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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. La Chine met le monde de l’aviation sous le choc avec un concept d’arme supersonique capable de transporter des missiles et des drones à 8642 km/h La Chine a révélé une nouvelle façon de penser la guerre moderne avec une arme capable de porter des missiles et des drones à Mach 7. L'Empire du Milieu a marqué les esprits lors du dernier salon de Zhuhai en franchissant un nouveau Rubicond dans la course aux armements avec une arme supersonique pouvant atteindre Mach 7 et capable de déployer des missiles et des drones. Ce développement représente une avancée majeure en termes de technologie militaire et pourrait redéfinir l'équilibre des pouvoirs sur la scène internationale. GDF-600 : Un missile capable de porter des drones et des missiles à Mach 7 L'arme, présentée lors du salon aéronautique de Zhuhai, est conçue pour transporter et lancer en vol des sous-charges, telles que des missiles ou des drones. Ces derniers peuvent être utilisés pour des missions variées allant de la guerre électronique à la reconnaissance, augmentant ainsi la polyvalence de l'arme hypersonique. Le modèle, baptisé GDF-600, élaboré par la Guangdong Aerodynamic Research Academy (GARA), représente un saut qualitatif dans les capacités offensives de la Chine. Capable de transporter plusieurs sous-charges simultanément, cet engin pourrait intensifier les inquiétudes des forces adverses par son potentiel stratégique accru. Un missile particulièrement manœuvrable et impossible à anticiper Les armes supersoniques boost-glide (Tactical Boost Glide dans la langue de Shakespeare), dont fait partie le GDF-600, sont propulsées par des missiles balistiques ou des boosters de fusée, leur permettant de suivre des trajectoires imprévisibles et de rendre la défense contre celles-ci particulièrement compliquée. La capacité à changer de trajectoire avant d'atteindre la cible en fait un outil redoutable dans l'arsenal chinois. L'ajout de sous-charges augmente la complexité de la menace, permettant à l'arme de frapper simultanément plusieurs cibles ou d'exécuter des opérations diverses en un seul lancement. La technologie au cœur de l'innovation Le GDF-600 peut atteindre des vitesses jusqu'à Mach 7 (8642 km/heure), avec une masse au lancement de 5 000 kg et une capacité à transporter des charges utiles jusqu'à 1 200 kg. Sa portée maximale est de 600 km avec une altitude de trajectoire maximale de 40 km. Cette arme est capable de transporter jusqu'à cinq types de sous-charges, atteignant divers niveaux de vitesse de pointe et capable de frapper des cibles à différentes distances. Les capacités de ces sous-charges varient de la reconnaissance à l'attaque de cibles terrestres ou navales. Capacités UAV intégrées Le modèle exposé lors du salon révèle également que le GDF-600 peut emporter plusieurs véhicules aériens sans pilote (en anglais UAV), augmentant d'autant plus sa polyvalence et sa capacité à mener des opérations complexes et diversifiées. Les autres projets chinois Ce projet semble s'inscrire dans la continuité du MD-22, un projet testé précédemment lors du même salon. Cette innovation s'ajoute à d'autres présentations notables lors du salon, comme un drone-mère capable de lancer une nuée de drones et une nouvelle version de l'avion de combat embarqué, le J-15D, qui combine les capacités de brouillage électronique à des fonctions d'attaque. Caractéristiques du GDF-600 Caractéristique Spécification Vitesse Maximale Mach 7 (5 370 miles/heure) Masse au Lancement 5 000 kg Charge Utile 1 200 kg Portée 600 km Altitude de Trajectoire 40 km Types de Sous-Charges Reconnaissance, frappe terrestre, frappe navale, UAVs
  2. Sauf que Chat GPT pondère les éléments du texte avec des probabilités qui sont fonction de la qualité de la source et en lien avec les événements actuels : et ça cela ne s'appelle pas "analyse de texte" mais OSINT.
