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En tous cas ce qui est sûr c'est que la situation est suffisamment mûre pour que des décisions politiques fortes soient prise et comprises des deux côtés. Par contre çà ne sera pas sans conséquence. Il est peu probable que des programmes en coopération émergent à nouveau. Je pense que ce qui va maintenant se mettre en place c'est une structuration autour d'un leader suffisamment visionnaire et anticipateur qui saura fédérer autour de lui après avoir déterminer les grandes lignes d'un programme et défricher largement le developpement. Le vocabulaire qu'il va falloir utiliser c'est commaunauté et club. C'est un peu ce qui semble se mettre en place autour de la FDI.

tu peux rajouter attaque des fondements de la fédération pour mieux concentrer les pouvoirs. C'est suffisamment global pour correspondre à quelque chose de préparé et pensé à une large échelle. Et çà s'appuie sur un très vaste réseaux de sympathisants. Ca n'est pas Trump tout seul.

D'ailleurs les américains commencent à s'inquiéter.

En tous cas çà fait réagir :

Tout ça en moins de six mois. Mon petit doigt me dit que Trump est élu à vie. La seule question pertinente étant combien de temps durera cette vie. Le mec a 80 ans. On peut espėrer qu'Alzeimer le rattrape sinon. Quant a ceux qui espère qu'il suffit d'attendre 4 ans, j'ai peur que ça ne soit que peine perdue.

avec le Canada, le Venezuela ou le Danemark par exemple Poutine est le maitre des horloges.

J'avais dit que Modi allait devoir montrer l'exemple il y a quelques mois pour montrer ce que souveraineté veut dire. On y est.

Modi très fâché avec Trump. Il ne décroche plus.

VP accepte une rencontre avec VZ sous la condition d'un agenda de discussion. https://news.sky.com/video/vladimir-putin-ready-to-meet-volodymyr-zelenskyy-says-russian-foreign-minister-13416191

IL y a çà aussi : « C’est l’Œil de Sauron dans Le Seigneur des anneaux » : Donald Trump sème la terreur dans les entreprises américaines https://www.lefigaro.fr/societes/c-est-l-oeil-de-sauron-dans-le-seigneur-des-anneaux-donald-trump-seme-la-terreur-dans-les-entreprises-20250825 Dans tous les secteurs, le président américain multiplie les invectives et les menaces contre les dirigeants, qui préfèrent lui prêter allégeance que subir ses foudres. CHIP SOMODEVILLA / Getty Images / Getty Images via AFP RÉCIT - Depuis son retour à la Maison-Blanche, le président américain multiplie les incursions dans les affaires des sociétés américaines. Leurs patrons espèrent éviter la foudre ou tentent d’entrer dans les bonnes grâces du président. Un lingot d’or, comme une marque d’allégeance. Ce 6 août, devant les caméras du monde entier, Tim Cook ne peut ignorer la symbolique de son geste. Le PDG d’Apple, venu célébrer à la Maison-Blanche l’annonce d’un investissement de 100 milliards aux États-Unis, apporte une contribution à la décoration très rococo du Bureau ovale : un disque de verre gravé de la marque à la pomme, posé sur une plaque en or 24 carats. Sous le regard du président, le dirigeant de la deuxième capitalisation boursière mondiale déballe son offrande avec la déférence d’un majordome. Tim Cook ne cède pas à l’humiliation d’une génuflexion, mais son corps entier trahit l’obédience au « Don » Trump, dont la satisfaction se lit dans un rictus. La chorégraphie semble surréaliste, elle traduit en réalité dans l’air du temps à Washington. En l’espace de quelques mois, à coups de menaces et de sanctions brutales contre les sociétés les plus puissantes des États-Unis, le président américain a fait de la Maison-Blanche…

M'enfin là on ne peut pas dire qu'elle ne soit pas équilibrée sa video. Il ne cherche pas à vendre l'une ou l'autre des solutions. Seulement à mettre du contexte et rappeler les info qui manque pour exploiter ce que L'Adlae veut passer comme message.

Juste pour savoir ils deviennent quoi les achats d'armement aux US si ils nous font une petite crise autoritaire ? Je pose la question parce que il va falloir un peu de cohérence avec notre modèle démocratique et humaniste. Sinon il ne vaut pas grand chose.

