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herciv

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  1. Je pense surtout que si la Chine brusque trop les choses avec l'Europe ou avec Taïwan, c'est une décision que la France pourrait prendre et qui rendra l'invasion de Taïwan compliqué vu les résultats du rafale en Inde. EN montant les cadences à 5/mois Dassault et la France pourrait livrer les 60 en un an en plus de justifier une nouvelle montée en cadence des rafales et atteindre les 6 / mois.
  2. La réponse du Hamas et les commentaires du Figaro : https://www.lefigaro.fr/international/plan-de-paix-pour-gaza-ce-que-le-hamas-a-repondu-ou-non-a-chacun-des-20-points-de-trump-20251004 Plan de paix pour Gaza : ce que le Hamas a répondu, ou non, à chacun des 20 points de Trump Par Jeanne Sénéchal Dans un communiqué publié le 3 octobre, le Hamas dit «saluer les efforts» du président américain, tout en gardant ses distances. S’il approuve les volets humanitaires du texte, il reste silencieux sur les clauses les plus sensibles. Présenté à la Maison-Blanche le 29 septembre, le plan de Donald Trump pour la «paix à Gaza» trace les contours d’une sortie de guerre encore incertaine. En vingt points, il promet notamment un cessez-le-feu immédiat, la libération de tous les otages et la reconstruction du territoire sous supervision internationale. Quatre jours plus tard, le Hamas publie sa réponse. Le mouvement islamiste dit «saluer les efforts» du président américain et de ses alliés arabes, tout en s’en tenant à une ligne prudente voire équivoque. S’il valide les volets humanitaires du plan, comme l’aide, l’échange de prisonniers ou encore le retrait israélien, il passe sous silence les aspects les plus contraignants : le désarmement, la tutelle internationale et la présence d’une force étrangère sur le terrain. Le Figaro résume, point par point, le «oui mais» du mouvement palestinien. Les réponses du Hamas en résumé Propositions du «plan Trump» La réponse du Hamas Cessez-le-feu et retrait israélien : Le Hamas salue les efforts pour mettre fin à la guerre et réaffirme son rejet de toute occupation. Libération des otages et prisonniers sous 72 heures : Approuve le principe et se dit prêt à négocier via les médiateurs au sujet des détails, mais évoque des «conditions de terrain» nécessaires à la mise en œuvre. Négociations et médiation : Se déclare «disponible à entrer immédiatement» dans des négociations par l’intermédiaire des médiateurs afin de discuter des modalités. Administration de Gaza : Approuve la remise de l’administration de Gaza à un «organisme palestinien d’indépendants» basé sur un consensus national et soutenu par un appui arabe et islamique. Aide humanitaire et reconstruction : Salue les efforts visant à autoriser une entrée immédiate de l’aide, sans autre précision sur ses modalités ou sa supervision. Occupation et souveraineté : Refuse toute présence militaire et exige un retrait complet de Gaza. Statut de Gaza et avenir politique : Renvoie ces questions à une «position collective nationale», conforme aux résolutions internationales, qui sera discutée dans un cadre palestinien global auquel le mouvement participera. Principe de souveraineté palestinienne : Réaffirme les «droits inaliénables» du peuple palestinien et rejette toute solution imposée. Approche collective et cadre national : Affirme que toute décision doit être prise «dans un cadre national palestinien global», conforme aux résolutions internationales, avec la participation pleine et responsable du Hamas. Le cessez-le-feu et le retrait israélien Le plan Trump prévoit la suspension immédiate des opérations militaires, le gel des lignes de front et un retrait progressif des forces israéliennes, effectué par étapes à mesure qu’une force internationale prendra le relais. Israël n’occupera ni n’annexera Gaza, mais maintiendra une présence dans un périmètre de sécurité jusqu’à ce que le territoire soit «stabilisé» et jugé exempt de toute menace terroriste. Dans son communiqué, le Hamas «salue les efforts» du président américain et des pays arabes pour «mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza». Il réaffirme son opposition à toute occupation et au déplacement de la population palestinienne. Le mouvement réaffirme son rejet de toute occupation et appelle à un retrait complet de la bande de Gaza. Il ne détaille toutefois ni le calendrier souhaité ni les mécanismes de contrôle d’un tel retrait, laissant planer une ambiguïté sur les garanties exigées. Libération des otages Le plan Trump prévoit la libération de tous les otages israéliens, vivants ou morts, dans un délai de 72 heures après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu, en