass (est) où l'armée ukrainienne progresse pas à pas. Notons que l'on assiste à une double tendance : d'un côté, le matériel de l'armée russe est de plus en plus rustique, de l'autre l'armement de l'armée ukrainienne est de plus en plus moderne. La population russe mesure-t-elle à quel point son armée est dans une mauvaise passe? Jusqu'à la mobilisation de septembre, les Russes pensaient que les affaires militaires suivaient un cours normal. Mais la mobilisation de septembre, soudaine, a constitué un choc dont l'onde se fait sentir tous les jours parce que les familles reçoivent quotidiennement des informations sur l'impréparation dans les centres de recrutement et sur les mauvaises conditions d'accueil des mobilisés. Or l'effet de ces mauvaises nouvelles est cumulatif. "L'élite commence à comprendre Poutine devient un fardeau" N'oublions pas, non plus, que le nombre de personnes ayant fui le pays est trois fois plus élevé que celui des mobilisés. Ce qui, au passage, aura un impact sur l'économie. Les prévisions annonçaient une récession de 4 à 5% cette année, ce qui paraissait "gérable". En réalité, il faut tabler sur une récession au moins deux fois plus importante, ce qui affectera les gens. Tous ces éléments conduisent les Russes à penser que les choses vont dans le mauvais sens, que la défaite se profile à l'horizon et qu'il n'y aura pas moyen de se tirer d'affaires. Y a-t-il une opinion publique en Russie? Il n'existe peut-être pas d'opinion publique mais la mobilisation de septembre a créé des mécontents. Toutefois, il ne faut pas s'attendre à des manifestations populaires. Mais des mutineries sont possibles parmi les nouvelles unités fraîchement mobilisées. Et là, nous parlons de gens armés. Aussi, l'élite elle même commence à prendre conscience qu'au sein de son système, Poutine n'est plus un atout mais un fardeau. De la même manière que Xi Jinping est au cœur du pouvoir chinois, Vladimir Poutine est au cœur du problème russe. Sa popularité décline et, à différents niveaux, son système s'érode. Pas besoin de boule de cristal pour comprendre ça. Beaucoup de cygnes noirs tournoient au-dessus de la Russie. Et même s'il est impossible de savoir lequel changera le cours des choses, le potentiel est réuni pour que le système se casse. Comment expliquer que, contrairement à la diaspora iranienne, les Russes de l'étranger ne se manifestent pas contre le régime? La première vague d'exilés, celle de février-mars, qui comptait environ 300 000 personnes est éparpillée en Europe et commence à s'organiser. Des médias digitaux commencent à apparaître sur la Toile. La deuxième vague, qui a fui la mobilisation de septembre et qui est au moins deux fois plus nombreuse, a besoin d'un peu de temps pour retomber sur ses pieds et comprendre ce qui lui arrive. Très présents sur Internet, le leader tchétchène Ramzan Kadyrov et le patron du groupe Wagner Evgueni Prigojine profitent-ils de la désorganisation de l'armée pour monter en puissance? Leur présence sur Twitter, TikTok ou Instagram ne signifie pas qu'ils ont accès à Poutine. En vrai, ils sont tenus à distance du Kremlin. Mais il est clair qu'ils veulent se positionner pour l'avenir. Mais il faut comprendre que Kadyrov n'a pas d'intérêts personnels en Ukraine et qu'il se contente de mobiliser son armée en prévision des problèmes qu'il voit déjà poindre à l'horizon : après la défaite russe, il sait que le Caucase entrera dans une phase d'instabilité. Quant à Prigojine, il n'a pas la force intrinsèque de Kadyrov qui, lui au moins, peut compter sur une troupe loyale et dévouée à sa cause. Prigojine, lui, est à la tête d'un groupe de mercenaires qui, par nature, n'ont aucune loyauté à son égard et sont donc susceptibles de se vendre au plus offrant. Le ministre de la Défense Sergueï Choïgou a-t-il toujours les faveurs de Poutine? Les rumeurs sur sa placardisation ne sont que des rumeurs. Poutine n'est pas en mesure d'écarter Choïgou, qui lui est très loyal. Par qui le remplacerait-il? Poutine ne dispose d'aucun général qui puisse faire mieux et lui offrir une victoire sur un plateau. Selon moi, Choïgou est là pour durer, et le chef d'état-major