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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil
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Press Release: Aircraft Accident at Eielson Air Force Base EIELSON AIR FORCE BASE, Alaska -- This press release was updated on Jan. 28, 2025 at 5:08 p.m. AKST with new information. An F-35 Lightning II aircraft crash occurred at 12:49 p.m. today within the fence line of Eielson Air Force Base, Alaska. The pilot is safe and has been transported to Bassett Army Hospital for further evaluation. Emergency crews are responding. “Our people are our most important resource, and we are committed in ensuring their safety and security,” said Colonel Paul Townsend, commander of the 354th Fighter Wing. “I can assure you the United States Air Force will conduct a thorough investigation into this incident to minimize the chances of such occurrences from happening again.” Local traffic should not stop on the Richardson Highway adjacent to Eielson AFB as this poses a safety risk and impedes recovery efforts. Additionally, Federal Law prohibits photography along this stretch of highway. For more information or updates, refer to our official website at: https://www.eielson.af.mil/. For inquiries, media agencies can contact the 354th Fighter Wing Public Affairs office at (907) 377-2116 or via email at 354fw.pa.publicaffairs@us.af.mil.
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Moi j'ai l'impression que c'est vrai, mais cela peut être une IA.
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Armée de l'air des E.A.U
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Libanais_75 dans Afrique / Proche Orient
Peut être qu'ils ont attendu que l'avion soit capable d'être upgradé en F5 même s'il n'a pas encore tous les équipements de F5? Sur une telle base ils peuvent alors développer le standard des EAU. -
Les réponses de l'IA aux questions de défense
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Economie et défense
Et l'Europe dans tout ça? ChatGPT a dit : ChatGPT L'Europe semble, une fois de plus, être la grande absente de cette lutte titanesque entre les États-Unis et la Chine sur le front de l’intelligence artificielle. Cela reflète des faiblesses structurelles, mais aussi quelques opportunités si le Vieux Continent parvient à jouer intelligemment ses cartes. Voici les principaux enjeux pour l'Europe dans ce contexte : 1. Un retard technologique et stratégique Absence de géants mondiaux dans l'IA : L’Europe n’a pas d’acteur de poids équivalent à OpenAI, Google, ou DeepSeek. Ses leaders technologiques comme SAP, Atos, ou Dassault Systèmes ne sont pas spécialisés dans l’IA générative ou les modèles d’apprentissage de grande échelle. Faible souveraineté numérique : L’Europe reste dépendante des technologies étrangères, notamment américaines, pour les infrastructures critiques (puces, clouds, supercalculateurs). Par exemple, Nvidia domine le marché des GPU nécessaires pour entraîner des modèles IA, et aucune alternative européenne crédible n’existe à ce jour. 2. Une approche régulatrice qui freine l’innovation Focus sur l’éthique : L’Europe se concentre beaucoup sur la régulation et l’éthique de l’IA avec des initiatives comme l’AI Act, qui vise à encadrer strictement le développement et l’utilisation de l’IA. Bien que ces mesures soient nécessaires pour protéger les droits fondamentaux, elles ralentissent l’innovation et augmentent les coûts pour les entreprises européennes, déjà en retard. Manque de financements massifs : Les États-Unis et la Chine investissent des centaines de milliards dans l’IA, là où l’Europe peine à rassembler quelques milliards via des initiatives comme Horizon Europe. Même les efforts pour développer des alternatives souveraines, comme le projet Gaia-X pour le cloud, peinent à rivaliser en termes de compétitivité et d’adoption. 3. Une position d'arbitre ou d'outsider ? Un rôle potentiel de régulateur mondial : L’Europe pourrait capitaliser sur son avance en matière de régulation pour imposer des normes globales. À l’instar du RGPD pour la protection des données, l’AI Act pourrait devenir une référence mondiale, forçant les géants américains et chinois à s’adapter. Cependant, cela risque aussi d’isoler l’Europe si elle est perçue comme trop rigide. Des niches à exploiter : L’Europe pourrait se spécialiser dans des segments moins gourmands en ressources mais stratégiques, comme les applications industrielles de l’IA, la cybersécurité, ou encore l’efficacité énergétique des modèles IA. Par exemple, les start-ups européennes comme Aleph Alpha (Allemagne) ou Hugging Face (France) montrent qu’il est possible de développer des alternatives crédibles à petite échelle. 