contrepartie de la remise par Israël des prisonniers palestiniens listés dans l’accord. Le Hamas, dans son communiqué, affirme «approuver la libération de tous les prisonniers d’occupation, vivants ou dépouilles, selon la formule d’échange contenue dans la proposition du président Trump». Il se dit prêt à engager «immédiatement» des négociations via les médiateurs pour en discuter les détails, mais subordonne cette mise en œuvre à des «conditions de terrain» non précisées. Un haut responsable du Hamas, Moussa Mahmoud Abou Marzouk, a qualifié ce délai de 72 heures de «théorique et irréaliste dans les circonstances actuelles». Négociations et médiation Le plan confie aux médiateurs régionaux (l’Égypte, le Qatar et les États-Unis) la supervision de la libération des otages, du cessez-le-feu et du suivi des engagements. Washington présente ces intermédiaires comme les garants du respect des clauses par les deux parties. Le Hamas «réaffirme sa disponibilité à entrer immédiatement, par l’intermédiaire des médiateurs, dans des négociations pour discuter des détails». Il ne rejette donc pas la médiation, mais ne précise ni calendrier ni modalités de suivi. Administration de Gaza Washington propose la création d’un comité palestinien technocratique et apolitique, chargé de gérer la bande de Gaza pendant la transition, sous la supervision d’un «Conseil de paix» présidé par Donald Trump, auquel participeraient plusieurs dirigeants étrangers, dont Tony Blair. Cette instance aurait autorité sur la reconstruction et sur le redémarrage des services publics. Le Hamas se déclare favorable à la remise de l’administration de Gaza à un «organisme palestinien d’indépendants (technocrates)» fondé sur un consensus national et soutenu par un appui arabe et islamique. Il ne mentionne cependant pas de participation internationale à cette transition, comme le prévoyait le plan américain. Aide humanitaire et reconstruction Le plan Trump prévoit une entrée immédiate de l’aide humanitaire, la réhabilitation des infrastructures essentielles (eau, électricité, hôpitaux, boulangeries...) et la création d’un fonds international de reconstruction, supervisé par les États-Unis, l’Égypte et les États du Golfe. L’objectif affiché est de relancer l’économie locale et de garantir la stabilité sociale de Gaza. Le Hamas «salue les efforts (...) appelant à autoriser une entrée immédiate de l’aide». Il ne formule aucune réserve sur ce point, mais ne précise ni les modalités ni la supervision envisagée pour cette assistance humanitaire. Occupation et souveraineté Le plan américain stipule qu’Israël n’occupera pas Gaza mais qu’il conservera un périmètre de sécurité autour du territoire jusqu’à sa «stabilisation complète», afin d’éviter une résurgence du Hamas ou d’autres factions armées. Le Hamas salue «le rejet de l’occupation de la bande et le refus du déplacement de notre peuple palestinien de ce territoire». Il réaffirme ainsi son opposition à toute présence militaire dans Gaza et ne mentionne pas de dispositif sécuritaire transitoire. Statut de Gaza et avenir politique Le plan Trump évoque la «déradicalisation» de Gaza, sa démilitarisation complète et, à terme, la création d’un État palestinien démilitarisé, à condition que la bande soit pacifiée et dirigée par des institutions réformées. Ce volet se veut une ouverture politique conditionnée à la stabilité du territoire. Le Hamas, de son côté, renvoie ces questions à une «position collective nationale», conforme aux résolutions internationales et à discuter «dans un cadre national palestinien global». Le mouvement laisse entendre qu’il ne souhaite pas se prononcer seul sur l’avenir institutionnel ou sécuritaire de Gaza. Approche collective et cadre national Cette idée de cadre collectif revient plusieurs fois dans la réponse du Hamas. Le mouvement insiste sur le fait que toute décision doit être prise «dans un cadre national palestinien global», réunissant l’ensemble des factions et conforme aux résolutions internationales. Il rejette toute démarche unilatérale ou imposée de l’extérieur, privilégiant un processus fondé sur le consensus national, soutenu mais non dirigé par les puissances étrangères. Les points passés sous silence Le communiqué du Hamas reste muet sur plusieurs points essentiels du plan Trump : désarmement, amnistie des combattants, présence d’une force internationale ou supervision américaine de la reconstruction. En validant les volets humanitaires – cessez-le-feu, aide, retrait israélien – tout en éludant les aspects militaires et institutionnels, le mouvement islamiste cherche à apparaître ouvert au dialogue sans renoncer à son autonomie politique et militaire.
