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[Bâtiment RAVitailleur d'Escadre/ FLOTLOG Vulcano/ Bâtiments Ravitailleurs de Force BRF]
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Ce qui est aussi très pratique pour trouver un poste pour tous nos officiers. A la rigueur c'est moins stupide que de garder un navire incapable de naviguer juste pour y affecter du personnel (c'était le cas du Béarn à l'époque ou on alignait théoriquement 3 ou 4 PA) -
Capacité militaire de l'UE dans 10 ans ?
ARPA a répondu à un(e) sujet de S-37 Berkut dans Economie et défense
A peine la moitié de ce que nous avons actuellement. Je serrais presque surpris que l'Allemagne ait plus d'une centaine de chasseurs en 2021. Pour les armée de terre, ça risque d'être encore pire. Si l'Europe ne se servait que de 10% de sa puissance militaire, ce serrait déjà énorme. Même avec d'énormes réductions, l'UE restera théoriquement capable de déployer en OPEX quelques centaines d'avions de combat et des milliers d'hommes. Si l'UE arrive un minimum à s'entendre et à disposer d'une politique étrangère ou militaire commune, on pourrait devenir une puissance qui compte vraiment. Avec une population dépassant le demi milliard et la première économie mondiale, on n'a pas besoin de faire beaucoup d'effort pour compter plus que maintenant (suffirait déjà d’arrêter de se contredire entre nous) Objectivement les besoin de l'UE, hors OPEX et hors forces de polices ou de maintiens de l'ordre sont presque nuls. Vu qu'on dispose du nucléaire, on a juste besoin de quelques chasseurs pour surveiller nos frontières mais pas pour repousser une attaque. La suède avec ses 200 gripen pourrait presque remplir cette mission. Pour les OPEX, rien que de se limiter à une capacité de 200 avions de combat et ce qui va avec suffit pour affronter (individuellement) tous les pays qui n'ont pas les moyens de se doter d'armement nucléaire. Si on rajoute une alliance avec les USA et avec d'autre pays politiquement correct (Inde, Brésil ...) on doit pouvoir participer à un paquet de petits conflits. Vu la confiance que j'accorde à nos politiques, je doute qu'actuellement en France on étudie l’après 2012. Cela se ferra le lendemain des élections et ils se contenteront probablement de réfléchir jusqu'en 2017. Sinon pour la suite, on aura une armée tellement réduite qu'elle ne coutera presque rien à entretenir. Si un jour on décide de remonter le niveau des dépenses militaires, on devrait arriver en quelques années (mois ?) à disposer d'une armée extrêmement moderne et puissante. Rien qu'à l'heure actuelle et rien que pour la France, le passage de 2 à 4% du PIB dans le budget de la défense suffirait pour nous offrir en un quinquennat une armée de rêve avec pour 200 Md€ d'équipements neufs (même en B2 ça fait beaucoup) En 2021, on aura probablement une armée européenne, ou au moins des armées européennes bien intégrées et une industrie militaire européenne commune, ce qui risque de se faire même sans soutient politique pour rester cohérent. Si une crise se produit et qu'on se rend compte qu'il nous faut une armée, on aura largement les moyens financiers de remonter très fortement en puissance. Actuellement avec rien qu'1% du PIB, l'UE dispose de plus de 160 Md€ ce qui suffit pour s'acheter ce qu'on veut. On se retrouvera presque dans la situation des USA d'avant la seconde guerre mondiale. Pas d'armée digne de ce nom, mais une fois passé en économie de guerre ils ont produit plus d'équipements que ce qu'ils n'avaient de soldats et vu que c'était déjà une des plus grande puissance démographique (donc qui peut "produire" beaucoup de soldats) ils se sont retrouvé être la première puissance militaire mondiale en quelques mois. Malheureusement avec la mondialisation de l'économie, on risque de vouloir augmenter notre budget militaire en pleine récession. Si on attend de voir l'armée chinoise bloquer l'arriver de nos matière première nécessaire à nos industrie, on risque d'avoir du mal à produire de l'armement (ou quoique ce soit d'autre d'ailleurs) -
Vu qu'on parle d'américains, ça ne m'étonnerait même pas. Et dans ces conditions on aurait peut-être intérêt à le récupérer. Comme tu le dis, ils ont déjà 10 autres CVN dont 1 en cours de modernisation et un autre dont la modernisation commence à être payé ensuite ils en ont 2 en construction et 1 qui attend d'être commandé. Donc non seulement le coût de construction/modernisation des navires s'ajoutent et finissent par devenir trop élevés, mais en plus la nouvelle classe de CVN risque de rendre l'ancienne obsolète. Et les américains ont actuellement un surplus de CVN vu qu'ils les utilisent moins que notre CdG et n'ont plus assez d'avions pour les remplir. Donc soit ils retirent prématurément leurs plus vieux CVN (mais ça ne fait aucune économie autre que ceux de la maintenance courante) soit ils commandent moins vite leurs futurs CVN (qui resteront opérationnel 50 ans) soit ils ne modernisent plus la classe actuelle. S'il faut réduire le nombre de CVN, c'est soit le Washington soit le 3eme PA de la classe Ford qui doit en faire les frais. C'est vrai que c'est un magnifique navire, mais c'est aussi le seul qui peut raisonnablement être retiré du service. Maintenant si tu veux le comparer avec un PA2 français, OK ils peuvent tous les deux emporter des rafales mais c'est presque le seul point de comparaison. Aucun projet de PA2 ne pourrait être livré avant la prochaine IPER du CdG, aucun ne permet des appontages et des catapultages simultanés, presque aucun n'est compatible avec tous les