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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Non je parque gratuitement mes TR3 dans ton Groenland alors que pour l'Australie j'ai demandé 368 Milliards pour parquer mes Virginia!
  2. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Normalement les TR3 devaient venir au Danemark mais ils ont substitué.
  3. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Là où c'est plus rigolo, c'est que les US avaient déjà 208 Avions TR1 qu'ils utilisaient que pour l'entraînement et qu'ils s'y rajoute les 110 TR3 produit en 2024 qu'on ne peut utiliser aussi que pour l'entraînement ça fait 318 F-35 d'entraînement. j'espère que cela va réduire la pénurie de pilotes!
  4. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Je ne suis pas d'accord avec toi pour les Danois: ceux ci ont rapatrié les avions qui étaient aux US dans un but de formation et qui étaient des TR2 avec les TR2 qu'ils avaient déjà chez eux ça leur fait 11 avions TR2 qui sont codés pour le combat. Comme ils ont en tout 17 livraisons cela veut dire qu'ils laissent 6 avions TR3 aux US pour les besoins de l'entraînement. Ils se démerdent pas mal.
  5. Mais une grande coalition aurait elle la majorité sans les verts?
  6. Je sortirais du paradoxe ainsi: c'est pas parce qu'on pense qu'ils sont des ennemis de l'état qu'on a raison donc ce n'est pas un motifs suffisant pour l'interdire, par contre on peut clamer son point de vue et trouver que ceux qui pactise avec ces gens ont politiquement tord de prendre un tel risque. Il y aurait une sorte de principe de précaution...
  7. Le niveau technologique de Safran dépend à 100% de son activité moteur militaire car pour les moteurs civils il fait les parties froides qui ne sont pas aussi évolutives que les parties chaudes.
  8. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Révélation : le F-35 est un projet publicitaire de Martin-Baker pour vendre ses sièges éjectables
  9. Picdelamirand-oil

    Bonjour à tous

    Moi aussi je suis heureux de te rencontrer. Bienvenue.
  10. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    F-35 program faces delays and software challenges Le programme F-35 est confronté à des retards et à des problèmes de logiciels Le programme F-35 Joint Strike Fighter (JSF) est officiellement entré en production à plein régime suite à un mémorandum de décision d'acquisition (ADM) signé en mars 2024. Toutefois, de nouveaux rapports du directeur des essais opérationnels et de l'évaluation (DOT&E) du ministère américain de la défense mettent en évidence les difficultés persistantes en matière d'intégration des logiciels, de qualité de la production et de préparation aux missions. Le dernier rapport combiné sur les essais et évaluations opérationnels initiaux (IOT&E) et les essais et évaluations à balles réelles (LFT&E) du F-35, publié en février 2025, évalue la capacité de mission globale du F-35 dans sa configuration Block 3F. Il comprend également une annexe détaillant l'état actuel des essais opérationnels du bloc 4 et de la mise à jour technologique 3 (TR-3), tous deux confrontés à des retards et à une instabilité logicielle. Le Bureau du programme conjoint (JPO) du F-35 avait initialement prévu que les avions du lot 15 - les premiers à être dotés de l'architecture des systèmes de mission TR-3 - seraient livrés en juillet 2023. Toutefois, des problèmes de fonctionnalité logicielle ont contraint l'armée américaine à suspendre l'acceptation des appareils pendant près d'un an. En juillet 2024, l'armée de l'air américaine a commencé à accepter des avions TR-3, mais avec des versions logicielles tronquées qui désactivaient des capacités de combat essentielles déjà présentes dans les avions TR-2 précédents. L'équipe de développement du