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olivier lsb

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Tout ce qui a été posté par olivier lsb

  1. Il y en a eu une, des "milliers" de manifestants, le 10 janvier. Et puis plus rien. Pour un parti qui a récolté 18% des voix au premier tour. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/01/10/roumanie-des-milliers-de-personnes-protestent-contre-l-annulation-de-l-election-presidentielle_6491426_3210.html Je ne veux pas en tirer de conclusions définitives, mais ça fait un peu léger. On sera de toute façon fixé en mai.
  2. Ca ne me parait pas inimaginable de savoir que les russes ont toujours des actifs de renseignement en Ukraine: illégaux, entreprises sous couverture etc... Ou alors encore plus banal: un entrepreneur qui a pris le pognon, en échange de quoi on lui a dit de pas poser trop de questions et de faire ce qu'il savaient faire de mieux: du "marketing" en ligne. Je ne sais pas qui a dit "pas de politique", mais on est d'accord... Notons en ce qui nous concerne que si la séquence juridique est ratée dans ses belles largeurs, le ton et les actions de l'exécutif changent et c'est dans ce contexte et cette branche du pouvoir en démocratie, qu'il faut inscrire les conclusions de Viginum. Il y une forme d'inversion accusatoire un peu fallacieuse dans ce propos. Je peux comprendre l'indignation, vu de loin. Dans le détail, on a affaire à un candidat et à une campagne qui s'est déroulé en abstraction complète avec la loi électorale, la transparence sur les financements. Que dirait-on demain de l'accession au pouvoir en France de l'ED, s'il est établi que Moscou a contribué activement à des campagnes d'information en ligne, fait péter de facto le seuil des 7 000 euros de dons aux partis par personne morale, et fait campagne le week-end du vote (ce qui est strictement interdit) ? Si le conseil constitutionnel censure les résultats d'une élection ou les réseaux sociaux ont monté le bourrichon pendant que l'ARCOM veillait à ce pas un bouton ne manque sur les chaînes de télé, que plus personne ne regarde, est-ce qu'on hurlerait à la dictature ? C'est pas évident. A quoi sert une loi électorale, si la plus haute entité juridique du pays est empêchée de l'appliquer au nom de la "volonté des gens est plus forte" ? Là aussi on aurait le début d'une autocratie, qui commence souvent par s'en prendre au pouvoir judiciaire. L'ennui, c'est qu'il n'existe pas, à ma connaissance, de cas similaire d'enfreintes aux lois électorales, par un candidat "lambda". Une telle absence est interprétée à tes yeux comme le signe d'une manipulation des opinions, mais c'est une erreur de raisonnement à mon avis. Enfin... ce journal russe titrait au sujet de la Syrie d'Assad: puisque le dictateur a été élu avec 87% des voix, où sont les électeurs en colère pour défendre leur "président" ? Je veux dire par là, si Georgescu a vraiment remporté la consultation, si tout cela était vraiment une affaire de conviction et non pas de manipulation, pourquoi n'y a t-il pas de manifestations monstrueuses en Roumanie ? Voir pas du tout ?
  3. Viginum (SGDSN) vient de sortir un rapport sur les ingérences étrangères dans la présidentielle en Roumanie. Entre les actions coordonnées et massivement artificielles qui ont été observées, le budget de campagne quasi inexistant du candidat en dépit de témoignages d'influenceurs disant avoir été payés, et le non respect de la loi électorale: retour sur une manipulation qui devait immanquablement finir par se voir. https://www.sgdsn.gouv.fr/files/files/Publications/20250204_NP_SGDSN_VIGINUM_Rapport_public_Elections_roumanie_risques_france_VFF.pdf En terme de chronologie, "l'autocrate" qui a annulé les résultats de l'élection, c'est bien la cours suprême Roumaine, en vertu de ses pouvoirs normaux et en tout indépendance. Bruxelles n'a fait que reprendre, dans le cadre de ses prérogatives, des enquêtes visant Tik-Tok sur le non respect du DSA. Plus aucun espace au monde (Chine, US, Russie, Turquie, Inde...) ne peut tolérer de liberté totale sans contrôle sur les réseaux, et ça se comprend assez aisément. Devrait-on rester les seuls à se laisser faire, au nom d'une démocratie libre d'être manipulée ou en raison de la suspicion jamais étayée d'un hypothétique "deux poids deux mesures" ? Faudrait peut être pas prendre les roumains pour des jambons non plus. Pas sûr que le pays qui a flingué Ceausescu et sa femme, goute l'idée de se laisser faire face à Tik-Tok sans contrôle et sans filtre, d'autant plus au bénéfice d'un candidat pro-russe. Trop de choses qui ne collent pas. Au passage, le rapport de Viginum adresse en substance un avertissement sans frais aux activités des influenceurs en France, dont on a eu un petit aperçu récemment, dans un autre contexte.
