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Alexis

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Tout ce qui a été posté par Alexis

  1. Obama et Poutine se sont rencontrés et ont eu un entretien hier à l'ONU. On a constaté ensuite une conséquence inattendue... et quelque peu surprenante !
  2. J'allais partir sur un délire "La Commission Européenne et le Vatican devraient organiser des hotspots aux frontières de Schengen pour loger les migrants tout en assurant leur formation religieuse". Trois mois d'étude biblique intensive, puis cérémonie de conversion au catholicisme. Mais bon je ne vais pas développer le délire. Ce serait malhonnête envers le gouvernement polonais, dont la position est beaucoup moins caricaturale. Oui, ils n'acceptent pas seulement les catholiques, mais aussi les protestants et les orthodoxes. Comme le disait déjà Rabelais au XVIème siècle "Science sans Angela Merkel n'est que ruine de l'âme" L'est bien gentil Kadyrov. Et s'il offrait plutôt un dîner au restaurant à 800 réfugiés à Grozny ? Pas seulement le dîner d'ailleurs, mais aussi le gite et l'aide à l'intégration. S'il le demandait gentiment à Vladimir, il ne serait sans doute pas contre. Je fantasme sur une procédure d'acceptation des réfugiés qui inclurait pour le candidat l'obligation de brûler une page du Coran + une page de la Bible + une du Capital de Marx et de l'Origine des espèces de Darwin pour faire bon poids (c'est qu'on peut être athée et religieux voire idolâtre... eh oui qu'est-ce que vous croyez). Tout en récitant la formule rituelle "Je renonce aux idoles... Ce n'est que du papier !" Oui, je sais, c'est un fantasme. Ce serait pourtant dans les meilleures traditions de Moïse brisant le veau d'or, Charlemagne coupant les arbres sacrés des Saxons et autres Nietzsche "philosophant avec un marteau" pour briser les fausses croyances. Voire Mahomet brisant les idoles de La Mecque... Où sont-ils tous ceux-là, quand on a besoin d'eux ?
  3. Il veut "cadrer un Turc"... dois-je me sentir visé ? J'en ai parlé à Vladimir... Il était aussi choqué que moi. Quels pervers, ces Français !
  4. Intéressant billet de JD Merchet La Syrie, chemin de croix de la diplomatie française Cette analyse de la politique de la France en Syrie sonne comme une nécrologie...
  5. Pas mal pour un début, mais avec ça tu ne pourras guère décrocher plus qu'un stage. Si tu veux un vrai contrat, passe la vitesse supérieure : rappelle que Obama est musulman (ça on le sait), suggère qu'il pourrait bien être islamiste (hypothèse vraisemblable), parle de taqqiya, puis disserte sur les liens voire l'alliance tacite entre islamistes et communistes... Ramassage des copies dans deux heures.
  6. J'ajouterais qu'ils semblent être ceux qui combattent le plus "proprement", à la différence du gouvernement syrien qui ne se soucie guère des pertes collatérales, sans parler des djihadistes divers et de leurs diverses persécutions. Ce sont aussi les seuls chez qui les combattants femmes ont un rôle important. Signe très clair que les Kurdes sont musulmans oui, mais pas de l'espèce à persécuter les femmes. Enfin, un certain nombre de croyants persécutés par les djihadistes ont trouvé refuge chez eux, chrétiens ou yezidis d'Irak. Signe très clair encore que les Kurdes sont des musulmans non islamistes. Je ne ferai aucun commentaire sur les actes du gouvernement turc.
  7. Cheesecake ? Hmmm... tu n'as pas mangé une soupe ou un autre plat aux champignons, plutôt ? Cueillette immodérée du dimanche, peut-être ? D'aucuns disent que ça "ouvre les volets de la perception"...