F-35 a encore du mal à fournir des logiciels stables et pleinement fonctionnels, ce qui oblige les équipes chargées des essais opérationnels à interrompre les évaluations en raison de l'insuffisance des performances et des déficiences. Le rapport du DOT&E prévient que les essais opérationnels complets des avions équipés du TR-3 n'auront pas lieu avant le milieu ou la fin de l'année fiscale 2026, soit près de deux ans après l'introduction de la configuration. Cela signifie que les avions TR-3 en service peuvent rester incomplets au combat jusqu'à ce que de nouvelles améliorations soient apportées au logiciel. L'équipe d'essais opérationnels unifiés (UOTT), qui supervise les essais du F-35, a émis un ordre d'arrêt des essais en février 2024, en invoquant les raisons suivantes des performances logicielles instables Défauts critiques affectant les capacités Défaillances persistantes des systèmes de mission Le rapport du DOT&E a également soulevé des inquiétudes concernant les vulnérabilités en matière de cybersécurité. Le système de logistique et de soutien du F-35, anciennement Autonomic Logistics Information System (ALIS) et maintenant en transition vers Operational Data Integrated Network (ODIN), a été confronté à des défis de développement et à des risques cybernétiques. Le logiciel ODIN, destiné à améliorer l'efficacité de la maintenance et la disponibilité des aéronefs, n'est que partiellement mis en œuvre. Le plan de transition, initialement décrit comme un « lift and shift » d'ALIS vers ODIN, a évolué vers un déploiement progressif sur plusieurs années avec des mises à jour incrémentales tous les six mois. Bien que le JPO ait signalé des améliorations de la qualité de la production, avec des temps de rebut, de reprise et de réparation réduits de 47% depuis 2016, des échappées de qualité - des défauts qui auraient dû être détectés lors des inspections en usine - apparaissent encore dans les avions en service. Un escadron de chasseurs du Corps des Marines en Californie a récemment découvert une série de défauts de production dans des avions F-35C récemment livrés, soulevant des inquiétudes quant à la cohérence de la fabrication sur le site de Lockheed Martin à Fort Worth. Malgré ces problèmes, le F-35 reste l'épine dorsale de la puissance aérienne des États-Unis et de leurs alliés. Le programme de modernisation Block 4, qui comprend de nouveaux capteurs, l'intégration d'armes et une meilleure puissance de calcul, devrait permettre d'améliorer les capacités de l'avion de combat au fil du temps. Toutefois, l'instabilité des logiciels, les vulnérabilités cybernétiques et les revers de production pourraient retarder le déploiement opérationnel complet de ces améliorations. Le rapport DOT&E recommande d'établir des priorités : la stabilisation du logiciel du TR-3 avant de nouvelles livraisons d'avions les tests de cybersécurité de l'ODIN avant sa mise en œuvre complète Un examen plus approfondi de la fabrication du F-35 et du contrôle de la qualité. Alors que l'armée américaine et ses alliés continuent de compter sur le F-35, le succès des mises à niveau TR-3 et Block 4 déterminera si l'avion de combat peut atteindre son plein potentiel de combat.
  11. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    M1,8 c'est à haute altitude et 750 nœuds c'est au niveau de la mer.
  12. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Et je rappelle qu'un Rafale a été à Mach 2 sur un seul moteur. Le problème c'est que si la cellule a fondu, il y a de quoi engueuler le pilote.
  13. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    De toute façon les caractéristiques officielle du Rafale telles que diffusées par Dassault donnent Mach 1,8 comme vitesse maximale. Après l'armée de l'air peut donner les consignes qu'elle veut.
