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Tout ce qui a été posté par Wallaby
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Blocage des flux commerciaux Maritimes mondiaux
Wallaby a répondu à un(e) sujet de herciv dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.commondreams.org/news/us-bombs-yemen (17 octobre 2024) Les États-Unis déploient des bombardiers furtifs B-2 pour attaquer le Yémen sans l'approbation du Congrès- 1 995 réponses
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Relations et Rivalité Chine / Etats-Unis
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
https://thediplomat.com/2024/10/the-us-risks-irrelevance-in-asia/ Alors que les responsables politiques américains affirment souvent que les États-Unis sont la principale source d'investissements directs étrangers en Asie du Sud-Est, cela n'est vrai que si l'on considère le stock. De nouvelles données de l'Institut Lowy indiquent qu'au cours de la dernière décennie, la Chine a investi beaucoup plus dans la région que les États-Unis (218 milliards de dollars pour la Chine contre 158 milliards de dollars pour les États-Unis). Conscientes de l'influence économique dominante de la Chine dans la région, davantage d'élites d'Asie du Sud-Est déclarent aujourd'hui qu'elles choisiraient la Chine plutôt que les États-Unis si elles devaient choisir entre les deux, selon une enquête récente de l'Institut ISEAS-Yusof Ishak [1]. C'est la première fois que Pékin éclipse Washington en tant que partenaire de choix. Les décideurs politiques de Washington se font des illusions s'ils élaborent une stratégie régionale en partant du principe que les États-Unis jouissent toujours d'une primauté incontestée en Asie. Comme l'a récemment souligné Van Jackson, « il y a de la puissance dans la retenue, mais l'exercice de la force accélère le déclin hégémonique ». En Indonésie et en Malaisie, des citoyens ont boycotté des entreprises américaines telles que McDonald's et Starbucks pour exprimer leur indignation face au soutien de Washington à la guerre d'Israël à Gaza. [1] https://www.iseas.edu.sg/wp-content/uploads/2024/03/The-State-of-SEA-2024.pdf p.3 Les répondants étaient issus de cinq catégories d'affiliation : (a) universitaires, groupes de réflexion ou chercheurs ; (b) représentants du secteur privé ; (c) représentants de la société civile, d'ONG ou des médias ; (d) fonctionnaires ; et (e) personnel d'organisations régionales ou internationales. Une moyenne de pondération de 10 % a été appliquée aux réponses de chaque pays afin de calculer les chiffres moyens pour l'ensemble de l'Association des Nations d'Asie du Sud Est (ANASE). Cette pondération vise à garantir que les réponses de chaque pays sont représentées dans des proportions égales, étant donné que les processus décisionnels de l'ANASE reposent sur le fait que chaque pays dispose d'une voix égale, indépendamment de sa situation géographique ou de sa population. p.4 La Chine continue d'être considérée comme la puissance économique (59,5 %) et politico-stratégique (43,9 %) la plus influente de la région, dépassant les États-Unis par des marges significatives dans les deux domaines. Parmi les onze partenaires de dialogue de l'ANASE, la Chine (score moyen de 8,98 sur 11,0) arrive en tête en termes de pertinence stratégique pour l'ANASE, suivie par les États-Unis (8,79) et le Japon (7,48). Les partenaires les moins importants sur le plan stratégique sont : l'Inde (5,04), le Canada (3,81) et la Nouvelle-Zélande (3,70). p.5 La Chine a dépassé les États-Unis pour devenir le choix dominant (50,5 %) si la région devait s'aligner sur la rivalité actuelle entre les États-Unis et la Chine. Le choix des États-Unis est passé de 61,1 % l'année précédente à 49,5 %. Près de la moitié des personnes interrogées (46,8 %) pensent que l'ANASE devrait renforcer sa résistance et son unité pour faire face aux pressions exercées par les deux grandes puissances. Le Japon reste la grande puissance en laquelle les Asiatiques du Sud-Est ont le plus confiance (58,9 %). Les États-Unis arrivent loin derrière (42,4 %), devançant de peu l'Union européenne (41,5 %). La moitié des personnes interrogées (50,1 %) expriment leur méfiance à l'égard de la Chine, 45,5 % d'entre elles craignant que la Chine n'utilise sa puissance économique et militaire pour menacer les intérêts et la souveraineté de leur pays. -
Chine
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
https://thediplomat.com/2024/10/why-chinas-rock-music-scene-isnt-bothered-by-a-troublesome-textbook/ « C'est dingue. Encore plus que vous ne pouvez imaginer », a déclaré Yang Haisong, l'un des rockers indépendants les plus vénérés de Chine. Il réagissait à l'information récente concernant un manuel universitaire qui dénigre l'internet, la musique pop et son genre de prédilection, le rock n' roll, en les qualifiant de pièges occidentaux supposés dangereux qui pourraient déclencher une « révolution des couleurs » parmi les jeunes Chinois. Le 4 septembre, le South China Morning Post a rapporté que le manuel avait été publié pour la nouvelle année scolaire. Intitulé « National Security Education Reader for College Students », il « sera utilisé dans le cours de base sur l'éducation à la sécurité nationale dans les universités ». -
