Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Akilius G.

Members
  • Compteur de contenus

    2 068
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Akilius G.

  1. Espérons en effet que les échanges otages / prisonniers puissent continuer pour les otages civils. Ce serait en effet une bonne idée que lors de la reconstruction de Gaza, on construise des abris civils connus de tous et répertoriés comme tel. Je n'ai pas d'opinion sur l'affaiblissement du Hamas. Actuellement, il est en mesure de procéder aux échanges et de maintenir le cessez-le-feu. Avec un mois de plus de guerre, cela n'aurait peut être pas été possible faute de chaine de commandement. S'il s'en sort, c'est très plausible, à sa place je ne retenterai pas les choses de la même manière à l'avenir...
  2. On verra bien quelles leçons Israël tirera à la fin de la guerre. Il y aura des sujets de protection des frontières avec probablement des restriction à l'aménagement des zones frontalières. Le coût de surveillance de la frontière s'annonce important en hommes et équipements, mais globalement gérable. Le plus compliqué s'annonce la protection de la frontière avec la Cisjordanie qui est en passe de basculer côté Hamas. Actuellement les pluies de roquettes sont gérées soit par l'Iron Dome soit par les assurances. Cette incertitude est donc gérée. Les incertitudes post guerre les plus fortes côté business sont d'ordre politiques et civiles à mon avis. En revanche, comme je vois mal israéliens et palestiniens discuter sérieusement de leur avenir commun, on connaîtra une nouvelle guerre dans 5 à 10 ans, et là les logiques peuvent changer.
  3. c'est une ancienne photo non?les champs ne doivent plus être cultivés
  4. Les besoins de recrutement servent : - à compenser les pertes ; morts, blessés, malades (le froid et l'humidité doivent prendre leur dû..), prisonniers... La létalité des équipements modernes est connue et chaque camp se vante d'infliger de lourds pertes à l'ennemie. - à reconstituer une lente attrition non liée aux combats : soldats réformés pour âge ou raison de santé, désertion (il y a une inconnue sur les désertions) - potentiellement à compenser des insuffisances de l'économie de guerre : en début de guerre des fonctions supports étaient souvent gérées par des bénévoles, mais cela marche un temps... Par conséquent, il faut soit rémunéré le boulot ... soit mettre un militaire dans la boucle... Par ailleurs, si l'armée prélève 20 000 hommes mois, il faut se dire que tous ne conviendront pas (raison de santé, instabilité de comportement), car l'Ukraine est en mode on prend ce qu'on trouve... Et le pays n'a pas une réputation d'efficacité administrative. Il y aurait donc des flux entrants / sortants : - au sein de la base combattante terrestre. Je suis tombé sur une estimation d'environ 200 000 hommes faite par les russes. - au sein de la sphère militaire élargie, laquelle est bien plus large : outre l'armée de l'air, la marine, toutes les fonctions supports, dont la formation et la logistique, la réparation et l'entretien des multiples matériels, le renseignement, les équipes de surveillance des sites sensibles, des frontières, etc... On doit être au minimum au triple du chiffre précité. Ces diverses fonctions peuvent parfois être réalisées par des anciens blessés, des hommes âgés ou ceux non adaptés au front. Cette base étant assez large, sa lente érosion naturelle implique un effort de recrutement (si réforme + désertion représente 5 % de 600 000 hommes, cela fait 30 000 recrutements annuels à compenser). On voit aussi que si certaines fonctions doivent être gérées en direct car trop dangereuse pour les civils (exemple logistique), cela représente très vite plusieurs milliers d'emplois.
