Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Wallaby

Members
  • Compteur de contenus

    25 353
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    69

Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. https://www.20minutes.fr/monde/ukraine/4159237-20250618-guerre-ukraine-senat-francais-secoue-bilan-frappes-russes-kiev-alourdit Le forum économique de Saint-Pétersbourg, autrefois surnommé le « Davos russe », s’est ouvert mercredi avec la présence peu nombreuse des Occidentaux et celle, à l’inverse, remarquée des représentants du « Sud global », dans l’ombre du conflit en Ukraine. Ce 28e forum intervient en plein rapprochement impulsé par Donald Trump entre Washington et Moscou, sans que celui-ci ait permis pour l’instant une levée des lourdes restrictions mises en place par les Etats-Unis contre la Russie en représailles à l’attaque contre son voisin ukrainien. Seule une délégation d’hommes d’affaires américains de second plan est présente. Symbole du rapprochement accéléré entre la Russie et les pays du « Sud global », qualifiés d' « amicaux » dans la rhétorique du Kremlin, le Bahreïn est cette année le principal invité. Des représentants des Talibans, de Chine, du Vietnam, de l’Arabie saoudite ou encore du Burkina Faso et de la Centrafrique sont également présents. Victoire diplomatique très médiatisée par la Russie, le président indonésien Prabowo Subianto doit aussi faire une apparition, après avoir décliné l’invitation des pays du G7 à leur sommet au Canada.
  2. L'Ukraine a fait partie de la Russie pendant des siècles. Elle n'a jamais fait partie de la France. Même Napoléon ne l'a pas envahie. La Russie un État héritier de la Rous de Kiev. Pas la France. - https://fr.wikipedia.org/wiki/Rus'_de_Kiev La Rusʹ de Kiev est la plus ancienne entité politique commune à l'histoire des trois États slaves orientaux modernes : Biélorussie, Russie et Ukraine. Et on n'a pas les mêmes valeurs : Je rappelle l'intervention d'Arno Klarsfeld : En France, on célèbre certes en Napoléon un héros hostile à l'Angleterre qui est un pays voisin avec la gare d'Austerlitz ou la statue de Napoléon à Montereau-fault-Yonne. Mais les Anglais nous le rendent bien avec la gare Waterloo. Et puis cela fait plus de deux siècles et l'eau a coulé sous les ponts. Mais on n'a pas à ma connaissance d'Avenue Maréchal Pétain, ou de Place Pierre Laval. Donc c'est quand même assez bizarre ce que font les Ukrainiens.
  3. Il aurait été préférable de la relire au lieu de nous fournir du brut de traducteur automatique mal dégrossi. Ici, "chip" ne se traduit pas par "copeau" mais par "puce informatique".
  4. https://en.wikipedia.org/wiki/Mike_Waltz Le 3 mai 2025, il a été rapporté que Waltz et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avaient discuté en mars 2025 d'une éventuelle frappe sur l'Iran. Ces discussions ont eu lieu à l'insu de Trump, avant une visite d'État de Netanyahu. Trump aurait été irrité par le fait que Waltz tentait d'orienter la politique américaine dans une direction avec laquelle il n'était pas à l'aise, et les réunions ont peut-être contribué au renvoi de Walz[91][92].
  5. https://www.theguardian.com/uk-news/2025/jun/17/reviews-show-tories-wasted-billions-of-pounds-on-hs2-transport-secretary-to-say Le HS2 sera retardé d'au moins deux ans, annonce le ministre Le ministre des transports accusera également les conservateurs d'avoir gaspillé des milliards dans un projet mal géré. https://www.theguardian.com/commentisfree/2025/jun/13/labour-hs2-money-rachel-reeves-spending-review Le gouvernement travailliste avait la possibilité de mettre un terme définitif à la construction du HS2. Au lieu de cela, il jette encore plus d'argent dans le gouffre. Mme Reeves veut maintenant construire une ligne ferroviaire de Birmingham à Euston à un prix qui représente plus du double des 39 milliards de livres sterling qu'elle veut dépenser au cours de la même décennie, de 2025 à 2035, pour le logement social. Au cours de cette législature, les 25,3 milliards de livres supplémentaires que Mme Reeves dépensera pour le HS2 sont nettement plus élevés que les dépenses consacrées aux prisons et aux nouvelles salles de classe. Ainsi, d'ici les prochaines élections, le HS2 aura reçu 25,3 milliards de livres, tandis que deux chemins de fer est-ouest, dans les Midlands et le Nord, auront reçu 6 milliards de livres à eux deux et le pauvre Pays de Galles seulement 300 millions de livres. Ces projets ont été mentionnés, mais pourquoi pas le HS2 ? Peut-être parce que Mme Reeves en a honte ? Elle sait que le HS2 profitera principalement aux trajets domicile-travail vers Londres. Londres remporte toujours les éléphants blancs. Dans un premier temps, le HS2 a été construit pour être