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Scarabé

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Tout ce qui a été posté par Scarabé

  1. Les Régiments de Cavalerie vont être réorganisés comme ci -dessus Les 3 régiments Leclerc Auront 51 Leclerc, 51 VBL, 3 VBCI PC, Soit 3 Escadrons de 17 chars Leclerc et 1 VBCI PC Qui bien sur feront 4 pelotons de 4 + 1 pour le chef d’escadron 1 ERIAC (Escadron de Reconnaissance et d’Investigation Anti-Char) par régiments. Les ERICA auront 3 pelotons de 8 engins blindés (2 VBL+ 2VBL 12.7 + 2 VBL Milan 2 PVP DRAC) et un 4em peloton de 2 VBCI ERYC + 2 VBL Milan + 2 VBL Source Les 4 régiments de 10RC R Soit 51 Chars AMX 10 RCR + 51 VBL + 3 VBCI PC Soit 3 Escadrons de 17 chars AMX 10 RC R 1 VBCI PC Qui bien sur feront 4 pelotons de 4 + 1 pour le chef d’escadron Les ERIAC de ses régiments seront organisés en 4 pelotons de 7 VBL + 1 VAB T20. La Brigade d’Infanterie de Montagne et la 11ème Brigade Parachutiste n’auront pas d’ERICA Leurs régiments de Sagaie seront organisés en 3 escadrons de 12. + 1 VBL XL de commandement pour le Chef. Cette organisation se mettra en place en 2014.
  2. Oh Sans l' Algérie il n'y aurait pas eu Serval. Les Algériens nous ont beaucoup aidé et ils continuent de le faire. Les troupes à Tessalit ne pourraient pas tenir sans l'essence et le reste qui transit par la frontière du Nord. Sans parler du survol etc..
  3. Au Mali il faut quand même savoir que la MINUSMA et l’armée malienne sont drivés par l’armée française. Et c’est l’EAM Serval à Bamako qui dirige officieusement l’ensemble des troupes sur le terrain y compris les convois logistique. Chaque contingent africain travaille avec des conseillers Français (Des modules ont été formés comprenant chacun 2 officiers, 12 sous-officiers avec 2 VBL, 1 PVP de commandement et de transmissions et 1 VLRA) ses soldats rendent compte en permanence des problèmes dans leur zone d’action et peuvent à tout moment demander des renforts à la FAR de Serval en cas d’attaque dans leur zone d’action. Maintenant pour en revenir à Kidal c’est le contingent sénégalais (400h) qui est pour l'instant responsable de la sécurité de cette ville avec comme subordonnée des Touaregs (ralliés au gouvernement Malien en place) qui font office de gendarme dans cette ville. Les 150 soldats français tiennent l’Aéroport mais n’ont aucun hélicos ou avions à dispos ils peuvent juste les ravitailler en cas de besoin. Pour info Les contingents africains déployaient dans les différentes villes du Mali tiennent des checkpoints à chaque entrées de ville et fouillent tous les véhicules qui rentrent et qui sortent de manière à éviter les infiltrations terroristes.Cette technique qui avait été mise au point en Somalie par les légionnaires de la 13DBLE a jusqu’à maintenant toujours bien fonctionner puisque les accrochages se sont toujours passé à la périphérie des grande villes. Les assaillants se heurtant aux soldats en faction aux différents checkpoints. A Gao au début de serval lors des accrochages les terroristes étaient déjà sur place et son sortir de leur tanière pour agir. Maintenant revenons à Gao sur l’aéroport ou le gros des troupes françaises stationnent avec hélico artillerie génie etc... Sauf bien sur le SGITA de Tessalit avec des hélicos et des FS sur place. Les troupes françaises de Kidal dépende du GITA Gao Les journalistes de RFI sont arrivé par avion par un vol intérieur entre la capitale et Gao et ont demandé à l’armée française de les escorter sur KIidal (refus de l’EAM du GTIA). Les journalistes qui bien sûr se ballade avec des liasses de billets ont soudoyé des militaire sénégalais en partance pour Kidal afin de les emmener avec eux sans bien sur prévenir les soldats français. Une fois sur place vous connaissez la suite. Ils se sont fait enlever après avoir interviewé un responsable locale. Par contre entre temps un officier de liaison sénégalais à rapporter qu’un Check point touareg n’étais plus tenu et que 2 journalistes français étaient en ville. L’officier français à bien sur déclencher l’alerte. Ce qui a entrainait la mise en action de la section d’alerte sur l’aéroport de Kidal et le décollage du Caracal de Tessalit. Maintenant je ne sais pas si le Caracal à essuyer des tirs en suivant les pick-up des kidnappeurs mais en tout cas si cela arrive il y a automatiquement riposte des Mag 58 en sabord et les pilotes comme le mitrailleur n’ont aucune chance de savoir si il y a des otages a bord du véhicule. Dans le feu de l’action les ordres sont clairs. On neutralise la menace pour protéger sa vie et le matériel Aujourd'hui les corps des journalistes sont en cous d’autopsie et nous seront très vite si-ils sont morts sous les balles françaises.
