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Tout ce qui a été posté par g4lly
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NFH90 Caiman Marine Nationale et autres opérateurs marines
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Juste que dans le privé le résultat c'est le bénéfice ;) -
Nous on a les Socata TBM dans le meme genre. Pour le radar ... ... en bout d'aile un petit radar meteo
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A l'époque contre les attaque aerienne on montrait ses fesses et on zig zagé ... mais c'etait surtout des attaques a la bombe lisse ... De nos jour on montre le bout de son nez -plein gaz avec un angle qui va bien pour sortir du cone de l'autodirecteur - qui est plus furtif et qui permet de balancer les contre mesure de manieres optimales, c'est d'ailleurs pour ca que les canon de 76 des HZN sont là ou ils sont.
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Probablement ... Ya un widget inégré a vista d'origine pour ca ... mais il pioche les flux dans internet explorer ... en gros il faut "s'abonner" au RSS avec IE7 puis afficher le widget et choisir le flux. Je regarde si y en a des mieux.
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Protections balistiques individuelles.
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Matériel
Gneuh? Les plaque sont en céramique de nos jour ... ou laminé céramique titane ... le kevlar multicouche et donc "souple" c'est pour le gilet mais ca n'est que NIJ IIIA. Au dela faut mettre des plaque plus ou moins lourde devant ... derriere et sur les flanc. Pour les plaque souple je suis dubitatif parce qu'une des cause de mortalité n'est pas la pénétration ... mais la déformation. En gros sur un impact le thorax peut s'enfoncer de plusieurs centimètre. Déjà avec des plaque rigides qui distribuent la pression on a des enfonceement supérieurs a 4cm alors avec un truc qui se déforme naturellement ... Les dragon skin sont super encombrante a cause de ca ... pour limiter l'enfoncement le gilet derriere la carapace est assez épais et joue le role de diffuseur de pression résultat l'épaisseur sur le devant a l'air énorme. -
Le Hamas aurait lancé un C-802 depuis la cote de gazaa ... http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php?topic=2900.msg360485#msg360485
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Has Hamas Tested a C-802 Shore-to-Ship Missile off Gaza? Israeli military analysts have revealed what could become a formidable addition to Hamas' arsenal: The missile fired from Gaza out to the Mediterranean last week and shown on Israel TV as a Hamas display, was not a Qassam as reported but could be a modified version of a Chinese C-802, possibly an Iranian shore-to-ship Nur C-802 missile, which is based on the Chinese "Silkworm." A C-802 shore-to-ship missile was fired during the Second Lebanon War from Beirut beach hitting the rear section of the Israeli Navy Ship Hanit causing extensive damage. According to unconfirmed reports from a source close to Israeli intelligence, Iran has upgraded the C-802 in an important respect. Then, Hezbollah fully depended on the Lebanese army's sophisticated shorebased radar for accurate targeting of the Israeli warship. Experts believe that Iran's missile scientists have come up with a unique version that operates without radar - and has the attributes of a cruise missile: It has small radar reflect, is armed with a strong anti-jamming capability and can skim as low as 5-7 meters from the water's surface under the targeted ship's radar. If proved true, this could pose an extremely difficult challenge to Israel's naval and scientific community. The mysterious missile launch was shown on Israel TV with dubious explanation as a new Qassam rocket test after cease fire. But experts are investigating the images to find evidence of an unidentified land-to-sea weapon, which could be a version of the C-802. Although defense experts doubt that such a weapon, due to its size could have been smuggled into Gaza through the tunnel system, there have been rumors of more sophisticated ordnance having been floated to Gaza in watertight containers dropped out of reach from the Israeli naval blockade. Hamas is extremely concerned with latest Egyptian efforts to block the borderline at Rafah to tunnel smuggling, using sophisticated listening and scanning devices supplied by the US and Germany. The Mediterranean coast could become a suitable alternative, if an effective shore-to-ship weapon could be deployed and fired from a well concealed site, out of sight from the Israeli UAVs, challenging the Israeli naval surveillance by threatening them with such a sophisticated weapon system, which had already made its mark on the Israeli navy in 2006 . It was then launched by Iranian officers who are now allegedly training Hamas operatives in its use before delivering a small consignment. With its 120-km range and 165-kilo warhead, the C-802's mission would be to break Israel's 40 km blockade off Gaza's shoreline. This now seems the key objective of Tehran and the Palestinian Islamists in order to keep the ordnance supplies flowing into the depleted Hamas weapons depots, destroyed by Operation Cast Lead. Since 2006, military experts note, Iran has upgraded the C-802 in an important respect. Then, Hizballah depended on the Lebanese army's sophisticated radar for accurate targeting of the Israeli warship. For Hizballah and Hamas, Iran's manufactures have come up with a version that operates without radar. 1,000 missiles have already been delivered to Hizballah. Tehran claims its updated Nur anti-ship missile has 98 percent targeting effectiveness. No official denial or confirmation was offered. On a bien fait d'envoyer une frégate de surveillance sans defense antimissile dans le coin :lol: Entre les tigre tamoul et leur sous marin kamikaze ... et le Hamas et ses C-802 ... qui va encore me dire qu'un navire de surveillance n'a besoin ni de sonar de coque ni de défense de point potable ?!