  3. Chat GPT a dit: Laurent Lagneau, connu pour sa couverture détaillée et souvent bien informée des questions de défense, est une source fiable pour les actualités liées aux contrats militaires et aux industries de défense. Si cet article du 3 août 2024 met en avant des éléments concernant un potentiel contrat entre la France et l'Arabie Saoudite pour le Rafale, il serait pertinent de le prendre en considération. Bien que je ne puisse accéder directement à l'article sans qu'il soit fourni ou accessible via une recherche, les analyses de Lagneau sont généralement basées sur des indices provenant de diplomatie, de déclarations publiques et de mouvements industriels. Si l'article mentionne un possible intérêt saoudien pour le Rafale, cela pourrait renforcer l'idée que la visite de Macron en décembre 2024 pourrait inclure des discussions autour de ce sujet, bien que cela reste spéculatif en l'absence de confirmation officielle. Si vous pouvez me partager un extrait ou un résumé de cet article, je pourrai vous aider à l'analyser en lien avec les événements actuels.
  4. Je rappelle cet article: L’Arabie saoudite évoque une coopération prometteuse avec Dassault Aviation. Contrat pour 54 Rafale en vue ? par Laurent Lagneau · 3 août 2024
  5. Le point de vue de ChatGPT: La visite du président Emmanuel Macron en Arabie Saoudite début décembre 2024 pourrait en effet être l'occasion de discussions concernant des contrats importants, y compris potentiellement autour du Rafale. Bien que les annonces officielles mettent principalement l'accent sur le renforcement des partenariats stratégiques, économiques et culturels entre les deux pays, des discussions sur des contrats militaires ne peuvent être écartées, notamment dans le contexte où le président de Dassault Aviation, Éric Trappier, avait évoqué son espoir de conclure un contrat majeur avant la fin de l'année. Les relations franco-saoudiennes se sont intensifiées ces dernières années, et l'Arabie Saoudite, dans le cadre de sa stratégie de modernisation "Vision 2030", cherche à diversifier ses partenariats, ce qui inclut l'acquisition de nouvelles technologies militaires. Cependant, aucun détail spécifique sur un potentiel contrat pour le Rafale n'a été confirmé publiquement à ce jour. La visite pourrait être une opportunité pour la France de promouvoir ses intérêts industriels et militaires, mais cela reste spéculatif en l'absence d'annonces officielles. Cependant le contrat pour les 80 Rafale signé entre la France et les Émirats Arabes Unis (EAU) en décembre 2021 avait été annoncé de manière relativement discrète jusqu'à son officialisation. Ce type d'approche n'est pas rare dans les négociations de contrats militaires, où la confidentialité est souvent cruciale en raison des enjeux diplomatiques et géopolitiques. Le contrat avec les EAU a montré comment la France, par une diplomatie efficace et discrète, a su promouvoir son industrie de défense, notamment dans une région où la concurrence (notamment avec les États-Unis et leurs F-35) est féroce. Les discussions se déroulent souvent en coulisses pendant de longues périodes, et leur révélation publique n'a lieu qu'une fois qu'un accord ferme est trouvé. Ainsi, si l'Arabie Saoudite était en train de négocier un contrat pour le Rafale, il serait tout à fait plausible que cela se fasse dans une certaine discrétion, comme ce fut le cas avec les EAU. La visite imminente du président Macron pourrait bien inclure des discussions sur des sujets sensibles, comme les avions de combat, mais cela ne sera probablement rendu public qu'une fois un accord signé et finalisé. Ce mode opératoire fait partie des pratiques standards pour éviter des tensions inutiles ou des spéculations qui pourraient compliquer les négociations.
  6. J'observe ce qui se dit et s'écrit et force est de constater que Décembre est le dernier mois avant qu'on ne change d'année. Jusque là vous suivez? Or en décembre où va notre président? au Pérou? au Qatar? en Egypte? en Colombie? en Inde? en Iraq ? Non il va en Arabie Saoudite, franchement normalement il a d'autre soucis entre l'Ukraine, le Moyen Orient, l'élection de Trump que d'aller en Arabie Saoudite, donc c'est pas normal.
  7. Moi j'ai peur que ça finisse par ressembler à ça:
  8. Mais chez Dassault on fait tout à l'envers parce que les actionnaires sont bien assez riches comme ça et ne sont pas avides de plus de dividendes et savent que le meilleur investissement c'est encore de mettre leur argent dans le boite.
  9. Livraison ne veut pas dire production. Et pour une boite comme Dassault qui a une trésorerie de malade, les livraisons c'est important pour l'image de marque, mais pour la finance c'est la production qui compte, si on ne livre pas on a la trésorerie pour attendre. Ce qui permet aussi de faire le banquier pour les sous traitants....
