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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. C'est un programme intérimaire de remplacement de l'Humvee pour l'Afghanistan, a priori il sera équipé de 12.7 et peut etre de LGA40. Sinon a vu de nez les vitre fond dans les 12cm d'épaisseur ... donc probablement un stanag niveau 4 ou pas loin. Le chassis est celui des MTVR, seule la cabine est nouvelle est bénéficie des techno développé pour JLTV, ainsi d'une architecture MRAP. Mais on parle ici d'un engin de 14t ... en gros de la taille d'un Aravis ... mais avec juste 4/5 places :) Engine: Caterpillar C7, 370 hp Transmission: Allison 3500 SP Transfer Case: Marmon Herrington Axles: Oshkosh® MTVR Suspension: TAK-4® independent Suspension (Durability) Profile: 70% off-road/30% on-road Seating Capacity: 4 passengers + 1 gunner GVWR: 32,500 lbs. (14742 kg) Payload Capacity: 4,000 lbs. (1814 kg) Maximum Speed: 65 mph (105 kph) Cruising Range: 320 miles (515 km) Transportability: C-130, CH-53, CH-47 Tires: Michelin 395/85R20 XZL Fording Depth: 36 in. (914 mm) Armor: Plasan Composite C4ISR: SYNEXXUS Electronic Keel
  2. J'ai regardé la source :) Les 80m c'est avec le SA activé visiblement je vois pas d'autre explication ... la question c'est quand on t il fait des test avec le SA activé récement ... Les 10m c'est sans. Etonnament moi j'ai plutot autour de 2m en Europe avec un GPS topo. En mode différentiel prés de la source on tombe autour de 2cm voire moins. A noté que les armements type AASM sont en mode différentiel avec le lanceur... donc avec un avion bien calé on doit obtenir facilement une précision centimétrique de positionnement - normalement le radar de suivi de terrain permet de recalé la centrale inertielle sur les donnée carto, le GPS si disponible aussi, enfin le pod de désignation/observation permet de faire un calage relatif cible/porteur et accessoirement de recaler le porteur sur une position géographique précisément connu -
  3. Bah oui mais sinon c'est plus du jeu ... c'est trop facile a trouver.
  4. Moi je vois pas 80m ... je vois 16m
  5. g4lly

