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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Tout à fait je poussais un peu le bouchon en omettant la notion de colis radioactifs. Mais c'était pour insister sur les faibles quantités en question. Meme avec une vingtaine de colis de 200 kg ou mème 400 kg chacun la logistique de chacun des colis n'est pas un problème a organiser. Le moindre camion de chantier peut suffire.
  2. Les discours du guide sont clair sur ce sujet. DTn'a pas aimé que le guide lui resiste.Je bois du petit lait.
  3. Si il y a trois millions de pickup enas circulation je vois pas pourquoi il y aurait risque. Ceci dit c'était juste pour dire que la ligistique de 400 kg D'uranium c'est pas ce qu'il y a de plus compliqué a organiser.
  4. Les faits, la logique et ma capacité a douter m'interesse beaucoup plus que les discours. Exemple pourquoi croire un president qui me dit qu'il a stoppé un programme nucléaire et les 400 kg d'uranium produit quand une telle quantité ne prend que quelques pickup a transporter et que les centrifugeuses sont produite en grande quantité par les iraniens ?
  5. Sûrement mais çà rend précaire un discours contre les iraniens. Il n'y a plus de preuves possible autre que "le mossad a dit que ...". Maintenant croire que le Mossad est bien implanté est une chose mais ils n'ont pas été capable de stopper le programme jusqu'à maintenant puisqu'il y a eu une guerre. Si le Mossad annonce trop tôt quelque chose l'échec de la campagne sera évident. A vue de nez le programme est déjà largement cloisonné
  6. C'est du bulgarian mais c'est un article plutôt équilibré : https://bulgarianmilitary.com/2025/06/27/why-portugals-air-force-eyes-rafale-over-u-s-f-35-in-2025/ Pourquoi l'armée de l'air portugaise regarde Rafale au-dessus des États-Unis. F-35 en 2025 La France Rafale cible la mise à niveau de l'armée de l'air du Portugal, remettant en question le F-35 lors d'un changement de l'OTAN. Explorez les enjeux géopolitiques et la technologie à l'origine de cet accord pivot. Résumé - La France pousse les avions Rafale pour la mise à niveau de la force aérienne du Portugal. – Le vieillissement des F-16 du Portugal se débat avec les exigences modernes de l’OTAN. – L’avantage technologique de Rafale cible les rôles de supériorité maritime et aérienne. - L’accord pourrait détourner la défense de l’Europe de la dépendance des États-Unis. - Les débats budgétaires nationaux peuvent servir le choix final du Portugal. Le 25 juin 2025, Éric Trappier, le PDG de la France, Dassault Aviation, a annoncé lors d'une audition du Sénat français que son entreprise poursuit activement un accord pour vendre son avion de chasse Rafale au Portugal, un membre de l'OTAN et de l'Union européenne cherchant à moderniser son armée de l'air vieillissante. S'adressant au journal français Journal du Dimanche, Trappier a souligné l'importance stratégique du Portugal en tant que client potentiel, notant que l'adhésion du pays à la fois à l'OTAN et à l'UE en fait un aspect logique pour le Rafale, qui est déjà en service avec plusieurs nations alliées. L'annonce intervient alors que la concurrence croissante sur le marché mondial des avions de chasse, la Suédois Saab engageant également le Portugal à propos de son avion Gripen. Ce développement marque un moment charnière pour la stratégie de défense du Portugal, car il pèse des options pour remplacer sa flotte dépassée de F-16 dans un contexte de tensions géopolitiques croissantes et une poussée pour une plus grande coopération européenne en matière de défense. La vente potentielle d'avions Rafale au Portugal est plus qu'une transaction commerciale. Il reflète un changement plus large des priorités européennes en matière de défense, les nations cherchant à équilibrer les besoins opérationnels, les engagements d'alliance et les considérations économiques. Au fur et à mesure que le Portugal évalue ses options, la décision pourrait remodeler ses capacités militaires et influencer la dynamique opérationnelle de l'OTAN dans la région atlantique. L'armée de l'air du Portugal: une flotte vieillissante, des menaces modernes L'armée de l'air du Portugal dépend actuellement d'une flotte d'environ 25 Lockheed Martin F-16A/B Fighting Falcons, acquis dans les années 1990 aux États-Unis et au Danemark. Ces