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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
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La position de l’UE prise en compte par l’Ukraine et les États-Unis, selon le représentant de Kiev auprès de l’UE https://www.euronews.com/2025/08/22/eus-position-taken-into-account-by-ukraine-and-us-kyivs-representative-to-the-eu-says L’Europe s’est rassemblée derrière Volodymyr Zelensky lors d’une rencontre avec Donald Trump lundi dans un « format exceptionnel », a déclaré à Euronews l’ambassadeur d’Ukraine auprès de l’UE, Vsevolod Chentsov. Lorsque la Russie a lancé son invasion à grande échelle en février 2022, beaucoup ont déclaré qu’il ne s’agissait pas de savoir si, mais quand l’Ukraine tomberait. Plus de trois ans après le début de la guerre, la fête de l’indépendance de l’Ukraine, célébrée le 24 août, est une fois de plus une étape remarquable pour le pays et une nouvelle démonstration de sa volonté et de sa volonté de se battre pour son indépendance. Alors que le processus diplomatique vise à mettre fin à la guerre de la Russie à toute vitesse, l’Europe s’est rassemblée derrière Volodymyr Zelensky lors d’une rencontre avec Donald Trump lundi dans un « format exceptionnel », a déclaré le chef de la mission de l’Ukraine auprès de l’UE, Vsevolod Chentsov, dans une interview accordée à Euronews. « La visite et la composition de la délégation européenne ont été un format exceptionnel de la façon dont l’Union européenne a démontré son unité d’une part, mais aussi son soutien à l’Ukraine dans ce moment critique », a-t-il déclaré, soulignant le fait que la rencontre avait eu lieu pendant la période des vacances d’août. Le chef de la mission de l’Ukraine auprès de l’UE, Vsevolod Chentsov, s’adressant à Sasha Vakulina Euronews « Tous ont dû interrompre leurs vacances et se rendre physiquement à Washington et ce qui n’est pas moins important, c’est que la présidente de la commission, Ursula von der Leyen, s’est efforcée de coordonner cette visite. » La prochaine étape du processus diplomatique visant à mettre fin à la guerre de la Russie contre l’Ukraine devrait être une rencontre entre Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine. Il n’est pas clair si Donald Trump serait présent lors de la première rencontre ou s’il préférerait rejoindre les deux présidents après leurs entretiens bilatéraux. Après la visite de lundi à la Maison Blanche, il n’est pas certain que les dirigeants européens puissent également être présents à la table des négociations à un moment donné. M. Chentsov a déclaré à Euonews que le processus actuel devenait « assez dynamique » et qu’il espérait qu’il ne faudrait pas longtemps avant que la prochaine réunion ne soit organisée. « Nous ne devons pas omettre d’autres scénarios, y compris la participation de la partie européenne, mais ce qui est important, c’est que l’UE et l’Europe en général, parce que nous parlons aussi de la Grande-Bretagne, soient présentes. » Il est convaincu que « la position de l’Union européenne est certainement prise en compte par l’Ukraine et aussi par les États-Unis. C’est donc la chose la plus importante. Accueillant Volodymyr Zelensky à Bruxelles avant leur départ pour Washington, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré que l’UE continuait de « soutenir le chemin de l’Ukraine vers son adhésion à l’Union européenne ». C’est aussi en soi une garantie de sécurité pour l’Ukraine. Vsevolod Chentsov affirme qu’il s’agit également d’une garantie de sécurité pour l’Europe, qui renforce déjà l’UE, même si l’Ukraine est encore candidate. « Le nouveau programme, qui s’appelle SAFE (Action de sécurité pour l’Europe), est ouvert à l’Ukraine, ce qui signifie qu’aider l’Ukraine à se défendre, à utiliser son potentiel, son complexe militaro-industriel, sa technologie militaire moderne aidera certainement