  8. C'est le moment de revisiter les classiques.
  9. Selon les projections de soir du vote, les indépendantistes catalans remportent la majorité au Parlement régional. Ils auraient 72 sièges sur 135, soit la majorité absolue. La participation a été particulièrement élevée à presque 77%. Le programme commun des indépendantistes est "une feuille de route qui doit conduire en 18 mois à une déclaration d'indépendance" Pour rappel : la Constitution espagnole interdit toute sécession (Article 2). L'organisation d'un référendum sur l'indépendance de la Catalogne serait donc non pas un acte politique normal, mais un acte de rébellion. Au cas où le parlement local déciderait de maintenir l'organisation du référendum après avoir reçu injonction de l'annuler, le gouvernement serait autorisé à utiliser l'armée pour l'empêcher s'il obtenait l'accord de la majorité du Sénat (Article 155). Enfin, pas d'inquiétude à avoir. Tout va bien se passer, tout se passe d'ailleurs toujours bien. C'est par la négociation que d'éventuels différents seront réglés. Comme toujours, car tout le monde est raisonnable. Sur le même sujet, le journaliste britannique Ambrose Evans-Pritchard rapportait en septembre 2012 des propos assez éloquents de militaires espagnols. Ces commentaires "vigoureux" ne sont pas la preuve que le gouvernement espagnol et le Sénat réagiraient comme la Constitution leur en donne le droit. D'ailleurs rien ne prouve non plus que les sécessionnistes soient prêts à aller jusqu'au bout, du moins pas tous, peut-être se contenteront-ils d'un compromis à base de régionalisation (encore) plus poussée. Ce qui est clair en revanche, c'est que l'état d'esprit "L'indépendance de la Catalogne ? Il faudra me passer sur le corps !" existe, qu'il n'est pas marginal, qu'il est au moins pensable si les négociations entre sécessionnistes catalans et gouvernement espagnol échouaient... que Madrid ait recours à l'armée. J'espère que les sécessionnistes en sont conscients, et qu'ils sauront négocier sans aller jusqu'à la rupture.
  10. Selon le Premier ministre français parlant le 24 septembre à la télévision, "la France n'accueillera pas plus de 30 000 réfugiés" "Ça ne sera pas plus" Je ne demande naturellement qu'à croire Monsieur le Premier ministre, mais il me semble que la Chancelière allemande quant à elle ne semble pas tout à fait le croire. Elle qui répète avec insistance que l'opération de répartition de migrants entre Etats Schengen n'est que la première et qu'il faut en faire une règle habituelle. Je note également que la Commission européenne ne semble pas tout à fait croire non plus Monsieur le Premier ministre français. Elle qui estime le nombre de migrants prévisible dans les trois ans aux alentours de 5 millions. Je ne vois que trois hypothèses : - La Chancelière allemande, qui dit urbi et orbi que la répartition des migrants continuera, a oublié de le dire au Président français, avec lequel elle est pourtant en contact permanent - Le Président français a d'ores et déjà décidé qu'une fois acceptés ces 30 000 migrants "mais pas plus", il refusera toute injonction de Berlin, Bruxelles ou tout autre lieu, fera son Viktor Orban et ordonnera de refuser tout migrant se présentant aux frontières françaises, lesquelles auront dans l'intervalle été verrouillées avec du barbelé, la police étant autorisée à utiliser toute arme non létale pour repousser d'éventuelles foules de migrants. Monsieur le Premier ministre est en train de préparer les lois à cet effet et de superviser la commande de fil barbelé, d'où sa mâle assurance sur le nombre final de migrants acceptés - Monsieur le Premier ministre français, en disant que "la France n'accueillera pas plus de 30 000 réfugiés" n'est pas entièrement et totalement sincère... Ah mais pas d'inquiétude ! Je n'ai aucun doute que Monsieur le Premier ministre saura le moment venu donner l'exégèse correcte de ses propos du 24 septembre. Il fallait bien évidemment comprendre 30 000 réfugiés... cette fois-là. Ou bien : 30 000 réfugiés... d'ici la fin de l'année. Ou encore c'est que les circonstances auront changé, ce que nul ne pouvait certes prévoir si tôt, pas avant le 13 décembre en tout cas (*)... et ne serait-il pas irresponsable pour un dirigeant de refuser de tenir compte de la situation pour appliquer la politique qui s'impose. (*) deuxième tour des régionales
  11. Il y a certaines choses qui ne changent jamais. Il est utile de préciser que le tir erratique n'a pas visé le territoire israélien tel que reconnu internationalement, mais le territoire syrien du Golan sous occupation israélienne. Tel Aviv choisit de considérer des tirs même erratiques, même n'ayant provoqué aucun dégât, même frappant un territoire qu'il occupe mais qui n'est pas le sien, et que les tirs soient effectués par l'une ou l'autre partie de la guerre civile syrienne, comme de la responsabilité des loyalistes syriens, et justifiant des représailles contre eux. Il est vrai que si j'étais un combattant de l'opposition syrienne, je pourrais imaginer d'utiliser cette politique israélienne à mon profit, par exemple en tirant exprès sur un bout de désert occupé par Israël pour que mon ennemi syrien se prenne une riposte dans les dents. Mais bon j'ai sans doute trop d'imagination et suis beaucoup plus vicieux que les gentils garçons qui s'affrontent en Syrie... aucun risque qu'ils descendent aussi bas
  12. Non, Conan... Non, certainement pas. Il ne fait pas bon y être vue. D'une manière générale, il ne fait bon nulle part oublier son hijab en Arabie saoudite...