Personne n'aura le choix. J'ai beau regarder VP n'est pas prêt d'arrêter son opération en Ukraine, les US prenne eux-même une direction autoritaire et guerrière menaçante pour tout pays ayant des ressources un peu intéressante et même pour l'état fédéral. On ne peut plus compter sur eux. La Chine prend son temps mais n'en pense pas moins. Le bordel commence à se répandre en Amérique du Sud qui n'avait rien demandé. Je ne parle pas du Moyen-Orient. Dans ces conditions on doit effectivement prévoir que chacun d'entre nous pourra être appeler à servir sauf inaptitude. Toi comme nous tous. Cf l'exemple ukrainien.

Les dégâts internationaux de la prise de décision de Trump ont déjà commencé. Ici dans un quotidien ukrainien. https://www.pravda.com.ua/eng/news/2025/08/26/7527851/ Trump, qui a qualifié ZELENSKY de dictateur, a été forcé de prouver qu'il n'est pas lui-même un dictateur Donald Trump. Photo : Getty Images Le président américain Donald Trump a justifié l'utilisation des troupes de la Garde nationale à Washington pour lutter contre la criminalité et a nié qu'il soit un dictateur. Source: Axios, citant Trump dans un commentaire aux journalistes à la Maison Blanche du 25 août, comme l'a rapporté la Pravda européenne Détails : Les restrictions imposées par le président américain à Washington sont sans précédent et n'ont eu lieu que quelques mois après qu'un sondage indépendant a montré que la plupart des Américains le considèrent comme un « dictateur dangereux ». Le 25 août, Trump a signé une ordonnance assignant le secrétaire à la Défense Pete Hegseth pour la préparation d'une unité spéciale de la Garde nationale destinée à « assurer la sécurité publique » à Washington. "Ils disent:" Nous n'avons pas besoin de lui. Liberté, liberté, c’est un dictateur », a déclaré Trump lors d’un événement de la Maison Blanche, suggérant que la prochaine ville pour déployer la Garde nationale pourrait être Chicago. "Beaucoup de gens disent, peut-être que nous aimons un dictateur. Mais je n'aime pas un dictateur. Je ne suis pas un dictateur. Je suis un homme avec un grand bon sens et une personne intelligente", a-t-il ajouté. Les démocrates appellent les initiatives de Trump à déployer l'armée dans les villes comme une manifestation d'autoritarisme. "Trump essaie de militariser nos villes - tout cela pour détourner son numéro de sondage. C'est ce que font les dictateurs. Personne ne devrait se taire face aux actions autoritaires de cette administration", a tweeté le sénateur démocrate Ed Markey le 24 août. "La militarisation de Los Angeles par Trump semble avoir été le début d'une prise de contrôle autoritaire des villes américaines", a tweeté le gouverneur de Californie Gavin Newsom, qui se heurte souvent à Trump. Le mécontentement de longue date de Trump à l’égard de la situation à Washington a atteint un point critique ce mois-ci lorsqu’il a déclaré l’état d’urgence pour la criminalité. Il a mobilisé environ 2 000 soldats de la Garde nationale, dont certains sont autorisés à porter des armes à feu. Trump explique ses actions comme une lutte contre la criminalité et les sans-abri dans la capitale, bien que les données indiquent que le niveau de criminalité violente dans la ville a diminué ces dernières années. Trump a également annoncé qu'il voulait rebaptiser le Pentagone Département de la Guerre bientôt. Contexte : En février, Trump a qualifié à plusieurs reprises le président de l’Ukraine de dictateur et a déclaré que le président zelenskyy devait agir rapidement si l’Ukraine voulait survivre en tant que pays. Plus tard, Trump s’est étonné qu’il ait déjà qualifié le président ukrainien de dictateur à plusieurs reprises.

T'inquiètes pas tu es entendu.