l’Ukraine, mais aussi à l’avenir aidera l’Europe à se défendre. » « Nous insistons sur la nécessité de faire avancer le processus d’adhésion, de faire tout ce qui est possible pour sortir de cette impasse, ainsi que de résoudre tous les problèmes bilatéraux avec les États membres qui pourraient survenir », a déclaré M. Chentsov. Les dirigeants européens lors d’une conférence multilatérale sur l’Ukraine à la Maison Blanche, le 18 août 2025 AP Photo « Il est normal que les États membres tentent de résoudre les problèmes bilatéraux et utilisent le processus d’élargissement comme levier. Nous sommes prêts à discuter, nous sommes prêts à travailler et c’est ce que nous faisons. Mais nous ne voulons pas perdre de temps. Et si nous avons des questions en suspens liées aux minorités nationales ou à la coopération commerciale ou sectorielle, nous allons nous attaquer à ces questions au sein des groupes concernés. La Hongrie s’est toujours opposée à l’adhésion de l’Ukraine à l’UE, le veto du Premier ministre Viktor Orbán remontant à juillet 2024, lorsque la Hongrie a pris la présidence du Conseil de l’UE pour six mois. Mais même après la fin du mandat de la Hongrie à la tête du Conseil, Budapest a opposé à plusieurs reprises son veto à toute avancée sur la voie de l’adhésion de Kiev à l’UE. Des soldats âgés de 18 à 24 ans pratiquent leurs compétences militaires sur un terrain d’entraînement près de Kharkiv, le 19 août 2025 AP Photo Bloomberg a rapporté cette semaine qu’une poussée inattendue pour sortir de cette impasse pourrait venir de Washington. Donald Trump aurait appelé lundi le Premier ministre hongrois Viktor Orbán pour obtenir son soutien à l’adhésion de l’Ukraine au bloc. Vsevolod Chentsov a déclaré que Kiev était prête pour les prochaines étapes du processus d’adhésion à l’UE et accueillait favorablement toute aide sur cette voie, y compris en dehors de l’Union européenne. « Si les États-Unis ou d’autres pays en dehors de l’Union européenne sont prêts à aider, à utiliser leur influence politique, à utiliser également leurs contacts personnels, nous nous félicitons de ce soutien », a-t-il déclaré. « Il est important de considérer cette question comme un élément du processus de paix. Et c’est pourquoi si Donald Trump, qui dirige ce processus de paix, est impliqué dans la résolution de ce problème, c’est logique. -
Je pense par contre qu'il a raison de rappeler le contexte indo-pak pour comprendre le message de l'Adlae. Il ne faudrait pas oublier que les américains ont été très prompte à appuyer les déclarations paki de pertes indiennes. Cette video sonne comme un rappel à l'ordre entre collègues.
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Je crois qu'il y a quand même une différence entre le fait que l'Adlae envoit un message clamant un kill plus ou moins bien enrôbé et le fake. J'imagine que tu aurais préféré le message officiel disant urbi et orbi que le rafale avait fait un kill. De mon point de vue je trouve que la video est plutôt habile. Il n'y a pas de claim officiel qui mette les chancellerie en feu. Mais il y a bien un montage "malhabile" qui montre sans tout a fait mettre les bons arguments ce qui pourrait être un kill. Donc je prend cette video pour ce qu'elle est à savoir un message de l'Adlae genre "attention on pourrait avoir des choses à dire sur le f-35, les video on en a plein".
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Une précision sur la mention "Take the shot " https://www.eurasiantimes.com/rafale-scores-a-kill-against-f-35-fighter-in-finland/ Il convient de noter ici que « Take the shot » signifie seulement le verrouillage radar, et ne pas tirer réellement le missile sur la cible. En fait, le F-35 en question aurait obtenu le ton de verrouillage radar sur son RWR (récepteur d'avertissement radar) lorsqu'il a été suivi et verrouillé par l'adversaire, a déclaré un expert au EurAsian Times.