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Protections balistiques individuelles.
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Matériel
Le probleme dans l'article ne vient pas des "plate carrier" textile mais des plaques elle meme, plaque qui peuvent provenir de différent formnisseur différent du fournisseur du "gilet" lui meme. -
Je mets ca ici vu qu'il s'agit de fichage et de controle ... Les temps de parole de Cali, Johnny Hallyday ou Doc Gynéco décomptés à la radio Depuis le 1er janvier, le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) demande aux radios nationales de décompter le temps de parole des personnalités politiques en dehors des périodes électorales, a révelé La Croix le 1er février. Si pour le CSA il s'agit d'un simple alignement sur la règle des trois tiers (opposition, majorité, gouvernement) imposée aux télévisions depuis 1986, certaines rédactions de Radio France "y voient une tentative subtile de reprise en main politique", rapporte le quotidien. Pour faciliter le travail de classement par les radios, le Conseil a établi une liste de 1 800 "intervenants politiques". Véritable Who's who du monde politique en France, cette liste comprend naturellement les noms de ministres, d'élus et de responsables politiques de tous bords. Plus étonnant, elle comporte aussi des noms de stars de la variété connus pour leur engagement. Johnny et Laetitia Hallyday ou Doc Gynéco sont comptabilisés comme "membres" de l'UMP, le chanteur Cali ou l'actrice Sophie Duez comme membres du PS. Les noms de Christian Clavier ou de Jean-Marie Bigard, connus pour leur proximité avec le chef de l'Etat, ne figurent pas dans la liste. Certaines personnalités ont visiblement posé problème. Bernard Kouchner, l'actuel ministre des affaires étrangères, est rangé tour à tour dans trois catégories : "ministre", "divers gauche" et "PS". Eric Besson est successivement classé dans la majorité et l'opposition. Pas toujours simple de s'y retrouver... La Croix fait état des inquiétudes au sein de la rédaction de Radio France après la mise en place de ce nouveau décompte. Laurence Bloch, la directrice adjointe de France Culture, aurait ainsi envoyé une lettre à ses collaborateurs, leur demandant de tenir compte de "tous les propos tenus, quelle que soit leur nature (politique, privée, de nature culturelle, culinaire ou tout autre). Autrement dit, c’est la qualité du locuteur qui compte et non la nature des propos". Désormais, avant d'inviter quelqu'un dont le nom figure sur la liste du CSA, les journalistes sont invités à demander l'accord de leur hiérarchie. Une directive dont l’intersyndicale des journalistes de Radio France, associée à la société des journalistes, demande de "ne pas tenir compte". Si meme La Croix s'inquiete :lol:
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[Somalie] Piège en haute mer pour des pirates au large
g4lly a répondu à un(e) sujet de Bill dans Actualités marines
Si si le méthanier est bien plein ;) -
En anatolie ??? "La défiscalisation des 'heures sup' a accéléré la hausse du chômage" La ministre de l'économie, Christine Lagarde, a annoncé, lundi 2 février, que le nombre de chômeurs avait augmenté d'environ 45 000 en France au mois de décembre. Eric Heyer, directeur adjoint au département analyse et prévision à l'OFCE, met en cause la politique de défiscalisation des heures supplémentaires mise en place par le gouvernement. "Inciter les entreprises à faire des heures supplémentaires alors qu'il n'y a plus d'activité est nuisible à l'emploi", estime-t-il. Dans quelle mesure cette hausse du chômage était-elle