    [Turboprop] de combat

    http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3a9533092c-0324-46b0-a70a-666775b1767e There’s little doubt that the wars in Iraq and Afghanistan have made Joint Terminal Attack Controllers, the air force personnel that hang out with ground troops to help direct air strikes against enemy forces, among the most sought after assets. Now, the Royal Australian Air Force want to help boost its capabilities in this area. To that end, the service has re-established No. 4 Squadron at RAAF Williamtown, where it will train forward air controllers. Those troops will do more than just JTAC duty, but also be able to act as airborne FACs. The unit brings together what was the RAAF's Forward Air Control Development Unit (FACDU) and the service’s Special Tactics Project. No. 4 squadron is to comprise around 60 troops and will operate 4 PC-9s, the RAAF says. The initiative gives more weight to an effort that actually began already last year to increase Australia’s FAC capabilities. RAAF chief of staff, Air Marshal Mark Binskin, notes that his service “has deployed Forward Air Controllers in operations dating back to Vietnam, but the re-establishment of 4 Squadron and the enhancement of the specialist capability represents the next evolution in integrated air and land operations.”
  6. La question c'est quel interet? Sinon des puce mixte GPS Glonass sont dispo depuis 1 an environ, mais je suis pas sur qu'on ait vu un grand intéret a les intégrer dans nos armes. Peut etre les prochaines disposerons de puce mixte parce qu'il n'y aura que ca de dispo :) Pendant leongtemp le WGS84 et le référentiel russe PZ90 n'était meme pas compatible ... ou du moins les fonction de transfert n'était pas connu. On risquait pas d'utiliser les deux conjointement sauf a bosser sur des carto russe :lol:
  7. http://moreas.blog.lemonde.fr/2009/06/25/de-la-criminalite-organisee-aux-violences-en-bande/ Les lois pour lutter contre l’insécurité s’empilent l’une sur l’autre à une cadence telle qu’on se demande comment les magistrats s’y retrouvent. Et de plus en plus, elles dérogent au droit commun. Byzantinisme ou problème nouveau ? Autrement dit, notre pays, notre monde, a-t-il vraiment sombré dans la délinquance, le crime, le terrorisme… au point qu’il faut à tout prix le sauver de lui-même ? Depuis plus de 20 ans, les procédures dérogatoires au droit commun se sont multipliées. Ainsi, pour lutter contre le terrorisme, en 1986 on voit apparaître dans le Code de procédure pénale la notion d’infractions « en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur ». Le texte prévoit notamment un allongement de la durée de garde à vue et adopte la Cour d’assises sans jury. Quelques années plus tard, la loi du 16 décembre 1992 reprend ces procédures pour le trafic de stupéfiants et le proxénétisme. Mais peu à peu, au plan international, une idée s’impose : Il ne peut y avoir de lutte efficace contre ces deux fléaux sans prendre en compte la notion de réseaux organisés. Et la plupart des États renforcent alors leur législation pour lutter contre les infractions commises par ces réseaux : blanchiment, corruption, enlèvements, meurtres, séquestrations… À la suite du Conseil européen de Dublin réuni les 13 et 14 décembre 1996, le premier programme d’action relatif à la criminalité organisée est adopté le 28 avril 1997. En France, les procédures dérogatoires deviennent monnaie courante. Prises souvent sous le coup de l’émotion, elles se veulent parfois ponctuelles, mais dans les faits, elles survivent toujours à l’événement. Ainsi, après les attentats du 11 septembre 2001, le Parlement adopte une série de dispositions dérogatoires pour une durée limitée, visant la lutte contre le terrorisme : contrôles d’identité et visites de véhicules, perquisitions sans le consentement exprès de la personne en enquête préliminaire, ou hors des heures légales pour certaines infractions, etc. Toutes les dispositions temporaires adoptées ont par la suite été pérennisées. La loi du 9 mars 2004, dite Perben II, crée une nouvelle procédure dérogatoire spécialement conçue pour lutter contre la criminalité organisée et applicable à un large champ d’infractions (articles 706-73 et 706-74 du CPP) : le terrorisme, le trafic de stupéfiants et le proxénétisme mais aussi des infractions d’atteintes aux personnes, aux biens ou à l’État et à la paix publique. Toutefois, dans de nombreux cas, ce n’est pas l’infraction qui est visée mais une circonstance aggravante : la bande organisée. Si cette circonstance est retenue, le moindre délit devient punissable d’une peine de dix ans d’emprisonnement. Il reste à définir la notion de bande organisée. Or la jurisprudence française semble montrer qu’il ne s’agit pas nécessairement d’une criminalité organisée, contrairement aux recommandations du Conseil de l’Europe. En effet, la convention des Nations Unies donne cette définition du « groupe criminel organisé » : « Un groupe structuré de trois personnes ou plus existant depuis un certain temps et agissant de concert dans le but de commettre une ou plusieurs infractions graves ou infractions établies conformément à la présente convention, pour en tirer, directement ou indirectement, un avantage financier ou un autre avantage matériel ». Donc : - Au minimum 3 personnes… - Une certaine durée… - Une action groupée… - Des infractions graves ou définies par la Convention… - Dans le dessein d’en retirer un avantage financier ou matériel. Chez nous, on s’éloigne nettement de cette définition. On ne retient en effet ni la durée ni l’objectif matériel ou financier ; et surtout on applique la notion de bande organisée à des délits qui n’ont rien à voir avec des infractions graves ou celles qui sont définies par la Convention. Aujourd’hui, il semble que l’on ait franchi un échelon de plus en punissant le simple fait d’appartenir à une bande, même si l’on n’a commis aucun délit – et même si la bande n’a commis aucun délit, puisqu’il suffit d’un ou plusieurs faits matériels dans le but de commettre des violences contre des personnes, ou dans le but de commettre des destructions ou dégradations de biens. Ce qui pose le double problème de la responsabilité collective et du délit d’intention. Et sur le plan pratique, du renversement de la preuve, car il appartiendra au « suspect » de prouver qu’il ne connaissait pas les intentions délictueuses de ses amis. On peut se demander quel sera l’avis du Conseil constitutionnel ! En 1980, la droite croyait sans doute que la sécurité était un bon cheval de bataille. Et en décembre de cette année-là, malgré de nombreuses manifestations, la loi dite « Sécurité et Liberté » présentée par le garde des Sceaux Alain Peyrefitte est adoptée par le Parlement. Elle étend les prérogatives de la police en matière de flagrant délit et de contrôle d’identité, ainsi que celles du Parquet, et réduit notablement les droits de la défense. Quelques mois plus tard, François Mitterrand gagne les élections présidentielles. Les Français rêvaient sans doute d’autre chose que de sécurité… Mais entre ne pas faire et Defferre, en quelques années, les socialistes cassent la mécanique policière et perdent toute crédibilité en matière de sécurité. Une autoroute pour la droite… Mais qui sait de quoi nous rêverons en 2012 ?
  8. g4lly