des armées Valeri Guerassimov aussi. Tous les regards se tournent aujourd'hui vers le général Sergueï Sourovikine. Promu commandant de l'armée russe en Ukraine en septembre, il devient le nouveau personnage central. Ce qui signifie aussi la chose suivante : si le Kremlin a besoin de faire sauter un fusible à un moment donné, il a le profil parfait pour remplir cette fonction. Comment l'élite russe gère-t-elle la distance entre la notion modernisée de "grande puissance russe", qui lui est si chère, et la réalité constatée sur le terrain? C'est un travail mental difficile. Voir la défaite se dérouler sous leurs yeux est comme avaler une potion amère. Voilà un an, il était admis, y compris au-delà des frontières, que la Russie était une grande puissance. L'élite russe pensait dur comme fer que l'armée serait capable de déployer son savoir-faire dans de nombreux domaines. Soudain, la vérité est qu'elle est en ruine. Le recul russe concerne aussi le domaine énergétique et la place du pays dans le monde. Vladimir Poutine chérissait l'idée que Moscou avait la capacité de se connecter à ce qu'en géopolitique on appelle le "Sud global". Or, à l'assemblée générale des Nations Unies en septembre, seuls 5 pays (Corée du Nord, Biélorussie, Nicaragua, Syrie, Russie) ont soutenu l'annexion des quatre régions ukrainiennes par Moscou [NDLR : 143 pays ont voté contre et 35 se sont abstenus]. C'est une gifle pour Poutine, qui n'a plus la capacité de subvertir l'ordre mondial. Même la Chine, soi-disant son très cher allié, n'a pas soutenu la Russie. Pékin est certes d'accord pour transformer le système international afin d'augmenter son influence, mais pas en cassant tout. Il faudra à Poutine beaucoup de temps pour absorber cet échec retentissant, car il n'est pas quelqu'un qui digère facilement les mauvaises nouvelles. Quant à l'élite russe, sa prise de conscience de la dégradation de la place de la Russie dans le monde n'aura sans doute lieu qu'après la fin de Poutine qui, à mon avis, n'est plus très loin... La fin de Poutine n'est pas loin, dites vous... C'est peut-être un vœu pieux car il est évidemment impossible de prédire l'avenir mais, oui, je pense que ses jours sont comptés. Il devient de plus en plus clair aux yeux de tous en Russie que cette guerre est la guerre de Poutine; que la défaite en cours est la défaite de Poutine; et qu'aucune solution ne sera possible sans le départ de Poutine. Comment cela arrivera-t-il? Je n'en sais rien, car chaque coup d'Etat est différent. On ne sait qu'une seule chose : les putschs qui réussissent se produisent soudainement, comme tombés du ciel. Un jour, nous nous réveillerons avec les mots "Breaking News" inscrit sur nos écrans. Et ce jour n'est plus très lointain. A quoi pourrait ressembler l'après-Poutine? Ce sera un processus. Dans un premier temps, le nouveau leadership sera collectif. Il renouera, pas à pas, le dialogue avec l'Ouest et fera des compromis sur la question ukrainienne. Ce sera une période de grande instabilité avec des règlements de comptes, des chaises musicales, des évictions, des résistances, des boucs émissaires. Il y aura aussi des secousses dans "l'étranger proche" de la Russie. En Biélorussie, la chute du régime de Loukachenko devrait suivre le départ de Poutine. Au Caucase, le Tchétchène Ramzan Kadyrov sera déstabilisé. Et il le sait. C'est pourquoi il renforce son armée dès aujourd'hui. A Moscou, il n'y aura pas de rupture radicale avec le passé, avec par exemple une guerre civile. Trop de gens ont besoin de stabiliser la Russie afin d'éviter la catastrophe totale. Les membres du collectif qui succédera à Poutine devront aussi gérer leurs intérêts particuliers : ils voudront récupérer leurs avoirs actuellement gelés en Occident en raison des sanctions individuelles qui les frappent. L'ex-oligarque Mikhaïl Khodorkovski exilé à Londres ou l'opposant Alexeï Navalny aujourd'hui en prison pourraient-ils jouer un rôle? Peut-être, un jour... Dans un futur très lointain... Mais non, cette hypothèse est improbable. Toutefois, la libération de Navalny pourrait, à un moment donné, permettre aux successeurs de Poutine d'indiquer