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Allemagne
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Question de recherche et structure de l'étude Comment expliquer la politique étrangère, de sécurité et européenne de la France sous la direction du président Macron ? Pourquoi diffère-t-elle sensiblement de la politique allemande sur des questions essentielles - bien que les deux pays soient politiquement plus étroitement liés que toute autre paire d'États dans les relations internationales ? Cette étude part du principe que les raisons résident dans le fait que Berlin et Paris perçoivent et évaluent différemment les changements structurels dans les relations internationales. En conséquence, sa question de recherche est la suivante : quels changements structurels dans les relations internationales la France perçoit-elle et comment les évalue-t-elle ? Pour répondre à cette question, les études de cas procèdent analytiquement en trois étapes : Tout d'abord, ils soulignent les différences importantes entre Berlin et Paris pour les différents domaines politiques. Ensuite, ils examinent les changements structurels. Les auteurs se demandent si et dans quelle mesure ces changements peuvent expliquer les politiques étrangères, sécuritaires et européennes de Macron. Contre factuellement, ils examinent si d'autres motifs peuvent être considérés comme des explications de la politique de la France. Enfin, les auteurs évaluent les conséquences qui résultent de leurs analyses respectives pour la coopération franco-allemande. L'étude s'abstient délibérément d'examiner la dimension institutionnelle des relations franco-allemandes. Elle ne permet pas de savoir quel organisme avait connaissance des intentions politiques du partenaire à quel moment. Selon les auteurs, le fait que Berlin et Paris n'aient pas été en mesure de parvenir à un équilibre des intérêts sur les questions clés de la politique européenne et internationale ces dernières années indique que les structures modifiées de l'environnement international entre l'Allemagne et la France n'ont pas été suffisamment prises en compte. Cette étude collective vise à donner une impulsion à cet égard en proposant une analyse et une évaluation complètes de la politique étrangère, de sécurité et européenne de la France sous le président Macron. -
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Introduction : La politique étrangère et de sécurité de la France sous le Président Macron - Dissonances dans la coopération franco-allemande Lorsqu'Emmanuel Macron s'est installé à l'Élysée le 14 mai 2017, une nouvelle ère dans les relations franco-allemandes semblait envisageable. Macron avait déjà tendu la main au gouvernement allemand pendant la campagne présidentielle, affirmant qu'un renouveau de l'Union européenne (UE) n'était possible que sur la base d'une coopération intensifiée entre Paris et Berlin. Deux jours après les élections du 19e Bundestag allemand, il a proposé "l'Allemagne d'abord et avant tout un nouveau partenariat" dans un discours-programme prononcé à l'université de la Sorbonne. Dans ce discours sur l'Europe, Macron a souligné : "Nous ne serons pas toujours d'accord sur tout, ou pas toujours immédiatement, mais nous parlerons de tout. À ceux qui disent que c'est une tâche impossible, je réponds : vous avez pris l'habitude de démissionner, moi pas. À ceux qui disent que c'est trop dur, je réponds : pensez à Robert Schuman, cinq ans seulement après une guerre, le sang à peine séché." Coopération bilatérale en temps de crise Plus récemment, le président français a courtisé Berlin de manière agressive en février 2020. Lors de la conférence de Munich sur la sécurité, il a déploré le manque de coopération bilatérale : "Nous avons besoin de plus de terrain d'entente au cœur de l'Europe. Un cœur qui est beaucoup plus inclusif qu'il ne l'est aujourd'hui." Il était alors clair des deux côtés du Rhin que Berlin et Paris n'avaient pas réussi à établir un "nouveau partenariat". En Allemagne, les médias et les politiciens de toutes les factions ont attribué la responsabilité de la coopération franco-allemande, qui ne fonctionne que modérément, à la chancelière Angela Merkel et à son gouvernement. Déjà depuis l'automne 2018, la