appareils, tout en étant modernisés au fil des ans avec l'avionique et les systèmes d'armes améliorés, approchent de la fin de leur vie opérationnelle. Les F-16, conçus principalement pour les missions de combat air-air et de frappe légère, n'ont pas la polyvalence polyvalente requise pour les scénarios de guerre modernes, en particulier dans les opérations maritimes essentielles au rôle stratégique du Portugal en tant que membre de l'OTAN avec une longue côte atlantique. Les principales responsabilités de l'armée de l'air portugaise comprennent la défense de l'espace aérien national, le soutien aux opérations de l'OTAN et la conduite de patrouilles maritimes au-dessus de l'Atlantique, une région de plus en plus contestée en raison de l'activité navale russe. Des rapports récents de l'OTAN indiquent que les opérations de sous-marins et de navires de surface russes renforcés dans l'Atlantique Nord, ce qui souligne la nécessité d'avions de chasse avancés capables de mener des opérations de frappe et de surveillance maritimes à longue portée. Les F-16 du Portugal, équipés de systèmes radar plus anciens comme l'AN/APG-66 et limités par leur portée et leur charge utile, ont du mal à répondre efficacement à ces exigences. La nécessité d’une modernisation a fait l’objet de discussions au sein de l’establishment de la défense du Portugal depuis des années. La position stratégique du pays, qui est responsable du maintien de l'OTAN dans les approches atlantiques en Europe, exige des aéronefs qui peuvent s'intégrer de manière transparente aux systèmes de commandement et de contrôle de l'OTAN tout en offrant des capteurs et des armes de pointe pour diverses missions. Cette toile de fond ouvre la voie à l'examen par le Portugal des combattants de la prochaine génération comme le Rafale. Contexte historique: l'héritage du Portugal en matière d'approvisionnement en matière de défense L'approche du Portugal en matière d'achats militaires s'est historiquement fortement appuyée sur les plates-formes américaines, en particulier les F-16, qui sont l'épine dorsale de son armée de l'air depuis les années 1990. Le pays a acquis 20 avions F-16A/B des États-Unis en 1994 dans le cadre du programme Peace Atlantis I, suivi de 25 F-16 d'occasion supplémentaires du Danemark en 1999. Ces acquisitions reflétaient l'alignement du Portugal sur les systèmes de défense américains, une tendance commune parmi les membres de l'OTAN pendant l'ère de l'après-guerre froide lorsque le matériel américain dominait les arsenaux de l'alliance. Contrairement à certains alliés européens, le Portugal n'a pas participé de manière significative à des projets de défense européens communs. Par exemple, il a choisi le programme Eurofighter Typhoon, un effort de collaboration impliquant le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne. De même, le Portugal n'a pas participé au Future Combat Air System (FCAS), une initiative de chasse de la prochaine génération dirigée par la France, l'Allemagne et l'Espagne. Cette réticence à rejoindre les programmes européens peut provenir de contraintes budgétaires et d'une préférence pour des plateformes rentables et éprouvées par rapport aux projets de développement spéculatifs et à coût élevé. Les liens de défense franco-portugais ont été limités, sans que d'accords d'achat d'avions majeurs aient été enregistrés au cours des dernières décennies. Toutefois, le Portugal a collaboré avec la France dans le cadre de missions de l'OTAN et de l'UE, y compris des exercices conjoints et des opérations de maintien de la paix. Un accord potentiel Rafale marquerait un écart significatif par rapport à la dépendance du Portugal vis-à-vis des systèmes américains, signalant un changement vers des solutions de défense européennes. Une telle démarche pourrait être considérée comme une rupture avec la tradition, en alignant le Portugal sur des pays comme la Grèce et la Croatie, qui ont récemment opté pour le Rafale. Rafale: une centrale multirôle Le Dassault Rafale, un chasseur de canard delta de 4,5 générations, est conçu pour exceller dans un large éventail de missions, allant de la supériorité aérienne aux frappes au sol de précision et aux opérations maritimes. Introduit en service français en 2001, le Rafale a évolué grâce à de multiples normes, la dernière