Le coup d'état permanent de Trump s'appuiera sur la Garde Nationale. Je ne suis même pas sûr que Maduro ait poussé jusqu'à là. Le plan est simple déployer sans limite dans le temps la garde dans de plus en plus de ville sans tenir compte de l'avis des états. On est certain de devoir rester allié à ces gens là ? https://www.military.com/daily-news/2025/08/25/trump-order-deepens-national-guards-role-us-law-enforcement.html Le rôle de la Garde nationale dans l'application de la loi dans tout le pays pourrait s'étendre dans le cadre d'un décret signé par le président Donald Trump lundi. L'ordre exige que le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, soit créé une unité spécialisée au sein de la D.C. La Garde nationale « se consacre à assurer la sécurité et l'ordre publics dans la capitale de la nation ». Hegseth est également chargé d'établir «une force de réaction rapide de la Garde nationale qui sera dotée de ressources, formée et disponible pour un déploiement rapide à l'échelle nationale». Le Pentagone n'a pas immédiatement eu plus de détails sur ses plans de mise en œuvre du décret, déclarant dans une déclaration envoyée par courrier électronique lundi après-midi seulement qu'il « examine l'ordre et ses exigences spécifiques » et « fournira des mises à jour ou des annonces selon qu'il conviendra ». Il n'a pas non plus répondu à une question sur la manière dont la force de réaction rapide différerait de l'actuelle Force de réaction de la Garde nationale, qui s'en remettait des unités existantes pour réagir aux situations d'urgence dans un délai de huit heures. L'action exécutive intervient alors que Trump a menacé de reproduire les déploiements de la Garde nationale qu'il a ordonnés à Washington, D.C. et Los Angeles dans d'autres villes démocrate, et représenterait une escalade majeure de son utilisation de l'armée pour exiger un châtiment politique. About 2,000 Guardsmen, more than half of whom were sent from out of town by Republican governors, are patrolling D.C. right now. Trump has cast the deployment as necessary to combat rampant crime, but local and federal statistics show violent crime in D.C. is at a 30-year low. The Guardsmen, some of whom are now armed, are mostly patrolling low-crime tourist areas. They are also preparing to essentially perform community service, such as trash cleanup. The D.C. deployment came after Trump ordered about 4,000 Guardsmen and 700 Marines to mobilize in Los Angeles earlier this summer in response to protests against his administration’s aggressive immigration raids. Contrary to the administration’s depictions of Los Angeles as consumed by violent rioters, the protests were mostly peaceful and confined to a few blocks downtown. In recent days, Trump has made clear he plans to expand those types of deployments throughout the country. He has singled out Chicago and New York City, and on Sunday, also threatened to target Baltimore. “We’re ready to go anywhere,” Trump told reporters in the Oval Office during Monday’s executive order signing when asked whether he’s preparing to deploy troops to Chicago. Trump can unilaterally deploy the National Guard in Washington, D.C., since the district is not a state. But in other jurisdictions, he may be faced with a complex web of legal authorities. For example, the Los Angeles deployment sparked a lawsuit by California officials arguing Trump usurped states’ rights. Still, Monday’s executive order suggests he is preparing for more widespread Guard deployments. In addition to creating a standing quick reaction force, the order tasks Hegseth with ensuring Guardsmen across the country are prepared to assist law enforcement with “quelling civil disturbances and ensuring the public safety and order whenever the circumstances necessitate.” Hegseth must also designate “an appropriate number of each state's trained National Guard members to be reasonably available for rapid mobilization” to help law enforcement, the order says. In the specialized law enforcement unit in the D.C. National Guard, the Guardsmen will be deputized to “enforce federal law,” according to the order. Hina Shamsi, director of the American Civil Liberties Union’s National Security Project, called Trump’s threats to expand military deployments “unjustified and dangerous.” “President Trump’s escalating threats directly undermine our foundational value that the military should not be policing civilians, create legal jeopardy for service members and federal agents, and put regular people going about their lives at high risk of having their rights violated,” Shamsi said in a statement Monday. “Governors and other state and local leaders must stay strong and take all lawful measures to protect their residents against the president’s repeated attempts to intimidate us.”

J'ai posé la question à ChatGPT. La réponse est que l'état est exempté de "sales taxes". Donc pour l'état US HT = TTC.

Il utilise le carburant comme fluide d'échange de chaleur. Mais pour les système hydraulique je n'ai jamais entendu dire que le fuel était utilisable.

Il utilise le carburant comme fluide d'échange de chaleur. Mais pour les système hydraulique je n'ai jamais entendu dire que le fuel était utilisable.