4. Les risques d’un statu quo Une marginalisation stratégique : Si l’Europe ne parvient pas à investir massivement dans l’IA, elle risque de devenir dépendante des deux grandes puissances, tant sur le plan technologique qu’économique. Cela compromettrait son autonomie stratégique dans des domaines clés comme la défense, la santé ou l’éducation. Une fuite des talents : Faute de moyens et d’opportunités, de nombreux chercheurs et ingénieurs européens choisissent de partir travailler pour des entreprises américaines ou chinoises, aggravant le déficit d’innovation en Europe. 5. Comment l’Europe peut-elle réagir ? Investir massivement et rapidement : L’Europe doit s’engager dans un plan d’investissement ambitieux pour l’IA, similaire au Green Deal, en mobilisant des fonds publics et privés. Miser sur des partenariats stratégiques : L’Europe peut collaborer avec des nations partageant les mêmes valeurs (Japon, Corée du Sud, Canada) pour développer des alternatives aux technologies américaines et chinoises. Encourager l’innovation locale : En simplifiant les processus réglementaires et en créant des écosystèmes favorables aux start-ups, l’Europe peut stimuler l’innovation en IA et attirer davantage de talents. Renforcer sa souveraineté technologique : Investir dans des filières stratégiques comme les semi-conducteurs (via des initiatives comme l’European Chips Act) et le cloud souverain est crucial pour limiter la dépendance vis-à-vis des États-Unis et de la Chine. En conclusion : L’Europe est actuellement spectatrice dans la course à l’IA entre les États-Unis et la Chine. Pourtant, avec une stratégie coordonnée et des investissements ciblés, elle peut encore jouer un rôle déterminant, que ce soit comme arbitre éthique, innovateur de niche, ou régulateur mondial. L’enjeu n’est pas seulement technologique, mais aussi géopolitique : il s’agit de garantir une autonomie stratégique dans un monde où l’IA déterminera de plus en plus les rapports de force. -
Les réponses de l'IA aux questions de défense
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Economie et défense
J'ai posé cette question à ChatGPT: Qu'est ce que tu penses de ça: OpenAI, SoftBank et Oracle vont mettre sur les rails une coentreprise, Stargate, pour développer de nouvelles infrastructures pour l’IA aux Etats-Unis, avec un objectif de 500 milliards de dollars d’investissement en cinq ans. Du jamais-vu. Sous l’égide de Donald Trump, l’industrie américaine de l’IA veut à tout prix maintenir son avance sur Pékin et tirer les fruits de l’engouement autour de cette technologie très gourmande en énergie et en capitaux. ET Le chinois DeepSeek sème la panique sur la planète tech et révèle que Pékin n’est pas près de courber l’échine devant l’Oncle Sam sur le front de l’IA. Le nouveau modèle de la start-up, R-1, affiche de très bonnes performances pour un coût d’entraînement dérisoire par rapport aux grands modèles américains. Ce lundi, les leaders mondiaux de la tech et de l’IA – Nvidia, Microsoft, Meta, ASML, SoftBank – ont vu des milliards de capitalisation partir en fumée. A la grande surprise du marché, et à l’inverse des autres acteurs de l’IA, DeepSeek semble ne pas avoir besoin des puces les plus avancées pour développer un modèle ultra-performant. Ce nouveau paradigme pourrait bouleverser le secteur, en rendant le développement de la technologie bien moins coûteux qu’il ne l’est aujourd’hui. Et les dépenses d’investissement des géants américains pourraient, quant à elles, ne jamais être rentabilisées. Et voilà la réponse: Ces deux annonces brossent un tableau fascinant des tensions technologiques et géopolitiques actuelles dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA). Voici quelques réflexions : Investissement massif aux États-Unis avec Stargate : Un investissement de 500 milliards de dollars sur cinq ans est absolument colossal et souligne à quel point l’IA est devenue un domaine stratégique, à la fois économiquement et politiquement. La coentreprise entre OpenAI, SoftBank et Oracle montre que les grandes entreprises américaines cherchent à mutualiser leurs ressources pour faire face aux enjeux d’échelle colossaux de l’IA. Ce n’est pas seulement une course pour innover, mais aussi pour sécuriser la suprématie