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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Rafale F5 : Un bijou technologique en devenir
  2. Ils ont 7 milliards de cash! Ce n'est pas ça qui les empêche d'investir. Si une bonne opportunité se présente ils investiront.
  3. Eh bien oui, ça revient à distribuer des dividendes sans être taxé. En effet si tu gardes tes actions plus de 8 ans, ce qui est le cas de la plupart des actions de la famille Dassault, les plus values ne sont pas imposées lorsque tu revends. Le nombre d'actions diminue, mais ça n'a pas d'importance car le conseil d'administration peut décider de les diviser...
  4. Dassault Aviation rises to record high after Exane upgrade Mar 25, 202411:10 GMT+1 Shares in Dassault Aviation AM rise as much as 5% to all-time high after Exane BNP Paribas upgrades the Rafale fighter jet maker to "outperform" from "neutral.
  5. Il faut payer combien pour qu'ils s'orientent vers ce projet plutôt que de participer au SCAF?
  6. Picdelamirand-oil

    SPECTRA et ce que vous savez

    J'aime bien la remarque suivante: Qui montre qu'il ne suffit pas de renforcer la structure et le train d'atterrissage puis de rajouter une crosse d'appontage pour faire un avion embarqué.
  7. Picdelamirand-oil

    SPECTRA et ce que vous savez

    D'autre part le résumé me parait intéressant aussi:
  8. Picdelamirand-oil

    SPECTRA et ce que vous savez

    @herciv m'a passé un lien vers un document relatif à Spectra qui est la traduction en Anglais d'une conférence ancienne de Pierre-Yves Chaltiel, Jean-Marie Trouche, Christian Bernard-Guelle. Voici le lien: https://www.f-16.net/forum/download/file.php?id=43616&sid=4b6efe39717589429eb7f7f31cf580f1 J'ai lu le document et aujourd'hui il a un intérêt historique, montrant une très grande ambition pour l'époque. Le système a beaucoup évolué depuis, ce qui a été facilité par son architecture. Ce que j'ai trouvé le plus intéressent, c'est la politique de test où on met en place les outils qui optimisent le coût des tests, et où on a la possibilité de conduire des tests opérationnels pendant le développement au lieu d'attendre la fin du développement pour faire des tests opérationnels pour vérifier que le système convient, comme c'est le cas pour le F-35. Pour justifier mon point de vue j'ai décidé de traduire le paragraphe correspondant. On a donc une traduction en Français d'une traduction en Anglais d'une conférence et donc la fidélité à ce qui a été dit n'est pas absolue. Je n'ai pas reproduit les figures qui sont de toutes façons d'assez mauvaise qualité et que l'on peut voir en utilisant le lien. DÉVELOPPEMENT SPECTRA est l'un des composants les plus sophistiqués et les plus complexes du système d'armes du Rafale. Pour comprendre l'ampleur de cette complexité, quelques chiffres sont nécessaires pour l'illustrer : La quantité d'électronique embarquée sur l'avion par SPECTRA est la plus importante (y compris par rapport aux radars RBE2) ; SPECTRA couvre une gamme de fréquences électromagnétiques et optiques bien supérieure à celle des autres équipements aéronautiques. Les radomes et irdomes ont dû être dimensionnés pour assurer à la fois une transparence accrue sur l'ensemble de la gamme de fréquences et une résistance à l'érosion liée aux conditions de vol du Rafale ; SPECTRA est réparti sur dix sites d'installation dans le Rafale, dont certains ne présentent aucun dispositif de conditionnement ; plus de quarante processeurs sont utilisés pour le traitement des signaux et des données du système, avec l'aide de logiciels appropriés. Pour gérer tous les aspects de ce développement, les contractants, sous le contrôle de la DGA, ont eu recours à une méthodologie désormais considérée comme classique, et basée sur les phases suivantes : spécification, conception, mise en œuvre, intégration et validation. Pour chacune de ces phases, plusieurs aspects nouveaux et spécifiques peuvent être illustrés : Pendant les phases de spécification, l'équipe de projet détermine les définitions techniques du système, en coopération avec la DGA et les utilisateurs. De puissants outils de simulation "techno-spatiale" (voir Fig. 5) ont permis de modéliser différentes solutions techniques, offrant ainsi un meilleur moyen de comprendre l'adéquation de la solution choisie par rapport aux besoins opérationnels : modélisation de la menace (système d'armes sol-air, surface-air et air-air avec modélisation des radars, illuminateurs, télémètres et armements associés), modélisation du théâtre opérationnel, modélisation de l'avion Rafale (dynamique de vol, profil) et modélisation des performances paramétriques des contre-mesures. C'est quasiment l'objectif du JSE du programme F-35 C'est également au cours de cette phase qu'ont été réalisées les premières études de mise en œuvre sur l'avion des différents composants du système, compte tenu de leur impact sur les performances. Ces études ont été menées en utilisant les outils de simulation des antennes installées, mentionnés précédemment, et en tenant compte de l'installation réelle des équipements sur l'avion. Lors des phases de conception, les responsables du projet sont amenés à coordonner de nombreux corps de métiers, en raison des interactions qui existent entre tous les aspects du système : thermique, mécanique, électro-optique, électromagnétique et électronique. Là encore, des outils de simulation puissants sont utilisés pour prédire la fiabilité d'une conception ou pour identifier les problèmes à éviter. Par exemple, les outils de simulation de la résistance mécanique utilisés pour résoudre les problèmes de chocs lors de l'appontage et du catapultage des avions "marins" à bord des porte-avions ; les outils de simulation thermique utilisés pour déterminer le conditionnement des circuits électriques ; et les outils de simulation micro-électronique permettant la conception de circuits électroniques plus complexes (voir Fig. 6). Des passerelles informatiques sont établies entre les outils de conception assistée et les outils de production, ce qui permet une production sans erreur des sous-ensembles créés dans les bureaux d'études. Ces outils de conception et de production assistées par ordinateur (CFAO) sont également largement utilisés pour la gestion de la configuration du système au cours des phases de développement et de production. Pour la première fois, en ce qui concerne le développement d'un système d'autoprotection en France, les essais de mise au point du contractant et de validation du système, ainsi que les essais d'approbation de la DGA, ont inclus des essais du système complet installé dans un environnement opérationnel simulé, permettant de reproduire des scénarios qu'il est pratiquement impossible de reproduire autrement qu'en grandeur nature (sauf lorsqu'ils se produisent lors d'un conflit réel !). Les fan-boy anglo saxon disent que seul le programme F-35 a fait ça. Ce type d'activité suppose l'utilisation de simulateurs de systèmes d'armes, pilotés par un outil générant des scénarios opérationnels, similaire à celui utilisé pour la simulation numérique lors des phases initiales de conception du système. Il permet ainsi de tester le système dans des environnements opérationnels réalistes, allant du très simple au très complexe (voir Fig. 7). Cette phase de test, réalisée pour chaque stade de développement du système (développement incrémental), permet d'effectuer les premiers essais en vol avec une très bonne identification préalable des performances au sol du système. Ces installations, mises à la disposition des contractants par le Centre d'essais en vol de Brétigny, permettent également de rejouer à terre les scénarios d'essais en vol, afin de mieux analyser les performances du système pendant les essais. Les industriels ont ainsi développé des moyens d'intégration hybrides, activés avec des scénarios de guerre électronique, générés par un dispositif appelé MESA (Modélisation de l'Environnement des Systèmes d'Autoprotection), fourni par DASSAULT ELETRONIQUE. Dans ce cadre, la simulation des performances des missiles (trajectoires, rayonnement infrarouge), s'appuie sur le développement du modèle SIAM (Alert Missile Simulation), fourni par MATRA DEFENSE. Ce type de dispositif, du fait qu'il est développé en laboratoire, permet de suivre tous les chemins de l'information à l'intérieur du système, en utilisant des fonctions d'acquisition et de tri des données fournies par les contractants. Ainsi, le système réalise jusqu'à un million de mesures simples par seconde. Cela signifie que la recherche des causes des performances anormales identifiées par les pilotes peut s'apparenter à la recherche d'une aiguille dans une botte de foin ! Des méthodes permettant d'évaluer les performances d'un système installé sur une cellule réelle, modélisée à l'échelle 1:1, ont également été développées et mises en œuvre sur la base aérienne d'essais de Mengham (près de Brest) (voir Fig. 8). Elles ont été fournies par THOMPSON-CSF Radars & Contre-mesures. Ces méthodes permettent de mesurer dans l'espace des diagrammes de ciel libre installés sur l'avion, ainsi que de caractériser les performances en temps réel du système dans ces conditions, tout en réduisant de manière significative le nombre de vols. L'ensemble de ces méthodes au sol, dont la définition et la mise en œuvre ont nécessité une coopération active entre contractants et sous-traitants, a permis de réduire considérablement le budget de développement du projet Rafale en limitant au strict minimum tous les essais en vol de SPECTRA sur le Rafale. Dans le cadre des essais en vol, deux plates-formes sont utilisées pour effectuer les ajustements du système SPECTRA : un avion banc d'essai Mystere 10 (voir Fig. 9), sur lequel le système complet a été installé, et qui permet au CEV d'effectuer des essais système avec des radars ennemis contrôlés au sol ou en vol, des tirs de contrôle laser simulés et des simulateurs de missiles ; un avion Rafale qui permet à DASSAULT AVIATION et au CEV d'intégrer le système SPECTRA au système d'armes de l'avion, et d'effectuer des essais de qualification complets du système embarqué (voir Fig. 10). Les méthodes d'acquisition des données restent les mêmes tout au long du processus de validation. Elles sont installées soit en laboratoire, soit à bord d'un banc d'essai Mystere 20, soit sur une nacelle sous le fuselage utilisée sur les vols Rafale dédiés aux essais SPECTRA. Ainsi, le tri d'une énorme quantité de données, acquises au cours de chacune des phases, peut également se faire avec les mêmes méthodes.