  14. Nucléaire. Quelles sont ces rumeurs de vibrations qui poseraient problème à l’EPR de Flamanville ? Le sujet a été évoqué en cette fin du mois de janvier 2025, après un article publié par « Blast » : l’EPR de Flamanville (Manche) a-t-il des problèmes de vibrations ? L’EPR de Flamanville (Manche) souffre-t-il de problèmes de vibrations ? Par Solène Lavenu Publié le 1 févr. 2025 à 9h50 ; mis à jour le 1 févr. 2025 à 10h43 L’EPR a-t-il des problèmes de vibrations ? La rumeur vient, repart, revient. Il faut dire que les EPR déjà existants, à Taishan en Chine et Olkiluoto en Finlande, souffrent de ces maux. Mais rien n’indique que l’EPR de Flamanville (Manche) rencontre ces problèmes si ce n’est… dernièrement un article paru sur le site internet Blast. Selon le média qui se revendique libre et indépendant : Luc Rémont, le PDG d’EDF, a reçu un rapport inquiétant des ingénieurs qui travaillent sur l’EPR de Flamanville. Il dévoile un problème récurrent de vibrations trop importantes. Et indique ne pas savoir si l’EPR pourra fonctionner à pleine puissance. Le mardi 28 janvier 2025, lors de ses vœux, l’ASNR (Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection) a été interrogée sur ces possibles phénomènes de vibrations, susceptibles de remettre en cause la montée en puissance de l’EPR. « Des modifications » La réponse est claire : « L’ensemble de ces sujets a fait l’objet d’instruction » et des « essais complémentaires » ont été réalisés, indiquait Olivier Dubois, commissaire de l’ASNR. « Il y a eu pour certains de ces phénomènes vibratoires des modifications qui ont été mises en œuvre » sur le réacteur, « pour tenir compte du retour d’expérience », a-t-il ajouté. Mais il n’a pas « connaissance de nouveaux phénomènes vibratoires qui seraient apparus sans être attendus ». « De quoi parlent les journalistes ? » Grégory Heinfling, le directeur de Flamanville 3, n’a donc pas été épargné par la question. La presse, conviée à ses vœux, a profité de l’occasion. Y a-t-il un nouveau phénomène de vibration à l’EPR de Flamanville ? « Quand nous avons vu l’article, on s’est tous posé la question : mais de quoi parlent les journalistes ? », répond sereinement Grégory Heinfling. Des problèmes de vibrations ont déjà été évoqués lors de précédentes CLI, « nous abordons le sujet avec l’ASNR en toute transparence », assure-t-il. Le phénomène de Taishan est en effet grandement envisagé sur l’EPR. Nous ne voyons pas pourquoi nous n’essuierons pas la même problématique que sur l’EPR de Taishan. Grégory Heinfling Pour rappel, elle serait due à un problème de flux neutronique en rapport avec le fond de cuve. Fort du retour d’expérience de Taishan, EDF a anticipé et placé des combustibles particuliers, renforcés, dans sa cuve. C’est cette modification qui a été évoquée par Olivier Dubois, le commissaire de l’ASNR. Enfin, pour répondre à ce problème « sur le plus long terme, une autre solution en cours de qualification est aussi envisagée. Si, bien sûr, elle obtient toutes les qualifications requises », ajoute Grégory Heinfling. Flamanville sur la même voie que Taishan ? Il s’agirait d’un système placé en fond de cuve, imaginé par EDF, et qui permettrait un meilleur contrôle du flux neutronique. À Taishan, la problématique empêche l’EPR de tourner à pleine puissance. L’EPR de Flamanville sera-t-il condamné à la même peine dans l’attente de ce système ? Impossible de le savoir encore. Le phénomène n’est pas encore apparu sur le réacteur tricolore. Le phénomène ne pourrait apparaître que lorsque l’EPR aura atteint une puissance plus élevée. Les problèmes de vibrations pourraient donc alimenter encore de nombreuses conversations. Voilà: le phénomène n'est pas apparu, EDF a anticipé du fait de son retour d'expérience de Taishan et placé des combustibles renforcés (je pense que c'est les crayons qui sont renforcés) dans la cuve de façon à casser le pompage et les journalistes de dire que forcément ça va vibrer