configuration F4 intégrant des technologies avancées pour la maintenir compétitive par rapport aux nouvelles plateformes. Au cœur des capacités de Rafale se trouve le radar Thales RBE2 Active Electronically Scanned Array (AESA), qui fournit une détection et un suivi de cibles supérieurs sur de longues distances, même dans des environnements contestés. La capacité du radar à suivre simultanément de multiples cibles et à guider les munitions de précision le rend idéal pour des missions complexes. La suite de guerre électronique SPECTRA de Rafale, développée par Thales et MBDA, propose des brouillages et des contre-mesures avancés, renforçant la capacité de survie contre les défenses aériennes modernes. L'avion peut transporter un ensemble varié d'armes, y compris le missile air-air à portée de portée MONU-auto-porte au-delà de la portée, le missile de croisière à longue portée SCALP et le missile anti-navire AM39 Exocet, ce qui le rend particulièrement adapté aux besoins de défense axé sur la mer du Portugal. Le bilan opérationnel de Rafale parle de sa polyvalence. En 2011, les avions à réaction Rafale ont joué un rôle clé dans l'opération Unified Protector de l'OTAN en Libye, menant des frappes aériennes et des missions de reconnaissance avec des taux de réussite élevés. Entre 2015 et 2018, les Rafales français ont déployé en Irak et en Syrie dans le cadre de l'opération Chammal, acheminant des frappes de précision contre les cibles de l'EI tout en opérant en coordination avec les forces américaines et alliées. Ces missions ont démontré la capacité du Rafale à s'intégrer aux systèmes de l'OTAN et à effectuer des conflits de haute intensité. Comparé à des concurrents comme le Saab Gripen E/F, le Rafale offre une charge utile plus lourde et une plus grande portée, essentielles pour les opérations atlantiques du Portugal. Le Gripen, un chasseur monomoteur, est plus léger et moins coûteux à utiliser, mais n'a pas la flexibilité multirôle de la Rafale et la suite de capteurs avancée. Contre le Lockheed Martin F-35, un combattant furtif de cinquième génération, le Rafale échange furtivement contre la polyvalence et des coûts de cycle de vie inférieurs. Alors que les capacités furtives du F-35 constituent un avantage dans l'espace aérien contesté, les performances de combat avérées de Rafale et l'interopérabilité de l'OTAN en font une alternative convaincante pour les nations qui donnent la priorité à la flexibilité opérationnelle sur la furtivité de pointe. Contexte géopolitique: un pivot stratégique pour l'Europe La poursuite d'un accord Rafale avec le Portugal intervient à un moment où la dynamique géopolitique changeante au sein de l'OTAN et de l'UE. La France milite depuis longtemps en faveur d’une plus grande autonomie européenne de la défense, une position défendue par le président Emmanuel Macron. Lors du salon de l'aéronautique et de l'espace de Paris, le 20 juin 2025, Macron a présenté le Rafale en tant que symbole de la souveraineté européenne, soulignant son indépendance vis-à-vis de la technologie américaine. Ce message trouve un écho dans la conclusion que certains membres de l'OTAN remettent en question la fiabilité des engagements des États-Unis dans un contexte d'incertitudes politiques internes à Washington. Pour le Portugal, choisir le Rafale pourrait signaler un changement subtil de la dépendance à l'égard des plates-formes américaines comme les F-16 et le F-35. Les messages sur la plate-forme de médias sociaux X en mars 2025 ont suggéré que le Portugal réexaminant son intérêt pour le F-35 en raison des inquiétudes concernant l'imprévisibilité de la politique étrangère des États-Unis. Bien que ces postes ne soient pas concluants, ils reflètent un sentiment parmi certains observateurs que les nations européennes explorent des alternatives au matériel américain. Un accord Rafale pourrait positionner le Portugal au sein d'un bloc croissant d'opérateurs européens Rafale, y compris la France, la Grèce et la Croatie, favorisant des liens de défense plus étroits et une synergie opérationnelle. Les ambitions stratégiques de la France vont au-delà des simples exportations. En promouvant le Rafale, la France cherche à construire un réseau de forces aériennes alliées en Europe, créant potentiellement un « axe de défense » s'étendant de Lisbonne