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Le débât est bien lancé en Suisse. D'un côté le gouvernement qui regarde toute les options pour garder le F-35 et de l'autre le parlement qui entend bien discuter des fondements de ce contrat. La Suisse interroge officiellement le F-35A après la fin des négociations avec les États-Unis sans accord financier. https://www.armyrecognition.com/news/aerospace-news/2025/switzerland-officially-questions-f-35a-procurement-after-negotiations-with-us-end-without-financial-agreement 22 août 2025 - 10:43 Defense News Aéronautique 2025 Le 13 août 2025, le Conseil fédéral suisse a annoncé que les négociations avec les États-Unis sur le prix fixe du marché passé par le avaient pris fin sans accord. Après des semaines de discussions diplomatiques, y compris des discussions directes entre le ministre de la Défense Martin Pfister et le secrétaire américain à la Défense Pete Hegseth, Washington a confirmé qu'il ne s'écarterait pas du cadre des ventes militaires étrangères, qui fixe les prix par lot de production négocié entre le gouvernement américain et Lockheed Martin. Suivez la reconnaissance de l'armée sur Google News à ce lien Le Conseil fédéral a déclaré qu'il restait engagé à acquérir le F-35A, décrivant l'avion comme offrant des avantages technologiques et l'interopérabilité avec les opérateurs européens. Toutefois, il a également reconnu la nécessité de revalider si les hypothèses qui sous-tendent le rapport de 2017 sur la « défense aérienne du futur » de 2017 restent applicables. (Source de l'image : Ministère de la défense suisse) Le Conseil suisse a donc accepté qu'aucun prix fixe ne puisse être garanti et il a chargé le Département fédéral de la défense, de la protection civile et des sports (DDPS) d'examiner en profondeur d'autres modalités d'action d'ici la fin du mois de novembre. Les options seront évaluées par rapport aux objectifs du programme Air2030, qui a été étroitement approuvé par les électeurs lors d'un référendum en 2020 et a fait l'objet d'un débat depuis la sélection de l'avion de chasse F-35A en 2021. L'impact financier de l'échec des négociations est considérable. Le contrat initial de 36 avions F-35A, signé en septembre 2022, était évalué à 6,035 milliards de francs suisses (7,48 milliards de dollars), que les autorités suisses ont présenté comme prix fixe à l'époque. Toutefois, les États-Unis ont précisé que les coûts globaux d'approvisionnement ne sont pas garantis dans le cadre du système FMS. En conséquence, la Suisse doit maintenant prendre en compte les hausses de prix induites par l'inflation aux États-Unis, la hausse des prix mondiaux des produits de base et les politiques tarifaires américaines. Les estimations fournies en juin indiquaient d'éventuels coûts supplémentaires se situant entre 650 millions de francs suisses (806 millions de dollars) et 1,3 milliard de francs suisses (1,61 milliard de dollars), ce qui porterait le nombre total d'achats à plus de 7 milliards de francs suisses (8,68 milliards de dollars). Les droits de douane américains imposés fin juillet par l'administration Trump, qui ciblaient les exportations suisses avec un taux de 39 %, soit plus du double du droit de douane appliqué à l'Union européenne, ont encore accru les inquiétudes quant à l'accessibilité financière du programme. Le Conseil fédéral a déclaré qu'il restait engagé à acquérir le F-35A, décrivant l'avion comme offrant des avantages technologiques et l'interopérabilité avec les opérateurs européens. Toutefois, il a également reconnu la nécessité de revalider si les hypothèses qui sous-tendent le rapport de 2017 sur la « défense aérienne du futur » de 2017 restent applicables. À cette fin, le DDPS a créé un groupe de travail sous la direction du général de division Christian Oppliger, qui devrait devenir commandant de l'armée de l'air suisse. Le groupe examinera de manière critique l'environnement de sécurité, les contraintes financières et les exigences techniques afin de déterminer si la taille et la configuration prévues de la flotte sont toujours appropriées. Le gouvernement a confirmé que son analyse comprendra des options telles que la réduction du nombre d'avions, la négociation d'accords de compensation avec Lockheed Martin, ou la demande de crédit supplémentaire au Parlement, individuellement ou en combinaison. La décision de poursuivre le F-35A a déclenché une nouvelle controverse politique. Le référendum initial de septembre 2020 a été adopté avec une marge de seulement 8 670 voix, soit 50,1 % de l'électorat, et les partis d'opposition restent divisés sur la question. Les Verts et les sociaux-démocrates ont déposé des propositions au parlement exigeant que les marchés soient interrompus ou reconsidérés, citant le manque de fiabilité des États-Unis et préconisant un changement d'alternative européenne. Les voix des libéraux, y compris ceux du parti du président Karin Keller-Sutter, ont appelé à une pause dans les tranches de paiement américaines jusqu'à ce que le problème des