  15. Outgoing Air Force secretary floats options for 6th-gen jet program Le secrétaire sortant de l'armée de l'air propose des options pour le programme d'avions de 6e génération Frank Kendall propose une vision de l'avenir de son département, même si le sort du NGAD dépendra de l'équipe Trump. Par Audrey Decker 13 janvier 2025 Le secrétaire sortant de l'armée de l'air a déclaré que les alternatives possibles à l'avion de combat habité de 6e génération comprennent un avion plus abordable, le « F-35 follow- on », qui pourrait gérer des coéquipiers robotisés. Alors que la nouvelle administration décidera du sort du programme Next Generation Air Dominance, qui a été interrompu l'année dernière en raison de l'explosion des coûts prévus, Frank Kendall a déclaré lundi que des analyses récentes ont mis en évidence la « valeur » de la poursuite d'un avion de 6e génération avec équipage. « En fin de compte, le consensus [...] était largement qu'il y a de la valeur à poursuivre ce projet, et qu'il y a des raisons industrielles de le faire, mais qu'il y a d'autres priorités que nous devons vraiment financer en premier », a déclaré M. Kendall lors d'un événement organisé par le Centre d'études stratégiques et internationales. Si le service ne poursuit pas son plan initial pour le NGAD, une alternative est un « F-35 follow-on » qui serait moins coûteux et servirait de gestionnaire pour les avions de combat collaboratifs, a déclaré M. Kendall. Une autre option pour répondre à certains des mêmes domaines de mission est de se concentrer davantage sur les frappes à longue portée, comme les missiles de croisière de nouvelle génération, ce qui est « quelque chose que nous pourrions faire dans tous les cas » et qui est « relativement peu coûteux, et il est probablement logique d'en faire plus de cette façon », a-t-il dit. Le service pourrait également continuer à acheter des F-35 de cinquième génération et se lancer à fond dans les drones, une idée que Kendall a déclaré qu'il ne ferait pas « personnellement ». Que l'administration Trump poursuive ou non le plan initial, M. Kendall a déclaré qu'"il y a quelques options vraiment raisonnables sur la table que la prochaine administration voudra examiner. » Alors qu'il s'apprête à passer la main, le secrétaire d'État sortant a publié un rapport intitulé « Le département de l'armée de l'air en 2050 » dans lequel il présente sa vision de la situation de l'armée de l'air et de l'armée de l'espace dans les 25 prochaines années. Selon M. Kendall, les missions des deux armées ne changeront pas fondamentalement, mais elles devront toutes deux se transformer. L'armée de l'air de 2050 devra continuer à donner la priorité à ses éléments de la triade nucléaire, à savoir le bombardier furtif B-21 et le missile balistique intercontinental Sentinel, et passer des chasseurs à courte portée à des plates-formes de frappe à plus longue portée. Le service doit également mettre en place des systèmes de réserve survivables, tels que des avions de combat collaboratifs et des avions de mobilité et de ravitaillement. M. Kendall a insisté sur le rôle massif que l'autonomie et les aéronefs sans pilote joueront dans la future armée de l'air, affirmant que la victoire ou la défaite sera déterminée par le camp qui disposera de la technologie d'intelligence artificielle la plus avancée. « Nous évoluons vers une guerre télécommandée qui, d'ici 2050, pourrait être une réalité. Pour réussir dans ce type de conflit, il faudra un mélange de capteurs avancés, d'autres sources d'information, de communications sécurisées et d'IA de pointe pour soutenir la prise de décision », indique le rapport. Pour la force spatiale, M. Kendall a déclaré qu'un « investissement majeur et transformateur » était nécessaire car l'espace sera le « domaine décisif » pour la quasi-totalité des opérations militaires. Il y a actuellement environ 10 000 Guardians, mais d'ici 2050, la Space Force sera « multiple de ce nombre ». Plus précisément, le service doit « développer considérablement » ses armes anti-espace et mettre en œuvre un mélange d'armes basées sur Terre et dans l'espace, selon le rapport. Parmi les autres domaines de croissance recommandés pour la force spatiale figurent la mise en place de systèmes automatisés de connaissance du domaine spatial pour suivre les systèmes spatiaux adverses, la fourniture