  5. Israël est un pays qui à la réputation d'avoir une terre "chère". Autrement dit, la spéculation immobilière y pose des soucis comme dans un très grand nombre de pays. Il y a quelques années des manifestations importantes avaient eu lieu sur ce thême. L'immobilier cher gonfle artificiellement la richesse et provoque des nuisances. Mais je ne sais pas si la cause principale est le pied-à-terre d'étrangers fortunés, le manque de construction, des lois foireuses, etc.. Encore récemment : https://fr.timesofisrael.com/tel-aviv-grande-manifestation-contre-les-prix-des-logements-et-le-cout-de-la-vie/ Je ne vois pas de raison que la part de commerce liée à la diaspora/communauté juive diminue singulièrement à la fin de la guerre, mais je ne connais son importance. Tu me sembles t'interroger indirectement sur les flux de populations entrant et sortant d'Israël. Je suis mal placé pour émettre un avis sur ce point, mais je suppose que les tensions avec les palestiniens ne seront pas un critère déterminant au moins dans l'après guerre. Les tensions internes à la population juive et à l'Etat pourraient de mon point de vue générer à terme un départ de populations peu religieuses, si d'aventure les tensions constatées lors de la tentative réforme constitutionnelle devaient s'accroitre. S'agissant enfin des perspectives générales de business, je ne vois pas de raison à un blocage de l'économie post guerre. Mais il faut quand même qu'elle s'arrête! Les milieux d'affaires peuvent parfaitement se satisfaire d'une tranquillité apparente, mais faut-il comme tu l'indiques que le niveau d'incertitudes ne soit pas singulièrement élevé et surtout pas trop visible. Autrement dit, il faudra que Israël et les palestiniens puissent cesser les hostilités, avec le Hamas dans la boucle, bien vivant et actif... Sur un plan économique le cessez-le-feu dans un délai limité - début d'année par exemple - est bien plus raisonnable qu'un destruction hypothêtique du Hamas. Le problème immédiat de la guerre n'est pas le niveau d'incertitudes, mais la certitude de la dépense et de l'incapacité à produire avec les réservistes en train de combattre ... ou plus souvent de garder quelques frontières... Si la durée du blocage de l'économie est trop grande, le risque est de casser quelque chose dans l'économie. A terme, des risques majeurs peuvent inquiéter les investisseurs. Le plus important à mon sens est celui qui pèse sur les flux maritimes. Les houthis touchent du doigt un point majeur en capturant quelques navires. D'ici quelques années, même les palestiniens ou le Hezb risquent d'avoir des capacités antinavires suffisamment crédibles pour bloquer le commerce maritime pendant des mois (drone, mines, missiles...)... L'Iran cherche à rendre à Israël ce que les Etats-Unis lui imposent en limitation des flux économiques...
  6. Avdiivka comportait au sud une ligne de fortifications datant de 2014 si j'ai bien compris. Les russes cherchent donc à faire sauter un verrou. Mais ces fortifications consistaient en quoi, car on ne voit pas grand chose sur les videos? des champs de mines certainement, mais au delà? des bunkers, des tranchées? J'aimerai comparer les techniques défensives russes et ukrainienne.
  7. ils achètent du temps pour le moment et font baisser la tension générale
  8. je ne sais pas. Mais ils doivent commencer à rationner s'ils ne sont pas sur des livraisons à venir
  9. Le budget munitions / pensions aux veuves coté Hezb, Houtis et supplétifs irakiens doit être raisonnable en ce moment. J'imagine que l'Iran devra aider à la reconstruction de Gaza à terme et à la restauration du Hamas si ce dernier s'en sort. Donc pas trop d'idée au final. Pour Israel, je vois : - le sujet principal de l'ampleur de la mobilisation qui met à l'arrêt de nombreuses entreprises faute de main d'oeuvre. Pour cela un soutien financier américain n'aiderait pas beaucoup. Tsahal a-t-elle besoin d'autant de réservistes entre Gaza, la frontière avec le Liban et la Cisjordanie? Pour le moment la sécurité est de les avoir sous la main disponibles si cela dérape ici ou là... Le simple fait que l'Iran impose de les avoir sous les armes constitue un moyen de pression économique important. Sur ce point, l'Iran semble jouer finement... - le sujet de la consommation de munitions : ne pourrait-on pas faire aussi bien voire mieux avec une moindre consommation de munitions, parce que le rythme de consommation de munitions ne sembla pas tenable dans la durée sans soutien américain? Sur ce point, les USA peuvent donner des munitions en cas de besoin, par exemple d'extension de la guerre au Liban. - à terme, des pensions aux blessés ou aux veuves, la reconstitution de divers équipements usés, détruits ou disparus durant la guerre. Pour les blindés, c'est de la production locale donc du budget local.