à Paris à Athènes. Cette vision s'aligne sur l'objectif plus large de la France de contrebalancer l'influence des États-Unis au sein de l'OTAN tout en renforçant la coopération de défense de l'UE. Un accord Rafale pourrait également inclure des incitations politiques et industrielles, telles que la collaboration dans le domaine de la cybersécurité ou des programmes de formation conjoints, renforçant le rôle du Portugal dans les cadres de sécurité européens. La réaction potentielle des États-Unis à un pivot portugais vers Rafale vaut la peine d'être envisagée. Washington a fortement promu le F-35 à travers l'Europe, avec 14 nations, dont le Royaume-Uni, les Pays-Bas et l'Italie, qui opèrent ou commandent déjà l'avion. Une décision portugaise de contourner le F-35 pourrait être interprétée comme un revers pour les exportations de défense des États-Unis et un signal d'affirmation croissante de l'Europe. Cependant, compte tenu de la petite taille de la flotte du Portugal, l'impact sur les efforts de normalisation plus larges de l'OTAN serait probablement limité. Le débat national du Portugal: budgets et politique Au Portugal, la perspective d'acquérir des avions de chasse avancés comme le Rafale a déclenché des discussions au sein des milieux politiques et militaires. Le budget de la défense du pays, environ 1,5 % du PIB en 2024, tombe en dessous de l'objectif de 2 % de l'OTAN, suscitant des questions quant à sa capacité à financer une acquisition à coût élevé. Le coût unitaire du Rafale, estimé à 80 à 100 millions de dollars selon la configuration, combiné aux dépenses de maintenance et de formation, représente un investissement important pour un pays ayant des priorités nationales concurrentes. Le sentiment public vis-à-vis des dépenses de défense est mitigé. Certains législateurs portugais soutiennent que moderniser l'armée de l'air est essentiel pour respecter les engagements de l'OTAN et relever les défis de la sécurité régionale. D'autres, en particulier dans les partis d'opposition, s'interrogent sur l'accessibilité financière des nouveaux avions à réaction lorsque les services sociaux et les infrastructures demandent un financement. Le débat est compliqué par l'absence d'un consensus clair sur la question de savoir s'il faut donner la priorité aux plates-formes européennes ou américaines, certains préconisant la poursuite de l'alignement sur les systèmes américains d'interopérabilité. Le gouvernement portugais n'a pas confirmé publiquement les négociations avec Dassault, mais la déclaration de Trappier suggère des discussions actives. Le processus de prise de décisions dépendra probablement de l'équilibre entre les besoins opérationnels et les réalités économiques, ainsi que la navigation sur les pressions politiques nationales. Le paysage concurrentiel: Rafale contre rivales Le marché mondial des avions de chasse est extrêmement compétitif, Rafale de Dassault face à Gripen, l'Eurofighter Typhoon de Saab et le F-35 de Lockheed Martin. Le Gripen E/F, un chasseur monomoteur léger, offre de faibles coûts d'exploitation et une avionique avancée, y compris le radar Leonardo RAven ES-05 AESA et la compatibilité avec les missiles Meteor. Sa taille plus petite et sa baisse de prix le rendent attrayant pour les forces aériennes plus petites, mais sa charge utile et sa portée limitées peuvent être des inconvénients pour les besoins de la mission maritime du Portugal. L'Eurofighter Typhoon, une plateforme européenne collaborative, est un autre concurrent. Des rapports récents indiquent qu'Eurofighter prévoit de doubler la production de typhon pour répondre à la demande, le Portugal émergeant comme client potentiel. Les points forts du typhon incluent ses capacités d'agilité et d'air-air, mais son objectif sur la supériorité aérienne sur la polyvalence multirôle peut ne pas s'aligner pleinement sur les besoins du Portugal. Le F-35, avec sa ruse et sa fusion de capteurs avancés, reste une référence pour les chasseurs de cinquième génération. Cependant, ses coûts élevés d'acquisition et d'entretien, estimés à 428 millions de dollars par jet au cours de son cycle de vie, posent des problèmes pour des pays soucieux du budget comme le Portugal. La capacité du Rafale à effectuer des opérations de transport, des missions nucléaires et des frappes de précision