d'informations de surveillance et de ciblage basées dans l'espace à l'ensemble de la force interarmées, et la poursuite de la mise en place de systèmes résilients d'alerte et de suivi des missiles, étant donné que les missiles resteront « l'arme préférée pour les attaques cinétiques » jusqu'en 2050, selon le rapport. Dissolution de la DOGE Le ministère planifie sa future structure de forces alors même qu'une nouvelle administration - qui promet de réduire les « gaspillages » et d'accroître « l'efficacité du gouvernement » - est sur le point de prendre ses fonctions au Pentagone. Le secrétaire sortant de l'armée de l'air a toutefois rappelé qu'une grande partie des réglementations et de la paperasserie auxquelles le Pentagone doit faire face sont imposées par le Congrès. Par ailleurs, diriger une entreprise efficace n'est pas la même chose que diriger un gouvernement efficace, a déclaré M. Kendall, dans une allusion apparente à Elon Musk, codirigeant du DOGE, qui a été loué pour ses entreprises prospères. « Je pense qu'il s'agit d'un terrain fructueux à labourer, mais il faut le faire de manière professionnelle. Vous devez le faire en comprenant parfaitement ce que vous essayez de faire et quelle est la situation à laquelle vous êtes confronté », a déclaré M. Kendall. Les responsables des efforts d'efficacité se rendront rapidement compte à quel point il est difficile de réduire les achats du Pentagone, en particulier lorsque les programmes bénéficient à plusieurs circonscriptions du Congrès, a déclaré M. Kendall. Par exemple, le Congrès continue d'acheter des C-130 alors que le service en a « assez ».
  16. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Je crois que pendant qu'ils se mobilisent pour résoudre TR3, le block 4 n'avance pas...Finalement en 2014 j'étais trop optimiste. Et puis ils n'ont pas l'air de faire grand chose pour le moteur, le PTMS, la génération électrique, tout ça? Normalement on devrait entendre parler de contrats, de choix de solutions, de vainqueur de compétition?
  17. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Bon si on remplace progressif par graduel, ça marche!
  18. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Full F-35 upgrade package might not happen this year, Lockheed says Lockheed estime que l'ensemble des améliorations apportées aux F-35 pourrait ne pas être réalisé cette année L'entreprise a également fait état de pertes de 2 milliards de dollars en 2024 sur des programmes classifiés lors de sa conférence téléphonique sur les résultats du quatrième trimestre. Cet article a été mis à jour le 29 janvier à 14 h 34 (heure de l'Est). La flotte d'avions de combat F-35 du Pentagone pourrait ne pas recevoir la version complète et prête au combat de la mise à niveau TR-3 cette année, ont reconnu aujourd'hui les dirigeants de Lockheed Martin. La mise à niveau, officiellement appelée Technology Refresh-3, devait à l'origine être prête en avril 2023, mais des problèmes de développement de logiciels ont retardé l'effort à plusieurs reprises. Ces retards ont conduit le Pentagone à suspendre l'acceptation de nouveaux F-35 pendant un an, une pause qui s'est achevée en juillet. La mise à niveau dotera les jets de la puissance informatique supplémentaire nécessaire aux améliorations apportées aux capteurs et aux armes dans le cadre du Block 4. Lockheed doit encore travailler sur le TR-3 en ce qui concerne « l'intégration du système de mission » et « l'amélioration de la stabilité générale du système ». Bien que l'entreprise s'attende à atteindre certaines de ces étapes cette année, le directeur financier Jay Malave a refusé de dire si la capacité de combat complète serait prête en 2025. « Nous visons autant que possible cette année. Mais je pense que pour les besoins de la modélisation financière, nous nous attendons à ce que cela déborde sur 2026 », a déclaré M. Malave lors de la conférence téléphonique sur les résultats du quatrième trimestre de l'entreprise. Interrogé sur le calendrier de la pleine capacité du TR-3, le Bureau du programme conjoint du F-35 a déclaré qu'il « restait concentré sur la résolution des risques connus afin