avions présent et avenir de l'USNavy (dont le futur F35C anglais de 33 tonnes) les rares projets de PAN2 ont besoin d'une IPER régulière et ne pourront pas rester sans IPER pour les 20/30 prochaines années et évidement aucun PA2 n'est aussi gros/performant ni aussi peu cher (avec 3Md$ on est dans la fourchette basse d'un PA neuf et dans la fourchette haute d'une modernisation/IPER) Même pour faire tourner l'industrie locale, une grosse IPER locale doit rapporter pas mal. Ce qu'on perdra en importation (rechargement du réacteur) on risque de le récupérer grâce à l'espionnage. Le seul véritable défaut du Washington, c'est qu'on devra le retirer du service relativement rapidement. Ce que je trouve dommage c’est qu’on sort tout le temps l’excuse qu’un PA2 coûterait trop cher. Quand on propose des mini PA (ou BPC adapté) qui répondent au budget, on répond qu’il s’agit de navires pas assez performant. Quand on trouve enfin une solution pour un PA2 performant et pas trop cher, ça ne plait même pas. Bon bah alors faut arrêter de dire qu’un PA2 ce serrait bien (seul 6,7% ont coché cette option dans le sondage)
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Je vais quand même défendre mon idée. (bah oui un PA2 de 100 000 tonnes ça me plairait bien) Concernant les frais de désamiantage, je ne suis même pas sur qu'ils existent. On ne parle pas d'envoyer à la casse un navire mais juste de continuer de s'en servir. Même pour les micro potentiellement installés, si on prévoit de faire une grosse modernisation on risque de le démonter complètement et donc de les repérer. Je pars quand même du principe qu'une modernisation complète (ravitaillement inclus) coûtera autour des 2 milliards. C'est suffisant pour largement couvrir des frais de désamiantage et ça reste moins cher qu'un PA neuf (les CVF sont actuellement à plus de 3 milliards et en £) Quand à dire que c'est un dinosaure de la guerre froide... il n'a été mis sur cale qu'en 86. En plus c'est depuis la fin de la guerre froide qu'on a autant de "petits" conflits justifiant l'emploi des CVN. Si on parlait de l'Enterprise, à la rigueur mais ce n'est pas cas. On parle d'un navire contemporain du CdG. En fait je pensais plus à un PA pour l'OTAN. Les US l'ont construit, la France l'entretien et le groupe aérien est fournis par un peu tout le monde. Je verrais bien des détachements très réguliers de l'USNavy (sur le CVN rebaptisé La Fayette) qui pourrait en profiter pour combler l'absence d'un CVN en méditerranée. Ensuite il y a aussi l'Allemagne dont la marine pourrait remplacer ses tornado par des avions embarqués (rafale M, F18 ou F35C) et ainsi acquérir un bombardier même pas plus cher que ces typhoon et qui pourront aussi opérer depuis le PA Charlemagne (ou Karl der Grosse) lors de missions conjointes. Si on rajoute des F35 italiens ou espagnols, on arrivera à remplir le PA. Pour peu qu'on crée aussi une flottille européenne (pour les allemands, français et anglais) de T45 aptes aux missions de faibles intensités on devrait arriver à le remplir et ce serrait même envisageable de remplir les 2 PAN français. Politiquement les US devraient même soutenir cette idée (sinon ils ne nous donnerons pas ce PA) ce qui pourrait leur permettre de compter sur une véritable aéronavale européenne (plutôt qu'un petit CdG toujours en IPER et un CVF vide, ils auront presque toujours 2 PA d'opérationnels) Ce cadeau américain (ou le retrait d’un CVN et de ces avions de méditerranée) pourrait servir de signal nous forçant à être indépendant ou au moins responsable de l’Europe. C'est un peu exagéré quand même. Les américains ne nous donneraient que ce qu'ils voulaient jeter. Ensuite donner c'est beaucoup dire si on doit faire la promesse de s'équiper de E2 et C2 pour pouvoir l'utiliser de manière plus crédible (et donc justifier qu’on ait besoin qu’ils nous le donnent). Sans parler du coût de la modernisation dont au moins le rechargement des réacteurs devraient rapporter aux USA, c’est presque 3 Md$ pour une IPER et une modernisation au USA. J'ai quand même du mal à croire que rien que pour 3000 marins à recruter on ne puisse pas s'équiper d'un CVN. Sinon il faudrait vraiment un retour à la conscription. On parle quand même d'un CVN "dépassé" avec une génération de retard pour ses réacteurs (par rapport au Ford) et même si on est un enfant perturbateur de l'OTAN, on participe beaucoup aux opérations de l'OTAN. D'ailleurs ce serrait à vérifier, mais je crois que le CdG à depuis 2001 participait à plus de missions de l'OTAN et plus longtemps que la moyenne des CVN américains. Ce don de CVN permettra un gain capacitaire (ou au moins d'éviter une perte en cas de retrait de service) pour l'OTAN et donc indirectement pour les USA. Mais c'est sur que d'offrir ce CVN à la France et à l'Europe risque de poser des problème politique vu qu'une coalition européenne avec 3 PA (le CVF, le CdG et ce CVN) pourrait aligner une puissance aéronavale de plus d'une centaine de chasseurs soutenus par presque une dizaine de E2C. Bon maintenant si on se pose la question « un PA2 pourquoi faire ? » on risque de ne pas être très motivé par le gain capacitaire que représenterait ce PA et la flotte associé (de E2, C2, T45 …) Mais dans ce cas la question d’un PA2 ne devrait même pas se poser. Enfin on fait comme on veut. Mais avec 2 PA presque neuf sur le marché de l'occasion (le CVF anglais à catobariser et ce Washington à ravitailler) j'ai tendance à trouver ça stupide surtout si nos industriels nous répondent qu'ils sont débordés et qu'on est loin d'être prioritaire.
