Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

herciv

Members
  • Compteur de contenus

    25 778
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    73

Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Bon la Zeitenwende toussote. L'armée allemande est moins prète qu'en 2022 avant la guerre à cause des dons et des entrainements qui ont épuisé le matériel. https://www.zonebourse.com/cours/devise/US-DOLLAR-RUSSIAN-ROUBLE--2370597/actualite/50-prets-au-combat-L-Allemagne-manque-ses-objectifs-militaires-malgre-la-reforme-de-Scholz-49048212/
  2. Tu penses toi que la stratégie de Trump c'est la domination par les matières premières. Si je comprend bien au detriment tempiraire de la puissance du dollar que tout le monde commence a laisser tomber. Vu les maneuvre de Trump vers le Canada et le Groenland ca tient la route. Mais ca ne peut pas être une stratégie en 4 ans tellement les bouleversement mondiaux seront profond. Pas sûr que le reste du monde reste l'arme au pied. Ensuite Poutine en s'alliant avec Trump prendrait le risque de s'alliéner la Chine. Ca serait osé compte tenu de la dépendance russe a la Chine.
  3. Biden a laissé une petite bombe a Trump. https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Les-Etats-Unis-affichent-un-deficit-de-129-milliards-de-dollars-en-janvier-en-raison-d-un-decalag-49039067/
  4. Aih , Monica n'aura pas de remplaçantes.... https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/L-agence-americaine-de-protection-des-consommateurs-licencie-des-dizaines-de-stagiaires-selon-cert-49039345/
  5. C'est rigoli cette injonction d'aller au taf lundi. Ca sert a quoi ?
  6. Stop ou encore. A la toute fin çà sera les ukrainiens les décideurs et ce quoi que disent Trump et Poutine. Le côté insupportable ou pas de ce qui sortira de ces négos va déterminer pleins de chose.
  7. Via le Figaro : https://www.lefigaro.fr/international/guerre-en-ukraine-poutine-ne-se-prepare-pas-a-la-paix-estime-zelensky-20250212 Le président ukrainien a estimé que l’Europe seule ne pourrait pas garantir la sécurité de son pays. «Les garanties de sécurité sans l’Amérique ne sont pas de vraies garanties de sécurité», a-t-il affirmé. On aurait un blocage ou début de négo ? Zelensky veut des garanties de paix US et Trump ne veut pas de moyens US supplémentaires pour l'Ukraine.
  8. herciv

    La Composante Air belge

    C'est de la langue de bois. Leur F-35 TR3 est incapable par définition de se battre car non "combat coded". Il va falloir attendre fin 2026.
  9. Intègre le Canada et le Groenland dans ta réflexion. Je sais c'est inédit et on a encore du mal à projeter toutes les conséquences des paroles de Trump. Mais il va falloir aller jusqu'au bout de ce que çà veut dire sur le plan géopolitique.
  10. Trump menace le Danemark, ainsi que le Canada, laisse à Poutine les territoires conquis voir menace Zelensky. Fait la visite d'état à Poutine ... Ca commence à ressembler à un échange de bon procédé. Tu me laisse le Canada et le Groenland qu'on peut même partager si tu veux et je te laisse l'Ukraine voir l'Europe. Je ne crois pas à la paix, la Russie continue d'augmenter sa production de guerre et l'Europe se fait dépasser doucement. Pour un pays qui veut la paix çà me semble un signal bien contreproductif.
  11. herciv