  9. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Les cocus comptez vous !
  10. Peut être que les Ukrainiens préparent un débarquement en Crimée histoire de prendre les russes à revers.
  11. L'estimation de 368 milliards de Dollar Australien ne vient pas d'eux mais a été très largement diffusée à l'époque où elle a été faite. Jai pris le premier article citant cette estimation pour justifier que l'estimation de 240 milliard de Dollar était bien en Dollar US. Le reste de l'article ne m'intéresse même pas.
  12. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    La vidéo fait des hypothèses sans justifications et des erreurs sur les caractéristiques du Rafale. Par exemple un point essentiel du raisonnement sur le faible débit des bus internes du Rafale est fondé sur le fait qu'il y a besoin d'améliorer le débit de ces bus pour pouvoir utiliser le pod Talios ce qui se ferait seulement avec F4.1. Mais c'est complètement faux puisque Talios est déjà utilisé avec F3R ce qui montre qu'il n'y a pas besoin d'upgrade. A partir de là tout s'écroule. De toute façon si par hasard il avait raison, on essayerait pas de faire passer de la vidéo sur un bus système 1553 qui est un bus de commande mais on rajouterait à l'architecture un bus Vidéo, par exemple un bus 7221
  13. Oui mais l'estimation en dollars australiens est de 368 milliards. 12 mois plus tard, il existe de nombreuses autres raisons de critiquer le sous-accord AUKUS de 368 milliards de dollars
  14. Si c'est jusqu'à très longtemps ce n'est pas compris dans les 240 Milliards ! .
  15. Oui et il y a aussi le prix: 240 Milliards de dollars US cela fait 8 milliards par an soit 2 porte avions par an pendant 30 ans. Je ne sais pas si l'Australie peut se permettre de se payer 60 Porte avions.
  16. Échec des sous-marins australiens : d’anciens hauts gradés américains œuvraient dans les coulisses
  17. Les États-Unis ont exhorté l'Ukraine à cesser ses attaques contre l'infrastructure énergétique russe, avertissant que les frappes de drones risquaient de faire grimper les prix mondiaux du pétrole et de provoquer des représailles, selon trois personnes au fait des discussions - Financial Times Le cabinet des ministres de l'Ukraine a réagi à l'article. "Nous comprenons les appels des partenaires américains. Dans le même temps, nous nous battons avec les capacités, les ressources et les pratiques dont nous disposons aujourd'hui. D'autres responsables ont également déclaré qu'il s'agissait de cibles absolument légitimes d'un point de vue militaire", a déclaré la vice-première ministre Olga Stefanishyna lors du Forum sur la sécurité de Kiev. Elle a ajouté que l'Ukraine avait répondu à ces appels en "atteignant ses objectifs" et en menant des "opérations très réussies" sur le territoire russe. Mme Stefanishyna a également déclaré qu'au cours du premier mois de l'invasion russe, elle s'était entretenue avec le siège de l'OTAN et qu'on lui avait dit qu'il était dans les normes de l'Alliance de détruire d'abord l'infrastructure sur le territoire russe qui rendait possible le bombardement des villes ukrainiennes. "Nous agissons conformément aux meilleures normes de l'OTAN", a déclaré la vice-première ministre. La publication simultanée de cet article et de l'une des plus fortes frappes sur le secteur énergétique ukrainien pendant la guerre est-elle une coïncidence ? La préparation d'une telle attaque prend beaucoup de temps. De tels articles ne s'écrivent pas en un jour. Je peux répéter après @StefanishynaO L'Ukraine a le droit à l'autodéfense et à l'affrontement : nous agissons conformément aux normes de l'OTAN. Les Ukrainiens ont le droit de vivre, après tout.
