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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Disons que je pense qu'il n'y a plus le choix depuis le départ des US. Il faudra bien qu'on y aille à un moment ou à un autre. Le temps perdu à ne pas remonter nos industries de défense est en cours de rattrapage. Dès l'écart fini d'être comblé, l'Europe sera devenu une puissance militaire autonome et la Russie n'aura aucune chance de nous rattraper. Encore une fois je ne connais pas le but de guerre de Poutine. Mais le seul départ des US est en soit un fait stratégique énorme inespéré qui rebat les cartes complètement. Je ne suis pas convaincu que la Russie ne va pas regarder l'Europe sous un nouveau jour maintenant, stopper sa guerre et opérer sa propre bascule vers l'Europe. Si il ne le fait pas il fournira à l'Europe une guerre fondatrice.
  2. C'est à peu prêt çà. Mais je pense maintenant qu'il y a peut-être une autre possibilité puisque les ukrainiens ne sont pas si dépassés que çà. Il suffit de refaire pencher la balance dans leur sens.
  3. Droits de douane : le torchon brûle entre les « 7 magnifiques » et Donald Trump Alors que plusieurs patrons des grandes entreprises technologiques américaines s’étaient ouvertement montrés pro-Trump avant son élection, ils sont aujourd’hui de plus en plus nombreux à critiquer le nouveau gouvernement. Les soutiens de premier ordre de Donald Trump faiblissent. « Les tensions montent entre les dirigeants de grandes entreprises et le nouveau gouvernement, à l'image des insultes proférées par Elon Musk mardi sur le proche du président, Peter Navarro », constate Eric Lafrenière, gérant spécialisé dans les actions américaines chez Sunny AM. Une nervosité qui trouve son origine dans les conséquences désastreuses sur les cours de Bourse de valeurs technologiques des droits de douane mis en place par le républicain. Depuis l'investiture de ce dernier, le 20 janvier, le S&P 500 a perdu 17,6 %. Pis encore, l'indice technologique américain Nasdaq a chuté de 22,7 %, avec, au palmarès des plus fortes dégringolades, les « 7 magnifiques », valeurs jusqu'alors reins du marché : Apple, Alphabet, Amazon, Meta, Microsoft, Nvidia et Tesla. Cette débâcle boursière n'a pourtant que très peu ému le secrétaire américain au Trésor. « Pour tous ceux qui pensent que ces baisses de marché sont entièrement dues aux politiques économiques du président, je peux vous dire que ce déclin a commencé par l'annonce chinoise de l'IA DeepSeek », a ainsi balayé d'un revers de la main Scott Bessent vendredi dernier, avant de trancher : « C'est un problème Mag-7, pas un problème Maga » (soit, respectivement, les « 7 magnifiques » et le courant « Make America Great Again », qui porte Trump). Un dédain qui a de quoi inquiéter les géants de la tech américaine alors que plusieurs d'entre eux avaient finalement rallié le candidat républicain. Les « 7 magnifiques » favorables à la dérégulation... Nombre des grandes entreprises américaines ont en effet été séduites par les promesses de Donald Trump de baisse de la fiscalité et de dérégulation, des mesures censées renforcer leur croissance et leurs bénéfices. Après la victoire du milliardaire, tous les économistes et analystes financiers s'attendaient à ce que la croissance économique soit dopée par le nouveau chef d'État. => malgré leur génie il n'ont rien compris à la situation sur laquelle Trump voulait intervenir Du côté des « 7 magnifiques », la proposition du républicain d'annuler le décret pour une « IA sécurisée, sûre et de confiance » a aussi pesé dans la balance. En pleine course à l'intelligence artificielle, les géants du cloud que sont Microsoft, Amazon, Google et Meta ainsi que le champion des puces Nvidia ont bien cru que cette barrière levée allait leur faire gagner beaucoup d'argent. À LIRE AUSSI Trump et J.D Vance séduisent la tech libertarienne en prônant une dérégulation totale de l'IA Forts de cet espoir, Elon Musk, patron de Tesla, Mark Zuckerberg, patron de Meta, mais aussi les investisseurs de la tech américaine Marc Andreessen et Ben Horowitz ont affiché leur soutien au candidat républicain. ...mais pas aux droits de douane « Contrairement au premier mandat où il avait tout de suite attaqué la déréglementation, lors de ce nouveau mandat Trump a voulu prioriser la barrière tarifaire »,constate Eric Lafrenière. Or les droits de douane sont catastrophiques pour certaines des plus grosses entreprises de la Bourse américaine. Parmi les sept, Apple pourrait particulièrement souffrir puisque le prix de ses iPhones 16, en majorité fabriqués en Chine, pourrait passer de 599 dollars à 846 dollars. De son côté, dans une lettre envoyée au bureau du représentant américain au commerce en mars, Tesla expliquait craindre que les droits de douane « nuisent par inadvertance aux entreprises américaines ». Ils ont, en tout cas, déjà plombé à leurs cours de Bourse puisque la marque à la pomme a perdu près de 30 % de sa valeur boursière