-
Compteur de contenus
73 262 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
432
Tout ce qui a été posté par g4lly
-
2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Pourtant c'est trivial ... meme pour tout un tas de juristes israéliens. Pour l'intention c'est toi qui l'affirme voir la revendique ... or c'est le seul élément que les historiens israélien réfutaient jusqu'alors pour la Naqbah par exemple. Ici visiblement pour toi l'intention est évidente, donc la constitution triviale. Ce qui est intéressant et signifiant ici c'est de te voir relativiser un génocide qui se produit trivialement sous tes yeux ... alors que tu passes ton temps à accuser les autres de le faire quand ce sont tes "peuples amis" qui sont victime. C'est ce qu'on appelle le racisme systémique ou tellement intériorisé, que la stratification de la société, ou des peuples semble naturelle, les juifs auraient par essence plus de droit à vivre que les arabes. Moi j'appelle ca une forme de complicité ... la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide[9] adoptée par l'assemblée générale des Nations unies le 9 décembre 1948, et le Statut de Rome de la Cour pénale internationale[10] adopté en 1998. La Convention en son article 2 et le Statut en son article 6 entendent par (crime de) génocide : « l'un quelconque des actes ci-après commis dans l'intention de détruire, en tout ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux, comme tel : a) meurtre de membres du groupe ; b) atteinte grave à l'intégrité physique ou mentale de membres du groupe ; c) soumission intentionnelle du groupe à des conditions d'existence devant entraîner sa destruction physique totale ou partielle ; d) mesures visant à entraver les naissances au sein du groupe ; e) transfert forcé d'enfants du groupe à un autre groupe. » -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Si la cible n'est pas lourdement protégé par du brouillage GNSS ... il n'y a pas de raison qu'on ait une CEP plus que décamétrique. On peut supposer que les ukrainiens aient appris, et implémentés des solutions de résistance au brouillage GNSS. Au pire on est pas obligé de recaler juste sur la cible on peut recaler 30 secondes avant - soit 10km avant -, et en 30 secondes l'IMU ne va pas dériver tant que ca. Le suivi de terrain est un terme générique qui ne décrit pas de réalité particuliere. Si la mission a été sérieusement préparé et que la cartographie 3D disponible pour la préparation est bonne, on peut très bien definir une succession de waypoint qui suive le terrain ... certes il faut prendre un peu de marge si on a pas de radioaltimetre à bord ... mais on peut quand meme se permettre de voler assez bas. Accessoirement voler bas n'est pas la panacée pour la consommation donc la portée, ni pour la vitesse. Comme tu prends l'exemple de 300m sol ... il n'y a pas de raison qu'une succession de waypoint encodé lors de la préparation de mission ne permettent pas de le faire. On peut à mon sens tenter le coup bien plus bas, juste au dessus des constructions, genre 50m. Les équipement sur des drones lent à 2000 balles permettent de slalomer entre les arbres d'une forets. -
2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Donc on est bien sur un génocide... Merci de la rappeler. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Pendant ce temps la sur le front. Les ukrainiens craignent une "offensive" d'est en ouest entre Huliaipole et Pokorvske. Depuis les environ de Zelene Pole, vers l'ouest en évitant les agglomérations. Le risque ca serait la coupure de la route T-04-01 qui joint les deux ville, ce qui compliquerait la situation de Huliaipole. Pour ce faire il faudrait que les russes avancent de près de 25km, ca ne se fera pas en un jour, mais ca pourrait etre un objectif raisonnable dans la conquete de Zapo. Pour réduire le risque les ukrainiens contre attaque au nord de ce front vers Tolstoï puis Komar avec un certain succès. Coté Pokrovsk la situation semble stable. La pointe au nord est a été émoussée, mais les russes continuent a attaquer à l'est de la pointe, Shakhove notament. Kostinatynivka. Les russes avaient approché les faubourgs pas l'est, et sont repartis. Mais dans le meme temps, d'autres ont réduit les défenses au sud-est de la ville. De sortes que les front s'est rapproché au sud-est. Désormais aussi bien à l'est, qu'au sud est les russes tiennent les derniers villages avant la ville. La situation à Kleban-Byk semble stable, les ukrainiens ont du mal a évacuer proprement, et les russes ne semble pas vouloir risquer de les déloger. -
Le dollar représente grosso modo 60% des réserves de change ... ... par ici tu as les réserves hors or https://donnees.banquemondiale.org/indicator/FI.RES.XGLD.CD Y a plus qu'à faire le calcul. 7 ou 8 000 milliards visiblement.