sans compter sur un logiciel contrôlé par les États-Unis lui donne un avantage pour les nations à la recherche d'une autonomie stratégique. Évolution technologique: l'imperméabilisation de Rafale Dassault ne repose pas sur ses lauriers avec le Rafale. La société est en train de déployer la norme F4, qui comprend des améliorations au radar RBE2, des contre-mesures SPECTRA améliorées et une intégration avec de nouvelles armes comme le missile air-air Mica NG. Ces améliorations garantissent que le Rafale reste compétitif contre les menaces émergentes, telles que les missiles hypersoniques et les défenses aériennes avancées. Pour l'avenir, Dassault étudie l'intégration avec les systèmes sans pilote et les capacités de guerre centrées sur le réseau, en s'alignant sur les tendances des combats aériens modernes. Le Rafale F5, conçu comme un palliatif jusqu'à ce que le FCAS entre en service vers 2045, intègre l'intelligence artificielle et améliore le partage des données pour les opérations conjointes. Pour le Portugal, ces améliorations signifient que Rafale pourrait rester pertinent pendant des décennies, soutenant l'évolution des besoins de l'OTAN. Cependant, des questions subsistent quant à la capacité des Rafale à contrer les menaces futures comme les combattants de sixième génération ou les plates-formes furtives avancées. Alors que le Rafale n'a pas la conception faiblement observable du F-35, sa solide suite de guerre électronique et ses capacités multirôles fournissent une approche équilibrée pour les nations qui ne sont pas confrontées à des adversaires au niveau des pairs. Coopération industrielle: incitations économiques pour le Portugal Un aspect clé de tout accord de Rafale impliquerait probablement des partenariats industriels, une caractéristique de la stratégie d'exportation de Dassault. Dans des accords récents avec l'Inde, l'Égypte et la Croatie, Dassault a offert une participation locale importante, des contrats de maintenance à la production de composants. Par exemple, en Inde, Dassault s'est associé à Tata Advanced Systems pour fabriquer des fuselages Rafale, une initiative annoncée en juin 2025 qui verra la production commencer à Hyderabad d'ici 2028. Pour le Portugal, la coopération industrielle pourrait inclure des contrats pour les entreprises locales pour gérer les services d'entretien, de réparation et de révision (MRO), la création d'emplois et le renforcement du secteur de la défense. De telles dispositions aideraient à compenser le coût élevé du Rafale et à s'aligner sur les objectifs économiques du Portugal. La volonté de Dassault d'adapter ses offres à inclure les transferts de technologie pourrait rendre le Rafale plus attrayant que ses concurrents comme le Gripen, qui met également l'accent sur les compensations industrielles mais opère à plus petite échelle. La situation dans son ensemble La vente potentielle d'avions Rafale au Portugal représente une confluence de facteurs militaires, géopolitiques et économiques. Pour le Portugal, la décision va au-delà du remplacement des F-16 vieillissants ; il s'agit de positionner sa force aérienne pour faire face aux menaces modernes tout en naviguant sur les contraintes budgétaires et la politique intérieure. Pour la France, la sécurisation du Portugal en tant que client Rafale renforcerait son influence au sein de l'OTAN et ferait progresser sa vision d'un cadre de défense européen plus autonome. Les bilans de combat éprouvés, les technologies de pointe et l'interopérabilité avec les systèmes de l'OTAN en font un concurrent puissant, mais la décision dépendra des priorités stratégiques du Portugal. À mesure que le Portugal pondère ses options, le résultat se répercutera au-delà de ses frontières, en façonnant l'avenir de la puissance aérienne européenne.
  7. Ca s'appelle du flou stratégique. Le principe est de faire en sorte que personne ne comprenne vraiment ce qu'ils font. Peut-être, peut-être pas. Demain ou dans 6 mois qui sait ? Mon ministre ne dit que des bétises, mais moi je deviens sénile qui dit vrai ?
  8. Ca s'appelle du flou stratégique. Le principe est de faire en sorte que personne ne comprenne vraiment ce qu'ils font. Peut-être, peut-être pas. Demain ou dans 6 mois qui sait ? Mon ministre ne dit que des bétises, mais moi je deviens sénile qui dit vrai ?