Les ravages du doubles standard. Dans quelques mois / années on parlera peut-être de Trump sur le même ton que Maduro justement. Qui pour une frappe de décapitation sur Trum justement ? Personne forcément ! QUi pour une frappe de décapitation sur Bibi ? Ils sont beau nos principes mais crier haro sur le méchant Maduro devra être suivi de cris sur Bibi et probablement rapidement sur Trump si on veut avoir un peu de cohérence. Et si on revenait à nos valeurs humanistes ?

Sur la DSCA et le dérapage de la garantie voilà ce qui était dit en 2021. On savait déjà que çà allait déraper puisqu'on ne connaissait pas le coût du lot qui porterait les achat suisses. Je remarque aussi que l'estimation du coût pour les Suisse est finalement très proche de la DSCA émise à ce moment. Elle est donc une bonne indication de ce que la garantie valait déjà à cette époque. Pour rappel : DSCA suisse de 6.58 milliard pour 40 f-35 et 46 f135

Un page très sympa sur le cout global du F-35 depuis le départ. On en est à $303.6B. Soit prèt de 300 millions par F-35. Cà comprend le coût fly-away total, les coûts de dev, les coûts de spare. Tout çà pour montrer que les coûts du F-35 sont parfaitement connus et vérifiables. https://www.highergov.com/defense-program/f-35-lightning-ii-joint-strike-fighter-jsf-program-f-35-100/

La période où je me sentais seul à faire des additions à partir des différents contrats sur le F-35 pour avoir le bon prix semble s'éloigner. Bon l'article ne fait pas le tour de tous les contrats supplémentaires mais le F135 est quand même le plus important en valeur. Mais la R&D est aussi facturé ( Le nouveau contrat de moteur F-35 indique le prix du chasseur à plus de 100 millions de dollars Août 25, 2025 - Par Greg Hadley Part Article Le Pentagone et entrepreneur Pratt and Whitney a atteint un contrat de 2,88 milliards de dollars pour les nouveaux moteurs F-35, a annoncé le département de la Défense Aug. 22. L'opération couvre 141 moteurs F135 inclus dans le lot 18 du programme F-35, ce qui porte le prix moyen de chaque moteur à environ 20,4 millions de dollars. Combiné au coût des cellules F-35 par ailleurs entièrement équipées dans le lot 18, ce qui porte le coût d'un F-35 à 101,5 millions de dollars. Le fabricant du DOD et du F-35 Lockheed Martin ont accepté en décembre un accord ne dépassant pas 11,76 milliards de dollars pour 145 appareils, soit un coût moyen de 81,1 millions de dollars. Tous les F-35 ne coûtent pas la même chose, mais la différence de coût pour chacune des trois versions n'est pas publique. L'accord sur Lockheed n'a pas encore été complètement finalisé et les quantités dans la cellule et les lots de moteurs sont légèrement différentes. Les avions à réaction 18 et suivants incluent des mises à jour qui les rendent plus capables que les versions précédentes, a déclaré Lockheed, ce qui augmente le coût. Le Bureau du programme conjoint F-35 a déclaré qu'il était « sur la bonne voie pour définir le lot 18-19 à l'été 2025 », alors qu'il fournira plus de détails sur l'accord avec Lockheed. L'administrateur auxiliaire prévoit d'accorder un accord pour les deux lots ensemble. Le nouveau contrat de moteur F-35 provenait techniquement du Naval Air Systems Command de la marine, mais il comprendra des groupes motopropulseurs pour la marine, l'armée de l'air, le Corps des Marines et des clients internationaux. Plus de 2 milliards de dollars étaient engagés au moment de l'attribution du marché, provenant de tous les clients. La part de l'armée de l'air est supérieure à 614 millions de dollars. « Le moteur F135 qui a fait ses preuves au combat fournit la puissance, la sécurité, la fiabilité et une faible observabilité pour s’assurer que les opérateurs peuvent accomplir leurs missions les plus critiques », a déclaré un porte-parole de Pratt and Whitney au magazine Air and Space Forces dans un communiqué. « Le F135 est en fin de compte un investissement dans l’assurance de la mission, qui fournit aux combattants d’aujourd’hui et de demain l’avantage technologique de se battre et de gagner. Ce contrat permettra à notre équipe de continuer à fournir cette capacité critique pour aider les États-Unis et leurs alliés à maintenir la supériorité aérienne pendant des décennies à venir. » Pratt et Whitney continue de travailler sur une mise à niveau de base de moteur F135, qui fournira plus de refroidissement et d'énergie auxiliaire pour faire fonctionner les systèmes informatiques du F-35. L'armée de l'air a poursuivi un moteur de propulsion adaptative de nouvelle génération, mais aurait dû supporter tous les coûts du moteur alternatif lui-même. Le Bureau de la gestion et du budget de l'administration Biden a finalement lancé l'appel à ne pas financer ce programme malgré les arguments de l'armée de l'air en faveur de l'alternative.