  10. sur les 1600 blessés je serai prudent sur les citations d'officiels israéliens par des médias turcs et arabes, sans confirmation par la presse israélienne. La presse israélienne ne me semble pas mener d'investigations sur le coût humain de la guerre - pression politique oblige - mais pourrait relayer des chiffres qui lui sont fournis. Au bout d'un moment la chappe de plomb va sauter. https://fr.timesofisrael.com/un-ministre-demande-des-sanctions-contre-haaretz-pour-propagande-mensongere/
  11. les milieux économiques et financiers israéliens s'inquiêtent du cout de la guerre : https://www.i24news.tv/fr/actu/economie/1700469432-israel-le-cout-de-la-guerre-s-eleve-a-un-milliard-de-shekels-par-jour Apparemment, les estimations partent sur une guerre longue avec une durée pouvant aller jusqu'à 8 voire 12 mois, mais sans front libanais véritable. Ce scénario "long, mais optimiste" suppose que Tsahal se donne du temps pour nettoyer la bande de Gaza, sans que l'on voit très bien qui va gérer le chaos gazoui pendant et immédiatement après, ni même s'il est réaliste que Tsahal puisse prendre le sud dans générer une réaction côté Liban. Il me donc donne l'impression d'un scenario de compromis. En gros une douce pression envers les décideurs politiques sur le thème : si vous pouvez faire vite, c'est mieux! Un mauvais accord permettant au Hamas de sauver ses miches moyennant la libération des otages pourrait ainsi présenter un intêrêt plus grand qu'une longue guerre aux effets incertains. Au coeur des scenarii financiers : les coûts directs de la guerre (salaires, essences, munitions), le soutien aux populations déplacées et aux milieux économiques, la baisse des recettes fiscales découlant d'une économie à l'arrêt. Le versement de pensions décès / handicap semble pas pris en compte à ce stade.
  12. Les exigences du langage sont multiples : - appeler un chat, un chat : les massacres horribles du 7 octobre n'appelleront que les qualitatifs les plus négatifs sur le Hamas ; - rendre compte de la diversité des faits. Ma compréhension de la position officielle de la France est qu'elle s'est appropriée la position de Biden selon laquelle le droit de la guerre s'applique aux combattants du Hamas, que ce serait très bien si des otages français pouvaient être libérés par le Hamas et qu'une cessation rapide des combats serait préférable. Autrement dit, on peut négocier avec le Hamas fut-il détestable (enfin, pas nous, le Qatar, mais ce n'est pas très différent). Lorsque les combattants du Hamas se battent dans leur ville en ruine contre les blindés de Tsahal, ils prennent quand même une posture de résistant, au moins aux yeux d'une partie du monde. Les débats sur la qualification des massacres du 7 octobre (crimes de guerre contre terrorisme) ne me semblaient pas absurdes ; ils auraient pu être moins houleux. Certes LFI aime la provocation et fait comme d'autres de la récupération politique, mais la qualification de crime de guerre n'empêche nullement de taper sur le Hamas... Nous faisons face à des évènements que les éléments de langage appréhendent mal et nous risquons d'être piégés par le langage que nous employons. Considérons par hypothèse que le Hamas soit un ennemi juré de l'Etat d'Israël. Dans cette situation, l'adage "connais ton ennemi" s'impose. Et connaître son ennemi, ce n'est pas le qualifier de tous les noms d'oiseaux, c'est de rentrer dans ses raisonnements, ses sentiments, etc... jusqu'au point où l'on parvient plus ou moins à comprendre certaines de ses motivations sans bien sur les partager. Ca c'est le boulot d'un nombre limité de spécialistes, pas des braves gens qui doivent pouvoir vivre en paix. On entend des consultants en sécurité israéliens qui délivrent des généralités vaseuses sur les arabes et les musulmans, ces gens sont un danger pour Israël car ils ne font pas leur boulot. Derrière ces enjeux et difficultés de langage, il y a le besoin de générer un espace propice au développement d'une génération plus solide d'expert côté israélien.
