
ARPA
Members-
Compteur de contenus
13 215 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
1
Tout ce qui a été posté par ARPA
-
Contrairement au 90 KN, le 8,3 t devrait pouvoir se contenter d'une amélioration des réacteurs sans avoir besoin de modifier la cellule des Rafale. Cette demande est beaucoup plus réaliste qu'une demande à 90KN qui donne l'impression de vouloir les même chiffres que la concurrence (Typhoon) sans regarder les performances. Concernant l'utilité d'une poussée supplémentaire, c'est peut-être pour la navy est les capacités STOBAR du Rafale. En apparence la version marine du Rafale intéresserait sérieusement l'Inde mais je ne crois pas que le Rafale puisse décoller à pleine charge de leur PA STOBAR, donc tout gain en poussée impliquerait directement une augmentation de la charge utile (et donc des performances) Si on peut augmenter la masse max au catapultage de 10%, on va pouvoir presque doubler la quantité d'armement.
-
En effet, il ne vont pas "pourrir", ils seront juste stocké dans un hangar (au niveau d’hydrométrie non contrôle), ce ne sera pas une dizaine mais 9 "seulement" et ce ne sera pas presque 10, mais à peine 9 pour le dernier qui reprendra du service et les "plusieurs" centaines sont issus d'une première estimation qui devrait s'avérer pessimistes de 300 millions d'€. Bon ce n'était qu'un exemple qui a l'avantage d'être issus de source publique et assez connu, mais il y a d'autres équipements militaires moins connu qui sont parfois offert alors qu'ils sont toujours utile ou qu'on refuse de prêter alors qu'on attend l'autorisation de les jeter.
-
Si l'armée n'est pas capable de mettre un prix sur ses biens, il faut s'attendre à des coups foireux et c'est complètement de sa faute. En tant que gestionnaire (financier, politique, industriel...), il peut paraître très intéressant de louer du matériel militaire à un pays étranger. Si l'armée française n'arrive pas à estimer correctement ce que ça lui coûte, soit on va prêter "gratuitement" des Rafale prévus pour la France soit on va rater une vente à l'export et laisser pourrir pendant presque 10 ans une dizaine de Rafale qui demanderont plusieurs centaines de millions d'euros pour pouvoir être remis en service.
-
Il y avait aussi le X15 dont un de ces pilotes est officiellement devenu astronaute après 2 passages (avec un mois d'écart) au dessus des 100 km.
-
On peut aussi prendre le cas d'une finesse de 30 à grande vitesse. L'A350 aurait une finesse de 30, mais ça n'en fait pas un planeur pour autant. A 900 km/h ça ne laisse que 2 minutes de plané. Sinon, il reste toujours possible (et à mon avis bien plus crédible) d'avoir quelques panneaux solaires sur les ailes et s'en servir pour alimenter le moteur électrique qui pourra toujours fournir une puissance très réduite mais suffisante pour rester en vol sans avoir besoin des ascendances.
-
construction d'un vaisseau spatial de "colonisation"
ARPA a répondu à un(e) sujet de ARPA dans Matériels: à l'épreuve du feu
Pour ça, on peut commencer avec une population bien diversifié puis avec des embryons congelés quand 2 personnes sont trop proches et veulent quand même avoir des enfants. De toute façon, dans le vaisseau, il faudra un contrôle très stricte des naissances pour éviter une surpopulation. Sur terre, il a eu des petites populations isolés sur des îles (l'île de tristan par exemple) ou même avec moins d'une centaine de colon à l'origine, il ne sont pas tous devenus débiles. Et puis dès qu'on arrive à destination, il sera possible de piocher dans la réserve d'embryon et donc de multiplier la diversité génétique de la colonie. -
construction d'un vaisseau spatial de "colonisation"
ARPA a répondu à un(e) sujet de ARPA dans Matériels: à l'épreuve du feu
Il faut peut-être changer de mode de réflexion et ce contenter de ce qui est suffisant. Pour construire une traction, il n'y a pas besoin d'électronique, de platine ou de céramique. Le vaisseau n'a pas besoin d'utiliser les dernières technologies en vigueur sur terre. Il faudra juste qu'en quelques siècles une fois arrivé sur place et après une très forte croissance démographique ils arrivent à rattraper leur retard. -
Si on parle d'une propulsion électrique alimentée par des batteries rechargée par un "petit" moteur, la question qui se pose c'est pendant combien de temps on a besoin de la puissance max. Si on prend des moteurs électriques de 1500 Kw (un peu plus que le double d'une tesla) et qu'on a une batterie de 150kwh (moins du double d'une tesla) on peut utiliser la puissance max pendant 6 minutes rien que sur batterie. J'ai l'impression que c'est suffisant pour la plupart des obstacles. Le(s) moteur(s) thermique(s) qui recharge la batterie doit juste être assez puissant pour la recharger entre 2 obstacles.
