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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Je ne pense pas que les ukrainiens soient complétements cons. S'ils les produisent il doivent bien avoir une petite idée derriere la tete quant à une doctrine d'usage un peu robuste. Pour le moment leur anciens drones à réaction ont réussi à traverser la Russie pour taper des bases au nord, sans être plus inquiété que cela ... et ce n'était pas des drones particulièrement discret. Certes plus petit - taille Scalp - mais pas discret pour un sous. Il n'y a pas de raison que les RETEX sur les différents bombardements de la Russie n'aient pas était longuement analysé. Jusqu'à maintenant les Russe ont été absolument incapable de tenir une défense barrière face à l'Ukraine ... on a meme eu des bombardements de Moscou. Je doute que cela change par magie. Pour le "suivi de terrain" je doute que ce soit essentiel. La Russie est un espace lacunaire, il suffit d'une navigation un peu précise, pas trop haut pour passer entre les mailles laches du filet. Une mission préparée sur des donnée carto 3D propre devraient bien suffire. Il faudrait regarder de près les tactique employer, l'usage de leurre etc. pour voir le niveau d'élaboration et de complexité de ce genre de bombardement stratégique, mais pour le moment cela réussi bien aux ukrainiens.
  2. https://www.lemonde.fr/series-d-ete/article/2025/08/18/l-ia-mes-etudiants-et-moi-le-semestre-passe-constitue-la-pire-experience-de-ma-vie-d-enseignant_6631513_3451060.html L’IA, mes étudiants et moi : « Le semestre passé constitue la pire expérience de ma vie d’enseignant » « Lettres d’Amérique » (1/6). L’écrivain et journaliste Thomas Chatterton Williams s’alarme de l’omniprésence de l’intelligence artificielle à l’université, qui met, selon lui, en péril des fondements mêmes de l’éducation et notre capacité à réfléchir. Depuis trois ans, j’enseigne au sein d’un liberal arts college, niché sur les berges du fleuve Hudson, à deux heures de route au nord de Manhattan, dans l’Etat de New York. Chaque année, de janvier à juin, j’y assure deux séminaires dans un cadre de carte postale. Dans le premier cours, je propose à mes étudiants un panorama de la pensée noire aux Etats-Unis et, dans le second, nous examinons en détail certains textes-clés de l’écrivain français qui a le plus d’importance pour moi : Albert Camus. Ce séminaire-là, mené en anglais, commence par l’étude de L’Etranger – en douceur, si l’on peut dire. Nous nous attaquons ensuite au Mythe de Sisyphe, puis à La Peste, avant de batailler avec L’Homme révolté, lors des ultimes séances. Ce dernier essai est extrêmement difficile d’accès pour la génération actuelle, dépourvue de repères par rapport aux régimes sanguinaires du XXe siècle que dénonce Camus (qu’ils soient fascistes ou communistes) et totalement démunie face aux références classiques mobilisées par l’ouvrage, qu’elles soient littéraires ou bibliques – dans l’esprit de l’auteur, son lectorat les maîtriserait forcément. Ce problème n’est pas propre à mon établissement. Même les universités les plus prestigieuses des Etats-Unis, qui exigeaient autrefois que les étudiants sachent lire et écrire le latin et le grec, ont considérablement revu leurs exigences à la baisse. Par exemple, les étudiants qui veulent intégrer Columbia, à New York, peuvent évoquer les podcasts qu’ils écoutent dans leurs dossiers de candidature. Plus besoin de se vanter, tel l’écrivain et essayiste américain d’origine ghanéenne W. E. B. Du Bois il y a un siècle, d’avancer « bras dessus bras dessous avec Balzac et Dumas ». Les établissements les plus réputés se contenteraient sans doute d’un nom comme celui de Joe Rogan, podcasteur et commentateur d’arts martiaux. Comme je l’explique lors du premier cours, il n’est pas rédhibitoire de n’avoir aucune connaissance sur Nietzsche, Saint-Just ou Dostoïevski. Même ignorer qui est Caïn, Abel ou Prométhée n’est pas un obstacle insurmontable, quoique ce soit un peu plus inquiétant. Pour valider le séminaire, le seul impératif est de fournir un effort intellectuel sincère et soutenu. Les étudiants doivent assister à chaque séance, lire les textes du corpus, participer en classe et rendre quelques devoirs écrits faisant preuve de leurs compétences : voilà les clauses du contrat qu’étudiants et enseignants ratifient ensemble. Disruption généralisée Or l’enjeu des rendus écrits a été radicalement vidé de son sens par l’irruption de l’intelligence artificielle. En