coûts soit résolu, tandis que d'autres ont fait valoir que le retrait de l'accord pourrait compromettre la capacité de la Suisse à défendre son espace aérien une fois que ses F/A-18 Hornets auraient pris leur retraite en 2032. Le Ministre de la défense, M. Pfister, a réitéré lors de sa conférence de presse, à savoir que la résiliation du contrat laisserait la Suisse sans une capacité indépendante de police aérienne et pourrait exposer le pays à des coûts et des retards plus élevés s'il recherchait d'autres avions. Des préoccupations se sont également dégagées quant à la portée du matériel inclus dans le contrat. Selon les médias suisses, certains appareils seraient livrés avec un minimum d'armes, ce qui nécessiterait des achats supplémentaires de bombes et de missiles de moyenne portée. Dans certains cas, seul un seul missile côté-pleine par avion à courte portée est inclus, et environ un tiers de la flotte peut manquer de bombes à la livraison. Cela contraste avec les déclarations du Gouvernement selon lesquelles le paquet de 6 milliards de francs (7,44 milliards de dollars) comprend du matériel de la mission, des armes et des munitions. Les critiques font valoir que la pleine capacité opérationnelle exigera des dépenses supplémentaires de plusieurs centaines de millions de francs au-delà des coûts d'achat annoncés. Le Conseil fédéral a réagi en commandant des examens juridiques des cabinets d'avocats suisses et américains, qui ont confirmé que si certains éléments du contrat étaient fixés à des stades spécifiques, les coûts finals étaient déterminés par les prix publics américains en vertu des règles de la FMS. Les litiges juridiques et financiers ont permis d’approfondir l’examen des pratiques de la Suisse en matière de marchés publics. L'Office fédéral de la vérification des comptes avait déjà averti en 2022 qu'un prix fixe était juridiquement incertain, mais ces avertissements avaient été rejetés à l'époque par la ministre de la défense Viola Amherd, qui a démissionné en mars 2025. La publication des évaluations juridiques montre aujourd'hui que les garanties de stabilité des coûts d'exploitation n'ont pas été incluses et que les coûts du cycle de vie, estimés à 15,5 milliards de francs suisses (19,22 milliards de dollars) sur 30 ans, restent soumis à des déterminations américaines. Les discussions parlementaires de septembre revieront si des crédits supplémentaires doivent être approuvés par le public, et les sociaux-démocrates et les verts ont signalé une action en justice éventuelle concernant le référendum initial. Entre-temps, la Suisse a déjà versé 700 millions de francs suisses (868 millions de dollars) aux États-Unis dans le cadre de l'accord de crédit et devrait transférer 300 millions de francs suisses supplémentaires (372 millions de dollars) cette année, des engagements qui compliquent tout scénario de retrait. La controverse place la Suisse dans un contexte européen plus large où plusieurs pays reconsidèrent leurs plans F-35. L'Espagne a confirmé plus tôt en août qu'elle n'acquerrait pas l'avion d'affaires américaine, citant les priorités budgétaires et une préférence pour le programme Eurofighter and the Future Combat Air System. La décision de Madrid pourrait mettre fin à sa capacité d'aviation de transporteur et laisser son force aérienne dépendante d'un seul type de combat, une initiative critiquée par Washington. Le Portugal a également exprimé des doutes quant à l'utilisation de l'appareil, alors que le Canada, malgré les hésitations précédentes, poursuit son approvisionnement. En revanche, le Danemark et d'autres opérateurs ont manifesté leur intérêt pour l'expansion de leur parc de véhicules. Le cas de la Suisse met en lumière les défis de l’équilibre entre les coûts, la souveraineté et l’interopérabilité dans les marchés publics européens de la défense, et la décision du Conseil fédéral de novembre déterminera si le pays alpin passe de l’ordre, réduit la flotte ou adopte des mesures compensatoires pour gérer la hausse des coûts. Il convient de rappeler que, le 30 juin 2024, le RUAG de la Suisse a reçu l'approbation préalable d'intrasuisse pour le projet RIGI, qui permettra à la société de rassembler et d'expérimenter quatre des 36 avions de combat du pays F-35A avec le soutien technique de Lockheed Martin. L'initiative est classée comme un programme de transfert de technologie et de connaissances, plutôt que comme un effort de production complet, et est évaluée à près de 500 millions de francs suisses (556 millions de dollars). L'implication de RUAG vise à développer très tôt l'expertise de la plateforme F-35, à sécuriser son rôle dans le réseau de soutien européen et à générer des emplois de haute technologie, avec 40 % du personnel requis pour le projet à partir de la Suisse occidentale. Le projet s'inscrit dans le cadre des obligations de compensation liées au marché signé le 19 septembre 2022, en vertu desquels Lockheed Martin s'est engagée à compenser 60 % de la valeur contractuelle de 3 milliards de dollars avec