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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Le remplacement de Voila Ah merde!
  2. Je ne vais pas être sauvé pendant longtemps, il n'a qu'un an de plus que moi...
  3. Bon c'est une version plus facile à digérer et plus acceptable pour nous parce que la mise en garde s'adresse à ce qui est raconté de l'époque d'Obama mais aussi à Trump/Musk qui sont ceux qui maintenant concentrent excessivement les pouvoirs.
  4. Je ne suis pas d'accord avec tout le texte mais je le trouve intéressant pour réfléchir alors j'en donne un résumé: L’article présente une analyse critique de l'influence de Barack Obama sur la politique américaine, en mettant l'accent sur l'impact des technologies modernes sur la communication politique et la société. L’évolution de la politique américaine est étroitement liée aux changements technologiques. Historiquement, des innovations comme le télégraphe ou la télévision ont redéfini la manière dont les citoyens reçoivent les informations et forment leurs opinions. Aujourd’hui, les réseaux sociaux jouent un rôle central en remodelant l’opinion publique et en influençant les processus démocratiques. Durant ses mandats, Barack Obama a exploité les réseaux sociaux pour contourner les médias traditionnels et communiquer directement avec le public. Cette stratégie a été essentielle pour vendre des politiques controversées, comme l’accord sur le nucléaire iranien ou l’Obamacare. Elle reposait sur la création de "chambres d’écho", où des experts et des influenceurs renforçaient mutuellement leurs messages pour influencer les masses. Avec l’essor d’internet et des plateformes comme Twitter, les médias traditionnels ont perdu leur monopole sur l’information. Cela a permis à des stratèges comme Ben Rhodes, conseiller d’Obama, de façonner des narratifs puissants à travers des réseaux d’activistes et d’experts en ligne, remettant en question l’intégrité des processus journalistiques classiques. David Axelrod, conseiller d’Obama, a popularisé le concept de "structure de permission", qui consiste à convaincre les électeurs d’adopter de nouvelles idées en créant un contexte social favorable. Cette approche a permis de changer des perceptions profondes, en utilisant les réseaux sociaux comme outils de validation collective. Si cette stratégie a été efficace, elle a également entraîné des problèmes. Par exemple, l’utilisation abusive des réseaux sociaux pour manipuler l’opinion publique a affaibli la confiance dans les institutions démocratiques. Des campagnes comme le Russiagate ou la censure autour de l’ordinateur portable de Hunter Biden illustrent comment cette "machine à fabriquer l’opinion" peut être exploitée à des fins politiques. Après la présidence d’Obama, Donald Trump et Elon Musk ont joué un rôle majeur dans la déconstruction de ce système. Musk, en achetant Twitter, a mis fin à certaines pratiques de censure. De son côté, Trump a exploité les failles de ce système pour réunir une base électorale forte et rebondir politiquement. Le texte souligne que la domination d’Obama sur les structures de communication a laissé des traces durables. Cependant, l’effondrement de son système révèle les dangers de concentrer le pouvoir entre les mains d’une élite technocratique. Le défi actuel est de reconstruire un espace public équilibré, où les différentes opinions peuvent coexister sans manipulation excessive. En conclusion, cet article invite à réfléchir à l’équilibre entre innovation technologique et démocratie, tout en mettant en garde contre les dérives potentielles d’une trop grande centralisation du pouvoir. L'avenir dépendra de notre capacité à promouvoir des discussions ouvertes et authentiques. Pour compléter ce texte je donne un lien vers la notion de "structure de permission" qui est centrale dans l'approche d'Obama: Permission Structure
  5. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Les sous marins ça vole dans l'eau
  6. Les outils open source occidentaux utilisés par les Russes font naître la méfiance sur la ligne de front Le renseignement militaire ukrainien s'inquiète de l'utilisation par les unités de reconnaissance russes de l'application américaine de géolocalisation pour drones OpenAthena, téléchargeable en ligne. L'emploi maîtrisé de ce type de solution libre d'accès, qui pourrait permettre à Moscou de rattraper son retard dans certains secteurs technologiques, est une constante source d'inquiétude pour l'état-major de Kiev.