à peine trois ans d’enseignement, j’ai pu voir combien cette technique a profondément bouleversé les notions d’auteur et de plagiat, et jusqu’à l’idée même de réflexion personnelle. Tant et si bien que, désormais, la seule manière pour moi d’accorder du crédit à des travaux d’étudiants est de les voir coucher leurs idées sur le papier de mes propres yeux. OpenAI a lancé ChatGPT à l’attaque de la planète en novembre 2022, deux mois avant mon premier cours. Un ou deux étudiants essayèrent maladroitement de faire passer pour personnels des devoirs écrits par des intelligences artificielles génératives – pensant, de façon presque attendrissante, que je n’y verrais que du feu. Mais la fraude était assez facile à détecter, et la sanction fut immédiate et sévère. A l’été 2023, et en l’absence de procédures claires à l’échelle des institutions – dans les universités et même dans les établissements d’enseignement secondaire –, personne n’était préparé à l’ampleur monumentale qu’allait prendre cette disruption généralisée. A mesure que la technologie s’immisçait dans nos existences, je vis exploser le nombre d’étudiants qui tentaient de valider mes séminaires en rendant des devoirs intégralement factices ou, de façon plus sophistiquée, en mêlant cette pseudo-écriture générée par l’IA à leurs propres phrases. Le semestre qui vient de s’achever en juin constitue la pire expérience de mon parcours académique, aussi bien en tant qu’étudiant qu’enseignant. J’en viens même à revoir mes positions les plus basiques en ce qui concerne la communication écrite : dans de nombreuses circonstances, je ne suis plus si sûr qu’elle soit utile, ni même souhaitable. L’omniprésence de l’intelligence artificielle met en péril les fondements mêmes de l’enseignement supérieur. L’effet délétère de Google Maps sur notre sens de l’orientation – nous sommes maintenant nombreux à consulter nos smartphones alors que nous savons quel chemin emprunter – se retrouve dans les conséquences négatives de l’IA sur notre aptitude à bien assimiler et manier les mots ou les idées, compromettant par là même notre capacité à réfléchir. C’est une évolution particulièrement inquiétante. Dans une société violente et plurielle comme celle des Etats-Unis, fondée dès l’origine sur l’autonomie et l’individualisme érigés en vertus, elle laisse le champ libre à la nouvelle forme d’autoritarisme abrutissant qu’incarne Donald Trump. Dans Phèdre, Platon – par le truchement de Socrate – relate le mythe de l’invention de l’écriture et identifie trois raisons principales au fait de ne pas y voir un progrès. D’abord, il argue que « faire confiance à l’écriture » réduit nos capacités de mémorisation et pousse à la complaisance, en nous rendant dépendants de sources de connaissance extérieures à nous-mêmes ; ce qui a pour résultat « l’apparence de la sagesse », mais non sa réalité. Ensuite le discours écrit étant figé, l’art de la dialectique et ses questions ne peuvent ni le clarifier ni l’affiner : « Il signifie toujours une seule et même chose. » Enfin les textes, à l’instar des tableaux, ne peuvent s’adapter par eux-mêmes aux besoins ou aux compétences de différents publics. « Ecrit, chaque discours roule de droite et de gauche, se lamente Socrate, indifféremment auprès de ceux qui s’y connaissent et, pareillement, auprès de ceux dont ce n’est point l’affaire. » Revenir à la méthode de Socrate Je me souviens avoir été confronté à ce dialogue socratique pour la première fois il y a un quart de siècle, dans un cours sur la philosophie grecque dans l’Antiquité. A l’époque, son propos m’avait semblé risible, et même révoltant. Plus je me jetais à corps perdu dans la lecture et l’écriture – jusqu’à décider de bâtir ma vie et ma carrière autour de ces activités jumelles, m’échinant à polir des phrases qui finiraient en articles, essais et ouvrages –, plus ma position à l’extrême opposé de Socrate me paraissait irréfutable. Loin d’être une « image » sans vie du discours oral, comme le soutient Platon, je tenais pour évident qu’un texte composé avec sérieux, bien édité et corrigé avec soin représentait un pinacle en matière d’accomplissement rhétorique et linguistique. Un livre ou un essai est une invention quasi magique, qui comprime de vastes périodes de temps en l’espace de quelques pages. Ainsi, quelque chose que l’on peut consommer en une poignée d’heures demande des années de labeur – les copies de dix pages sur Camus que mes étudiants ont trois semaines pour rédiger n’exigent que trente