  18. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Boosting defence exports and enhancing Atmanirbharta: A vision for next 5 years Stimuler les exportations de défense et renforcer l'Atmanirbharta : Une vision pour les cinq prochaines années De l'accent mis sur les mesures visant à promouvoir la fabrication de matériel de défense indigène à la nécessité d'acquérir des fusils modernes pour l'armée et les forces paramilitaires, voici un aperçu de l'impulsion qui sera probablement donnée au secteur de la défense au cours des cinq prochaines années. Le Premier ministre Narendra Modi s'est adressé à une foule en liesse lors du India Today Conclave le 16 mars et a déclaré son intention de faire de l'Inde un exportateur net de produits de défense au cours des cinq prochaines années. La vision stratégique du Premier ministre Modi vise à faire de l'Inde la troisième économie mondiale et une puissance militaire mondiale de premier plan au cours de son éventuel troisième mandat. Stimuler les exportations de défense Auparavant, l'Inde était connue pour être un importateur d'armes. Toutefois, le pays est sorti de sa zone de confort et s'est hissé parmi les 25 premières nations exportatrices d'armes. Il y a 7 ou 8 ans, les exportations de défense atteignaient à peine les 1 000 milliards de roupies. Aujourd'hui, elles ont grimpé à 16 000 milliards de roupies. Selon les prévisions, d'ici 2028-29, la production annuelle de défense atteindra 300 000 milliards de roupies et les exportations de défense 50 000 milliards de roupies. Si le gouvernement soutient les grandes entreprises, il encourage également les jeunes à rejoindre le secteur de la défense par le biais de startups, considérant qu'il s'agit d'une étape cruciale pour le long terme. Des mesures récentes, notamment la libéralisation de l'approvisionnement auprès des startups, les conditions de paiement et les critères d'éligibilité, ont été adoptées lors d'une réunion du Conseil d'acquisition de la défense. Le département de la production de défense délivre des autorisations d'exportation d'articles de la liste des munitions couverts par la catégorie 6 des produits chimiques, organismes, matériaux, équipements et technologies spéciaux (SCOMET), conformément aux procédures opérationnelles normalisées (POS) publiées par le DDP. Les principaux équipements de défense exportés au cours des cinq dernières années comprennent notamment des simulateurs d'armes, des lanceurs de gaz lacrymogènes, des mécanismes de chargement de torpilles, des systèmes de surveillance et de contrôle des alarmes, des monoculaires et des jumelles de vision nocturne, des torpilles légères, des systèmes de contrôle des tirs, des véhicules blindés de protection, des radars de localisation d'armes, des radios à haute fréquence et des systèmes de radars de surveillance côtière. Mais comme des pays comme le Viêt Nam, les Philippines et l'Arménie recherchent des armes de pointe fabriquées en Inde, telles que les missiles de croisière supersoniques BrahMos, les lance-roquettes multiples Pinaka, les missiles antiaériens Akash et les avions de combat Tejas, les exportations devraient monter en flèche au cours des cinq prochaines années. Les exportations de plates-formes aérospatiales et de défense critiques et avancées ne généreront pas seulement des revenus, mais façonneront également la stratégie géopolitique de l'Inde dans la région Asie-Pacifique et au-delà. Augmentation du budget de la défense Au cours de l'année financière 2023-24, une approbation de principe a été accordée pour des acquisitions de capital d'une valeur de plus de 4 35 000 crore Rs. Le ministère de la défense a reçu une allocation de 6,21 millions de roupies dans le budget de l'Union 2024-25, la plus élevée de tous les ministères. Compte tenu de la double menace du Pakistan et de la Chine, une augmentation significative des dépenses d'investissement dans le budget de la défense est prévue au cours des cinq prochaines années. Priorité à l'Atmanirbharta De nombreux projets stratégiques indigènes de grande valeur sont en cours depuis le début du millénaire. Ils restent en suspens en raison de la réticence du gouvernement de l'Union à augmenter les dépenses d'investissement pour la modernisation militaire dans les budgets annuels. Le gouvernement est en train de passer du "Make in India" à l'autosuffisance ou "Atmanirbharta", en réalisant la nécessité de politiques de soutien solides. Les bases de ce changement ont été jetées avec la création du poste de chef d'état-major de la défense et la mise en place du département des affaires militaires (DMA), qui renforce l'interopérabilité, la synergie et la coordination entre les trois armées. Le DMA est également chargé d'établir des listes positives pour l'indigénisation, en spécifiant les produits et les systèmes d'armes