  9. Scenario catastrophe : et si l'Iran réussissait un essai dans un an ou deux, quelle serait la réaction US et ISR ?
  10. Il y a de la friture sur la ligne gouvernementale Iranienne. Je ne suis plus sûr de comprendre. Assistons nous à un camouflage politique du programme iranien. Bref l'image du programme nucléaire iranien est flou dorénavant. On n'aura plus rien de substantiel jusqu'à avoir un essai qui arrivera plus ou moins vite en fonction des véritables dommages au programme. Si c'est en mois qu'il faut compter çà serait un camouflet pour les US et Israël. A l'inverse si on compte en années les dommages auront été probablement substantiels et en tous cas conforme au but de guerre israélien de retarder le programme. Mais il est clair dorénavant que l'Iran ne sera pas un pays seuil. Ils vont terminer leur programme. https://unn.ua/en/news/us-strike-on-iran-foreign-minister-acknowledges-serious-damage-to-nuclear-facilities Axe américaine sur l'Iran: le ministre des affaires étrangères reconnaît de graves dommages aux installations nucléaires Kiev et ONUN 27 juin 2025, 04:06 - 454 specds Le Ministre iranien des affaires étrangères, Abbas Araghchi, a déclaré que les installations nucléaires du pays avaient subi d'importants dégâts du fait des bombardements. par les États-Unis et l'État hébreu. L'Iran ne relancera pas les pourparlers nucléaires avec les États-Unis, après avoir annulé le sixième cycle prévu. Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a reconnu que les installations nucléaires du pays ont subi des dommages « excessifs et graves » à la suite des récents bombardements américains et israéliens. Cela est signalé par la UNN en ce qui concerne la BBC. Détails Il a également déclaré que l'Iran n'envisageait pas de reprendre les négociations avec les États-Unis sur le programme nucléaire. Téhéran a annulé la sixième série de pourparlers prévus lorsque l'État hébreu a commencé ses attaques. Je voudrais dire clairement qu'aucun accord, compréhension ou discussion sur le début de nouvelles négociations n'a été conclu. - il a dit. Dans le même temps, le Guide suprême de l'Iran, l'ayatollah Ali Khamenei, a déclaré que les frappes n'ont pas perturbé le programme nucléaire du pays. Il a déclaré que les attaques américaines n'avaient pas réussi à « atteindre quoi que ce soit de substantiel ».
  11. Si j'ai bien compris AIRBUS ne souhaite pas une autre organisation mais un approfondissement de l'actuel qui aille dans son sens.
  12. Je met une partie du texte exact si tu veux bien. C'est intéressant. (..) Pendant les 12 jours de guerre, l'AIF a déclaré qu'elle avait effectué plus de 1 500 sorties en Iran et plus de 600 vols de ravitaillement en vol. L'armée de l'air a frappé quelque 900 cibles - dont 1 500 composants distincts - en utilisant quelque 4 300 munitions, après avoir obtenu la suprématie aérienne de l'ouest de l'Iran à Téhéran et au-delà. Parmi les frappes, 370 ont été menées par des avions de combat, et le reste par des drones. La suprématie aérienne a été réalisée non seulement au-dessus de l'Iran, mais aussi d'autres pays qu'il avait besoin de passer pour l'atteindre. C’est la raison pour laquelle il a détruit les défenses aériennes de la Syrie à la suite de la chute du régime d’Assad et s’est opposé à la présence militaire turque dans le pays. => Pour faire simple ils n'ont pas demandé la permission et sont passé de vive force !! (..) Les frappes de la FIA ont détruit 80 systèmes de missiles sol-air iraniens, selon l'armée, sur une centaine dans les zones où elle opérait. Les attentats à la bombe ont réussi à déjouer environ 60 % des tirs de missiles balistiques de l’Iran. Les avions de chasse et les drones ont également détruit environ 200 des 400 lanceurs de missiles balistiques de l'Iran, 15 avions iraniens, 70 radars, 6 aéroports et bases aériennes, plus de 35 installations de production de missiles et de défense aérienne et des dizaines de centres de commandement.
  13. herciv

    La Force aérienne suisse

    J'espère que çà va être le discours officiel parce que ARMASUISSE en est à son deuxième achat raté. A la fin il y a de quoi se poser des questions pour le suisse pas très au fait de ces questions.