depuis le début de l'année quand le constructeur de voitures électriques a dévissé de 41 % ! « Le président est en train de perdre la confiance des dirigeants d'entreprises à travers le monde », a donc prévenu dimanche dans un post sur X le milliardaire Bill Ackman qui avait soutenu le candidat républicain en novembre. Même Elon Musk, pourtant membre du gouvernement, s'est dit samedi favorable à la fin des droits de douane entre l'Union européenne et les États-Unis. Pressions sur la seconde partie du mandat Si Donald Trump semble, pour le moment, impassible face à la colère des « 7 magnifiques » et des milieux financiers, cela pourrait cependant changer d'ici à quelques mois. « La dérégulation et la baisse de la fiscalité pourraient arriver en fin d'année pour préparer les élections de mi-mandat de 2026 », estime Eric Lafrenière. L'avis des plus grosses sociétés du monde et de leurs très médiatiques dirigeants pourrait, en effet, influencer le prochain scrutin et limiter les pouvoirs de Trump pour la deuxième partie de son mandat. Une échéance que le milliardaire a sûrement en tête mais sur laquelle il n'a que peu communiqué pour le moment. « Il y a énormément d'incertitudes et les investisseurs sont focalisés sur les tarifs et une éventuelle récession aux États-Unis, ce qui plombe les cours de Bourse », regrette le gérant de Sunny AM.
  4. Via Zonebourse : Les entreprises technologiques européennes reconsidèrent leurs projets d'introduction en bourse aux États-Unis. Mon commentaire : Si elles reconsidèrent leur projet d'introduction au US, c'est que la chasse aux capitaux à wall-street ne donnera rien.
  5. Oui mais il y a un paramètre qui pourrait tout changer. Si le monde se réorganise en bloc étanche. Dans ces conditions chaque bloc se démerde avec son cout du travail. Un seul pays part dans ce sens actuellement : les US. Donc on va attendre un peu avant de savoir comment le bordel que Trump a mis va faire avancer le monde dans ce sens ou pas.
  6. Vous vous souvenez j'avais dit que les paradis fiscaux européens seraient sûrement les premiers impactés par une remise en cause du dollar histoire de stopper les sortie de devises de l'Europe. Eh ben çà a commencé. Suite à cette action d'un tribunal belge, ce sont tous les tribunaux européens qui pourraient agir chacun dans leur coin en faisant saisir des sous de Google en Irlande. https://www.zonebourse.com/cours/action/ALPHABET-INC-24203373/actualite/Une-jeune-pousse-belge-fait-saisir-des-millions-sur-un-compte-de-Google-49574809/ Bruxelles (awp/afp) - Une entreprise belge de publicité en ligne en conflit avec Google a obtenu la saisie de 76 millions d'euros sur un compte bancaire du groupe américain en Irlande, en application de plusieurs jugements rendus en Belgique, selon des documents obtenus mercredi par l'AFP. Cette saisie conservatoire visant Google dans le pays où il a son siège européen, à la suite d'un litige dans un autre pays de l'UE, est inédite, selon Bruno Van Boucq, fondateur et patron de la jeune pousse Proxistore. Sollicité par l'AFP, le groupe Google n'a pas réagi dans l'immédiat. La saisie découle d'un litige devant les tribunaux belges, lié au départ à des soupçons de contrefaçon par la firme de Mountain View de technologies de géolocalisation développées par Proxistore. M. Van Boucq accuse Google d'avoir envenimé le dossier en refusant de reconnaître ses torts. Ce qui était depuis 2018 un litige de propriété intellectuelle, avec de multiples rebondissements, est devenu début 2025 "une tentative de destruction" de son entreprise, selon le patron belge. Certaines campagnes publicitaires de Proxistore se sont subitement retrouvées bloquées en février par le moteur de recherche américain, menaçant ses contrats avec des gros annonceurs. La PME a dû s'y reprendre à deux fois, saisissant un premier tribunal en urgence, puis une cour d'appel, pour obtenir la condamnation de Google pour un total de 76 heures de suspension d'activité, avec une astreinte fixée à 1 million d'euros pour chaque heure de blocage. Pour statuer sur ce cas, les juges belges se sont appuyés sur un règlement européen de 2014 qui permet de solliciter les autorités d'un autre État membre de l'UE pour obtenir le recouvrement d'une créance auprès d'une de ses banques. Le dossier a dû transiter par un organisme de la Commission européenne facilitant le règlement de litiges transfrontaliers, et le ministère irlandais de la Justice a finalement confirmé mardi à l'avocat du patron de Proxistore avoir fait procéder à la saisie conservatoire des 76 millions dans une banque de Dublin. L'argent pourrait toutefois n'être transféré en Belgique qu'à l'épuisement des recours de Google. Le groupe américain a déjà fait appel d'une ordonnance rendue par le tribunal de l'entreprise du Brabant wallon, et Google Irlande viendra plaider sa cause le 7 mai devant cette juridiction, à Nivelles. Selon Bruno Van Boucq, Google conteste la compétence de ce tribunal belge.