rapide - ce qui nécessitait des tunnels et des voies larges - puis sa vitesse a été réduite, mais pas son coût. Ensuite, on a dit qu'il s'agissait d'une question de capacité et non de vitesse, mais cela n'a pas semblé réduire le coût. Enfin, il est passé de 11 à 7 quais à Euston. Ce train était vraiment stupide. Le projet a rapidement perdu tout partisan sérieux en dehors des accros aux chemins de fer et des supporters politiques. En 2021, après que Rishi Sunak, en tant que chancelier, a annulé la branche vers Leeds, l'autorité gouvernementale chargée des projets d'infrastructure a attribué à HS2 une « note rouge », ce qui signifie en clair que « la réalisation du projet semble irréalisable ». La commission des comptes publics des Communes a déclaré que « l'optimisation des ressources était menacée ». En 2023, M. Sunak, en tant que premier ministre, a annulé le deuxième tronçon nord, jusqu'à Manchester. Le projet a ainsi perdu toute valeur de « nivellement par le haut » [revitalisation économique des régions nord]. Les procès-verbaux les plus à se faire dresser les cheveux sur la tête que je connaisse sont ceux de l'enquête de la commission des comptes publics sur le HS2 en décembre dernier. On se croirait dans une république bananière. L'énième directeur général de la société, Mark Wild, n'était en poste que depuis 17 jours et devait percevoir un salaire similaire à celui de son prédécesseur, soit 650 000 livres sterling. Quarante-trois membres du personnel de HS2 ont été identifiés comme gagnant plus de 150 000 livres par an. Entre-temps, des lanceurs d'alerte ont allégué que les prévisions de coûts étaient manipulées afin de garantir le financement. L'un d'entre eux a reçu la semaine dernière une indemnité de plus de 300 000 livres sterling après avoir été exclu de deux postes à la suite de ses lancements d'alertes. Le dernier fiasco concerne le financement du terminus du HS2. Il est prévu que ce soit Old Oak Common à Acton, dont la construction devrait être achevée entre 2029 et 2033. L'extension supposée jusqu'à Euston n'est désormais envisagée qu'en 2038, ce qui, en termes d'investissements publics, est proche de jamais. Les travaux à Euston ont été interrompus, laissant 400 familles expulsées de leurs maisons et 25 hectares de terre. Cette zone se trouve dans la circonscription de M. Starmer. Le transport ferroviaire n'ayant toujours pas retrouvé son niveau d'avant-pandémie, Euston n'a pas besoin d'un nouveau train, mais d'un homme politique avec du cran. Tout Whitehall sait désormais qu'HS2 n'a aucun sens. Dans des moments comme celui-ci, le parlement est sans espoir. La plupart des députés ont, à un moment ou à un autre, voté en faveur de ses différentes erreurs et détestent changer d'avis. HS2 est la guerre d'Irak des dépenses du Trésor.
  6. C'est "grid" (grille), pas "grind". En français "ailettes en grilles" ou "panneaux cellulaires". https://fr.wikipedia.org/wiki/Panneaux_cellulaires
  7. https://www.theguardian.com/world/2025/jun/05/moon-japan-crash-landing Resilience, un véhicule sans équipage de la société tokyoïte ispace, aurait dû entrer dans l'histoire en devenant le premier atterrisseur commercial non américain à réussir son alunissage, prévu à 15h17 ET jeudi (4h17 JST vendredi) à Mare Frigoris (la mer du froid), dans l'extrême nord de la Lune. Mais la retransmission en direct de la tentative d'atterrissage s'est achevée près de 30 minutes plus tard, les responsables de la mission n'ayant pas réussi à établir une communication avec l'engin et son sort étant incertain. Resilience a été lancé le 15 janvier depuis Cap Canaveral, en Floride, sur la même fusée Falcon 9 de SpaceX qui transportait l'atterrisseur Blue Ghost fabriqué par la startup texane Firefly Aerospace. Blue Ghost a suivi une trajectoire plus rapide vers la Lune et a effectué un atterrissage pionnier le 2 mars. Resilience devait déployer un petit rover lunaire de fabrication européenne, baptisé Tenacious, pour une mission de deux semaines. Des séquences vidéo haute définition et des données télémétriques auraient été retransmises sur Terre pour être surveillées par l'Agence spatiale européenne (Esa) et ses partenaires. Dans le cadre d'un contrat avec la Nasa, ispace tentera d'envoyer un rover plus grand sur la lune lors d'une mission prévue en 2027.
  8. https://www.theguardian.com/environment/2025/jun/11/otter-japanese-cafe-dna-small-clawed-otters-captivity-japan-wild-trade Les loutres qui posent pour des selfies dans les cafés japonais pourraient être liées au commerce illégal, avertissent les experts. L'ADN de loutres à petites griffes rares vivant en captivité au Japon a été comparé à celui de populations sauvages vivant dans les hauts lieux du braconnage en Thaïlande.
