
Alberas
Members-
Compteur de contenus
2 371 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
1
Tout ce qui a été posté par Alberas
-
Less affaires tournent bien pour Saab!
-
Et à l'Argus, elle côte combien?
-
@Patrick Sors de ce corps
-
Le ministère du budget brésilien utilise les montants des crédits acheteur comme des comptes bancaires sur les quels il donne des droits de tirage annuels en fonction de son budget global. Le résultat est que les projets avancent beaucoup lentement que prévu au contrat et certains projets peuvent même rester bloqués pendant 1 an ou plus. Alors, il faut "convaincre" les décideurs ... Dans ce contexte, même si le programme Gripen est prioritaire ( d'autant plus qu'Embraer a du poids politique au Brésil) il n'est pas à l'abri de ce mode de fonctionnement et il est probable que les Suédois renégocient certains prix ... ce qui est un autre motif de retard. La vie des contrats au Brésil n'est pas un long fleuve tranquille.
- 831 réponses
-
- 4
-
-
-
-
- rafale
- production
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Mouais, je suis pas loin de penser que DA dit tout haut ce que pensent les politiques. C'est pas par hasard que le paquet est mis sur le F5 et le neuron alors que le SCAF avance à reculons.
-
[Ministère des Armées, MINARM]
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Oui, c'était trop facile. -
[Ministère des Armées, MINARM]
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Tu n'as pas osé dire "avec plus de rondeur" ..? -
Le gouvernement norvégien réclame 1.25 milliard d'euros .... https://www.bairdmaritime.com/security/incidents/accidents/spanish-shipbuilder-sued-over-2018-warship-sinking-off-norway Un constructeur naval espagnol poursuivi en justice pour le naufrage d'un navire de guerre au large de la Norvège en 2018 Baird Maritime Publié le: 11 avril 2025, 12h11 Le ministère norvégien de la Défense (MOD) a poursuivi le constructeur naval espagnol Navantia pour obtenir une indemnisation d'un montant total de 13,3 milliards de couronnes norvégiennes (1,25 million milliard de dollars américains) en relation avec le naufrage d'un navire de guerre de la marine royale norvégienne en 2018. Le montant déterminé par le MOD couvre le coût total estimé du renflouement de la frégate coulée HNoMS Helge Ingstad et de l'acquisition d'un navire de remplacement. Le MOD avait engagé une action en justice contre Navantia en août 2024, moins de six ans après que Helge Ingstad soit entré en collision avec un navire commercial en mer du Nord et ait coulé plus tard . La frégate est entrée en collision avec le pétrolier Sola TS au large des côtes d'Oygarden dans le comté de Vestland vers 04h26 heure locale le 8 novembre 2018. La frégate a subi une infiltration d'eau et a coulé cinq jours plus tard, le 13 novembre. Huit marins ont été légèrement blessés, mais les 137 membres de l'équipage de la frégate ont été secourus sains et saufs. Le Helge Ingstad a été sorti du fond marin et transporté à la base de la Marine royale norvégienne à Haakonsvern fin février 2019. Cependant, les responsables de la défense norvégienne ont finalement décidé de mettre la frégate à la ferraille après qu'une évaluation a révélé que les réparations estimées coûteraient plus cher que l'acquisition d'un nouveau navire de guerre. Ole Kristian Rigland, l'avocat représentant le MOD, a déclaré que les arbres d'hélice de la frégate étaient creux, ce qui permettait à l'eau de s'écouler entre certains des compartiments étanches du navire. La plainte allègue qu'une construction étanche différente avait été incorporée sur les frégates de classe Álvaro de Bazán construites par Navantia en service dans la marine espagnole. La classe Álvaro de Bazán avait servi de base au Helge Ingstad et à ses sisterships de la classe Fridtjof Nansen en service norvégien. Navantia a rétorqué que le problème de conception de la frégate avait été identifié avant l'incident, mais que les forces armées norvégiennes avaient autorisé le navire à continuer à fonctionner sans mettre en œuvre aucune mesure corrective. M. Rigland a précisé que l’objectif est que les deux parties participent à la médiation pour parvenir à un accord.
-
Et Hop! Un nouveau bidule de plus pour accélérer les processus
-
Curieux que les allemands n'aient pas réagi. Ils doivent aiguiser leur canif
-
Je suis tout à fait d'accord là-dessus. Mais on ne peut pas courir plusieurs lièvres à la fois. On a l'opportunité d'occuper le marché avec un système basé autour du F5 en toute autonomie. Et on peut aussi développer son successeur furtif au sein de l'équipe DA, sans se battre en permannece pour conserver cette autonomie.