  4. Scarabé

    VHM (Véhicule Haute Mobilité)

    le 7e bataillon de chasseurs alpins (7eBCA) a participé à l’expérimentation tactique (EXTA) des véhicules haute mobilité (VHM), au centre d’entraînement aux actions en zone urbaine (CENZUB), dans l’Aisne. Le 7eBCA fera également partie de l’exercice CERCES en décembre prochain, qui évaluera le VHM en milieu montagneux. voir la vidéo sur le lien http://www.defense.gouv.fr/terre/a-la-une/manaeuvre-urbaine-experimentation-tactique-du-vehicule-haute-mobilite
  5. En faite le génie les utilisés en Afghanistan pour ces équipes EOD avec les buffalos. Puis le plan de relance leur a fourni des ARAVIS. Et comme vous aimez avoir des sources presse j'ai trouvé http://www.ttu.fr/afghanistan-100-mrap-pour-les-forces-francaises/ http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2012/03/12/surplus-de-mrap-que-faire-de-la-plus-recente-icone-des-champ.html
  6. Pour info 90 RG 31 sont officiellement en service dans l'armée française suite à un don des USA à la France. 20 de ces engins sont à l'école du Génie à Angers. Environ 40 d'entre eux (couleurs sable) sont maintenant stockés sur la base françaises des EAU. Les autres sont restés en Afghanistan (mauvais états après une sur exploitation) .
  7. Les BMM auront de toute façon une barge qui pourra aller beacher du matériel sur une plage. Mais bon après un cyclone bien souvent c'est pas possible. En 2008 (après autorisation de la junte birmane) le BPC Mistral n'a pas put débarquer du fret humanitaire par CTM (trop de tronc sur les plages et dans l'embouchure de fleuve).
  8. Les BPC et les L CAT sont la pour assurer les missions amphibies. Donc missions non abandonnées.
  9. http://www.recrutement.terre.defense.gouv.fr/nos-emplois/trouver-un-emploi-par-profil http://www.etremarin.fr/?gclid=CJiCldKmuroCFXCWtAodoDYAmA http://air-touteunearmee.fr/metiers-et-carrieres/
  10. Si c'est le 13 c'est pas des commando marine.
  11. Les Anglais ont une armée professionnelle depuis 1961 et ils n'ont jamais eu ce type de problème .
  12. Je rappellerais simplement qu'avoir une armée professionnelle, c’est avoir les cou­dées franches pour les hommes politiques. Que ce soit pour défendre des inté­rêts stra­té­giques ou jouer les gen­darmes du monde. La première du Golf à mis fin aux appelés en France. Fermer le ban.
  13. Oui Et c’est dans cette optique que le système FELIN prend tout son sens. Il permet en effet cette intégration de chacun des éléments pour faciliter le travail interarmes, dans chacun des domaines, protection, agression mais surtout communication par la géo-locali-sation des éléments. C’est pourquoi, il est nécessaire de continuer à prendre en compte ce nouveau système et de s’entraîner pour que la technique favorise la tactique. Le CENZUB est l’endroit idéal pour le faire mais toute localité, tout quartier offre déjà la possibilité d’acquérir les savoir-faire fondamentaux.