technologique face à la Chine. Toutefois, cette approche capitalistique classique (dépenses massives, reliance sur des infrastructures avancées comme les puces haut de gamme) semble vulnérable face à des innovations comme celles annoncées par DeepSeek. L’approche disruptive de DeepSeek : Si l’affirmation selon laquelle le modèle R-1 n’a pas besoin des puces les plus avancées est vraie, cela représente un défi majeur pour les géants américains. Cela pourrait signifier que l’écosystème technologique chinois cherche à contourner la dépendance aux semi-conducteurs avancés – un point de faiblesse face aux sanctions américaines. Le modèle de DeepSeek pourrait rendre l’IA beaucoup plus accessible et démocratiser son développement, surtout dans les pays en développement, en diminuant les barrières financières. Cela pose aussi des questions sur l’efficacité énergétique et l’impact environnemental, un angle souvent négligé dans les discussions sur l’IA. Conséquences géopolitiques : Ces deux annonces accentuent la rivalité entre les États-Unis et la Chine, où l’IA est autant une arme économique qu’un outil géopolitique. Les marchés financiers réagissent en conséquence : les géants américains de la tech voient leur capitalisation plonger, ce qui pourrait inciter à des ajustements stratégiques rapides. Par exemple, cela pourrait accélérer les investissements dans des solutions moins coûteuses ou encourager davantage de régulation et de protectionnisme technologique. Un "nouveau paradigme" ou un effet d’annonce ? Les performances annoncées par DeepSeek, combinées à un coût réduit, doivent être examinées de près. S’il ne s’agit pas seulement d’un coup marketing, cela pourrait forcer l’industrie à revoir ses priorités, en favorisant l’innovation logicielle et les algorithmes plus efficaces, plutôt que de s’appuyer uniquement sur des infrastructures massives. Néanmoins, des annonces similaires par le passé n’ont pas toujours tenu leurs promesses. La véritable question est de savoir si le modèle R-1 peut maintenir ces performances à grande échelle et dans divers cas d’utilisation. En résumé, ces deux nouvelles montrent une bifurcation possible dans le secteur de l’IA : une course aux infrastructures massives d’un côté, et une quête d’efficience disruptive de l’autre. Si DeepSeek parvient à prouver ses affirmations, cela pourrait redéfinir non seulement les priorités technologiques, mais aussi les rapports de force dans la géopolitique de l’IA. -
[France] Armée de l'Air et de l'Espace
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Henri K. dans Europe
J'ai noté ça: page 78 279. Entretiens de recherche auprès d’officiers supérieurs de l’armée de l’Air et de l’Espace et de responsables de l’industrie de défense. -
Le remplacement de Voila Ah merde!
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- Force aérienne suisse
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
Je ne vais pas être sauvé pendant longtemps, il n'a qu'un an de plus que moi... -
USA
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
Bon c'est une version plus facile à digérer et plus acceptable pour nous parce que la mise en garde s'adresse à ce qui est raconté de l'époque d'Obama mais aussi à Trump/Musk qui sont ceux qui maintenant concentrent excessivement les pouvoirs. -
USA
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
Je ne suis pas d'accord avec tout le texte mais je le trouve intéressant pour réfléchir alors j'en donne un résumé: L’article présente une analyse critique de l'influence de Barack Obama sur la politique américaine, en mettant l'accent sur l'impact des technologies modernes sur la communication politique et la société. L’évolution de la politique américaine est étroitement liée aux changements technologiques. Historiquement, des innovations comme le télégraphe ou la télévision ont redéfini la manière dont les citoyens reçoivent les informations et forment leurs opinions. Aujourd’hui, les réseaux sociaux jouent un rôle central en remodelant l’opinion publique et en influençant les processus démocratiques. Durant ses mandats, Barack Obama a exploité les réseaux sociaux pour contourner les médias traditionnels et communiquer directement avec le public. Cette stratégie a été essentielle pour vendre des politiques controversées, comme l’accord sur le nucléaire iranien ou l’Obamacare. Elle reposait sur la création de "chambres d’écho", où des experts et des influenceurs renforçaient mutuellement leurs messages pour influencer