    Ici on cause fusil

    Je suis toujours dubitatif avec c'est systeme batard. Pas convaincu qu'il vaille pas mieux deux armes séparé d'autant que le canon de 20 et le mini FA5.56 non pas du tout le meme domaine d'usage. On a un canon de 20mm qui porte probablement pas loin du kilometre en cloche, et un mini FA qui doit pas etre tres efficace au dela de 200m ... Si on veut un canon de 20mm ou 25mm le plus simple serait une architecture a pompe semi auto avec les pelo en ligne, version bullpup. Avec comme backup un CPW. Suffit de voir l'efficacité du couple RPG ... AK47
  9. Pourquoi donc??? Le renseignement criminel se pratique partout ... ou on prend la menace criminel au sérieux, il se trouve qu'en France on préfere utiliser la police a autre chose. Tant pis pour nous. Bah ... les moyens ca se trouve, c'est surtout qu'on veut pas se les donner. En meme temps c'est aps en réduisant le nombre de policier et de gendarme est en laissant le budget justice ou niveau minable ou il est - le plus bas de tout l'UE par justiciable - qu'on arrivera a quelques choses. Et la technologie ne réglera pas le probleme d'effectif comme on aimerait nous le faire croire. Dans le Leclerc si la police n'est pas la phusiquement rapidement ... on aura beau y mettre tous les bidule electronique qu'on voudrait ils pilleront quand meme, et la proximité du public interdit des solutions radicales - comme la fermeture des grilles -. Comme pour le terrorisme et autre la solution c'est le renseignement en amont pour savoir qui fait quoi ou et comment, apres il est assez facile de recouper les fait et les meneurs et de trouver de concordance avec les élement de preuve. Faut arreter avec les truc de bisounours moraliste, délinquant impuni, victime pas vengé toussa. La justice n'est pas la pour venger qui que ce soit, et les victimes sont la derniere roue du carrosse. La justice est la pour protéger l'état ... et la police pour faire cesser le trouble a l'ordre publique. Il se trouve que la police était pas là - Effectif, patrouille a 4 dans la meme bagnole etc. - et donc qu'elle n'a pas pu en arreter un - souvent ca suffit pour avoir toute la bande -. La justice quand a elle interviendra plus tard, pour faire en sorte d'essayer d'enlever l'envie de recommencer a ceux ci et aux autres. Le probleme étant qu'avec si peu de moyen elle "passe" tres tard, et n'a pas les moyen de faire appliquer les peines. Bah c'est ce qu'ils se passent de puis des année et y a pas de raison que ca change... Si t'es pas content tu te paye une barraques dans un beau quartier :lol: C'est le principe de la ghetttoisation a l'anglosaxonne chacun chez soi. C'est pas en accumulant des cas sociaux et prédélinquant dans des quartier pourris qu'on produit des anges :lol: et les quelques anges qu'on produit se casse du quartier pourrit aussitot que possible. Reste juste les casse couille et ceux qui on nul part ou aller ... tant pis pour eux il avait mieux travailler a l'école! Sinon pour les mome turbulent il existe des mesure éducative d'éloignement ... avec placement en foyer. Avec de bon éduc ca peut marcher. Encore faut il qu'il y ait des place etc.
  10. g4lly

