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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. C'est l'hypothèse que j'ai faite
  2. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Un jaguar biplace s'est écrasé, un pilote mort.
  3. Peut être parce que l'état a demandé à Dassault d'accélérer les livraisons? Ce serait le début de l'accélération.
  4. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Pour l'envergure j'ai une explication qui résulte de la vente des Rafale M à l'Inde: 10,9 c'est avec les missiles et 10,2 c'est sans. Et en plus si on enlève les lance missile on passe à environ 9,6 ce qui permet d'utiliser les ascenseurs des porte avions Indien et ce qui explique que le Rafale a pu être sélectionné.
  5. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Oui, normalement les Scorpène devaient être annoncés avant le 31 Mars c'est à dire avant la fin de l'année fiscale et les 26 Rafale le 11 Avril (signature avec Lecornu qui se déplace en Inde) car la limite de l'année fiscale n'a pas d'importance pour les contrats de gouvernement à gouvernement. Or je n'ai pas entendu dire que les Scorpène ont été signés....
  6. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    The air chief marshal’s warnings about the crisis in the IAF can no longer be ignored Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Les avertissements du maréchal de l'air sur la crise de l'IAF ne peuvent plus être ignorés Il n'est pas facile pour un chef militaire d'exposer publiquement ses griefs, en particulier sous le régime de Modi. Le fait que le maréchal-chef AP Singh l'ait fait récemment souligne la gravité de la crise au sein de l'armée de l'air indienne. Il a prévenu que l'IAF luttait pour maintenir son avantage opérationnel, ce qui rendait impératif d'accélérer les acquisitions et de combler le manque d'équipement. Le gouvernement Modi a récemment formé un comité, présidé par le secrétaire à la défense, qui a déjà soumis un rapport classé « secret ». Cette classification indique que la crise est si grave qu'elle doit être cachée au public. La commission a fait son travail. Les dirigeants politiques doivent maintenant agir. En 2011, l'IAF a proposé au ministère de la défense d'augmenter ses effectifs d'avions de combat de 39,5 à 45 escadrons de combat. Cette proposition était justifiée par le fait que l'Inde devait se préparer à une guerre sur deux fronts - une menace collusoire de la Chine et du Pakistan. Le gouvernement de Manmohan Singh, qui a levé des forces supplémentaires et construit des infrastructures frontalières le long de la Chine, a approuvé 42,5 escadrons. L'Inde en compte actuellement 31, et le taux d'introduction de nouveaux avions de combat a été très faible au cours de la dernière décennie. Il n'est pas non plus prévu de procéder à des achats à l'étranger sur étagère. En 2016, l'analyste de la défense Ashley Tellis a estimé que l'IAF avait besoin d'au moins soixante escadrons. La Chine a progressé à un rythme étonnant, et ce n'est pas seulement une question de chiffres. Avec la présentation officieuse de deux prototypes d'avions de combat furtifs de sixième génération en décembre, la Chine a pris une longueur d'avance sur les États-Unis. Leur désignation officielle reste inconnue, mais les analystes les ont baptisés J-36 et J-50. Lors du symposium annuel de l'Air & Space Forces Association's Warfare Symposium, qui s'est tenu au Colorado au début du mois, les hauts responsables de l'armée de l'air américaine ont insisté sur l'urgence de développer leur propre version. « Nous devons faire des choix en observant ce que la Chine a produit, et nous pouvons supposer que nous savons à quoi cela sert - pour la supériorité aérienne », a déclaré le général Kenneth Wilsbach, qui dirige le commandement de combat aérien de l'USAF. « Qu'allons-nous faire à ce sujet ? Je ne crois pas que l'inaction soit une option. ..... https://caravanmagazine.in/security/air-chief-marshal-warning
  7. Si on augmente la cadence de livraison des Rafale à la France, on pourrait leur louer pour quelques années des Rafale d'occasion pour qu'ils puissent se préparer avant de recevoir des Rafale neufs. Ce serait l'équivalent d'un OPEX.
  8. Avions de combat : des hauts gradés veulent remplacer le F-35 par le Rafale ! https://www.bluewin.ch/fr/infos/suisse/avions-de-combat-des-hauts-grades-veulent-remplacer-le-f-35-par-le-rafale--2625580.html
  9. Cela semble être une bonne année, et 2025 sera sans doute encore mieux!
  10. Non il faut quand même qu'on comble des lacunes, mais si on se mobilise c'est possible.
  11. https://www.france24.com/fr/amériques/20250330-furieux-contre-poutine-menace-de-bombardements-sur-l-iran-ce-que-trump-a-dit-à-la-chaîne-nbc
  12. Poutine ne peut pas accepter un "deal" où il ressort affaibli, et Trump, en jouant à l'arbitre, risque de voir son initiative se heurter à la réalité du terrain. Le plan franco-britannique, qui consiste à pousser Zelensky à feindre la soumission aux demandes de trêve tout en préparant une montée en puissance alternative à l’aide américaine, complique la stratégie de Trump. Car si l'Ukraine se renforce progressivement sans dépendre de Washington, le levier de pression de Trump sur Zelensky diminue. Et si, comme on peut s'y attendre, Poutine rejette ou sabote l'accord proposé, Trump devra reconnaître publiquement que la Russie est responsable de l’échec. Ce qui l'obligera à réagir, probablement en durcissant les sanctions… alors qu'il aurait préféré un deal rapide et "gagnant" pour lui.