minutes de lecture attentive de ma part. Utilisée correctement, l’écriture permet d’exprimer n’importe quel discours ou un argument de la meilleure manière possible. Ma défense de l’écriture a perdu cette belle assurance. Certes, les auteurs ou journalistes consciencieux continueront à valoriser le fait de réussir à se forger, au prix de grands efforts, une voix, un style, un point de vue personnel, quels que soient les progrès ou les ingérences de l’intelligence artificielle. Mais pour l’immense majorité des étudiants qui n’aspirent pas à gagner leur vie par ces moyens épuisants, tout cela semblera de moins en moins utile et gratifiant – tout comme s’appliquer à faire une division à la main plutôt qu’attraper une calculatrice. Voilà pourquoi j’en suis venu à penser et repenser au plaidoyer multimillénaire de Platon contre l’écriture. Quand je reprendrai mes séminaires l’année prochaine, je prévois de revenir à la méthode socratique. Les notes finales s’appuieront sur des entretiens individuels en fin de semestre, à l’oral, où les étudiants devront manier ce que le philosophe appelle « le discours de celui qui sait, discours vivant et animé ». En procédant ainsi, je m’épargnerai au moins la pénible et dégradante situation d’avoir à me demander si l’e-mail d’un étudiant s’excusant après avoir été pris à tricher n’est pas, comme son devoir, écrit avec l’aide d’une intelligence artificielle. Thomas Chatterton Williams Ecrivain américain vivant entre New York et Paris, il est également journaliste pour The Atlantic et professeur invité au Bard College (Etat de New York). Spécialiste des questions culturelles, il a publié Une soudaine liberté. Identités noires et cultures urbaines (Grasset, 2019), Autoportrait en noir et blanc. Désapprendre l’idée de race (Grasset, 2021) et Summer of Our Discontent (« l’été de notre mécontentement », Knopf, non traduit) à paraître en 2026, chez Grasset.
  3. Pourtant c'est utilisé par des vieux sur leur exploitation agricole, forestière, élevage, golf etc. alors certes de ne sont pas des paraplégique mais leur mobilité est bien limité. J'ai le cas d'un élevage de chevaux on c'est utilisé par des gens d'une soixantaine d'année qui ne veulent pas courir d'un bout à l'autre des parcs. Mais c'est aussi valable pour un pécheur qui ne veut/peux pas porter son matériel, un vieux qui veut faire le tour de ses bois ou de ses parcs sans risquer de ne plus arquer pour rentrer etc. L'avantage c'est que ca fait le job et que c'est beaucoup moins cher qu'un SSV électrique, et surtout qu'on te laisse aller partout avec tant la réglementation est floue. D'ailleurs la promo est faite vers ... https://www.ezraider.com/products/ezraider-lw/ Tourism Personal Mobility Urban Use disabled people 7000 balles quand un Polaris Ranger Electric est à 35 000 - 47 000 avec la grosse batterie - ... Certes la trottinette va deux fois moins loin ... et emporte deux fois moins de personne ... mais fera le meme parcours et peut s’accommoder d'une remorque.
  4. https://www.youtube.com/watch?v=GNkmDrtpt-U
  5. Pour le quad avec un petit siege en photo plus haut on doit trouver ca COTS pour les PMR, en France c'est pas très développé mais aux US ce genre de siege électrique c'est super développé. https://www.cdiscount.com/auto/scooters/veehop-scooter-lectrique-4/f-13331-aaapw99779.html#mpos=0|mp
  6. A priori ni la voilure ni l'empenage ne ressemble, encore moins l'architecture de la propulsion ...
  7. Sur DeepState les positions les plus avancées vers l'ouest ont toujours été à l'est de Bilytske le long de la voie de chemin de fer ... c'est la mise à jour du 14 aout, et c'était pareil chez les autres mappeurs sérieux.
  8. Les US poursuivent tout, parce qu'ils ont un outils suffisament large et varié, pour que ca puisse avoir un sens. Avec des missile de croisières aéroporté de plus de 1000km de portée ce genre d'excentricité tu peux te la permettre par exemple. Le HACM sera largué par les P-8 Australien ... pourquoi par des C-130 pour faire du volume par exemple. En plus les C-130 ont déjà les pylone munition il n'est pas nécessaire de la larguer depuis la soute. L'autre bon client c'est le LRASM ... tiré à 1000km tu ne t'expose pas forcément outre mesure. Et probablement le meilleur client https://www.airandspaceforces.com/lockheed-second-low-cost-cruise-missile-truck/ The company said the CMMT-D has a range of about 500 nautical miles range and can be configured “to launch from fighters, bombers and ground launchers.”
  9. g4lly