  7. Pour le coup on y va tout droit.
  8. C'est ce que je pense perso. Le fond c'est que non seulement les US ne sont plus vu comme des gendarmes mais il aurait pu rester un allié plus ou moins neutre. Je pense par contre que maintenant il vont en plus être vu comme des perturbateurs pathologiques.
  9. Moi j'aurais dit le couple Europe/Chine puisque l'Europe va récupérer une partie de sa puissance transférée aux US depuis des décennies.
  10. Les recommandations du directeur de la BDF. EN résumé privilégier les mesures ciblées contre les US, pas d'inflation à craindre en Europe, et comme dit depuis un bon moment le statut du dollar est profondément bouleversé maintenant souligné dans un bel euphémisme. « Le dollar n'a pas bénéficié de son statut habituel de valeur refuge, à la différence de l'or ou de la devise suisse. Les mesures récentes pourraient commencer à éroder la confiance à long terme dans le billet vert comme monnaie internationale de réserve », souligne Villeroy de Galhau dans sa missive. https://www.latribune.fr/economie/france/face-a-trump-villeroy-de-galhau-sonne-la-mobilisation-generale-1022462.html Face à Trump, Villeroy de Galhau sonne la mobilisation générale Le gouverneur de la banque de France a exhorté l'Hexagone et l'Europe à prendre des mesures ciblées sur des produits américains pour faire plier Donald Trump dans sa lettre à Emmanuel Macron. Le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau lors de la présentation de la lettre au président de la République. « Il y a l'urgence d'une mobilisation générale. » En pleine guerre commerciale, le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau a exhorté ce mercredi 9 avril l'Europe à muscler sa riposte face à la déferlante de droits de douane du président Trump. « Il faut des contre-mesures commerciales pour provoquer la négociation avec les États-Unis et engager une désescalade avec une date d'application différée des mesures », a expliqué le banquier central devant la presse. En adressant sa traditionnelle lettre au chef de l'État Emmanuel Macron intitulée « De la tétanie à la mobilisation générale », Villeroy de Galhau considère que l'Europe a intérêt « à garder un commerce ouvert avec ses partenaires ». Percutée par le tsunami tarifaire, l'économie mondiale plonge dans une spirale dangereuse avec l'entrée en vigueur des tarifs douaniers. Aux États-Unis, les marchés vacillent de toutes parts et les principaux indices boursiers tanguent sérieusement depuis l'annonce fracassante du milliardaire américain sur la fiscalité commerciale. Un impact de 0,25 point sur la croissance en zone euro De son côté, l'économie de la zone euro risque également de subir les effets de cette politique commerciale agressive. La Banque de France a calculé que les droits de douane pourrait amputer le produit intérieur brut (PIB) de 0,25 point de la zone monétaire. « C'est un effet direct sur la croissance 2025 », a indiqué le gouverneur. Cela signifie que ce chiffrage ne prend pas en compte les mesures de représailles. « En termes d'importations et d'exportations, l'exposition de la France est moins forte que celle de l'Allemagne et de l'Italie »,a-t-il détaillé. S'agissant de l'économie tricolore, les conjoncturistes de la Banque de France n'ont pas fait de nouvelles prévisions pour l'année 2025. Dans sa dernière enquête mensuelle de conjoncture, l'organisme bancaire table sur une croissance du PIB de 0,2% au premier trimestre de 2025 après une croissance négative de 0,1% fin 2024. De son côté, l'OFCE vient de revoir à la baisse sa projection pour 2025 à 0,5% contre 0,8% cette année en raison de l'incertitude et de la rigueur budgétaire. Pour la Banque de France, les conséquences des tarifs douaniers se feront surtout ressentir aux États-Unis. « L'effet est plus sévère aux États-Unis que dans le reste du monde, et en particulier dans l'Europe. Il y a des spéculations sur la possibilité d'une récession aux États-Unis. Ce qui était inimaginable il y a trois mois », a déclaré le patron de la Banque de France. Sur