-
J'ai cru que "Kant" était le petit nom du futur char censé remplacer les Léopard 2 et les Leclerc avec une mise en service attendu à partir de 2030. Mais si la chaîne de production du Leclerc reste ouverte jusqu'en 2030 la France n'aura plus aucun intérêt à participer à ce programme. Et il s'agit aussi d'un programme trop lointain pour qu'il puisse répondre aux besoins saoudiens (qui sont quand même de contourner un embargo allemand sur les Léopard 2) Les moteurs de camions (donc rarement plus de 500 ch) sont quand même nettement plus fiables (et plus facile à entretenir) que les moteurs de char. Bon dans mon raisonnement j'avais une propulsion presque exclusivement électrique, les moteurs diesel ne servant qu'à recharger les batteries, un moteur en panne ne rendrait pas le char HS mais se contenterait de limiter fortement sa vitesse de déplacement. Maintenant si on veut utiliser 2 moteurs thermiques pour la propulsion, il faut que les deux moteurs réagissent rigoureusement de la même façon sinon on risque d'avoir 2 moteurs de 500 ch qui correspondent à une puissance moyenne globale de 750 ch avec un pilotage saccadé et très désagréable. Pour que ce soit envisageable, il faudrait une puissance électrique comparable (et même supérieure) aux 1500 ch actuels qui serait répartie sur les 4 barbotins. On arrive donc à une puissance supérieure à tout ce qui a été fait jusqu'à présent, je ne suis pas sur qu'on en soit capable. Bon, ça ne fait que 2 fois plus que les plus grosses tesla, mais quand même.
-
L'argent n'a pas d'odeur. Et même si l'Inde ne sais pas construire des avions et ne sais pas non plus les piloter, il s'agit d'une "démocratie" et même de la plus grande démocratie de la planète donc d'un des plus gros clients "respectables" qu'on peut espérer.
-
Je dirais plutôt au contraire. Cette vente concerne le Leclerc "français", éventuellement une version modernisée/adaptée, mais pas du tout une version germanisée avec les restrictions associés. Ensuite l'objectif du Kant était de fournir un char performant aux allemands (pour remplacer les léopard 2 qui ont une demi génération ou une génération complète de retard par rapport aux Leclerc) puis de permettre à la France de s'équiper d'un nouveau char pour remplacer des Leclerc arrivés en fin de vie. Avec cette vente, proposer le Kant serait risquer de perdre le marché. Et on pourrait aussi rajouter que pour la France, la relance de la production de Leclerc permettra de rajeunir le parc sans avoir besoin de changer les formations ou de s'adapter au nouveau matériel. Avec un peu (beaucoup) de chance, le Kant allemand pourrait être annulé et remplacé dans quelques années par une vente (sous licence ou non) de Leclerc à l'Allemagne.
-
Ok, ça explique pourquoi les chars électrique n'ont pas vraiment été étudié. Il faudrait des moteurs électrique de presque 500 ch par essieux pour que ce soit significatif. Donc on peut difficilement envisager une solution multimoteur, donc on se retrouve à avoir besoin de quasiment le même moteur qu'actuellement. Bon même si on ne peut pas rajouter 1000 ch de moteur électrique, rien que rajouter deux petits moteur électrique permettrait de compenser la prise de masse du Leclerc (il a grossi de 6% donc pour conserver le même rapport poid puissance, il faudrait rajouter 90ch) Les deux. Un char avec peu d'autonomie a besoin d'une escorte de camion ravitailleur donc sa vitesse va vite être la même que le camion qui n'est pas tout terrain. Mais un char qui consomme trop (au km) va avoir besoin de beaucoup de camion pour ravitailler sa base. Une réduction de la consommation de 10% permettra de réduire de 10% le nombre de convoi d'approvisionnement.