    Naufrages et assistance

    Je connais mais je suis surpris que personne ne propose de solution automatisé pour des navires aussi couteux, d'autant plus si la stabilité naturelle n'est pas garantie.
  10. Il n'y a jamais eu personne à Dobropilia ?! C'est un rumeur que des éléments russes se seraient amusé à y venir pour y poster du courrier ... au mieux si c'est vrai ils s'y seraient faufiler en loucedé la nuit à deux avec un dizaine de lettres à mettre dans la boite au centre du village et sont repartis direct. Il n'y a jamais eu de combat ou quoique ce soit dans le coin.
  11. g4lly

    Naufrages et assistance

    Personne n'a pensé a développer des "airbag" pour éviter ce genre de drame? On peut imagier une solution d'airbag sur le mat qui se déclenche en cas d'immersion ou sur commande d'une IMU - comme sur gilet de moto -. On peut aussi imaginer des airbag de pont empecher le pont de passer dessous, pareil basé sur une IMU. des airbag sur chaque bord laissant des circulations au milieu et entre les airbag devrait empecher au moins le bateau de se renverser complétementement, surtout de ralentir le naufrage permettant au personnel à bord de sortir.
  12. Justement l'idée c'est de prendre de COTS disponible en volume et en coût pour équiper la armée à la demande si le besoin s'en fait sentir. Pas de faire des dev' à la mords moi le noeud pour obtenir la reine des hangar stocker en douze mille exemplaires.
  13. Selon les mapper ukrainiens et russes la situtation n'a presque pas changé coté est Pokrovsk. La contre attaque ukrainienne n'a pas repris de positions plus que ca. Selon les mapper russe l'iniative serait déjà reprise par les russes, en consolidant l'ouest de la pointe, et en élargissant l'est ... En gros ils auraient déjà repris les quelques position perdes à l'ouest. En gros le seul recul marqué des russes c'est la perte de Zolotyio Kolodiaz l'extreme nord de la pointe à l'ouest. La situation à Vesele - le village attaqué par les robots - est incertaine, les ukrainines y ont bombardé les russes mais pas l'inverse... A la base de la pointe à l'ouest les russes auraient repris les positions perdues à l'est de Dorozzhnie par exemple. --- Kostiantynivka. Les russes seraient rentré dans le sud-est de la ville depuis l'est - Predtechyne - ... on a pas de confirmation vidéo pour le moment.
  14. g4lly

    Armée de terre Chinoise

    Il.y en a peut être que deux ... C'était une déduction lié aux episcopes
  15. g4lly