  14. Il faut attendre encore 15 jours voir si il n'y a pas eu de recours sur l'appel d'offre. Ensuite Priou pourra faire un communiquée de presse sur le type de navire à construire . Mais bon certain d'entre nous ont déjà une idée
  15. Scarabé

    [EBRC/Jaguar]

    Surtout que les dernières version de l' AMX10 sont à bout de souffle suite au rajout de blindage. Lire résumé des RETEX de: L’AMX 10 RCR SEPAR Système de Protection EEI pour AMX 10RCR. Le mot « Separ » signifie « bouclier » en persan. Des cavaliers mieux protégés…mais moins manœuvrant ! Les conflits récents et actuels ont mis en évidence le besoin de protection des équipages, (La protection inclût l’intégrité de l’habitacle) et par voie de conséquence, d’amélioration de la survivabilité des véhicules. Afin d’améliorer la protection des équipages AMX 10 RCR engagés au sein de l’opération extérieure PAMIR l’état- major des armées a demandé en 2010 la réalisation en urgence opérationnelle d’équipements de protection contre les mines et les engins explosifs improvisés (EEI) visant à réduire les dommages directs ou indirects des attaques de l’adversaire. Dans ce cadre, des AMX 10 RCR équipés du SEPAR sont déployés en Afghanistan depuis novembre 2011. En complément du brouilleur EEI intégré dès 2008, le système SEPAR comprend plusieurs dispositifs. En premier lieu, une plaque de protection ventrale et des renforts de caisse permettent d’éviter, en cas d’explosion d’un EEI enterré ou placé sous une buse, que le souffle et les projections associées ne pénètrent dans l’habitacle. Un système de plaques de protection latérales est adjoint pour contrer les effets similaires d’un EEI placé en bord de route. Des aménagements intérieurs, harnais de maintien et repose-pieds, empêchent ensuite que les membres d’équipage ne subissent l’onde de choc d’une explosion. Afin de faciliter les déplacements tactiques nocturnes, un phare infrarouge (IR) a été enfin ajouté, augmentant en profondeur et en largeur le champ de vision de nuit du pilote. Les conséquences de l’intégration du SEPAR sont naturellement l’abaissement de la garde au sol de l’engin (de 65mm) et son alourdissement à 19,2 tonnes, soit une tonne de plus que la masse qualifiée par la direction générale de l’armement (DGA) lors de l’opération de rénovation. De ce fait la STAT a proposé les restrictions et recommandations d’emploi afférentes, qui concernent principalement les capacités de franchissement, ainsi que le freinage demandant une plus grande anticipation. Estimant nécessaire qu’une prise en main soit réalisée avant toute utilisation opérationnelle, la STAT a accompagné la création d’une instruction spécifique lors de la mise en condition avant projection (MCP) conduite par le détachement d’assistance opérationnelle (DAO) du 1er régiment de chasseurs d’Afrique. Compte tenu des caractéristiques de cet AMX 10 RCR équipé du SEPAR, l’autorisation d’emploi opérationnel prononcée par l’EMAT est circonscrite aux théâtres d’opérations et aux exercices strictement nécessaires pour la MCP. Les conséquences de l’intégration du SEPAR sont naturellement l’abaissement de la garde au sol de l’engin (de 65mm) et son alourdissement à 19,2 tonnes, soit une tonne de plus que la masse qualifiée par la direction générale de l’armement (DGA) lors de l’opération de rénovation. De ce fait la STAT a proposé les restrictions et recommandations d’emploi afférentes, qui concernent principalement les capacités de franchissement, ainsi que le freinage demandant une plus grande anticipation. Estimant nécessaire qu’une prise en main soit réalisée avant toute utilisation opérationnelle, la STAT a accompagné la création d’une instruction spécifique lors de la mise en condition avant projection (MCP) conduite par le détachement d’assistance opérationnelle (DAO) du 1er régiment de chasseurs d’Afrique. Compte tenu des caractéristiques de cet AMX 10 RCR équipé du SEPAR, l’autorisation d’emploi opérationnel prononcée par l’EMAT est circonscrite aux théâtres d’opérations et aux exercices strictement nécessaires pour la MCP. Au terme de six mois d’engagement opérationnel, le retour d’expérience du CFT a montré la satisfaction globale des utilisateurs, au regard du juste compromis entre protection, mobilité (qui reste un élément fondateur de la protection d’un porteur blindé) et mise en œuvre