    FREMM Grecques

    Ooooops i did it again ! :lol:
  11. http://www.cnis-mag.com/espionnage-le-premier-barreau-d%E2%80%99echelon.html Espionnage : le premier barreau d’Echelon Un autre épisode de la guerre des ondes nous est raconté cette semaine par la CIA, dans une série d’articles récemment déclassifiés à lire comme un roman d’espionnage. Au lendemain de la guerre, les soviétiques décident de remplacer peu à peu leur réseau télécomm militaire en Allemagne de l’Est, essentiellement constitué d’émetteurs radio, par un maillage terrestre, aérien et sous-terrain. Ces câbles acheminaient les communications téléphoniques en clair des forces armées, ainsi que les transmissions telex (tty) chiffrées. Les services de renseignements américano-britanniques décident alors de creuser un tunnel dans la région de Berlin, pour poser des « bretelles » et installer un centre d’écoute. Le récit factuel de la CIA, les souvenirs de l’ingénieur responsable du projet, l’ensemble des articles éclairant les plus grandes heures de la guerre secrète derrière la guerre froide sont à lire sur le site de l’Agence Gouvernementale. Le bilan de cette bataille n’est pas très clair. Les Russes étaient au courant du projet bien avant que le tunnel ait été percé, grâce Georges Blake, l’une des nombreuses taupes pro-soviétiques qui ont infesté le MI6 et la CIA durant des décennies (Philby, Burgess, Ames, Hanssen et tant d’autres). C’est précisément pour protéger la couverture de Blake que les Russes se « laisseront espionner ». Mais plus qu’un semi-échec, cette opération –et la minutie technique avec laquelle elle a été conduite – est un épisode témoin du formidable outil d’espionnage de toutes les voies de communication par l’alliance BrUSA (Britain USA), qui deviendra plus tard UKUSA et dont le principal enfant s’appellera Echelon.
  12. g4lly

    FREMM Grecques

    http://www.forbes.com/feeds/afx/2009/07/02/afx6612292.html ATHENS, July 2 (Reuters) - Greece struck a 400 million euros ($564 million) deal with France to buy 15 Super Puma search-and-rescue helicopters, which are made by EADS, a senior Greek defence ministry official said on Thursday. 'The government has decided to buy 15 Super Puma ( PMMAF.PK - news - people ) helicopters for 400 million euros after talks with France,' the official, who declined to be named, told Reuters. Article Controls The deal was clinched at the end of June, the official said. Greece and France started talks on the Super Puma helicopters as well as over six Fremm-type frigates earlier this year. 'Talks to buy the frigates are ongoing,' the official said. Simmering tensions with neighbouring Turkey have kept Greece's defence budget high.
  13. Y a deux signaux multiplexé le C/A libre qui permet a lui seul une précision actuellement de l'ordre de 3m grosso modo ... et le P(Y) un signal complémentaire crypté donc pas "spoofable" qui lui permet, seul, une précision de l'ordre de 30cm, en plus de la garantie d'intégrité du signal. Effectivement vu l'usage vital du GPS dans de nombreuse application, aéronautique marine etc., le glissement volontaire de signal GPS C/A n'est pas/plus utilisé meme en temps de guerre, meme localement. Du moins maintenant c'est officiel. Avant il est pas évident qu'il y ait eu souvent l'usage d'une dégradation volontaire du signal meme si c'était possible et sous entendu, en pratique j'ai rarement entendu dire in vivo un gros décalage GPS dans nos contrées. Au dela de ca il est possible d'utiliser des technique différentielle ou multidifférentielle qui permet sous réserve d'avoir une référence topographique précise d'obtenir une précision quasi millimétrique au alentour. En travaux publique par exemple les station GPS différentielle fournissent depuis des année des mesure centimétrique basé sur le signal publique. Apres c'est interessant ces solution centimétrique ou millimétrique uniquement si on dispose d'une cartographie aussi précise de l'endroit. En France on a la chance d'avoir des gens de grand talent qui nous produise des carte d'une précision "infinie" mais ce n'est pas le cas partout. Donc la mise en relation des réferentiels GPS vers carte et inversement n'est pas forcément d'une grande précision. Lors d'un tir si celui ci et ciblé non pas d'un relevé carto mais insitu via un observateur et son GPS ... on se retrouve dans un situation différentiel ... le décalage du GPS de l'observateur etant semblable au décallage du GPS de l'arme ... pour un lieu donné a un moment donné. Et donc la précision est forte voir tres forte ... du moins au dela de la précision du guidage aero de l'arme, et probablement semble aux capacités de relevé topo de l'oservateur - je suis pas sur que nos unité soient toute capable de faire des relevé topo centimétrique a plusieurs centaine de metre de leur position et sous le feu :) -
  14. Ils ont essentiellement des systeme SACLOS a l'ancienne, avec filoguidage ou radioguidage, suivi laser etc. Le cout est bien sur infiniment moins cher ... et compense une légere inefficacité compéré a des solution avec des surface de guidage et des autodirecteur moderne.
  15. g4lly