les masses. Avec l’essor d’internet et des plateformes comme Twitter, les médias traditionnels ont perdu leur monopole sur l’information. Cela a permis à des stratèges comme Ben Rhodes, conseiller d’Obama, de façonner des narratifs puissants à travers des réseaux d’activistes et d’experts en ligne, remettant en question l’intégrité des processus journalistiques classiques. David Axelrod, conseiller d’Obama, a popularisé le concept de "structure de permission", qui consiste à convaincre les électeurs d’adopter de nouvelles idées en créant un contexte social favorable. Cette approche a permis de changer des perceptions profondes, en utilisant les réseaux sociaux comme outils de validation collective. Si cette stratégie a été efficace, elle a également entraîné des problèmes. Par exemple, l’utilisation abusive des réseaux sociaux pour manipuler l’opinion publique a affaibli la confiance dans les institutions démocratiques. Des campagnes comme le Russiagate ou la censure autour de l’ordinateur portable de Hunter Biden illustrent comment cette "machine à fabriquer l’opinion" peut être exploitée à des fins politiques. Après la présidence d’Obama, Donald Trump et Elon Musk ont joué un rôle majeur dans la déconstruction de ce système. Musk, en achetant Twitter, a mis fin à certaines pratiques de censure. De son côté, Trump a exploité les failles de ce système pour réunir une base électorale forte et rebondir politiquement. Le texte souligne que la domination d’Obama sur les structures de communication a laissé des traces durables. Cependant, l’effondrement de son système révèle les dangers de concentrer le pouvoir entre les mains d’une élite technocratique. Le défi actuel est de reconstruire un espace public équilibré, où les différentes opinions peuvent coexister sans manipulation excessive. En conclusion, cet article invite à réfléchir à l’équilibre entre innovation technologique et démocratie, tout en mettant en garde contre les dérives potentielles d’une trop grande centralisation du pouvoir. L'avenir dépendra de notre capacité à promouvoir des discussions ouvertes et authentiques. Pour compléter ce texte je donne un lien vers la notion de "structure de permission" qui est centrale dans l'approche d'Obama: Permission Structure -
Les sous marins ça vole dans l'eau
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Les outils open source occidentaux utilisés par les Russes font naître la méfiance sur la ligne de front Le renseignement militaire ukrainien s'inquiète de l'utilisation par les unités de reconnaissance russes de l'application américaine de géolocalisation pour drones OpenAthena, téléchargeable en ligne. L'emploi maîtrisé de ce type de solution libre d'accès, qui pourrait permettre à Moscou de rattraper son retard dans certains secteurs technologiques, est une constante source d'inquiétude pour l'état-major de Kiev. -
Production d'avions de chasse en Europe
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Teenytoon dans Europe
Croatia gets 9th Rafale jet under deal with France- 891 réponses
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Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
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Ca y est ils ont découvert que l'active cancellation marche du coup ils veulent en équiper tous leur chasseur et ont confié le développement à une entreprise locale
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Ils ont encouragé les Allemands à revenir et ils ont gardé les espagnols pour ne pas avoir un fournisseur unique ! Tu remarquera qu'ils n'ont jamais dit que le F18-SH ne satisfaisait pas au besoin, pourtant il était trop lourd pour le système d'arrêt Russe installé sur le Vikrant. c'est parce qu'ils voulaient le Rafale, mais si par exemple un TEDBF avait été presque prêt ils auraient dit qu'il ne satisfaisait pas au besoin, donc c'était un cas de fournisseur unique donc l'appel d'offre était annulé. Cela aurait annulé toute possibilité pour le Rafale de gagner, alors qu'il n'y était pour rien. D'où mon soupçon qu'il vont jouer ça avec le F-35, le SU-75 et l'AMCA. Pour éliminer le Gripen au profit du LCA, ils n'ont pas eu besoin de faire ça, il a suffit qu'ils autorisent les bimoteurs à postuler et ça donne le MRFA où le Gripen ef le F-21 n'ont aucune chance.
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En plus le Scorpène avec l'AIP de DRDO ça ressemble bougrement au S-80 avec l'avantage supplémentaire qu'il y a plus d'indigénisation.