  3. Eh ben croises les doigts pour que çà soit une vrai bouée pour les gazaouis parce qu'ils en ont besoin.
  4. Les échelles entres les deux conflits n'ont rien à voir. Et dans un des cas on assiste à la décimation d'une population qui n'a pas la possibilité ni le droit de se défendre. Pour moi ce plan est bon à prendre plutôt que ce qui les attend sinon. C'est probablement la seule fois que les US ne prendront pas honteusement le partie d'Israël. Je ne pense pas qu'une autre occasion se présentera.
  5. Ils ont besoin de troupes. Le versant messianique ne sert à rien si ils sont perçus eux-même comme la cause des problèmes. Pour moi ils sont face à une vrai alternative.
  6. Les djihadistes oui. Mais le reste de la population a tout à gagner à l'acceptation de ce plan. La conséquence pour le Hamas est un risque de s'aliéner la population qui doit être au bout du rouleau maintenant.
  7. A ce stade il n'y pas mieux. C'est la meilleure propal que les palestiniens vont recevoir. A mon avis même le hamas regardera sérieusement. Mais évidemment il y a du flou notamment sur la perspective d'un état.
  8. Je cite l'article du figar : À mesure que le redéveloppement de Gaza progressera et que le programme de réforme de l’Autorité palestinienne sera mis en œuvre, les conditions pourraient enfin être réunies pour ouvrir une voie crédible vers « l’autodétermination et la création d’un État palestinien », que « nous reconnaissons comme l’aspiration du peuple palestinien ».
  9. Regardes bien c'est écrit en toute lettre se base sur la propal franco saoudienne.
  10. Ben à ce stade vu que bibi a dit Ok ils sont piėgés.
  11. Oui c'est aussi mon avis. Mais Israël fait une croix sur la conquète de Gaza et doit accepter la perspective d'un état palestinien. C'est pas rien.