  4. Partie 2: l'Etat de barbarie. Le régime mis en place par le dirigeant après son coup d’Etat du 13 novembre 1970 n’a eu qu’un seul objectif : sa perpétuation, à n’importe quel prix. Reportage et rétrospective historique sur le pouvoir politique en Syrie, depuis le partie Bass jusqu'à la chute d'Assad. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/02/05/la-saga-des-al-assad-2-4-retour-sur-la-naissance-d-un-etat-de-barbarie_6532290_3210.html
  5. Rétrospective historique sur le pouvoir politique en Syrie, depuis le partie Bass jusqu'à la chute d'Assad. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/02/04/du-panarabisme-au-nationalisme-syrien-la-lente-ascension-d-hafez-al-assad_6530533_3210.html
  6. Rétrospective historique sur le pouvoir politique en Syrie, depuis le partie Bass jusqu'à la chute d'Assad. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/02/04/du-panarabisme-au-nationalisme-syrien-la-lente-ascension-d-hafez-al-assad_6530533_3210.html
  7. Rétrospective historique sur le pouvoir politique en Syrie, depuis le partie Bass jusqu'à la chute d'Assad. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/02/04/du-panarabisme-au-nationalisme-syrien-la-lente-ascension-d-hafez-al-assad_6530533_3210.html
  8. J'entends ce point, mais je crois que cette page se tourne tout doucement depuis quelques années déjà. Post 2003 et contexte Irak, oui c'était en haut de l'agenda diplomatique. Aujourd'hui, tout le monde a pris acte la mort des valeurs et des idéologies, et le retour du rapport de force brut. Les contradictions et les cohérences, tout le monde semble désormais s'en foutre comme de sa première dent. On essaie de s'en tenir à quelques principes, mais je crois qu'on a mis en sourdine, depuis quelques temps déjà, la boite à moraline. Ironie de l'histoire, c'est justement sur la Syrie, les crimes d'Assad, les armes chimiques et le soutien politique à la rébellion, que je placerais un des derniers baroud d'Honneur de notre diplomatie en lien avec ces thématiques spécifiquement. Je crois qu'aujourd'hui, il serait très excessif de dire que nous sommes dans un soutien aveugle. Au contraire, je le trouve prudent, mesuré et avançant par étape sans précipitation.
  9. Oh s'il n'y a que çà qui te chagrine, fallait le dire plus tôt. Demandons à Mistral AI, notre IA "baguette-pinard" nationale. https://chat.mistral.ai/chat Regarde, en plus il y a des points positifs identifiés à chaque fois: un vrai exercice thèse / anti-thèse / synthèse comme on l'apprend à l'école depuis la IIIe république !
  10. Interview de Wassim Nasr dans CTC (publication de Westpoint), au sujet de sa rencontre avec Al Chara et l'avenir politique de la Syrie. https://ctc.westpoint.edu/wp-content/uploads/2025/01/CTC-SENTINEL-012025.pdf
  11. Et ils se disent surement la même chose au sujet de nos politiques nationales. Et donc ? On va s'ignorer superbement pour des positions culturelles irréconciliables, dispensées pourtant dans le respect des souverainetés respectives ?
  12. Les dettes se paieront. Ca prend parfois un peu de temps, mais ça finit par arriver. Cf le post de Banzinou, et aujourd'hui toujours, un appel de Macron à Ahmad al Chara, qui l'invite en France. Ce dernier a remercié la France pour son soutien continue durant ces 14 dernières années. Comme je le disais il y a quelques pages, on serait bien fou de ne pas avancer nos pions et de tortiller des fesses à la place sur la longueur des barbes. https://www.lefigaro.fr/international/le-nouveau-dirigeant-syrien-a-recu-un-appel-d-emmanuel-macron-qui-l-invite-en-france-selon-la-presidence-du-pays-20250205
  13. Du point de vue de qui ? Des propagandistes ? Ou des millions de russes qui ont pris le chemin de l'exil ? Parce qu'en retour, alors qu'on ne manque pas de déçus de la politique par chez nous, je ne vois toujours pas les centaines de milliers d'européens faire le voyage inverse, démontant au fond que tout ne serait qu'une question de point de vue. Y'a des limites à la mauvaise foi: les choix des gens par millions comptent et veulent dire quelque chose.