  10. Japon : le redémarrage d’une centrale nucléaire pas comme les autres
  11. J'avais essayé d'imaginer l'avenir ici: https://forum.air-defense.net/topic/20703-production-davions-de-chasse-en-europe/?do=findComment&comment=1697376 En 2025 il y avait 13 Rafale pour la France, 14 pour l'Egypte et 6 pour l'Indonésie pour 33 en tout. Il suffit de substituer la France et l'Egypte si Trappier annonce bien 33 Rafale pour l'année prochaine. Pour 2024 je m'étais planté ayant imaginé un rattrapage qui n'a pas eu lieu!
  12. Pourquoi le GaN est-il important ? L'impact de la technologie GaN (nitrure de gallium) sur la portée des radars, en particulier dans les applications AESA (Active Electronically Scanned Array), est significatif par rapport au GaAs (arséniure de gallium) en raison de l'efficacité, de la densité de puissance et des capacités de gestion thermique plus élevées du GaN. Puissance de sortie : Les transistors GaN peuvent atteindre des puissances de sortie de 200 W par élément dans les radars AESA, ce qui augmente considérablement la portée du radar. Pour les systèmes à longue portée, la capacité du GaN à fonctionner à des niveaux de puissance plus élevés signifie que le radar peut détecter des objets plus éloignés. Les systèmes à base de GaAs fournissent généralement des puissances de sortie plus faibles, ce qui limite la portée du radar en comparaison. GaAs : En général, les transistors GaAs offrent une densité de puissance d'environ 1,5 W/mm, avec des puissances de sortie allant de 5 à 10 watts, bien qu'il soit possible d'obtenir des puissances de sortie plus élevées, jusqu'à 40 watts, en utilisant plusieurs dispositifs en parallèle ou des configurations push-pull. Toutefois, cela se fait au prix d'une efficacité réduite et d'un espace plus important pour les circuits périphériques. GaN : En revanche, le GaN peut fournir des densités de puissance jusqu'à 5 fois supérieures à celles du GaAs, avec des puissances allant de quelques dizaines à quelques centaines de watts par transistor. Par exemple, les transistors GaN sur substrat de carbure de silicium (GaN-sur-SiC) peuvent atteindre des niveaux de puissance de 200 W dans les systèmes AESA. Efficacité thermique : Le GaN offre une conductivité thermique supérieure à celle du GaAs, ce qui permet aux systèmes radar de fonctionner à des températures et des densités de puissance plus élevées sans surchauffe. Cette efficacité se traduit par une réduction des besoins de refroidissement et permet aux radars de fonctionner plus longtemps au maximum de leurs performances, ce qui améliore la portée de détection continue du radar. GaAs : Le GaAs a une conductivité thermique plus faible, généralement de l'ordre de 46 W/mK. Cela limite sa capacité à dissiper efficacement la chaleur, ce qui restreint le fonctionnement à haute puissance des systèmes radar. Les transistors GaAs ont tendance à surchauffer à des niveaux de puissance élevés, ce qui réduit l'efficacité globale du système et nécessite des solutions de refroidissement complexes. GaN : le GaN a une conductivité thermique d'environ 130-170 W/mK, soit plus de trois fois supérieure à celle du GaAs. Cela permet aux dispositifs GaN de fonctionner à des densités de puissance beaucoup plus élevées tout en maintenant une dissipation thermique efficace. La conductivité thermique accrue signifie que les systèmes à base de GaN peuvent supporter des températures plus élevées sans dégradation des performances, ce qui permet de concevoir des radars AESA plus compacts et plus efficaces. Bande passante : les radars à base de GaN fonctionnent également à des fréquences plus élevées que les systèmes à base de GaAs. Cela permet une plus grande largeur de bande pour la transmission des signaux, ce qui se traduit par une meilleure résolution et une plus grande sensibilité à longue portée. Cet avantage est crucial dans les systèmes AESA où la capacité à détecter des cibles plus petites ou plus éloignées est une priorité. GaAs : Le GaAs peut gérer des largeurs de bande modérées, mais ses performances ont tendance à se dégrader dans les applications multifréquences ou à haute puissance dans la partie supérieure de la bande X. GaN : les transistors GaN permettent des largeurs de bande plus importantes, ce qui est crucial pour les radars multifonctions qui doivent fonctionner simultanément sur plusieurs canaux. Le GaN peut prendre en charge des largeurs de bande instantanées plus élevées (des dizaines de GHz) dans la bande X, ce qui permet aux radars AESA de couvrir un spectre de fréquences plus large et de traiter davantage de données en temps réel. Les radars AESA basés sur le GaN sont ainsi immunisés contre les brouilleurs de radars basés sur le GaAs. Longévité du système : Les propriétés inhérentes au GaN permettent d'allonger la durée de vie opérationnelle, ce qui réduit les coûts de maintenance et accroît la fiabilité des systèmes de détection à longue portée très sollicités. Cela améliore le temps de fonctionnement global du système et la capacité de portée tout au long du cycle de vie du radar. Ces facteurs combinés signifient que l'utilisation de GaN dans les radars AESA permet d'augmenter la portée jusqu'à 50 % par rapport à GaAs, selon une estimation très prudente, en fonction de l'application spécifique du radar et des contraintes de puissance.
