Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Patrick

Members
  • Compteur de contenus

    20 205
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    193

Tout ce qui a été posté par Patrick

  1. Ce sont deux missiles balistiques à carburant solide tirés en immersion, donnés pour une taille, un poids, et un encombrement similaire, faisant appel à un guidage astro-inertiel. On peut quand même se livrer à quelques comparaisons sur cette base. Le M51 est aussi supposé emporter moins de têtes (de 6 à 10, mais peut-être plus de leurres ???) que le Trident supposé lui emporter 14 têtes. Que les deux ne soient pas exactement comparables pour des raisons diverses (construction, types de carburant, lois de pilotage, etc) je veux bien le croire. Reste que la portée du missile français est jugée inférieure... Elle serait donc sous-estimée ou ne prendrait pas en compte le fait que la trajectoire de l'arme serait optimisée différemment ? Pas faux pour la vitesse de rentrée des MIRV. Quoique j'ai aussi lu mach 15 ou 18.000km/h pour celles du M51. Et bien évidemment on ne saura jamais précisément... Mais à supposer que les capacités des deux armes soient équivalentes, pourquoi cette mésestimation de la portée du M51 ? J'aimerais trouver à ce sujet une déclaration officielle disant "le M51.2 a une portée équivalente au Trident IID5". En l'état, je ne peux donc que me référer à l'opinion couramment rapportée qui spécifie que la portée du M51 est inférieure. Si vous avez des éléments techniques à apporter pour infirmer cela, je suis preneur. Sur les Vanguard non ? Loin de moi l'idée de dire que tout l'outil de dissuasion UK repose sur des technos US ! Cependant sur le cœur de leur dissuasion, c'est à dire les vecteurs de leurs armes, il y a un partenariat stratégique avec les USA qui verrouille une grande partie des options britanniques, on ne peut le nier. Et d'ailleurs, les tridents seraient loin de donner satisfaction (parmi une foultitude d'autres problèmes sur les Vanguard) si on en croit les propos d'un lanceur d'alerte de la Royal Navy il y a environs un an. Ça n'a semble-t-il pas remis en cause le contrat passé avec les USA... Encore une fois, je ne sais pas si c'est une info recevable vu la source (un simple matelot) et le tableau dantesque de la vie à bord d'un Vanguard qu'il dépeint. (et si c'est le cas, en fait, je me sentirais presque plus en sécurité de savoir les américains superviser la dissuasion nucléaire britannique). En ce qui concerne la coopération franco-américaine, je ne dis pas autre chose. Il y a eu partenariat. Cela dit, les chercheurs français sont peut-être excellents au point d'être capables de mener le même genre de développements qu'aux US, mais autant je pense que les USA auraient pu réaliser leur programme en l'absence du partenaire français, autant je doute de la réciproque. D'autre part, un tel partenariat sur des moyens de recherche aussi stratégiques laisse en entrevoir un autre beaucoup plus poussé sur les questions de dissuasion, et je ne t'en voudrai pas de ne pas penser pareil. Si on ajoute les coûts associés pour TERA100 et AIRIX, le prix doit encore grimper pour les français. Sur la Russie et la Chine, je ne saurais dire. Les russes étaient en pointe dans les lasers avant la chute du mur. Qu'aujourd'hui ils manquent cruellement de budget est une réalité. Qu'ils puissent revenir dans la course reste possible, surtout si, comme la France, ils se recentrent sur certains programmes spécifiques. Quant à la Chine, je ne me prononcerai pas. Les développements fulgurants de leur industrie de défense, les armées d'ingénieurs qu'ils forment chaque année et le cash dont ils disposent appelle à la prudence concernant l'évaluation de leurs capacités. Bien qu'ils manquent d'équipements scientifiques majeurs de très haute technologie, ils ont des capacités de supercalcul non négligeables par exemple. Sans compter l'espionnage constant qu'ils pratiquent et qui peut leur faire gagner