l'industrie suisse. Les livraisons des 36 appareils sont prévues entre 2027 et 2030, avec un assemblage en Suisse et une acceptation finale des quatre avions à réaction produits par RUAG à Cameri, en Italie. L'avion remplacera les F/A-18 Hornets et F-5 Tigers de la Suisse et sera stationné à Payerne, Emmen et Meiringen pour fournir une couverture nationale complète. Les premiers F-35A suisses seront équipés de matériel TR-3 et de logiciels Block 4, ce qui les placera sur un pied d'égalité avec d'autres opérateurs européens qui devraient déployer près de 500 F-35 d'ici 2030. Alors que RUAG renforce ses capacités en tant que centre de compétences des matériaux pour l'armée de l'air suisse, le programme devrait soutenir les emplois existants et en créer de nouveaux tout en élargissant l'autonomie de la Suisse en matière de maintenance et de soutien. Le F-35A, un chasseur multirôle furtif de cinquième génération alimenté par le moteur Pratt and Whitney F135, combine une technologie furtive, une avionique avancée et une capacité d'armes polyvalentes, permettant à la fois d'opérations air-air et air-sol. Avec des fonctionnalités telles que le système d'ouverture distribuée, le système de ciblage électro-optique et l'affichage monté sur casque, l'avion améliore la connaissance de la situation, tandis que son armement comprend un canon de 25 mm, des missiles air-air, des bombes de précision et des armes à large bande.
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C'est une vrai possibilité effectivement. Mais un affrontement avec l'Iran n'est pas impossible non parce que Israël en a les moyens mais parce que l'aveuglement de son gouvernement est évident. Il est aveugle aux signes de fatigues de sa population, il est aveugle aux signaux capacitaires de son armé et de celle des US. Il est aveugle à la capacité d'union que les perses peuvent avoir.
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Je suis d'accord avec la possibilité de montage. Mais il y a un tiers de confiance qui est l'Adlae. Donc soit on suit ce que ce tiers nous demande de comprendre. Soit on l'infirme. EN tous cas il y a message et ce message est porté par l'Adlae et elle entend bien être entendue. Manifestement le message a été entendu par armyrecognition et par un journal indien et c'est bien parti pour aller plus loin. Perso j'entends parfaitement que le gars a du mal à parler et qu'il semble bien sous G. Mais que çà ne l’empêche pas de réclamer un shot. C'est ce qui nourri toute médiatisation. Depuis le temps que tu suis tout çà tu le sais. "Savoir" que le rafale est agile est une chose, "voir" qu'il y a des situations qui le mettent en supériorité par rapport au F-35 grâce à son agilité en est une autre.
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L'image est en noir et blanc mais comme on ne sait pas comment les filtres fonctionnes çà peut tout aussi bien un codage en blanc en fonction de l'intensité lumineuse ou du manque de lumière ou de la sensibilité prononcé dans un filtre particulier ou un codage de lumière fait par un IA de manière à donner des informations pertinentes au pilote. La tuyère blanche n'est donc pas forcément une indication de chaleur. On sait juste que c'est une voie TV donc que le capteur est dans le domaine visible et proche IR.
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Mais un verouillage quand même. ?. Tu infirmes un shot sur la seule base d'un accent en plus d'un gars manifestement en train d'encaisser des G ? Ensuite c'est un enregistrement audio de bord qui a été upoloadé par l'Adlae. C'est toi qui interprète en disant que c'est de la radio et en plus externe au rafale.
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?? Qu'appeles-tu réalité augmentée alors ? Pour moi dès qu'on a de l'ajout de contexte surimposé au champ visuel c'est de de la réalité augmenté. Ca n'est peut-être que de la symbologie mais çà reste de la surimposition de contexte. Dans ces conditions HMDS et Scorpion coche la case. Après le symbologie du F-35 est sûrement plus riche que celle du scorpion. C'est même une vrai image dans beaucoup de cas qui permet de voir à travers l'avion effectivement.
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Pendant un combat tournoyant lors duquel le pilote rafale annonce "take the shot". Il n'y a aucune ambiguïté ni de contexte, ni de résultat. https://economictimes.indiatimes.com/news/international/us/rafale-smokes-f-35a-lightning-ii-over-finland-french-air-and-space-force-video-shows-its-fighter-locking-on-to-us-stealth-jet-and-scoring-a-kill/articleshow/123446743.cms?from=mdr (..) La vidéo commence par un Rafale qui décolle et quelques secondes plus tard montre un jet F-35 qui la passe. Le pilote de Rafale est alors vu en essayant de se verrouiller sur le F-35 et à exactement 15 secondes de la vidéo, le radar du chasseur français peint le chasseur furtif américain. Un son "take the shot" est alors entendu, indiquant que le Rafale tire son missile dans le simulacre de combat pour abattre le F-35. (..)