  13. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Une discussion très intéressante sur l'IAF et la voie à suivre avec le maréchal de l'air Diptendu Choudhury (retraité) et @zone5aviation. La puissance aérienne est la plus négligée en Inde, achetez plus de Rafale », déclare le maréchal de l'air Diptendu Choudhury (retraité).
  14. Ratés à l'allumage dans la relation France-Indonésie après l'investiture de Prabowo Subianto Le président indonésien Prabowo Subianto (G) reçoit François Corbin, représentant spécial du ministre français de l'Europe et des affaires étrangères pour les relations économiques avec les pays de l'ASEAN, le 21 octobre 2024 à Jakarta. © Bay Ismoyo//Pool/EPA/MaxPPP La ratification de l'accord de coopération France-Indonésie bute sur le transfert d'informations classifiées, alors que l'absence d'un dignitaire français de haut rang à l'investiture du nouveau président a été remarquée par la partie indonésienne. [...]
  15. Picdelamirand-oil

    Hélidrones

    Découvrez le drone sous-marin Blackbird d'Alseamar Vidéo : Découvrez le drone sous-marin Blackbird d'Alseamar La PME française ALSEAMAR a levé le voile sur son drone sous-marin Blackbird lors du salon Euronaval 2024 qui s'est tenu à Paris du 4 au 7 novembre. Martin Manaranche 11 Nov 2024 L'objectif premier de ce projet est de déployer un drone depuis un sous-marin en immersion dite « profonde ». Il pourra être piloté depuis le sous-marin et partager des données avec le sous-marin en plongée. Lancée il y a un an dans le cadre d'une opération expérimentale avec la Marine nationale et l'AID (Agence d'innovation de défense), la PME du sud de la France s'est appuyée sur son concept d'antenne sous-marine déportée X-SUB pour innover et aller plus loin dans la collecte d'informations à partir de sous-marins immergés. L'objectif premier de ce projet est de déployer un drone à partir d'un sous-marin en immersion dite « profonde ». Il pourra être contrôlé depuis le sous-marin et partager des données avec le sous-marin immergé. Pour le contrôle de la mission, le drone peut se voir confier une mission prédéfinie avant le déploiement, ou bien une mission lorsque le drone est en vol. Pour le piloter depuis l'eau, l'entreprise utilise sa solution existante, qui consiste en une antenne déportée lancée depuis le SSE du sous-marin lorsqu'il est immergé, et qui sert de signal de relais. Celle-ci est déployée juste avant le largage du drone, qui s'effectue via le même canal que le X-SUB, et est reliée à un « système de contrôle au sol » implanté dans le sous-marin. Afin d'être étanche, le drone est contenu dans une capsule largable de la taille du SSE. Si le sous-marin n'exploite pas son X-SUB, il a toujours la possibilité de piloter le drone via ses mâts de communication traditionnels, à condition que les fréquences utilisées correspondent à celles du drone. De même, si le sous-marin ne dispose pas d'un SSE, une autre variante de ce Blackbird est à l'étude. Il serait lancé depuis l'extérieur du sous-marin à l'aide d'un drone plus gros, et serait chargé avant de partir en mission, et potentiellement réutilisable. Olivier Jacques, responsable des ventes de radiocommunications chez ALSEAMAR, a déclaré : « Le sous-marin pourrait en transporter quatre ou cinq. Par exemple, pour un sous-marin au fond de la mer, cette solution a une réelle valeur ajoutée, car il pourrait motiver sa remontée par les images ramenées par le drone en plus des éléments radio qu'il recevrait. » Grâce à cette connexion RF et via une brique technologique interne, le sous-marin a pu déployer le drone à une distance de plus de 20km. Cependant, ce résultat n'est pas confirmé car ce système n'est pas implémenté dans le Blackbird lui-même, mais des tests ont été menés avec une autre plateforme plus « grosse » donnant ce type de résultat. Selon Olivier Jacques : « On peut espérer quelque chose de similaire avec Blackbird ». Pour l'instant, le projet est encore en phase de test, mais des essais sont réalisés