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Le air et couscous en question indiqué même 2m² pour le rafale. Quand je l'ai mis sous le nez de celui qui m'avait donné la SER du rafale, il m'a dit que le journal ne devait pas avoir accès à ce type d'information classifié. Maintenant 2m² ça reste cohérent avec un rafale air-sol équipé d'une demi douzaine de GBU pas très discrète. Par contre pour un rafale qui vient de larguer ses bidon et se contente de 4 mica et éventuellement d'un ASMP, on doit être assez loin du m².
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Et si on se faisait offrir le PA2 ? :oops: Cette question n’est pas forcement absurde. D’après le DSI de novembre les USA envisagerait de retirer du service (et mettre à la casse et non en réserve) le CVN Washington vu qu’ils ne veulent pas payer sa modernisation à mi-vie (3 ans de travaux et 3 milliard). En cas de non modernisation le navire deviendra très vite inutilisable par manque de carburant donc je doute qu’ils souhaitent le placer en réserve vu qu’une réserve à 3 ans n’a pas trop de sens. Ils pourraient donc nous l’offrir ou nous le vendre au prix du métal. Opérationnellement ça ne leur coûterait rien, il faut juste l’accord des politiciens américains. Il faudra évidemment qu’ils décident 1) de bien le retirer du service (ce qui est loin d’être évident) et 2) de ne pas le vendre à un autre allié (comme l’Inde en échange d’une commande d’une centaine de F35) Dans le passé, après la seconde guerre mondiale, ils avaient refusé de nous donner/vendre un PA lourd mais étaient d’accord pour des PA léger. Le coté nucléaire ne devrait pas poser de problème vu qu’on est quand même une puissance nucléaire allié utilisant actuellement 12 réacteurs nucléaires embarqués (et avec 6 qu’on déjà retiré du service) donc 2 de plus ne devrait pas changer significativement la donne. Reste à savoir si la marine française voudra de ce cadeau. Ce PA ne serra pas complètement gratuit vu qu’il faudra financer une modernisation/francisation et très vite (avant 2021) un rechargement (ou remplacement ?) des réacteurs. Ensuite il faudra un équipage de 3200 marins sans compter le groupe aérien. Les performances de ce CVN risquent aussi de nous pousser à l’achat de E2D supplémentaires ainsi qu’une petite flotte de C2. Avec un rechargement à l’américaine entre 2020 et 2022, on devrait pouvoir espérer le garder en service jusqu’en 2050 ce qui reste raisonnable. Surtout qu’on pourrait le recevoir très rapidement et envisager une mise en service complète après une légère adaptation à nos besoins (qui comprendra au minimum un changement des menus du mess et dans le meilleurs des cas une aptitude à l’emport et à l’utilisation d’ASMP) juste avant la prochaine IPER du CdG. Financièrement on devrait en avoir quand même pour 2 à 3 milliards entre la modernisation et le rechargement des réacteurs, auquel il faudra probablement rajouter un milliard pour des E2 et C2. Si ça se fait, il faudra aussi trouver une solution pour avoir des avions de combats embarqués supplémentaires. Mais entre une visite des alliés (principalement des américains mais on pourrait aussi inviter d’autre pays) des escadrons de l’armée de l’air sur rafale M et une flottille sur avions école aussi aptes aux missions de combats, ça ne me paraît pas le plus compliqué. Sans oublier qu’on peut aussi faire comme les Anglais et compter sur l’Alat. Vous en pensez quoi ? Les Américains ne voudront jamais nous le donner, on refuserait un tel cadeau ou c’est peut-être envisageable ? Par rapport aux autres projets de PA2, il s’agit du plus rapidement livré (entre 2012 comme cadeau suite aux élections et 2023 avec le plein au plus tard) du plus performant et du plus compatible (et pour cause) avec la flotte américaine et même du moins cher pour une durée de vie à peine plus réduite (voir équivalente si on envisage un futur rechargement)
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SNA Suffren, SNLE et SSGN capacité française