  9. https://www.marianne.net/agora/les-signatures-de-marianne/natacha-polony-iran-israel-le-monde-aurait-besoin-dune-voix-gaullienne (17 juin 2025) L'entrée en guerre d'Israël avec l'Iran à propos de la question nucléaire ne surprendra personne. Il est par contre plus surprenant de voir un président de la République française évoquer un « droit d’Israël à se défendre » au moment où ce pays vient de lancer une attaque en brandissant le concept de « guerre préventive » dont n’importe quelle autre puissance agressive pourrait désormais se saisir. « N’est pas de Gaulle qui veut », estime Natacha Polony, éditorialiste pour « Marianne ». Ce n’était qu’une question de temps. Tout observateur lucide savait qu’Israël avait décidé de frapper l’Iran et attendait le moment opportun. D’où l’étonnement – voire la consternation – que l’on peut ressentir devant l’incapacité des gouvernants européens, et en particulier du Président français, à tenir une position claire appuyée sur une analyse lucide de la situation. Certes, n’est pas de Gaulle qui veut. Nul ne rêvait d’une conférence de presse sur le modèle de celle du 27 novembre 1967 condamnant la guerre des six jours mais un simple rappel du droit international eût été un minimum.
  10. On est dans une situation très dynamique où cette part de population éduquée à un niveau supérieur évolue très très vite, décennie après décennie. Même en France. On n'a pas vraiment de recul ou de points de comparaison pour spéculer sur cette nouvelle ère qui s'ouvre dans le futur. France. Source : https://www.observationsociete.fr/education/donnees-generales/evol_etudiant/
  11. Ce qui est déterminant, c'est que quels que soient les religieux qui produisent les discours religieux - divers et non monoblocs, c'est que la jeune population iranienne est aujourd'hui éduquée à 50% avec un niveau d'études supérieures. Pour cette population éduquée, la religion ne peut plus fonctionner comme un obscurantisme. Donc la place de la religion ne peut plus être la même aujourd'hui dans la société que lors de l'avènement du régime en 1980. Et la capacité de cette religion d'être source de légitimité pour la politique, pose question.
  12. Je ne pense pas qu'on puisse traiter « les religieux » iraniens comme un bloc. Ils sont répartis en différents courants. Parmi les membres du clergé iranien il y a aussi des réformistes, comme Mohammed Khatami : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mohammad_Khatami Khatami est considéré, notamment par la plupart des pays occidentaux, comme le premier président réformiste d'Iran, sa campagne présidentielle se focalisant sur l'État de droit, la démocratisation et la participation de tous les Iraniens dans le processus de décision politique. Son programme s'inspire des idées du philosophe Abdolkarim Soroush [1]. Toutefois sa politique de réformes se heurte à la ligne conservatrice des islamistes de son gouvernement qui contrôlent des organisations religieuses puissantes comme le Conseil des gardiens de la Constitution. https://en.wikipedia.org/wiki/Reception_and_legacy_of_Muhammad_Khatami M. Khatami a été attaqué par le philosophe Abdolkarim Soroush, qui l'a accusé de ne pas avoir fait avancer les réformes depuis son élection en mai 1997. « Le soulèvement pacifique et démocratique du peuple iranien contre la dictature religieuse en mai 1997 a été une expérience agréable », a déclaré M. Soroush dans une lettre adressée à M. Khatami. "Mais votre incapacité à maintenir le vote et votre gaspillage d'opportunités y ont mis fin et ont déçu la nation. Aujourd'hui, les échecs se sont transformés en troubles". https://www.lefigaro.fr/flash-actu/iran-l-ex-president-reformateur-khatami-salue-le-message-des-manifestants-20221207 (7 décembre 2022) L'ex-président réformateur iranien Mohammad Khatami a salué le «beau message» des manifestants et estimé que «la liberté et la sécurité» n'étaient pas «contradictoires», près de trois mois après le début du mouvement de contestation déclenché par la mort de Mahsa Amini. À propos du slogan phare du mouvement «Femme, vie, liberté», il a salué «un beau message qui montre une progression vers un avenir meilleur», dans un communiqué diffusé à l'occasion de la Journée des Étudiants célébrée ce mercredi. Sans oublier l'ayatollah Shariatmadari : https://fr.wikipedia.org/wiki/Kazem_Shariatmadari L'ayatollah Shariatmadari s'est fermement opposé au système de gouvernement instauré par Khomeini fondé sur le principe de l'autorité du docteur de la loi ("velâyat-é faghih") qu'il jugeait contraire à l'Islam et aux revendications du peuple iranien. Il a par ailleurs sévèrement critiqué les conditions dans lesquelles s'est tenu le référendum par lequel a été adoptée la Constitution de la