chancelière Merkel a été critiquée pour ne pas avoir répondu aux propositions et appels contenus dans le discours sur l'Europe de Macron. Le président français alimente aussi publiquement cette critique depuis l'été 2019 : par exemple, lorsqu'il exige des "réponses claires" de l'Allemagne et de la France aux problèmes actuels de l'Europe, ou lorsqu'il se plaint que la marque des relations franco-allemandes est "une histoire d'attente de réponses." Le fait que les relations franco-allemandes sont actuellement plutôt difficiles peut être déduit des avertissements de Macron selon lesquels l'échec des relations entre les deux pays serait une "erreur historique". S'il y a eu des succès communs, notamment l'"Initiative franco-allemande pour la relance économique de l'Europe après la crise de Corona", les efforts pour tracer une voie commune sur les questions d'avenir que sont le climat, l'environnement, la numérisation et la conclusion de l'accord d'investissement UE-Chine, ils sont trop souvent suivis d'échanges houleux. En novembre 2020, par exemple, la ministre allemande de la défense, Annegret Kramp-Karrenbauer, et le président français se sont contredits sans ambages sur la question du besoin d'"autonomie stratégique" de l'Europe. La France fait cavalier seul L'absence de réponses de l'Allemagne n'est pas la seule cause des tensions entre Berlin et Paris. Au contraire, sous la présidence d'Emmanuel Macron, la France a pris une série de décisions de politique étrangère et de sécurité qui ont surpris et parfois même irrité Berlin : Parfois, l'Allemagne n'aurait pas été informée, parfois aucun compromis n'a pu être trouvé parce que les actions de la France allaient à l'encontre de la politique allemande, et d'autres fois, enfin, Paris semble avoir délibérément choisi une voie perturbatrice. Par ordre chronologique, cela concerne : ∎ Libye : En juillet 2017, le président Macron a rencontré le général renégat Haftar, lui donnant ainsi un espoir international. Au lieu de persuader Haftar de trouver un compromis avec le gouvernement d'union internationalement reconnu à Tripoli, la ligne française a fini par l'encourager à attaquer Tripoli en avril 2019, déclenchant ainsi une nouvelle guerre civile. ∎ Politique de sécurité et de défense commune de l'UE (PSDC) : en juillet 2017, Berlin et Paris ont réalisé une percée en établissant une coopération structurée permanente. En septembre 2017, le président Macron a semblé s'écarter de ce consensus lorsqu'il a proposé de créer une initiative européenne d'intervention. Depuis novembre 2018, ce projet est poursuivi en dehors du cadre de l'UE. Le conflit franco-allemand sur la capacité d'action stratégique de l'Europe a repris en novembre 2020. ∎ Union économique et monétaire (UEM)/zone euro : à partir de l'été 2019, Macron a aiguisé le ton vis-à-vis de la position de l'Allemagne dans la zone euro. À plusieurs reprises, il a appelé à un abandon des règles fiscales européennes. Il a déclaré que le plafond de la dette, fixé à 3 % du budget national, était "un débat d'un autre siècle". Décrivant le rôle de l'Allemagne dans la zone euro, il a déclaré : "Ils [les Allemands] sont les grands gagnants de la zone euro et même de ses dysfonctionnements." Il a ajouté que "l'appareil allemand" doit se rendre compte que cette situation est "insoutenable". ∎ Russie : en août 2019, le président Macron a demandé aux ambassadeurs de son pays de repenser les relations de la France avec la Russie. L'éloignement actuel de Moscou est une erreur stratégique, a-t-il déclaré. Dans un environnement international modifié, l'Europe ne peut se permettre une relation conflictuelle avec la Russie. Au contraire, l'UE doit s'ouvrir à son voisin, la Russie, en tant qu'alternative stratégique à la Chine. ∎ Otan : la réorientation de la politique russe de la France a pesé (et pèse) d'autant plus lourd qu'Emmanuel Macron a déclaré l'Otan en "mort cérébrale" en novembre 2019. Il a critiqué les membres de l'OTAN, les États-Unis et la Turquie, pour avoir agi en Syrie sans consulter au préalable leurs partenaires, alors que leurs intérêts étaient également en jeu. Quelques jours auparavant, M. Macron avait déjà snobé une fois ses partenaires de l'OTAN : en adressant une lettre au