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Le problème des SSK, c'est qu'ils ont vraiment des performances ridicules par rapport aux SNA. En plongé la vitesse de croisière d'un SSK (donc la vitesse qu'il peut maintenir plus que quelques heures, peut-être quelques jours mais pas plus) se limite souvent à 5 nœuds alors que le SNA peut maintenir une vitesse de 15 nœuds en restant discret et à l'écoute. Un SNA en patrouille peut donc faire 3 fois plus de boulot qu'un SSK (sans parler de la qualité des capteur sur un navire qui peut être 3 fois plus cher qu’un SSK équivalent). Et s'il s'agit juste de faire du transit, le SNA peut aller à 25/30 nœuds alors que le SSK restera à une vitesse relativement faible (plutôt 10/15 et en surface pour fonctionner sur les diesel) et vu que les SNA n'ont pas de problème de carburants, ils sont prévus pour rester en mer plus longtemps. Donc entre un SNA passant moins de temps en transit et ayant une mission plus longue et un SSK restant en mer moins longtemps et avec plus de transit, on arrive à un temps de patrouille nettement plus élevé pour le SNA que pour le SSK. Les SSK sont des systèmes d'armes défensifs limités à la protection d'un port (ou d’un site stratégique) en restant en embuscade. Même pour patrouiller en méditerranée et longer les côtes africaines, il vaut mieux (à prix égale) des SNA que des SSK. Des SSK ne nous serviraient qu’à protéger le départ de nos SNLE (et encore) ou éventuellement lors de conflits à proximité d’un de nos ports (donc aux EAU, vu que j’ai du mal à les imaginer utiles dans nos DOM TOM) -
Ce n'est pas si délirant que ça. Cela a quasiment été fait (avec le B36 dont à volé un démonstrateur à moteur nucléaire et qui aurait pu être équipé du X85) mais ce qui devient délirant c'est la taille du monstre volant. Je crois qu'il y a quand même des limites à ne pas dépasser.
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Moi je ne demande rien. Je disais juste qu'en cas de besoin le marché domestique français aurait presque pu suffire à justifier le développement d'un AWACS embarqué. Mais pour cela, il aurait aussi fallu que l'armée de l'air veuille s'en équiper. Pour que l'armée de l'air veuille s'en équiper, il aurait suffit que les USA nous refusent la vente des E3F en 90 avec la fin de la guerre froide et qu'on décide de lancer un programme national répondant aux besoins de l'armée de l'air (donc entre 4 et 10 exemplaires) et ceux de la marine (3 à 6 exemplaires pour les PA devant entrer en service à partir de 2000) Et je n'ai jamais dit que c'était une solution idéale pour la France, j'ai même précisé que ce qu'on gagnerait en indépendance technologique on risque de le perdre à cause d'un matériel moins performant qui nous forcera de demander l'aide de nos alliés.
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Peut-être aussi d'utilité et de performances. Le 4e E2C devait être à un standard inférieur à celui de nos 3 E2C actuellement en service et n'aurait pu véritablement servir qu'à l'entraînement (ou pour offrir un AWACS au rabais comme quand on a accueilli un hélico anglais pour compenser l'indisponibilité temporaire de 2 de nos E2C) Maintenant si on prévoit de moderniser nos cellules actuelles, l’achat suivi de la modernisation d’une quatrième cellule qui deviendra au même standard que les 4 autres devient envisageable. Sinon pour les besoins français, si on avait décidé de lancer le développement et la construction d’un AWACS embarqué au début des années 2000, nos besoins auraient pu être d’une douzaine d’exemplaires. En plus des 4 pour la marine, il aurait fallu compter ceux de l’armée de l’air qui s’en serrait équipé pour remplacer nos E3F. Vu que les E3F sont plus performants (plus gros, plus d’autonomie) mais aussi plus cher on aurait pu espérer s’équiper d’un plus grand nombre de petit AWACS (sans oublier que 4 AWACS pour la France, c’est peu, l’Angleterre en a 7 par exemple et des petits pays comme la Grèce ou la Suède ont presque une dizaine de petit AWACS) Si l’armée de l’air accepte de s’équiper d’AWACS embarqués (dont d’avoir une grosse perte de performance par rapport à des AWACS terrestres pour le même prix) on doit avoir un marché intérieur justifiant quasiment le développement d’AWACS. Mais c’est peut être cher payé pour un peu d’indépendance qu’on risque aussi de payer en dépendant des gros AWACS de nos alliés pour certaines missions complexes.