République islamique et a condamné la prise en otage du personnel diplomatique de l'ambassade des États-Unis menée le 4 novembre 1979. En raison de son attitude critique à l'égard du régime khomeyniste, il fut placé en résidence surveillée et les membres de sa famille furent emprisonnés et torturés. Cette situation provoqua en janvier 1980 des manifestations massives dans la province d'Azerbaïdjan, notamment à Tabriz, qui furent violemment réprimées sur ordre de Khomeini. Afin d'éviter un bain de sang, l'ayatollah Shariatmadari demanda l'arrêt des manifestations. Une intense campagne de diffamation fut mise en place pour discréditer Shariatmadari. En raison de sa qualité de mujtahid ("docteur de la loi islamique"), le gouvernement ne put l'exécuter publiquement. Son parti fut démantelé et son centre d'études et de publications islamiques fut fermé définitivement. Il demeura assigné à résidence jusqu'à sa mort en 1986. Et l'ayatollah Montazeri : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hossein_Ali_Montazeri Il est surtout connu comme le successeur désigné de l'ayatollah Khomeini, mais à la suite de son opposition, en particulier pour avoir critiqué la répression politique et culturelle, il est écarté par une lettre de Khomeini en 1988[2] et supplanté l'année suivante par l'actuel Guide suprême de la révolution islamique, Ali Khamenei. Ainsi, pendant près de trois décennies, il est l'un des principaux critiques de la politique intérieure et étrangère de la République islamique. Il est également un défenseur des droits civils et des droits des femmes en Iran. Il publie régulièrement des communiqués pour défendre la liberté et la démocratie ainsi que les réformes présentées par le président iranien Mohammad Khatami. Il croit toujours à la théorie du Velayat-e faqih mais prône une interprétation différente de celle-ci[7] : dans un sermon à Qom en 1997, il préconise une supervision (nezarat) plutôt qu'une direction (velayat) par le faqih, dont le rôle devrait se cantonner à son domaine d'expertise, la religion[8]. Son discours déchaîne les conservateurs. Il est arrêté puis assigné à résidence jusqu'en 2003[9]. [1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Abdolkarim_Soroush On le range plus précisément parmi les tenants de l'intellectualisme religieux. En cela, il est l'héritier des intellectuels iraniens de l'époque de la révolution constitutionnelle, comme Abd al-Rahim Talibov[32]. Ce dernier était partisan d'une position médiane entre le revivalisme islamique, qui défend la tradition, et le modernisme laïc. Ce mouvement est qualifié par Mahmoud et Ahmad Sadri de « revivaliste réflexif » : son but n'est ni de fondre l'islam dans la modernité, ni de rejeter cette modernité, mais de reformer l'islam pour l'ajuster aux exigences du monde contemporain. La sécularisation n'implique pas pour lui la disparition de la religion, à condition de ne pas confondre une sécularisation objective (séparation des institutions politiques et religieuses) de la sécularisation subjective - celle de la culture et des consciences. Soroush est favorable à une sécularisation objective qui préserve la sphère individuelle[33]. La philosophie d’Abdolkarim Soroush peut être résumée ainsi[35] : Distinction entre la "religion" et notre "compréhension de la religion" (ou entre le texte et l'interprétation, laquelle peut être éclairée par la science[36]) Distinction entre l’aspect "essentiel" et " accidentel " de la religion. Distinction entre l’interprétation "minimaliste" et "maximaliste" de l’islam. Distinction entre les valeurs et morales qui sont considérées comme internes dans le respect de l'islam et celles qui lui sont externes. Distinction entre la croyance et la foi religieuse. Distinction entre la religion en tant qu’idéologie/identité et la religion de la vérité.
  13. https://www.20minutes.fr/monde/ukraine/4159027-20250617-guerre-ukraine-russie-lamine-kiev-coree-nord-va-encore-aider-moscou La Russie a annoncé mardi que la Corée du Nord allait envoyer plusieurs milliers de sapeurs militaires et des ouvriers de l’armée nord-coréenne pour aider à la reconstruction de la région russe de Koursk, qui avait été partiellement occupée par les forces ukrainiennes entre août 2024 et le printemps 2025. « Cinq mille personnes, réunies au sein d’une division d’ouvriers, se chargeront de la reconstruction de la région de Koursk », en plus de « 1.000 sapeurs » – des soldats du génie –, a déclaré le secrétaire du Conseil de sécurité russe, Sergueï Choïgou, à l’issue d’un entretien avec le dirigeant Kim Jong Un. Le responsable russe, en visite en Corée du Nord une deuxième fois en moins de quinze jours, a salué « l’aide fraternelle » de Pyongyang, d’après l’agence russe Ria Novosti.