Moldavie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lefigaro.fr/international/moldavie-avance-du-non-au-referendum-sur-l-ue-la-presidente-denonce-des-ingerences-20241021 Car même si le «oui» l'emporte finalement de justesse, ce résultat, sans remettre en cause les négociations avec les Vingt-Sept, « affaiblit en quelque sorte l'image pro-européenne de la population et le leadership de Maia Sandu », commente pour l'AFP le politologue français Florent Parmentier, spécialiste de la région. -
https://ecfr.eu/podcasts/episode/swamp-chronicles-ed-luce-on-what-is-at-stake-in-the-2024-election/ (17 octobre 2024) Aslı Aydıntaşbaş et Jeremy Shapiro s'entretiennent avec Edward Luce, rédacteur national américain et chroniqueur au Financial Times et auteur de The Retreat of Western Liberalism sur ce qu'une victoire de Kamala Harris ou de Donald Trump signifierait pour l'Amérique.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.euractiv.com/section/politics/news/polish-support-for-receiving-ukrainian-refugees-reaches-new-low/ & https://unn.ua/en/news/record-figures-support-for-the-reception-of-ukrainian-refugees-in-poland-has-fallen-to-53percent (11 octobre 2024) Le nombre de Polonais qui pensent que le pays devrait accueillir des réfugiés de guerre ukrainiens est tombé à 53 %, soit le niveau le plus bas depuis février 2022, lorsque 94 % des personnes interrogées se disaient favorables à l'accueil des réfugiés. Ce chiffre est resté supérieur à 80 % tout au long de l'année 2022. Selon CBOS, l'institut estime que le déclin rapide du soutien observé en 2023 pourrait être lié à la « crise céréalière ». Dans le même temps, 46 % des personnes interrogées souhaitent que l'Ukraine poursuive le combat, tandis que 39 % sont favorables à la paix, même au prix de concessions territoriales ou politiques de la part de l'Ukraine. Lorsqu'on leur demande s'ils pensent que l'Ukraine devra céder une partie de son territoire, 44 % répondent par l'affirmative, tandis que 19 % pensent que les Russes se retireront des territoires occupés à partir de 2022, et 6 % pensent qu'ils céderont les territoires occupés depuis 2014. Seuls 4 % pensent que la Russie conquerra entièrement l'Ukraine. https://www.aljazeera.com/news/2024/2/23/no-collapse-of-polish-ukrainian-relations-after-two-years-of-russias-war (23 février 2024) Selon Poland at War, un nouveau livre du journaliste polonais Zbigniew Parafianowicz basé sur des entretiens avec des fonctionnaires et des décideurs, les relations entre les deux pays ont commencé à se détériorer lorsqu'un missile égaré ukrainien est tombé sur la ville de Przewodow, dans l'est de la Pologne, tuant deux personnes. Malgré toutes les preuves du contraire, Zelenskyy a insisté sur le fait que le missile était russe, ce qui a semé les premières graines de la méfiance entre les alliés, selon l'auteur. En mai 2023, la Pologne, ainsi que d'autres États d'Europe centrale, a interdit les importations [agricoles] en invoquant la protection des intérêts des agriculteurs locaux, une décision considérée par l'Ukraine comme un coup de poignard dans le dos. En réponse, lors de l'Assemblée générale des Nations unies en septembre, M. Zelenskyy a accusé la Pologne d'aider la cause de Moscou. Alors que le nouveau Premier ministre Donald Tusk s'est rendu en Ukraine en janvier et a exprimé sa solidarité dans la guerre contre la Russie, il a précisé que les intérêts économiques de la Pologne resteraient sa priorité. Retour de la Realpolitik « Il n'y a pas d'effondrement des relations polono-ukrainiennes », a déclaré M. Parafianowicz à Al Jazeera. « Ce que nous voyons, c'est un tournant réaliste... Les Ukrainiens ont commencé à réaliser que la Pologne allait défendre avec assurance ses intérêts économiques ». En octobre 2023, 67 % des Ukrainiens avaient une opinion positive des Polonais. Trois mois plus tard, ils n'étaient plus que 44,5 %. Les auteurs de l'enquête ont cité les protestations frontalières comme principal facteur. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.dw.com/en/political-row-breaks-out-in-germany-over-ukrainian-refugees/video-69491817 (27 juin 2024) 00:16 Environ 22% des réfugiés ukrainiens en âge de travailler ont un emploi en Allemagne. https://www.dw.com/en/germanys-center-right-gets-tough-on-ukrainian-refugees/a-69413179 (24 juin 2024) Quelque 185 000 réfugiés ukrainiens ont un emploi et paient des cotisations de sécurité sociale. En octobre 2023, une étude de la Fondation Friedrich Ebert a révélé que l'intégration des réfugiés de guerre ukrainiens sur le marché du travail allemand était inférieure à celle des autres pays de l'UE : alors que seulement 18 % des réfugiés ukrainiens avaient trouvé un emploi en Allemagne, en Pologne, en République tchèque et au Danemark, ce chiffre était de deux tiers ou plus. -
co² Economie et climat. CO2 or not CO2?
