herciv

Le culture des tests d'intégrations est totalement absente. Normalement il doit y avoir eu un test de validation de la chaine complète. Si on en est là c'est que non.

Je crois qu'avec ces portées et l'expérience actuelle de la guerre indo-paki qu'on retourne doucement vers des missiles à guidage semi-actif mais en rajoutant que ce guidage semi-actif pourra être fait par de multiples plateformes à la fois, depuis le sol, l'air, l'espace éventuellement.

Très longue portée signifie aura comme résultante une résolution angulaire très fine. Par déduction çà veut dire des capteurs avec de très très nombreux pixels dans un tout petit volume. A vue de nez si les capteurs AESA de SPECTRA font un peu de place les nouveaux capteurs pourraient bien couvrir des angles mort que les capteurs actuels ne couvrent pas. Donc OK pour la longue portée mais il faut des optiques frontales qui résistent aux très forte chaleur de vitesse avec plusieurs machs

Pas compris ! Je croyais que la fabrication du Tomahawks était stoppé et que donc les hollandais devaient choisir une alternative. Les allemands n'ont pas ce problème ?

Les chantiers qui tournent et qui vendent en ce moment c'est Naval Group et Fincantieri, un peu les chantiers anglais mais ils ne sont pas en grande forme pas plus que TKMS. N'empèche que ce sont des capacités de production intéressantes si on veut appuyer les pays nordiques.

Oui c'est très possible.

C'est de la pure négo. Pour faire monter les prix avec la France et l'Italie. A vue de nez si la FDI l'emporte avec la Norvège, que les chasseurs de mines continue à avoir du succès et pareil pour les soums, Naval Group pourrait avoir besoin de capacité complémentaires par exemple pour les corvettes.

Tu crois qu'on va se lasser ? Parce que là çà fait que 4 mois et il n'arrète pas ses bouffoneries.

Je parie que la réalité va rattraper la fiction.

Un avis de @dorfmeister serait intéressant à ce stade.

Quand je regarde la structure de l'article il est clairement fait pour faire pression sur le gouvernement. La presse spécialisée norvégienne est de plus en plus clairement en faveur des FDI au point d'inverser l'argument de l'étrave, au point de faire taire les critiques par anticipation sur les taux de disponibilité des frégates française en montrant l'intérêt du double équipage pour la Norvége et les familles des marins. C'est un argument en contre point pour dire que si il y a des équipages dispo pour les T26 ils seront encore mieux utilisé en double équipage. Aucun argument sur la langue, aucun argument sur les problèmes d'interopérabilité. En gros la presse montre presque les dents.

Possible. Mais cette partie des compensations c'était DRAL normalement. Donc Dassault avait fait ce qu'il fallait.

Première fois que je vois inversé l'argument de l'étrave inversée.

Bon en gros les FDI font le taf sur les plans opérationnels et capacitaire, sur le plan financier aussi et enfin en terme de livraison et d'empreinte sur les ressources humaines, sur le plan de la coopération Naval Group semble tenir la corde. Effectivement les britanniques mettent les bouches doubles sur le plan politique. C'est important. J'espère qu'un petit voyage du ministre de la défense est bientôt prévu. Les deux autres semblent totalement absents des débâts. En tous cas le dénouement est très proche.

Je m'attendais à ce qu'il soit plus réactif à sa première élection. Au moins maintenant il va au bout de ses convictions.

@Picdelamirand-oil : ben quoi on rigole ! C'est exactement ce qu'on avait prédit. Le noeud du problème a toujours été le dollar. Pour continuer à financer les US il fallait avoir confiance en eux. Et cette confiance a commencé à s'envoler avant Trump. Mais il faut bien avouer qu'il est très fort dans l'art de prendre ses partenaires pour des abrutis. @Stark_Contrast ne me croyait pas quand je lui disait que les US n'ont jamais payé eux-même les soldats mis à l'étranger mais que les déficits US était payés par les autres à conditions que les US jouent le rôle de gendarme, particulièrement l'Europe. Les US sont fatigués donc ils redeviennent des acteurs normaux et les anciennes corrélations force du dollar taux vs d'intérêt du T-bunds disparraissent.