  7. Croatia gets 9th Rafale jet under deal with France
  8. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Ca y est ils ont découvert que l'active cancellation marche du coup ils veulent en équiper tous leur chasseur et ont confié le développement à une entreprise locale
  9. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Ils ont encouragé les Allemands à revenir et ils ont gardé les espagnols pour ne pas avoir un fournisseur unique ! Tu remarquera qu'ils n'ont jamais dit que le F18-SH ne satisfaisait pas au besoin, pourtant il était trop lourd pour le système d'arrêt Russe installé sur le Vikrant. c'est parce qu'ils voulaient le Rafale, mais si par exemple un TEDBF avait été presque prêt ils auraient dit qu'il ne satisfaisait pas au besoin, donc c'était un cas de fournisseur unique donc l'appel d'offre était annulé. Cela aurait annulé toute possibilité pour le Rafale de gagner, alors qu'il n'y était pour rien. D'où mon soupçon qu'il vont jouer ça avec le F-35, le SU-75 et l'AMCA. Pour éliminer le Gripen au profit du LCA, ils n'ont pas eu besoin de faire ça, il a suffit qu'ils autorisent les bimoteurs à postuler et ça donne le MRFA où le Gripen ef le F-21 n'ont aucune chance.
  10. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    En plus le Scorpène avec l'AIP de DRDO ça ressemble bougrement au S-80 avec l'avantage supplémentaire qu'il y a plus d'indigénisation.
  11. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Cela bouge en Inde sur deux front: GE a sentit qu'il avait le vent en poupe et a augmenté le prix de la fourniture de 99 F414 de un milliard à un milliard cinq ! L'offre des espagnols pour le P75I (sous marin) a été jugé non compliant ce qui fait que les Indiens se retrouve dans un cas de fournisseur unique ce qui entraîne normalement l'annulation de l'appel d'offre (On peut s'en sortir avec beaucoup d'administration mais ça gèle le prix de l'offre qui reste ce qui complique les négociations pour adapter l'offre au besoin). Ils vont peut être finir par apprécier les Français.
  12. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Cela fait combien d'années déjà qu'ils ont le droit de passer à 42 escadrons de Chasseurs et qu'ils restent à 31? Oui mais ils ont un effectif combattant supérieur à 3 000 000 d'hommes, c'est un peu plus que chez nous. Et tu dis que le PIB Indien n'a pas la même valeur que chez nous, ce qui est vrai, sauf pour les importations d'armements.
  13. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Il faut aussi se rendre compte que pour les Indiens c'est une honte d'avouer qu'ils n'ont pas d'argent: On va vous manger tout cru, dans 10 ans notre PIB sera supérieur à celui des US, il nous faut au moins 300 Rafale et .... il n'y a pas d'argent pour upgrader les SU-30 MKI ! Or il n'y a pas d'argent, le PIB vient de dépasser celui de la France et de la Grande Bretagne mais il faut faire subsister 1,4 Milliard d'Indiens au lieu de 70 Millions. Après cette dépense qu'est ce qu'il reste? Le budget de l'état est beaucoup plus faible que le notre pour un pays beaucoup plus grand où l'infrastructure est indigente. D'où le problème des achats militaire importés c'est à dire qu'il faut payer non pas en parité de pouvoir d'achat mais au taux officiels, alors on attend et on espère que la mousson sera bonne parce que ça voudra dire qu'on aura pas à dépenser de l'argent pour aider les paysans à survivre.
  14. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Elon Musk veut « arrêter » les dépenses fédérales pour le F-35 de Lockheed Martin. Cela pourrait-il se produire ? Par Eleanor Dearman Mis à jour le 15 décembre 2024 17h22 Un milliardaire ayant des liens avec le Texas et l'oreille du président élu Donald Trump veut réduire le financement fédéral du F-35 de Lockheed Martin, ce contre quoi les parlementaires du nord du Texas mettent en garde, mais l'élimination du programme pourrait être plus facile à dire qu'à faire. Elon Musk, propriétaire de Tesla et de Space X, est chargé de réduire les dépenses fédérales en tant que codirigeant du nouveau département de l'efficacité gouvernementale dans la nouvelle administration de Trump. Il s'est récemment prononcé contre le F-35, un avion de chasse construit par Lockheed Martin à Fort Worth. Dans l'un de ses messages sur les réseaux sociaux, il préconise l'arrêt du programme F-35, qu'il décrit comme « le pire rapport qualité-prix militaire de l'histoire ». Dans un autre message, il qualifie le F-35 de « coûteux, complexe et polyvalent » et affirme que « les avions de combat pilotés sont de toute façon obsolètes à l'ère des drones ». À la tête de DOGE avec son collègue milliardaire et ancien candidat républicain à la présidence Vivek Ramaswamy, M. Musk cherche