de fournir la capacité de combat du TR-3 en 2025 ». L'année dernière, les dirigeants de Lockheed espéraient que la capacité de combat TR-3 complète serait prête au printemps, mais ni le Bureau du programme conjoint F-35 ni Lockheed n'ont été en mesure de fournir une date de livraison ferme. « En fin de compte, c'est à notre client qu'il revient de déclarer la pleine capacité de combat, et nous travaillerons en coordination avec lui sur ce point », a déclaré M. Malave. « Ce que je peux vous dire, c'est que nous sommes satisfaits des progrès réalisés jusqu'à présent et que l'équipe travaille à un rythme soutenu avec nos partenaires fournisseurs pour améliorer la capacité du système de mission et la stabilité générale du système. En attendant, le Pentagone continuera à recevoir des avions TR-3 dotés d'une version « tronquée » du système jusqu'à ce que la version complète et apte au combat soit prête. À l'origine, le Pentagone avait retenu 5 millions de dollars par avion de Lockheed jusqu'à ce que la mise à niveau complète soit achevée. Le ministère a depuis réduit cette retenue de 1,2 million de dollars par avion, compte tenu des progrès progressifs réalisés par Lockheed, selon un communiqué du Joint Program Office (Bureau du programme conjoint). Lockheed a livré 110 jets en 2024, y compris de nouveaux jets sortant de la chaîne de production et des jets TR-3 précédemment stationnés. Cette année, l'entreprise prévoit de livrer 170 à 190 jets, soit plus qu'elle n'en construit, car elle continue de résorber le retard accumulé dans la mise en service des jets, a déclaré aujourd'hui le PDG de l'entreprise, Jim Taiclet. Lockheed s'attend également à ce qu'un contrat définitif pour le prochain lot de production de F-35, le lot 18, soit conclu au cours du premier semestre de cette année, a déclaré M. Taiclet. Le Pentagone a attribué à Lockheed un contrat de 11,8 milliards de dollars pour le lot 18 en décembre, alors que l'accord final est en cours d'élaboration. L'accord sera finalisé sous la nouvelle administration, et le président Donald Trump pourrait avoir intérêt à réduire le coût du F-35 - de la même manière qu'il est intervenu en 2017. En outre, Elon Musk, un conseiller clé de Trump et chef de file d'un effort visant à réduire le gaspillage gouvernemental, a publiquement critiqué le programme F-35. Interrogé sur les récents bruits entourant le F-35, Taiclet est resté confiant dans la poursuite de la construction de 156 jets par an, en partie parce que la Chine produit son avion de chasse J-20 et qu'une diminution de la production serait « préjudiciable au maintien d'une dissuasion efficace à leur égard ». « Des personnes très compétentes entrent dans l'administration. Ils comprennent la théorie de la dissuasion. Je pense que la dernière chose que le président et l'administration souhaitent, c'est de créer une période de vulnérabilité avec l'un de nos principaux adversaires au cours des prochaines années. Je suis donc très confiant quant à la production de F-35 », a déclaré M. Taiclet. Lockheed a également annoncé, lors de sa conférence téléphonique sur les résultats, des pertes de 2 milliards de dollars en 2024, en raison de deux programmes classés. L'entreprise a déclaré une perte de 1,4 milliard de dollars sur un programme de contrôle des missiles et des tirs et de 555 millions de dollars sur un programme aéronautique pour l'année. En ce qui concerne le programme de contrôle des missiles et des tirs, la société prévoit que les options du programme seront exercées à perte « au cours des prochaines années », mais qu'elles deviendront rentables vers 2028. En ce qui concerne le programme aéronautique classifié, l'entreprise a indiqué qu'elle avait procédé à un examen complet du programme, qui implique « une conception et une intégration de systèmes très complexes », qui a permis d'identifier des coûts d'ingénierie plus élevés que prévu, ce qui entraînera des pertes en 2024.
  19. Je pense qu'il faudrait dire "conformément à un accord standard avec le Danemark" : si les US avait une base en Bretagne est ce qu'on dirait conformément à un accord standard avec la Bretagne ou avec la France?