prévisible ? Eric Heyer : Une forte dégradation des chiffres de l'emploi est attendue au moins jusqu'au troisième trimestre de l'année 2009 , avec une augmentation du chômage plus légère au quatrième trimestre. Le taux de chômage devrait alors être proche de la barre des 9 % au début de l'année 2010. Mais si nous nous attendions à une hausse, nous ne pensions pas qu'elle serait aussi forte. Comment expliquer cette hausse ? Eric Heyer : Essentiellement en raison du fort ralentissement de l'activité. Mais si on est un peu surpris, c'est parce que traditionnellement, la répercussion de la baisse de l'activité se fait en trois temps. Il y a un premier temps où les chefs d'entreprise ne licencient pas et préfèrent jouer sur la durée du travail : ils font appel au chômage partiel et réduisent fortement les heures supplémentaires. Dans un deuxième temps, quand la crise s'installe un peu plus durablement, ils ne renouvellent pas les intérimaires et les CDD. Et dans un troisième temps, ils font des plans de licenciements. On constate aujourd'hui que le premier temps a été très rapidement passé car il n'y a pas eu beaucoup d'ajustements sur la durée du travail. L'Insee nous indique même qu'il y a une augmentation des heures supplémentaires au cours de la période récente. Ce recours aux heures supplémentaires n'est-il pas paradoxal ? Eric Heyer : La loi TEPA de défiscalisation des heures supplémentaires votée l'année dernière explique en partie cette situation. C'était sans doute une idée qui pouvait être soutenable en période de croissance durable et de baisse massive du chômage, mais c'est une politique néfaste en période de crise économique et de forte augmentation du chômage. Inciter les entreprises à faire des heures supplémentaires alors qu'il n'y a plus d'activité est nuisible à l'emploi. On ne peut pas en vouloir à l'équipe dirigeante de ne pas avoir anticipé la crise économique de 2008, mais dans la mesure où la crise est maintenant bien là, elle aurait du rectifier le tir en mettant entre parenthèses cette loi TEPA. Dans quelles proportions cette loi a-t-elle joué sur la hausse du chômage ? Eric Heyer : Même sans cette loi, le chômage aurait augmenté : la loi TEPA vient juste rajouter du chômage au chômage. Il augmente sans doute un peu plus rapidement que dans les ralentissements précédents, en partie parce qu'il n'y a pas eu le rôle amortisseur de la durée du travail. Comme les heures supplémentaires n'ont pas été réduites, l'emploi joue le rôle d'ajustement à cette crise. Les différents plans de licenciements annoncés sont-ils pris en compte dans cette hausse du chômage ? Eric Heyer : Nous n'en sommes pas encore là. Pour l'instant, les arrêts d'intérim et les fins de CDD expliquent pour l'essentiel cette augmentation, ces contrats étant utilisés comme une variable d'ajustement. Le nombre d'intérimaires a doublé au cours des dix dernières années, il y en avait 300 000 en France en 1999, entre 600 000 et 700 00 aujourd'hui. Il y a également beaucoup plus de CDD courts de moins de un mois. A la fin des années 1990, 37 % des contrats étaient de moins de un mois, maintenant c'est 57 %. Quel va être, à votre avis, l'impact sur l'emploi du plan de relance annoncé par le gouvernement ? Eric Heyer : Le plan de relance ne va pas agir rapidement sur les chiffres du chômage, parce qu'on joue sur de l'investissement. Il n'y aura un impact sur l'activité que dans la deuxième moitié de 2009. Au cours du premier trimestre de l'année, il n'y aura pas vraiment de soutien d'activité, ça ne sera pas suffisamment massif et le chômage va continuer à augmenter.