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Cela bouge en Inde sur deux front: GE a sentit qu'il avait le vent en poupe et a augmenté le prix de la fourniture de 99 F414 de un milliard à un milliard cinq ! L'offre des espagnols pour le P75I (sous marin) a été jugé non compliant ce qui fait que les Indiens se retrouve dans un cas de fournisseur unique ce qui entraîne normalement l'annulation de l'appel d'offre (On peut s'en sortir avec beaucoup d'administration mais ça gèle le prix de l'offre qui reste ce qui complique les négociations pour adapter l'offre au besoin). Ils vont peut être finir par apprécier les Français.
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Cela fait combien d'années déjà qu'ils ont le droit de passer à 42 escadrons de Chasseurs et qu'ils restent à 31? Oui mais ils ont un effectif combattant supérieur à 3 000 000 d'hommes, c'est un peu plus que chez nous. Et tu dis que le PIB Indien n'a pas la même valeur que chez nous, ce qui est vrai, sauf pour les importations d'armements.
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Il faut aussi se rendre compte que pour les Indiens c'est une honte d'avouer qu'ils n'ont pas d'argent: On va vous manger tout cru, dans 10 ans notre PIB sera supérieur à celui des US, il nous faut au moins 300 Rafale et .... il n'y a pas d'argent pour upgrader les SU-30 MKI ! Or il n'y a pas d'argent, le PIB vient de dépasser celui de la France et de la Grande Bretagne mais il faut faire subsister 1,4 Milliard d'Indiens au lieu de 70 Millions. Après cette dépense qu'est ce qu'il reste? Le budget de l'état est beaucoup plus faible que le notre pour un pays beaucoup plus grand où l'infrastructure est indigente. D'où le problème des achats militaire importés c'est à dire qu'il faut payer non pas en parité de pouvoir d'achat mais au taux officiels, alors on attend et on espère que la mousson sera bonne parce que ça voudra dire qu'on aura pas à dépenser de l'argent pour aider les paysans à survivre.
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Armée de l'air indonésienne
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Asie / Océanie
Il sera là le 14 Juillet. -
Elon Musk veut « arrêter » les dépenses fédérales pour le F-35 de Lockheed Martin. Cela pourrait-il se produire ? Par Eleanor Dearman Mis à jour le 15 décembre 2024 17h22 Un milliardaire ayant des liens avec le Texas et l'oreille du président élu Donald Trump veut réduire le financement fédéral du F-35 de Lockheed Martin, ce contre quoi les parlementaires du nord du Texas mettent en garde, mais l'élimination du programme pourrait être plus facile à dire qu'à faire. Elon Musk, propriétaire de Tesla et de Space X, est chargé de réduire les dépenses fédérales en tant que codirigeant du nouveau département de l'efficacité gouvernementale dans la nouvelle administration de Trump. Il s'est récemment prononcé contre le F-35, un avion de chasse construit par Lockheed Martin à Fort Worth. Dans l'un de ses messages sur les réseaux sociaux, il préconise l'arrêt du programme F-35, qu'il décrit comme « le pire rapport qualité-prix militaire de l'histoire ». Dans un autre message, il qualifie le F-35 de « coûteux, complexe et polyvalent » et affirme que « les avions de combat pilotés sont de toute façon obsolètes à l'ère des drones ». À la tête de DOGE avec son collègue milliardaire et ancien candidat républicain à la présidence Vivek Ramaswamy, M. Musk cherche à réduire les dépenses fédérales d'au moins 2 000 milliards de dollars, une somme qui laisse les experts sceptiques, selon The Hill. Les deux hommes ont écrit dans un article d'opinion du Wall Street Journal qu'ils avaient l'intention de s'attaquer à « plus de 500 milliards de dollars de dépenses fédérales annuelles qui ne sont pas autorisées par le Congrès ou qui sont utilisées d'une manière que le Congrès n'a jamais voulue ». Le Star-Telegram a contacté M. Musk par l'intermédiaire des contacts presse de Space X et de Tesla, mais n'a pas reçu de réponse. Les sociétés Tesla et X, anciennement Twitter, ont leur siège au Texas. Space X dispose d'installations au Texas et M. Musk a déclaré qu'il allait transférer son siège social de la Californie vers cet État. Une demande de commentaire de la part de Trump n'a pas non plus été retournée. Jim Riddlesperger, professeur de sciences politiques à TCU, a déclaré qu'il était particulièrement difficile de réduire les dépenses