qui ne pourront pas être importés à l'avenir. Voici quelques domaines dans lesquels une action immédiate est nécessaire, et nombre de ces programmes pourraient voir le jour dans les cinq prochaines années. Projet de turboréacteur indigène Kaveri Le turboréacteur est considéré comme le composant le plus vital d'un avion à réaction, sans lequel il ne peut tout simplement pas voler. Une centrale électrique à turbines fournit la poussée nécessaire aux véhicules de combat aérien pour le vol plané dans l'atmosphère et la supermanoeuvrabilité. Le GTRE (Gas Turbine Research Establishment) du DRDO a lancé le projet de développement d'un moteur à turbines indigène baptisé "Kaveri" en 1986. Dans le cadre du projet d'avion de combat léger (LCA) - "Tejas", le moteur à turbines devait être développé à partir de zéro. Toutefois, les progrès du programme de développement du Kaveri ont été ralentis par des difficultés politiques et techniques. Il incombe désormais au prochain gouvernement de rendre le Kaveri opérationnel dans les plus brefs délais et d'effectuer le premier vol à bord de l'avion LCA-Tejas d'ici à 2025. Les missiles Agni-VI et K-5 Alors que le missile balistique intercontinental à capacité nucléaire Agni-V a fait l'objet d'essais en vol réussis depuis 2012, le projet de missile Agni-VI n'a guère progressé. Agni-VI devrait avoir une portée comprise entre 10 000 et 12 000 km avec une ogive nucléaire de 3 tonnes. Une portée de plus de 10 000 km augmentera la flexibilité de l'Inde, ce qui est très important pour une dissuasion efficace, et permettra également au pays de frapper les sous-marins lanceurs de missiles balistiques chinois (SNLE) et les navires de guerre qui tentent de se cacher dans le sud de l'océan Indien et dans le centre de l'océan Pacifique. Agni-VI est censé pouvoir emporter jusqu'à 10 ogives nucléaires/thermonucléaires en configuration MIRV (Multiple Independent Re-entry Vehicle) et MaRV (Manoeuvrable Multiple Independent Re-entry Vehicle). Le gouvernement indien ayant mené à bien la mission Divyastra (le premier essai de l'ICBM Agni-V avec des ogives MIRV) le 11 mars 2024, l'attention se porte désormais sur les projets de missiles Agni-VI et K-5. Le K-5 sera un SLBM (Submarine-Launched Ballistic Missile), une version sous-marine de l'Agni-V, qui pourra être lancé à partir des sous-marins nucléaires de la classe INS Arihant. En outre, les missiles Agni-V, Agni-VI et K-5 étant dotés de capacités MIRV, l'Inde devra augmenter considérablement le nombre d'ogives nucléaires actives dans son arsenal au cours des cinq prochaines années. Les missiles de croisière hypersoniques BrahMos-2 et HSTDV Alors que l'Inde a complété avec succès sa triade de missiles de croisière supersoniques en testant les missiles de croisière BrahMos à partir de multiples plateformes, y compris les avions de chasse Sukhoi-30, les pontons sous-marins, les lanceurs terrestres et les navires de guerre, le pays doit encore tester et déployer des missiles de croisière hypersoniques de pointe qui sont essentiels pour le champ de bataille tactique d'aujourd'hui. Alors que les radars conventionnels détectent très difficilement les missiles de croisière qui épousent le relief, les vitesses élevées du projectile font qu'il est difficile de l'engager à distance de vue avec des systèmes de défense aérienne basés au sol. Le BrahMos-2 sera un missile de croisière hypersonique capable de voler à des vitesses allant jusqu'à Mach-7 (près de 8 650 km/h) et d'avoir une portée effective de 600 km. L'Institut indien des sciences de Bengaluru et l'Institut d'aviation de Moscou travaillent activement au développement des boucliers thermiques, de l'aérothermodynamique, des structures chaudes et des moteurs de propulsion à scramjet du BrahMos-2, et les premiers prototypes devraient être prêts pour les essais en vol dans les cinq prochaines années. Un programme parallèle est le HSTDV (Hypersonic Technology Demonstrator Vehicle), qui est un projet indigène visant à développer un aéronef sans pilote équipé d'un moteur à réaction pour le vol hypersonique. Le véhicule, d'un poids de 1 tonne et d'une longueur de 5,6 mètres, est capable de voler à des vitesses allant jusqu'à Mach-6 (près de 7 410 km par heure). Le HSTDV constituera l'ossature de base des missiles de croisière hypersoniques futuristes de l'Inde, dont le déploiement opérationnel pourrait avoir lieu au cours de cette décennie. Obtenir le contrat MMRCA-2.0 tant attendu En 2024, l'Inde disposera de deux escadrons opérationnels de MiG-21 Bisons (les Bisons sont des appareils modernisés dotés d'une avionique et de logiciels améliorés). Si l'on tient compte du fait que chaque escadron de l'IAF est composé de 18 appareils, l'Inde dispose d'environ 36 MiG-21. Actuellement, les effectifs de l'IAF sont les suivants : deux escadrons