  12. Bon je viens de relire le plan de paix proposé par les USA. Sincèrement c'est plutôt pas mal. On sent que les israéliens se sont fait tordre le bras genre fin des appro en munition si pas d'accord. Dans le fond c'est reconstruction + état palestiniens + échange de prisonniers et otage + garanties internationales + Israël qui évacue le territoire le tout chapoté par Trump lui-même + le hamas disparait des tablettes Bibi a dit OK ainsi que la Chine, la Russie et j'ai rien vue pour les Français et les saoudiens dont la proposition d'état est reprise dans le plan de Trump. Trump pour chapoter tout çà montre qu'Israël et les USA ne sont plus sur la même longueur d'onde. https://www.lefigaro.fr/international/ce-qu-il-faut-retenir-des-20-propositions-du-plan-trump-pour-la-paix-a-gaza-20250929
  13. Article sous Paywall mais il m'intéresserait bien. Ce que je perçoit c'est que Trump a rendu un accord transpartisant plus compliqué à obtenir pour éviter et maintenant terminer le shutdown. Il a tellement brusqué tous ses opposants democrates que ceux-ci ne lui concède plus rien. D'un autre côté çà montre aussi que la démocratie est toujours active. C'est pas forcément une mauvaise nouvelle sauf si on considère que Trump a voulu cette situation et va en profiter. https://www.latribune.fr/article/economie/international/16651798039310/etats-unis-cette-fois-ci-le-shutdown-va-etre-plus-difficile-a-debloquer
  14. Une bonne nouvelle pour la démocratie US. Le congrès existe encore : Avec le retrait de la nomination d'Antoni à la tête du BLS, Donald Trump trouve les limites de son pouvoir https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/avec-le-retrait-de-la-nomination-d-antoni-a-la-tete-du-bls-donald-trump-trouve-les-limites-de-son-p-ce7d5bd9df8bff21 Alors que le shutdown monopolise l'attention et devrait entraîner la fermeture du Bureau des statistiques du travail (BLS), l'annonce du retrait de la nomination d'EJ Antoni passe un peu inaperçue. Pourtant, elle illustre les limites du pouvoir de Donald Trump et devrait rassurer les investisseurs quant à la succession de Jerome Powell à la tête de la Fed. Antoine Alves d'Oliveira Publié le 01/10/2025 à 16:28 Début août, Donald Trump avait limogé la directrice du BLS, Erika McEntarfer, accusée de manipuler les chiffres en faveur des démocrates. Il mettait notamment en cause les révisions à la baisse. Or, les révisions sont un processus statistique classique : au fur et à mesure du temps, plus de données sont collectées, ce qui permet d’affiner les prévisions. En réalité, il était simplement mécontent de chiffres de l’emploi décevants, qui n’allaient pas dans le sens de son narratif, lui qui répète à l’envie que les Etats-Unis ne se sont jamais aussi bien portés que sous sa présidence, et qui adore porter sa casquette "Trump avait raison sur tout". Dans la foulée, il avait annoncé la nomination d’EJ Antoni, pour la remplacer. Une nomination controversée, puisque celui-ci est l’actuel chef économiste de la Heritage Foundation, sans doute le plus influent think tank conservateur américain. La Heritage Foundation est à l’origine du "Projet 2025" un document de 900 pages souvent considéré comme la feuille de route du mandat de Donald Trump. Un projet qui vise notamment à transformer l’administration fédérale. Le Congrès a son mot à dire Avec cette nomination, les économistes redoutaient une remise en cause de l’indépendance statistique du BLS. Or, il est essentiel que les investisseurs puissent faire confiance aux statistiques officielles des Etats-Unis. Comme pour de nombreuses agences aux Etats-Unis, la nomination d’un responsable dépend du président, mais doit ensuite être confirmée par le Sénat. Si Donald Trump a retiré la nomination d’Antoni, c’est parce qu’il savait qu’il n’obtiendrait pas le soutien du Sénat. En effet, la majorité républicaine est étroite (53-47) et plusieurs élus républicains semblaient réservés sur cette nomination. Ce qui est intéressant dans cette séquence, c’est que Donald Trump trouve là une limite à son pouvoir, lui qui semblait avoir tous les leviers depuis son retour à la Maison Blanche : une administration totalement fidèle et préparée (contrairement au premier mandat), une majorité au Congrès tenue d’une main de fer, des grands patrons qui lui font la cour, une Cour suprême à majorité conservatrice… Une bonne nouvelle pour la Fed C’est surtout une bonne nouvelle pour la Fed, parce que cela montre que le président ne peut pas nommer n’importe qui, et qu’il doit trouver des candidats suffisamment crédibles pour avoir l’aval du Congrès. Une problématique d’autant plus aigüe lorsqu’il s’agit du patron de la Fed, soit la personne la plus importante du monde pour les investisseurs. En effet, le mandat de Jerome Powell expire en mai 2026 et Donald Trump devra choisir son remplaçant dans les prochains mois. Durant son premier mandat, deux candidats de Donald Trump, nommés pour des postes de gouverneurs de la Fed, s’étaient finalement retirés. Les deux avaient fait face à l’opposition des Républicains au Sénat.