opérationnelle. - 13 – Septembre 2013 Les études de conception se poursuivent, afin d’améliorer en particulier l’ergonomie des aménagements intérieurs. En somme, cette opération a conduit à déployer en adaptation réactive une solution complète sur un théâtre d’opération éloigné moins de dix-huit mois après l’expression du besoin opérationnel. Ce succès a largement reposé sur la bonne coordination des organismes de l’armée de Terre impliqués dans ce projet (principalement STAT, SIMMT, CFT, EMS/EC et EMAT), la bonne compréhension du besoin et la volonté d’aboutir de la DGA ainsi que l’implication et l’anticipation de la société NEXTER Systems, maître d’œuvre industriel de l’AMX 10 RCR. Les travaux menés par l’équipe de programme intégrée (EDPI) pour améliorer les performances de l’AMX 10 RCR et les adapter aux conditions d’engagement opérationnel ne se sont toutefois pas arrêtés au stade de ce premier déploiement. Plusieurs projets sont en cours d’instruction et pourraient être déployés prochainement sur les théâtres d’opération. En premier lieu, il s’agit de protéger les équipages face aux attaques de roquettes antichar de type RPG par l’ajout d’un système réduisant les possibilités de perforation. Cette opération s’inscrit dans le cadre de la lettre d’urgence opérationnelle n°5 et pourrait aboutir début 2014. En second lieu, il s’agit d’améliorer le niveau de protection « sous la roue » face aux mines et aux EEI en intégrant des renforts sur les déports de roue des essieux avant et médian. Si les essais sont concluants ces systèmes pourraient être déployés mi-2014. L’équipement en systèmes « anti-projection des équipements intérieurs » et « anti-détonation des réservoirs » n’a en revanche pas été retenu au regard du calendrier, de la complexité d’intégration et des coûts envisagés. Il s’agit enfin d’intégrer un phare de chasse et de recherche visant à améliorer les capacités d’observation et de tir en condition nocturne, voire à permettre l’intimidation d’une foule hostile ou à décamoufler un ennemi cherchant à s’infiltrer dans un dispositif ami. De nature mixte (lumière visible et proche IR), ce système disposera d’une position coaxiale et d’un support orientable. Le volume de deux escadrons pourrait être équipé courant 2014. Les travaux réalisés entre 2008 et 2013 dans ce cadre singulier d’adaptation réactive, qu’ils aient conduit à des succès ou à des échecs, auront eu également cette vertu de permettre à l’EDPI de faire les justes choix dans l’expression de besoin de la fonction protection de l’engin blindé de reconnaissance et de combat (EBRC), destiné à remplacer l’AMX 10 RCR à l’horizon 2022.
  16. De nouvelles munitions pour le char LECLERC. Le char LECLERC mis en service dans l’armée de Terre française dans les années 90 avec seulement deux types de munitions guerre, destinées à arrêter les vagues de blindés du pacte de Varsovie : l’obus flèche F1 (OFL F1) et l’obus explosif charge creuse (OECC). Ces deux munitions permettaient de percer tous les blindés de cette époque, y compris ceux équipés de blindage réactif. Mais rapidement, l’environnement du char et les missions qui lui sont dévolues ont évolué, avec de plus des cibles potentielles plus variées. Dès les opérations au Kosovo, en 1999, la nécessité de disposer d’une munition anti-personnelle était apparue. Dans les années 2000, la multiplication des conflits ayant pour cadre la zone urbaine a confirmé ce besoin et l’a complété par un besoin anti-infrastructure et de tir à courte distance. L’obus explosif (OE) de 120mm pour char LECLERC a ainsi été développé et est maintenant disponible pour les opérations. Le projectile de 16kg, dont plus de 3kg d’explosif, génère à l’impact un souffle puissant et plusieurs milliers d’éclats lui donnant une capacité anti personnel, anti-infrastructure et anti-blindé léger. L’obus à effet canalisé (OEFC) de 120mm a été développé pour la zone urbaine et le tir à courte distance, il sera bientôt livré à l’armée de Terre française. Ce projectile libère à la sortie du canon, lors du tir, 1100 billes de tungstène à 1410m/s. Il est efficace jusqu’à 400m et se comporte comme une grosse cartouche de chasse. Il est capable de neutraliser un groupe d’infanterie sur un front de 30m à 400m, de percer un mur en parpaing, de briser des obstacles en concertinas ou d’arrêter un véhicule léger.