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? Le "Kill" est manifestement officiel. EN tous cas l'article ne laisse pas penser autre chose. D'autre part la question que je pose est quand même importante parce que quand les deux chasseurs ont tous les deux une solution de réalité augmentée à dispo, on peut vraiment se poser la question de la définition de "dogfight". A mon sens on devrais discerner le combat à l'aide des seules solutions passives du combat à l'aide des solutions actives. Le problème de cet article est d'opposer à dessein deux notions qui ne veulent pas dire la même chose "dogfight" (qu'on traduira par combat tournoyant) et BVR combat au-delà de la portée visuelle. Dans un contexte sémantique qui ne relève pas de la propagande on devrait opposer BVR et WVR qui relève de la portée visuelle et dont les tenants et les aboutisssants sont profondément changé par la réalité augmentée / virtuelle couplé à des capteurs performants. Dans ce type de combat les capteurs du rafale passifs du rafale non pas à rougir face à ceux du F-35. Le dogfight / combat tournoyant relève lui de la maneuvrabilité. Il est pratique de masquer la notion de WVR et de la remplacer par la notion de dogfight histoire de masquer qu'en combat passif le F-35 ne surpasse pas forcément le rafale. Le F-35 est un vrai phare IR beaucoup plus que le rafale, mais il est beaucoup plus discret que le rafale dans certaines longueurs d'onde Hyper. Au final là ou la maneuvrabilité à un sens le rafale est sûrement plus à l'aise en fonction de sa charge, en deçà de la portée des instruments passifs çà se discute çà relève du jeux du chat et de la souris et au-delà de ces instruments le F-35 pourrait avoir l'avantage sauf si le rafale bénéficie d'autres capteurs déportés.
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Je me pose une question. Que veut dire "combat à vue" à l'heure des casques à réalité augmentée et des suites optroniques à ultra haute définition / sensibilité ? https://www.armyrecognition.com/news/aerospace-news/2025/french-rafale-jet-virtually-downs-us-f-35-fighter-in-dogfight-yet-modern-warfare-is-fought-beyond-visual-range Un Rafale français abat virtuellement un US F-35 Fight dans un combat rapproché, mais la guerre moderne est menée au-delà de la portée visuelle. 21 août 2025 - 9:24 Defense News Aéronautique 2025 En juin 2025, la Finlande a accueilli pour la première fois l'exercice multinational Atlantic Trident, réunissant les forces aériennes des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France. Menée dans le cadre de l'OTAN, cette formation visait à renforcer l'interopérabilité entre les alliés dans les scénarios de haute intensité. L'édition a été marquée par un épisode symbolique: lors d'un engagement aérien simulé, un Rafale français a réussi à « réduire » virtuellement un F-35 américain en combat rapproché. Bien que ce duel ait attiré l'attention, il illustre principalement deux philosophies différentes du combat aérien contemporain. Le Rafale a l'avantage dans une confrontation à courte distance en raison de son agilité et de sa capacité de manœuvre, tandis que le F-35 est conçu pour éviter de telles situations (Picture source: MoD français) Le Rafale, conçu par Dassault Aviation, est un chasseur multirôle de 4,5 générations. Équipé d'une aile delta et de canards, il met l'accent sur la maniabilité et la polyvalence. Il peut transporter jusqu'à 9 tonnes d'armement, allant des missiles air-air MICA et METEOR aux missiles de croisière SCALP, aux missiles antinavires Exocet et aux bombes guidées par laser. Propulsé par deux moteurs M88-2, il peut atteindre 1 800 km/h avec une portée de 3 700 km. Son système de guerre électronique SPECTRA, combiné au radar RBE2 AESA et à l'optronique frontale de l'OSF, offre une forte capacité de survie contre les menaces aériennes et terrestres. Surnommé « omnirole », il