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[Afghanistan] Archive
g4lly a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
http://ricks.foreignpolicy.com/posts/2009/01/28/inside_an_afghan_battle_what_happened_at_wanat_last_july_i Inside an Afghan battle gone wrong: What happened at Wanat? Just before dawn last July 13, Taliban fighters attacked an outpost in eastern Afghanistan being established by U.S. Army soldiers and fought a short, sharp battle that left many American dead -- and many questions. But the U.S. military establishment, I've found after reviewing the Army investigation, dozens of statements given by soldiers to investigators, and interviews with knowledgeable sources, simply has not wanted to confront some bad mistakes on this obscure Afghan battlefield -- especially tragic because, as the interviews make clear, some of the doomed soldiers knew they were headed for potential disaster. First, here's my account of what happened that day, drawn from the official investigation and other sources: The 45 Americans, mainly from 2nd Platoon, Chosen Company, 2nd Battalion, 503rd Infantry Regiment, part of the 173rd Airborne Brigade, had begun building a patrol base in the Waygul River valley village of Wanat on July 8. There also were three Marines present, who were training Afghans, and 24 soldiers from the Afghan army. (The initial Army report said two Marines, but subsequent documents corrected this.) The platoon's leader was there the whole time, but the company commander was busy elsewhere and only arrived the day before the attack. None of their superiors visited the outpost during that time. Significantly, there was no overhead surveillance by unmanned aerial vehicles because of bad weather, according to Army documents. At 4:20 a.m., just before sunrise, volleys of rocket-propelled grenades began to hit the base. There were approximately 200 attackers, according to the Army investigation. They began by concentrating on the American's heavy weapons -- a 120 millimeter mortar, a TOW missile system, and a .50 caliber machine gun. It felt like "about a thousand RPGs at once," Spec. Tyler Hanson later told an Army interviewer. With the first two heavy weapons knocked out, the Taliban moved in to fight just feet away from the Americans, making it difficult to call in air strikes against them. Enemy fighters threw rocks into their Americans' fighting holes, apparently hoping they soldiers would mistake them for grenades and jump out, exposing themselves to fire. Enemy fire was coming from every direction. "The whole time we were thinking we were going to die," said Spec. Chris McKaig. Many did. When most of the fighting was over, about an hour later, nine American soldiers were dead and another 27 were wounded. Between 21 and 52 of the attackers were killed. The Americans held the outpost, which is impressive, considering their 75 percent casualty rate. ... La Suite http://ricks.foreignpolicy.com/posts/2009/01/28/inside_an_afghan_battle_what_happened_at_wanat_last_july_i L'enquete est en 5 parties ... -
S'il faut on peut mettre un radar meteo sur le bord d'attaque de l'aile au niveau d'un pylone. Mais les radar meteo c'est tout petit.
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Gneuh une missile rasant qui coupe le secteur avant ... coupe aussi le radio guidager du crotale ?!!! nan pas possible qu'il faille manoeuvrer pour garder la cible dans le bon secteur ... ca conduite de tir avant permet forcement le guidage. D'autant qu'en cas d'attaque par missile la procédure et de se mettre face a la menace.
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Y a quoi qui fait forcément 15t dans ta liste ?
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[Iran] projet nucléaire et conséquences / Archive
g4lly a répondu à un(e) sujet de juanito dans Politique etrangère / Relations internationales
Les 100mm francais etait les canon standard de la marine ... sur les derniere frégate on a acheté des 76. La différence l'encombrement et la masse de l'installation :) Le 76 coute moins cher prends moins de place et tir plus rapidement. Le 100 ou plus ... tir plus loin, plus gros. Plus l'obus est gros plus il est facile d'y inclure des dispositif "intelligent" et plus la charge militaire est grosse, en contrepartie on embarque moins d'obus et on a une cadence de tir moins élevé. Je ne pense pas qu'il y ai des obus guidé a moins de 76mm ... pour l'amorce radio pareil je suit dubitatif sur les moyen calibre. Donc oui plus l'obus et gros plus il emporte de flechettes ... et comme le volume evolu grosso modo au cube du calibre ... le 100mm aura 2.3 fois plus de ferraile a larguer que le 76. Reste que la cadence du 100 n'est pas de 120cps minute ... et que la ferraille qu'on gagne d'un coté on la perd de l'autre. Reste pour le 100 une portée supérieur et une moindre incidence de la météo. -
Sinon y a ce plugin de firefox qui fait ca tres bien https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/3006
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[Guerre insurrectionnelle] Guerilla, Embuscades, IED...