  14. https://www.abc.net.au/news/2025-06-18/iran-israel-conflict-live-updates/105429618 Un fonctionnaire de la Maison Blanche a déclaré à Reuters que la réunion du Conseil national de sécurité des États-Unis avait commencé. (...) Nous venons d'apprendre que la réunion du Conseil national de sécurité des États-Unis convoquée par le président Donald Trump est terminée. https://www.newsweek.com/trump-national-security-council-iran-israel-2086671 Newsweek a évalué, sur la base de sources publiques, la position des principaux membres du NSC de Trump sur la question d'une éventuelle action militaire contre l'Iran. Donald Trump : faucon JD Vance : vraisemblablement colombe Marco Rubio : faucon Pete Hegseth : vraisemblablement faucon Tulsi Gabbard : vraisemblablement colombe Kristi Noem : vraisemblablement faucon Chris Wright : vraisemblablement colombe Scott Bessent : vraisemblablement colombe Pam Bondi : incertain Dorothy Shea : vraisemblablement colombe
  15. https://www.eurotopics.net/fr/340517/espagne-un-scandale-de-corruption-qui-affaiblit-pedro-sanchez (17 juin 2025) Le gouvernement de gauche de Pedro Sánchez est ébranlé par un nouveau scandale de corruption. Le secrétaire d'organisation du PSOE au pouvoir, Santos Cerdán, est soupçonné d'avoir touché des pots-de-vin lors de l'attribution de contrats publics. La femme de Sánchez et son frère sont aussi sous le coup d'enquêtes pour corruption. Le Premier ministre exclut toutefois la tenue d'élections anticipées. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/06/12/en-espagne-le-numero-trois-du-parti-socialiste-demissionne-apres-sa-mise-en-cause-dans-une-affaire-de-corruption-presumee_6612564_3210.html Pedro Sanchez demande pardon après la démission du numéro trois du Parti socialiste, accusé de corruption La démission de Santos Cerdan, jeudi, intervient alors que plusieurs proches du premier ministre socialiste sont également visés par des enquêtes pour corruption.
  16. https://www.eurotopics.net/fr/340516/berlin-un-lieu-de-memoire-aux-victimes-polonaises-du-nazisme (17 juin 2025) Dans le quartier du gouvernement à Berlin, un monument à la mémoire des victimes polonaises de l'occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale a été inauguré. Son emplacement correspond à celui de l'ancien opéra Kroll, où Hitler avait annoncé l'attaque de la Pologne le 1er septembre 1939. Le bloc de roche de 30 tonnes sera un jour remplacé par une maison germano-polonaise.
  17. Très bon Think Tank. J'aime beaucoup. https://www.defensepriorities.org/
  18. https://responsiblestatecraft.org/israel-attacks-iran/ (13 juin 2025) Paul Pillar L'affirmation israélienne selon laquelle son attaque est « préventive » est fausse. Il n'y avait aucune indication d'une attaque iranienne imminente dans l'autre direction. Rien dans les rapports de presse ou les fuites de renseignements ne laissait supposer une telle chose. Depuis des années, les menaces d'attaque et la rhétorique incendiaire qui y est associée proviennent davantage d'Israël que de l'Iran, dont les propres menaces ont été uniformément formulées comme des avertissements selon lesquels l'Iran réagirait vigoureusement si Israël l'attaquait. Même le concept plus vague de guerre préventive ne justifie pas ce qu'Israël a fait. Le programme nucléaire iranien a été le principal objectif, et Israël affirme que son attaque a touché, entre autres, des cibles liées au nucléaire. Mais l'Iran a démontré, en signant le plan d'action global commun et en y adhérant - jusqu'à ce que le président Trump, au cours de son premier mandat, revienne sur l'accord - qu'il était prêt à fermer toutes les voies menant à une éventuelle arme nucléaire iranienne par le biais d'une diplomatie pacifique et d'une surveillance internationale stricte de son programme. En ce qui concerne les armes nucléaires, la perspective consiste à considérer qui est l'attaquant et qui a été attaqué. Il est généralement admis qu'Israël possède depuis longtemps les seules armes nucléaires du Moyen-Orient. Il a acquis cette force nucléaire clandestinement, en dehors de tout régime de contrôle international, et en partie en volant des matières nucléaires aux États-Unis. Pourtant, une partie de son argumentation pour justifier son agression contre l'Iran est la simple possibilité que l'Iran puisse un jour acquérir une arme qu'il n'a jamais eue et à laquelle il a démontré sa volonté de renoncer en échange de relations commerciales et politiques normales avec d'autres États. L'attaque israélienne est en tout cas contre-productive en ce qui concerne la non-prolifération nucléaire, comme ce fut le cas lors d'une précédente attaque israélienne contre les installations nucléaires d'un autre État. La nature souterraine des principales infrastructures nucléaires iraniennes et les connaissances que les scientifiques iraniens conserveront limitent considérablement la mesure dans laquelle des frappes aériennes israéliennes pourraient faire reculer le programme iranien. Par ailleurs, une attaque armée par un adversaire étranger renforce les voix qui s'élèvent à Téhéran pour affirmer que l'Iran a besoin de développer une arme nucléaire à des fins de dissuasion. La limitation de la capacité militaire iranienne n'est pas la seule ni même la principale motivation du gouvernement de Benjamin Netanyahou pour attaquer l'Iran. La promotion d'un isolement maximal et de la haine de l'Iran est depuis longtemps l'un des principaux objectifs de la politique étrangère israélienne, afin d'affaiblir un rival régional, de détourner l'attention des actions déstabilisatrices d'Israël et d'empêcher un rapprochement entre l'Iran et le principal bailleur de fonds d'Israël, les États-Unis. Pour atteindre ces objectifs, Israël s'est opposé à presque toute diplomatie avec l'Iran. Réduire les chances que les négociations actuelles entre les États-Unis et l'Iran aboutissent à un nouvel accord nucléaire a certainement été une motivation israélienne derrière l'attaque. M. Netanyahou a d'autres motivations liées à la nécessité de poursuivre indéfiniment la guerre pour maintenir au pouvoir sa coalition de droite dure et pour retarder le moment où il devra faire face à des accusations de corruption. Sans une condamnation ferme de l'attaque par les États-Unis, ces derniers partageront l'opprobre international qu'Israël mérite amplement.