le front des prix, la guerre commerciale aurait un effet « limité » sur l'inflation en zone euro. Le risque pour l'économie américaine est l'effet boomerang des taxes Trump. En renforçant les droits de douane sur les importations, cela risque de propulser l'indice des prix vers des sommets outre-Atlantique. Face à cette menace, la Banque de France appelle à de la prudence. En d'autres termes, il s'agit plutôt d'établir une stratégie« avec des mesures ciblées pour éviter l'effet inflationniste », a ajouté Olivier Garnier, directeur général à la Banque centrale. Évidemment, ce moindre effet inflationniste va aussi dépendre du taux de change de l'euro face au dollar. Une potentielle dépréciation du billet vert ferait baisser le prix des importations en zone euro. « Le dollar n'a pas bénéficié de son statut habituel de valeur refuge, à la différence de l'or ou de la devise suisse. Les mesures récentes pourraient commencer à éroder la confiance à long terme dans le billet vert comme monnaie internationale de réserve », souligne Villeroy de Galhau dans sa missive. Budget : la France doit « travailler plus et mieux » S'agissant des finances publiques, le grand argentier à appeler le gouvernement à maintenir la cible de déficit à 5,4 % en 2025. Malgré les besoins en réarmement et le coup de frein de l'économie à venir, François Villeroy de Galhau veut que les dépenses publiques soient maîtrisées. Dans le viseur du banquier central figurent les dépenses des collectivités locales et celles de la sécurité sociale. « L'État ne peut pas assurer seul l'effort de maîtrise des dépenses publiques », a-t-il déploré. Pour améliorer les comptes publics, l'ancien banquier de BNP Paribas a appelé les Français jeunes et seniors « à travailler plus et travailler mieux ». Augmenter le temps de travail de ces deux catégories permettrait de doper la croissance potentielle (c'est à dire sans choc) de 0,25 point à moyen terme. Sur l'antenne de BFM TV ce mercredi matin, la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a annoncé que la France fera un effort de 5 milliards d'euros supplémentaires en 2025 avec des mesures nouvelles. « La répartition devrait être précisée dans les prochains jours » a assuré son cabinet. À une semaine de la conférence sur les finances publiques organisée par François Bayrou, le gouvernement prépare les esprits à un nouveau tour de vis budgétaire.
  11. L'euro est une monnaie qui a eu comme difficulté particulière de devoir égaliser des économies très très différentes.
  12. C'est en cours mais on n'en est qu'au début donc pour l'instant difficile de se faire une idée de ce qui va arriver vraiment. La base actuelle est très différente de celle de l'accord de Plaza. Les pays européens savent qu'ils ne peuvent plus compter sur les US pour les aider et le Chine est devenu un vrai concurrent. Maintenant changer le système monétaire est juste pas possible. L'argent reste le moyen le plus simple d'évaluer la valeur d'un bien et de se l'échanger.
  13. Ne te fais pas trop d'illusions. Soit le fonctionnement précédent bâti sur la force du dollar va être transféré à une autre monnaie (Euro ou Yuan), soit il perdurera sur des bases très différentes, soit autre chose. En l'état rien n'est sûr. La seule chose c'est que si on n'avait pas eu l'Euro on aurait passé un très sale moment.
  14. La Chine réplique lourdement à Trump via son ministre des finances. Via zonebourse : Chine ministère des finances : imposition de droits de douane supplémentaires de 84 % sur les produits américains Repris sur le figaro : EN DIRECT - Guerre commerciale : la Chine riposte et impose 84% de droits de douane sur les produits américains La Chine vient d’annoncer qu’elle imposera des droits de douane de 84 % sur les produits américains à partir de jeudi, contre 34 % précédemment annoncés, a déclaré le ministère des Finances mercredi.
  15. Ils venaient sûrement de Diego Garcia qui avait vu sa flotte augmenter juste la semaine précédente. Il faut croire qu'il n'y avait rien de dispo depuis les PA ...