à l'Occident qu'ils sont ouverts au dialogue et prêts à faire certaines réformes. Mais cela n'ira pas plus loin. Parfois présenté comme un successeur possible, Nikolaï Patrouchev (ancien patron du FSB, très proche de Poutine) pourrait-il faire partie du groupe de gens dont vous parlez? Non. Patrouchev tient son pouvoir de sa proximité avec Poutine. A part ça, il ne contrôle rien. Qui plus est, il est assez âgé. Il a 71 ans. Parmi les gens au pouvoir, on retrouvera cependant des personnages connus, comme l'actuel ministre de la Défense Sergueï Choïgou ou le Premier ministre Mikhaïl Michoustine. Et d'autres. Ne vous attendez pas à des surprises ou des outsiders. Le casting sera composé de figures familières, liées à Poutine. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
L'expert russe Pavel Baev : "Les jours de Poutine sont comptés" Pour l'analyste russo-norvégien du prestigieux Institut de recherche pour la paix d'Oslo, l'érosion du pouvoir du maître du Kremlin a atteint un point de non-retour. La semaine dernière, le professeur russo-norvégien Pavel Baev a fêté le 30e anniversaire de son déménagement en Norvège, où il travaille au sein du prestigieux Institut de recherche pour la paix d'Oslo. Diplômé de l'Université d'Etat de Moscou en 1979 (en économie et en géographie politique), il a commencé sa carrière en Union soviétique au sein du ministère de la Défense. Considéré par ses pairs chercheurs comme l'un des meilleurs connaisseurs des transformations au sein de l'armée russe, Baev étend son champ d'expertise à d'autres domaines comme la relation sino-russe, la politique russe dans l'Arctique ou encore le Caucase. Chercheur associé au Centre Russie/NEI de l'Institut français des relations internationales, il vient de publier un passionnant article intitulé "La guerre de la Russie en Ukraine : doctrine trompeuse, stratégie erronée" (Russia's War in Ukraine : Misleading Doctrine, Misguided Strategy) disponible gratuitement, en anglais, sur le site du think tank français. Selon Pavel Baev, la rigidité de la chaîne de commandement est, avec la corruption au sein de l'institution militaire, la raison principale de l'échec de Poutine en Ukraine. Entretien. L'Express : Jusqu'à quel point Vladimir Poutine est-il correctement informé de la situation sur le terrain en Ukraine ? Pavel Baev : Dans les systèmes politiques rigides et autocratiques comme l'est celui du pouvoir poutinien, les subordonnés ont tendance à uniquement annoncer des bonnes nouvelles à leur chef, lequel ne veut pas contrarier son supérieur qui, a son tour ne veut pas fâcher le type au-dessus de lui. Résultat, les mauvaises nouvelles voyagent lentement. Or l'urgence de la guerre requiert au contraire un reporting efficace. Dès le début de la guerre en février, Vladimir Poutine ne disposait pas de toutes les informations qui lui auraient permis d'éviter des erreurs de calcul avant même le déclenchement de son "opération spéciale". Au fil de la guerre - où, par nature, comme dans toutes les guerres, la situation change constamment -, il est alternativement bien et mal informé. Lorsque les troupes russes ont évacué la région de Kiev en mars-avril, il disposait forcément des vraies informations concernant la situation du terrain sans quoi il n'aurait pas donné son feu vert au repli de ses troupes. A l'inverse, en juillet, à l'apogée de l'avancée russe dans l'oblast de Donetsk et après la prise de Lyssytchansk dans l'oblast de Louhansk, ses généraux ne lui ont pas... Cet article est réservé aux abonnés -
Armée de l'air saoudienne
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Afrique / Proche Orient
On a attendu 10 ans pour les EAU, 30 ans pour l'Arabie Saoudite ça parait bien. -
Il y a peut être une question d'intensité de la correction à apporter: le fait qu'on identifie assez profondément la verrière en statique dans un labo permet peut être de réduire l'intensité de la correction supplémentaire à apporter à un niveau tellement faible que ça peut être négligé pour l'utilisation qu'on en fait. La meilleure aérodynamique possible pour la verrière est celle qui réduit le plus les contraintes sur celle ci.