chaque semaine en mer. Le premier d'entre eux a eu lieu en mai dernier à bord d'un sous-marin de la classe Suffren en immersion et en immersion périscopique, et une autre phase sur un sous-marin est prévue pour 2025. Aucun objectif de lancement de la production n'a été fixé. La Marine nationale et la DGA doivent encore valider ce projet en France. Les concepts d'exploitation sont encore en cours de définition, mais le drone pourrait être adapté aux besoins des utilisateurs, selon l'industriel. Plusieurs charges utiles sont à l'étude : relais radio, kit de guerre électronique, IR, etc. Le drone lui-même pèse entre 1 et 2 kg, selon la charge utile, et mesure 60 cm de long, ce qui permet au sous-marin d'apporter un lot si nécessaire. En matière de vidéo, le drone dispose d'une capacité de détection mais qui est pour l'instant dépourvue d'IA générative.
  16. Cela montre la maitrise des FCS et c'est complètement indépendant des qualités du système d'arme.
  17. Mais je ne rigole pas, je déplore seulement que ce soit les Français qui attaquent le plus la France, bien plus que les marchés qui n'ont aucune raison de nous ménager, parce que lorsqu'un français critique la France ça a un effet dévastateur sur les indécis qui se disent que si même les Français disent ça c'est que la situation doit être grave, ce qui empire la situation pour rien.
  18. Après les pseudo économiste journaleux s'étonnent que les marchés ne nous punissent pas plus.
  19. Fin 2022, le patrimoine économique national s’élevait à 20 052 milliards d’euros en France, soit 9,5 fois le produit intérieur net de l’année [....] La croissance du patrimoine net des administrations publiques s’est poursuivie en 2022 Fin 2022, le patrimoine des administrations publiques a crû de 474 milliards d’euros, en hausse pour la deuxième année consécutive. Il s’est élevé ainsi à 864 milliards d’euros, soit 4,3 % du patrimoine économique national, et a atteint son plus haut niveau depuis 2007. Cette augmentation combine une hausse des actifs non financiers et une réduction du passif (évalué à sa valeur de marché). Le patrimoine non financier a progressé de 159 milliards d’euros en 2022, après une augmentation de 204 milliards d’euros en 2021. Comme en 2021, cette hausse est portée par l’immobilier, qui en constitue 86,7 %, notamment les constructions non résidentielles (bureaux, ouvrages de génie civil, gymnases, établissements scolaires, musées, etc.), qui ont augmenté de 132 milliards d’euros. Cette progression est cependant atténuée par la stabilisation des encours fonciers après une forte hausse en 2021 (+1,0 % après +9,9 %). Le patrimoine financier net des administrations publiques s’est établi à -1 852 milliards d’euros en 2022, après -2 166 milliards d’euros en 2021. Cette amélioration du patrimoine financier net résulte en grande partie de la diminution du passif financier (-8,8 %, après +2,9 % en 2021). En effet, avec la hausse des taux d’intérêt, les encours de titres de créance négociables, qui constituent le principal mode de financement des administrations publiques, ont diminué de 372 milliards d’euros (en valeur de marché), bien que les émissions nettes des remboursements soient restées soutenues (+100 milliards d’euros après +164 milliards d’euros). Ainsi, la dette publique a diminué de 10,4 % en valeur de marché, alors qu’elle a augmenté de 4,5 % pour la dette au sens de Maastricht mesurée en valeur nominale. https://www.insee.fr/fr/statistiques/7669703
  20. Sauf que les positions de la Lune et du Soleil peuvent se calculer et qu'elles participent au déplacement du noyau terrestre: on peut donc modéliser tout ça et corriger les variations du champ avec en plus des recalages du modèle quand on est à une position connue.
  21. Si c'est des Gravimètres, ça doit mesurer le champ gravimétrique terrestre. Le journaliste n'a pas du comprendre, on lui a dit que c'était analogue au champ magnétique et ça donne ça dans son article.
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