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Quand ? En 64 lors de leur mise en service ou en 96 lors de leur retrait ? En 64, il s'agissait quand même d'un des chasseurs les plus maniable de sa génération et même si sa vitesse de pointe n'était pas celle d'un mirage III ou d'un Mig21, il restait largement crédible. Quand à l'armement, en 64 il était moderne, en 96 le peu qui restait (car les missiles ont une durée de vie limité) était obsolète. Enfin normalement les crusader auraient du être remplacé au début des années 80 (au choix, par des F1M, mirage G, Sea Harrier, F18, jaguar M, 2000 adaptés dés la construction ...)
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[Porte-Avions, arbitrage décisionnel une affaire et une volonté Politique]
ARPA a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Le problème des chiffres, c'est qu'on leurs fait dire ce qu'on veut. Pour un PA comme le CdG, il a une IPER de 18 mois tous les 7/8 ans, donc ça fait une disponibilité (avec une semaine de délai pour quitter le port) proche de 80%. L’idéal serrait donc d’avoir 5 PA pour avoir 4 GAN. On peut aussi compter le nombre de PA en mer (donc hors entretien même de courte durée) et on retombe autour des 3 PA pour disposer d’une moyenne de 2 PA en mer (bah oui pendant l’IPER du PA1 les PA2 et PA3 devront bien faire des escales) On peut aussi calculer la disponibilité en mission (donc après avoir navigué pendant une semaine entre la métropole et la zone de conflit) En fait tout dépend ce qu’on veut faire. Avoir le maximum de jour de mer de nos GAN (et donc un bon % de participation aux opérations OTAN qui sont quasiment en continu depuis 2001), dans ce cas il suffit d’avoir un GAN performant. Plusieurs GAN permettront d’augmenter ce quota, mais pas forcement proportionnellement (on n’a pas toujours de quoi occuper 2 GAN) Avoir en permanence un GAN disponible pour une mission type Malouines (donc quelques semaines de préparation sont possibles) ou être capable d’assurer une permanence en mer sur une zone de conflit d’un de nos GAN (ce qui a été fait par les PA Clemenceau en 82/84 face au Liban). Pour cette mission il faut 2 PA et le 3eme devient presque un luxe (avec 2 PA ce serra assez rare qu’on en ait 1 en IPER et que l’autre ne puisse pas tenir jusqu’à la fin de l’IPER) et c’est même du gaspillage si on a de quoi équiper qu’un seul PA (vu qu’avec 3 PA on en aura souvent 2 de disponible il faut 2 GAN alors qu’avec 2 PA on se contente d’un GAN plus ou moins gros) Et pour compliquer les calculs, les PA conventionnels et nucléaire n’ont pas les même contraintes (IPER plus longue sur les nuc, mais plus rapidement sur zone et meilleure disponibilité hors IPER) et surtout un PA sans son groupe aérien ne vaut rien donc il faut aussi calculer le nombre d’avions. Et suivant la disponibilité (et l’objectif) de nos GAN ce n’est peut-être pas toujours une bonne idée de s’équiper de plus d’avions plutôt que de plus de PA. Entre un PA3 et une quatrième ou cinquième flottille, je ne sais pas ce que je préfèrerais. On pourrait même rajouter la disponibilité des navires d’escortes (du SNA au pétrolier ravitailleur) indispensable au bon fonctionnement du GAN. Pendant l’opération en Libye, on a vu qu’un ou deux malheureux C2 suffisait à augmenter significativement la disponibilité de notre GAN. La question d’achat d’une flotte de C2 est peut-être à poser avant celle d’un PA3. -
Je crois que c'est un problème d'échelle. La Russie a hérité de plus d'un millier de chasseurs "moderne" de l'URSS et ne s'en est pas servi. Actuellement il doit y avoir des centaines de mig 29, Su27 et même Mig31 avec un très gros potentiel restant.
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Ce qui compte ce n'est pas le nombre d'avions qu'on a en métropole (vu qu'on ne risque pas de se faire attaquer) mais le nombre d'avions qu'on peut déployer sur une base lointaine (vu qu'on est en Europe et qu'on ne risque pas d'avoir de conflit à proximité) En fait 150 avions (moderne ?) ce n’est pas forcement ridicule si on arrive quand même à en déployer une centaine (50 devraient suffirent pour la PO, la formation et la dissuasion) Bon c’est sur que 500 avions (comme il y a 10 ans) ce serrait mieux et on pourrait plus facilement déployer une centaine d’avions.
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Si c'est pour remplacer un GAN comme celui du CdG par un GAN comme celui de l'Italie ... autant ne rien faire.