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Oui, je ne suis pas sûr de mon interprétation, mais peut être l'habitude de ces analyses c'est de regarder le chiffre d'affaire en 2025, alors ils finissent par omettre de le signaler... -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Pourquoi faut-il acheter Dassault Aviation ? -
Armée de l'air saoudienne
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Afrique / Proche Orient
How A U.S. Arms Embargo Could Impact Saudi Arabia's Air Force L'impact d'un embargo américain sur les armes sur l'armée de l'air de l'Arabie saoudite À Washington, la colère à l'égard de l'Arabie saoudite suite à la décision de l'Opep+ de réduire la production de pétrole a donné lieu à de nouveaux appels et à des propositions de loi visant à interdire au moins temporairement les ventes d'armes américaines au royaume. La législation bicamérale présentée par le sénateur Richard Blumenthal et le représentant Ro Khanna propose une pause immédiate de toutes les ventes d'armes à Riyad. Elle demande également "un arrêt d'un an de toutes les ventes commerciales directes, des ventes militaires étrangères et des munitions", ce qui "inclut l'arrêt des ventes de pièces de rechange et de réparation, des services d'appui et du soutien logistique et programmatique." Les responsables soulignent que la grande majorité des armements saoudiens sont de fabrication américaine. Un embargo, affirment-ils, aurait donc un impact considérable sur l'armée saoudienne et il faudrait des années à Riyad pour réduire sa dépendance à l'égard de la technologie, des pièces et du soutien militaires américains. "Ils ne peuvent pas se rapprocher davantage de la Russie et de la Chine à court terme", a déclaré Khanna à PBS. "Ils - il faudrait presque 10 ans pour qu'ils puissent être en mesure d'obtenir les armes que nous fournissons, juste à cause de l'interopérabilité de ces armes, et, littéralement, l'armée de l'air serait immobilisée au sol demain s'ils n'avaient pas de techniciens américains." "Sans l'aide des États-Unis pour assurer le service de son armée de l'air, toute la flotte saoudienne serait clouée au sol en quelques mois, car les systèmes d'armes étrangers ne sont généralement pas interchangeables avec les systèmes américains et ne peuvent pas s'y substituer", a soutenu M. Blumenthal dans un récent article pour Foreign Affairs. Le principal appareil et l'épine dorsale de l'armée de l'air royale saoudienne (RSAF) est sans aucun doute sa grande flotte de chasseurs-bombardiers modernes F-15. Lorsque l'Arabie saoudite est intervenue dans le conflit au Yémen et a commencé sa campagne de bombardement début 2015, elle a immédiatement rencontré des problèmes. Dans certains cas, les radios au sol saoudiennes ne pouvaient pas communiquer avec les jets et les pilotes de chasse saoudiens devaient voler suffisamment bas pour recevoir leurs cibles par téléphone portable ! Les États-Unis ont également assuré le ravitaillement en vol des jets saoudiens pendant cette guerre et ont ensuite facturé Riyad pour ce service essentiel. Bien qu'anecdotiques, des incidents comme ceux-ci suggèrent que la RSAF serait immédiatement confrontée à de sérieux problèmes si les États-Unis retiraient leur soutien. Toutefois, outre les F-15, les Saoudiens exploitent également une flotte importante d'Eurofighter Typhoon non américains et de vieux Panavia Tornados. Par conséquent, l'imposition d'un embargo américain sur les armes ne signifie pas nécessairement que l'ensemble de la RSAF serait rapidement clouée au sol, même si ses capacités seraient sans aucun doute nettement réduites. Et Riyad aurait probablement des alternatives autres que la Russie et la Chine pour les chasseurs si les États-Unis arrêtaient indéfiniment les ventes d'armes. Par exemple, la France pourrait se réjouir de la perspective de voir Riyad acheter des Rafales de Dassault. Il convient de rappeler que l'administration Carter a favorisé la vente à l'Arabie saoudite de ses tout premiers F-15 - un accord sans précédent