  13. Ukraine: Trump se dit "très énervé" contre Poutine et menace d'imposer de nouvelles taxes sur le pétrole russe Dans une interview accordée à NBC, le président américain a également menacé d'imposer de nouvelles taxes sur le pétrole russe, dimanche 30 mars. Le président américain Donald Trump s'est dit "très énervé" et "furieux" contre son homologue russe Vladimir Poutine pour avoir remis en question la crédibilité de Volodymyr Zelensky, dimanche 30 mars au détour d'une interview accordée au média NBC. Il entend en discuter avec lui dans les prochains jours. Vendredi, le président russe a suggéré la mise en place d’un gouvernement de transition à Kiev, ce qui pourrait évincer le dirigeant ukrainien. Une attitude pas du goût du locataire de la Maison Blanche, qui menace d'imposer de nouvelles taxes sur le pétrole russe. , a averti Donald Trump. "Il y aura des droits de douane de 25 % sur le pétrole et d'autres produits vendus aux États-Unis, des droits de douane secondaires", a-t-il précisé, ajoutant que les droits de douane sur la Russie interviendraient d'ici un mois sans accord de cessez-le-feu selon le média américain. "La colère se dissipe rapidement..." Donald Trump a déclaré que le président russe le savait en colère, ce qui ne leur empêche pas d'entretenir "de très bonnes relations". "La colère se dissipe rapidement… s'il agit comme il se doit", a assuré le chef de l'État américain. Ce dernier a fait de la fin de la guerre un objectif prioritaire. Washington, qui veut obtenir à tout prix un cessez-le-feu en Ukraine, a effectué un rapprochement spectaculaire avec Moscou ces dernières semaines, faisant craindre aux Ukrainiens et aux Européens un accord sur leur dos. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a estimé ce samedi que la Russie n'avait pas apporté de réponse adéquate aux initiatives américaines, faute de "réelle pression" exercée sur elle. Kiev avait de son côté accepté une cessation sans conditions des combats, pour 30 jours, rejetée depuis par Moscou. La Russie a accepté uniquement un moratoire sur les sites énergétiques, bien plus limité mais Moscou et Kiev s'accusent mutuellement de le violer.
  14. La façade russe est trompeuse, mais les indices de leur essoufflement s’accumulent. Manque de matériel moderne : La Russie envoie de plus en plus de T-55 et T-62, et même les T-80 modernisés sont des châssis anciens. Les missiles hypersoniques Kinzhal sont rares, et la production de chars ne compense pas les pertes. L’armée russe repose maintenant sur des prisonniers, des contractuels sous-payés et des mercenaires étrangers (Nord-Coréens, Syriens…). Une mobilisation générale serait un suicide politique pour Poutine. Malgré la propagande, la Russie a dû restructurer son économie en mode "guerre", ce qui la prive de croissance et accroît sa dépendance à la Chine et à la Corée du Nord. Ils tirent encore beaucoup, mais en piochant dans des stocks des années 70-80. Même la Russie a des limites. L'Ukraine, de son côté, devient plus robuste : montée en puissance de la production de drones et d’artillerie, nouvelles alliances (ICEYE, radars français, obus allemands), et elle s’adapte mieux que la Russie à la guerre longue. Si la Russie ne gagne pas rapidement, elle risque une crise interne. Poutine ne peut pas indéfiniment compenser ses pertes avec des Nord-Coréens ou du vieux matériel soviétique.
  15. Oui cela recoupe mon post: https://forum.air-defense.net/topic/11243-usa/?do=findComment&comment=1796624
  16. Moi j'ai volé dedans quand j'ai fait un stage d'acoustique à Nîmes...
  17. Anglet : l'usine Dassault en première ligne face au défi du réarmement embauche à tour de bras
  18. Un aperçu des simplifications des EPR2 par rapport aux EPR: L'EPR2 nécessite 250 types de tuyaux au lieu de 400 pour l'EPR, 571 vannes au lieu de 13 300 vannes pour l'EPR, et 100 types de portes au lieu de 300 dans l'EPR. L'EPR2 utilise également davantage de composants préfabriqués et les bâtiments électriques peuvent être entièrement préfabriqués. Le quatrième système de refroidissement d'urgence/de sécurité du réacteur est supprimé, ce qui signifie que la maintenance ne peut être effectuée que lorsque la centrale est à l'arrêt. Ce train avait été ajouté à la demande des électriciens allemands lors de la conception initiale de l'EPR afin de permettre une maintenance sur le circuit électrique. Il a une puissance nette de 1670 MWe.
  19. Une offre d'emploi Ingénieur Certification RAFALE F/H Qui permet de comprendre un peu l'un des aspects du travail d'un avionneur.