  20. Russie-Ukraine : tous les soldats nord-coréens auraient été retirés du front
  21. Eh bien justement j'ai fait attention à ne pas le diminuer. J'ai bien dit que c'est à moi que cela ne convenait pas.
  22. EPR de Flamanville : feu vert de l'ASNR pour franchir le seuil de 25% de puissance AFP parue le 31 janvier 2025 L'autorité de sûreté nucléaire (ASNR) a autorisé vendredi EDF à passer le cap des 25% de puissance pour le réacteur EPR de Flamanville, une nouvelle étape dans les essais du réacteur de nouvelle génération. Poursuite de la montée en puissance "Par décision du 31 janvier 2025, l'ASNR a donné son accord à la poursuite des essais de démarrage du réacteur EPR de Flamanville à un niveau de puissance supérieur à 25% de sa puissance nominale", indique l'ASNR dans un communiqué. Cet accord, prévu par l'autorisation de mise en service du réacteur délivrée par l'ASN le 7 mai 2024, "permet à EDF de poursuivre la montée en puissance du réacteur et le programme d'essais prévu", ajoute l'ASNR. EDF avait déposé sa demande d'autorisation le 21 janvier, avant de la compléter mercredi : les résultats des essais réalisés depuis la divergence (première fission nucléaire) jusqu'au palier de puissance à 25% ont permis de démontrer "la disponibilité du système de surveillance et de protection du cœur" du réacteur, ainsi que "la conformité des résultats des essais physiques" de ce même cœur du réacteur", selon l'autorité. L'ASNR indique avoir "réalisé plusieurs inspections du réacteur ces derniers mois, lors desquelles elle a "analysé les événements significatifs (de sûreté, ndlr) déclarés par EDF et les actions correctives mises en œuvre". L'autorité "n'a pas identifié d'élément susceptible de remettre en cause la poursuite de la montée en puissance du réacteur au-delà de 25%". Atteinte de la puissance nominale prévue à l'été 2025 Mardi lors de ses vœux, l'ASNR a été interrogée sur de possibles phénomènes de vibrations, susceptibles de remettre en cause la montée en puissance de l'EPR. "L'ensemble de ces sujets a fait l'objet d'instruction" et des "essais complémentaires" ont été réalisés, a indiqué Olivier Dubois, commissaire de l'ASNR. "Il y a eu pour certains de ces phénomènes vibratoires des modifications qui ont été mises en œuvre" sur le réacteur, "pour tenir compte du retour d'expérience", a-t-il ajouté. Il a indiqué ne pas avoir eu "connaissance de nouveaux phénomènes vibratoires qui seraient apparus sans être attendus". L'agence va poursuivre le contrôle de la sûreté nucléaire, jusqu'à l'atteinte de sa puissance nominale, prévue pour l'été 2025. D'ici là, elle rappelle qu'EDF devra solliciter à nouveau son accord pour augmenter la puissance du réacteur au-delà de 80% de sa puissance nominale. L'EPR de Flamanville, réacteur le plus puissant de France, a été raccordé au réseau électrique le 21 décembre 2024, après 17 ans de chantier, et avec 12 ans de retard sur le calendrier initial.
  23. Il est habituel que mes sources aient un peu d'avance sinon on ne pourrait pas spéculer en toute tranquillité, mais enfin on verra.
  24. Oui mais ça c'est une question simple: moi j'essaye d'écrire un livre en collaboration avec ChatGPT qui présente un projet crédible autour du carburant de synthèse, chiffré, finançable et structuré, qui coche toutes les cases : indépendance énergétique, décarbonation, création d’emplois qualifiés, amélioration de la balance commerciale et innovation industrielle. En plus, il faut tenir compte des contraintes industrielles (montée en cadence, effet d’échelle, compatibilité avec EDF), des réalités économiques (coût de l’électricité, investissements publics-privés) et des enjeux politiques (emplois, balance commerciale, acceptabilité sociale). Et surtout, il faut répondre à un problème mondial. Si la France démontre la viabilité du modèle, rien n’empêche d’exporter la technologie et de créer une industrie stratégique autour du carburant de synthèse.
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