et très controversé, vivement débattu à Washington à l'époque - parce que Riyad avait montré sa volonté de se tourner vers la France pour un nombre équivalent de Mirage F1 si ces avions américains lui étaient refusés. "L'Arabie saoudite pourrait toujours suivre l'exemple des EAU (Émirats arabes unis) et acheter différents types de systèmes d'armes auprès de différents fournisseurs", m'a dit Nicholas Heras, directeur de la stratégie et de l'innovation au New Line Institute. "L'avantage de cette approche est qu'elle peut minimiser le risque que les différences politiques avec un fournisseur particulier peuvent poser pour avoir accès à des systèmes d'armes avancés." Néanmoins, il a souligné que l'inconvénient d'un tel arrangement est "que tous ces systèmes de différents fournisseurs pourraient ne pas fonctionner ensemble aussi bien, ou que les fournisseurs pourraient ne pas avoir les meilleurs programmes de maintenance et de réapprovisionnement pour ces systèmes d'armes, comme ce serait le cas pour les États-Unis." "Les États-Unis ont une industrie de défense massive qui peut fournir des systèmes d'armes, entretenir des systèmes d'armes et réapprovisionner des systèmes d'armes, souvent plus rapidement que ses concurrents dans d'autres pays", a-t-il ajouté. "L'Arabie saoudite est un client platine pour l'industrie de la défense américaine, ce qui signifie que les fournisseurs d'armes américains aiment les affaires saoudiennes." Ryan Bohl, analyste principal du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord à la société de renseignement sur les risques RANE, est d'accord avec l'affirmation partagée par Blumenthal et Khanna selon laquelle il faudrait des années à Riyad pour remplacer adéquatement son matériel américain, en particulier les jets avancés. "Il faut des années pour former les pilotes sur un équipement spécifique (deux ans sur le F-16, par exemple), et le nouveau matériel provenant d'autres pays pourrait être accompagné de barrières linguistiques auxquelles les institutions militaires devraient s'adapter", m'a-t-il dit. "De plus, les pilotes mettraient également des années à s'habituer au nouveau matériel (piloter un F-16 est très différent d'un Rafale ou d'un Eurofighter), ce qui gâcherait des années d'expérience des pilotes sur les systèmes américains." -
Dans le dernier Air FAN (N° 482) il y a un article sur le F-35 Block 4. Et à l'occasion de cet article il y a un rappel des dates clés du programme. Ce sont ces dates que je voudrais extraire de cet article dans ce post. La phase de développement SDD a débuté fin 2001 et devait se terminer en Avril 2012 avec la qualification du Block 3. Le premier vol a été réalisé par le CTOL AA-1 le 15 décembre 2006. Cet avion était un prototype. Ce vol avait été prévu par le planning SDD pour fin octobre 2005. Un accord dit PSFD est signé avec tous les partenaires entre le 14 Novembre 2006 et le 27 Février 2007 pour définir les conditions des développements post SDD. En Février 2007 le directeur du programme, le général Charles R Davis déclare : "Les premières sorties de l'avion ont démontré que nous sommes sur une trajectoire de vérification et de validation de nos simulations, pas sur le chemin hasardeux de la découverte" En juin 2007 le DoD autorise la production à cadence réduite des LRIP ( 6 LRIP à l'époque). L'unique avion disponible le AA-1 était à ce moment là cloué au sol depuis le 4 mai 2007 et il ne re volera que le 14 Décembre suivant. Le premier vol d'un F-35 de série sera réalisé le 14 Novembre 2009. Le 17 Avril 2014 le sous secrétaire à la Défense chargé des acquisitions F. Kendall déclare la nécessité de lancer le block 4 pour que l'avion puisse contrer à temps les menaces émergentes. Le block 4 prévoyait deux étapes: 4A pour 2022 puis 4B pour 2024. Au printemps 2015 le block 4 est découpé en 4 étapes 4.1 fin 2019, 4.2 en 2021, 4.3 en 2023, et 4.4 en 2025. En Août 2015 Kendall décide que le Block 4 n'est pas un programme majeur mais une simple modernisation afin d'éviter des contrôles par le