    L'Inde

    Oui mais il y a le timing. Tout celà sort au moment où Modi est en France. Difficile de ne pas en tenir compte. Pour moi l'IAF a signifier que HAL a largement eu sa chance et indirectement que les préconisations du DRDO avaient montré leurs limites. Bref il y a injonction d'incompétence pour les deux destiné à mettre sur orbite autre chose.
  12. Certe mais il me semble que les choses sont plus compliquées. Il y a, il me semble, en germe une inversion d'alliance. Trump semble se rapprocher de Poutine et espérer des relations "amicales", beaucoup moins avec les européens. Un tel ton amical avec Poutine devrait être surveillé avec beaucoup d'attention en Europe. En tous cas en substance Trump ne semble pas vouloir aider les européens si bisbille il y a avec Poutine. Le cas échéant la situation pourrait être critique compte tenu de l'état des armées européennes, de leur dépendance aux matériels US et des capacités de blocage de ces matériels depuis les US.
  13. Bon les malheureux Gazaouis n'ont pas fini leur calvaire : https://www.courrierinternational.com/article/gaza-trump-lance-un-ultimatum-au-hamas-promettant-un-enfer-si-les-otages-israeliens-ne-sont-pas-liberes_227561?utm_source=firefox-newtab-fr-fr Trump lance un ultimatum au Hamas, promettant un “enfer” si les otages israéliens ne sont pas libérés Le président américain a promis lundi un “enfer” si le Hamas ne relâchait pas tous les otages israéliens d’ici à samedi, après la menace du mouvement islamiste palestinien de reporter la prochaine libération prévue par le cessez-le-feu en vigueur à Gaza. Courrier international Lecture 2 min. Publié le 11 février 2025 à 06h00 Le président des États-Unis, Donald Trump, s’adresse à la presse, dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche, à Washington, le 10 février 2025. Photo ANDREW CABALLERO-REYNOLDS/AFP Le président américain, Donald Trump, “a fait une série de déclarations fortes” au sujet de la bande de Gaza, lundi 10 février, “lançant un ultimatum” au Hamas en promettant un “enfer” si tous les otages israéliens n’étaient pas libérés d’ici à samedi, ou en évoquant un arrêt des aides à l’Égypte et à la Jordanie si elles n’accueillent pas les Gazaouis, résume The Washington Post. Peu auparavant, le mouvement islamiste palestinien avait annoncé reporter “jusqu’à nouvel ordre” la libération de trois otages prévue pour samedi, accusant Israël de violer le cessez-le-feu. Le prochain échange d’otages israéliens contre des prisonniers palestiniens, programmé pour le 15 février, devait être le sixième, dans le cadre de la première phase de l’accord de cessez-le-feu, d’une durée de six semaines Lire aussi : Cessez-le-feu. Cinquième échange entre otages israéliens et prisonniers palestiniens, sur fond de trêve “très fragile” La “porte reste ouverte”, affirme le Hamas L’annonce du Hamas a incité le ministre de la Défense israélien à mettre l’armée du pays en état d’alerte, en lui ordonnant de se préparer à “n’importe quel scénario à Gaza”, indique Ha’Aretz. L’armée a annulé toutes les permissions des soldats de la division de Gaza, selon la Société de radiodiffusion publique israélienne, comme le rapporte The Guardian, qui voit là un “autre signe que les autorités israéliennes se préparent à la reprise de la guerre”. À Tel-Aviv, des manifestants ont bloqué les rues lundi soir, exigeant le retour de tous les otages. Le Hamas a précisé, lundi en fin de journée, que la “porte restait ouverte” pour le prochain échange d’otages israéliens et de prisonniers palestiniens programmé samedi. Dans un communiqué, le groupe militant a déclaré qu’il avait “intentionnellement fait cette annonce cinq jours avant la remise prévue des prisonniers, laissant ainsi aux médiateurs suffisamment de temps pour faire pression sur [Israël] afin qu’il remplisse ses obligations”. Le report de la libération des otages “menace de faire voler en éclats à la fois la trêve de six semaines conclue le mois dernier et les perspectives d’un accord sur une fin durable de la guerre”, prévient The New York Times. Le journal américain veut toutefois rester optimiste, soulignant que les médiateurs du Qatar et de l’Égypte, qui avaient en janvier “aidé les deux parties à surmonter un autre différend”, “pourraient travailler avec les négociateurs israéliens et du Hamas pour trouver une solution” avant ce week-end. Trump a “complètement remis en question” la viabilité de la trêve La menace du mouvement islamiste palestinien survient “à la lumière des récentes déclarations du président américain, qui a complètement remis en question la viabilité de l’accord de cessez-le-feu” en affirmant la semaine dernière que Washington allait prendre le “contrôle” de Gaza, contextualise pour sa part Al-Jazeera. Lire aussi : Moyen-Orient. Donald Trump ne prévoit pas de droit au retour pour les Palestiniens de Gaza “Les dirigeants américains et israéliens adoptent des positions de plus en plus dures sur l’avenir à long terme” de l’enclave palestinienne, abonde le Guardian. “Donald Trump a appelé à plusieurs reprises à une bande de Gaza sans Palestiniens.” Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a quant à lui “publiquement salué la ‘nouvelle idée’ de Trump pour le territoire et a, selon les médias israéliens, insisté en privé sur le fait que la guerre ne prendrait fin que si le Hamas acceptait de ‘cesser d’exister’”.
  14. herciv