de MiG-21, trois escadrons de Mirage-2000, six escadrons de chasseurs-bombardiers Jaguar (version améliorée du DARIN-3), 14 escadrons de Sukhoi-30, deux escadrons de LCA-Tejas Mark-1, trois escadrons de chasseurs-bombardiers MiG-29 et deux escadrons de Rafales de Dassault. Cela représente un total de 32 escadrons, auxquels s'ajoutent neuf escadrons de LCA Tejas Mark-1A en cours de construction. Mais si l'Inde veut mener une guerre sur deux fronts et demi avec le Pakistan, la Chine et les terroristes communistes de gauche internes, le pays a besoin d'un minimum de 42 escadrons d'avions de combat. Il est urgent d'acheter de nouveaux avions de combat afin que l'IAF puisse disposer des effectifs nécessaires pour atteindre les niveaux de force souhaités d'ici à 2032. À ce jour, neuf escadrons de LCA-Tejas Mark-1A sont en commande. Mais les deux escadrons de MiG-21 seront retirés du service d'ici 2025. Enfin, l'un des escadrons de Jaguar sera également retiré du service d'ici 2030. Les Mirage-2000 arriveront également en fin de vie d'ici là. Ainsi, si l'IAF ne commande pas immédiatement de nouveaux appareils, sa force combinée sera d'environ 35 escadrons en 2030. Alors que le précédent contrat portant sur l'acquisition de 126 avions de combat polyvalents moyens (MMRCA) pour l'armée de l'air indienne a été abandonné à la surprise générale par le gouvernement NDA 2.0 au profit d'un "contrat de gouvernement à gouvernement" portant sur l'achat de 36 avions de combat Dassault Rafale, un contrat parallèle portant sur l'achat de 114 avions de combat supplémentaires est désormais en cours d'élaboration. Les avions en lice pour ce nouvel accord sont les suivants : Boeing F/A-18 Super Hornet, Boeing F-15EX, Sukhoi Su-35, MiG-35, Dassault Rafale, Eurofighter Typhoon, SAAB JAS-39 Gripen-E et Lockheed Martin F-16 Fighting Falcon. Le gouvernement doit conclure au plus tôt l'accord MMRCA-2.0 pour l'achat de 114 jets et étudier la possibilité de commander 36 chasseurs Dassault Rafale supplémentaires (au titre de la clause secondaire) dans le cadre de l'accord Rafale existant. Introduction de nouveaux fusils d'assaut d'infanterie L'armée indienne étant sur le point d'abandonner progressivement les AK-47 et les INSAS vieillissants, et les forces paramilitaires luttant activement contre la menace de l'extrémisme de gauche dans les zones reculées, l'urgence d'acquérir des armes d'infanterie plus récentes pour l'armée et les forces paramilitaires a pris de l'ampleur. Le 3 mars 2019, le Premier ministre Narendra Modi a posé les fondations de l'unité de fabrication des fusils AK-203 à l'Ordnance Factory d'Amethi. Plus de 7 50 000 fusils seront fabriqués dans la nouvelle usine dans le cadre d'un transfert complet de technologie de la Russie. La coentreprise entre OFB et la société russe Izhmash devrait également fabriquer à long terme 13 00 000 AK-203 supplémentaires pour les forces paramilitaires indiennes. Le prochain gouvernement doit prendre les mesures nécessaires pour remettre la nouvelle carabine de classe mondiale MSMC (Modern Sub Machine Carbine) également connue sous le nom de JVPC (Joint Venture Protective Carbine) au personnel des forces de police armées centrales, aux troupes des forces spéciales et aux forces de police des États en grand nombre. Véhicules terrestres sans pilote (UGV) Les véhicules terrestres sans pilote (UGV) sont des véhicules robotisés qui fonctionnent sans intervention humaine directe. Ces véhicules peuvent être utilisés pour la surveillance de zones ainsi que pour des opérations de combat contre l'ennemi. Les UGV peuvent également être utilisés dans des opérations de déminage sur le champ de bataille au niveau tactique. Équipés de capteurs, ces véhicules peuvent être utilisés en mode autonome ou avec l'aide d'unités de commande à distance. Si certains pays comme la Chine, la Russie et les États-Unis ont fait des pas de géant dans le développement de la technologie UGV, l'Inde rattrape également son retard. L'UGV Daksh du DRDO est l'un des projets indiens qui a atteint le stade du déploiement opérationnel. Daksh peut même forcer des serrures de porte à l'aide d'un fusil de chasse et scanner des voitures à la recherche d'explosifs. Alors que les véhicules terrestres de combat sans pilote (UCGV) russes de pointe, comme l'Uran-9, ont atteint le stade du déploiement opérationnel et ont été utilisés en Syrie, l'Inde doit encore développer des UCGV aussi lourds pour remplacer la flotte actuelle de chars et de véhicules blindés. Il est grand temps que l'Inde augmente ses dépenses de R&D dans ce domaine. Troisième porte-avions Selon des rapports récents, la construction des troisième, quatrième et cinquième porte-avions chinois de taille normale progresse régulièrement, parallèlement à d'importants travaux d'infrastructure, ce qui indique que