Petit point sur le lot 18 pour livraison à partir de juin 2027 : DOD et Lockheed se mettent d'accord sur le prix des prochains 145 F-35 https://www.airandspaceforces.com/f-35-program-office-lockheed-lot-18/ Déc. 23, 2024 - Par Greg Hadley Part Article Le bureau du programme conjoint F-35 a accepté en principal de payer jusqu'à 11,8 milliards de dollars pour les 145 F-35 suivants du fabricant Lockheed Martin - mais les derniers détails sur l'opération ne seront pas mis en évidence avant le printemps. L'action précise que le coût ne dépassera pas 11,76 milliards de dollars pour les jets du lot 18, le prix moyen des trois variantes F-35 à 81,1 millions de dollars. Les travaux sur les avions à réaction doivent être achevés d'ici juin 2027. Le Département de la défense a annoncé le 20 décembre, qui a annoncé que les derniers détails seront élaborés dans les mois à venir. L'Université d'acquisition de la défense définit une action contractuelle non finettisée comme une action contractuelle qui a « un aspect qui reste ouvert, à déterminer avant le début de l'exécution du contrat ». Lockheed et le Pentagone ont précédemment accepté une action contractuelle nondéfinie pour les F-35 en 2018, déclarant alors qu'elle permettait à la société de recevoir des fonds pour maintenir la production pendant que les détails finaux étaient en cours de négociation. Parmi les 145 jets inclus figurent: 48 F-35A pour l'armée de l'air 16 modèles F-35B et 5 modèles F-35C pour le Corps des Marines 14 modèles F-35C pour la marine 15 modèles F-35A et 1 F-35B pour les partenaires du programme F-35 39 modèles F-35A et 7 modèles F-35B pour les ventes militaires à l'étranger Les coûts exacts par type et par service n'ont pas été divulgués. Obtenir l'action nondéfinie est important pour Lockheed ; les responsables ont déclaré en octobre que la société était en tête de son propre argent pour maintenir la production du F-35 pendant la période du stade de la négociation. Cela pourrait également être important compte tenu du changement à venir dans les administrations présidentielles. Alors que le président élu Donald Trump a été très complimenté par le F-35 et que certains dirigeants républicains veulent augmenter les dépenses de défense, d’autres partisans de l’administration ont critiqué l’avion - le plus important d’Elon Musk, coprésident du « Département de l’efficacité du gouvernement ». La commission de Musk est censée conseiller Trump sur les mesures d'économies, et Musk a critiqué à la fois le programme F-35 et le but de construire des avions à équipage, plutôt que des drones inhabités. Les commentaires de Musk ont suscité de vives réprimandes des deux côtés de l’allée politique.