    L'Inde

    SI on regarde les autres liens youtube il semble que le CEMAA indien a déclencher une bronca contre HAL. Venant de l'IAF aucun politique ne pourra impunément critiquer de tels propos. A vue de nez il y a du lourd qui se prépare.
  15. Bon je ne sait pas comment Trump compte mettre la pression sur Zelensky si c'est l'Europe qui doit remplacer les US dans l'aide aux Ukrainiens. AH et puis il compte partager les mines de terres rares ? Non ? C'était juste pour demander. https://www.lefigaro.fr/international/guerre-en-ukraine-l-europe-devra-fournir-l-ecrasante-part-de-la-future-aide-au-pays-previent-le-chef-du-pentagone-20250212 Guerre en Ukraine : l’Europe devra fournir l’«écrasante» part de la future aide au pays, prévient le chef du Pentagone En ouverture d’une réunion du groupe de contact qui coordonne le soutien militaire à l’Ukraine, Pete Hegseth a également rappelé que les États-Unis n’enverraient pas de troupes dans le pays et qu’une adhésion à l’Otan était «irréaliste». Le secrétaire américain à la Défense Pete Hegseth a rencontré ce mercredi 12 février les membres de l’Otan à Bruxelles, pour accentuer la pression sur les alliés européens de Washington concernant le financement de l’Alliance et l’Ukraine. Il en a profité pour rappeler que l’Europe devra fournir l’«écrasante» part de la future aide à Kiev, soulignant que les États-Unis ne toléreraient plus «une relation déséquilibrée» au sein de l’Otan. «Les États-Unis restent engagés dans l’Alliance et en faveur du partenariat de défense avec l’Europe. Mais les États-Unis ne toléreront plus une relation déséquilibrée qui encourage la dépendance», a-t-il déclaré à Bruxelles en ouverture d’une réunion du groupe de contact qui coordonne le soutien militaire à l’Ukraine. À lire aussi Les pistes de l’Administration Trump pour arrêter la guerre en Ukraine Dans le cadre d’un futur accord de paix, Pete Hegseth a également rappelé que les États-Unis n’enverraient pas de troupes en Ukraine. «Pour être clair, dans le cadre de garanties de sécurité, il n’y aura pas de troupes américaines déployées en Ukraine», a-t-il affirmé. En outre, le secrétaire à la Défense a jugé «irréaliste» le retour aux frontières de l’Ukraine d’avant 2014, qui comprennent la Crimée annexée à cette date par la Russie, tout comme une possible adhésion du pays à l’Otan. Ce premier contact à l’Otan entre Européens et Américains depuis le retour au pouvoir de Donald Trump doit leur permettre de se jauger. Il sera suivi par le déplacement du vice-président américain J.D. Vance à Munich, où il rencontrera vendredi le président ukrainien Volodymyr Zelensky en marge de la conférence sur la sécurité dans cette ville allemande.
  16. Non j'ai dit que les F-35 suisses étaient subventionnés compte tenu de la différence entre le prix d'achat par les suisses et le prix d'achat par les US.
  17. Un peu d'économie expérimentale maintenant : https://www.latribune.fr/ Taux d’intérêt : Trump veut (encore) dicter sa conduite à la Fed Le président des États-Unis a estimé ce mercredi que les taux d'intérêt de la Banque centrale américaine (Fed) devraient baisser rapidement afin d'accompagner les droits de douane qu’il veut imposer sur les produits entrant dans le pays. latribune.fr Publié le 12/02/25 à 16:02 Le président américain veut que la Fed baisse ses taux au plus vite pour accompagner la hausse des droits de douane qu'il a décidée. Kevin Lamarque Donald Trump n'a pas renoncé à son bras de fer avec la Banque centrale américaine (Fed). Sur son réseau Truth Social, le président des États-Unis a jugé, ce mercredi, que « les taux doivent baisser, c'est quelque chose qui doit se faire main dans la main avec les droits de douane à venir ! ». De quoi mettre la pression sur le président de la Fed, Jerome Powell qui a estimé, mardi, lors de son audition semestrielle devant une commission du Sénat, qu'il ne voyait « pas d'urgence » à baisser les taux d'intérêt de l'institution dans l'immédiat. Si Jerome Powell n'est en rien pressé, c'est qu'il a pu constater que l'inflation restait encore « quelque peu élevée » aux États-Unis, au-delà de la cible de 2 % à moyen terme que prévoit le mandat de la Fed. Accélération de l'inflation Pire, selon l'indice CPI publié ce mercredi, les prix ont même accéléré en janvier dans le pays pour le quatrième mois d'affilée, s'inscrivant à +3 % sur un an. Et ce, alors que les analystes s'attendaient plutôt à un ralentissement, autour de +2,8 %, en janvier. Dans le détail, sur un mois, les prix ayant le plus augmenté sont ceux des assurances automobile, des véhicules d'occasion, des loisirs, des soins