-
Tu veux en plein désert arriver à noyer des barbus ? Déjà il te faudra vraiment beaucoup de précision pour arriver à les doucher et dans ce cas les casa vont voler très bas et se faire abattre.
- 357 réponses
-
Pourquoi faire ? Ma question est sérieuse, le but du MBT est de proposer une cellule suffisamment blindée pour encaisser les coups et pouvoir riposter et détruire l'adversaire. En l'absence d'équipage, presque tout le blindage devient superflu, on pourrait presque opter pour un simple canon. Mais si on se passe de l'équipage, ça veut aussi dire qu'on ne peut plus invoquer la légitime défense pour tirer. Pour le moteur, je verrais bien une solution hybride. Un moteur diesel économique (qui consomme pas beaucoup et facile d'entretien) de 1000 à 1500 ch doublé par un/des moteur(s) électrique puissant et une grosse batterie. On commence à voir apparaître les camions hybrides, pour un char, cela permettrait de faire des économies de carburant, d'être plus réactif mais aussi d’être potentiellement plus discret (avec même la possibilité de traverser presque n'importe quel fleuve sur ses batteries sans limite de profondeur vu qu'il n'y a plus besoin de gaz d'échappement) En plus le char a beaucoup de "roues" donc on aurait pas besoin d'une puissance électrique particulièrement importante par roues (100 ch par roue, ça ferait 1800ch immédiatement disponible...), cela permettrait d'avoir un moteur thermique plus petit (juste assez puissant pour maintenir la vitesse maximale souhaitée) L'autre avantage des moteurs électrique, c'est qu'on pourra avoir plus de souplesse pour le moteur. Il ne sera peut-être pas impossible de se contenter de mettre 2 ou 3 moteurs de camions côte à côte plutôt qu'un moteur qui ne sera construit que pour le char. Bon je ne suis pas sur que ce soit le moteur qui coûte le plus cher dans un char (même en comptant sa consommation) mais opérationnellement c'est quand même un des reproches saoudien vis à vis du M1. Le carburant en mission de combat peut vite devenir une denrée très précieuse et ça impacte énormément la chaîne logistique.
-
Dans le principe, je veux bien croire qu'on peut moderniser très longtemps un char lourd. Ses performances risquent d'être entre correct dans quelques décennies, mais si on parle vraiment d'une "modernisation" ça veut dire qu'on conserve de nombreux éléments donc on va se retrouver avec un char dont certains équipement pourraient approcher les 50 ans. Après 50 ans d'utilisation (ou même de stockage), les plastiques auront vieillis et même la structure métallique risque de présenter des points de rouilles. Et je préfère ne pas imaginer toute la partie "électronique", même sur les maisons on prévoit souvent de refaire l'électricité au bout de quelques décennies donc sur un véhicule... Le char Leclerc pourrait être encore crédible au delà de 2040, mais pour que ce soit le cas, je pense qu'il faudrait des chars relativement récent, pas ceux produit en 93 (ça leur ferait plus de 47 ans) et même les derniers produit (en 2007, donc ça leur fera plus de 33 ans) risque d'être vieux. Par contre si on peut recevoir des Leclerc neufs en 2030, ça change complètement la donne et ils pourraient rester utilisable encore plusieurs décennies. Les M1 sont encore modernisés et suffisamment performant, mais ils sont toujours produits "donc" il n'y a pas vraiment de problème en cas d'usure d'un char. Accessoirement, le Leclerc commence à se faire "vieux", il a entre 8 et 23 ans. Son moteur est toujours le même alors qu'on doit savoir faire des moteurs plus économe (donc meilleur autonomie) plus puissant (donc plus agile) et/ou plus fiable (donc un peu moins de panne). Sa carrosserie est presque la même (enfin le kit AZUR doit améliorer pas mal). Et même son canon principal est le même alors qu'un canon des 140 mm a été "étudié pour le Leclerc. Sans parler de faire un char complètement différents, il me paraîtrait envisageable de profiter de la relance de la production pour proposer des améliorations.