président russe Vladimir Poutine. Il y proposait à M. Poutine de prendre en considération la proposition russe de moratoire sur le déploiement de missiles nucléaires à courte et moyenne portée, bien que l'OTAN ne l'ait pas jugée crédible. Le contexte de cette lettre était l'expiration du traité interdisant les missiles à portée intermédiaire basés à terre (traité FNI) en août 2019, et la Russie devrait désormais être associée aux réflexions sur une nouvelle architecture de sécurité européenne. ∎ Turquie : à l'été 2020, la France prend parti en Méditerranée orientale et mène des manœuvres militaires conjointes avec la Grèce et Chypre. M. Macron appelle ses partenaires de l'UE à "traiter de manière claire et décisive" avec le gouvernement du président Erdoğan, dont le comportement est aujourd'hui inacceptable. Il refusera de donner son accord au projet d'union douanière entre l'UE et la Turquie. -
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.swp-berlin.org/publikation/frankreichs-aussen-und-sicherheitspolitik-unter-praesident-macron/ La politique étrangère et de sécurité de la France sous le président Macron : conséquences pour la coopération franco-allemande Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) ∎ Le président français Emmanuel Macron s'est fixé pour objectif de redynamiser les relations franco-allemandes et d'établir un "nouveau partenariat" entre Paris et Berlin. Dans le domaine de la politique étrangère et de sécurité, ainsi que dans certaines parties de la politique européenne, cette affirmation a toutefois rarement été satisfaite. ∎ La raison principale en est les changements structurels dans les relations internationales, auxquels la France et l'Allemagne réagissent différemment : Paris cherche de nouveaux moyens de maintenir sa capacité d'action en matière de politique de défense et de combler le vide stratégique créé par le déclin de l'intérêt des États-Unis pour l'Europe et sa périphérie. Berlin se concentre sur la poursuite du développement de l'OTAN et de l'UE en tant qu'organisations fondamentales de la politique étrangère allemande. ∎ En outre, les gesticulations nationales, le désintérêt et un échange d'expériences insuffisant rendent difficile l'équilibre des intérêts bilatéraux. ∎ Une nouvelle intensité de la coopération bilatérale présuppose, tout d'abord, que Paris et Berlin adoptent une vision globale de la situation internationale dans leurs formats de coopération existants en matière de politique étrangère et de sécurité. Ils doivent discuter ouvertement de leurs préoccupations et intérêts respectifs et en tirer des mesures concrètes. ∎ Deuxièmement, ils doivent accepter de ne pas faire cavalier seul au niveau national et ne tolérer aucun désintérêt pour les points de pression de leurs partenaires en matière de politique étrangère, de sécurité et de politique européenne. L'Assemblée parlementaire franco-allemande devrait inciter les exécutifs des deux pays à respecter le Traité de l'Élysée ainsi que le Traité d'Aix-la-Chapelle. ∎ Telles sont les conclusions des six études de cas sur la Libye, la politique de sécurité et de défense commune, l'Union économique et monétaire, la Russie, l'OTAN et la Turquie. Problématique et recommandations La politique étrangère et de sécurité de la France sous le président Macron. Conséquences pour la coopération franco-allemande Le président français Emmanuel Macron s'est fixé pour objectif de revitaliser les relations franco-allemandes et d'établir un "nouveau partenariat" entre Paris et Berlin. Via le traité d'Aix-la-Chapelle, les deux parties se sont engagées en 2019 à approfondir leur coopération en matière de politique étrangère, de sécurité et européenne. Quatre ans après l'investiture de Macron et deux ans après la conclusion du traité d'Aix-la-Chapelle, force est de constater que cet engagement n'a guère été tenu en matière de politique étrangère et de sécurité ou dans certaines parties de la politique européenne. Des deux côtés du Rhin, la réticence du gouvernement allemand en est la première responsable : il a trop souvent laissé les propositions du président français sans réponse. Berlin, pour sa part, se plaint d'une série de politiques étrangères, sécuritaires et européennes unilatérales de