l'État communiste produira plusieurs grands navires de ce type. Actuellement, le seul porte-avions pleinement opérationnel de la marine indienne est l'INS Vikramaditya, tandis que l'INS Vikrant n'est pas encore totalement opérationnel avec sa flotte complète d'avions de combat, d'hélicoptères et d'armes. La marine indienne est convaincue que la voie de l'avenir consiste à exploiter des groupements tactiques de porte-avions (CBG) capables de projeter leur puissance. La logique veut qu'un troisième porte-avions soit nécessaire pour garantir qu'au moins deux d'entre eux soient en mer à tout moment. L'INS Vikramaditya est basé à Karwar, tandis que l'INS Vikrant sera basé à Visakhapatnam. Le troisième porte-avions fera l'objet d'une rotation chaque fois que l'un d'entre eux sera en carénage ou aura besoin de réparations. Missile balistique antinavire L'Organisation pour la recherche et le développement en matière de défense (DRDO) a procédé avec succès au quatrième essai en vol du missile balistique à capacité nucléaire de nouvelle génération - Agni-P (Agni-Prime) - depuis l'île Dr APJ Abdul Kalam, le 7 juin 2023. L'Agni-Prime, un missile à combustible solide à deux étages, utilise une structure entièrement composite, y compris l'enveloppe, ce qui permet non seulement de réduire considérablement son poids, mais aussi d'améliorer sa portée. L'Agni-P se caractérise notamment par ses quatre ailettes delta pour la manœuvre terminale, indiquant les ogives manœuvrantes qui peuvent non seulement vaincre les systèmes de défense antimissile balistique de l'ennemi, mais aussi être utilisées comme un missile balistique antinavire (ASBM) efficace lorsqu'une nouvelle variante sera mise au point sur la base du système testé. Les ASBM indiens très précis constitueront une menace massive pour les groupes de combat chinois dirigés par des porte-avions dans les régions de l'océan Indien et de l'Asie-Pacifique. Les ASBM indiens, s'ils sont tirés en salves, pourraient donner à la marine indienne non seulement la capacité d'empêcher l'ennemi d'accéder à la mer, mais aussi de dissuader toute ambition chinoise de s'attaquer aux navires de guerre, aux sous-marins et aux groupes de combat de porte-avions indiens dans la région. Initiatives d'indigénisation Parmi les principales mesures prises dans le domaine de la fabrication de matériel de défense, le ministère de la défense a notifié cinq listes positives d'indigénisation pour les services, comprenant plus de 500 articles, et quatre autres listes comprenant plus de 4 600 articles pour les DPSU, afin de s'assurer que les soldats utilisent des armes et des plates-formes fabriquées en Inde. Il a été décidé d'affecter 75 % du budget d'acquisition de biens d'équipement à des achats auprès d'entreprises locales. En prenant des initiatives telles que la création de corridors industriels de défense dans l'Uttar Pradesh et le Tamil Nadu, le gouvernement veille à ce que le matériel militaire moderne soit non seulement fabriqué en Inde, mais aussi exporté vers des pays amis. Se concentrer sur les technologies de pointe Investir dans des technologies futuristes telles que l'IA, l'informatique quantique, les armes intelligentes, la cyberguerre et les capacités de guerre spatiale est crucial pour la sécurité à long terme et le progrès technologique de l'Inde. Le gouvernement a fait part de sa vision à long terme visant à faire de l'Inde un acteur majeur dans le domaine de la technologie, indiquant qu'un certain nombre de mesures ont été prises, notamment le lancement d'Innovations of Defence Technology (iDEX), le programme Technology Development Fund sous l'égide de la DRDO et la création de la National Research Foundation. Ces initiatives ne conduiront pas seulement à l'émergence de nouvelles start-ups, mais constitueront également un pont important pour l'interface industrie-université au cours des cinq prochaines années.
  19. Il n'y a pas besoin de nouvelle solution: 3,2 t de CO2 l'aller retour Paris Tokyo semble un peu sur évalué : si on prend un A-350 900 on a une capacité de 440 sièges , une Autonomie de 15372 km avec une capacité de carburant de 110,5 t. La distance Paris Tokyo est de 9706 km. Si on fait un calcul approximatif on trouve une consommation de 2*9706*110,5/15372= 139,5 t. On peut calculer la part de chaque passager 139500kg/440 = 317 kg. Mais 319 Kg de combustible font 1t de CO2. (http://www.air-defense.net/forum/topic/37559-un-plan-pour-décarboner-léconomie-mondiale/?do=findComment&comment=1618853) On est donc plutôt à une tonne qu'à 3,2. 317 Kg cela ne fait que 8 pleins d'une voiture moyenne. Et en plus il y a une solution qui sont les carburants de synthèse: C'est plus cher pour l'instant mais cela deviendra compétitif au fur et à mesure de la pénurie de pétrole et de la production de masse de ces carburants.