médicaux, des billets d'avion ou encore des frais de communication. Autant d'éléments qui confortent la Fed dans l'idée de faire une pause dans la baisse des taux d'intérêt. Car après une diminution d'un point de pourcentage de ses taux lors de ses trois dernières réunions de 2024, la Fed a choisi fin janvier de marquer un arrêt, préférant s'assurer de l'évolution de l'inflation malgré la bonne tenue de l'économie américaine avec 2,8 % de croissance en 2024 et un taux de chômage autour de 4 %. La politique de Trump crée de l'incertitude Pour la Banque centrale, les perspectives de l'économie américaine pour 2025 sont rendues complexes par la politique de Donald Trump. Un des responsables de l'institution a même estimé qu'elles étaient « hautement incertaines, en particulier en matière de politiques fiscale, commerciale, migratoire et réglementaire ». Et parmi les éléments perturbateurs, les droits de douane mis en place par l'administration Trump arrivent en haut de la pile. Début février, le président américain a annoncé, puis suspendu pour un mois, 25 % de droits de douane sur les produits mexicains et canadiens, ainsi que 10 % de droits de douane, en plus de ceux déjà existants, sur les produits chinois, qui ont, eux, été maintenus. Lundi, il a aussi signé un décret imposant à compter du 12 mars 25 % de taxes sur l'acier et l'aluminium entrant aux États-Unis. Selon l'agence de notation Fitch, ces droits de douane, et le climat d'incertitude qu'ils créent, devraient peser sur l'économie américaine cette année, avec un effet tant sur les dépenses des consommateurs, principal moteur de la croissance aux États-Unis, que sur les investissements, qui viennent nourrir la croissance à venir.
  18. Nouveau mot pour moi le "doxing". C'est Trump contre ses fonctionnaires. On rentre maintenant dans une forme de racisme lié au métier. https://www.latribune.fr/economie/international/le-doxing-l-arme-numerique-illegale-au-service-de-donald-trump-1018196.html
  19. Quand un certain Trump provoque des maux de tête à tous les dirigeants de la planète çà donne çà : https://www.latribune.fr/economie/international/ue-inde-les-pays-victimes-de-la-politique-commerciale-de-trump-resserrent-leurs-liens-1018174.html UE, Inde... Les pays victimes de la politique commerciale de Trump resserrent leurs liens L'Union européenne va renforcer sa coopération avec le Canada et l'Inde. Une manière de rapprocher les pays ciblés par les droits de douane de Donald Trump. latribune.fr Publié le 12/02/25 à 07:57 Le Canada et l'Union européenne ont déjà un accord de libre échange. Les dirigeant européens et Justin Trudeau se félicitent de l'adoption du CETA en 2016. (Photo d'illustration) Reuters Va-t-on vers la création d'un groupe de parole transatlantique ? Alors que Donald Trump poursuit son offensive commerciale, le Canada et l'Union européenne intensifient leur rapprochement stratégique. En visite à Bruxelles ce mercredi, le Premier ministre canadien Justin Trudeau doit rencontrer la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, ainsi qu'António Costa, président du Conseil européen. Objectif : coordonner une réponse face aux nouvelles barrières tarifaires imposées par les États-Unis sur l'acier et l'aluminium, tout en développant des alternatives économiques. À LIRE AUSSI Droits de douane : « Les États-Unis ne sont plus un partenaire commercial fiable » Une guerre commerciale qui s'intensifie Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump a multiplié les mesures protectionnistes. Lundi, il a annoncé l'entrée en vigueur de droits de douane de 25 % sur l'acier et l'aluminium importés aux États-Unis, une décision qui touche directement les exportations canadiennes et européennes. Ces hausses tarifaires doivent s'appliquer à partir du 12 mars, menaçant des industries déjà fragilisées par les tensions économiques internationales. Face à cette offensive, Ursula von der Leyen a dénoncé des mesures « injustifiées » et promit une réponse « ferme et proportionnée ». Le Canada, principal fournisseur d'acier et d'aluminium aux États-Unis, est lui aussi en première ligne. Justin Trudeau a déclaré vouloir travailler avec ses « partenaires et amis internationaux » pour défendre les intérêts canadiens et européens. Un front commun pour diversifier les échanges Ce rapprochement entre l'UE et le Canada s'inscrit dans une stratégie plus large. Ottawa et Bruxelles cherchent à limiter leur dépendance aux États-Unis en renforçant leurs relations commerciales avec d'autres partenaires. Ces dernières semaines, l'Union européenne a multiplié les initiatives : un nouvel accord avec le