Macron et de son style politique parfois dérangeant. Cette étude collective, en revanche, voit la raison la plus importante du fait que la coopération franco-allemande ne s'est guère développée dans une interprétation et une pondération différentes des changements structurels dans les relations internationales. Il analyse six dossiers dans lesquels l'Allemagne a manifesté son irritation à l'égard des politiques de son partenaire pendant la présidence de Macron : la position de la France en Libye, la réorientation de sa politique russe, sa relation conflictuelle avec la Turquie, sa critique de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), la remise en cause des propositions franco-allemandes pour la poursuite du développement de la politique de sécurité et de défense commune (PSDC) de l'Union européenne (UE), et la critique flagrante des politiques allemandes dans l'Union économique et monétaire (UEM). Les conclusions de l'étude sont les suivantes : Le président Macron a fait respecter les hypothèses de base de la politique française de sécurité et de défense depuis 2017. Paris y reconnaît que les États-Unis poursuivent leur retrait d'Europe à un moment où la capacité d'action de la France est limitée. La France reste seule capable de façonner la politique européenne dans et par la politique européenne. L'Europe, par laquelle Macron n'entend pas nécessairement l'UE, doit être mise en mesure de décider de son propre sort de manière indépendante. Sinon, elle deviendrait la "monnaie d'échange" des grandes puissances que sont les États-Unis et la Chine. Cette vision modifiée des relations internationales et sa propre marge de manœuvre ont conduit le président en 2019 à réorienter les relations de la France avec la Russie. Macron a déclaré que l'OTAN était politiquement "en état de mort cérébrale" car, à ses yeux, elle était incapable de s'exprimer sur les questions clés de la sécurité européenne. L'incapacité à agir de manière rapide et décisive parmi les 27 États membres de l'UE a incité Macron, en septembre 2017, à privilégier les formats flexibles et axés sur les objectifs plutôt que l'expansion de la PSDC. En particulier, la forte sollicitation de ses forces armées contraint la France à des partenariats à vocation opérationnelle. Alors que Paris accorde une grande priorité aux changements structurels dans les relations internationales et subit une forte pression pour s'adapter, la priorité de Berlin est de continuer à développer l'OTAN et l'UE en tant qu'organisations fondamentales de la politique étrangère et de sécurité allemande. Un équilibre des intérêts franco-allemands est donc de plus en plus difficile à atteindre. En matière de politique turque, il est évident qu'Emmanuel Macron réagit aux changements géopolitiques, tout en s'efforçant de restaurer la grandeur et le standing de son pays. Un vide géostratégique a été créé par le retrait des États-Unis d'Europe et du Moyen-Orient et le désintérêt des États européens. Macron souligne que les puissances régionales savent comment utiliser cette situation à leur avantage. Ainsi, la France s'oppose vigoureusement à la politique étrangère de la Turquie depuis l'été 2020. Dans le même temps, Paris défend sa propre revendication de suprématie au Moyen-Orient et en Afrique (du Nord) contre Ankara. Chaque fois que les présidents français ont un sens aigu de la mission, cela va de pair avec des solos nationaux en matière de politique étrangère et européenne. La France met alors également en œuvre l'intérêt national de manière excessive. La politique libyenne de la France sous Emmanuel Macron, par exemple, est considérablement influencée par les relations privilégiées du pays avec les Émirats arabes unis (EAU), avec lesquels Paris entretient une coopération intensive en matière d'armement. L'exemple de l'UEM montre toutefois clairement que même un président ayant un sens aigu de la mission est soumis à des dépendances de parcours dans certains domaines. Lorsqu'il s'agit de poursuivre le développement de l'UEM, le modèle économique français impose des limites étroites à Macron. Parce qu'elles sont exacerbées par la pandémie mondiale de Corona, les tensions entre Berlin et Paris sur l'expansion de l'UEM vont se poursuivre. Enfin, le