  15. Je pense que l'accord n'est pas destiné au Palestiniens mais a la communauté internationale. Ils n'ont aucune représentation citée autre que dans un futur sous condition. En fait cet accord créé un pays diffėrent de la Palestine et sans représentation démocratique élue.
  16. Bon y'a plus intéressant que ce discours : Plus de 100 000 fonctionnaires fédéraux démissionnent mardi face à la menace d'une fermeture du gouvernement https://thenationaldesk.com/news/americas-news-now/over-100000-federal-workers-to-resign-tuesday-amid-looming-government-shutdown-trump-administration-management-and-budge-employment-doge-elon-musk-government-congress-republicans-democrats-lay-offs# Par TAYLOR FISHMAN | Le National News Desk Mardi 30 septembre 2025 à 9h29 WASHINGTON (TNND) — Plus de 100 000 fonctionnaires fédéraux démissionneraient mardi, le Congrès n'ayant pas réussi à parvenir à un accord pour éviter une fermeture du gouvernement. Le temps presse à Washington, DC Si le Congrès et le président Donald Trump ne parviennent pas à un accord d'ici minuit mardi, le gouvernement fédéral fermera ses portes - une mesure qui aurait des conséquences immédiates dans toute la région. La semaine dernière, le Bureau de la gestion et du budget a demandé aux agences fédérales de préparer des plans de réduction des effectifs en prévision de licenciements massifs lors d’une éventuelle fermeture du gouvernement. Il s’agira de la plus forte baisse de l’emploi fédéral en une seule année depuis la Seconde Guerre mondiale. Selon un rapport des démocrates du Sénat, le programme de démission coûtera 14,8 milliards de dollars. Le Bureau de gestion du personnel a déclaré que ce coût unique contribuera à réduire les dépenses du gouvernement fédéral à long terme. Tout au long du second mandat de Trump, des fonctionnaires fédéraux ont été licenciés suite à des mesures de réduction des effectifs imposées par l'administration. En février, Trump a émis un ordre demandant aux agences fédérales de s’attaquer au « gaspillage, au gonflement et à l’insularité » de la bureaucratie. Le ministère de l’Efficacité gouvernementale a aidé l’administration Trump à mettre en œuvre des gels d’embauche et a procédé à des licenciements pour réduire les dépenses inutiles. Le programme de démission différée, appelé Programme de démission différée, a été proposé aux fonctionnaires fédéraux en février. Les employés avaient le choix entre accepter une indemnité de démission ou risquer un licenciement ultérieur. L'indemnité de départ offrait aux fonctionnaires fédéraux le versement de leur salaire jusqu'à fin septembre. Plus de 200 000 travailleurs ont choisi de percevoir l'intégralité de leur salaire et de leurs avantages sociaux pendant une période pouvant aller jusqu'à huit mois durant leur congé administratif. Au total, il y a plus de 2 millions de travailleurs fédéraux, selon le Bureau of Labor Statistics.
  17. Je parlais vis-à-vis des étoilés. Manifestement il a besoin d'eux.
  18. Oui plein de trucs aussi intéressant que çà ...
  19. Il est respectueux voir on se tourne un peu les pouces. Pour l'instant du blabla, il veut que les US refabriquent des navires bon...
  20. Trouvé https://www.france24.com/en/americas/20250930-donald-trump-hegseth-to-address-top-us-commanders-at-secretive-quantico-meeting
  21. Une simple note aurait suffit et le secret pourquoi ? AH j'avais pas vu la partie sur Trump. Donc Hegseth fait juste le chauffeur de salle en fait.