des années de recherche. Je note une chose : à aucun moment les américains n'ont condamné clairement le programme Israélien, amenant à exiger sa fin sous la menace de sanctions, comme celles que l'Iran connaît aujourd'hui par exemple. De même, on a pas vu de sabotage, de soustraction de techniciens et d'ingénieurs, ou autres actions de vive-force. Le climat de crise entre les deux pays a pourtant été réel, il a culminé avec l'incident de l'USS Liberty en 1967. Cela a-t-il pour autant signé l'arrêt de mort de la coopération Israélo-américaine ? Non. Donc, pour autant que les armes atomiques représentent un énorme danger entre de mauvaises mains, leur possession par Israël n'a pas outre-mesure déstabilisé la posture stratégique américaine vis-à-vis d'Israël sur le long terme, quelle que soit la présidence concernée. Merci pour le topo sur le programme nucléaire Israélien Drakene, je souscris à tout ce que tu dis, mais les US avaient les capacité d'empêcher ou de fortement ralentir ce programme et ils ne l'ont pas fait. Il y a bien une raison. Lorsque la France et le Royaume Uni se sont retrouvées seules en 1956 lors de la crise de Suez, face au chantage à la destruction nucléaire des russes et que les américains ont envoyé une fin de non-recevoir à nos demandes, c'était autrement plus coercitif. Ce fut d'ailleurs l'une des raisons du lancement du programme nucléaire français. Programme qui fut surveillé, peut-être dissuadé diplomatiquement (j'ai souvenir de De Gaulle outragé par un homologue US lui expliquant qu'ils n'auraient aucune raison de refuser la bombe à l'Allemagne s'ils l'accordaient à la France) mais en aucun cas n'a subi de coup d'arrêt porté par la volonté US de nous empêcher de nous doter de l'arme atomique. A l'époque, sous la IVème république, on envisageait encore d'adosser l'arme atomique française à celles du reste de l'OTAN. De Gaulle et la Vème vont changer cela. Et comme tu le sais, si des ingénieurs israéliens étaient présents à Reggane dans le Sahara lors du premier tir français le 13 février 1960, ils sont même venus avec dans leurs bagages un ordinateur Westinghouse avec lequel le tir a été supervisé. En ce qui concerne la société NUMEC fondée par Zalman Shapiro, tu oublies de mentionner que la fourniture d'uranium par ce biais n'est pas prouvée, malgré de fortes suspicions. http://www.afr.com/business/energy/cold-war-mystery-israeli-spies-may-have-stolen-us-uranium-to-build-the-bomb-20150330-1mawaw je cite : Cette théorie de l'acquisition d'uranium de qualité militaire par Israël via une opération du Mossad menée avec la complicité de Shapiro, que tu reprends, relève donc elle aussi de la pure hypothèse, et j'y souscris par ailleurs. Je crois également que les programmes nucléaires israéliens et français ont été fortement liés à leurs débuts, mais je ne vois pas comment les américains, vu les tensions exacerbées à l'époque sur la question nucléaire auraient pu ignorer ces agissements. S'ils ont laissé faire, pourquoi ? Et cela ne constitue-t-il pas déjà une aide indirecte, vu le bon nombre de scientifiques juifs qui ont travaillé sur le projet Manhattan ? Je ne me souvenais plus de cette histoire pour le moins cocasse de "negative guidance". En pratique c'est déjà beaucoup. En revanche, depuis les derniers essais français, entre Chirac qui parle de la stupéfaction des américains, et le projet LMJ donnant lieu à une collaboration franco-américaine, il me semble que les indices tendent à démontrer que les américains sont bien plus que de simples conseillers ou observateurs, mais bien de véritables partenaires de pans entiers de ce que qui constitue notre outil de dissuasion.