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Jojo67 dans Economie et défense
https://www.scientificamerican.com/article/pipelines-touted-as-carbon-capture-solution-spark-uncertainty-and-opposition/ (1er octobre 2023) Aux États-Unis, une fronde contre les gazoducs à CO2 mis en oeuvre dans le cadre de la capture de CO2. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lenouvelespritpublic.fr/podcasts/1092 (20 octobre 2024) Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung : 30:02 La France a plutôt fait une bonne expérience mais elle a pris un nombre très très faible d'Ukrainiens, et l'Allemagne qui après la Pologne est le pays qui a accueilli le plus de réfugiés ukrainiens, c'est le deuxième point tournant après les attentats de Solingen : l'expérience, le bilan est très mitigé. D'un côté on a fait le constat que nos infrastructures sont vraiment complètement saturées, et deuxièmement, qu'on a beaucoup de mal à intégrer les Ukrainiens dans notre marché du travail. Les chiffres sont abominables, et ça a engendré un débat. (...) On a instauré un système de favoritisme pour les Ukrainiens qui est ressenti de façon très forte par les autres migrants, et donc ça a créé des tensions assez fortes. Donc je pense qu'il ne faut pas croire que ce n'est qu'en Allemagne de l'Est qu'il y a ce rejet : c'est largement un mouvement aujourd'hui soutenu par l'opinion publique dans les Länder de l'Ouest de l'Allemagne aussi. https://kyivindependent.com/polish-attitudes-toward-ukrainian-refugees-deteriorating-survey-says/ (19 juin 2024) Plus de deux ans après le début de la guerre, les Polonais ont une attitude plus négative à l'égard des réfugiés ukrainiens dans presque tous les domaines mesurés, à l'exception de l'accueil des enfants ukrainiens dans les écoles, selon une enquête de l'université de Varsovie et de l'université d'économie et de sciences humaines de Varsovie publiée par Rzeczpospolita le 18 juin. Selon l'enquête, les prestations sociales accordées aux réfugiés ukrainiens ont toujours été l'aspect le plus problématique, la grande majorité des Polonais (95 %) estimant qu'elles devraient être réduites. Seuls 17 % des Polonais accepteraient des réfugiés ukrainiens avec la possibilité d'une installation à long terme, contre 37 % il y a plus d'un an. Quelque 61 % des personnes interrogées souhaitent que les Ukrainiens retournent dans leur pays d'origine après la guerre. Environ 72 % des personnes interrogées ont déclaré qu'en dépit de la guerre entre l'Ukraine et la Russie, la Pologne devrait avant tout veiller à ses propres intérêts, notamment en ce qui concerne le commerce des denrées alimentaires. Seuls 15 % sont d'un avis contraire. Les différends commerciaux, notamment les importations agricoles ukrainiennes, ont envenimé les relations entre Kiev et Varsovie depuis 2023, entraînant des blocages intermittents de la frontière par des manifestants polonais. Environ 31 % des Polonais pensent que la Pologne doit absolument aider l'Ukraine (une baisse par rapport aux 62 % de janvier 2023), tandis que 43 % sont « plutôt d'accord ». Quelque 19 % s'opposent à l'aide à l'Ukraine, selon l'enquête. L'aide matérielle à l'Ukraine, sous forme de dons de nourriture et de vêtements, bénéficie toujours d'un fort soutien (62 %), mais même dans ce cas, les chiffres sont en baisse par rapport aux enquêtes précédentes. https://www.thenewhumanitarian.org/news-feature/2024/03/05/poland-ukrainian-refugees-ask-when-they-will-go-home (5 mars 2024) Environ 65 % des réfugiés ukrainiens en Pologne ont désormais trouvé du travail, tandis que leur nombre a diminué et s'est stabilisé à un peu moins d'un million. Certains ont décidé de retourner en Ukraine pour retrouver des membres de leur famille. D'autres se sont installés dans d'autres pays de l'UE où ils espéraient trouver de meilleures opportunités. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Le terme de "propagandiste", péjoratif, est-il approprié ? Les Ukrainiens qui font la même chose en documentant la vision ukrainienne de la guerre sont-ils eux aussi des "propagandistes" ? Y a-t-il une différence sensible entre les relations des miliblogueurs ukrainiens et l'État Ukrainien et les relations entre les miliblogueurs russes et l'État russe ? L'emploi du terme "propagandiste" suggère que la relation est plus étroite dans le cas russe. Mais dans ce cas, pourquoi "contribuent-ils à radicaliser" cette opération militaire spéciale déclenchée par Vladimir Poutine, comme si ils la radicalisaient plus que Poutine lui-même, comme s'ils étaient plus royalistes que le roi ? Et si tel est le cas, sont-ils des propagandistes au sens de marionnettes manipulées par ledit roi pour dire