  19. https://asiatimes.com/2025/06/india-breaks-with-china-russia-on-israel-iran-war/# (16 juin 2025) L'Inde rompt avec la Chine et la Russie sur la guerre entre Israël et l'Iran Le ministère indien des Affaires étrangères (MEA) a précisé ce week-end que l'Inde n'avait pas participé aux discussions sur la déclaration de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) publiée plus tôt dans la journée, condamnant Israël pour ses dernières frappes contre l'Iran. L'absence de toute clause dans la déclaration du groupe indiquant un désaccord de l'Inde avec lui laissait initialement entendre un consensus (y compris avec son rival pakistanais), mais après les précisions du MEA, cela suggère désormais que l'Inde a été tenue à l'écart.
  20. https://www.realclearpolitics.com/video/2025/06/16/haass_israel_chose_to_launch_this_war_without_clear_goals_cant_win_without_us_help.html (16 juin 2025) Richard Haas sur MSNBC lundi matin : Israël a lancé cette guerre par choix sans objectifs clairs. L'un des objectifs possibles est un changement de régime, mais ce n'est pas quelque chose que l'on peut obtenir militairement. L'autre objectif est la dénucléarisation de l'Iran, ce qui ne peut se faire sans l'aide des États-Unis. Nous devrions fournir des munitions et des informations sur le ciblage, ce que nous n'avons pas encore fait. Donald Trump devra donc décider s'il le fait. Si Israël peut alors atteindre l'un de ces objectifs - espérons-le de son point de vue -, tant mieux ; s'il ne le peut pas, l'autre possibilité est que cela continue. Nous pensons tous à une fin précise. Une autre possibilité est d'avoir une sorte de guerre intermittente entre Israël et l'Iran, et je n'exclurais pas cette possibilité plutôt qu'une fin nette. La situation pourrait rester confuse pendant longtemps. https://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_N._Haass Il s'était notamment opposé à la guerre de Libye en 2011 : « Les États-Unis n'ont pas besoin du fardeau d'une autre intervention vaguement définie dans un pays où les intérêts américains sont moins que vitaux » https://forum.air-defense.net/topic/11530-frappes-sur-la-libye-le-sujet-officiel/page/448/#comment-959885
  21. https://jamestown.org/program/fracturing-transatlantic-convergence-one-capital-at-a-time/ (7 juin 2025) Du 15 au 19 mai, Pékin a mis en œuvre une série dense d'engagements bilatéraux avec la France, l'Allemagne, la Pologne et le Danemark, chacun étant calibré pour exploiter les différences internes au sein de l'UE et affaiblir l'élan réglementaire de Bruxelles. La pièce maîtresse a été le dialogue économique et financier de haut niveau entre la Chine et la France du 15 mai, au cours duquel les deux parties ont finalisé des accords sur le commerce de la volaille et les animaux de reproduction, réaffirmé leur soutien au multilatéralisme et encouragé une plus grande ouverture aux investissements chinois. Si les résultats matériels ont été modestes, les aspects politiques ont été soigneusement organisés. La RPC a fait l'éloge de la France en tant que « moteur » (带动引领) des liens entre l'UE et la RPC, positionnant implicitement Paris comme un contrepoids à Bruxelles (Quotidien du Peuple, 19 mai). Cela poursuit l'objectif de longue date de Pékin d'élever le canal bilatéral de la France comme un tampon potentiel contre l'escalade réglementaire future à l'échelle de l'UE, en particulier dans des domaines tels que la gouvernance des données, les subventions vertes (par exemple, la loi de l'UE sur l'industrie nette zéro) et l'accès au marché (China Brief, 1er décembre 2023, 4 mai 2024). Le tempo et le ton ont changé lors des appels de Pékin avec les ministres des affaires étrangères allemand et polonais le 19 mai, où la diplomatie a pris un caractère plus défensif et transactionnel. Lors de son appel avec le ministre allemand des affaires étrangères Johann Wadephul, le ministre des affaires étrangères Wang Yi (王毅) a mis en garde contre la rhétorique du « de-risking » (去风险) et a exhorté Berlin à aider à résoudre l'enquête anti-subventions en cours de l'UE sur les véhicules électriques chinois (Xinhua, 19 mai). Wang a notamment évoqué la