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Je crois que tu prends le problème à l'envers. Si on n'a pas de second GAN, c'est surtout qu'on n'en "veut" pas, plus qu'on n'a pas l'avion adapté ou de PA2. Si on voulait juste un GAN ("à moindre coût", "de secours", "d'entraînement", "à faibles performances" ou tu l'appelles comme tu veux) on aurait pu construire des BPC avec catapulte et brins d'arrêt. Ces ersatz de PA auraient suffit à embarquer quelques avions et faire quelques missions comme les LHA qui ont rarement plus d'une dizaine de STOVL. Le surcoût des catapultes et brins d’arrêt est très vite économisé sur les avions CATOBAR plutôt que STOVL (autant à l’achat qu’à l’usage) et surtout si on veut un deuxième GAN il faut l’escorte qui va avec. Sinon pour rappel, si on avait vraiment voulu disposer de 2 GAN, dés les années 60 quand il devient évident que le PA Verdun ne sera pas commandé et qu’il faut faire des économies pour payer les SNLE/SNA, on aurait pu moderniser le PA Arromanches comme ses sister ship argentins ou brésiliens (qui sont resté en service jusqu’à l’arrivé du CdG) et disposer d’un troisième PA permettant d’assurer la permanence des 2 GAN. On aurait peut-être eu du mal à y opérer les Crusader, mais pour les SEM ou les alizées ça ne pose pas de problèmes et ça suffit pour faire un GAN n°2. Le même raisonnement aurait pu s’appliquer en 2000 avec le maintien en service d’un de nos vieux PA après modernisation (ou la construction d’un PA peu performant et peu cher avec un armement comparable au BPC) Le choix du F35B, c’est aussi le choix d’un GAN aux capacités aériennes très limité. J’aurais même presque tendance à dire que pour exploiter pleinement les capacités des F35B, l’idéal serrait d’avoir un maximum de plates-formes pour les déployer. Dans le cas français avec 30 F35B, plutôt que former un GAN moins performant que tous les autres GAN, je ferrais plutôt 4 flottilles (de 4 ou 6 F35B) associées à chacun des BPC et pourquoi pas même quelques micro flottilles supplémentaires pouvant être déployés (au moins temporairement) sur d’autres type de navires (une FREMM AA avec 2 F35B équipés en air-air, une FREMM AVT avec un F35B pouvant faire quelques bombardement pour moins cher que le tir de SCALP, sans oublier les navires ravitailleurs qui pourront servir à assurer la relève d’une escadrille en OPEX)
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Dans ce cas c'est encore plus du gaspillage de vendre des rafale M pour remplacer des 2000C. Surtout qu'il a des -5 (qataris) et -9 (émiriens) sur le marché. Sans parler de nos autres 2000 qui pourraient être vendu après une bonne modernisation.
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Aux dernières nouvelles on construit actuellement des K15 pour nos SNA Suffren, je ne vois pas pourquoi on ne pourait pas aussi les construire pour le PAN. Il y aura peut-être un problème de puissance, mais ça coûterait moins cher de faire un PAN avec 3 réacteurs (ou plus ou seulement 2 et un diesel) que de développer un nouveau réacteur. Bon si on veut développer une nouvelle gamme de réacteurs plus puissant pour pouvoir s'en servir sur nos prochains SNLE, pourquoi pas, mais ce n'est pas de la faute du PA.
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Maintenant je n'en vois plus trop l'intérêts. Autant une livraison en 2007 (quand on les a mis sous cocon) se serrait justifié, autant commencer maintenant des négociations (pour une livraison en 2012 au plus tôt) n'a plus trop de sens. Le Brésil change de politique (les relations avec la France ne sont plus aussi excellentes) son PA n'a plus pour vocation de servir un GAN de presque premier rang (ce qu'il serrait actuellement avec des rafale F1 en air-air et des SEM ou A4 en air-sol) et le FX2 est suspendu (donc on n'a plus besoin d'offrir des exemplaires de démonstration)
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C’est la principale raison pour laquelle il ne faut pas toujours réfléchir comme des comptables. Entre une armée occidentale avec 100 avions mais 10 pilotes par avions et une armée chinoise avec 1000 avions et un pilote par avions, on risque de perdre sous le nombre. Et en plus on va se retrouver avec des occidentaux qui haïront leurs pilotes qui ont du s’éjecter et des chinois qui applaudiront leurs valeureux pilotes qui auront préféré sauver leur vie (et continuer le combat) plutôt que celle d’une machine. Il y a quelques cas particuliers, ou un pays n’envisage plus de faire de conflit de haute intensité (car il dispose de la dissuasion nucléaire) et se contentera de déployer un nombre restreint d’appareils en OPEX (ou sur un PA). Le nombre d’appareils déployés en OPEX doit être le plus réduit possible pour limiter les coûts (la place de parking n’est pas souvent donnée et c’est encore plus vrai sur un PA) mais aussi pour éviter de perturber l’équilibre local (une flotte de 20 mirage 2000 D et –5 aux EAU serraient beaucoup moins bien perçue qu’un petit détachement de 6 rafale) Dans ces conditions, on préfèrera une flotte plutôt restreinte mais qui vole beaucoup qu’une flotte plus nombreuse qui vole moins. C’est ce que doivent penser la plupart des pays de l’OTAN qui n’ont pas besoin de se défendre (car les US s’en chargent) et doivent juste assurer un certain nombre de missions en OPEX. Mais il faut se rappeler qu’on parle de l’armée et donc que la rentabilité n’est pas le but. La France avec ses 400 pilotes volant 200 Heures de vols pourrait théoriquement se contenter d’une