  2. Sur les TN75 (qui remplaçaient les TN71 des missiles M4B) notons que les TNO qui vont (ou sont en train de) les remplacer à partir de cette année 2016, sont réputées "plus robustes et légèrement moins puissantes, à 100kt unitaire". Alors que la puissance réelle de la TN75 est tenue secrète (donnée pour 110kt mais les cinq essais de 1995 n'ont semble-t-il pas tous délivré 110kt, justement). Or, l'une des raisons de la réalisation de ces essais était justement de faire avancer le programme simulation. Programme qui a permis de valider le fonctionnement de ces armes. Programme qui repose aujourd'hui sur notamment le laser Mégajoule. Laser mégajoule qui est une version de taille légèrement réduite du National Ignition Facility dont je parlais plus haut... De fil en aiguille, faire le lien est assez aisé. Pour les américains qui s'immisceraient dans notre programme de dissuasion... Ça ne date pas d'hier ! Il est avéré que la France a reçu de nombreuses aides techniques états-uniennes, et ce dès le début. Non, ça ne veut pas dire que le gros de notre technologie est d'import. Mais que, pour autant, nous avons bénéficié de nombreux coups de pouce sans lesquels l'accès à cette technologie aurait demandé plus de temps et d'argent. Pas de dépendance, mais des partenariats dans lesquels nous avons le leadership moins souvent que les américains. Les désaccords politiques pourtant nombreux ont pu provoquer l'arrêt ponctuel de cette coopération, mais celle-ci a toujours fini par reprendre. Et j'en profite pour rappeler que le programme nucléaire CIVIL français, intimement lié à notre programme nucléaire MILITAIRE par ailleurs, comme pour toutes les puissances nucléaires, a bénéficié de la même manière d'apports US conséquents. Le design des Réacteurs à Eau Pressurisée de 900MW qui constituent le gros du parc EDF provient de Westinghouse à l'origine par exemple. Oui le développement qui en a été fait est franco-français, fabrication incluse, mais nous ne sommes pas partis d'une feuille blanche pour autant. En même temps, difficile de faire autrement qu'extrapoler sur des programmes aussi sensibles. Mais à part ça, effectivement ce ne sont que des hypothèses de ma part. Je ne dis pas que le bouton rouge français n'est pas à Paris. A vrai-dire je ne pas non plus que le bouton rouge britannique ne soit pas à Londres, alors que beaucoup d'éléments tendraient à corroborer cette affirmation. je dis simplement que nous avons un partenariat stratégique poussé avec les américains sur la question de la dissuasion nucléaire, et qu'à bien des égards nous sommes liés à eux comme le sont les britanniques. Pour le M51, sa portée est donnée pour être environs 25% inférieure à celle du Trident D5 (8000-10000 contre 12000+) malgré une taille similaire (12m de long 2.3m de large contre 13.5 et 2.1) et une vitesse de rentrée équivalente (mach 24/25). C'est effectivement en partie du à l'absence du troisième étage hypermanoeuvrant qui devrait être présent sur le M5 (devenu M51). Ce devrait être réglé avec l'entrée en service du M51.3, vers 2030 en même temps que la prochaine génération de SNLE, la France ayant préféré désormais procéder par incrémentation successive de ses armes plutôt que par saut générationnel complet, pour des raisons bien évidemment plus budgétaires que politiques.
  3. Au delà du fait que les capacités du M51.2 sont LOIN d'égaler celles d'un Trident 2D5, une telle action de la part des autorités françaises voudrait dire se mettre à dos les décideurs US, qui ont dépensé beaucoup de moyens pour faire du Royaume Uni, qui pourtant a accédé au seuil nucléaire avant la France et la Chine, une nation "vassale" du point de vue de l'emploi de la force nucléaire. Or, les recherches britanniques, bien plus avancés avant-guerre que celles des US en matière d'armes atomiques, ont dès le début du programme britannique été effectuées en collaboration avec les américains. Les découvertes, les essais, les tests, tout ça s'est fait d'un commun accord entre ces deux pays. Il faudrait donc un cyclone politique pour provoquer une scission aussi brutale entre le Royaume Uni et les Etats-Unis, qui amènerait les premiers à quémander auprès de la France les moyens d'assurer sa dissuasion nucléaire. Encore plus amusant, les synergies dans le domaine des