Mexique, la relance des négociations commerciales avec la Malaisie, et un rapprochement avec le bloc sud-américain du Mercosur. À LIRE AUSSI Christine Lagarde : « L'Europe vit une crise existentielle » L'Inde est également une priorité. Ursula von der Leyen prévoit d'y effectuer son premier déplacement officiel de son second mandat, dans le but de renforcer les liens économiques entre les deux régions. Lundi, Antonio Costa, président du Conseil européen, a aussi discuté avec le président sud-africain Cyril Ramaphosa pour explorer de nouvelles pistes de coopération économique. Selon un haut responsable européen, l'UE veut envoyer un message clair : «Nous pouvons commercer avec le monde entier. Si vous fermez vos marchés, nous avons d'autres partenaires.» Une réorientation stratégique accélérée Cette dynamique de diversification n'est pas nouvelle, mais elle s'est considérablement accélérée avec la réélection de Trump. Le protectionnisme américain pousse Bruxelles et Ottawa à revoir leur positionnement. Pour le Canada, cela signifie trouver de nouveaux débouchés pour ses exportations. « Nous pourrions déplacer certains volumes d'aluminium vers l'Union européenne, où il n'y a pas de droits de douane et où ils ont besoin de métal », a déclaré Jean Simard, président de l'Association de l'aluminium du Canada. Dans ce contexte, le sommet entre Justin Trudeau et les dirigeants européens vise à formaliser des initiatives concrètes. Bruxelles et Ottawa ont déjà un accord de libre-échange en vigueur, mais ils pourraient chercher à l'élargir pour renforcer la résilience de leurs économies face aux politiques de Washington. À LIRE AUSSI Pétrole, guacamole, bois, plâtre... Ces produits menacés par les taxes Trump Le différend commercial entre les États-Unis et ses alliés de longue date pourrait donc déboucher sur des opportunités. C'était déjà ce qu'expliquait Cyrille Bret, enseignant à Sciences Po et chercheur à l'Institut Jacques Delors au lendemain de l'élection de Donald Trump. « Le choc de Trump II peut être paradoxalement salutaire pour les Européens. Mais cette potentielle thérapie de choc ne peut réussir que sous certaines conditions très difficiles à remplir. Que les Européens oublient un instant leurs craintes justifiées et leur déception amère, pour exploiter la crise géopolitique que provoque dès maintenant cette élection. Les Européens doivent s'imposer une discipline de fer en matière de coordination sur les principaux dossiers sécuritaires (Ukraine, Israël), économiques (IA, énergie, tarifs douaniers) et diplomatiques (sanctions, dialogue avec le Sud, organisations multilatérales) », analysait ainsi le chercheur.
  20. Eh bien cette pensée à effleuré mon esprit il y a quelques semaines par espoir. Mais cet espoir est vain manifestement, vu comment il emploi la coercition contre les gouvernement qu'il veut convertir à ses solutions. Les retours de bâton il ne les craint pas tellement il se sent infaillible, tellement il sent la providence divine qui lui a fait échapper à deux attentats, tellement il comprend le soutien des américains après deux élections faisant fi de ses dérapages en actes et en verbes.
  21. Pour ceux qui pense que les paroles de Trump ne sont qu'une stratégie de com ou de négociation. Voilà ce qu'il va falloir prendre en compte maintenant : https://www.lefigaro.fr/international/trump-met-le-roi-de-jordanie-et-les-palestiniens-sous-pression-20250211 Raz les normes internationales, Raz les considération humanistes, Raz les organismes de discussion, Raz les freins internes US. Seul vaut la parole de Trump solidifiée par ses conseillers et son seul outil la coercition. Les canadiens, les danois, les groenlandais, les panaméens les palestiniens et sûrement nous dans pas longtemps on a vraiment du souci à se faire. Macron a tout intérêt à continuer à solidifier sa relation avec Modi. Poutine et Xi doivent doivent avoir investi dans les fabricants de Pop-Corn parce qu'ils vont avoir besoin de réserves. Pas de craintes de prise de poids tellement ils doivent rigoler.
  22. Tiens donc POCUS légitime toujours ses actions en passant par le congrès. AU moins il n'y a pas que du mauvais là-dedans. Bon çà ressemble de plus en plus à une république bananière.
  23. herciv

    L'Artillerie française

    Encore une fois tu as raison sur ce point mais çà n'était pas mon propos. Le propos était de valider ce qui fonctionne dans un 105 mm d'artillerie sous tourelle. Manifestement dans cet emploi, le 10RC s'en sort très bien au point que j'avais trouvé dommage de ne rien avoir à la place après qu'on aura tout donné aux ukrainiens.
×
×
  • Créer...