    Les Frégates de la Royale

    http://jdb.marine.defense.gouv.fr/post/2009/07/02/Exercice-Varuna-sur-le-%22lv-le-h%C3%A9naff%22 Dans le cadre de l’exercice franco-indien qui se déroule au large des côtes françaises, nous recevons actuellement un officier de liaison de la frégate indienne « Delhi », le capitaine de corvette Harish. C’est l’occasion d’en savoir un peu plus sur cette jeune marine qui monte en puissance et se déploie de plus en plus loin. Dans le cadre de l’exercice franco-indien qui se déroule au large des côtes françaises, nous recevons actuellement un officier de liaison de la frégate indienne « Delhi », le capitaine de corvette Harish. C’est l’occasion d’en savoir un peu plus sur cette jeune marine qui monte en puissance et se déploie de plus en plus loin. Pouvez-vous commencer par vous présenter ? Je m’appelle Harish et je suis l’officier chargé de la lutte anti-missile sur la frégate indienne Delhi basé à Bombay sur la côte Ouest de l’Inde. Je suis rentré en 1997 dans la marine indienne et ai embarqué sur 5 bâtiments différents au cours de ma carrière où j’occupais différentes fonctions dont celle d’officier chef de quart. D’autre part, je suis originaire de Chennai (la quatrième ville d’Inde) à 800km de la ville de Bombay. Aujourd’hui, je suis marié et n’ai pas d’enfant. Pouvez-vous nous expliquer dans quel cadre à lieu Varuna ? Varuna est un exercice franco-indien dont l’objectif principal est d’augmenter l’interopérabilité entre les deux marines. Cela s’inscrit dans une mission longue (3 mois) puisque nous avons également conduit des exercices avec la marine anglaise, italienne, turque et Saoudienne. Mais Varuna est le second exercice en importance et cet exercice est très important pour nous puisque notre venue en océan atlantique est plutôt rare (nous sommes plus habitués à des missions de 1 à 2 mois). Pourquoi avez-vous embarqué sur un bâtiment français pour cet exercice ? Le principal objectif de ma présence est d’observer la façon dont la marine française opère et mène les différents types d’exercice. Que pensez-vous de notre façon d’opérer ? Est-ce différent des procédures indiennes ? La marine française opère d’une façon très professionnelle et efficace. J’avais déjà pu observer cela l’année dernière quand j’ai embarqué sur le Courbet. Ce bâtiment est plus ancien mais est très bien entretenu et confirme ce sentiment que j’avais eu. Une des différences entre la marine indienne et française est le niveau des responsabilités confiées aux officiers mariniers notamment. Sur le Delhi la plupart des fonctions à responsabilité sont conduites par des officiers (au nombre de 35 sur le Delhi). Comment avez-vous été reçu à bord ? Les membres de l’équipage ont tous été très chaleureux et accueillants. Le fait que ce soit un petit bâtiment a facilité mon intégration et fait que je me sens très bien à bord. Que pensez-vous des conditions de vie à bord ? Ma cabine est très confortable et je trouve que les conditions de vie sont bonnes étant donné la taille du bâtiment. Merci Harish
  16. g4lly