-
C'est pire ou plus simple que ça: - l'aggravation de la situation géopolitique a rendu le ron-ron conflictuel du développement du SCAF (intrinsèque par essence à son organisation) totalement inadapté à l'urgence d'une solution efficace. - la réaction française à cette situation a été de financer par son propre budget l'évolution du Rafale vers une solution accélérée d'un simili SCAF basé sur le Rafale F5, le Neuron, un M88 amélioré, les solutions capteurs et Spectra de Thales, des transmissions à haut débit et d'interopérabilité existantes. Toutes solutions qui n'ont aucun équivalent en Europe. - En bref, la seule chose qui nous manque par rapport au SCAF, c'est l'avion furtif. Mais les contraintes françaises liées à la marinisation et à la dissuasion nucléaire ne peuvent que ralentir et renchérir son développement à 3 pays; voire à le rendre impossible. - Donc Trappier a eu raison de mettre les pieds dans le plat, car il est urgent que la France arrete de financer le SCAF et mette ses ressources dans le développement non pas du NGF mais NG-Rafale. D'autres pays peuvent se joindre à ce projet, mais sous la directio des leaders français puisque, comme le proclame Eric Trappier "La compétence est en France". Ce n'est que comme ça que l'Europe continuera d'exister dans ce domaine.
-
L'opinion générale est que, pour les Espagnls: - la France n'est pas un partenaire fiable, répète le mauvais coup de l'Eurofighter, et veut l'argent des autres tout en ne voulant rien partager; - l'Espagne est totalement dépendante d'Airbus; - la solution est d'aller voir ailleurs, mais où? (CGAP, Turcs, Suédois, Coréens, ...) En réalité ils sont envieux des capacités d'autonomie technologique de la France et tristes de constater qu'ils sont totalement dépendants d'Airbus.
-
L'explication est évidemment dans le contrat! Peut être que la Serbie n'a pas financé le solde par un crédit acheteur de 85%, qui offre une garantie de paiement au fournisseur, parce que les taux du crédit proposé étaient trop élevés? En effet le risque pays à la Coface est classé C, ce qui est très élevé. Dans ce cas on se retrouverait dans un paiement comptant, soit 30 % à la commande et 70% à la livraison. Le paiement du solde à chaque livraison évite tout risque financier à Dassault. Mais ce n'est qu'une hypothèse.
-
Oui. Donc c'est à l'IAF de faire en sorte d'éviter l'appel d'offres, parce que: - appel d'offre MMRCA: 2005? 2007? - contrat 36 Rafale: 2015/2016 - contrat IN: 2025 - appel d'offre MRFA: 2025 .... -contrat MRFA: ... 2035? On est quasiment à du modulo 10 ans
-
On trouverait peut être le Gripen ... comme au Canada contre le F35 Ca ne servirait qu'à perdre du temps.
-
Il y a quand même une grosse différence entre le Patmar et l'AWACS, c'est que dans le Patmar on dispose d'un système de mission national. Donc, à moins qu'Airbus fasse sauter la banque, le choix d'un PATMAR national est logique. Mais pour l'AWACS, la logique budgétaire et opérationnelle (sécurité d'une solution éprouvée) conduit plutôt à acquérir un AWACS sur le marché. Après, que ce soit le E-7 US ou le Global eye Suédois relève d'un choix politique. Mais sachant que l'AWACS sur nos PA est aussi américain, je ne serais pas choqué que l'AAE choisisse le E-7.
-
Je sais, mais il faut pas voir le mal partout. Je ^posais la question pour savoir si un avion plus petit que le 10x , et déjà transformé pour le système archange, pouvait aussi être une solution, et à condition aussi que le 3ème moteur ne soit pas gênant! Mais il faudrait aussi avoir une solution nationale pour remplacer le système de radars. Sinon autant prendre la solution Saab, déjà éprouvée, et négocier des contreparties avec la Suède. Ce sera moins cher et moins risqué.
-
Le 8x, c'est trop petit?
-
Trop compliqué pour moi
-
Je pense qu'ils sont fiers de travailer chez DA et qu'ils sont confiants dans l'avenir.
-
Réunion du CCS dans 10 ans ?
-
Il y a un an, il disait avoir un plan B ... et que la finalité du plan B était de remplacer le plan A quand celui ci ne marcherait plus. Quelques mois après, il y a eu le lancement du F5 avec le Neuron et l"vocation d'un F6. Tout ceci en attendant que le SCAF se fasse, bien entendu.