armes nucléaires ont aussi vu des ingénieurs français travailler aux côtés des américains. Certains programmes d'actualité sont là pour en témoigner : le Laser Mégajoule et le National Ignition Facility du Lawrence Livermore National Laboratory sont deux équipements uniques en leur genre, en grande partie dédiés à la dissuasion via la simulation (fusion par confinement inertiel faisant appel à d'imposantes chaînes laser). Un aux USA, l'autre en France. Coïncidence ? Je veux bien admettre que les français soient très bons en recherche fondamentale, mais à un moment, il faut savoir rester réaliste. Nous n'avons ni des moyens démesurés de R&D, ni des armées d'espion(ne)s reniflant tout ce qui sort de la DARPA... De même, la réaction de Jacques Chirac à la suite des essais nucléaires de 1995 qui "ont atteint la perfection" et "ont stupéfait les américains" n'a sans doute pas parlé à grand-monde à l'époque. C'est seulement parce que la technologie de la modulation de la puissance des ogives nucléaires (de 5 à 120kt pout les TN75 comme démontré lors des derniers essais) est un développement franco-américain que les français ont accepté de tester en ruinant leur capital de crédibilité en politique internationale dans la zone asie-pacifique pour une dizaine d'années. (de ce point de vue, des contrats comme celui des sous-marins australiens peuvent être vus comme un renvoi d'ascenseur tardif de la part des USA qui ont bien évidemment verrouillé le marché, ne serait-ce que parce que les sous-marins en questions auront un système de combat US). De la même manière, lorsque la France fournit à Israël les moyens de produire de l'uranium et du plutonium de qualité militaire (Dimona n'étant que la copie carbone de Marcoule habilement camouflée (à l'époque) en inoffensif centre de recherches) ne peut-on pas, au vu des liens entre Israel et les Etats-Unis, y voir la France jouer le simple rôle d'intermédiaire dans un transfert de technologie très sensible qui aurait autrement déclenché le scandale ? En bref, je suis prêt à parier que la dissuasion française est tout aussi liée à celle des Etats-Unis que celle des britanniques, l'indépendance nationale étant un paravent médiatique destiné à préserver la posture stratégique française pour des questions, entre autres, de politique intérieure, le sentiment anti-américain étant encore assez fort dans notre pays. On a beau se tirer la bourre sur les marchés internationaux, et produire des rodomontades à l'encontre des USA, nous sommes autant liés à eux que les anglais. La différence, c'est que nous sommes plus utiles en semi-liberté, au vu des développements auxquels nous participons, qu'enchaînés comme les anglais qui ne sont plus en pointe sur ces questions-là. Après, je me trompe peut-être.
  4. Oui svp essayez de garder ce sujet sérieux, il y en a d'autres pour rigoler : les sections détente et vidéo / photo.
  5. Ha bah ça va retwitter sec chez les complotistes...
  6. Au dessus de Kobané c'était les B1. Question "objectifs prédéfinis", vu le mic-mac en bas, on fait mieux. Et il peut leur arriver de transiter en supersonique, avec le volume de carburant interne et l'aide des ravitailleurs, ils peuvent se le permettre. Surtout que le théâtre n'est pas si grand. Autant le A-10, les drones, les F-15/16/18 et compagnie vont certainement être envoyés sur un objectif ponctuel, autant le B-1, lui, peut se permettre de rester très longtemps en l'air et de ne larguer qu'en cas de besoin. Ça n'en fait pas moins un appareil de CAS dans le cas présent. Le B-1B, c'est 34 tonnes d'armements en interne.
  7. C'est le matériel qui est en cause ou son adaptation au terrain ?
  8. "Iraqi special forces". Si ces mecs sont les forces spéciales je suis James Bond.
  9. Pauvre Abu Hajaar. :( J'avais déjà vu cette vidéo plus tôt dans la journée et je recommande de la visionner avec le thème de benny hill par dessus, effet garanti.
  10. On peut remercier Areva et l'EPR pour ça, oui.
  11. Patrick