  14. "Catégories" de personnes, ayant un rôle plus direct qu'indirect dans le conflit en cours. Z-Patriotes n'étant pas encore considéré comme un patronyme. La réponse de Patrick visait aussi (si j'ai bien compris la teneur des derniers échanges) à remettre un peu de perspectives dans les approches se voulant rationnelles car établies "sur le même plan" et "à froid sans parti pris". Alors on pourra regretter le ton un peu agité du propos et pas tenable dans la durée (gageons que ça se tassera d'ici demain), mais entre le lien plus que douteux établi avec Charlie Hebdo, ou les "menaces-conseils" dispensées tranquillement et régulièrement depuis 3 ans en guise "d'analyses", par un camarade qui se reconnaitra (ici, pas plus tard qu'il y a deux pages) J'aurais du mal à en vouloir au camarade Patrick pour cet accès de colère. Il y a un relativisme intrinsèque et malsain dans les discours russes, qui percent dans les consciences (ou inconsciences) collectives et s'emploient désormais "par analogie" à détruire ou questionner nos symboles nationaux et culturels de paix et de tolérance, dont Charlie fait partie. Bezmenov ne disait pas autre chose en son temps, au sujet des stratégies de conquête et de soumission d'un état sans passer par un affrontement chaud. Lecornu pareillement, pour une référence plus contemporaine. Je crois qu'au fond, c'est ce qui agite notre camarade Patrick et on peut le comprendre.
  15. La campagne d'assassinats ciblés de responsables russes se poursuit, avec un chef paramilitaire victime d'un attentat à la bombe à Moscou. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/02/03/armen-sarkissian-nouvelle-cible-a-moscou-d-assassinats-contre-des-personnalites-engagees-dans-la-guerre-contre-l-ukraine_6529633_3210.html
  16. Signalons juste au passage que la modération met des points pour beaucoup moins que çà.
  17. Par une opération, il n'était pas question de vengeance ou de violence gratuite mais de règlement du problème, avec une part de risques assumée: ça a été envisagé, c'était pas inimaginable comme projet de solution. La question ne se pose plus. A voir les évolutions à venir dans la région. Quant à rendre aux russes leur monnaie de la pièce, avec une action symétrique (donc sans mort d'homme je précise), je vois pas où serait le problème, à moins d'avoir intériorisé une infériorité psychologique dès lors qu'il est question des russes.
  18. Je peux le comprendre politiquement. Mais quand le gain politique se fait au détriment de notre puissance de renseignement, qui a été sérieusement écornée dans cette affaire, ça me pose un gros problème. Pour un gain politique, que je juge mineur pour ma part et sans beaucoup de bénéfices pour la France, les activités de renseignements françaises ont pris une belle balle dans le pied. Le constat vu de l'intérieur des services, en forçant un peu le trait, c'est du genre: allez y, enlevez nos gars, exigez votre rançon, c'est un pari gagnant il va pas se passer grand chose en retour, nos agents qui vont traîner des pieds pour des déplacements a priori sans risque, tous les services étrangers qui vont vouloir nous vendre des services d'intermédiation (jamais gratuits) etc...
  19. Mon point était de dire que les armes chimiques n'ont pas le même pouvoir dissuasif que les armes nucléaires, en dépit (un point que j'ai jamais nié et que tu rappelles) d'une classification pourtant semblable. Et les exemples que tu donnes démontres justement cet état de fait: la CdN ne s'est pas lancé dans un programme chimique (qui existe peut être par ailleurs, sans être suffisant) alors que c'eut été plus à sa portée que le nuke. Idem pour les Iraniens et à l'inverse, le programme Syrien n'a jamais dissuadé Israël de quelques coups de force. D'ailleurs dans la région, on a laissé ses armes chimiques à Saddam mais on lui a interdit le nuke dès qu'il a osé y penser et commencé à le construire (Osirak). Et puis dès que les américains sont concernés, ADM nuke ou chimiques, existantes ou pas, tout est prétexte pour demander un recul. Que les textes et doctrines disent que ces armes sont équivalentes, j'en conviens que c'est l'état de la théorie. En pratique, et c'était l'essence de ma remarque, il en va différemment. Les exemples politiques que tu cites sont issus d'une époque je crois malheureusement révolue.
  20. On est d'accord, mais justement, ce n'est pas notre position de fond qui devrait "s''arranger" des circonstances. Or c'est le cas ici: à tort ou à raison et je ne veux pas discuter du fonds de l'affaire, on a du brusquer notre position historique vis à vis du Maroc (ie ne pas avaliser une forme d'annexion) pour accélérer le déblocage d'une autre affaire. La force tranquille ne transige pas le fonds de certains dossiers pour en débloquer d'autres, qui sont contraints et étaient imprévisibles. On est en réaction permanente et on perd le fil de nos positions historiques, non pas pour des évolutions de fonds mais pour réagir à des actualités imposées. C'est çà qui me gène et c'est çà qui est un marqueur de faiblesse.