  22. Je met le détail ici. Mais dors et déjà le plan semble recevoir des soutiens importants. Il reprend aussi des éléments de la proposition franco-saoudienne. Je ne vois pas non plus comment Bibi à pu accepter un texte pareil sans se faire méchamment tordre le bras. https://www.lefigaro.fr/international/ce-qu-il-faut-retenir-des-20-propositions-du-plan-trump-pour-la-paix-a-gaza-20250929 Ce qu’il faut retenir des 20 propositions du «plan Trump» pour la paix à Gaza Par Adrien Jaulmes Gaza: si le Hamas rejette l’accord, Israël aura le «soutien total» de Donald Trump La Maison-Blanche a publié le plan du président américain pour Gaza, allant du désarmement du Hamas à la création d’une force internationale. Le président Trump dirigerait un Conseil de paix chargé de superviser la reconstruction de Gaza. Les premiers points du plan pour la paix à Gaza présenté par Donald Trump lundi à la Maison-Blanche, assez vagues, décrivent l’objectif de faire du territoire palestinien une « zone déradicalisée, exempte de terrorisme, qui ne représentera plus une menace pour ses voisins », et « reconstruite dans l’intérêt de sa population ». Sa mise en œuvre prévoit ensuite un échange d’otages et de prisonniers, et des corps des tués. - Les forces israéliennes se retireront jusqu’à une ligne convenue afin de préparer la libération des otages. Pendant ce temps, toutes les opérations militaires, y compris les bombardements aériens et d’artillerie, seront suspendues, et les lignes de front resteront gelées jusqu’à ce que les conditions soient réunies pour un retrait complet par étapes. - Dans les 72 heures suivant l’acceptation publique de cet accord par Israël, tous les otages, vivants ou décédés, seront rendus. - Une fois tous les otages libérés, Israël libérera 250 prisonniers palestiniens condamnés à perpétuité ainsi que 1700 Gazaouis détenus après le 7 octobre 2023, y compris toutes les femmes et tous les enfants détenus. Pour chaque otage israélien dont la dépouille sera restituée, Israël restituera les dépouilles de 15 habitants de Gaza tués. À lire aussi EN DIRECT - Proche-Orient : Benyamin Netanyahou annonce soutenir le plan de Donald Trump pour Gaza Désarmement et amnistie du Hamas et aide humanitaire à Gaza - Une fois tous les otages rendus, les membres du Hamas qui s’engagent à coexister pacifiquement et à déposer les armes bénéficieront d’une amnistie. Ceux qui souhaitent quitter Gaza bénéficieront d’un passage sûr vers des pays d’accueil. - Dès l’acceptation de l’accord, l’aide humanitaire sera envoyée dans la bande de Gaza, incluant, comme prévu dans l’accord du 19 janvier 2025, la réhabilitation des infrastructures (eau, électricité, égouts), la réhabilitation des hôpitaux et des boulangeries, et l’entrée des équipements nécessaires pour déblayer les décombres et ouvrir les routes. - L’aide sera distribuée par les Nations unies et ses agences, le Croissant-Rouge ou d’autres institutions internationales n’ayant aucun lien avec l’un ou l’autre des belligérants, et le point de passage de Rafah rouvrira dans les deux sens. Un Conseil de paix dirigé par Trump et une zone économique spéciale Un gouvernement transitoire temporaire sera assuré par un «comité palestinien technocratique et apolitique», chargé d’assurer le fonctionnement quotidien des services publics et municipaux. Il sera composé de Palestiniens qualifiés et d’experts internationaux, sous la supervision et le contrôle d’un nouvel organe international de transition : le «Conseil de paix», qui sera dirigé et présidé par le président Donald J. Trump, avec d’autres membres et chefs d’État qui seront annoncés ultérieurement, dont l’ancien premier ministre Tony Blair. Cet organisme gérera la reconstruction de Gaza jusqu’à ce que l’Autorité palestinienne ait achevé son programme de réforme, conformément à la proposition franco saoudienne, et puisse gouverner Gaza de manière