    F-22

    Vu les mines d'infos qu'il ramène, à titre personnel, je lui pardonne aisément ce biais.
  12. A peine deux fois plus lourd. Une paille. L'automatisation à outrance, ça a un coût.
  13. Patrick

    F-22

    A ma connaissance, c'est la première fois que le F-22 vole au dessus de la France non ? Par deux fois sa venue au Bourget avait été annulée, il me semble ?
  14. Patrick

    Le F-35

    Sachant que le rétrofit ne sera possible que s'il ne faut pas toucher à la structure, c'est bien ça ? Ou alors est-ce qu'ils pourront garder un large volume de pièces rétrocompatibles et s'en servir comme stock de rechanges ?
  15. C'est pourtant dans ce rôle là qu'il a été employé par les unités en afgha ayant reçu des HK416 et 417.
  16. Patrick

    Ici on cause MBT ....

    Moi ce qui m'inquiète c'est plutôt de savoir comment ils sortent de l'engin si celui-ci est en feu, avec des éléments de la cage assez tordus pour empêcher l'ouverture des trappes qui doivent y avoir été découpées... Tout de suite c'est beaucoup moins rigolo.
  17. Patrick

    [Rafale]

    A qui appartiennent ces extrémités de voilure ?
  18. C'était y a 20 ans qu'il fallait réagir. Maintenant c'est trop tard.
  19. Les conversations sur le sexe des anges ont cédé la place à celles sur l'affiliation des syriens qui prennent des selfies. What a time to be alive...
  20. Patrick

    Le F-35

    Si l'objectif est de limiter la contrainte aérodynamique c'est probablement la deuxième. La forme d'un réservoir de carbu est moins sujette à des contraintes qu'une arme qui doit évoluer de façon aérodynamique dans l'air. En gros des réservoirs de kérosène cubiques c'est pas gênant, des bombes cubiques ça l'est plus. En revanche ils mettraient sans doute beaucoup plus de carburant dans d'hypothétiques réservoirs externes (question de robustesse des pylônes d'emport notamment) qu'à l'intérieur des soutes si les forces armées US le décidaient. De plus, si le besoin de restaurer la furtivité se faisait sentir, il serait moins contraignant de larguer des réservoirs que des armements... Surtout si l'objectif de la mission est délivrer les-dits armements. Enfin c'est comme ça que je le vois.
  21. Patrick

    Le F-35

    Il ne faut pas se formaliser trop pour ça. L'essentiel est que le projectile s'éloigne de l'avion sans le mettre lui ou un autre appareil de la patrouille en danger, et sans adopter une trajectoire erratique. En ce qui concerne les bombes larguées depuis une soute, il n'y a pas vraiment de solution miracle pour être sûrs de ne pas rencontrer de problème à certains vitesses et incidences. Pour les missiles en revanche, par essence propulsés, c'est plus simple. Les chinois sur le J-20 ont opté pour un support déployable sur lequel la trappe peut se refermer, laissant le missile désormais situé à l'extérieur de l'avion sur son "rail". Rail qui peut alors s'escamoter aisément, toujours trappe fermée (il est semi-circulaire). C'est assez élégant. Et bien entendu les F-22 et F-35 possèdent leur pantographe dans les deux baies latérales pour les AIM-9X (mais pas pour les AMRAAM dans la soute centrale en revanche). Les calculs relatifs au changement de milieu aérodynamique ça a l'air d'être un sport de savant fou. Il n'y a pas vraiment de formule aérodynamique "miracle" qui rendrait le largage d'un projectile trivial. Sauf bien entendu le largage sur la tranche pendant un break qui a le mérite de permettre un éloignement rapide de l'avion tireur (on en avait parlé sur le sujet consacré à l'AASM :) ).
  22. Patrick

    [Rafale]

    Peu de chances. Le cobra c'est pour les meetings. Et un delta-canards de moins de 10 tonnes, ça a d'autres arguments. Par exemple un taux de virage instantané légèrement supérieur. Or, en bfm, c'est le break qui est déterminant pour la suite des événements. Les questions de rapport poids-puissance viennent après.
  23. Patrick

    Le F-35

    Vos vœux sont exaucés.
  24. Cette affaire de SA-7 tombant un Mirage 2000-9 (biplace qui plus est) ne me paraît pas très crédible... Pas d'éjection, pas de vidéo...
  25. Patrick

    Le F-35

    Il faudrait pas que les 3000 ingénieurs chinois qui se pencheront sur les plans se sentent "humiliés" par les solutions apportées par 200 ingés de Dassault aux problématiques techniques rencontrées sur le programme (cf une histoire rocambolesque racontée par pic il y a quelques mois).
×
×
  • Créer...