  13. Ce n'est pas faux, mais cela pourrait aussi être de la fausse naïveté. A traduire par "je sais que je ne parviendrai pas à faire renverser Bachar, mais je ne peux quand même pas le reconnaître tout de suite... donc je fais semblant de ne lui accorder qu'un délai" Autre traduction envisageable : ce n'est que partie remise... Tous se prosternent devant le Fils du Ciel ! Schnell, schnell... Z'en avez de bonnes, vous !
  14. J'ajouterais que ce n'est jamais la girouette qui tourne, c'est le vent, comme le remarquait le regretté Edgar Faure.
  15. Alexis

    M51

    La mise en service du M51.3 est plutôt visée pour le milieu de la décennie 2020, ce qui représente déjà un étalement par rapport à l'objectif de 2020 lorsqu'on a commencé à parler du programme M51.3. C'est cohérent avec l'avancement du programme, le même article précise que la conception initiale du M51.3 est achevée et que la phase de définition détaillée, dessin des pièces, prototypage commencera en 2016. Si l'objectif était une mise en service en 2030, il n'y aurait aucune raison d'aller aussi vite. Quand à ce qui en est attendu, le M51.3 Ou comme le dit le général de Villiers, il s'agit de Les recherches et les développements en défense antimissile continuent, que ce soit en Russie, en Chine, et surtout aux Etats-Unis. Il s'agit clairement de conserver la supériorité sur les défenses envisageables à horizon 2030/2040, sachant qu'un pays comme la France qui à la différence de l'Amérique et de la Russie ne possède que peu d'armes stratégiques dépend d'autant plus de la supériorité technologique de ses armes sur les défenses. Il n'est pas envisagé pour la France de stratégie "on en envoie 1000 et c'est bien le diable si y en a pas 100 qui passent". Quant à la stratégie "on en envoie 100 et y en aura 10 qui passeront", elle ne suffirait pas à protéger la France en cas de guerre mondiale vraiment "dure".
  16. D'ailleurs, ce levier ne s'entend pas seulement pour les contrats d'armement au bénéfice de Riyad - qui restent sans doute les plus importants - mais aussi à l'occasion des contrats d'autres pays pour lesquels l'AS avance les fonds - prêts à prix d'ami, contributions généreuses toussa. Le cas s'est présenté pour le Liban il y a quelques années, déjà avec des fournisseurs français. Et l'avalanche de contrats d'armement égyptiens cette année - Rafale, frégate type Aquitaine, corvettes Gowind, et maintenant deux BPC ! - serait impensable si l'AS ne mettait pas la main au portefeuille. Forcément, avec 7 milliards de contrats d'armement en jeu, Paris ne va pas de sitôt faire trop de méchancetés à Riyad... Ah, tu es impatient toi ? Et nous, lorsque le pétrole se terminera, ou plus exactement lorsqu'il se sera sérieusement réduit, réduit au point où même les principales sources restantes une fois que les illusions du schiste et des agrocarburants se seront dissipées - c'est-à-dire les sources du Golfe - commenceront à vraiment faiblir... on sera dans quel état au juste ? On va "finir" comment, nous, si nous n'avons pas dans l'intervalle créé un système énergétique complet de remplacement - et il y a de sérieuses raisons de penser que nous sommes déjà hors délai, quand bien même nous saurions comment faire au juste, ce qui n'est pas le cas. Soit dit en passant, les capitaux accumulés n'ont guère d'importance face à cet enjeu. Car des avoirs financiers quels qu'ils soient ne sont en définitive que des traites sur l'avenir, sur la production économique future... et que sera cette production lorsque le pétrole, indispensable à l'économie telle qu'elle existe aujourd'hui, aura gravement diminué ? Sans le robinet du pétrole, les avoirs accumulés ne vaudront plus nécessairement grand chose...