-
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
A priori c'est un probleme spécifique au chassis Tatra qui sert de base à la déclinaison 8x8 ... sur le chassis 6x6 on a pas ce genre de retour concernant le dessous du chassis. Pour le reste ce qui dépasse au dessus et qui prend aussi des branches quand on passe proche des arbres je suppose que les deux sont à la meme enseigne ... mais c'est un probleme tres courant sur les PL, assez haut donc récoltant naturellement des branches c'est meme valable en ville quand tu passes à la mauvaise saison dans une rue bordée de platanes. -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Il faut demander à Tatra c'est eux qui sont responsable du camion ... ... Je ne sais pas si Tatra propose des solutions de protection additionnelles pour les éléments sous de le chassis. Ce sont des problèmes qui ont l'air récurrents en Ukraine, les élément bas du chassis prennent pas mal de coups via des branchages, de la terre ou de la boue épaisse, probablement des cailloux, et tout ce qui est flexible finit par se défaire, s'arracher ou se percer. Ici c'est la durit d'air compris qui commande le desserrage des freins sur un PL - les freins sont naturellement serré par un systeme de ressort, c'est l'arrivée de l'air comprimé qui desserre les mâchoires de l'étrier, on freine en réduisant la pression -, en cas de panne pneumatique, les freins se retrouve serrés. Coté sécurité c'est un plus, si le systeme de freinage est défaillant le camion freine tout seul - freiner est le mode par défaut -. On peut supposer qu'en reroutant autrement la durit d'air comprimé on pourrait mitiger le souci. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
On fait du DSMAC et du TERCOM depuis 60 ans ... Pas besoin d'intelligence. -
J'ai du mal à comprendre l'argumentaire ?! Il regrette l'absence de Rampage - un missile balistique Extra collé sous un chasseur - sous Rafale, alors que ca fait plus ou moins le meme job qu'un Scalp-EG ?
-
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Au bout du compte – et il faut en mesurer le caractère inédit –, la Russie parvient à avoir chaque mois 30 à 40 000 volontaires pour aller combattre dans une guerre terrible et, par ailleurs, pas du tout existentielle pour le pays, et la plupart d’entre eux vont rejoindre, en connaissance de cause, les rangs de l’infanterie. Cela a entraîné un cercle vertueux pour les Russes, où l’infanterie dispose maintenant de suffisamment d’unités pour exercer une pression permanente sur l’ensemble du front tout en ayant la possibilité d’effectuer des rotations avant-arrière indispensables à leur reconstitution. On y meurt beaucoup, mais on y survit suffisamment pour apprendre et, après un creux, commencer à capitaliser de l’expérience combattante. Je n’avais pas vu venir cette innovation socio-militaire russe, comme par principe la plupart des innovations. Alors que, par ailleurs, notre pays n’a jamais eu aussi peu de combattants directs par rapport à sa population, peut-être faut-il la regarder de plus près. -
https://www.lemonde.fr/series-d-ete/article/2025/08/20/l-election-de-donald-trump-une-reponse-aux-gourous-antiracistes_6632171_3451060.html « Lettres d’Amérique » (3/6). L’écrivain et journaliste Thomas Chatterton Williams analyse l’omniprésence de la question raciale dans le débat américain depuis le meurtre de George Floyd, en 2020. Selon lui, les conséquences sont rudes. Cet été, je publie un livre représentant une tentative sincère de donner un sens à la folie collective qui s’est emparée de certains durant l’été 2020 [Summer of Our Discontent, à paraître en 2026 chez Grasset]. Comme vous vous en souvenez peut-être, il y a cinq étés de cela, les Etats-Unis affrontaient deux calamités : la pandémie de Covid-19 et les violentes émeutes et pillages qui, pendant des mois, rythmèrent une sorte de règlement de comptes entre races, à la suite du meurtre de George Floyd par des policiers, filmé en direct dans les rues de Minneapolis (Minnesota). Le pays commença alors à se poser des questions difficiles sur lui-même, mais ce n’est qu’aujourd’hui que s’éclaircit la nature des réponses qui y furent provisoirement apportées. L’une des questions les plus importantes, à laquelle je réfléchis depuis, revenait à se demander si, oui ou non, nous voulions vraiment devenir une société multiethnique, capable d’enfin surmonter durablement le poids d’un passé marqué par l’esclavage et l’oppression raciale, dont les effets délétères grèvent la vie de la