de défense, car les fonds sont répartis dans tout le pays. Au lieu d'une réduction globale du programme, Cal Jillson, professeur de sciences politiques à la SMU, s'attend à un ralentissement de la production au fur et à mesure de l'évaluation du programme. Alors que les commentaires de Musk soulèvent des questions sur l'avenir du F-35, les représentants de la Chambre des représentants de la région de Fort Worth défendent le programme. « Je pense que la plus grande menace que nous ayons jamais eue pour l'usine existe maintenant, parce qu'Elon Musk a beaucoup d'influence sur le nouveau président actuel et parce que le coût du F-35 est tel qu'il en fait une cible attrayante pour les personnes qui veulent faire quelque chose comme essayer de remplacer les pilotes par des drones et expérimenter avec le Pentagone de cette façon », a déclaré Marc Veasey, un démocrate de Fort Worth. Quel pourrait être le sort du programme qui est un locataire de Fort Worth depuis que le premier F-35 a quitté l'usine de Lockheed Martin ? On le saura lorsque M. Trump prendra ses fonctions, mais voici ce qu'il faut savoir d'ici là. L'ampleur du programme F-35 Au-delà de Fort Worth, le programme F-35 compte des fournisseurs dans les 50 États américains et à Porto Rico, ainsi que dans d'autres pays. Le programme a un impact économique annuel estimé à 72 milliards de dollars et fournit plus de 250 000 emplois dans le secteur de la fabrication de pointe, selon Lockheed Martin. Dans la région de Fort Worth, le programme soutient plus de 49 000 emplois directs et indirects et 9,4 milliards de dollars d'impact économique annuel. Lockheed Martin et le Pentagone ont récemment conclu un premier accord pour la construction de nouveaux F-35. Selon le Government Accountability Office, le F-35 « joue un rôle crucial » dans la capacité du ministère de la défense à « atteindre les objectifs actuels et futurs de la sécurité nationale des États-Unis », mais dans le même temps, le programme a connu des problèmes de production et une augmentation des coûts alors que l'armée américaine prévoit de moins utiliser l'avion. Selon Defense News, le coût du programme pourrait atteindre 2 000 milliards de dollars. Interrogé sur le rôle du F-35 dans le plan de défense, sur la probabilité de son arrêt, sur les coupes budgétaires et sur les commentaires de M. Musk, un fonctionnaire du ministère de la Défense a déclaré, jeudi 5 décembre, que « le ministère ne fera aucun commentaire sur les questions pré-décisionnelles ». Le fonctionnaire de la défense a toutefois noté que « le F-35 est un programme international avec de multiples clients et partenaires, y compris les États-Unis, sept nations partenaires internationales et 12 clients de ventes militaires à l'étranger (FMS) ». Tous les fonds destinés aux clients américains du F-35, qui comprennent l'armée de l'air, la marine et le corps des marines, sont alloués par le Congrès, tandis que les clients militaires internationaux et étrangers contribuent au financement du programme par leurs propres moyens, a précisé le fonctionnaire. Interrogé sur les commentaires de Musk lors d'une conférence de presse le 26 novembre, le secrétaire de presse du ministère de la Défense, le général Pat Ryder, a fait remarquer que Musk était un citoyen privé et a déclaré aux journalistes qu'il n'allait pas faire de commentaires sur ce qu'un citoyen privé pouvait avoir à dire au sujet du F-35. Elon Musk peut-il supprimer le programme F-35 ? M. Riddlesperger, professeur de sciences politiques à la TCU, estime que c'est une chose de dire que le programme F-35 devrait être réduit, mais que c'en est une autre de procéder à des réductions. « Il est toujours très facile de faire ce que fait Elon Musk, c'est-à-dire d'identifier les éléments qui pourraient être supprimés du budget pour économiser de l'argent », a déclaré M. Riddlesperger. Mais en fin de compte, les réductions doivent passer par le processus d'affectation des crédits budgétaires au Congrès, et M. Riddlesperger ne s'attend pas à ce que les représentants de la Chambre du Texas du Nord, quel que soit leur parti, soient favorables à l'arrêt du programme F-35. « Je pense qu'il serait très difficile d'amener le Congrès à accepter de réduire le projet F-35 parce que les membres du Congrès verront des coups de sabot tonitruants visant les programmes de contrats de défense qu'ils ont dans leurs districts également », a