  16. Ils se barrent sans prévenir ou en laissant croire que c'est un simple redéploiement vers la Pologne (). Mais comme ils partent aussi de Pologne ... https://english.nv.ua/nation/romania-unaware-of-us-plans-to-withdraw-troops-defense-ministry-says-50504750.html La Roumanie n'a pas été informée du retrait des troupes américaines Le ministère roumain de la Défense a déclaré qu'il n'avait reçu aucune information des États-Unis sur les plans de retrait des troupes américaines, a rapporté le Guardian le 9 avril. Le ministère roumain de la Défense a déclaré qu'il n'avait reçu aucune information officielle des États-Unis sur la question. Actuellement, 1 700 militaires américains sont stationnés en Roumanie, et le gouvernement a alloué 2,5 milliards d'euros pour moderniser et agrandir la 57e base aérienne de Mihail Kogelniceanu, qui accueille les forces américaines. « La Roumanie a été l’un des premiers pays alliés à augmenter son budget de défense au-dessus de 2 % du PIB et à investir systématiquement plus de 20 % dans les technologies modernes, démontrant ainsi notre ferme engagement à assumer des responsabilités de plus en plus importantes en matière de sécurité », a déclaré le ministère de la Défense du pays. Pendant ce temps, les États-Unis Le commandement de l'armée européenne a récemment annoncé la réinstallation des troupes américaines de l'aéroport de Jasienka en Pologne. Le Pentagone a confirmé que le transfert de personnel militaire et de matériel de la plate-forme logistique près de Rzeszow vers d'autres sites en Pologne était prévu depuis un certain temps. Le ministre polonais de la Défense, M. Kosiniak-Kamysz, a assuré que les forces norvégiennes, allemandes, britanniques et polonaises resteraient sur le site pour soutenir l'Ukraine. Des rapports antérieurs ont suggéré que les hauts responsables du Pentagone envisageaient de retirer jusqu'à 10 000 soldats d'Europe de l'Est, ce qui pourrait potentiellement renforcer la position de Vladimir Poutine.
  17. Pour l'aide US aux Ukrainiens il ne faudrait pas se faire trop d'illusions : ils se barrent. https://euromaidanpress.com/2025/04/09/us-pulls-presence-from-key-ukraine-arms-aid-hub-in-poland/ "Les États-Unis sont en train de retirer leurs troupes d'un centre logistique polonais crucial qui gère 95 % de l'aide militaire à l'Ukraine, citant des économies de coûts de « dizaines de millions de dollars » tout en transférant des responsabilités à d'autres alliés de l'OTAN."
  18. Un accident de parapluie est si vite arrivé. Il suffit juste de donner les bons arguments à ceux qui pourraient s'en charger.
  19. La baisse des taux US pourrait ne pas avoir d'effet sur le dollar car l'Europe et la Chine pourraient faire de même afin de ne pas reproduire les effets de l'accord du Plaza : LONDRES, 9 avril (Reuters) - Les marchés monétaires ont lutté toute l'année pour décider si la guerre commerciale de Washington est bonne ou mauvaise pour le dollar des États-Unis. Pékin peut se décider pour eux. Quoi que le président Donald Trump planifie ensuite dans son attaque tarifaire « réciproque » mondiale, le ciblage extrême des importations chinoises et des représailles instantanées de la Chine place la bataille commerciale sino-américaine sur un autre avion. Trump menace maintenant des droits de douane de plus de 100 % sur les produits chinois à moins que la Chine ne se retourne, tandis que Pékin dit qu’il se battra jusqu’au bout. Et même si l'administration peut essayer d'engendrer l'optimisme quant aux négociations avec d'autres pays, les États-Unis. Le représentant du commerce, Jamieson Greer, a clairement indiqué mardi que la Chine est considérée comme un cas particulier. Il est difficile d'imaginer un scénario avec des droits de douane américains à 100 % sur la Chine qui n'implique pas une certaine dévaluation du yuan aux 10 % d'autorités de Pékin conçues pendant la première guerre tarifaire bilatérale de Trump en 2018. Les salves d'ouverture de cette bataille monétaire semblaient avoir lieu mardi alors que la Banque populaire de Chine a délibérément relâché son emporter sur son taux de référence officiel du yuan, provoquant une baisse du taux offshore à un niveau record du jour au lendemain. Le yuan s'est maintenant affaibli de 2,5 % en moins de trois semaines. Le yuan chinois jette le chat parmi les pigeons FX La logique s'empile. Même si la Chine utilisait de plus en plus de mesures budgétaires et monétaires pour protéger son économie contre les assauts commerciaux, cela ne ferait qu'accroître l'écart de rendement entre la dette publique chinoise et les équivalents américains, en particulier si l'inflation due aux droits de douane maintient la Réserve fédérale en suspens et