Pas de souci Trump a la solution : remise en cause du chips act. https://www.reuters.com/world/us/trump-administration-renegotiating-overly-generous-biden-chips-act-grants-2025-06-04/

Je ne sais pas si Dassault a estimé que les conditions numériques de remplissage d'une ligne de production était remplies avec la commande de Rafale Marine ou si une future nouvelle commande pourrait rapidement être annoncée ou enfin si Trappier estime que de toute façon il faut faire quelque chose compte tenu de la demande.

TKMS pourrait vendre son activité défense. Tout investisseur même étatique sera bien accueilli, français et italiens y compris même si ils devront payer plus cher que les autres. (j'ai bien conscience que dans un cadre de mise en concurrence çà ne veut rien dire). https://www.zonebourse.com/cours/action/THYSSENKRUPP-AG-436698/actualite/Berlin-doit-agir-rapidement-concernant-l-eventuel-rachat-de-TKMS-selon-un-dirigeant-syndical-50167513/ Berlin doit agir rapidement concernant l'éventuel rachat de TKMS, selon un dirigeant syndical Publié le 05/06/2025 à 14:01, mis à jour le 05/06/2025 à 14:06 Partager Berlin doit décider rapidement s'il va acquérir une participation dans la division défense de Thyssenkrupp, TKMS, a déclaré un responsable syndical de premier plan, appelant à plus de clarté sur cette question avant une réunion importante du conseil de surveillance prévue dans le courant du mois. Daniel Friedrich, du plus grand syndicat allemand IG Metall, a déclaré que si Berlin devenait actionnaire de TKMS, cela pourrait aider l'entreprise à conclure de futurs accords avec d'autres entreprises de défense, dont beaucoup comptent également des gouvernements parmi leurs investisseurs, à un moment où le secteur bénéficie d'une relance grâce à l'augmentation des dépenses militaires. Thyssenkrupp est en pourparlers avec Berlin au sujet de l'avenir de TKMS, mais a déclaré que la participation du gouvernement n'était pas une condition préalable à la scission de l'entreprise prévue pour la fin de l'année. « La question de l'entrée de l'État doit être clarifiée dans les semaines à venir », a déclaré à Reuters Friedrich, qui dirige la division de l'IG Metall représentant les travailleurs des zones côtières. « Nous devons savoir quand et comment cela se produira. » M. Friedrich a ajouté que l'idéal serait que le gouvernement prenne une décision avant la réunion du conseil de surveillance de Thyssenkrupp, prévue fin juin, pour approuver la scission prévue de TKMS, qui verrait 49 % de l'unité cédée aux investisseurs de Thyssenkrupp sous forme de dividende en nature. « L'État doit prendre une décision maintenant. Il peut également acheter des actions en bourse plus tard, mais cela coûterait cher », a déclaré Friedrich. « Il est également possible que l'État acquière des actions de la nouvelle société auprès de Thyssenkrupp. » Le ministère allemand de l'Économie a refusé de commenter. Le ministère de la Défense n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaires. M. Friedrich a ajouté que toute consolidation future du secteur de la défense ne se limiterait pas à l'Europe. « Les chances de consolidation avec les pays d'Europe du Nord et le Canada sont plus grandes qu'avec l'Italie et la France », a-t-il déclaré. (Reportage de Christoph Steitz et Tom Kaeckenhoff ; édité par Kirsten Donovan)

Breaking news : Dassault Aviation : fabriquera des fuselages de Rafale en Inde avec TATA https://www.zonebourse.com/cours/action/DASSAULT-AVIATION-5215/actualite/Dassault-Aviation-fabriquera-des-fuselages-de-Rafale-en-Inde-50165382/