  17. Scarabé

    [EBRC/Jaguar]

    @bpc La tourelle du 40CTA en cours de définition doit être adaptable sur tout type d'engin y compris le Leclerc le VBCI les BMP les Warior etc... Pour que justement elle puissent être vendu à l'export. Notre armée de terre a choisi de l'utiliser que sur notre future EBRC. Mais cette tourelle une fois en service sera aussi tester sur châssis Leclerc juste au cas ou. Par contre on sais maintenant qui touchera les premiers EBRC. Il s'agit du 1 REC qui va déménager à Carpiagne parce que les installations flambant neuve du 4em Dragons seront beaucoup plus adaptés pour EBRC. Le 1 REC va d'ailleurs perdre des effectifs lors de son démènagement parce que son escadron d'aide à l'engagement va être dissous.
  18. Bon je sais pourquoi nous avons vu des AUF 1 au CENZUB Parce que si la notion de SGTIA est désormais pleinement acquise, il faut encore descendre d’un niveau et favoriser la création de détachements interarmes (DIA). La création d’un DIA consiste donc bien, en pratique, à détacher d’abord un engin de cavalerie blindée et un groupe génie auprès d’une section d’infanterie. L’engin de cavalerie apporte le choc de ses feux et permet de créer des relances de l’action. Le sapeur travaille lui dans les quatre niveaux de la zone urbaine, souterrain, sol, étages et aériens. Cette configuration octroie à la section une plus grande autonomie et sur tout elle lui permet de maintenir un rythme élevé, gage de réussite de la mission, pour bousculer l’adversaire et ne pas lui laisser le temps de se réarticuler. L’extension de l’intégration à ce détachement peuvent être ajoutés d’autres éléments, provenant de cellules très diverses. L’équipe cynotechnique en premier lieu est particulièrement adaptée au combat en localité par la capacité du chien à entrer en premier dans des pièces et à déceler toute personne cherchant à se dissimuler ou à défendre une position conquise pendant une pause tactique. Il y aussi des DIA lourd qui sont composés de 2 Leclerc 1 AUFI et un EBG. Le toute éclairé par des fantassins et des Drac. Voir des drones terrestres Les avantages procurés par FELIN en ZUB sont non seulement conservés, mais permettent surtout un abordage et une pénétration plus efficace de l’unité. La numérisation permet au SGTIA de mieux coordonner sa manœuvre. Le commandant d’unité (CDU) a en permanence une connaissance claire de sa situation tactique. Les véhicules comme les sections débarquées sont géolocalisées et communiquent avec son SIR Les sections d’infanterie peuvent s’infiltrer au plus près, en toute discrétion, combinant les capacités de navigation et de communications discrètes du RIF. Les éléments interarmes – sapeurs, artilleurs, cavaliers – sont également numérisés et apparaissent sur la situation tactique (SITAC).Une fois le dispositif en place, les informations recueillies ennemie, population, obstacles, etc. Sont partagées par tout le SGTIA.