que les rendements américains augmentent. L'une des principales raisons pour lesquelles la Banque nationale de conservation était de maintenir le yuan était d'éviter les droits de douane directs de Washington et d'encourager la demande intérieure plutôt que les exportations. Mais maintenant que les tarifs ont été appliqués si brutalement, il n'est guère logique de maintenir la ligne si l'économie au sens large est en danger. PAS PLAzA II Un yuan plus faible est alors à la fois défensif par nature et un coup de feu à l'avant de Washington, dont la guerre commerciale est au moins en partie construite pour réduire une surévaluation estimée à 20% du dollar. Un yuan d'affaiblissement aurait aussi probablement des effets en cascade, car il est difficile de voir comment l'Europe pourrait lui permettre de glisser sans répondre. Après tout, l'indice nominal pondéré par l'euro est encore proche d'un niveau historique, même si l'économie de la zone euro s'effondre et fait face à son propre barrage tarifaire de Trump. La crainte d'un flot d'exportations chinoises tarifées par les États-Unis est redirigée vers l'Europe à des prix affaiblis en yuan seulement n'augmente que la ante. L'indice pondéré en euros pondéré en fonction des échanges est déjà désormais plus élevé Une menace de termes de l'échange et des impulsions déflationnistes de la guerre commerciale américaine et d'un euro trop fort retarderaient la pression sur la Banque centrale européenne pour réduire les taux d'intérêt afin de la compenser. Et le cycle pourrait juste démêler à partir de là. Si l'euro devait s'affaiblir fortement, la pression sur la livre sterling pour qu'il suive augmenterait également - ou du moins, la pression s'étendrait sur la Banque d'Angleterre pour compenser toute appréciation non désirée de la livre. Les principaux pays commençants de la Chine - qui ont repris une grande partie du commerce bilatéral perturbé entre l'Amérique et la Chine ces dernières années - ressentiraient également la chaleur d'une chute du yuan. Le peso du Mexique et les monnaies des marchés émergents d'Asie seraient probablement toutes sur la ligne de tir. Et contre tout cela, il est difficile d'imaginer une économie dépendante du commerce comme le Japon reste les bras croisés et permet au yen de monter plus haut par défaut. BOOMERANG Le boomerang revient ensuite sur les genoux de Washington, car il serait confronté à la perspective d'un dollar encore plus fort. Cela plaiderait peut-être en faveur d'un assouplissement de la Réserve fédérale. Mais comme le patron de la Fed Jerome Powell l'a clairement indiqué la semaine dernière, la banque centrale américaine n'est pas pressée de le faire. Un éditorial de l'ancien président de la Fed de New York, Bill Dudley, a suggéré mardi que les attentes du marché de quatre baisses de taux de la Fed cette année pourraient être trop zélées. Il est difficile de savoir comment ça va se passer. Peut-être que la Chine tient la ligne et appuie le yuan. Peut-être que l'économie américaine fait le cratère d'une manière que d'autres évitent, ou que la fuite à l'étranger des actifs américains submerge les marchés américains. Tout plan organisé visant à affaiblir le billet vert semble hors de question. L'ancien diplomate japonais Naoyuki Shinohara a lancé de l'eau sur l'idée mardi, disant à Reuters que toute tentative américaine d'obtenir une dépréciation coordonnée du dollar de type Plaza Accord de 1985 ne fonctionnerait tout simplement pas, car cela nécessiterait le consentement improbable de la Chine et de l'Europe. Mais si les événements de cette semaine marquent le début d'une guerre monétaire pour correspondre à la guerre commerciale, alors la pensée initiale selon laquelle les hausses tarifaires américaines finiraient par renforcer le dollar pourrait bien s'avérer être correcte depuis le début. Et c'est ce qui se passe au moment où les analystes de Wall Street abandonnent ce point de vue et d'embrasser la perspective d'un billet vert à la place. Ce qui était autrefois considéré comme des points de vue à long terme ont maintenant une durée de conservation d'heures. Le graphique linéaire montre les trois principales destinations à l'exportation des États-Unis. Les opinions exprimées ici sont celles de l'auteur, un chroniqueur de Reuters.
  20. Manifestement ç'est venu encombrer l'ordre du jour d'au moins une réunion ces derniers temps.
  21. Je résume, les actions US ne sont plus recherchées, les obligations US ne sont plus recherchées, le dollar est une autre barrière. Après il va falloir se demander comment l"économie US se finance sans ses partenaires internationaux. L'épargne US est comment ? C'est l'ultime barrière avant le défaut de paiement.