flotte d’une cinquantaine de rafale volant 35H par semaines (donc usé en 4/5 ans) et d’une livraison annuelle d’une douzaine de rafale (comme actuellement) Sauf qu’avec ce type d’armée de l’air, on serrait incapable d’assurer l’ensemble de nos missions et rien que nos détachements quasi-permanent (EAU, Afghanistan, Tchad, Djibouti) mobiliseraient au moins 20% de notre flotte (à 3 avions par détachements, on peut difficilement faire moins) notre PA avec une grosse quinzaine de rafale représenterait lui 30% de la flotte, avec le peu d’avions restant il faudra pouvoir assurer les missions de PO, la dissuasion, des détachements régulier (Islande, Guyane, Pays Balte…) donc il ne restera vraiment plus rien pour faire une guerre non prévue. Même avec notre standard actuel (250/300 avions) on est incapable d’envoyer des détachements numériquement significatifs. Les Russes doivent bien rire quand il n’y a que 3 chasseurs en Islande ou dans les pays Balte pour faire face à leurs escadrilles. Même avec de vieux Mig 21 (une vingtaine ou une quarantaine) ils pourraient facilement gagner. Et c’est aussi vrai pour nos autres détachements. Si l’Iran souhaite attaquer les EAU, ce ne seront pas 6 rafale (dont combien en l’air ou en alerte lors de l’attaque ?) qui changeront la donne alors qu’une vingtaine de mirage (officiellement pas plus performant) suffiraient presque pour ne plus être en infériorité numérique. Reste à définir le terme d’obsolète (surtout qu’ils pourraient être modernisés) Les F1 resteraient suffisant pour la PO ou pour nos OPEX (ou missions de présence) de très basse intensité en Afrique. Même s’il s’agit d’avions obsolètes il s’agit quand même d’avions performants, tout n’a pas évolué aussi vite que les avions de combats donc ils restent crédibles pour la plupart de leurs missions (tant qu’il ne faut pas affronter une aviation ou une DCA récente) Un avion de combat peut avoir plusieurs vie. Une première pour les conflits (OPEX) de haute intensité, une deuxième pour des conflits de moyenne intensité et faire du nombre une fois que les avions de 1er rang sont passé et une troisième pour faire acte de présence pour des missions presque civils (la police du ciel, faire voler notre drapeau chez un allié qu’on soutient politiquement, montrer qu’on n’oublie pas nos DOM TOM, voler avec le drapeau blanc de l’ONU au dessus d’un pays qui accepte notre présence…) Depuis les mirage III et IV, nos avions de combats ont tous les même performances (mach 2, plus maniable qu’un jet civil, autonomie variable comprise entre celle du mirage 3 et celle de son contemporain mirage IV) et sont donc presque aussi efficace pour toutes les missions non dangereuses. Les B52, les C135, les mirage IV ont connu une longue carrière et ne sont pas obsolète (sauf peut-être le mirage IV mais je crois que c’est plutôt qu’il était à bout de potentiel et trop cher pour un gain de performance trop réduit par rapport aux premier rafales. J'ai plutôt tendance à penser que la dissuasion est le seul volet de notre armée qui serve à nous défendre. Si on enlève les missions de police ou de sécurité civile, notre armée sert surtout défendre nos intérêts à l’étranger ou au moins ceux de nos alliés ou ceux de quelques industriels, mais ce n’est pas vraiment notre armée (hors dissuasion) qui nous protège physiquement d’une attaque.
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Pour le cas particulier de la France, on devrait facilement pouvoir continuer d'augmenter notre nombre de rafale en service (même si on n'en reçoit plus suite aux commande export) rien qu'en commandant des pièces détachés. Avec la Libye on a vu que des rafale pouvait atteindre les 35H par semaine. Même sans aller jusque la pour toute la flotte de rafale, on peut doubler le nombre "apparents" de rafales. On pourrait assez facilement passer à une moyenne de 3 équipages (au standard OTAN) par avions.
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Je ne suis pas sur qu'on puisse vraiment dire qu'on imagine des avions d'entraînement en europe. Les Hawk anglais ne sont qu'une modernisation d'un avion de la même époque que nos alpha jet (qui sont eux de l'époque des jaguar et mirage F1 sans delta) et si le M346 est véritablement moderne, il ne faut pas oublier qu'il est grandement inspiré d'un Yak (qui doit former des pilote qui vont passer sur les Mig 29 et Su27 sans aile delta) Pour le T-50 coréen, sa mission est de former les futurs pilotes de F16, donc autant conserver une voilure classique. Ensuite on parle d'avion d'entraînement souvent subsonique, c'est le choix de l'aile delta qui aurait été douteux (vu qu'elle n'est vraiment utile que pour le supersonique) C'est vrai qu'il y a le Mako qui était développé par un européen, supersonique et sans aile delta. Enfin avec son réacteur F414, il était clairement fait pour servir d'avion d'entraînement pour le F35. D'ailleurs le Mako n'était pas très crédible, des Allemands qui développent un avion d'entraînement alors qu'ils n'en ont aucun (ils sont formés aux USA et leurs alpha jet servaient d'avion de combat léger) c'est louche. Si ensuite ils choisissent des équipements américains plutôt qu'européens (sur les 3 réacteurs compatibles il y avait 2 européens et ils ont quand même choisis l’américain, c’est presque à se demander pourquoi ils n’ont pas choisi le RD33 russe) il ne faut pas s’étonner que le projet avorte. Vu que l’armée de l’air commence à se poser des questions, Dassault va peut-être nous proposer un delta d’entraînement.