  13. j'ai eu le même doute, toutes les hypothèses sont possibles. Sur diverses vidéos du Hamas on voit que la personne qui filme n'est pas celle qui tire, d'où une contrainte technique quand on tire par une fente étroite. Les vidéos du Hamas suivent une trame relativement semblable : montrer que le Hamas se bat et derrière lui que la résistance populaire existe. Le résultat est globalement suggéré, jamais montré. C'est l'aspect moral et volontaire qui est visé, peut être en lien avec une disposition religieuse qui laisse à Allah le résultat d'actions imparfaites par nature. J'ai été surpris par le caractère pudique du Hamas à l'égard de la représentation mort. Il ne montre pas ou très rarement de cadavre ennemi, j'ai juste vu une vidéo de sniper mettre deux soldats à terre, mais ils étaient peut être blessés. Même sur les attaques de chars, l'objectif est de montrer que le char est touché pas de le montrer bruler. Rien à voir avec les vidéos horribles sur le front ukrainien. Le contraste avec le massacre du 7 octobre est donc saisissant. Je me suis demandé très sérieusement si ce n'était pas pour ménager Tsahal. Mon impression est que la Hamas arrive à maintenir sa ligne "éditoriale" dans le contexte difficile de Gaza encerclé et sous les bombes et que par conséquent que sa chaine de commandement demeure existante, même en mode dégradé.
  14. Les évènements de Palestine / Israël (massacre du 7 octobre et réaction brutale israélienne) ont suscité des réactions dans un sens ou un autre, qui elles mêmes vont générer d'autres réactions. Autrement dit, les évènements sont un fait et la perception des évènements un autre fait. Les amitiés/affinités avec les uns et les autres vont laisser la place à la réaction à ces mêmes amitiés/affinités, potentiellement mal comprises. Par conséquent, le processus de réaction politique va s'autonomiser et suivre une voie propre, partiellement distincte des logiques d'affinités initiales. Si par caricature j'estime que les fachos sont avec Israël ou les islamos-gauchistes avec la Palestine, je risque de devenir l'ami artificiel d'Israël par détestation des islamos-gauchistes ou l'ami artificiel des palestiniens par détestation des fachos. C'est un peu le jeu / risque naturel de la politique. Pour les Pays Bas, la coincidence est en effet étonnante, mais je n'ai pas d'idée sur ce qui a joué sur cette élection...
  15. très probablement, mais c'est aussi l'effet négatif du trophy qui impose d'éloigner l'infanterie du blindé
  16. oh le copieur! Je sens qu'un chancelier allemand s'est souvenu d'un séjour lointain aux Etats-Unis où il a du remplir dans l'avion un petit papier vert dans lequel il reconnaissait explicitement ne pas être un ancien nazi (Petit papier qui faisait de l'effet quand on se dit qu'on est né à un moment où le mossad peinait à trouver d'anciens notables nazis à zigouiller). Bref, quand on n'a pas d'idée on copie les Etats-Unis et on le fait à la sauce maison. On se fait doubler par les allemands sur ce coup çi.... Ce genre de loi n'a guère de sens général et pratique, mais peu importe... Sur le thème Allemagne/crimes nazis/histoire, si vous visitez Berlin : - le musée "Topographie des Terrors" est fort intéressant et montre le développement temporel et spatial de l'idéologie nazie et ses conséquences inhumaines. Il souffre quand même d'un défaut, car il ne montre pas la nature fondamentalement hors sol de cette idéologie nazie... - a proximité vous avez le "Mémorial aux Juifs assassinés d'Europe". Et là c'est l'exploit artistique ; réussir à rendre inexpressif un mémorial aux millions de juifs assassinés. Lorsque je m'y suis rendu j'ai eu le sentiment que rien n'était à sa place : ni le lieu, ni les formes, ni les couleurs, ni les perspectives. C'est juste un lieu et des matériaux qui auraient du servir à faire un parking de supermarché... https://fr.wikipedia.org/wiki/Mémorial_aux_Juifs_assassinés_d'Europe Pour un tel lieu, le parc derrière la porte du Brandebourg s'impose, surtout si le bureau du chancelier a vue sur le mémorial. Et cela pour des raisons qui tiennent à la culture allemande antérieure à la période nazie, non pour culpabiliser des jeunes générations. Plutôt que de combler le trou temporel béant apparue au sein de la culture allemande entre la fin 19ème et pour simplifier la période post 45 , le notable allemand se dit sans se l'avouer "j'en ai marre de la culpabilité nés des crimes de grand papa refilons la aux arabes et turcs qui veulent vivre chez nous".