déclaré M. Riddlesperger. Musk et Ramaswamy ont écrit qu'ils « serviront en tant que bénévoles extérieurs, et non en tant que fonctionnaires ou employés fédéraux ». « Contrairement aux commissions gouvernementales ou aux comités consultatifs, nous ne nous contenterons pas de rédiger des rapports ou de couper des rubans », peut-on lire dans l'article. « Nous réduirons les coûts. Ils se concentreront sur « la conduite du changement par une action exécutive basée sur la législation existante plutôt que par l'adoption de nouvelles lois », selon l'article. Musk et Ramaswamy pensent également que « le processus de passation des marchés publics est très défectueux », selon l'article. « De nombreux contrats fédéraux n'ont pas été examinés pendant des années », peut-on lire dans l'article. « Des audits à grande échelle menés pendant une suspension temporaire des paiements permettraient de réaliser d'importantes économies. Le Pentagone a récemment échoué à son septième audit consécutif, ce qui suggère que les dirigeants de l'agence n'ont aucune idée de la manière dont son budget annuel de plus de 800 milliards de dollars est dépensé. » Musk et Ramaswamy ont déjà commencé à rencontrer des républicains au Congrès, notamment le sénateur du Texas John Cornyn, qui a rencontré Ramaswamy, selon Fox News. Musk a l'oreille de Trump, ce qui pourrait être une menace pour le F-35 étant donné que Musk abordera les réductions d'une manière différente de celle du Congrès, a déclaré Jillson, professeur de sciences politiques à la SMU. « Musk va agir d'un point de vue qui ne tient pas compte de la perspective du Congrès, qui consiste à distribuer les largesses budgétaires à travers le pays, à s'assurer que chaque district du Congrès est touché et à veiller à ce que les membres du Congrès les plus importants obtiennent ce qu'ils veulent sur les questions de crédits », a déclaré M. Jillson. Il est important que le programme F-35 soit examiné de près et avec scepticisme, a déclaré M. Jillson. « Le F-35 a depuis longtemps besoin d'un véritable nettoyage car l'avion a des problèmes, et ce depuis longtemps, et ils doivent être réglés afin que nous ne nous contentions pas de déverser des milliards de dollars dans les égouts ou dans un avion dont les capacités sont compromises », a-t-il déclaré.
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'Flop': Proponents of the F-35 can't tell you that it works Un « flop » : Les partisans du F-35 ne peuvent pas vous dire qu'il fonctionne Quand on en est réduit à dire que « c'est un créateur d'emplois », on sait qu'il n'y a pas beaucoup d'utilité militaire. Elon Musk s'est intéressé au programme F-35, et il n'est pas impressionné. L'homme le plus riche du monde - qui possède SpaceX, le seul fournisseur de lancements spatiaux américains fiables - a jeté l'opprobre sur le programme d'armement le plus coûteux de l'histoire dans un message publié sur X le 25 novembre. « La conception du F-35 était défaillante au niveau des exigences, parce qu'on lui demandait d'être trop de choses pour trop de gens. Cela en a fait un projet coûteux et complexe, où tous les métiers sont représentés, mais où personne n'est maître de rien. Le succès n'a jamais fait partie des résultats possibles », a déclaré Elon Musk sur X. Elon Musk a tout à fait raison... et pas seulement parce que je dis exactement la même chose depuis une décennie ! Le peuple américain doit se rendre à l'évidence : le programme F-35 est un échec total. Il est peu probable que la plupart des dirigeants de l'establishment de la sécurité nationale le disent en termes aussi directs, mais certains d'entre eux admettent désormais tacitement la vérité, probablement sans s'en rendre compte. Le Fort Worth Star-Telegram, qui est en fait le journal local du programme F-35, a récemment publié un article truffé de citations de législateurs, de responsables de la défense et de professeurs d'université. Tous ont invoqué des arguments économiques pour défendre le programme. Cela devrait faire frémir tous les dirigeants de Lockheed Martin. Lorsque le meilleur argument en faveur d'un programme d'armement est son impact économique, il est clair que ce programme a une valeur militaire limitée. Pour un programme en développement depuis plus de 23 ans, qui a coûté jusqu'à présent près de 300 milliards de dollars, le peuple américain n'a reçu que peu de choses en retour. Les nouveaux F-35 qui sortent