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En fait le nombre d'avions n'est pas forcement très significatif, ce qui compte c'est surtout le nombre de pilote (avec un nombre suffisant d'heure de vols) et d'avions de disponible. Entre une flotte avec 400 avions d'une moyenne d'âge de 20 ans avec une disponibilité de 40% et un nombre d'heure de vols annuel par avions autour de 200 ou une flotte de 200 avions d'une moyenne d'âge de 10 ans avec une disponibilité de 80% et un nombre d'heure de vols annuel par avions autour de 400, je ne suis pas sur de préférer les 400 chasseurs. Rien que d’augmenter le budget entretiens (et pièces détachés) pourrait suffire à augmenter le nombre d’avions opérationnel bien plus que l’achat de quelques exemplaires. Si on rajoute qu'on compare des avions modernes qui en plus d'être plus moderne sont nettement plus performant que les modèles plus anciens (cas du rafale qui emporte autant que 2 mirage 2000D) on ne perd pas forcement au change. On se plaint de nos futurs 200 rafales, mais objectivement on a rarement eu autant de chasseurs ou de bombardier. Si on considère qu'on va avoir 200 rafale pour remplacer 150 mirage 2000 B/C, 200 rafale pour remplacer 60 mirage 2000D ou 60 mirage 2000N, bah on ne perd pas forcement au change. Vu les performances comparées entre le rafale et les mirage 2000, je ne suis pas sur de souhaiter la prolongation de 2000. Un 2000 (même –9 modernisé pour son intégration en France) restera moins furtif, moins maniable, moins fiable (mono-réacteur) moins endurant, moins puissant (avec une charge militaire correspondant souvent à la moitié de celle du rafale) qu’un rafale pour un coût d’exploitation presque comparable. Si on doit comparer ce que nous coûte la modernisation et la non vente des 2000-9 avec l’achat de quelques rafales, on risque souvent de préférer le rafale. Le choix des 2000 ne se justifie que si on doit augmenter rapidement notre nombre d’avions d’opérationnels. Pour un pays disposant de l’arme nucléaire (donc ne risquant pas d’attaque massive) et ne prévoyant pas de déployer plus de 30% de ses effectifs, je ne vois pas trop l’intérêt de payer des modernisations ou de s’équiper d’avions d’occasion qu’il faudra retirer dans quelques années. Par contre si on voulait vraiment augmenter nos effectifs et disposer d’un avion moins cher (et moins performant) que le rafale pour le déployer dans des OPEX quasi permanente mais de faible intensité (ou pour la PO), j’opterais plutôt pour un chasseur léger dérivé d’un avion d’entraînement. Une sorte de T/A50 ou de Mako made in Dassault (comme le novi avion serbe) aurait parfaitement sa place chez nous (en plus des missions de formation ou d’entraînement, on pourrait avoir 2 escadrilles pour la PO en métropole et une vingtaine de déployé outre mer à la place de nos mirage voir de certains rafale)
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falklands 2030 ,la France suit les Brits .
ARPA a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Wargames
En fait je voyais plus un problème de temps que technologique. Les barges géantes construite en vitesse (enfin pas tant que ça surtout si on veut en construire plusieurs) n'iront pas à beaucoup plus de 10 km/h donc pour faire les 12 000 km entre l'Angleterre et les Malouines, il faudra entre un et deux mois de transit (et perdre tout effet de surprise) Si on prend en compte le temps de décider la construction de ses barges, le temps de les construire, puis enfin le temps de les amener sur place, les Argentins auront eu le temps de se préparer. En les faisant partir de Guyane, on gagne presque un mois de transit donc s'il s'agit d'une construction facile (qui n'a pas besoin de véritable chantier) ce serrait peut-être préférable. -
Conflit du Sahara Occidental
ARPA a répondu à un(e) sujet de scorpion-rouge35 dans Politique etrangère / Relations internationales
Tu as oublié de parler de Monaco, d'Andorre ou du Vatican. Enfin ce ne sont pas vraiment des pays indépendants. En faisant partie de l'UE ils ont perdu une grosse part de leurs souverainetés. Et vu qu’ils n’ont pas d’armées (digne de ce nom) ou de politique étrangère, il ne leur reste plus beaucoup des critères requis pour un état indépendant. J’ai même l’impression que certains territoire français ou anglais (d’outre mer) sont plus proche de la définition d’un état indépendant. Faut arrêter de vouloir faire des micro état partout. En plus si c’est économiquement valable c’est uniquement parce que le peuple occupant va en quelques années/décennie exploiter les ressources minérales qu’il faudrait plus considérer comme un don de la terre à l’humanité et non à un seul petit groupe d’individus.