C'est du très lourd et çà risque de créer une crise de confiance sans précédent dans cette institution financière de référence qui pourrait devenir un simple jouet dans les mains de Trump. Limogeage à la Fed : Donald Trump annonce démettre Lisa Cook et ouvre une crise institutionnelle sans précédent https://www.latribune.fr/economie/international/limogeage-a-la-fed-donald-trump-demet-lisa-cook-et-ouvre-une-crise-institutionnelle-sans-precedent-1031450.html DOCUMENT. Donald Trump a annoncé avoir limogé Lisa Cook, gouverneure de la Réserve fédérale, déclenchant une crise sans précédent. Cette décision, liée à des accusations de fraude, remet en question l'indépendance de la Fed et pourrait entraîner une bataille juridique historique. Donald Trump a déclenché une tempête politique et juridique lundi en annonçant le limogeage de Lisa Cook, l'une des gouverneures de la Réserve fédérale (Fed). Cette décision, motivée par des allégations de fraude hypothécaire et communiquée dans une lettre publiée sur les réseaux sociaux, constitue une attaque frontale contre l'indépendance de la banque centrale américaine et ouvre la voie à une bataille constitutionnelle qui pourrait remonter jusqu'à la Cour Suprême. Jamais en 111 ans d'histoire un membre du Conseil des gouverneurs de la Fed n'avait été démis de ses fonctions par un président. L'affaire a éclaté la semaine précédente lorsque Bill Pulte, le directeur de l'Agence fédérale de financement du logement (FHFA) nommé par Donald Trump, a publiquement accusé Lisa Cook d'avoir frauduleusement désigné deux propriétés distinctes comme sa résidence principale dans des dossiers de prêts immobiliers différents. Ces accusations ont été rapidement relayées par le président, qui a exigé sa démission avant de passer à l'acte. Dans sa lettre, Donald Trump invoque l'article II de la Constitution ainsi que le Federal Reserve Act de 1913 pour justifier sa décision, affirmant qu'il existe des « raisons suffisantes » pour ce renvoi avec « effet immédiat ». De son côté, Lisa Cook, première femme noire à siéger au Conseil de la Fed, a fermement rejeté toute idée de démission face à ce qu'elle qualifie d'intimidations. Dans une déclaration, elle a affirmé son intention de répondre de manière professionnelle à toute enquête sur sa situation financière, tout en soulignant que les prêts en question avaient été contractés avant sa nomination à la banque centrale. Cette posture de fermeté préfigure une contestation juridique de son limogeage. L'indépendance de la Fed dans la balance Au-delà du sort personnel de Lisa Cook, c'est le principe fondamental de l'indépendance de la Réserve fédérale qui est en jeu. La loi stipule que le président ne peut révoquer un gouverneur que « pour motif valable » (for cause). Or, la définition de ce qui constitue un tel motif reste juridiquement floue et n'a jamais été testée devant les tribunaux à ce niveau. Les critiques de la décision présidentielle, notamment dans les rangs démocrates et parmi de nombreux économistes, y voient une manœuvre politique visant à soumettre l'institution monétaire à la volonté de l'exécutif. Cette offensive s'inscrit dans une campagne plus large menée par Donald Trump pour remodeler la politique de la Fed, qu'il juge trop restrictive. Le président n'a cessé de critiquer les décisions du comité de politique monétaire, en particulier le maintien de taux d'intérêt élevés pour juguler l'inflation. En tentant d'évincer une gouverneure, il cherche non seulement à influencer la composition du conseil, mais aussi à envoyer un message clair à son président, Jerome Powell, et aux autres membres : toute résistance à sa vision économique aura des conséquences. Les marchés financiers observent la situation avec une inquiétude croissante, craignant qu'une perte d'indépendance de la Fed ne nuise à sa crédibilité dans la lutte contre l'inflation et ne déstabilise l'économie américaine. Un conflit juridique et politique aux implications profondes La saga du limogeage de Lisa Cook est désormais promise à se déplacer sur le terrain judiciaire. Les experts s'attendent à ce que l'affaire soit portée devant les tribunaux, qui devront interpréter la portée du pouvoir présidentiel sur la banque centrale. Une telle confrontation pourrait créer une incertitude prolongée sur la gouvernance de la Fed et sur la trajectoire de la politique monétaire américaine. Pour les entreprises, cette incertitude se traduit par une difficulté accrue à planifier les investissements et les embauches, tandis que pour les ménages, elle pourrait à terme affecter le coût du crédit et la stabilité de l'emploi. La dimension politique du conflit est également explosive. Le fait que Lisa Cook soit une femme afro-américaine nommée par l'administration précédente ajoute une couche de complexité au débat, soulevant des questions sur la diversité au sein des grandes institutions financières et sur une éventuelle instrumentalisation politique de sa situation. Le bras de fer engagé par la Maison-Blanche avec la Réserve fédérale marque une rupture spectaculaire avec la tradition de respect de l'autonomie de la banque centrale, une tradition jusqu'ici considérée comme un pilier de la stabilité économique des États-Unis.