  19. Je viens de relire les 2 appels d'offres et je pense que tu as raison Voir appel d'offres B2M Le marché consiste à acquérir et à maintenir en condition opérationnelle des bâtiments multi-missions (B2m) hauturiers et polyvalents. A titre indicatif, ces bâtiments d'une longueur de l'ordre de 60 à 80 mètres et d'un déplacement supérieur à 1 000 tonnes, capables d'une vitesse comprise à titre indicatif entre 12 et 15 noeuds navigueront dans des zones Outre-Mer (Antilles, Océan Indien, Polynésie, Nouvelle-Calédonie). Ces bâtiments devront bénéficier de bonnes capacités de manoeuvrabilité. Ils seront équipés chacun d'une embarcation de travail (d'une longueur de l'ordre de 8 mètres) et d'une grue permettant l'embarquement et le débarquement de conteneurs EVP. Ils auront la capacité de mise en oeuvre d'embarcations légères ainsi que de plongeurs. Ils pourront transporter des armes et des munitions. Ces bâtiments pourront avoir des missions d'une durée approximative de 30 jours sans ravitaillement Voir appel d'offres BSAH Les BSAH et leurs équipages militaires ou civils sont destinés à principalement réaliser les missions suivantes : - remorquer en flèche un porte-avions de 75 000 tonnes par mer 5 (niveau de traction au croc correspondant évalué à environ 120 tonnes) ainsi que les bâtiments de la classe " Mistral " ; - mettre en oeuvre le NATO Submarine Rescue System (système de sauvetage pour sous-marin en détresse réalisé par le Royaume-Uni, la Norvège et la France) ; - porter assistance à un autre bâtiment en détresse (incendie, voie d'eau...) ; - participer à des opérations portuaires telles que la manutention d'objets lourds de 50 tonnes ; - lutter contre les pollutions en récupérant et stockant un volume d'hydrocarbure supérieur à 1000 m3 et en épandant les dispersants ; - remorquer à couple des sous-marins nucléaires pour la composante militaire uniquement Les navires doivent posséder les caractéristiques générales suivantes (les valeurs chiffrées sont indicatives) : - une grande modularité des capacités d'emport et des possibilités de reconfiguration importantes ; - opérer sur tous les océans et dans toutes les conditions météorologiques, aux voisinages des côtes et en haute mer, sans avoir besoin d'évoluer dans les glaces ; - une vitesse maximale continue en route libre idéalement supérieure ou égale à 15 noeuds, au déplacement charge complète par mer 3 ; - une autonomie en vivres de 45 jours ; - une autonomie en carburant de 8000 nautiques à 12 noeuds ; - pouvoir accueillir 20 passagers supplémentaires en plus de l'équipage ; - une zone d'hélitreuillage et de ravitaillement vertical par hélicoptère . Les 4 bâtiments de la composante militaire seront identiques entre eux, conformes au règlement d'une société de classification reconnue par le ministère français chargé de la marine marchande et devront être capables d'accueillir un équipage permanent de 12 à 15 personnes. Ils seront sous pavillon national et inscrits à la liste navale. Les 4 bâtiments de la composante civile pourront être sous un pavillon européen appartenant à la liste blanche du Mémorandum d'entente de Paris sur le Contrôle des Navires par l'etat du Port signé en 1982. Le dialogue permettra de déterminer le niveau nécessaire de maîtrise de la langue française, par les personnels du cocontractant, et notamment par tout ou partie des équipages de la composante civile.