question de Taïwan en des termes très directs, la comparant à la réunification de l'Allemagne en 1990 et affirmant que la RPC attendait le même respect de ses « intérêts fondamentaux » (核心利益). Avec la Pologne, qui occupera bientôt la présidence tournante de l'UE, Pékin a fait appel au futur rôle institutionnel de Varsovie, l'exhortant à orienter les liens entre l'UE et la RPC dans une direction plus « constructive » (建设性) (Xinhua, 19 mai). M. Wang a également réitéré la position de Pékin sur l'Ukraine, présentant la RPC comme un médiateur neutre tout en évitant de critiquer la Russie. Lors des deux appels, aucune nouvelle offre n'a été faite, seulement des appels à l'influence et à la modération au sein du système de l'UE. Le Danemark, en revanche, a reçu un message plus mesuré. Lors d'une réunion en personne avec le ministre danois des affaires étrangères, Lars Løkke Rasmussen, la RPC a mis l'accent sur le développement vert et les investissements mutuels, tout en exprimant son respect pour les sensibilités du Danemark concernant le Groenland (Xinhua, 19 mai). Fin mai, l'offensive de charme bilatérale de Pékin a été tempérée par une frustration croissante à l'égard de la Commission européenne. L'élément déclencheur immédiat a été la décision de Bruxelles de sanctionner plusieurs entreprises de la RPC en tant que « facilitateurs industriels » de l'effort de guerre de la Russie, une décision que Pékin a dénoncée comme étant sans fondement juridique et politiquement provocatrice (Conseil européen, 20 mai ; EUR-Lex, 20 mai). Lors d'une conférence de presse tenue le 21 mai, le porte-parole du ministère des affaires étrangères, Mao Ning, a qualifié les sanctions de « déraisonnables » (无理) et a averti que la RPC prendrait les « mesures nécessaires » (必要措施) en réponse (MAE, 21 mai). Le même événement a également été l'occasion de critiquer un nouveau tarif numérique de l'UE ciblant le commerce électronique de petits colis, présenté comme une mesure discriminatoire à l'encontre de plateformes telles que Shein et Temu. Le sous-texte de ces déclarations est que Pékin considère les mesures réglementaires croissantes de l'UE comme faisant partie d'une réponse plus large des économies développées visant à limiter la croissance de la RPC et à restreindre l'accès au marché. Dans les messages publics, Bruxelles est à nouveau prise pour cible en tant que co-participante à l'endiguement mené par les États-Unis. Même si la rhétorique s'est durcie à l'égard de Bruxelles, Pékin a adopté un ton nettement différent avec les Pays-Bas, dont les cinq grandes entreprises ASML, ASM, NXP, Nexperia et Besi sont au centre des chaînes d'approvisionnement mondiales en semi-conducteurs. La RPC reste très dépendante des équipements de lithographie néerlandais, en particulier ceux d'ASML. Alors que les Pays-Bas ont bloqué les exportations des systèmes à ultraviolet extrême (EUV) les plus avancés d'ASML depuis 2019 sous la pression des États-Unis, l'extension plus récente des contrôles de licence néerlandais aux outils à ultraviolet profond (DUV) moins avancés et aux équipements d'inspection représente une menace directe pour la base manufacturière de la RPC (gouvernement des Pays-Bas, 15 janvier). Cette dépendance technologique explique le ton très discipliné des récents engagements diplomatiques. Une série de réunions à La Haye et à Pékin, du 21 au 23 mai, a donné lieu à un scénario diplomatique soigneusement équilibré. La RPC a réitéré son ouverture aux investissements néerlandais, affirmé son soutien au multilatéralisme et mis l'accent sur des conditions commerciales « non discriminatoires » (非歧视营商) (MAE, 22 mai ; Quotidien du peuple, 23 mai). Sur la question sensible d'ASML et du contrôle des exportations de semi-conducteurs, les deux parties ont convenu de maintenir le dialogue « par les canaux existants » (通过现有渠道) - une reconnaissance codée des tensions non résolues. Pour la RPC, le rétablissement de l'accès aux outils DUV d'ASML est un impératif stratégique ; pour les Pays-Bas, le défi consiste à éviter une rupture avec la RPC tout en maintenant son alignement sur les régimes américains de contrôle des exportations.