    Armée de terre Chinoise

    Intéressant. L'équipage est à l'avant en caisse visiblement. Trois sur un rang à l'avant. Il y a deux mortier lance munition "tueuse" il semble, donc un APS. On repère des capteurs combinés radar et optique au angles de la tourelle inhabitée. Ainsi que des petite antenne comme de fragiles "assiettes", je ne sais pas l'utilité. Les optiques observation et tir semble éclipsables - les cercle qu'on voit sur le toit de la tourelle ? Sur le toit on voit des cartouche probablement pour du masquage, meme chose à l'avant de la tourelle dans les angles. La mitrailleuse de toit possède sa propre optronique indépendante. A droite du canoon il semble y avoir un viseur caché sous une protection incliné. Par contre il y a quoi sur le canon? Un radar tachy? Coté caisse on voit différente caméra de proximité tout autour.
  16. A priori elles ont été engagé de manière échantillonnaire sur des quads ... même les ukrainiens sont incapable d'en montrer plus que quelques uns en vidéo. Difficile qu'il y ait de "lourdes pertes" sur un volume de force microscopique. Pour le résultat sur DeepState ca ne semble pas folie folie ... a part l’extrême village de la pointe ouest le reste a peu changer pour le moment. Il faut peut être attendre un peu que ca évolue progressivement. D'autant qu'au meme moment les ukrainiens ont perdu du terrain juste à l'est vers Poltavka. et qu'ils semblent avoir perdu Rodynske.
  17. Ca serait presque mignon une telle naïveté ...
  18. Les Kevlar est surtout utile dans les zone ou il y a un fort poinçonnement, parce qu'il ne se brise pas en cas d'effort transverse. Ailleurs le carbone - qui reprend au moins aussi bien en traction ou en compression - ou la fibre de verre - c'est bien aussi et surtout moins cher - font le boulot plus avantageusement. Les zones très exposées au poinçonnement sont effectivement les zones qui risque de prendre des projectile, le kevlar pourra s'y déformer mais en retardant largement la ruine de l'ouvrage - la forme globale est maintenu ainsi que la continuité - ... et comme dans la marine on ne cherche pas vraiment à briser des perforateurs très dur - qui nécessiterait des matériaux très dur, comme des céramique - un épais liner en Kevlar ferait très bien le travail, sans trop gréver la masse. Le seul petit souci du Kevlar comme blindage c'est l'encombrement, mais sur un bateau c'est un moindre probleme. En dehors du blindage on peut mettre des inserts Kevlar dans des endroit stratégique ou il y a des risques de fissuration ou de poinçonnement, ca augmentera massivement la resistance aux dommages accidentels ou de fatigue. J'en foutais plein au niveau de l'insert pied de mat, autour des insert et sous les pad des straps et pareil pour les insert d'aileron etc. quand je shapais des planches. On fait des coque pour le motocross avec, les coque de canoe-kayak eau vive etc. etc. en gros tout les éléments qui risque de prendre des gros jeton. Ca ne se brise pas et ca se répare bien malgré les déformations éventuelles.
  19. g4lly

    Le F-35

    Le samarium sert à faire les aimant permanent très résistant en température, ils ne perdent pas leur magnétisme meme à haute température contrairement aux autres.
  20. Ca ne pourrait pas changer via des équipement adapté?
  21. Pas forcément. Si tu coupe le mouvement au niveau de l'interface coque eau, tu effectues de fait un découplage, probleme réglé. Il suffit de faire vibrer la coque en décalage de phase avec sa vibration "naturelle" on peut donc mettre les transducteur et les micro dans la même zone. En gros la peau du sous marin agit comme la membrane d'un HP qu'on voudrait silencieux, alors qu'elle est excité par un tiers ... il suffit alors de passer le bon courant dans le bobinage pour contrer les effets de déplacement de la membrane. C'est juste qu'on passe du découplage passif avec les tuiles anéchoïque, à un découplage actif.
  22. Détruire un quelques pickup, ou quinze homme, peut très bien être un objectif stratégique justifiant la mobilisation des moyens couteux. C'est la meme chose au niveau tactique, si ca interdit la relève, ou le réarmement de ceux qui tiennent la position à prendre... Ensuite les armes ne sont pas très précise, contre un objectif correctement posté, tranchée, sous-sol etc. il faut suffisamment de puissance/éclat pour le détruire "à coup sûr". S'ils tiraient des munitions submétrique il se contenteraient peut etre de SDB-like ... ... ce qui est sûr c'est que les bombes aérienne font de l'attrition, et permettent d'appuyer loin - ou de loin - ce que l'artillerie sol-sol permet moins hors Iskander et Tornado-S. Quand on voit les dégâts sur la citadelle sud est de Pokrovsk, on se doute qu'on doit pas être serein dessous, et que ca limite forcément le nombre de défenseur exposable.
  23. g4lly

    [EBRC/Jaguar]

    C'est quoi pour toi un chassis? Juste la mécanique, les trains roulant, le GMP et la transmission secondaire? Idéalement il faudrait un seul chassis modulable. Longueur, largeur notament, nombre de galets ... On peut imaginer un panel de masse de 40 - PTAC maxi pour la mécanique, soit un Puma - à 60t - soit un Leclerc - et deux ou trois puissance installé basé sur la meme mécanique de base. Ca serait déjà pas mal si on avait IFV Artillerie portée - canon ou fusée - Dépanneur/remoqueur Différent engin du génie. voir la gamme MGCS. Sur la meme base mécanique.
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