  21. Il y a clairement des oreilles qui ont du siffler et je rejoins vos remarques sur les procédures de sécurité opérationnelle, qui ont été pour le moins négligées. Un petit point à décharge toutefois: ces hommes intervenaient dans le cadre d'un partenariat que l'on croyait entendu, en leur qualité d'agents de la DGSE et sans couverture. Et pour cause, on comprend qu'il y avait une coopération avec le service Burkinabé en cours. En coulisse, pourtant, la coopération opérationnelle se poursuit entre l’agence nationale de renseignement (ANR) burkinabée et la DGSE. C’est dans ce cadre que les quatre hommes se rendent à Ouagadougou, le 29 novembre 2023. Membres de la direction technique qui gère les systèmes informatiques et de télécommunications, ces techniciens y sont présents pour une opération ponctuelle de quelques jours. Blâmer la légèreté (indiscutable) des procédures sert peut être aussi à masquer d'autres manquements, à un niveau bien plus élevé, dans l'analyse politique de la coopération diplomatique et entre services. Dans le cadre des multiples bascules observées de pays africains vers Moscou. Encore un aveuglement de notre part qui nous a couté cher ?
  22. Oui. Et tu as lu les contreparties concédées au Maroc, dont on comprend en filigrane que rien n'aurait pu se faire sans l'aval de leurs prétentions sur le Polisario (+60 millions d'euros parce qu'on est pas des sauvages) ? La piteuse tournée des popotes de la DGSE pour trouver un service médiateur ? Tout çà parce que 20 agents du GRU sur instructions du Kremlin auraient réussi à convaincre un colonel putchiste du Burkina, qu'il n'avait pas grand chose à craindre de prendre en otage 4 agents de la DGSE ? Lesquels avaient été envoyés sur invitation de l'ANR, dans ce qui se révéla être un guet-apens. Agence dont le patron est passé par Saint-Cyr puis a été formé par la DGSE (!!!). A une époque, on appelait çà la Françafrique et à ce qu'il parait, on en retirait quelques avantages. Aujourd'hui, c'est le poignard dans le dos. Est-ce que tu imagines tous les coups qu'on a pas fini de prendre si on se laisse rouler dans de telles circonstances ? Si on a pas fait cette opération car trop risquée, ce que je peux parfaitement entendre, j'espère simplement que ça n'en restera pas là. L'humiliation et la perte de crédibilité sont énorme. Ca a (entre autre) couté son poste à Emié, je ne serais donc pas le seul à le penser.
  23. Je ne suis pas sûr de comprendre le fond de ton objection. J'ai écrit qu'aucun pays n'avait été aussi loin que l'Ukraine, à la fois dans le processus d'échange, qui ne se compte pas qu'en ogives restituées mais qui a surtout été juridiquement formalisé, puis dans la survenance d'un événement que l'accord juridique était sensé justement couvrir et parer.
  24. Eh bien je crois que c'est l'idée générale de l'emploi des forces spéciales ou de l'armée à l'étranger: l'envoi d'un message politique, contre une prise de risque assumée, rien de révolutionnaire. Je ne connais pas les détails de la balance des risques, je peux comprendre qu'elle a été dissuasive. N'empêche qu'en ayant employé la méthode douce, je ne suis pas certain qu'on ait dissuadé de ne pas procéder de la sorte, pour tous ceux qui voudront nous chier dans les bottes. Qu'on ne puisse pas sortir 4 gusses de l'Azerbaïdjan ou de l'Algérie dans un scenario similaire, je pourrais le comprendre. Du Burkina, avec ce qu'il nous restait d'infra à l'époque, c'est déjà plus emmerdant comme aveu de faiblesse. D'ailleurs, l'article le dit aussi: à la DGSE, certains personnels s'inquiètent légitimement pour leur sécurité lorsqu'ils sont déployés. Cette mission ne présentait pas un profil de risque particulièrement élevé, et c'est là tout le problème.
  25. Je disais que seule l'Ukraine avait été aussi loin dans ce processus d'échange d'armes nucléaires (après en avoir détenu en propre), contre des garanties formelles de sécurité. L'Ukraine et l'Afrique du Sud, mais pour cette dernière, sans l'amère expérience d'avoir eu à affronter un conflit existentiel depuis. Et on va arrêter deux minutes les fausses équivalences entre WMD: si l'emploi du chimique était aussi grave et sensible que le nucléaire, ça fait 10 ans que Bachar aurait été rayé de ce monde. Sans parler de Saddam à l'époque. Mais ton rappel des pays qui se sont approchés du seuil du nucléaire reste pertinent: c'est à eux (entre autre, sans que ce soit une liste exhaustive) que VZ s'adressait en leur disant en substance de ne pas croire ce que les occidentaux (sans parler des russes ou des chinois, mais ça va sans dire) pourraient promettre contre l'abandon d'un programme nucléaire. Ces pays, avec d'autres, notamment en Asie, observent et sont désormais prévenus. C'est aussi çà la part de responsabilité des renoncements britanniques et américains sur le memorandum de Budapest.
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