  22. Je pense qu'il faut prendre le premier contrat et le rajouter. Et faire une calcul global avec trois bases (dont une pour l'IN), un PBL, une mise à niveau des rafales déjà livrés, une adaptation du PA, et sûrement une accélération industrielle plus ou moins aidées.
  23. Un texte un peu moins concis pour expliquer le problème sur l'obligataire US : pour faire simple il y a péril en la demeure et une coordination mondiale va devoir se mettre en place à mon humble avis. Mais que peut-elle décider dans ce foutoir si ce n'est de couper la branche ? https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Peur-sur-l-obligataire-49568318/ Peur sur l'obligataire La tension est encore montée d'un cran sur les marchés financiers, avec l'instauration effective des droits de douane réciproques par l'administration Trump, notamment les fameux "104%" sur les produits chinois. Les investisseurs ont de plus en plus de mal à imaginer que cela ne se terminera pas dans le mur. Le marché obligataire envoie de curieux signaux. Les appels au report des droits de douane se multiplient jusque dans le camp présidentiel. Et les regards se tournent déjà vers la banque centrale américaine pour envisager un retour au calme. Bref, c'est le foutoir. La séance boursière de mardi a été marquée par le redressement des places européennes et par le rebond avorté de Wall Street. L'indice S&P 500, le plus suivi de la Bourse de New York, a commencé par gagner 4% avant de finir en baisse de 1,6%. Cette volatilité est typique de la phase d'incertitude actuelle. L'incapacité de Wall Street à rebondir en dit long sur la tension qui règne. C'est la quatrième séance consécutive dans le rouge pour le S&P 500, qui a perdu 12% depuis mercredi dernier, et 19% par rapport à ses records de février. En Europe, les indices ont temporairement brisé leur série baissière. Le Stoxx Europe 600, qui regroupe les plus grandes sociétés des divers pays du vieux continent, a repris 2,7% et a réduit ses pertes 2025 à 4% (le S&P 500 est à -15%). Il ne faut pas se leurrer pour autant : si l'Europe fait mieux que les Etats-Unis, elle aura du mal à sortir indemne de la tempête déclenchée par la multiplication des droits de douane par l'administration Trump. C'est d'ailleurs ce matin à 6h00 que les surtaxes douanières sont entrées en vigueur. La Chine, qui a décidé d'engager le bras de fer avec les Etats-Unis, écope de 104%, ce qui signifie qu'un produit chinois est grosso modo deux fois plus cher que si les échanges étaient totalement libres. Washington parie que Pékin va devoir plier l'échine compte tenu de son colossal excédent commercial avec les Etats-Unis. Pékin pense que Washington ne tiendra pas la distance en cas de conflit commercial mondial. Toute une palanquée d'autres surtaxes sont désormais en vigueur entre les Etats-Unis et les autres pays. Des négociations bilatérales doivent démarrer, mais certaines économies font de la résistance, à l'image de la Chine mais aussi de l'UE, qui a prévu de répliquer d'abord et discuter ensuite, dans une sorte de renversement du train-train habituel du vieux continent. Car le continent européen a un peu cassé son image de loser ces derniers temps, après avoir été malmené par l'Amérique de Trump. Pas au point de constituer un havre de paix pour autant. Mais disons que les signaux sont plus favorables qu'ils ne l'étaient il y a deux mois. Hier, les indicateurs avancés européens ont frémi en hausse, malgré la déconfiture de Wall Street, quand un accord de coalition autour de Friedrich Merz a été annoncé dans les médias allemands. En temps boursiers normaux, il y a des choses plus excitantes que ça. Mais en l'occurrence, ça fonctionne. Et, j'ose l'écrire même si je n'en suis pas totalement persuadé, l'Europe, malgré ses fêlures, apparaît actuellement comme plus sûre que les Etats-Unis pour les investisseurs. Ce qui n'empêchera pas les indices de démarrer en forte baisse ce matin, il ne faut pas exagérer. C'est d'autant plus marqué qu'un nouveau personnage vient de s'inviter dans le storytelling : le comportement du marché obligataire. Dans un contexte basique, les rendements obligataires américains devraient baisser parce que les investisseurs vendent à tour de bras des actions pour aller se cacher dans des actifs moins risqués, en particulier les bons du trésor US (dont le rendement baisse quand le prix monte, et inversement). Un vaste mouvement d'achat devrait faire reculer les rendements. Or ils explosent à la hausse de façon préoccupante. Le rendement du 10 ans US est passé de 3,86% vendredi dernier au plus bas à 4,46% au plus haut ce matin. Ça n'a l'air de