-
A propos, comment on définit nos besoins en char lourd ? Si l'objectif est "juste" de faire comme pendant la première guerre du Golfe donc de pouvoir déployer 44 char lourd sur une courte période ou de pouvoir sur des période plus longue déployer un détachement d'une vingtaine char, on pourrait se contenter d'un format d'une centaine de char. Et même une centaine de char, avec une très bonne disponibilité, ça permettrait d'en déployer 70/80 à la frontière comme le font les EAU. Et si on réduit "provisoirement" les effectifs, est-ce qu'il sera possible de remonter rapidement en puissance (par exemple, on passe de 4 régiment à 2 puis dans X années quand la production de Leclerc aura bien repris et qu'on en éprouve le besoin, on repasse en quelques années à 4 régiments) Et quel est le marché des char lourd ? Je crois que jusqu'à il y a peu, il était saturé par les milliers de T72, Léopard 2 et M1 issus de la guerre froide qui pouvaient être plus ou moins modernisé. Mais les occasions vont bientôt être trop vieilles pour être crédibles (ça fait déjà 25 ans) donc il va peut-être y avoir un marché pour des char "neuf" et dans ce cas la concurrence n'est pas très importante (T90 russe, M1 américain, type 99 chinois, puis éventuellement les Merkava israélien, Altay turque, K2 coréen et... c'est tout ? le marché des avions de combat est encore plus développé) Est-ce qu'on aurait des chances de trouver d'autres clients export si on relance la production du Leclerc ?
-
La France a reçu plus de 400 Leclerc et on ne prévoit de n'en conserver que 200. Cela veut dire qu'il y a presque 200 chars (en plus ou moins mauvais état) qui peuvent être revendu (pour servir directement, pour être plus ou moins fortement modernisé, pour former les nouveaux équipage, pour accélérer la relance de la chaîne de production...) En plus si le Leclerc est en production, ça veut dire qu'on peut se permettre de ne plus avoir de réserve "stratégique" vu que dans 10 ans (ou plus) on pourra décider d'en commander de nouveaux sans avoir besoin d'une grosses commandes. Autant en l'absence d'usines on peut dire qu'on a "besoin" de conserver des carcasses de Leclerc en réserve pour pouvoir les restaurer/moderniser et augmenter nos effectifs, autant avec une chaîne de production ouverte on peut se permettre de ne plus avoir de réserve. Une revente d'occasion de nos vieux Leclerc à l'Arabie Saoudite suppose une relance de la production pour au moins 10 ans. Financièrement, la revente d'occasion puis l'économie apportée par une réduction du nombre de carcasse de Leclerc à entretenir pendant 10 ans (il faut au moins les conserver à l'abri si on espère pouvoir s'en resservir un jour) pourrait financer l'achat de quelques Leclerc à la fin de la production saoudienne (il faut juste qu'on le veuille et qu'on ne préfère pas juste faire des économies). Pour ceux qui aiment les char, je trouve qu'il s'agit d'une capacité "stratégique" et on aurait tout intérêt à maintenir une chaîne de production ouverte. Vendre 500+ (j'ai lu des besoins jusqu'à 800 char lourd pour l'AS) Leclerc neuf nous permet aussi d'avoir un peu de temps pour trouver d'autres clients (le Qatar n'a pas pu s'équiper le Leclerc neuf par exemple, le choix des Léopard était peut-être du à des occasions en meilleurs état et à un plus gros stock de rechanges) et ça nous permet aussi de l'améliorer au point qu'on voudra peut-être remplacer les nôtres. Sur Wiki, nos Leclerc sont décrit comme prévu pour rester en service jusqu'en 2040. Si on compte une production pour l'export jusqu'en 2030 (si la cadence de production n'est pas trop élevé, ce serait crédible rien qu'avec l'AS) on pourrait commander une nouvelle série de Leclerc (bien modernisé et plus performante que ceux d'aujourd'hui) ce qui nous permettrait de repousser leur remplacement de plusieurs décennie.