  20. Cela semble être les deux Rafale manquants qui auraient du être livrés en 2023.
  21. Les Européens demandent à leur banque d'investir dans la défense La France, l'Allemagne et douze autres Etats membres font pression pour que la Banque européenne d'investissement puisse financer l'industrie de défense, ce que ses statuts lui interdisent aujourd'hui. La Banque européenne d'investissement (BEI) devra mettre plus d'argent dans l'industrie de défense à l'avenir. Quatorze Etats membres de l'UE, dont la France et l'Allemagne, ont adressé une lettre commune en ce sens à la BEI, la principale institution de financement commun des Vingt-Sept, présidée depuis le 1er janvier par l'espagnole Nadia Calvino . Les statuts de la BEI lui interdisent aujourd'hui de financer les projets de défense stricto sensu. Elle peut néanmoins investir dans les technologies dites « duales », qui ont des applications à la fois civiles et militaires : drones, satellites, systèmes de renseignement, cybersécurité… La BEI a annoncé quelque 8 milliards d'euros d'investissements dans ces domaines d'ici à 2027, dont un peu plus de 2 milliards ont été engagés à ce stade. « C'est déjà important. Les frontières sont souvent floues pour ces technologies duales qui sont cruciales dans la conduite d'une guerre aujourd'hui », explique Thierry Tardy, chercheur associé à l'institut Jacques-Delors. « Au-delà des projets existants » Avec le renforcement de la menace russe, les quatorze pays veulent aller plus loin. « La puissance d'emprunt de la BEI est nécessaire de façon urgente », écrivent ils. « Nous devons explorer différentes possibilités qui permettraient à la BEI d'investir dans des activités liées à la défense au-delà des projets existants dans les technologies duales. » Les Etats signataires de la lettre demandent une « réévaluation des définitions actuelles » pour les technologies duales, ainsi qu'une révision « de la liste des activités exclues » et autres « éléments restrictifs ». « Le poids des Etats demandeurs signifie que le changement demandé a de fortes chances de se concrétiser », reprend Thierry Tardy. Outre Paris et Berlin, la liste des signataires comprend la Finlande, la Suède, la Bulgarie, la Roumanie, la République tchèque, le Danemark, l'Italie, les Pays-Bas, la Pologne et les trois Etats baltes. La pression est donc maximale, malgré les réticences d'autres pays comme l'Autriche, qui est neutre. Avec la levée de ces verrous, la BEI pourrait-elle investir à l'avenir dans des projets d'armements proprement dits, y compris des équipements offensifs et létaux comme des chars de combat, des obus d'artillerie, des roquettes ? C'est toute la question. Une précieuse notation « triple A » La « banque des Etats membres » jouit aujourd'hui d'une précieuse notation « triple A » lui permettant un accès à des financements à taux réduits sur les marchés. Certains redoutent qu'elle ne puisse pas lever de l'argent aussi facilement si elle se mettait à financer des projets d'armements. « Il me semble très peu probable que nous en arrivions là », indique une source proche du dossier. Mais les Etats signataires de la lettre entendent bousculer le jeu. Réformer les missions de la BEI permettrait justement d'envoyer « un effet de signal » aux investisseurs pour stimuler les flux de capitaux dans le secteur européen de la défense en rendant ces investissements « plus acceptables », expliquent-ils. Règles d'investissement durable Au-delà de ses propres investissements, la Banque joue en effet un rôle de levier sur les investissements du secteur privé. « A travers sa fonction de screening initial, la BEI peut contribuer à attirer des investisseurs étrangers sur des projets européens », écrivent les analystes de HSBC dans une note publiée ce lundi. « Beaucoup de PME du secteur de la défense ont du mal à accéder aux fonds publics ou privés en raison des règles d'investissement durable qui sont de plus en plus suivies, explique Luigi Scazzieri, du think tank Centre for European Reform. Une plus grande implication de la BEI enverrait un signal politique fort en montrant qu'investir dans ce secteur n'est pas quelque chose de mauvais ».
  22. Boeing : la colère froide des compagnies aériennes qui ne supportent plus les retards Le ton monte. Incertains sur les délais de livraison de l'avionneur en crise, les grands clients américains de l'avionneur prennent des mesures d'adaptation en urgence. Airbus est en embuscade. Les dirigeants de Boeing ont dû avoir les oreilles qui sifflent mardi dernier. Leurs grands clients, les compagnies aériennes américaines, participaient à une conférence investisseurs de JPMorgan sur le thème de l'industrie. En public, United, Southwest et Alaska Airlines ont reconnu l'étendue des problèmes de production de l'avionneur. Pour eux, l'heure n'est plus aux déclarations rassurantes pour soutenir leur équipementier, même s'ils espèrent ardemment qu'il va se relever au plus vite - mieux vaut un duopole de fournisseurs qu'un monopole. L'urgence est plutôt de trouver des alternatives pour assurer la continuité du service.
  23. C'est sur des trucs comme ça qu'on voit la qualité de l'intégration.
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