Breaking news : Dassault Aviation : fabriquera des fuselages de Rafale en Inde https://www.zonebourse.com/cours/action/DASSAULT-AVIATION-5215/actualite/Dassault-Aviation-fabriquera-des-fuselages-de-Rafale-en-Inde-50165382/ Dassault Aviation et Tata Advanced Systems Limited ont signé quatre accords de transfert de production pour fabriquer le fuselage de l'avion de combat Rafale en Inde. " Cette implantation représente un investissement important dans l’infrastructure aéronautique de l’Inde et servira de plaque tournante pour la fabrication de haute précision ", explique l’avionneur. Dans le cadre de ce partenariat, Tata Advanced Systems mettra en place un site de production de pointe à Hyderabad pour la fabrication de sections structurelles clés du Rafale, notamment les corps latéraux du tronçon arrière, le tronçon arrière complet, le fuselage central et la section avant. Les premières sections de fuselage devraient sortir de la chaîne d'assemblage au cours de l'exercice 2028, et l'usine devrait livrer jusqu'à deux fuselages complets par mois. "Pour la première fois, des fuselages de Rafale seront produits hors de France. Il s'agit d'un pas décisif pour le renforcement de notre supply chain en Inde. Cette dernière contribuera, grâce à l'élargissement de nos partenaires locaux, dont TASL - l'un des acteurs majeurs de l'industrie aéronautique indienne -, à la réussite de la montée en cadence du Rafale", a déclaré Eric Trappier, président-directeur général de Dassault Aviation.

De mon point de vue je pense qu'il est bon qu'à l'échelle de l'Europe ou de l'OTAN il y ait plusieurs solutions disponibles et autant de doctrines. Rafale/Typhoon/F-35/F-16/F-18/M-2000. Les trois derniers pourraient paraître anecdotique. N'empèche que ce sont bien eux qui sont envoyés en Ukraine en ce moment. Des solutions anciennes de ce type permette de mieux gérer une escalade tout en gardant aux pilotes une survivabilité tout à fait correct. On voit également que la doctrine d'engagement du rafale en Inde est efficace contre une défense conséquente malgré une perte dont on ne sait toujours pas comment elle est arrivé mais dont il semble raisonnable de penser qu'elle a bien été provoqué dans le cadre de l'engagement. Cette doctrine n'est absolument pas celle du F-35 ni même du Typhoon. A l'échelle de l'Europe et donc des guerres qui pourraient survenir et donc des durées qu'elles pourraient durer, je pense qu'il est raisonnable que l'ennemie ne soit jamais en capacité de comprendre ce qui va lui tomber dessus. On voit bien le résultat en Inde entre le SU-30/bhramos et le Rafale/SCALP on ne sait toujours pas qui a vraiment cartonné. Il y a eu une complémentarité qui a permis de laisser les pakistanais dans l'incapacité de dire qu'elle est vraiment la menace indienne et donc de trouver une parade rapidement. Il est dommage que cette complémentarité ne soit pas plus mis en avant dans le cadre OTANIEN ou européen. Le F-35 est trop mis en avant. Je pense particulièrement que pour le F-35 certains de ses éléments vitaux pourraient devenir de véritables problèmes logistiques en cas de surutilisation (particulièrement la verrière et le moteur). On se moque beaucoup des australiens et de leur sous-marin avec la sous production des US mais que dire du f-35 si les moteurs et les verrières devaient être sur-utilisées ? Il serait bon que l'OTAN commence à prendre en compte les capacités logistiques critiques des US pour ne pas laisser des commandes continuer à se faire. Certe certains éléments sont fabriqués en Europe mais est-il concevable que la moitié de la flotte de chasseur disponible dépende du bon vouloir d'une nation dont on peut dire maintenant sans se fâcher qu'elle n'est pas fiable ? On pourrait en dire autant de DA ou Airbus, n'empèche que les ingénieurs et les financiers vivant en Europe seront directement impliqués dans une guerre qui pourrait les concerner au premier chef. Ils seront donc très naturellement enclin à faire des choix permettant à leur armés de prendre le dessus ce qui n'est pas le cas d'ingénieurs ou de financier extra-européens. Bref la complémentarité des clients européens du F-35 a été beaucoup mise en avant sans en voir les inconvénients. Certe avoir des circuits logistiques, des bases ou des procédures communes sont des points à considérer de près en cas de paix mais cette communalité pourrait ne pas résister à une guerre intense parce qu'il y aura des priorité à établir particulièrement pour la logistique industrielles. De même si les défauts du F-35 sont exploitables par l'ennemie, c'est quoi le plan B ? On sait qu'il faut 14 ans à LM pour sortir une nouvelles versions, c'est un peu long dans le cadre d'une guerre, non ? Prenons le cas d'intégration de nouvelles armes. Combien de temps ? On voit bien que dans le cas indien le rafale ou le M-2000 ont pu recevoir de nouvelles solutions rapidement. Avoir plusieurs cordes à son arc est un vieux principe qu'il serait bon de remettre en avant dans un cadre programmatique spécifique de l'OTAN/Europe.