congrès. Le 21 Décembre 2016 le Pentagone reconnait devant D Trump avoir sous estimé les défis techniques, s'être fondé sur des prévisions irréalistes, et avoir lancé la production bien trop tôt. Le 21 Mars 2017 le document de cadrage général du standard jusqu'à 4.2 fut validé par le JROC présidé par le vice chef d'état major des armées. Le 6 Juin 2017 John McCain se dit particulièrement préoccupé par les conditions d'exécution de la modernisation block 4 du F-35. L'incrément 4.1 ne semblait pouvoir seulement corriger les défauts les plus critiques de 3F et 4.2 était conditionné par une mise à jour du système central Tech Refresh 3 (TR3). Les essais du block 3 devenu block 3F sont officiellement terminées le 11 Avril 2018 malgré une longue liste de défectuosités identifiées et non corrigées (dont quelques unes sont critiques). En octobre 2018 le DoD adopte pour le block 4 une stratégie de développement dite "Agile" appelé C2D2 qui consiste à livrer des incréments plus petits mais plus fréquents L'évaluation technico opérationnelle IOT&E a commencé le 5 décembre 2018. En janvier 2019 le DOT&E Robert F Behler se montre dubitatif sur la possibilité de développer en C2D2 semestriellement. L'US Navy a prononcé l'IOC du F-35 C le 28 Février 2019 Le 4 Avril 2019 l'amiral Mathias W. Winter fixe à 6 mois l'incrément de C2D2. En Mai 2019 le coût du Block 4 est estimé à 10,6 milliard de dollars aux conditions économiques de 2012. Début 2020 Behler constate que des modifications apportées pour corriger des défauts ou pour introduire des éléments du block 4 ont généré des instabilités ou ont même perturbé le bon fonctionnement de capacités déjà installées En Mai 2020 le coût du Block 4 est estimé à 12,1 milliard de dollars puis à 14,4 quelques mois plus tard. En janvier 2021 Behler constate que la liste des défectuosités ne se réduit pas parce qu'on en découvre de nouvelles qui remplacent celles qui sont corrigées. En 2021 le coût du Block 4 est estimé à 15,1 milliard de dollars jusqu'en 2028 et l'échéance de la fin des travaux est repoussé à 2029. Le 13 Avril 2021 le directeur du programme Eric T. Fick renonce à la livraison d'incréments tous les 6 mois (car irréaliste) et espère des livraisons annuelles. En Août 2021 le secrétaire de l'Air Force F. Kendall déclare: Nous sommes aujourd'hui (avec le block 4) dans une situation qui ressemble beaucoup à celle que j'ai connue autrefois, lorsque le F-35 souffrait de nombreux défauts de conception non corrigés, en même temps que nous achetions en grand nombre des avions dont nous savions pourtant qu'ils devraient ensuite inévitablement faire l'objet d'un vaste chantier de modifications. En décembre 2021, il y avait 826 défauts répertoriés venant majoritairement de la dette technique hérité du block 3F en 2018. Le 2 Mai 2022 Le Congressional Research Service écrit: "Il peut être intéressant de voir comment le département de la défense présente l'historique du programme quand celui ci n'est pas destiné au grand public" Le 26 juin 2022, Lockheed Martin avait livré 814 F-35 de série, Il livrera 173 avions supplémentaires d'ici mi 2023 au standard F 3F. L'IOT&E n'est toujours pas terminée, les essais sont suspendus en attendant la mise à disposition de simulateurs de menaces complexes qui doivent arriver en 2023. Le DoD pourra lancer la phase de pleine production, après avoir reçu un rapport, jugé satisfaisant, des essais réalisés dans un tel environnement simulé En fait la pleine production est déjà frauduleusement lancée par une augmentation du nombre de LRIP qui sont passé de 6 à 14 et représente déjà 987 F-35, et c'est pas fini, les LRIP 15 et suivants sont en cours de négociation. La Belgique, la Pologne et la Finlande Attendent leurs premier F-35 A Block 4 respectivement en 2023, En 2024 et en 2025. Le GAO a écrit en Avril 2022; "Si le TR 3 n'est pas disponible à la date prévue [2023] la direction du programme F-35 prévoit de continuer à produire les avions avec TR-2 puis de les rétrofiter ultérieurement avec le nouvel équipement."