sûre et efficace. Un plan de développement économique visant à reconstruire et à dynamiser Gaza sera élaboré par un groupe d’experts ayant déjà contribué au développement des villes modernes du Moyen-Orient. Il devra «attirer et faciliter» des investissements qui créeront des emplois et permettre le développement de Gaza. Une zone économique spéciale sera créée, avec des tarifs douaniers et des taux d’accès préférentiels. Pas de départ forcé de populations palestiniennes Personne ne sera contraint de quitter Gaza, et ceux qui souhaitent partir seront libres de le faire et de revenir. «Nous encouragerons les gens à rester et leur offrirons la possibilité de construire une Gaza meilleure», dit le plan. Le Hamas désarmé et démobilisé Le Hamas et les autres factions ne joueront aucun rôle de gouvernement à Gaza, «que ce soit directement, indirectement ou sous quelque forme que ce soit». Toutes les infrastructures militaires, y compris les tunnels et les installations de production d’armes, seront détruites et ne seront pas reconstruites. Un processus de démilitarisation de Gaza sera mis en place sous la supervision d’observateurs indépendants. Il comprendra la mise hors service définitive des armes, soutenu par un programme de rachat et de réintégration financé par la communauté internationale, le tout vérifié par les observateurs indépendants. La nouvelle Gaza s’engagera pleinement à construire une économie prospère et à coexister pacifiquement avec ses voisins. Une force internationale de stabilisation Pour s’assurer que le Hamas et les factions respectent leurs obligations et que Gaza ne représente aucune menace pour ses voisins ou sa population, les États-Unis et leurs partenaires arabes et internationaux déploieront immédiatement «une force internationale de stabilisation temporaire (FIS ou ISF en anglais)». Elle formera et soutiendra les forces de police palestiniennes à Gaza, avec l’aide de la Jordanie et l’Égypte. Cette force collaborera avec Israël et l’Égypte pour aider à sécuriser les zones frontalières de Gaza, avec la participation des forces de police palestiniennes nouvellement formées. Il est essentiel d’empêcher l’entrée de munitions à Gaza et de faciliter la circulation rapide et sécurisée des marchandises afin de reconstruire et de revitaliser Gaza. Un mécanisme de désescalade sera convenu entre les parties. Pas d’occupation de Gaza et retrait des forces israéliennes Israël n’occupera pas et n’annexera pas Gaza. À mesure que l’ISF établira le contrôle et la stabilité, les forces israéliennes se retireront progressivement en cédant le territoire de Gaza qu’elles occupent aux FSI (Forces de sécurité intérieure). Elles se retireront à terme complètement de Gaza, à l’exception d’une présence dans le périmètre de sécurité qui restera en place jusqu’à ce que Gaza soit sécurisée contre toute menace terroriste renaissante. Même si le Hamas retarde ou rejette ce plan, les mesures humanitaires seront quand même mises en œuvre dans les zones transférées par l’armée israélienne aux ISF. Déradicalisation et perspective d’un futur État palestinien Un processus de dialogue interconfessionnel sera mis en place pour «tenter de changer les mentalités et les discours des Palestiniens et des Israéliens» en mettant l’accent sur les avantages que peut apporter la paix. À mesure que le redéveloppement de Gaza progressera et que le programme de réforme de l’Autorité palestinienne sera mis en œuvre, les conditions pourraient enfin être réunies pour ouvrir une voie crédible vers «l’autodétermination et la création d’un État palestinien», que «nous reconnaissons comme l’aspiration du peuple palestinien». «Les États-Unis établiront un dialogue entre Israël et les Palestiniens afin de convenir d’un horizon politique pour une coexistence pacifique et prospère», conclut le plan.
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