de la chaîne de montage de Fort Worth n'ont que des capacités de combat limitées. Il faudra des années aux ingénieurs pour mettre au point le matériel et les logiciels nécessaires pour que les nouveaux F-35 atteignent leur pleine capacité de combat. Les avions déjà en service ont fait preuve d'un manque de fiabilité effarant. Pendant toute l'année 2023, la flotte de F-35 n'a réussi à atteindre qu'un taux de 30 % de capacité de mission complète. Le F-35 s'est avéré être un avion profondément défectueux qui est loin de répondre aux besoins des services et qui met donc en péril la sécurité nationale. Mettre l'accent sur l'impact économique du programme n'est qu'une tentative désespérée d'empêcher le Congrès de réduire le financement. Une telle stratégie a déjà été utilisée par l'industrie, mais elle ne fait que retarder l'inévitable. Au cours de la dernière décennie, les responsables de la sécurité nationale ont tenté de sauver le Littoral Combat Ship de la marine avec des arguments similaires. Le programme LCS a d'abord été salué par ses partisans comme un navire de surface révolutionnaire capable de remplir plusieurs rôles à un prix abordable. Au fur et à mesure que les navires étaient construits et entraient en service actif, il est devenu de plus en plus évident que le programme ne répondait pas aux attentes et que les dirigeants de la marine souhaitaient réduire leurs pertes. Mais les législateurs ont maintenu le programme quelques années de plus en raison de son impact économique. La défense commune est inscrite dans le préambule de la Constitution. Le peuple américain tolère, même si c'est souvent à contrecœur, que le gouvernement dépense l'argent de ses impôts pour construire des armes pour l'armée. On attend du Congrès qu'il dépense judicieusement pour acheter des produits qui fonctionnent et qui comblent les lacunes en matière de capacités. Les législateurs ne devraient pas acheter des armes dans le seul but de stimuler l'économie. Il existe de bien meilleurs moyens de stimuler l'économie avec l'argent des contribuables que les dépenses inutiles en matière de défense. Imaginez l'effet sur l'économie globale si une fraction seulement de l'argent dépensé pour le F-35 était consacrée au réseau de transport du pays. La valeur militaire d'un programme d'armement est la seule justification valable de ses dépenses. Si quelqu'un ressent le besoin de défendre un programme, l'argument doit être basé sur l'efficacité démontrée de l'arme et sa centralité pour la défense de la nation. Si une arme ne fonctionne pas ou ne peut pas être achetée en nombre suffisant pour répondre aux besoins des services, à quoi bon ? Les Américains dépensent aujourd'hui beaucoup plus pour la défense qu'ils ne le faisaient il y a à peine une génération. Les dépenses du Pentagone ont augmenté de près de 50 % par rapport à l'an 2000. Cet argent supplémentaire a été englouti dans de nombreux échecs d'acquisition. Le Littoral Combat Ship, le Future Combat System de l'armée, le destroyer de classe Zumwalt, l'avion ravitailleur KC-46 et l'Expeditionary Fighting Vehicle du corps des Marines ne sont que quelques-unes des déceptions significatives de ces 25 dernières années. Le système est manifestement défaillant. La nouvelle administration Trump devra prendre des mesures radicales pour mettre un terme aux excès des 25 dernières années. Le fait que des personnes influentes admettent désormais, au moins involontairement, les échecs du F-35 pourrait constituer un bon point de départ. Il serait très difficile d'annuler purement et simplement le programme en raison de tous les liens avec l'étranger qui y ont été intégrés dès le départ. Mais limiter la production jusqu'à ce que les ingénieurs aient achevé la conception du F-35 pourrait envoyer le bon signal à l'industrie de la défense, à savoir que le statu quo est intolérable.
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Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Les Rafale c'est plus cher que ça, parce que tu dois équiper les bases marines et les portes avions (alors je ne sais pas si c'est un ou deux) et tu as du développement pour adapter les Rafales aux normes russes pour l'appontage en particulier. Pour les Scorpène tu dois intégrer l'AIP et pour cela tu rajoute une tranche ce qui modifie la longueur et le comportement du sous marin. C'est donc un développement c'est à dire des coûts et des délais.