    Bonjour tout le monde

    C'est l'été ;) et le bleu du forum attire comme le bord de mer :lol:
  17. http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/07/gendarmerie-.html Le chef d'escadron Jean-Hugues Matelly, bien connu dans la Gendarmerie nationale pour ses positions critiques, est "envoyé devant un conseil d'enquête" à la suite des propos qu'il a publiquement tenus dans les médias à trois reprises. Cette mesure l'expose à être radié des cadres, c'est-à-dire exclu de la Gendarmerie. Selon Jean-Hugues Matelly : "l'envoi devant un conseil d'enquête est le niveau disciplinaire maximal, habituellement utilisé contre des militaires parallèlement mis en cause devant les juridictions pénales, parce qu'auteurs de crimes ou délits. C'est dire à quel point la possibilité d'exprimer un avis critique est ici "criminalisée". Pour la direction de la Gendarmerie, l'officier a "commis un manquement grave à l'obligation de réserve", comme l'indique le document que nous publions ci-dessous. "Un tel comportement est contraire à la déontologie et à l'éthique militaire" poursuit la Direction générale de la gendarmerie nationale. A côté de ses fonctions d'officier, Jean-Hugues Matelly est chercheur associé au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (Cesdip) du CNRS. Le Cesdip est dirigé par Laurent Mucchielli, un sociologue connu pour ses positions très critiques à l'égard de la politique pénale actuelle. Jean-Hugues Matelly est également très proche du forum Gendarmes et citoyens, un groupe qui réclame le droit d'association professionnelle pour les gendarmes. Le commandant Matelly est dans le collimateur de la Direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) depuis plusieurs années. Ce qui motive l'envoi devant un conseil d'enquête est la publication de deux articles (sur Rue 89 et Pouvoirs locaux), ainsi qu'un entretien sur Europe 1. Il y critiquait le rapprochement en cours de la Gendarmerie avec la Police, via son rattachement au ministère de l'Intérieur. Un texte actuellement débattu à l'Assemblée nationale. Au delà de la question très sérieuse de la liberté d'expression des militaires, le paradoxe de cette affaire est que, jusqu'à présent, le commandant Matelly exprimait des positions minoritaires dans la Gendarmerie, que ce soit sur la politique pénale ou le droit de se syndiquer. En revanche, ce qu'il dit des évolutions en cours est partagé par de très nombreux gendarmes, y compris chez les officiers. Et c'est pour ces propos qu'il risque maintenant d'être sanctionné.
  18. Les activité de police lié a la lutte, en amont, contre les réseaux criminel. Par opposition au renseignement politique et au contre espionnage. Le réseux "purement" criminels n'étant pas la menace la plus menacante pour l'état on a pendant longtemps concentré nos moyens sur le renseignement politique et le contre espionnage, délaissant le rensignement criminel. On a des kilometres de fiche sur tous les syndicalistes et pseudo subversif de France et de Navarre, les méchant bolchévique et autre révolutionnaire en devenir :lol: , mais pas grand chose sur les réseaux de criminalité non politisé. Actuellement c'est le contre-renseignement économique et industriel - donc le contre espionnage version privé - et le contre-terrorisme - donc le volet politique mais radical - qui drainent les ressources.
  19. Du renseignement criminel ... le parent pauvre de la police. Les bandes ne se créent pas ex-nihilo comme une flash mob pour aller piller une grande surface ;) Quand aux risques ils n'en on plus rien a foutre ... c'est un peu le probleme. C'est pas qu'il ne risque rien, il risque forcément ... il suffit que le patron du leclerc soit un peu remonté et qu'il allume les mec au 357, ou ou qu'un des pillard se blesse en cassant une vitrine ...perdre un gant etc. La justice laxiste, bof, encore faudrait il lui donner les moyens humains de bosser vite ... pour que la condamnation soit relativement proche du délit, pour que les peines puissent etre exécuté, toutes les peines - pas seulement l'incarcération, y a tout un tas de peine alternative bien plus pédagiogique - ... etc.
  20. J'ai eu oui dire que le Spike LR - 4000m + datalink - était un peu moins cher que le Javelin, par contre le MR - 2500m F&F - l'était beaucoup moins. Et comme le Javelin a grosso modo les spec du Spike MR ... forcément.
  21. g4lly

    Navires modernes et blindages

    @Tancrède Vu le prix des engin de test - on a du mal a en acheter aupres des US pour tester nos Aster30 sur le Forbin -, et la difficulté de s'approvisionner en munition live ennemies :) Il est pas évident de faire des tests grandeur nature. La seconde chose c'est que tester le matériel en manoeuvre multinationale pose le probleme de dévoiler sa techno ... donc la aussi on ne teste surement pas tout ce qui est actif. Le rest c'est de la physique et la qualité de son renseignement. Savoir de quoi est capable l'adversaire, et sur ce qu'on connait évaluer notre capacité a s'en défendre, pas forcément besoin de test grandeur nature, meme si c'est souvent mieux pour valider le démarche scientifique c'est malheureusement pas toujours possible aisément. Quelqu'un sait si les ASMP retiré du service vont servir de cible de test a nos missile par exemple? ou s'il vont etre recyclé autrement?
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