peut effectuer l'interception, la grève et la reconnaissance au sein de la même mission. Le F-35A Lightning II, développé par Lockheed Martin, est un chasseur furtif de cinquième génération centré sur la domination de l'information. À moteur unique, il est optimisé pour réduire la signature radar grâce à sa conception de cellule dédiée et à sa baie d'armes internes. Son moteur Pratt et Whitney F135 produit 43 000 livres de poussée avec après-sébageur, permettant des vitesses de Mach 1,6 et une portée de 2 220 km. Pour l'armement, il porte le canon M61A2 de 20 mm et peut déployer AIM-120 AMRAAM, AIM-9X, JDAM, SDB ou AGM-88 HARM. Ses principales forces résident dans les capteurs intégrés: le radar AESA AN/APG-81, le système électro-optique EOTS, le réseau de caméras DAS assurant une couverture à 360 degrés et l'affichage en casque HMDS projetant toutes les données tactiques en temps réel. L'avion est conçu pour frapper avant d'être détecté et pour coordonner les forces alliées par des liaisons de données sécurisées. L'épisode de combat en Finlande doit être compris dans ce contexte: le Rafale a l'avantage d'une confrontation à portée immédiate en raison de l'agilité et de la capacité de manœuvre, tandis que le F-35 est conçu pour éviter de telles situations. Les combats à courte distance restent frappants en entraînement, mais dans les guerres modernes, ils sont devenus rares. Dogfight fait référence au combat visuel et à proximité, où les pilotes manœuvrent pour obtenir une position de tir. C'est là que l'agilité et la réactivité comptent, comme le Rafale l'a démontré en Finlande. En revanche, les engagements BVR (Beyond Visual Range) sont maintenant la norme: avec les radars à longue portée, les capteurs avancés et les liaisons de données, les combattants modernes visent à détecter et neutraliser les adversaires à des dizaines, voire des centaines de kilomètres. Les missiles de dernière génération, tels que l'AIM-120D AMRAAM, le Meteor d'Europe, le PL-15 de la Chine, ou le R-37M de la Russie, représentent cette évolution, avec une portée comprise entre 160 et plus de 200 km. Les conflits récents confirment cette tendance. En Ukraine, les engagements aériens se limitent aux frappes à longue portée et aux attaques de précision, les défenses aériennes denses rendant les combats de près trop risqués. La brève guerre entre l'Inde et le Pakistan a été menée exclusivement dans la BVR, sans heurts malgré le déploiement de nombreux combattants. Au Moyen-Orient, l’armée de l’air israélienne repose également principalement sur la supériorité électronique et les frappes à longue portée, tandis que lors des tensions entre la Thailande et le Cambodge, l’absence d’une force aérienne cambodgienne crédible a empêché tout véritable duel aérien aérien. Ainsi, même si la formation à la lutte pour chiens est encore enseignée et simulée régulièrement, elle est devenue une option marginale. Les doctrines actuelles donnent la priorité à la furtivité, à la détection avancée et à l'interopérabilité alliée. Dans un scénario réaliste, un F-35 s'enflammait avant qu'un Rafale ne puisse se fermer dans la plage de manœuvres, ce qui rendrait un duel très improbable. Pourtant, l'épisode finlandais souligne que l'entraînement au combat visuel conserve de la valeur, car les guerres ne sont jamais entièrement prévisibles et les pilotes doivent rester préparés à toutes les contingences. En fin de compte, Atlantic Trident 25 illustre la complémentarité des approches: le Rafale maintient la pertinence par la polyvalence et l'agilité, tandis que le F-35 établit la supériorité par le biais de la furtivité et du combat BVR. Les conflits actuels confirment que le contrôle du ciel est de plus en plus décidé à longue distance, mais ils rappellent également que les combats canots, bien qu'improbables, ne peuvent pas être totalement exclus des scénarios de préparation.