g4lly a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
http://militaire.wordpress.com/2008/08/23/embuscade-afghanistan-soldats/ Les embuscades en Afghanistan en 10 leçons Aperçu rapide des tactiques utilisées. 1. Les routes et cols de montagnes ont toujours été des lieux de prédilection pour tendre une embuscade. Depuis l’époque de leur confrontation avec les unités soviétiques les afghans ont appris à éliminer dés les premières secondes d’une embuscade les véhicules de commandement ou le responsable de l’unité. L’objectif est de désorganiser rapidement l’unité ciblée en perturbant, la chaine d’information (voire les transmissions) et de commandement en empêchant le ralliement des hommes pris sous le feu. Remarquons que l’installation de moyens de transmission redondants dans des véhicules blindés permettent de minimiser le risque d’une perte totale de transmission car les afghans ont peu de moyen de brouillage des transmissions. 2. Cette action est rendue possible par un travail de renseignement classique par l’observation systématique de la composition des colonnes aux points de passages obligatoires. 3. Les embuscades afghanes sont toujours caractérisées par un maximum d’effort pour créer la surprise. 4. La sélection méticuleuse du lieu d’embuscade est toujours associée à des positions d’embuscades bien retranchées et bien camouflée. 5. Un itinéraire de retraite bien préparé est toujours en place et couvert par une équipe dédiée. 6. Utilisation rapide de frappes multiples (début, milieu et fin de colonne) pour immobiliser l’unité visée dans la zone de tir est systèmatique. 7. Lorsque l’axe de progression est piégé, les possibilités de contournement ainsi que les éventuels axes secondaires praticables, comme l’on chèrement appris les soviétiques en leur temps. 8. Contre les patrouilles, autrement dit des forces de taille moyenne, le schéma privilégié est l’embuscade suivant le modèle du marteau et de l’enclume. Dans ce cas, seul un entrainement de coordination exemplaire associé à une bonne préparation psychologique des conducteurs permet de limiter les dégâts. 9. Le survol de l’Afghanistan est très éprouvant pour les hélicoptères les plus modernes. Seuls les appareils rustiques comme les Chinook et autre Mi8 supportent les heures des vol avec un taux de réparation acceptable. 10. Dans ces montagnes, les avions ne peuvent se substituer aux hélicoptères : car ils sont incapables de soutenir une contre-attaque. Et en cas de terrain inaccessible, ils ne peuvent mettre en place un groupe feu sur un surplomb avec un lance grenade automatique pour traiter les personnels restant. Ce théatre d’opération est très exigeant, ainsi aucune unité ne résume sa préparation avant un départ à juste vérifier les véhicules et l’armement après un briefing en sept langues différentes… Cet article est loin d’être exhaustif, aussi n’hésitez pas à me faire part de vos remarques ou questions. -
[Guerre insurrectionnelle] Guerilla, Embuscades, IED...