-
construction d'un vaisseau spatial de "colonisation"
ARPA a répondu à un(e) sujet de ARPA dans Matériels: à l'épreuve du feu
Il faudrait probablement prévoir des étages histoire d'augmenter significativement la surface au sol. Si on se contente juste du cylindre, on a à peine 3 km2 ce qui fera une assez grosse densité de population (mais ça reste raisonnable et c'est moins que beaucoup de ville) Maintenant et surtout si on prévoit en réalité d'envoyer une flotte de "plusieurs" (entre 2 et 6) vaisseaux qui resteront quasiment à porté de navette (pour envisager quelques échange de personnel ou d'outils), on peut envisager des vaisseaux relativement peu peuplé (quelques grosses familles plutôt qu'une petite ville) -
construction d'un vaisseau spatial de "colonisation"
ARPA a répondu à un(e) sujet de ARPA dans Matériels: à l'épreuve du feu
Pour les satellites, on peut aussi en profiter pour les remplacer. A mon avis, si on utilise un vaisseau type Orion (décollant depuis la Terre), il faudrait le faire le moins souvent possible et uniquement si on ne peut pas faire autrement. La construction d'un vaisseau Orion de quelques centaines de tonnes (on arrive à 400 avec l'ISS) devrait être mis en orbite terrestre par des moyens conventionnels sinon il ne justifie pas l'usage du nucléaire. On saurait même faire des fusées capables de mettre en orbite une charge utile unique de plusieurs centaines de tonnes (d'après les projet post Saturne V) donc associé à un assemblage du vaisseau en orbite, on doit arriver à un Orion de plus de mille tonnes mis en orbite conventionnellement. De même un vaisseau Orion devra utiliser la fusion pour limiter la pollution, on arrive donc à un vaisseau de plusieurs milliers de tonnes. La consommation de matière fissile étant presque la même quelque soit la taille du vaisseau (tout dépend du rendement des bombes) on en arrive à souhaiter le vaisseau le plus gros possible donc la solution d'un vaisseau de plusieurs millions de tonnes est tout à fait crédibles. Dans ces conditions, il devient envisageable d'embarquer quelques centaines de satellites pour remplacer tout ceux de l'orbite terrestre. Ce serait à vérifier, mais je crois qu'on ne dépasse pas les 1000 tonnes de satellites par ans (et je suis très large) donc avec une durée de vie moyenne de 20 ans, avec seulement 20 000 tonnes de satellites, on renouvelle tout le parc spatial. Enfin on arrive aussi à une autre complexité. Si le vaisseau Orion parait utile pour propulser un vaisseau de plusieurs millions de tonnes (jusqu'à 80 d'après Wiki), il faudra concevoir un vaisseau bien plus gros que le plus gros des navires qui n'atteint même pas le million de tonnes. -
Je vous trouve assez pessimistes et peu motivés par cette "possible" exportation du Leclerc. Les Saoudiens sont d'ancien client de char français (les AMX30) ils ont 450 M60 "obsolètes" à remplacer et on leur a refusé l'achat de 700 Léopard, il n'est pas forcément absurde de les voir s'équiper de Leclerc. Et leur besoins pourraient assez vite être suffisamment important pour justifier la réouverture de la chaîne de production. S'ils commandent autant de Leclerc que ce qu'ils voulaient de Léopard, on assistera presque à un doublement de la production des Leclerc. Et cela pourrait aussi justifier de "petites" améliorations. Entre un canon plus gros, une motorisation plus sobre/puissante (hybride ?), des blindages plus performants... il y aurait moyen de faire un Leclerc NG encore plus performant et qui pourra ensuite équiper l'armée française (avec une commande de 700 chars, on a presque 10 ans de production, si on rajoute quelques années de développement, la fin de production pour l'Arabie Saoudite vers 2030 coïncidera quasiment avec le remplacement de nos Leclerc)
-
construction d'un vaisseau spatial de "colonisation"
ARPA a répondu à un(e) sujet de ARPA dans Matériels: à l'épreuve du feu
L'Uchronie pourra commencer dans 6 mois quand on va découvrir une planète presque identique à la Terre et d'après les estimations des gaz cohérents avec une vie comparable à la notre. Cela voudrait dire qu'un gros Orion (de 8 millions de tonnes ?) fonctionnant avec des bombes à fusion (donc plus de 100 KT chacune) et décollant d'un pôle (le sud, c'est le moins peuplé ?) pourrait ne pas être inenvisageable ? Même si la zone est localement irradiée, ça n'empêchera d'envisager de s'en resservir pour un autre Orion (si on veut lancer un petite flotte ou si on veut faire des aller et retour les Orion servant de grosses "navette") vu que les Orion seront protégés contre les radiations (pour résister à leur bombes mais aussi aux radiations cosmiques) -
Les S2 et C1/E1 de l'USNavy qui ont retrouvé du service comme E1, C1 et KC1 au Brésil.
-
L'opération baliste en 2006 au Liban.
-
Le BPC, c'est plutôt 1500 "réfugiés" sur une courte période. (nombre estimé "raisonnable" et il y a déjà eu 1376 passagers en mission réelle)