  17. fait divers sur le thème "on n'est jamais assez respecteux/bien/bon/etc..." : https://fr.timesofisrael.com/des-extremistes-ultra-orthodoxes-agressent-un-soldat-reserviste-a-bnei-brak/ Les haredims commencent péniblement à intégrer les contraintes liées à l'obligation de service militaire. L'exercice est difficile pour Tsahal : leur adapter certaines règles pour les intégrer, se passer d'eux? Une fois qu'ils sont rentrés dans l'institution militaire, ne font-ils pas chercher à la modeler à leurs attentes/idéaux?
  18. les abrams ne sont pas affectés dans ton poster. La dotation théorique doit être considérable, la dotation réelle bien moindre..
  19. ah les petits cons, ils ne risquent pas de disparaître de sitôt... ce matin a Montreuil j'ai vu des affiches à bord rouge sur les journalistes palestiniens assassinés. C'est la guerre des communiqués. Rien d'illogique mais pas besoin d'insulter autrui
  20. plusieurs décès par tirs amis selon la presse israélienne : https://fr.timesofisrael.com/plusieurs-soldats-israeliens-morts-a-gaza-ont-ete-tues-par-des-tirs-amis/ Ce type d'incident est inévitable compte tenu de la puissance de feu déployée par Tsahal. On n'en sait pas sur le contexte et le nombre de décès... Il suffit d'une bombe / obus mal ciblé et le décompte des morts (68 à ce jour) s'envole tragiquement.
  21. ils ont pris quels types d'équipements aux saoudiens?
  22. Trump c'était pas génial.... Bolsenaro, bon peut être pire... Milei s'annonce fort... Rassurez moi, il n'y a pas d'élection prévue en Antarctique?
  23. la presse israélienne commence à à présenter la situation d'une manière plus 'objective' : - des photos de gaza dévasté, les discours c'est bien, mais les photos ça parle quand même - le rappel de nombreux abus envers les palestiniens, même si ce n'est que la face immergée de l'iceberg https://www.haaretz.com/israel-news/2023-10-21/ty-article-magazine/.premium/beatings-burns-attempted-sexual-assault-settlers-and-soldiers-abused-palestinians/0000018b-530f-d1d7-ab8b-7f5fca1d0000?dicbo=v2-O9I3QRb&utm_source=traffic.outbrain.com&utm_medium=referrer&utm_campaign=outbrain_organic - au gouvernement, il y a des gens "spéciaux", même pour les standards israéliens https://fr.timesofisrael.com/des-deputes-dextreme-droite-semportent-contre-des-familles-dotages-a-la-knesset/ - un fait divers, aussi surprenant que logique, dans l'ambiance de religieux réactionnaires des lieux https://fr.timesofisrael.com/la-mort-en-heros-dun-soldat-gay-a-fait-changer-la-loi/
  24. On va apparemment vers une trêve de quelques jours contre échange d'otages (une cinquantaine?). Cela devrait soulager la population gazaouie. J'imagine que le Hezbollah se calmera pendant ce temps. Mais après : que se passera-t-il? En toute logique Tsahal devrait prendre le contrôle des ruines de Gaza et le Hezbollah remontrer les dents. Et ensuite? un nouvel échange d'otages et on en reste là? Si Israel part au sud, les risques d'ouverture d'un front nord sont élevés
×
×
  • Créer...