-
Et pourquoi pas ? .... https://www.infobae.com/colombia/2025/04/09/estados-unidos-y-francia-lanzan-contraofertas-para-frenar-la-compra-de-aviones-suecos-por-parte-de-colombia/ Il s’agit de la contre-offre des États-Unis et de la France pour empêcher la Colombie d’acheter des avions suédois. Bien que le gouvernement de Gustavo Petro ait déjà annoncé son intention d'acquérir des chasseurs Gripen auprès de la société suédoise Saab, Lockheed Martin et Dassault Aviation ont présenté de nouvelles propositions avec des schémas de financement plus flexibles. ParSantiago Cifuentes Quintero 9 avril 2025, 9 h 19 HNE Les chasseurs Gripen, fabriqués par Saab, ont été sélectionnés par la Colombie pour remplacer les Kfir, mais de nouvelles offres de la France et des États-Unis pourraient changer le cours des négociations - crédit : Piroschka van de Wouw/Reuters Le renouvellement de la flotte de combat de la Force aérienne colombienne (FAC) est entré dans une période de tension diplomatique et commerciale. Vous pourriez être intéressé par :L'Italie a annoncé qu'elle enverrait un procureur en chef en Colombie après le meurtre d'un scientifique de renom retrouvé démembré dans une valise à Santa Marta. Bien que le gouvernement colombien progresse déjà dans les négociations avec la firme suédoise Saab pour acquérir des avions de combat Gripen 39, les États-Unis et la France ont décidé d'intervenir avec des contre-offres de haut calibre pour tenter de stopper l'opération et de positionner leurs propres modèles d'avions militaires. Vous pourriez être intéressé par :Gustavo Petro a confirmé qu'il accorderait des subventions aux usagers des couches sociales 1, 2 et 3, mais pas en espèces, mais plutôt sous la forme de toits solaires « pour réduire leurs coûts énergétiques ». Saab prend les devants, mais rien n'est signé. La proposition suédoise menée par Saab a gagné du terrain avec un package qui va au-delà de l'achat d'avions : il comprend le transfert de technologie, le développement de logiciels, l'investissement industriel et une compensation sociale et économique de près de 2 milliards de dollars. Parmi les projets notables figure l’installation de panneaux solaires à La Guajira , une région historiquement marginalisée en termes d’infrastructures énergétiques. Les avions Gripen 39 de Saab, favoris du gouvernement colombien, se distinguent par leur technologie de pointe et le programme de coopération qui comprend des investissements sociaux dans des régions comme La Guajira - crédit : Piroschka van de Wouw/Reuters Cette approche globale a été saluée par le gouvernement de Gustavo Petro, qui cherche à aligner la modernisation militaire sur le développement territorial. Cependant, la transaction n’a pas encore été officialisée, ouvrant la porte à une réaction d’autres acteurs internationaux. La France insiste sur le Rafale et sur une coopération à long terme Dassault Aviation, soutenu par le gouvernement français, a renouvelé son intérêt à entrer dans les négociations. Son offre comprend la livraison de 16 avions Rafale à la pointe de la technologie, des conditions de financement améliorées, la location temporaire d'avions pendant la fabrication de nouveaux appareils et une proposition de coopération structurelle à long terme. "L'objectif n'est pas seulement de vendre des avions, mais de développer une industrie technologique en Colombie", a déclaré l'ambassadeur de France Sylvain Itté lors d'une récente visite à Carthagène. La proposition française pour l'avion Rafale cherche à aller au-delà d'une simple vente, en investissant dans une alliance industrielle à long terme avec la Colombie - crédit : Ludovic Marin/Reuters La proposition comprend également le transfert de technologie, la formation du personnel colombien et la participation active aux programmes aérospatiaux. Bien que la Colombie ait déjà décidé d'aller de l'avant avec Saab, la France insiste sur le fait que son offre reste sur la table. « Nous sommes toujours prêts », a souligné Itté, soulignant également la coopération militaire entre les deux pays dans les Caraïbes, notamment dans la lutte contre le trafic de drogue. Les États-Unis se joignent à l'appel d'offres pour les F-16 De son côté, Lockheed Martin prépare une proposition qui vise à offrir aux chasseurs F-16 des développements technologiques complémentaires, en plus des avantages institutionnels et de la durabilité opérationnelle. Selon Blu Radio , la proposition sera officiellement présentée avant la fin de la semaine du 7 au 13 avril. L’intérêt des États-Unis n’est pas seulement technique : ils cherchent également à maintenir leur influence stratégique en Colombie, l’un de leurs principaux alliés en Amérique latine. Cependant, certains experts avertissent que l'offre arrive trop tard, compte tenu de l'avancement des négociations avec Saab.
-
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Verbatim Wouaff Les couteaux sont sortis!