nation depuis un temps antérieur à la date officielle de sa fondation. Dans un premier temps, alors que le meurtre de Floyd suscitait une indignation légitime et pacifique – qui, cet été-là, s’étendit partout dans le monde, jusqu’à Paris, Amsterdam, Séoul ou Helsinki –, une large majorité de la population semblait décidée à répondre par l’affirmative. Albert Camus notait que « la révolte ne naît pas seulement, et forcément, chez l’opprimé, mais qu’elle peut naître aussi au spectacle de l’oppression ». Et justement, à l’été 2020, dans une proportion sans doute sans précédent dans l’histoire, un nombre inédit d’êtres humains s’est décidé, au nom de la lutte contre le racisme, à jeter toute prudence aux orties face à la pandémie de Covid-19 pour descendre dans la rue. Loin d’être écrite à l’avance, cette réaction à la mort d’un seul individu était extraordinaire. Mais alors que le mécontentement perdurait, et que les manifestants légitimes et pacifistes regagnaient leurs foyers à la nuit tombée, les centres-villes ont été à la merci de nos citoyens les moins patients ou sans scrupule. Viralité Tout à coup, les chaînes de télévision nationale pouvaient qualifier d’« enflammées mais globalement paisibles » des manifestations dégénérant dans l’incendie de plusieurs pâtés de maisons – notamment à Kenosha, dans le Wisconsin, au mois d’août, mais aussi jusqu’à Portland et Seattle – ou dans la destruction de nombreux commerces, que leurs propriétaires soient noirs ou blancs, immigrants ou non. Une telle description devenait possible car la violence était perçue comme la conséquence du suprémacisme blanc et des représentants de l’Etat – quelle que soit la couleur de leur peau –, seuls agents à être autorisés à l’exercer. Bref, si la violence était commise par des non-Blancs, il devenait désormais plus difficile de la condamner. Cette définition apparut comme un élément essentiel d’un dogme inédit qui se répandit comme une traînée de poudre dans tout le pays. J’avais observé cette tendance se développer pendant des années, au moins depuis le second mandat d’Obama, à partir de 2013, mais j’ai été stupéfait de voir à quel point elle était soudainement devenue une vérité admise par l’ensemble des institutions médiatiques, universitaires et culturelles les plus prestigieuses. Après Floyd, les injonctions à ignorer ce que nos cinq sens nous montrent clairement, et ce que notre bon sens nous souffle, montèrent en puissance et en viralité. C’était une bonne chose de se réunir en masse dans les rues alors que la pandémie battait son plein, et ne pas se ranger à cet avis était « raciste ». Il était tout aussi souhaitable, et en tout cas nécessaire, de réduire en cendres tel ou tel concessionnaire automobile, puisque participer à une émeute fait partie du vocabulaire de ceux qui n’ont pas droit de cité. Et si vous daigniez formuler une objection à tout cela, vous étiez « raciste ». La lutte contre le racisme et l’injustice semblait imprégner tous les aspects de la vie quotidienne, et exiger de nous d’abandonner notre foi dans les raisonnements de cause à effet. Notre espoir de réussir, un jour, à transcender les questions raciales avec grâce – qui s’était incarné, un temps, dans la figure remarquable de Barack Obama – paraissait maintenant terriblement naïf. Sous la nouvelle et influente tutelle de puissants et omniprésents maîtres à penser et autres gourous « antiracistes », qui dispensaient le conseil paradoxal de se focaliser sur les différences raciales à tout moment – comme, notamment, l’historien Ibram X. Kendi et la chercheuse Robin DiAngelo, spécialiste de la « blanchité » –, le pays commença à voir ou, plus exactement, à proclamer qu’on pouvait voir le racisme et l’injustice se manifester à chaque coin de rue. Selon la formulation la plus extrême de DiAngelo, le simple fait de penser, en tant que personne blanche, que l’on n’est pas raciste, constitue une preuve supplémentaire que l’on est effectivement raciste. Un argument qui, pendant un temps, a pu sembler convaincant. « [Les] Blancs élevés dans la société occidentale sont conditionnés à accepter une vision du monde où règne la suprématie blanche parce que c’est le fondement même de notre société et de ses institutions », écrit-elle dans son ouvrage Fragilité blanche. Ce racisme que les Blancs ne voient pas [2018 ; Les Arènes, 2020], dont les ventes en librairie s’envolèrent une seconde fois après Minneapolis. « Vous n’avez pas pu passer à travers le pouvoir socialisant omniprésent de