président français est peu enclin à intégrer dans sa politique les leçons tirées des relations de Berlin avec la Russie ou la Turquie, par exemple, au cours des dernières années, ce qui nuit à un nouveau partenariat franco-allemand. La politique française de 2019 à l'égard de la Russie ressemble à celle de l'Allemagne avant 2014, alors que Macron se heurte à plusieurs reprises aux politiques allemandes qui montrent peu d'intérêt pour les dossiers clés français, la Libye par exemple. Berlin doit se demander si une influence plus forte de la France aurait empêché ou contenu la guerre civile en Libye qui a éclaté en 2019. Une nouvelle intensité de la coopération bilatérale en matière de politique étrangère, de sécurité et de politique européenne peut être atteinte à deux conditions : 1) Paris et Berlin doivent adopter une vision globale du mix international, tant lors des réunions du Conseil franco-allemand de défense et de sécurité (DFVSR) que dans les organes créés pour mettre en œuvre le traité d'Aix-la-Chapelle. Ils doivent être ouverts sur leurs préoccupations et leurs intérêts respectifs. Pour s'y préparer, les deux parties pourraient utiliser les informations de politique étrangère et de sécurité fournies par la capacité unique d'analyse du renseignement (SIAC) de l'UE. Un agenda élaboré conjointement devrait indiquer clairement comment la France et l'Allemagne entendent contribuer à la résolution des crises et des conflits. De cette manière, le DFVSR pourrait ouvrir la voie à un Conseil européen de sécurité. 2) Il faut faire preuve de courage et se mettre d'accord sur la manière de mieux évaluer le degré d'indifférence ou de désintérêt des pays à l'égard des points de pression de la politique étrangère, de sécurité et européenne du partenaire. L'Assemblée parlementaire franco-allemande s'est donné pour mission de contrôler l'application des dispositions du Traité de l'Élysée et du Traité d'Aix-la-Chapelle. En conséquence, elle pourrait admonester publiquement les dirigeants des deux pays pour qu'ils se conforment au traité. -
Prochain client du Rafale ... réponse EAU
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
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Prochain client du Rafale ... réponse EAU
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Sur ce sujet il y a quelques légendes urbaines que j'ai moi même propagées....mais je viens de recevoir une mise au point que j'estime sérieuse: Non, il n'y a jamais eu de RBE2 à module US. La différence entre les protos AA et la série AESA n'a porté que sur l'industrialisation. La portée "encore améliorée" vient juste d'une confirmation "statistique" en utilisation par les Forces. Oui, il y a eu un vrai bras de fer entre les EAU et les Forces françaises, ces derniers espérant bénéficier du financement par les EAU de certaines améliorations dont l'absence était considérée comme indécente pour la France par les EAU. Non, ce débat n'a pas joué dans le report final car un consensus avait été trouvé. Oui, par contre, le problème des Mirage 2000-9 est resté bloquant à cause du prix de reprise jugé exorbitant. Pourtant, il n'a manqué que d'un peu de temps. En effet, les EAU disposent de peu d'équipes de négo qui, à l'issue de chaque créneau alloué, doivent commuter sur autre chose. En plus, du temps avait été gâché à cause d'une parole malheureuse de Longuet, d'un refus de Thales pour appliquer une clause (juridique ?) pourtant appliquée sur un autre contrat. Les négo étaient reparties suite à un voyage d'Edelstenne pour demander pardon, mais trop tard. -
Prochain client du Rafale ... réponse EAU
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Pour la Croatie les priorités ont changées depuis le tremblement de terre. -
Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