  14. herciv

    La Force aérienne suisse

    Oui mais d'une part les problèmes électriques du moteurs ne sont pas apparus du jour au lendemain. D'autre part c'est une mauvais analyse de dire que c'est le moteur le problème. Il est le seul à avoir tenu ses spécifications. C'est tout le reste qui pompe de l'énergie à tout va et qui fatigue le moteur. Bref il n'y a eu aucun ingénieur pour se pencher sur ce problème qui est à la base de la première augmentation de coût que les suisses vont devoir accepter. Je rappel aussi qu'il est possible que cette augmentation de coût n’inclue même pas le nouveau moteur qui n'était pas prévu à l'origine dans le block4. Et on ne parle pas encore du PTMS ou du radar. La problème c'est que cette vision des choses auraient dû être posée en hypothèse par ARMASUISSE pour éclairer correctement le choix du conseil. Il y avait déjà toute la documentation ouverte nécessaire pour faire cette analyse. On n'est pas arrivé à cette analyse par la magie du saint esprit. Et pourquoi ils ne l'ont pas fait ? Par manque de compétence, manque de courage ? Découragement de voir que le choix était déjà fait ? Un peu tout çà ? Armasuisse s'est tiré une balle dans le pied.
  15. Moi le candidat le moins pire c'est celui qui parait endosser deux qualités l'humanisme et l'anticipation. De Gaulle pour faire simple.
  16. Ca sent la fin de partie quand même pour le SCAF et çà va laisser France/ALL/Esp un peu esseulé. J'espère que les norvégien annonceront leur choix de frégate avant que le programme ne soit stoppé. On va encore s'en prendre plein la gueule. J'espère que les éléments de langage auront été bien préparé. Si je comprend bien il va falloir dire que l'époque à changé. Que les temps de développement dans une coopération comme celle qui a été défini pour le SCAF ne sont plus compatible avec les besoins. S i je lis bien entre les cartes les industriels vont devoir proposer des solutions beaucoup plus souvent financées sur fond propre. Libre à eux de greffer ensuite les bonnes volontés (modèle NEURON). J'ai un peu de mal à comprendre ce que l'Espagne veut faire mais politiquement parlant elle agi de façon très autonome depuis un moment. Elle se fâche avec Israël dans une attitude dont je rêverais pour la France, elle ne subit pas le diktat de Trump, elle n'a pas encore mis le doigt dans l'engrenage F-35, elle veut un PA CATOBAR. Bref je ne sais pas où elle va mais en tous cas il semble qu'elle change de modèle. Opportunité ?
  17. Avec la fin des bombardement on peut imaginer que Israël va se faire livrer des produits dejà raffinés. Mais je ne sais pas si il existe beaucoup de navire capables de transporter les quantités nécessaires rapidement.
  18. Ni l'un ni l'autre. Les US vont payer et ca a tellement fait chié Trump qu'il a sonné la fin de la partie. Comme en plus l'incapacité israélienne a être efficace dans cette guerre devenait visible Bibi a obtempéré.
  19. Oh bah çà. Quelle surprise ! Est-ce que par hasard on nous aurait menti sur la résilience d'un état de 10 millions d'habitants protégé par un dome de fer (quelques milliers de missiles en fait) contre un ėtat de 90 millions d'hâbitants avec un dôme de roche protégeant ses assets principaux de plusieurs milliers de km3 ?(je parle aussi du pétrole). Je veux souligner l'énorme vanité d'un tel conflit et par là l'énorme vanité à ne pas accepter ce que l'Iran a comme régime à un moment T fuse-t'il non conforme a des valeurs que nous ne soutenons même plus. La saison touristique en Israël va être compliquée.
  20. herciv

    La Force aérienne suisse

    Si les Offsets tombent çà sera comme un château de cartes. J'ose espéré que c'est de la pression diplomatique.
  21. herciv

    La Force aérienne suisse

    Ni plus ni moins que ce que je dis depuis des années et que j'ai encore redis hier. Le CDF est le seul a avoir fait son boulot. C'est-à-dire réfléchir indépendamment des autres organismes et produire une analyse utilisable au niveau politique ce que n'a pas fait ARMASUISSE et le DDPS. Cette affaire ne sent pas bon pour l''Armes de l'Air suisse. L'opposition a maintenant des éléments tangibles allant dans le sens de son discours.