la suprématie blanche. C’est un message qui circule 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, et qui n’a pas grand-chose (voire rien) à voir avec des intentions, une prise de conscience ou le fait d’être d’accord. Et c’est libérateur de le savoir parce que cela nous permet de nous concentrer sur la façon dont se manifeste notre racisme et pas sur son existence » (c’est moi qui souligne). Retour de bâton populiste Rétrospectivement, il est plus qu’évident que l’autodénigrement, intenable, narcissique et qui ignore délibérément la complexité de la réalité – et la capacité d’agir des non-Blancs ! –, ne pouvait qu’entraîner un retour de bâton populiste d’une ampleur telle qu’il n’est pas exagéré de dire que l’instauration d’une dictature aux Etats-Unis fait maintenant partie du champ des possibles. Quatre étés après Floyd, c’est Donald Trump, se relevant de manière si saisissante après le tir manqué de celui qui voulait l’assassiner, son visage couvert d’autobronzant strié de rigoles de sang, pour hurler « Fight ! Fight ! Fight ! » [« lutte ! »] devant une foule comme ensorcelée, qui apparaît comme la seule réponse logique à la question la plus dangereuse entre toutes, que trop peu d’Etats-Uniens gardaient à l’esprit ces dernières années. A savoir : si le nouvel « antiracisme » qui a émergé au cours de l’été 2020 exige que chacun d’entre nous réfléchisse à soi-même et à autrui à travers le seul prisme de l’identité raciale, alors quel effet déformant cela peut-il avoir sur les Blancs ? La réponse est arrivée l’été dernier quand, au mépris de la raison, le processus de rédemption et de re-légitimation de l’ex-président tombé en disgrâce a retrouvé un élan inexorable. C’est ce moment qui a scellé la réélection fatidique de Trump. Donnant la part belle aux réactions épidermiques et au repli sur soi, le monde qui a vu le jour dans le sang versé sur l’estrade dressée à Butler, en Pennsylvanie, le 13 juillet 2024, a peu ou prou éclipsé les images et le souvenir de l’agonie de George Floyd. En cet été caniculaire, nous nous trouvons englués dans le cauchemar créé par notre incapacité à imaginer des réponses plus satisfaisantes à cette question si urgente : comment faire advenir une société plus égalitaire, au-delà du blanc et du noir ? En suivant un « antiracisme » tous azimuts qui excusait – voire, dans sa pire version, cautionnait ou même célébrait – le non-respect de la loi, la vengeance arbitraire et le désordre, avec pour conséquence de renforcer et de reproduire exactement les mêmes visions et réflexions limitées et superficielles que le racisme qu’il cherche ostensiblement à contrecarrer, nous avons fini par conjurer une réalité politique où, par une ironie terrible, une pluralité d’Etats-Uniens d’ethnicités variées s’est unie dans le rejet pur et simple de la notion même d’union. Thomas Chatterton Williams Ecrivain américain vivant entre New York et Paris, il est également journaliste pour The Atlantic et professeur invité au Bard College (Etat de New York). Spécialiste des questions culturelles, il a publié Une soudaine liberté. Identités noires et cultures urbaines (Grasset, 2019), Autoportrait en noir et blanc. Désapprendre l’idée de race (Grasset, 2021) et Summer of Our Discontent (« l’été de notre mécontentement », Knopf, non traduit) à paraître en 2026, chez Grasset.
-
Ça dépend ce que tu veux faire avec. Si c'est un penetrateur tu as intérêt a avoir de la vitesse. Idéalement mes APFSDS ont un plafond de performances autour de 1700m/s par exemple au delà on ne gagne rien voir on perd en pénétration. En dessous on perd rapidement en pénétration. Si le but et d'avoir un penetrateur cinétique la vitesse est un élément clef. Sur les Scalp-EG lent on a été contraint de mettre un penetrateur pyrotechnique en plus par exemple. Les MdCN ont me meme penetrateur cinétique que le Scalp-EG mais sans le penetrateur pyrotechnique qui ouvre la voie la performance est nettement moins bonne - ça devient un simple bombe pénétrante de 250kg -. Si sur le CPS on s'exonére d'un penetrateur pyrotechnique grace a la vitesse, on aurait l'effet d'une bombe de 500kg plus ma pénétration du Scalp-EG - au moins peut être plus -. Ça commence a causer. En cas d'attaque par le haut de la piste d'envol d'un porte avion faire un gros trou dansa piste blindée avec la vitesse puis exploser à 500kg dans les profondeurs du Hangar ça peut faire double bobo. Piste inutilisable... Et incendie à bord dans des vastes locaux plein de truc qui brûlent bien.