  22. Saakachvili était un tyran. Salomé Zourabichvili a refusé à plusieurs reprises de le gracier.
  23. https://www.lorientlejour.com/article/1464791/le-hezbollah-est-il-en-train-de-reconstruire-ses-capacites-militaires-.html (15 juin 2025) Le Hezbollah est-il en train de reconstruire ses capacités militaires ? Avant l'escalade survenue vendredi dans la région, des médias israéliens affirmaient que le groupe produisait au Liban du matériel militaire. Mais des experts proposent une analyse plus nuancée. Le journal israélien Yediot Aharonot rapportait ainsi récemment que le parti-milice renforçait ses capacités militaires en fabriquant localement des drones, s’inspirant de tactiques utilisées dans la guerre entre la Russie et l’Ukraine. Le média ajoutait que le Hezbollah a lancé des lignes de production locales de drones et de roquettes, précisant que l’Iran fournit les composants des engins aériens, des explosifs simples ainsi que des fonds. À noter qu'officiellement, le Hezbollah est engagé dans un dialogue bilatéral avec le président de la République, Joseph Aoun, pour son désarmement. M. Salam a d’ailleurs déclaré plus tôt ce mois-ci que l’armée avait démantelé plus de 500 « positions militaires au sud du Litani », où le Hezbollah était prédominant, et l'armée libanaise se déploie depuis le cessez-le-feu en novembre dernier. Le président Aoun a de son côté lancé un dialogue bilatéral avec la direction du parti. Par ailleurs, l’État renforce son contrôle sur les points de passage frontaliers, notamment à l’Aéroport international de Beyrouth, où plusieurs tentatives de contrebande d’argent liquide – voire d’or – à destination du parti chiite ont été déjouées. L’expert militaire Riad Kahwaji affirme dans ce cadre à notre publication « n’avoir vu aucune preuve » confirmant les informations circulant dans les médias israéliens. Interrogé sur la possibilité que le Hezbollah fabrique en ce moment de nouveaux drones ou d’autres types d’armes au Liban, à défaut de pouvoir les importer, le chercheur au Atlantic Council, Nicholas Blanford dit « penser que le parti a la capacité technique pour construire ses propres drones ». Et d'ajouter : « Mais savoir s’ils ont pu reprendre un cycle de production est une autre question. » Il convient de noter qu’Israël surveille constamment le groupe via ses drones de reconnaissance, ce qui rend difficile l’établissement incognito d’une telle chaîne de production. Le 7 juin, les forces de sécurité syriennes ont capturé une cellule de contrebande d’armes dans la ville syrienne de Talkalakh, près d’un passage illégal à la frontière syro-libanaise, empêchant une tentative de transfert de 200 roquettes iraniennes de 107 mm, apparemment destinées au Hezbollah. De plus, l'agence officielle syrienne (SANA) a rapporté à plusieurs reprises ces dernières semaines que les autorités de Damas avaient intercepté des cargaisons d’armes à destination du Liban. À ce sujet, Nicholas Blanford émet des doutes quant aux destinataires de ces cargaisons, suggérant qu'elles pourraient être destinées à d’autres personnes que le Hezbollah, notamment à des fins de revente sur le marché noir ou d'autres usages. Riad Kahwagi, par contre, estime que ces cargaisons sont bel et bien destinées au parti chiite, ajoutant que cela montre que ses « efforts pour se réarmer sont toujours en cours », malgré les discussions actuelles avec le président Aoun. Offrant une analyse plus nuancée, le chercheur au Atlantic Council estime que le Hezbollah est actuellement en train de « restructurer les aspects militaires de l’organisation » en « éliminant les collaborateurs, rationalisant le système et se séparant de certains membres », plutôt que d'augmenter ses capacités dans le sens matériel du terme, avec l’acquisition d'armes pour se préparer à une reprise imminente des hostilités avec Israël. Il a expliqué que le Hezbollah se séparait de certains membres parce que le groupe avait fortement grandi après la guerre de 2006 – une erreur selon lui. « Plus une organisation est grande, plus elle offre de possibilités d’infiltration par des agences de renseignements hostiles », a-t-il conclu. Le récent conflit a mis en évidence d’importantes failles de sécurité au sein du Hezbollah, plusieurs membres du parti ayant reconnu que l’armée israélienne avait réussi à infiltrer le groupe. À ce sujet, M. Kahwaji a déclaré à L'OLJ que les efforts du Hezbollah pour identifier les informateurs sont « permanents, surtout depuis le début de la guerre ». Malgré cela, il a ajouté que la pénétration des services de renseignements israéliens n’a pas cessé, car « nous voyons encore des frappes israéliennes visant des membres du Hezbollah, et Israël continue d’obtenir des informations sensibles ».
  24. On est tous les mêmes homo sapiens avec la même architecture cérébrale. Si quelque chose peut rendre les Iraniens ou n'importe qui, fou, c'est le fait de les mettre en état de stress en les attaquant.
  25. G7 de Kananaskis : https://www.courrierinternational.com/article/sommet-le-g7-au-canada-s-ouvre-sur-fond-de-divisions_232025 (16 juin 2025) Le gouvernement canadien “a déjà renoncé à conclure le sommet par un communiqué conjoint, lui préférant de nombreux plus petits communiqués sur différents sujets discutés”. “Il pourrait par exemple y avoir une déclaration commune sur les feux de forêt, un sujet où le consensus est plus facile à atteindre”. La Presse s’attend de son côté à “une déclaration commune” sur la guerre entre Israël et l’Iran.
×
×
  • Créer...