ce que le roi veut qu'ils disent ? Ainsi donc, ces "propagandistes" font de l'ombre à la communication officielle. C'est ça un "propagandiste" ? Un "propagandiste", c'est quelqu'un qui ternit la communication officielle ? Je pense qu'Isabelle Mandraud n'a rien compris. Ces gens ne sont pas des propagandistes qui relaient un message auquel ils ne croient pas, mais des convaincus qui croient à ce qu'ils disent, à tort ou à raison. C'est ce que dit Stephen Kotkin à propos d'un autre groupe qui soutient le régime Poutine, le groupe des oligarques : Les oligarques sont sincères dans leur patriotisme. De même les miliblogueurs sont sincères dans leur patriotisme. Peut-être que ce patriotisme est mal placé, parce qu'il conduit la Russie sur une trajectoire non soutenable. Mais il n'est pas insincère. -
BRICS - Coordination, Solidarité et Influence
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/affaires-etrangeres/sommet-des-brics-poutine-et-le-sud-global-2715672 (19 octobre 2024) Dorothée Schmid (DS) Responsable du programme Turquie/Moyen-Orient de l'Ifri Isabelle Facon (IF) Directrice adjointe à la Fondation pour la recherche stratégique, spécialiste des politiques de sécurité et de défense russes Michel Duclos (MD) Conseiller spécial géopolitique et diplomatie à l’Institut Montaigne, ancien ambassadeur Julien Vercueil (JV) Économiste, professeur des universités en économie et vice-président de l’Institut national des langues et civilisations orientales (INALCO), spécialiste de la Russie, des économies post-soviétiques et analyste des BRICS 09:01 MD : Année après année, malgré tout, la Russie est capable de montrer qu'elle est du côté des pays qui montent (...) c'est étonnant de la part d'un aussi vieux pays. 10:30 MD : L'Inde est plus franchement pro-Israël. Mais il faut noter quand même que très vite, en l'espace de 15 jours peut-être, l'Inde s'est ralliée à l'idée de cessez-le-feu. Donc elle a été quand même assez vite convaincue par les arguments des autres. 24:09 IF : La Chine ne veut pas que la Russie s'écroule. 30:09 JV : Le plus petit dénominateur commun de ce groupe, c'est le discours sur la gouvernance économique mondiale, parce que c'est un discours qui a une rationalité et un fondement objectif sur lequel ils seront toujours d'accord. 34:27 JV : Je pense qu'il y a tout à fait les moyens pour le groupe des BRICS de créer quelque chose d'assez efficace qui permette de se passer du système SWIFT pour authentifier les transactions. 37:04 DS : J'ai demandé à un haut fonctionnaire bruxellois qui mettait en cause la cohérence des BRICS : est-ce que la cohérence est plus importante au G7 ? 40:15 MD : Ce qui était très frappant [chez des puissances moyennes comme l'Inde ou l'Indonésie] c'est cette tentation de l'équidistance. 53:34 MD : Pour les Européens, c'est une occasion manquée, parce que dès 2014-2015 on aurait dû se faire le raisonnement : il est en train de se passer quelque chose. Et là, les Russes et les Chinois ont fait une OPA. (...) Nous Européens, nous aurions pu proposer ce type de format, d'abord à l'Inde, au Brésil et à l'Afrique du Sud, et ensuite à d'autres. 55:08 MD : En tant que professionnel, moi je dis : chapeau ! les Russes, parce qu'ils ont créé un truc qui leur a donné... c'est repris maintenant par les Chinois, mais malgré tout cela reste une entreprise russo-chinoise avec une très grande capacité d'attraction. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Je peux vous proposer une légende pour cette image. Scholz dit : je viens d'avoir Poutine au téléphone et on s'est mis d'accord sur le nombre de km² qu'il allait pouvoir prendre en Ukraine. Macron furieux : comment je vais faire pour expliquer à mes électeurs qu'on arrête pas la Russie inarrêtable, et qu'on lui cède de précieux km² existentiels pour l'Europe et pour la France ? Tant qu'à faire on aurait dû prendre le TGV et faire cette réunion sans Zelensky à Munich, plutôt qu'à Berlin. Les Tchécoslovaques aussi n'étaient pas invités à Munich. -