  20. Le survivant du pacifique je ne crois pas avoir lu un meilleur livre que celui la sur la guerre du pacifique.
  21. Normalement c'est lui. Pas de plateforme hélico mais une grue pour décharger les containers LA FICHE 1 CARACTERISTIQUES PRINCIPALES Longueur HT: 69.70m Largeur: 17.20m Creux au PP : 7.20m Combustible : 972m3 Eau douce : 411m3 Equipage + passagers: 33 Coque/superstruct. : acier Vitesse maxi:16 noeuds Traction : 170T PROPULSION / PRODUCTION D'ENERGIE 4 moteurs principaux : 3 600 Cv hélice à pales fixes : 2 x 3 600 mm alternateur attelé : 2 x 2200 kVA groupe électrogène : 2 x 312 kVA groupe de secours : 1 x 237 kVA INSTALLATIONS SPECIALES équipements de pont - 1 treuil de remorque de relevage d'ancres - tambour de remorque 3 600m de câble http://www.piriou.com/fr/nos-produits/service/offshore-petrolier/supply-70m/61.htm
  22. Tu as oublié les "commandos amphibies" du 21ème RIMA Après les GCP et les GCM, voici le GCA. Le 21ème Régiment d'infanterie de Marine vient de se doter de ses propres commandos, à l'image des Groupement de commandos parachutistes (GCP) des régiments de la brigade para ou des Groupement de commandos Montagne (GCM) de la brigade alpine. Il s'agit du Groupe commando amphibie (GCA), composé de deux commandos de six hommes et d'un groupe de commandement, soit une quinzaine d'hommes. Sa mission est de "surveiller et ponctuellement saisir des objectifs, après une mise en place héliportée ou une mise à l'eau" explique le capitaine Braun, commandant de la CEA du 21, dans le dernier numéro d'Héraclès, publié par le Centre de doctrine d'emploi des forces (CDEF) de l'armée de terre. L'infiltration peut se faire à la palme, en Zodiac et éventuellement en kayak, à la manière des commandos-marine. Le GCA est équipé de matériels spécifiques (appareils de prise de vue ou GPS couplés à des jumelles).
  23. @ Raoul Pas une bonne solution vu les conditions météorologiques, le terrain difficile et surtout l'éloignement. Surtout quand on sais que les forces américaines ont mis plus d'un an pour déloger les petites forces japonaises qui occupèrent les îles d'Attu et Kiska à l'extrémité occidentale des Aléoutiennes en octobre 1942. Et il faut aussi penser dans cette Unchronie que la chute d'Hawaî entraine la chute de Midway et Wake. La voie Sud via Tahiti me semble une meilleur solution.
  24. Le 8 décembre 1941 les japonais débarque à Hawaï. Le 7 décembre après une troisième et quatrième vague de bombardement les Cuirassiers et les Croiseurs commencent à bombarder les iles d’Hawaï. Dans le même temps une deuxième flotte japonaise avec des navires de transport et de ravitaillement se rapproche par le sud. Avec environ 100 000 soldats escortées par un Cuirassier quatre Croiseurs et de nombreux Destroyers. Le 8 décembre au matin les navires de débarquement japonais se rapprochent de la côte les survivants américains qui ont subi une nuit entière de bombardement navale sont à bout de souffle. La défense des plages est complètement désorganisée. Avant l’arrivée des premières chaloupes de troupes japonaises les Zéro font un dernier passage en piqué sur les derniers défenseurs. Pendant que d’autres troupes impériales débarquent en force sur les iles de l’archipel (notamment la grande ile d d’Hawaï. mal defendue). Sur Oahu ou se concentrent les troupes américaines les bombardements navales et aériens se poursuivent en même temps que de nouvelle troupes débarquent. Le 9 Décembre le porte avion « Entreprise » à cours de ravitaillement et attaquer par l’aéronavale japonaise et coule après plusieurs impact de bombe. Trois navires de son escorte subissent le même sort. Les pertes américaines dépassent maintenant les 5000 morts. Dans le même temps à terre la totalité de l’aviation américaine est détruit les 4 iles sont aux mains des japonais les combats se poursuivent sur Oahu mais ce n’est plus qu’une question de temps avant que les derniers défenseurs ne soient réduit. Au Japon d’autres transports appareil pour rejoindre les iles afin de ravitailler et renforcer le corps expéditionnaires. Le 15 décembre le drapeau japonais flotte sur toutes les iles de l’archipel et les troupes japonaises commencent à construire des fortifications en vue d’une éventuelle contre-attaque. Les installions radar ainsi qu’un dépôt de carburant ont été capturé intacte. Des bombardiers lourds japonais atterrissent sur la piste capturé intacte Un croiseur japonais rentre dans le port pour signer la réédition avec l’amiral commandant les troupes américaine à Hawaï Les Etats unis sont sous le choc et n’ont pour le moment aucun moyen pour reprendre les iles. Les porte-avions américains ont reçu l’ordre de se replier sur San-Diego pour protéger la cote américaine qui pourrait à son tour subir une attaque. Maintenant combien faudra il de temps aux américains pour reprendre l’archipel Hawaï et comment vont-ils faire ?
  25. Les Barracuda pourront aussi emporter des mines.
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