D'après un représantant US le chiffre serait de 20. https://www.zonebourse.com/cours/devise/US-DOLLAR-RUSSIAN-ROUBLE--2370597/actualite/Exclusif-L-Ukraine-a-atteint-20-bombardiers-russes-lors-de-son-attaque-representants-US-50160366/ Exclusif-L'Ukraine a atteint 20 bombardiers russes lors de son attaque-représentants US

Le dollar à la peine malgré les taux qui ne cessent de monter. Exactement le processus prévu. Je dirais que le dollar faible va arranger DT pour atténuer les effets de la mise en place des tarifs douaniers. Malgré ce que dit l'auteur à la fin sur le statut inchangé du dollar, il était la seul valeur à profiter d'une telle corrélation entre taux et force de la monnaie. La perte de cette corrélation en refait une valeur plus classique. https://www.zonebourse.com/cours/action/MORGAN-STANLEY-13654/actualite/Des-taux-plus-eleves-et-un-dollar-plus-faible-50157873/ Des taux plus élevés, et un dollar plus faible Publié le 04/06/2025 à 16:16 Par Antoine Alves d'Oliveira Face à l’incertitude politique et à la défiance envers les actifs américains, les marchés réagissent à contre-courant des logiques habituelles. Illustration avec la traditionnelle relation entre les Treasuries et le dollar. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, de nombreux repères ont été bouleversés, tant sur le plan politique, qu’économique et financier. Sur les marchés, Donald Trump a en particulier "cassé" une corrélation essentielle. Celle entre les Treasuries et le dollar. En théorie, lorsque les taux d’intérêt remontent, les obligations sont mieux rémunérées, ce qui a tendance à attirer les capitaux, et donc à augmenter la demande de monnaie. Dans le cas américain, une hausse des rendements sur les Treasuries se traduit donc par une hausse du dollar. D’où une corrélation positive entre les taux d’intérêt sur le 10 ans américain et le dollar, sur longue période. Le 10 ans américain (blanc) et le dollar (bleu) sont positivement corrélés sur longue période, mais divergent depuis le début de l’année. Source : Bloomberg. Mais depuis début 2025, la relation entre ces deux actifs s’est inversée ; la corrélation est devenue négative. Car les décisions erratiques de Donald Trump ont créé une certaine défiance à l’égard des actifs américains. Désormais, le dollar baisse parce que les investisseurs vendent des actifs américains, dont des Treasuries. Et ce sell-off conduit à une remontée des taux – car il y a une relation inverse entre le prix des obligations et le taux d’intérêt. Comme nous l’expliquions il y a quelques semaines, ce n’est pas parce que le dollar baisse que son statut est remis en cause. Le dollar reste la devise de référence, faute de véritable alternative. Pour autant, la baisse du dollar peut se poursuivre. C’est en tout cas le pari de nombreux investisseurs. Les positions short sur le dollar sont actuellement au plus haut depuis deux ans. Sources : Bloomberg, CFTC La semaine dernière, les stratégistes de Morgan Stanley ont publié une note dans laquelle ils estiment que le dollar baissera encore de 9% supplémentaire d’ici à fin 2025 : "nous pensons que les marchés des taux et des devises sont dans des tendances lourdes qui vont se poursuivre — entraînant une forte baisse du dollar américain et un redressement marqué des courbes de rendement — après deux années de fluctuations au sein de larges fourchettes."