L'idée est peut-être celle d'une "machine électorale" : https://en.wikipedia.org/wiki/Political_machine Dans les démocraties représentatives, une machine politique est une organisation de parti qui recrute ses membres par le biais d'incitations tangibles (telles que de l'argent ou des emplois politiques) et qui se caractérise par un degré élevé de contrôle de l'activité des membres par les dirigeants. Le pouvoir de la machine repose sur la capacité du chef ou du groupe à faire voter pour ses candidats le jour de l'élection. L'expression « machine politique » remonte au 19e siècle aux États-Unis, où de telles organisations existent dans certaines municipalités et certains États depuis le 18e siècle[6]. À la fin du XIXe siècle, les grandes villes des États-Unis - Boston, Chicago, Cleveland, Kansas City, New York, Philadelphie, St. Louis, Memphis- ont été accusées d'utiliser des machines politiques[7 ]. À cette époque, « les villes ont connu une croissance rapide sous un gouvernement inefficace »[7]. La machine de chaque ville fonctionnait selon un système hiérarchique avec un « patron » qui bénéficiait de l'allégeance des chefs d'entreprise locaux, des élus et des personnes qu'ils avaient nommées, et qui connaissait les boutons proverbiaux sur lesquels il fallait appuyer pour faire avancer les choses. La règle des machines politiques a engendré des avantages et des problèmes. Ce système de contrôle politique - connu sous le nom de "patronisme" - est apparu en particulier à la période du " Gilded Age "(l 'âge doré). Une seule figure puissante (le patron) était au centre et était liée à une organisation complexe de figures moins importantes (la machine politique) par la réciprocité dans la promotion de l'intérêt financier et social. L'une des plus tristement célèbres de ces machines politiques est Tammany Hall, la machine du parti démocrate qui a joué un rôle majeur dans le contrôle de la ville de New York et de la politique new-yorkaise, et qui a aidé les immigrants, notamment les Irlandais, à s'élever dans la politique américaine des années 1790 aux années 1960. À partir de 1872, Tammany a eu un « patron » irlandais. Cependant, Tammany Hall a également servi de moteur à la corruption politique, notamment sous la direction de William M. « Boss » Tweed au milieu du 19e siècle. https://fr.wikipedia.org/wiki/Tammany_Hall À partir des années 1830, le Tammany Hall recrute des bandes criminelles pour agresser des adversaires politiques et contrôler le processus électoral. De leur côté, les forces de police ferment les yeux sur les activités de ces bandes ou y participent directement. Ainsi, le capitaine Isaiah Rynders et ses adjoints, US Marshall du 6e arrondissement de New York, comptent parmi les principaux chefs de la pègre locale4. En 1834, un conflit éclate entre la Tammany Hall et les syndicalistes de la NTU (National Trades' Union)5 qui reprochent à l'organisation d'adapter les lois en faveur du patronat. En retour, les syndicats sont dénoncés comme étant des associations antidémocratiques, athées, inspirées de l'étranger et illégales. Un pamphlet fortement diffusé dans la presse va jusqu'à accuser les syndicalistes d'ériger une « aristocratie de fait, oppressive et illégitime4. » La Tammany Hall est devenue un symbole de la corruption au sein des machines électorales du Parti démocrate
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D'après Johnny Harris, il y a un paradoxe : avant l'arrivée de Musk, durant la période avril-octobre 2022, Twitter acceptait 50% des demandes de censure gouvernementales en provenance des différents pays du monde. Après l'arrivée de Musk, durant la période octobre 2022-avril 2023, les demandes de censure gouvernementales ont augmenté "probablement parce que Musk s'est débarrassé de la censure automatique", mais le Twitter de Musk accède à 80% des demandes de censures gouvernementales.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Je suis d'accord. Je critique la surextension (overstretch en anglais), mais la sous-traitance me parait être une réponse intelligente au problème posé par la surextension. La surextension est une hybris, et l'hybris est plutôt un signe de santé, mais désordonnée, trop peu soucieuse du coût à long terme. L'hybris, que je situe à Trajan, donc relativement tôt dans l'histoire de l'empire, n'est pas la même chose que la décadence, cette dernière étant une usure, une vieillesse qui est un naufrage, un épuisement des ressources. C'est ce qui est en train de nous arriver avec la fin du pétrole. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Oui, mais avec une taille plus raisonnable, puisque l'empire d'Orient, c'est la moitié de l'empire complet qui était Orient + Occident. Et des réformes significatives, des simplifications qui réduisent les coûts, soulignées par Joseph Tainter dans son livre "The Collapse of Complex Societies" (l'effondrement des sociétés complexes), à l'appui d'une thèse qu'on peut résumer ainsi : la complexification amène des rendements décroissants et finalement l'effondrement. Les réformes doivent donc inverser le processus de complexification et simplifier. L'empire Romain d'Orient pour survivre, a dû lâcher du lest. Ce lest, c'était l'Occident. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Cette idée a pour elle le précédent de l'empire romain, qui incapable de se défendre lui-même - mais c'est le prix à payer quand on s'étend inconsidérément : j'ai parlé des aventures Trajan et d'Hadrien en Mésopotamie dans un autre post - sous-traitait sa défense aux barbares. Nous sommes bien placés pour le savoir puisque les Francs sont entrés dans l'histoire de cette façon. Je n'ai pas lu "Homo deus", donc je ne comprends pas tout. Ni le mot "acculturé" ainsi employé. [exemple : les familles d'immigrants s'installant aux U.S.A. seront dites acculturées lorsqu'elles seront « américanisées » https://www.cnrtl.fr/definition/acculturer ] La nouvelle bourgeoisie est-elle inculte ? Un groupe a toujours une culture. Il suffit d'y envoyer un sociologue ou un anthropologue et il va se mettre à décrire la culture de ce groupe, quelle qu'elle soit. Je reviens souvent aux arguments de Gérard Chaliand et André Dumoulin sur la mentalité "zéro morts" qu'ils lient à la démographie : https://forum.air-defense.net/topic/26674-guerre-russie-ukraine-2022-considérations-géopolitiques-et-économiques/page/921/#comment-1709914 Dans ce contexte, le sacrifice n’a plus de sens et l’objectif premier de la victoire pourrait être le « zéro morts ». Pour Gérard Chaliand, l’analyse sur le faible et le fort est insuffisant : « en pratique, le faible est prêt à perdre dix hommes, et le fort ne veut pas en perdre un seul. À partir de là nous sommes à égalité, je dirais même que le conflit est inégal : le temps travaille en faveur du camp d’en face, prêt à payer le prix du sang, alors que nous, nous ne sommes plus dans les conditions qui nous permettent de le faire » Ou on pourrait peut-être aussi en revenir à la théorie d'Ibn Khaldoun sur l'assabiyya. Peut-être que l'Ukraine avec un sens plus primitif du collectif et du sacrifice, a quelque chose à apporter à un occident devenu décadent. L'Ukraine aurait plus d'assabiyya que la France, ou l'Allemagne ou l'Amérique, et dans ce sens elle aurait une carte à jouer, comme naguère les Francs auprès des Romains. https://fr.wikipedia.org/wiki/Asabiyya -
Moldavie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Le tout en s'auto-proclamant parangon de démocratie. Alors que contraindre les choix des électeurs du futur par ceux des électeurs du présent, c'est nier la liberté de choix des électeurs du futur. -
https://www.commonwealthfund.org/publications/surveys/2023/oct/paying-for-it-costs-debt-americans-sicker-poorer-2023-affordability-survey (26 octobre 2023) Résultats de l'enquête 2023 du Commonwealth Fund sur l'abordabilité des soins de santé Comme le montrent les réponses, de nombreux Américains, quelle que soit l'origine de leur assurance, bénéficient d'une couverture inadéquate qui les a conduits à retarder ou à renoncer à des soins, à contracter des dettes médicales importantes et à aggraver leurs problèmes de santé. Bien qu'il soit toujours préférable d'avoir une assurance maladie que de ne pas en avoir, les résultats de l'enquête remettent en question l'hypothèse implicite selon laquelle l'assurance maladie aux États-Unis permet d'accéder aux soins à un prix abordable. Le SSRS a interrogé un échantillon national représentatif de 7 873 adultes âgés de 19 ans et plus entre le 18 avril et le 31 juillet 2023. Notre analyse porte sur 6 121 répondants en âge de travailler, c'est-à-dire âgés de 19 à 64 ans. Principaux résultats de l'enquête Une grande partie des adultes assurés en âge de travailler interrogés ont déclaré qu'il était très ou assez difficile de payer leurs soins de santé : 43 % des personnes couvertes par un employeur, 57 % des personnes couvertes par un marché ou un plan individuel, 45 % des personnes couvertes par Medicaid et 51 % des personnes couvertes par Medicare. De nombreux adultes assurés ont déclaré qu'eux-mêmes ou un membre de leur famille avaient retardé ou renoncé à des soins de santé ou à des médicaments sur ordonnance nécessaires parce qu'ils n'en avaient pas les moyens au cours des 12 derniers mois : 29 % des personnes couvertes par un employeur, 37 % des personnes couvertes par un marché ou un plan individuel, 39 % des personnes inscrites à Medicaid et 42 % des personnes bénéficiant de Medicare. Les retards dans l'obtention des soins ou l'absence de soins dus aux coûts ont rendu les gens plus malades. Cinquante-quatre pour cent des personnes couvertes par un employeur qui ont déclaré avoir retardé ou renoncé à des soins en raison des coûts ont indiqué que leur problème de santé ou celui d'un membre de leur famille s'était aggravé à cause de cela, tout comme 61 % des personnes couvertes par un marché ou un marché individuel, 60 % des personnes couvertes par Medicaid et 63 % des personnes couvertes par Medicare. La couverture d'assurance n'a pas empêché les gens de