UK details Eurofighter pitch for Finland, with ‘no financial surprises’ Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Le Royaume-Uni détaille l'offre d'Eurofighter à la Finlande, sans surprise financière. Par Craig Hoyle31 mars 2021 La proposition britannique de Typhoon en cours de préparation pour le concours HX de la Finlande promet d'ajouter le pays au consortium industriel Eurofighter, tout en offrant l'assemblage final, la production de moteurs et le contrôle souverain des données de mission dans le pays. S'exprimant lors d'un point de presse le 31 mars présentant les points clés de la campagne, le ministre britannique des acquisitions de défense, Jeremy Quin, a déclaré que le groupe Eurofighter composé de quatre pays avait discuté de l'inclusion potentielle d'Helsinki lors d'une réunion au début du mois. Le Royaume-Uni est à la tête de l'offre de Typhoon du consortium Eurofighter à Helsinki. "Mes homologues d'Allemagne, d'Italie et d'Espagne aimeraient que vous soyez également à bord ", déclare M. Quin. "Nous avons discuté de la perspective que la Finlande nous rejoigne bientôt et de la manière de garantir que la Finlande participe à la prise de décision au sein du partenariat. "Nous avons discuté de la perspective que la Finlande nous rejoigne bientôt, et de la manière de garantir que la Finlande participe à la prise de décision dans le cadre du partenariat. Andrea Thompson, directeur général de BAE Systems pour l'Europe et l'international, explique que la proposition d'Eurofighter comprend plus de 70 lots de travaux, qui seraient établis avec plus de 100 entreprises finlandaises. L'assemblage final sera également proposé lorsque le Royaume-Uni donnera sa réponse à la demande de meilleures offres finales d'Helsinki, qui doit être soumise le 30 avril. Alex Zino, directeur du développement commercial et des programmes futurs de Rolls-Royce et président du consortium des moteurs Eurojet, affirme que ce dernier transférera à l'industrie finlandaise la majorité des travaux de production des turbofans EJ200 destinés aux avions du pays. Incluant également les services de soutien en service, un tel arrangement se traduirait par 1,5 million d'heures de travail sur une période de 40 ans, "et contribuerait à assurer la sécurité de l'approvisionnement", ajoute-t-il. "Dans le cadre de notre offre, le personnel de la défense finlandaise et les partenaires industriels stratégiques recevront les capacités et les compétences souveraines ainsi que les connaissances opérationnelles sur le moteur afin de diriger toutes les activités, où Eurojet deviendra un fournisseur de la Finlande", précise M. Zino. La Finlande est le premier client potentiel de l'Eurofighter en dehors des nations principales à se voir proposer un tel travail, note-t-il. Toujours dans le cadre de cette proposition, Helsinki s'est vu proposer en novembre dernier de participer au programme de radar ECRS 2 à balayage électronique actif (AESA), dirigé par Leonardo UK, en cas de sélection du Typhoon. En septembre dernier, le ministère britannique de la défense a passé un contrat initial de 317 millions de livres (437 millions de dollars) pour achever les travaux de développement, effectuer des tests et produire le capteur actualisé pour une partie de la flotte de la RAF. "La Finlande obtient ce que la Royal Air Force obtient", déclare le chef d'état-major de l'armée de l'air, le maréchal en chef Sir Mike Wigston, en référence au produit AESA, qui sera également doté de fonctionnalités de guerre électronique. "La Finlande aura un contrôle souverain complet des données de mission de l'Eurofighter, de leur gestion et de leur manipulation", ajoute-t-il. M. Wigston souligne également le pedigree opérationnel éprouvé du Typhoon, la maturité des accords de soutien et la clarté de la voie de développement future. "Si la Finlande choisit Eurofighter, elle recevra un avion très fiable, très performant et éprouvé au combat, sans mauvaise surprise financière au coin de la rue", ajoute-t-il. Les autres candidats pour les besoins de l'HX sont les Boeing F/A-18E/F Super Hornet et EA-18G Growler, le Dassault Rafale, le Lockheed Martin F-35A et les avions de surveillance Saab Gripen E/F et GlobalEye. Helsinki est à la recherche d'une nouvelle plate-forme pour remplacer ses F/A-18C/D à partir de 2025, la décision de sélection étant attendue plus tard dans l'année.- 4 692 réponses
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(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
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C'est pour ça qu'on est obligé de toujours mettre MTU en coopération pour les moteurs....sinon ils prendraient l'avion sans le moteur.