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Allemagne
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
La guerre entre la France et l'Allemagne redevient possible -
En Guyane, il peut y avoir des Rafale.
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Un ancien pilote de chasse avait une arthrose au cou alors que je pensais que, contrairement aux pilotes de F1, ils ne subissaient pas de force centrifuge latérale. Il a rétorqué que c'était loin d'être le cas en dog fight où les pilotes cherchent partout l'adversaire y compris en fort G.
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Eh bien justement ils ne peuvent pas participer en mettant à disposition des A400 M alors ils participent en prenant en charge les frais de la base.
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Oui je l'ai acheté aussi, et j'ai été très déçu, non pas par la qualité des articles qui est irréprochable, mais par le fait que tout semble décalé par rapport à la description qui avait été donnée par le même Grolleau au moment du lancement du F4. Bien sûr tous les Rafale passeront en F4.2 mais c'est parce que c'est le F4.1 d'avant, par exemple je pensais que le F4.1 était un F4.2 moins les fonctions qui nécessitaient des modifications matérielles du câblage et des circuits de refroidissement, et donc pour moi la connectivité en faisait partie. Et là on apprend que la localisation précise avec SPECTRA se fera en utilisant la L 16 et que la nouvelle liaison inter patrouille sera pour F4.2. Alors les modifications matérielles ce sera pour F5 et peut être même qu'on appellera ça MLU.
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Non je maintiens mon point de vue, c'est difficile à prouver, mais j'ai quand même un élément à mettre au dossier. Lors d'un trilatéral avec F-35 US, Typhoon UK et Rafale Français, il y a eu des duels Typhoon/Rafale où pour la première fois les Typhoons avaient des viseurs de casque. Le premier jour les Français se sont fait surprendre: leur stratégie habituelle qui les faisait gagner à tous les coups ne marchait plus... Mais le deuxième jour tout est rentré dans l'ordre, les français avaient upgradé leur stratégie pour tenir compte des nouvelles possibilités du Typhoon et avaient de nouveau systématiquement le dessus.
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Je poursuis la blague que j'avais commencée en t'accusant de perdre la foi @herciv aussi défend le Rafale.
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Allemagne
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est quand même simple à comprendre: il répond à un post de @wagdoox qui commence par "Production n’est pas exportation." alors il donne le graphique des exportations en disant qu'elles sont pas mal non plus. Quand quelqu'un crée un post en répondant à un autre post il faut suivre la conversation pour comprendre. -
C'est pas la peine de monter sur tes grand chevaux, essaye de suivre plutôt: @herciv a dit ça: C'est l'opinion de @herciv, c'est pas la mienne, bien que rien ne m'interdit de l'avoir, la charte du forum ne l'interdit pas, mais c'est pas la mienne. Je remarque quand même qu'il met en cause le Rafale en le mettant dans le même panier que le f-35, ce qui est franchement scandaleux alors, dans le cadre de sa théorie je lui répond ça: Sur ce @LePetitCharles me pose une question: Et là je dois lui expliquer le point de vue de @herciv et donc je le renvoie aux posts où @herciv expliquait son point de vue. Donc je n'ai pas construit un argumentaire sur l'exemple du casque du f-35. Par contre j'ai pris le programme F-35 comme exemple des conneries que le monde pouvait faire afin de contrer la narrative qui dit que si le monde le fait alors on devrait le faire aussi. Mais la encore je crois que j'ai le droit de penser que le programme F-35 est catastrophique. Et tu n'as pas compris ce que je pense des viseurs de casque, j'écris: http://www.air-defense.net/forum/topic/20630-rafale/?do=findComment&comment=1583198 Ce qui prouve bien que pour moi ce genre de casque a une utilité, mais il a aussi des inconvénients d'autant plus grand que sa masse est importante, alors on a attendu que sa masse baisse suffisamment pour que les avantages l'emportent sur les inconvénients, on a le droit d'être plus difficile que les autres après tout.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Les commentaires disent que c'est une vieille vidéo et que donc ce n'est pas un IRIS-T