  20. Non ce n'est pas du court/moyen terme, il faut du temps pour monter en cadence, on livrera à cadence 3 l'année prochaine et à cadence 4 en 2028 donc la cadence 5 si elle avait lieu serait en 2030 et serait fonction des nouveaux contrats engrangés d'ici 2027.
  21. Le FMI pointe un risque paradoxal de choc de liquidité en dollars Avant même la réduction du bilan de la Fed, une conjonction d’incertitudes et de contraintes augmente les risques. La Réserve fédérale (Fed) a commencé à resserrer ses conditions financières depuis six mois, mais avec une réduction de bilan (quantitative tightening, QT) peu avancée, synonyme de faibles retraits de liquidités. Dès lors, l’avertissement signifié mardi par le Fonds monétaire international (FMI) dans son rapport de stabilité financière sur un possible choc de liquidités sur les marchés internationaux du financement à court terme en dollars peut paraître paradoxal. Mais il a toute sa logique. L’institution, qui pointe des écarts de prix accrus («bid-ask») sur les bons du Trésor américains alors que les besoins de financement nets des Etats-Unis vont augmenter sensiblement en 2023, s’appuie sur la forte augmentation de la volatilité sur ce marché. Inquiétudes autour du QT «Attention, il faut distinguer la liquidité centrale, constituée des réserves bancaires auprès de la Fed, suffisamment ample pour l’heure pour ne pas craindre une crise monétaire comme en 2019, et la liquidité sur les marchés des US Treasuries», rappelle Céline Choulet, économiste bancaire chez BNP Paribas. D’un côté, le marché monétaire nord-américain croule sous les liquidités, comme en témoignent les opérations de «mise en pension» inversée au jour le jour (reverse repo, RRP O/N) de la Fed : les fonds monétaires y déposent plus de 2.200 milliards de dollars chaque nuit (rémunérés à 3,05%) faute de pouvoir investir davantage en T-Bills ou autres placements plus rémunérateurs. Et il faudra du temps pour que la réduction du bilan de la Fed (encore à 8.759 milliards) n’affecte les réserves bancaires et les marchés. D’un autre côté, le contexte d’incertitude économique actuel peut limiter la participation d’un certain nombre d’acteurs sur le marché des titres du Trésor. «La forte appréciation du dollar rend la couverture contre le risque de change prohibitive, et réduit l’attrait des investisseurs non-résidents pour les US Treasuries, ajoute Céline Choulet. Par ailleurs, la grande volatilité des cours des US Treasuries n’incite pas certains investisseurs comme les hedge funds à se positionner.» Inquiet des risques autour du QT, le FMI évoque aussi un désengagement de certaines banques centrales étrangères, et un changement du profil des investisseurs, avec des ETF (exchange traded funds) plus importants mais trop peu réactifs face à une volatilité accrue, et du trading haut fréquence (HFT) qui se retire plus vite de l’intermédiation dans ces périodes. Entre l’intérêt pour le billet vert d’investisseurs non-résidents non couverts - par exemple pour acheter des matières premières dont les prix ont explosé - et une moindre disponibilité des T-Bills en attendant un QT plus avancé, le coût du financement international à court terme en dollars a de nouveau augmenté - un peu comme en mars 2020 dans un contexte pourtant différent -, ajoute le FMI, en prenant comme référence les cross currency swap à 3 mois, qui subissent probablement des effets saisonniers liés à la fin d’année. «Primary dealers» et demande de dollars «offshore» Enfin, les contraintes prudentielles post-2008 imposées aux banques restent au cœur du problème. «Les ‘primary dealers’, pour la plupart de grandes banques américaines, sont présents au croisement de trois marchés majeurs : monétaire US, US Treasuries et FX swaps. Or les contraintes de bilan limitent leur capacité d’intermédiation sur ces trois marchés, poursuit Céline Choulet. La révision de la norme de ratio de levier supplémentaire (SLR), assouplie temporairement en 2020-2021, est à l’agenda des régulateurs mais pas encore tranchée. Avec des inventaires totaux de 235 milliards de dollars à fin septembre, contre 490 milliards en mai 2020, les ’primary dealers’ semblent en mesure d’absorber davantage de titres émis par le Trésor. Mais le faible écart de taux UST 3 mois-10 ans limite l’intérêt des investisseurs. Et un élargissement excessif de leurs inventaires réduirait encore leur capacité à financer des hedge funds sur les marchés du repo ou à offrir des dollars sur les marchés de FX swaps.» Avec le risque qu’une telle offre de financement en dollars diminuée par la hausse du risque de crédit interbancaire américain (spread FRA-OIS) puisse stimuler une crise de liquidité sur la demande de dollars «offshore». Et que la Fed soit alors obligée, à nouveau comme en mars 2020, de mettre en place des facilités spécifiques et des lignes de swaps FX avec des banques centrales étrangères. Voilà: Le problème c'est si la FED ne le fait pas lorsque ce genre de situation arrive.
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