  22. Ce fil vivote un peu mais il y a quelques nouvelles qui me semblent intéressante à analyser notamment celle-là. Clairement le monde change. Et cette foi ce que vient d'annoncer VDL c'est que l'Europe va se positionner en concurrent à la fois des US et de la Chine. Cà n'est encore qu'un glissement sémantique. Mais il est là. On sent que les esprits changent. Retenez le nouvel acronyme (ancien mais totalement absent des médias mainstream et de AD.net) PTPGP. https://www.lesechos.fr/monde/europe/von-der-leyen-veut-creer-une-cooperation-commerciale-entre-lue-et-lindo-pacifique-2173450
  23. C'est fait pour faire douter les équipes iraniennes sur leur copain d'à côté. Ca sert à quoi de faire fuiter une telle info sinon.
  24. @Patrick tu as bien fait de revenir Trappier te fais un petit cadeau : Dassault prês à quitter le SCAF si la gouvernance n'est pas maitrisée façon NEURON : https://www.opex360.com/2025/06/26/dassault-aviation-est-tres-reticent-a-poursuivre-le-projet-scaf-si-la-question-de-la-gouvernance-nest-pas-tranchee/ Cela étant, au cours d’une audition au Sénat, le 25 juin, M. Trappier a tiré à boulets rouges sur le modèle de coopération mis en place pour l’Eurofighter. Et même plus encore. Il y a « la gouvernance du nEUROn, qui a marché » et il y a celle de type Eurofighter, défendue par Airbus Allemagne et Airbus Espagne. Et pour cause : ils sont dans le programme Eurofighter », a d’abord souligné M. Trappier, avant de citer un article publié par le Monde [24/06] sur cette question. Ainsi, a poursuivi le PDG de Dassault Aviation, il y est dit que les « gens d’Airbus ne peuvent pas accepter la gouvernance que l’on propose parce que ça voudrait dire qu’ils se sont trompés dans la gouvernance de l’Eurofighter ». Pour M. Trappier, le modèle de coopération mis en place pour le nEUROn avec six pays est « le bon puisqu’il a donné de la performance ». Et d’ajouter : « On n’est pas en train de faire des savonnettes et du marketing, on est en train de faire des équipements de très haute valeur, qui coûtent beaucoup d’argent, pour nos forces armées. Et on doit être capable de les exporter pour avoir une équation économique pas idiote. Donc, il faut faire les meilleurs. On a toujours travaillé comme ça ». Aussi, ce problème de gouvernance est « au cœur du sujet », a insisté le PDG de Dassault Aviation, avant d’enfoncer le clou. « La gouvernance d’Eurofighter consiste à faire un JV [joint venture ou coentreprise], tout le monde met sa propriété intellectuelle au milieu, on donne tout à tout le monde et puis on fait un avion qui, finalement, répond aux besoins de chaque industriel », a décrit M. Trappier. Est ce que ce modèle a permis de faire en sorte que l’Eurofighter [EF2000/Typhoon] soit « le meilleur au monde ? Demandez à nos pilotes […] Est-ce qu’il va sur un porte-avions ? Non. Est-ce qu’il a cette capacité à s’exporter parce qu’il est moins cher ? Non. Est-ce que les États ont dépensé moins parce qu’ils étaient quatre ? Non et c’est factuel : c’est ce qu’on dit les cours des comptes de ces pays », a-t-il enchaîné. « Ça a coûté plus cher à chaque pays de faire l’Eurofighter à quatre qu’à la France de faire le Rafale. Et regardez les résultats du Rafale », a insisté M. Trappier. En outre, a-t-il fait observer, « quand le Rafale se vend à l’export, il rapporte de l’argent aux caisses françaises car Dassault et ses partenaires paient leurs impôts et leurs charges sociales en France ». Quoi qu’il en soit, et même si le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a indiqué qu’il aborderait le sujet de la gouvernance avec ses homologues allemand et espagnol, M. Trappier a laissé entendre que Dassault Aviation pourrait se retirer du SCAF « Je serai toujours très réticent à entrer dans une logique qui fait qu’on va dépenser plus, qu’on sera moins performant et qu’on n’exportera pas. Sans compter les fils à la patte en termes de composants ITAR, que certains laissent passer pour des raisons ABCD », a déclaré M. Trappier. Toutefois, a-t-il continué, « je pense que la bataille est devant nous. On n’est que dans un démonstrateur, donc c’est moins grave. Mais quand même, si on doit s’engager dans un vrai programme, il faut se poser les bonnes questions sur cette gouvernance ».
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