g4lly a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
http://militaire.wordpress.com/2009/01/17/prevention-engin-explosif-improvise/ 8 mesures à prendre contre les IED Quels moyens pour améliorer la prévention ? Il doit exister des mesures visant à prévenir les risques en pertes humaines en supprimant ou en réduisant la probabilité d’occurrence des explosions liées aux engins explosifs improvisés. 8. Bien gérer ses déchets : imaginez une simple cannette de soda avec une DF et du fil de pêche et vous tenez un grand classique… Le traitement adéquat par le feu et le broyage est générallement bien appliqué. Néanmoins, dans nos secteurs d’opérations urbanisés, la gestion des ordures devient un problème stratégique aux ramifications multiples. 7. Veiller à emener un stock de munitions transportable: en cas de déplacement urgent nécessaire, seule la capacité d’emport normale pourra être utilisée, le reste devra être abandoné… Et sera récupéré et retourné contre vous. 6. Respecter les procédures de contrôle : toute consommation excessives au regard des règles d’engagement doivent faire l’objet d’une étude appronfondie. Il s’agit générallement d’un phénomène d’échelle, dont la responsabilité se situe au niveau du commandement. 5. Eviter le stockage des munitions jugées impropres : les personnels engagés par exemple, en cas d’embuscade, veulent être légitiment sûr que leur munitions soient en parfait état de fonctionnement. Néanmoins on a vu parfois des stockages important de munitions à cause de poussière de pierre incrustée, un corps un peu oxydé, ou une tête légerement aplatie. 4. Sécuriser les livraisons : un grand classique, une élingue qui casse, les munitions tombent éparpillées en plein désert… Lorsque l’équipe de récupération arrive, elle ne trouve que des caisses vides, voire… rien. 3. Prévenir la prolifération d’engins non explosés : un vrai dilemme pour les équipes d’appuie feu. Lorsque vous savez que des gars à vous sont bloqués, la tentation est grande de “lâcher tout ce que l’on a” sous la main. Néanmoins, cela pose un vrai problème. En effet, la probablité de produire des engins non explosés augmente avec le volume de tirs… 2. Mettre en place un programme civils : encourager concrétement les populations à “coopéerer”; une prime argent, nourriture… est générallement offerte pour toute information permettant de mener à un lieu de fabrication des EEI ou à leurs matières premières. 1. Rechercher et detruire les lieux de production : c’est le moyen d’action le plus direct de lutte. Il peut requérir des équipes spécialisement formées et affectées exclusivement à cette tâche. En effet, certains de ces lieux peuvent être dissimulés dans des souterrains ce qui posent le problème de l’intervention en milieu souterrain. Deux méthodes sont utilisées en synergie. D’une part, un travail de renseignement classique à partir : des documents trouvés sur un précédent site et des interrogatoires des personnels participant à ces opérations. D’autre part, un travail de profilage géographique classique pour anticiper et localiser d’autres points de production. Il n’y a pas de solution simple à ce problème, peut-être existe-t-il d’autre moyens de prévention pour compléter cette liste ? -
Quelques explication sur la localisation des com http://militaire.wordpress.com/2009/01/10/renseignement-d%E2%80%99origine-electromagnetique-1/ Renseignement d’origine électromagnétique (1) Où trouver les communications tactiques ? Ce renseignement discursif d’origine électromagnétique souffre clairement d’un déficit d’image. La nature immatérielle de l’information couplée à des plateformes technologiques de plus en plus pointues, rendent la compréhension de ce domaine de plus en plus difficile. Suite à vos suggestions, j’ai décidé cette année d’essayer de vulgariser ce sujet méconnu, parfois abscons, via une série d’articles sur l’identification et la localisation des réseaux tactiques pour acquérir la supériorité opérationnelle. Les communications tactiques se trouvent principalement dans les bandes HF, VHF et UHF. Néanmoins, avec les moyens déployés en OPEX, comme en Afghanistan, on peut trouver aussi du trafic dans les hyperfréquences : liaisons de commandement via des satellites en orbites géostationnaires et liaisons de données de type air-sol. Une bande de fréquence représente l’ensemble des fréquences comprises entre deux fréquences spécifiées. Ainsi, par usage typique de ces fréquences : * Bande HF : ce sont les hautes fréquences, comprises entre 1 et 30 MHz. Elles servent à la transmission tactique sur de longues distances. * Bande VHF : ce sont les très hautes fréquences, comprises entre 3O et 300 MHz. Les plus fréquemment utilisées, elles permettent une transmission directionnelle ou approchée entre deux stations. * Bande UHF : ce sont les ultra hautes fréquences, comprises entre 300 MHz et 3 GHz. Cette bande rend la transmission tactique directionnelle possible entre deux positions. Pour compléter le propos, il ne faut pas oublier de parler des téléphones mobiles. Ces derniers permettent le transfert numérisé de voix ou de données de faible volume. Les mobiles utilisés en Afghanistan utilisent les bandes de 890-915 MHz et de 1710-1785 MHz pour l’envoi des données et celles de 935-960 MHz et de 1805-1880 MHz pour la réception des informations. http://militaire.wordpress.com/2009/01/28/renseignement-d%E2%80%99origine-electromagnetique-2/ Renseignement d’origine électromagnétique (2) Localiser une station émettant dans les hautes fréquences. Si vous ne l’avez pas déjà fait, je vous recommande de lire Renseignement d’origine électromagnétique (1) avant de poursuivre votre lecture… Utiliser les hautes fréquences pour vos communications tactiques vous donne trois options de transmission : 1. En ligne droite, limitée par l’horizon radio. 2. Par propagation via l’onde de sol. 3. Via les ondes ionosphériques. Nous allons nous intéresser uniquement à cette troisième possibilité. L’ionosphère est une région de notre ciel où se trouvent des gaz partiellement chargés en électricité. Elle est découpée en trois couches principales D, E et F. A l’instar d’un miroir pour le soleil, ces couches ont pour propriété électromagnétique de réfléchir les hautes fréquences. La présence de plusieurs couches peut créer plusieurs cas de rebonds possibles. Néanmoins, il faut garder à l’esprit que le nombre de rebonds dépend de la distance séparant la station de recherche et sa cible. Au demeurant, plus la fréquence utilisée pour transmettre est haute plus la hauteur virtuelle le sera également. En effet, la fréquence maximum utilisable est une fonction de l’angle de hausse θ. Pour localiser une station émettant dans les hautes fréquences vous devez mesurer l’azimut et estimer la distance de votre position au signal. L’angle de réflexion dans la ionosphère est identique à l’angle de hausse θ utilisé par la station recherchée. La distance par rapport à votre cible est obtenue par une formule simple dont les paramètres sont la hauteur virtuelle et l’angle de hausse θ. Une fois que vous avez un azimut et une distance, vous avez (presque) une localisation. Alors, pourquoi est-ce si compliqué ? La qualité de la propagation d’un message envoyé dans les hautes fréquences via les ondes ionosphériques dépend de l’heure du jour, de la période de l’année, de la localisation géographique et parfois même de l’activité solaire… Tous ces paramètres modifient la précision avec laquelle vous pouvez calculer la hauteur virtuelle, donc la précision de votre recherche. J’ai essayé d’être le plus clair possible, vous pouvez utiliser les commentaires pour me faire part de vos questions ou remarques éventuelles. Pour être sûr de ne rater aucun article sur le COMINT inscrivez-vous à la lettre d’information !
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http://militaire.wordpress.com/2009/01/07/10-pieges-des-tunnels-afghans/ 10 pièges des tunnels Afghans Gestion d’actions offensives en milieu clos. De nombreux moyens ont été utilisés en Afghanistan pour traiter les personnels retranchés dans des tunnels : bombardement de zone, différents gaz, démolition “tactique stéréo”, bombes guidées avec des personnels alliés au sol… Empiriquement, la meilleure façon de garantir l’interdiction d’utilisation des tunnels est de les explorer, traiter les personnels présents et enfin d’ébouler les tunnels de l’intérieur. L’idée est simple, mais sa réalisation comporte dix écueils mortels. 1. Le paradoxe géologique : plus la roche est friable (schiste) plus il est facile de venir à bout en utilisant les munitions adaptées… Mais plus, les installations réapparaitront rapidement. Plus dure est la roche, plus difficile est la pénétration de celle-ci avec des explosifs conventionnels… Plus complexe et long sera le réseau souterrain à traiter. 