-
Israël et voisinage.
g4lly a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
Ou comment déporter proprement les Palestiniens... -
Seul une des tourelles AGS est convertie ? Que devient l'autre ? La tourelle arrière ? L'espace est laissé vacant ?
-
La souveraineté numérique est-elle possible ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de Shorr kan dans Economie et défense
Payconiq va juste être intégré dans le projet Wero comme solution de paiements aux commerçants, solution dont Wero manquait - il passait par le réseau de TPE CB -. https://fr.wikipedia.org/wiki/Wero Wero à déjà intégré PayLib la solution d'échange d'argent entre particulier, ou avec de petits commercants sans TPE. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
-
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
-
Innovations dans l'aéronautique/aviation civiles
g4lly a répondu à un(e) sujet de Skw dans Aviation de ligne, d'affaire...
Il s'agit d'un moto-planeur qui monte autant avec les courants ascendant lié à la chaleur et la géographie ... qu'à sont moteur alimenté par PV et batterie. Certes le courant chaud ascendant sont "solaire", autant que le vent contre le relief ... mais on est pas tout à fait dans une solution commerciale pou des voyageurs. Meme avec la grosse batterie l'engin ne volera très sagement en pallier qu'un peu moins d'une heure. 28kWh ... pour 50kW installé - certes en croisiere on n'appelle pas Pmax, mais plus que 50% -- 56 réponses
-
- 1
-
-
- innovations
- développement
-
(et 2 en plus)
Étiqueté avec :
-
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
retaliation =>deterrence by punishment -
La souveraineté numérique est-elle possible ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de Shorr kan dans Economie et défense
Ce n'est pas un tiers de confiance unique, c'est un tiers de confiance commun, tu as parfaitement le droit d'en utiliser un autre. En Europe il faudrait que la BCE sorte de ses statuts et propose un service commerçant à destination des citoyens directement. Ce n'est pas son role à la base, dans notre doctrine libérale - celle de l'UE - c'est aux acteurs privé de rendre ce genre de service. En gros idéologiquement c'est pas vraiment naturelle dans l'UE ce genre de proposition, c'est un truc de bolcho. D'autant qu'il existe déjà une issue portée par la commission https://fr.wikipedia.org/wiki/European_Payments_Initiative -
La souveraineté numérique est-elle possible ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de Shorr kan dans Economie et défense
Parce qu'ils servent de tiers de confiance dans le contrat entre toi et le commerçant !!! -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Pour le moment les portée "modeste" - 1000km - et les charge militaire faible - 20 ou 30kg ? - n'ont pas eu d'effets particulierement notable sur le cours de la guerre ... ... les ukrainiens veulent tenter leur chance, en passant au niveau supérieur de la dissuasion conventionnelle, 1t et 3000km. S'ils n'essaient pas ils ne sauront pas. -
On a eu droit à un assaut robotisé sur Vesele hier ou avant hier ... le Vesele au nord est de Pokrovsk. J'ai vu des robot mortier - genre LGI multiple - et des robots mitrailleur - avec de la grosse mitrailleuse genre KPV -. A priori c'était plutôt de téléopéré ... on a pas trop de détail, mais c'était inhabité et chenillé léger.
- 263 réponses
-
- robot
- armée française
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
g4lly a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Quelles mines? Celles de charbon? -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Je ne pense pas que les ukrainiens soient complétements cons. S'ils les produisent il doivent bien avoir une petite idée derriere la tete quant à une doctrine d'usage un peu robuste. Pour le moment leur anciens drones à réaction ont réussi à traverser la Russie pour taper des bases au nord, sans être plus inquiété que cela ... et ce n'était pas des drones particulièrement discret. Certes plus petit - taille Scalp - mais pas discret pour un sous. Il n'y a pas de raison que les RETEX sur les différents bombardements de la Russie n'aient pas était longuement analysé. Jusqu'à maintenant les Russe ont été absolument incapable de tenir une défense barrière face à l'Ukraine ... on a meme eu des bombardements de Moscou. Je doute que cela change par magie. Pour le "suivi de terrain" je doute que ce soit essentiel. La Russie est un espace lacunaire, il suffit d'une navigation un peu précise, pas trop haut pour passer entre les mailles laches du filet. Une mission préparée sur des donnée carto 3D propre devraient bien suffire. Il faudrait regarder de près les tactique employer, l'usage de leurre etc. pour voir le niveau d'élaboration et de complexité de ce genre de bombardement stratégique, mais pour le moment cela réussi bien aux ukrainiens.