  17. La réunion devrait ne pas être tout à fait détendue et amicale, en effet. Vladimir Poutine a placé la Russie dans la position du proverbial chien dans un jeu de quilles. Du point de vue des objectifs politiques américains et alliés les plus proches (France, GB), les derniers développements en Syrie semblaient prometteurs, le régime apparaissant militairement à bout de souffle. On pouvait espérer un affaiblissement décisif à assez court terme, voire même un effondrement qui aurait comblé les vœux américains comme ceux de leurs appuis. Certes, l'Etat islamique en aurait sans doute profité, et le désordre aurait pu s'étendre, mais c'est un prix qui pouvait sembler acceptable - et qui aurait d'ailleurs pour l'essentiel été payé par les habitants de Syrie, non par le groupe des pays anti-Assad. Tout cela est remis en question par l'aide militaire russe et plus encore par l'engagement de Moscou qui met sa crédibilité militaire en ligne au profit de Bachar al Assad : si maintenant le gouvernement syrien tombait, ce serait une défaite grave et cuisante pour la Russie, qui s'est mis dans la position d'être obligée de le soutenir suffisamment pour assurer sa survie. Moscou a donc prouvé qu'elle soutiendra autant que nécessaire le régime de Damas - elle a détruit démonstrativement son option d'accepter sa destruction sans broncher - ce qui écarte toute option réaliste de court terme d'atteindre les objectifs de l'Amérique, de l'Arabie saoudite, de la Turquie et de la France. Reste une alternative, reste à choisir une réponse. Car la balle est maintenant dans le camp d'Obama et de ses alliés. Et deux réponses sont possibles : - Accepter le fait accompli russe, ce qui signifie en gros appliquer le plan dessiné par Poutine, donc d'une part Assad reste au pouvoir mais en devant faire une place à une opposition "constructive et rationnelle" - en pratique, les éléments non djihadistes auraient une chance d'abandonner leurs alliés djihadistes et de déposer les armes en échange d'un strapontin dans la Syrie future. D'autre part, tout ce beau monde se retourne contre Etat islamique, Front al Nosra et les éléments de l'opposition armée qui refuseraient le strapontin et se confondraient donc avec l'action et la doctrine djihadiste encore plus qu'ils ne le font déjà. Avec les contributions des loyalistes syriens, de la Russie, de l'Iran et last but least des Etats-Unis et des Otaniens, les frontières turque et autres étant fermées, il est assez prévisible que l'EI ne tiendrait pas très longtemps. - Remettre des pièces dans la machine "Same player, play again !". Donc renforcer le soutien à tout ce qui s'oppose à Assad pour compenser le surcroît de puissance du côté loyaliste et empêcher celui-ci de faire trop de progrès. Continuer à combattre l'Etat islamique naturellement ... mais en priorité en Irak hein (p'tit clin d’œil à qui comprend bien). S'assurer que les opposants armés à Assad reçoivent les bonnes armes en bonne quantité... tout en continuant à refuser d'armer le Front al Nosra naturellement (certes il pourrait leur arriver de récupérer des armes si les insurgés se les échangent entre eux, mais c'est tout à fait différent). Cette politique aurait une logique, car il n'est pas du tout certain que la Russie soit prête à l'effort militaire important nécessaire pour non seulement solidifier les positions loyalistes, mais encore rendre possible la reconquête du pays et la réduction des forces d'opposition. Il y a donc pour les soutiens aux opposants une véritable opportunité de prolonger la guerre, sans limite visible dans le temps, avec un coût limité pour la plupart d'entre eux (l'Allemagne pourrait vouloir objecter, mais elle n'est