rien comme ça, mais sur le marché obligataire, c'est le signe qu'un truc énorme est en train de se passer. Les spécialistes (dont je ne fais pas partie, alors j'espère que je ne vais pas dire des âneries en vulgarisant) mettent en cause un mécanisme complexe utilisé par certains fonds spéculatifs, appelé le "Treasury basis trade". Il consiste à profiter d’écarts de prix entre des obligations et des contrats financiers liés à ces mêmes obligations, en empruntant massivement pour amplifier les gains. Mais comme ces stratégies reposent sur un très gros effet de levier, elles deviennent dangereuses quand le marché devient instable : si les prix bougent trop vite, ces fonds doivent vendre en urgence, ce qui amplifie les secousses. Ce phénomène inquiète les experts car il rend fragile un marché censé être un pilier solide du système financier mondial. En 2020, ce type de stratégie avait déjà failli provoquer une grave crise, évitée de justesse par une intervention massive de la Réserve fédérale. Parmi les autres facteurs d'explication de l'envolée des rendements, on retrouve aussi le serpent de mer habituel, la désaffection pour la dette américaine, perçue comme moins sûre qu'avant. Une hypothèse soutenue par un épiphénomène, l'accueil ultra-tiède réservé au premier des trois placements de dette du Trésor US cette semaine, et par la vieille rengaine sur le risque de cession massive de bons du trésor par les pays qui en détiennent des armoires entières. Les plus gros détenteurs de dette américaine hors des Etats-Unis sont le Japon (environ 1 000 Mds$ sur 34 000 Mds$) et la Chine (environ 760 Mds$). Ces remous sur le marché obligataire risquent de faire sortir les banques centrales du bois, parce que les engrenages financiers font qu'ils affectent d'autres économies que celle des Etats-Unis. Au Japon, les autorités financières, dont la Banque du Japon, ont annoncé à 7h00 ce matin la convocation d'une réunion d'urgence à 16h00 (9h00 heure française). Aux Etats-Unis, les regards se tournent une fois de plus vers la Réserve Fédérale. Le "Fed Put", ce fameux plancher subjectif de tension financière présumé entraîner une réaction officielle de soutien de la banque centrale, est déjà sur toutes les lèvres. La probabilité d'une baisse de taux de la Fed lors de la réunion du 7 mai est passée de 10,6% la semaine dernière à 63% ce matin. L'intervention de la banque centrale est l'ultime branche à laquelle se raccrochent généralement les investisseurs. C'est aussi le signe que c'est vraiment la m…. Les remous sur le marché obligataires, qui viennent s'ajouter à ceux sur les actions, font que les investisseurs vont se montrer de plus en plus vigilants avec les zones sombres ou risquées de l'économie. Par exemple, les obligations d'entreprises à haut rendement ou le secteur du private equity (les entreprises non cotées financées par des fonds). Il n'est pas étonnant de constater que les grands spécialistes de ces secteurs soient chahutés : par exemple, le géant de l'investissement américain KKR a perdu 20% en quatre jours et plus du tiers de sa valeur en 2025. Parmi les autres compartiments à surveiller : l'immobilier commercial US (-12% en quatre séances) ou les banques régionales US (-14% en quatre séances).
  24. Oh bah çà alors quelle surprise !!!. Mon questionnement maintenant sera de vérifier que le débouclage des positions sur les T-bon se fait également en convertissant les dollars obtenus dans une autre devise. Via le figaro Les bons du Trésor américain dans la tourmente, des suspicions sur la Chine Les bons du Trésor américain subissent un violent effondrement ces derniers jours. Une vague de ventes a fait grimper les rendements de référence du Trésor à deux ans de 0,9% à 3,773%. Le rendement à cinq ans a,lui, bondi de 3,5% à 4,047% tandis que le rendement de référence à trente ans a grimpé de 5,4% à 5,969%. Si ces hausses sont en lien avec les annonces de Donald Trump sur les surtaxes douanières, elles pourraient également être liées à un autre phénomène. Une spéculation émerge parmi les économistes, selon laquelle la Chine se débarrasserait d’une grande partie de ses avoirs en bons du Trésor pour faire grimper les rendements et augmenter la liquidité locale. Pour l’heure, cette théorie n’est pas encore vérifiée.
  25. Pourquoi veux-tu mettre la charrue avant les boeufs. SI on est dans le cadre d'une escalade dont le timing doit être maitrisé par les 33, inutile de se presser. SI le but est d'éjecter Poutine du pouvoir il faut faire monter la pression politique doucement pour le mettre en porte-à-faux.
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