2. La proximité des combattants : il faut des personnels avec un profil psychologique particulier pour combattre dans ces conditions. En effet, il ne faut pas être claustrophobe, et avoir une endurance physique permettant de livrer si nécessaire plusieurs assauts au corps à corps. 3. Les mines et autres pièges : champs de mines et autres accés factices piègées sont générallement trouvés dans un rayon de 250 mètres autour d’une entrée ou d’une sortie d’un réseau souterrain. N’oublions pas les traditionnels pièges de couloirs. 4. Le temps consommé : ces réseaux sont de véritables points de fixation permettant d’organiser des contres attaques efficaces pour un ennemi créatif. A tel point, que durant les années d’occupation soviétiques, ces derniers délaissait le traitement de ces zones si elle ne faisaient pas partie d’un plan d’envergure. 5. La faune locale : scorpions, serpents parfois peuvent également être de la partie. Certes, ils ne sont pas tous mortels mais peuvent occasionner des retards lors du déploiement des équipes. 6. L’expérience adverse : la plupart des tunnels sont interconnectés. Ces accès camouflés ne sont utilisés qu’en cas d’urgence - souvent un à deux mètres à excaver. De plus, leur localisation n’est connue que de quelques responsables. 7. Le problème du milieu clos : l’utilisation d’explosifs ou de gaz en milieu clos pose les problèmes de traitement du monoxyde de carbone et parfois même de l’absence d’oxygène, avec des conséquences facilement envisageables. 8. Equipes de taille réduite : les espaces confinés requiert des équipes petites, mais souvent les engagements tournent à du “trois à cinq contre un”, diminuant les chances de survies des personnels. 9. Navigation difficile : le traitement de ces zones requiert des équipes spécialement formées et bien entraînnées. La cartographie soigneuse des réseaux de tunnels existants a sauver de nombreuses vies. 10. Difficulté de communication : avec les équipes de soutien à l’extérieure. L’utilisation de radio même à fréquences adaptée est aléatoire, la communication filaire reste à privilégier… avec les problèmes inhérents à ce moyen de transmission. Je ne pense pas avoir réaliser une liste exhaustive; aussi n’hésitez pas à venir enrichir celle-ci…
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[Iran] projet nucléaire et conséquences / Archive
g4lly a répondu à un(e) sujet de juanito dans Politique etrangère / Relations internationales
Leur efficacité discutable contre les missiles ... la plupart des marines occidentales basculent vers le missile pour leur défense antimissile. Les canons petit calibre a ne permettent pas de tirer des munition intelligente ... et interceptent le missile trop pres. Les 20mm phalanx c'est de l'ordre de 350m, 30mm Goalkeeper de l'orde de 550m et les 35millenium 700m. Un missile supersonique shooté de si pret va se transformer en boule de feu plus schrapnel et pourrait faire plus de degat que la charge militaire... D'ou le souhait d'intercepter les missiles plutot vers 2km et pour cela le seul moyen c'est de monter en calibre avec de 57 ou du 76 et des obus dédié genre a flechette qui créent une sorte de mur de ferraille juste devant le missile, voire meme guidés. En gros avec ces calibres on peut commencer le tir a 6km les premier obus rencontre le missile vers 4km ... ca laisse 2km pour ajuster soit 4 secondes a mach 2. En tout on a peine plus de 4 secondes de tir, avant les 2km, soit 8/10 obus, si ca marche pas on peu tirer encore 10 obus avant impact. -
C'est quoi le truc qui pese 15t et qu'il faut absolument pouvoir balader sur des terrain pourri?
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Sans ca on serait incapable de guider un missile coupant le secteur avant !!!
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La France envisage un retour complet dans l'OTAN
g4lly a répondu à un(e) sujet de azaazel dans Politique etrangère / Relations internationales
http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/02/retour-dans-lot.html Retour dans l'Otan : 420 millions d'euros sur cinq ans Le retour de la France dans l'Otan coutera 420 millions d'euros sur cinq ans, affirme la Lettre A, citant une récente étude du ministère de la Défense. Soit 84 millions par an. Cette enveloppe sera essentiellement destinée à payer les surcoûts des soldes des personnels rejoignant les organismes militaires intégrés de l'Alliance. Pour l'instant, précise la lettre confidentielle, ces dépenses ne sont pas prévues dans la loi de programmation militaire.