guère dans la boucle de décision), et avec un coût pour la Russie qui pourrait augmenter avec le temps. Si on pense à la population civile syrienne, si on craint que des djihadistes renforcés ne finissent par déborder de la Syrie, si on ne souhaite pas aggraver la migration anarchique vers l'Europe de Syriens réfugiés en Turquie... on préférera la première option. Mais ce n'est pas nécessairement ce qui intéresse le plus les dirigeants qui seront amenés à décider. Dirigeants qui faut-il le rappeler ne se situent pas en Europe, même si certains Européens ont tendance à les suivre. Le Conseil de Coopération du Golfe fait sans doute déjà pression sur Monsieur Barack pour qu'il refuse d'abandonner leur objectif de faire tomber le régime syrien. Et dans l'hypothèse où Obama conserverait une quelconque rancune envers Poutine, s'il était sensible au souvenir historique de la raclée que prit autrefois Moscou dans un certain pays au nord du Pakistan et de la contribution que Washington y apporta, si d'une manière générale il ne méritait pas vraiment son Nobel de la Paix... le fait est que Poutine vient de prendre un risque, et que Obama peut choisir de le lui faire payer.
  18. D'accord avec EOA, c'est principalement de la gesticulation et de l'exhibitionnisme musculaire (qui se pratique assez couramment, et par bien d'autres pays, hein) Disons qu'au cas où les Etats-Unis enverraient un porte-avions en Méditerranée orientale pour attaquer Monsieur Assad, le croiseur russe pourrait (essayer de) lui bourrer le pif. L'arme la plus puissante de ces croiseurs est le missile de croisière supersonique longue portée P-500 Bazalt, dont l'ogive est assez grande pour neutraliser un porte-avions en un seul tir - enfin, à condition de ne pas être intercepté par les missiles d'un croiseur de défense aérienne Arleigh Burke, ce qui il est vrai est un très grand si. D'autre part, ce croiseur peut participer à la défense aérienne de la base de Tartous et plus généralement de la façade maritime syrienne - la portée maximale de ses S-300F est listée à 90km. Il participe donc du signal fort et clair de la Russie comme quoi aucune "no fly zone" américano-occidentale au-dessus de la Syrie ne serait tolérée par Moscou, avec les Su-30SM et les S-300 au sol. Mais comme il est un peu difficile de toute façon d'imaginer les Etats-Unis se mettre maintenant à attaquer Assad et les loyalistes syriens, il est possible de considérer ce signal comme redondant. 'Tention, hein... Quand un Russe a l'air petit et sympathique La Russie. Si maléfique, et tellement mignonne !
  19. Quel boxon ! Mais quel boxon ! Les pied-nickelés à la guerre... et encore, je suis dur avec les véritables pied-nickelés.
  20. Nan nan t'y as pas échappé ... A preuve, voici la photo d'un caporal de l'armée allemande d'origine autrichienne pendant la première guerre mondiale Tiens, tu l'as bien mérité ton point Godwin, et il te sera remis par qui de droit
  21. Après vérification, le Moskva a une propulsion classique. Seul le croiseur Piotr Velikiy est à propulsion nucléaire. Mais bon, ça reste une grosse bête quand même.
  22. Le gouvernement allemand s'est magistralement planté, et il n'a même pas encore arrêté de creuser. C'est indéniable. M'enfin ce n'est quand même pas Merkel qui a créé le problème de la migration anarchique. Il avait débuté avant.
  23. C'est le Sith qui ne dit pas "Je suis ton père". Mais à qui on le dit, et d'ailleurs y a eu deux-trois épisodes de feuilleton à ce sujet ce printemps et cet été.
  24. Bon l'image suivante a déjà été postée il y a quelques mois sur un autre fil, mais c'est le moment de la ressortir ...
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