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Why Manohar Parrikar’s biggest contribution to Defence Ministry was breaking Rafale logjam
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Prochain client du Rafale ... réponse EAU
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Le Qatar? -
Voila comment les Indiens interprète ça:
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Prochain client du Rafale ... réponse EAU
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Je crois qu'on a mis 1 milliard pour F3R et en plus 1.7 Milliards pour F4 sans compter 1.7 Milliards pour les ISE Indiens. Et je pense qu'il y a des trucs utiles financés par le Qatar aussi ainsi que la des-itarisation du SCALP pour l'Egypte -
Et tu veux que je réponde à ça?
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As India Awaits More Rafales, Chinese Experts Say ‘Cannot Match’ Heavy-Weight J-20 Jets Alors que l'Inde attend de nouveaux Rafale, les experts chinois affirment qu'ils ne peuvent pas rivaliser avec les lourds jets J-20 POLITIQUE MONDIALE ParMansij Asthana 30 mars 2021 Alors que l'Inde se prépare à l'arrivée de trois avions de combat Dassault Rafale supplémentaires en provenance de France mercredi 31 mars, des experts chinois ont affirmé que les chasseurs français ne pouvaient pas être mis sur un piédestal similaire à celui des chasseurs Chengdu J-20. Dans ce qui sera un grand coup de pouce pour l'armée de l'air indienne, un lot de trois Rafale va atterrir en Inde après avoir décollé de France. Selon le Hindustan Times, les trois jets quitteront la base aérienne de Mérignac à Bordeaux à 7 heures (GMT 0130) et atterriront dans l'État indien du Gujarat à 7 heures (GMT 0130). Avion de chasse Rafale Les Émirats arabes unis (EAU) assureront le ravitaillement en vol des avions de combat pendant leur voyage vers l'Inde. Selon les rapports, la nation arabe utilisera des avions-citernes multirôles Airbus 330 pour effectuer le ravitaillement en vol au-dessus du golfe d'Oman. Après leur atterrissage, les avions à réaction seront transportés à Ambala, où ils rejoindront l'escadron Golden Arrows de l'IAF. L'escadron, qui possède déjà environ 11 avions de combat Rafale, portera ses effectifs à 14 unités une fois que les avions de combat auront rejoint le groupe. Quelques avions Rafale supplémentaires devraient arriver en Inde en avril dans le cadre du contrat de 59 000 millions de roupies pour 36 Rafale. Des sources gouvernementales indiennes de haut niveau ont déclaré à l'ANI que l'arrivée de nouveaux avions de combat renforcerait la capacité de l'IAF à mener à bien ses missions. "Trois Rafale arriveront en Inde dans les deux ou trois prochains jours, en provenance directe de France, avec un ravitaillement en vol assuré par une force aérienne amie. "Ensuite, nous recevrons 7 à 8 autres de ces chasseurs et leur version d'entraînement dans la seconde moitié du mois prochain. Cela renforcerait considérablement notre capacité à mener à bien nos missions", ont ajouté les sources. Les chasseurs bimoteurs français peuvent se targuer d'être capables d'accomplir diverses missions, notamment l'attaque au sol et en mer, la défense et la supériorité aériennes, la reconnaissance et la dissuasion par frappe nucléaire. Transportant des missiles air-air Meteor de longue portée, les Rafale donneraient à l'IAF un avantage stratégique sur ses rivaux pakistanais et surtout chinois, qui possèdent le chasseur furtif J-20. Rencontre avec le J-20 Le J-20 de cinquième génération a souvent été comparé au Rafale de quatrième et cinquième génération, ce qui laisse entrevoir la possibilité d'une rencontre entre l'Inde et l'avion de combat le plus avancé de Chine. Cependant, un expert chinois écrivant pour Sina affirme qu'il n'y a pas de comparaison possible entre les Rafale et les J-20, car les chasseurs chinois sont bien supérieurs. "L'affirmation selon laquelle le Rafale est capable de rivaliser sur un pied d'égalité avec les chasseurs J-20 est sujette à critique. Il s'agit d'avions appartenant à des "catégories de poids" complètement différentes. Si le J-20 est classé comme un chasseur lourd, alors le Rafale ne dépasse guère les chasseurs légers", a affirmé l'expert.