contracter des dettes médicales. Trente pour cent des adultes couverts par un employeur remboursaient des dettes liées à des soins médicaux ou dentaires, tout comme 33 % des personnes bénéficiant d'une assurance sur le marché ou d'une assurance individuelle, 21 % des personnes bénéficiant de Medicaid et 33 % des personnes bénéficiant de Medicare. Les dettes médicales conduisent de nombreuses personnes à retarder ou à éviter de se faire soigner ou de faire remplir des ordonnances : plus d'un tiers (34 %) des personnes ayant des dettes médicales dans le cadre d'un régime d'employeur, 39 % dans le cadre d'un régime de marché ou d'un régime individuel, 31 % dans le cadre de Medicaid et 32 % dans le cadre de Medicare. https://www.aamcresearchinstitute.org/our-work/issue-brief/health-care-costs-what-s-problem (17 août 2022) Le coût des soins de santé aux États-Unis dépasse de loin celui des autres pays riches du monde. En 2020, les coûts des soins de santé aux États-Unis ont augmenté de 9,7 %, pour atteindre 4 100 milliards de dollars, soit environ 12 530 dollars par personne. Dans le même temps, les États-Unis sont loin derrière d'autres pays à revenu élevé en ce qui concerne l'accès aux soins et certains résultats des soins de santé. Alors que les dépenses totales en soins cliniques ont augmenté au cours des deux dernières décennies, les dépenses de santé en pourcentage du PIB sont restées stables et ont oscillé autour de 20 % du PIB ces dernières années. En 2011, le nombre de consultations médicales par habitant aux États-Unis était inférieur à celui de nombreux pays comparables, mais le nombre de procédures de diagnostic (telles que l'imagerie) par habitant restait plus élevé. Outre le fait que le nombre moyen de services de soins de santé fournis par personne aux États-Unis était inférieur aux normes internationales en 2020, le pourcentage de personnes couvertes par une assurance maladie aux États-Unis était également inférieur à celui de nombreux autres pays riches. Bien que des millions de personnes aient obtenu une assurance grâce à la loi sur les soins abordables (Affordable Care Act) et aux dispositions adoptées pendant la pandémie de COVID-19, 10 % de la population non âgée n'était toujours pas assurée en 2020. [En 2017], les prix catalogue pour les procédures médicales aux États-Unis dépassaient les prix dans d'autres pays, tels que le Royaume-Uni, la Nouvelle-Zélande, l'Australie, la Suisse et l'Afrique du Sud. Par exemple, en 2017, le prix catalogue médian d'une admission à l'hôpital pour une prothèse de hanche était de 32 500 dollars aux États-Unis, contre 20 900 dollars en Australie et 12 200 dollars au Royaume-Uni. Les programmes publics (en particulier Medicare et Medicaid) ont tendance à payer aux hôpitaux des tarifs inférieurs au coût de la prestation des soins (bien que de nombreux économistes affirment que ces paiements sont légèrement supérieurs aux coûts réels, et que les prestataires affirment qu'ils sont au moins légèrement inférieurs aux coûts réels), tandis que les payeurs privés ont historiquement payé environ deux fois plus que les payeurs publics. Cependant, le coût moyen par service reste élevé par rapport aux normes internationales, même s'il n'est pas aussi élevé que les prix catalogue peuvent le laisser penser. Les coûts moyens élevés s'expliquent en partie par la forte intensité de main-d'œuvre des soins de santé, la main-d'œuvre représentant près de 55 % des coûts hospitaliers totaux aux États-Unis en 2018. Ces coûts augmentent en raison des pénuries de main-d'œuvre exacerbées par la pandémie de COVID-19. La réduction des dépenses de santé aux États-Unis par la réduction des coûts de main-d'œuvre pourrait, en théorie, être obtenue en réduisant les salaires ou en supprimant des postes ; cependant, ces deux politiques seraient problématiques, avec des conséquences potentielles non voulues, telles que l'éloignement des cliniciens de la main-d'œuvre à un moment où les besoins sont croissants. La réduction des salaires, en particulier pour les cliniciens, nécessiterait un élargissement considérable du réservoir de main-d'œuvre, ce qui prendrait des années (et même dans ce cas, la baisse des salaires par personne pour les non-médecins pourrait ne pas réduire les dépenses totales liées au travail dans le secteur de la santé).15 La réduction ou le remplacement des travailleurs cliniques au fil du temps nécessiterait des changements majeurs dans la politique (à la fois publique et privée) et des changements majeurs dans la manière dont les soins de santé sont fournis - ce qui ne s'est pas produit rapidement, même depuis la mise en œuvre de la loi sur les soins abordables (Affordable Care Act).