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Spécialiste de la lutte antidrone, MC2-Technologies s'étend https://www.lesechos.fr/pme-regions/hauts-de-france/specialiste-de-la-lutte-antidrone-mc2-technologies-setend-2182321 La société réputée pour ses technologies hyperfréquences va déménager en fin d'année dans un bâtiment plus grand pour faire face à la hausse des commandes. La technologie de l'entreprise peut détecter et neutraliser tous types de communication sans fil. (MC2 Technologies) MC2-Technologies, spécialiste des équipements servant notamment à la lutte antidrone ou à la détection d'objets cachés, à l'étroit dans ses 2.500 m2, va déménager en fin d'année dans un nouveau bâtiment de 4.000 m2 à Villeneuve-d'Ascq (Nord), à 500 mètres de l'actuel. La société, qui anticipe une hausse des commandes, a développé une technologie de pointe dans les hyperfréquences repérant les ondes des télécommandes. Ses fusils brouilleurs de drones avaient sécurisé l'an dernier les JO de Paris. Sa technologie peut en fait détecter et neutraliser tous types de communication sans fil. En plus de la détection et de la neutralisation, la société a ajouté dernièrement la fonction d'identification grâce à l'intelligence artificielle, élargissant son champ d'intervention à la guerre électronique. « Grâce à l'IA embarquée, nos systèmes peuvent identifier les sources - drones, essaims de drones, leurres, radars ou encore tout protocole de communication - et voir s'il s'agit d'ami ou d'ennemi », souligne Nicolas Vellas, qui a créé MC2-Technologies avec Christophe Gaquière en 2004. « L'IA est même capable de mieux analyser, de comprendre la menace et de reconfigurer le système de neutralisation pour qu'il soit le plus efficace possible », poursuit-il, sans plus de précision sur ces sujets dont certains relèvent du « secret-défense ». Une « nécessité » La société vend ses différents produits à l'armée française et au ministère de l'Intérieur (police, Raid, gendarmerie…), mais aussi, désormais, à l'étranger. Son chiffre d'affaires a atteint 13,5 millions d'euros l'an dernier, contre 11 millions en 2023, et l'export représente 30 % de son activité. Avec ses innovations, elle vise les 16 millions cette année. « Nous ciblons les 50 millions à trois ans, avec au minimum le double d'effectif, d'où la nécessité de déménager », explique Nicolas Vellas, qui vise le statut d'ETI à cette échéance. Ses produits vont du petit équipement de cinq à six kilos porté par un fantassin dans un sac à dos, jusqu'au système embarqué de 300 kg sur les frégates en mer ou des chars. MC2-Technologies en assure toute la chaîne de valeur - de la conception à l'assemblage - dans ses locaux, sous-traitants certaines parties non stratégiques. « C'est notre force », ajoute Nicolas Vellas, se rappelant qu'au départ, « on nous a pris pour des fous ». La PME détenue à 70 % par les fonds Andera Partners, Bpifrance et Tikehau et le reste par les cofondateurs, se positionne comme « leader européen fournisseur de solutions dédiées à la guerre électronique », sujet porteur depuis la guerre en Ukraine. La société veut par ailleurs se positionner l'an prochain sur la sécurisation des prisons. Nicole Buyse (Correspondante à Lille)
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
herciv a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est bien ce que je veux dire. D'abord il faut une volonté politique et après on mobilise la nation sur le plan industriel. Fabriquer une tête nucléaire n'est ni long ni coûteux. C'est par contre un choix qui fait sortir du TNP. Donc si un mécanisme de garantie de l'Europe grâce aux capacités nucléaires françaises se met en place mais qu'il manque de volume, Il sera rapidement comblé. https://www.euractiv.fr/section/politique/news/armes-nucleaires-la-france-va-relancer-la-production-de-tritium-avec-edf-et-le-cea/ La capacité industriel de production étant une réalité on peut aussi envisager d'aider les européens à se doter de leur propre dissuasion en fabricant si nécessaire à leur place les têtes. Ou en leur laissant l'accès à nos capacités comme pour les anglais actuellement. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
herciv a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Elle ne le serra jamais si elle ne décide pas de l'être. Le préalable est un choix politique suivi d'une planification pour pouvoir mettre en musique cette garantie. La planification peut être plus ou moins accéléré en fonction du nombre d'alliés qui se joindront à cette garantit. Méloni étant celle qui a eu l'idée de ces garanties aura du mal à ne pas faire parti du lot. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
herciv a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Bof. Pourquoi les US ne sont entrée en guerre qu'en 1917 ou en 1941. En 1917 ils n'avaient même pas le matériel nécessaire. Ils se sont entièrement fait équipé par les alliés. Là je suis d'accord. Mais çà relève d'une question de courage politique uniquement. La question capacitaire est secondaire et reviens à se demander à partir de quelle capacité on se sent près à y aller. La réponse actuelle est de dire c'est jamais assez bien on manque de ci et on manque de çà. Le problème du PIB ne peut être que la conséquence d'un choix politique préalable. Il ne faudrait pas mettre la charrue avant les boeufs dans cette histoire.