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Oui mais il a aussi une plus petite antenne ! presque aussi petite que celle du Rafale.
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Je ne comprend pas bien la question (peut être parce que programme a un sens ambigu dans le contexte?)
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En croisière pour avoir une grande autonomie il vaut mieux un fort taux de dilution, c'est comme ça qu'on a réduit la consommation des avions du transport aérien. Et l'autonomie est aussi une qualité militaire, c'est pour ça que tout est compromis.
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Ben ça prouve rien: si tu utilises les capacités réservées au combat, c'est normal que tu ais un avantage sur ceux qui ne les utilisent pas. Tu apaise ton égo mais tu enrichis la bibliothèques de tes adversaires d'exercice, et la prochaine fois tu perdras.
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scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
Il n'est pas fou, il obéi à son donneur d'ordres..... tant que c'est possible. -
scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
Tout ça est vrai, mais Dassault a les reins assez solides pour pouvoir s'en passer (comme beaucoup d'autre). -
Il a les versions béta avant les autres, et il a des développements qui ne sont pas à vendre, comme combiner l'aérodynamisme avec la furtivité.
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scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
Sauf que Dassault n'est pas dépendant de l'état: le militaire représente 30% de son chiffre d'affaire et le bénéfice du militaire est quasi nul par construction, par contre il n'y a pas de risque. Mais Dassault accepte de faire du militaire par "patriotisme", si il s'en passait il pourrait affecter au civil des ressources rares qui seraient mieux exploitées. Et en plus Dassault aviation ne représente qu'un tiers de la holding qui comprend aussi Dassault système valorisée autant que Dassault aviation et la participation de 25% dans Thales, sans compter le paquet d'actions de la famille qui est en général investis dans des sociétés aéronautiques américaines. Alors je t'assure que si ils veulent dire merde à l'état ils peuvent. Après il suffit d'attendre les prochaines élections. -
scaf [SCAF] "politique ": imbroglio des coopérations, des participants...
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Europe
Oui mais Dassault c'est une boite privée et qui s'est toujours battu pour rester privée malgré les multiples tentatives pour la nationaliser, et tu sais pourquoi? Pour pouvoir envoyer chier tout le monde au cas où on voudrait lui imposer quelque chose qui ne lui conviendrait pas. Donc l'angle Dassault est important, très important. Et n'oublie pas que c'est mon stagiaire qui dirige Dassault maintenant, alors il risque d'avoir les mêmes réactions que moi. -
Le problème c'est que la courbe "Défauts de qualité" du F-35, elle ne doit pas ressembler à la courbe théorique.
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Non leur spécifs prévoyaient la possibilité d'une augmentation de 15% de la poussée, si ils obtiennent la poussée initiale avec 0.4 de taux de dilution il obtiendront plus facilement les 15 % de plus en passant à 0.3 avec le même flux d'air total. Comme cela il n'y a pas besoin de re dessiner les entrées d'air, tu fais rentrer dans la turbo machine une proportion plus grande de l'air qui rentre et le flux dérivé est plus petit.