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Allemagne
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.newstatesman.com/international-politics/2024/10/the-left-must-resist-the-seductions-of-austerity Ce n'est pas Scholz qui a imposé l'austérité. Elle lui a été imposée. En novembre dernier, la Cour constitutionnelle allemande a rendu un arrêt tonitruant. Elle a décidé que le détournement du fonds Covid était inconstitutionnel et a ordonné au gouvernement de trouver l'argent ailleurs. La coalition a adopté un budget d'austérité juste à temps pour Noël. L'une des nombreuses décisions prises dans la panique a été la suppression, du jour au lendemain, des subventions accordées aux voitures électriques. Sans surprise, les gens ont cessé d'en acheter. D'autres mesures d'austérité se profilent à l'horizon. Cette année, le gouvernement allemand a réduit le budget de l'aide militaire à l'Ukraine au-delà de ce qui avait déjà été alloué. Ils sont en train de gratter les fonds de tiroir. Ensemble, les trois partenaires de la coalition ont perdu près de 25 points dans les sondages par rapport à leurs résultats électoraux d'il y a trois ans. Ils se sont baptisés la « coalition des feux de signalisation », d'après les couleurs des trois partis. Les lumières se sont éteintes, le pays est bloqué. Il est même possible que Scholz et Christian Lindner, le ministre des finances, mettent fin à leur carrière politique dans un an, à moins d'un miracle. -
2023 Guerre de Soukhot
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.newstatesman.com/international-politics/2024/10/sinwars-death-wont-save-gaza Le général de division Gadi Shamni, ancien commandant de la division de Gaza des FDI, a déclaré: « Le Hamas est en train de gagner cette guerre... Nos soldats remportent tous les affrontements tactiques avec le Hamas, mais nous sommes en train de perdre la guerre, et de manière très importante ». -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
source : https://www.pravda.com.ua/eng/news/2024/10/15/7479824/ -
Royaume-Uni
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Débat télévisé : https://www.theguardian.com/politics/2024/oct/17/badenoch-and-jenrick-spar-over-visions-for-future-of-tory-party-in-tv-debate Mme Badenoch s'est montrée polie à l'égard de son adversaire en tant que personne, mais cinglante lorsqu'il s'est agi de sa série de politiques phares, notamment la promesse répétée de M. Jenrick de quitter immédiatement la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH), qu'il a de nouveau présentée jeudi comme une question de type Brexit « quitter ou rester ». Mme Badenoch a affirmé que cette idée était une distraction par rapport à des préoccupations plus importantes et qu'elle n'était pas suffisamment réfléchie. « Nous devons cesser de blâmer l'UE ou les accords internationaux et commencer à résoudre les problèmes nous-mêmes », a-t-elle déclaré. La sortie de la CEDH n'est « pas différente de la sortie de l'UE en termes de conséquences », a déclaré Mme Badenoch, dans la mesure où elle pourrait avoir des répercussions significatives sur l'Irlande du Nord, où la convention fait partie intégrante du processus de paix. -
Moldavie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://fr.euronews.com/my-europe/2024/10/16/moldavie-preparatifs-dun-referendum-sur-ladhesion-du-pays-a-lue (16 octobre 2024) Les électeurs moldaves voteront deux fois dimanche, d’abord pour l’élection présidentielle, puis lors d’un référendum très attendu sur l’adhésion du pays à l’Union européenne. https://www.politico.eu/article/moldova-eu-referendum-vote-russian-interference-enlargement-accession/ (17 octobre 2024) Selon Mme Sandu et ses ministres, le référendum visant à inscrire le rêve européen de la Moldavie dans la constitution empêchera les futurs gouvernements de saper sa trajectoire vers l'Ouest. Toutefois, ce vote très médiatisé servira également à convaincre Bruxelles de poursuivre le processus d'adhésion. -
La Francophonie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Carl dans Politique etrangère / Relations internationales
11 octobre 2024. Geneviève qui est sherbrookoise, analyse l'accent d'un Montréalais et en explique les principales caractéristiques distinctives.