à réduire les dépenses fédérales d'au moins 2 000 milliards de dollars, une somme qui laisse les experts sceptiques, selon The Hill. Les deux hommes ont écrit dans un article d'opinion du Wall Street Journal qu'ils avaient l'intention de s'attaquer à « plus de 500 milliards de dollars de dépenses fédérales annuelles qui ne sont pas autorisées par le Congrès ou qui sont utilisées d'une manière que le Congrès n'a jamais voulue ». Le Star-Telegram a contacté M. Musk par l'intermédiaire des contacts presse de Space X et de Tesla, mais n'a pas reçu de réponse. Les sociétés Tesla et X, anciennement Twitter, ont leur siège au Texas. Space X dispose d'installations au Texas et M. Musk a déclaré qu'il allait transférer son siège social de la Californie vers cet État. Une demande de commentaire de la part de Trump n'a pas non plus été retournée. Jim Riddlesperger, professeur de sciences politiques à TCU, a déclaré qu'il était particulièrement difficile de réduire les dépenses de défense, car les fonds sont répartis dans tout le pays. Au lieu d'une réduction globale du programme, Cal Jillson, professeur de sciences politiques à la SMU, s'attend à un ralentissement de la production au fur et à mesure de l'évaluation du programme. Alors que les commentaires de Musk soulèvent des questions sur l'avenir du F-35, les représentants de la Chambre des représentants de la région de Fort Worth défendent le programme. « Je pense que la plus grande menace que nous ayons jamais eue pour l'usine existe maintenant, parce qu'Elon Musk a beaucoup d'influence sur le nouveau président actuel et parce que le coût du F-35 est tel qu'il en fait une cible attrayante pour les personnes qui veulent faire quelque chose comme essayer de remplacer les pilotes par des drones et expérimenter avec le Pentagone de cette façon », a déclaré Marc Veasey, un démocrate de Fort Worth. Quel pourrait être le sort du programme qui est un locataire de Fort Worth depuis que le premier F-35 a quitté l'usine de Lockheed Martin ? On le saura lorsque M. Trump prendra ses fonctions, mais voici ce qu'il faut savoir d'ici là. L'ampleur du programme F-35 Au-delà de Fort Worth, le programme F-35 compte des fournisseurs dans les 50 États américains et à Porto Rico, ainsi que dans d'autres pays. Le programme a un impact économique annuel estimé à 72 milliards de dollars et fournit plus de 250 000 emplois dans le secteur de la fabrication de pointe, selon Lockheed Martin. Dans la région de Fort Worth, le programme soutient plus de 49 000 emplois directs et indirects et 9,4 milliards de dollars d'impact économique annuel. Lockheed Martin et le Pentagone ont récemment conclu un premier accord pour la construction de nouveaux F-35. Selon le Government Accountability Office, le F-35 « joue un rôle crucial » dans la capacité du ministère de la défense à « atteindre les objectifs actuels et futurs de la sécurité nationale des États-Unis », mais dans le même temps, le programme a connu des problèmes de production et une augmentation des coûts alors que l'armée américaine prévoit de moins utiliser l'avion. Selon Defense News, le coût du programme pourrait atteindre 2 000 milliards de dollars. Interrogé sur le rôle du F-35 dans le plan de défense, sur la probabilité de son arrêt, sur les coupes budgétaires et sur les commentaires de M. Musk, un fonctionnaire du ministère de la Défense a déclaré, jeudi 5 décembre, que « le ministère ne fera aucun commentaire sur les questions pré-décisionnelles ». Le fonctionnaire de la défense a toutefois noté que « le F-35 est un programme international avec de multiples clients et partenaires, y compris les États-Unis, sept nations partenaires internationales et 12 clients de ventes militaires à l'étranger (FMS) ». Tous les fonds destinés aux clients américains du F-35, qui comprennent l'armée de l'air, la marine et le corps des marines, sont alloués par le Congrès, tandis que les clients militaires internationaux et étrangers contribuent au financement du programme par leurs propres moyens, a précisé le fonctionnaire. Interrogé sur les commentaires de Musk lors d'une conférence de presse le 26 novembre, le secrétaire de presse du ministère de la Défense, le général Pat Ryder, a fait remarquer que Musk était un citoyen privé et a déclaré aux journalistes qu'il n'allait pas faire de commentaires sur ce qu'un citoyen privé pouvait avoir à dire au sujet du F-35. Elon Musk peut-il supprimer le programme F-35 ? M. Riddlesperger, professeur de sciences politiques à la TCU, estime que c'est une chose de dire que le programme F-35 devrait être réduit, mais que c'en est une autre de procéder à des réductions. « Il est toujours très facile de faire ce que fait Elon Musk, c'est-à-dire d'identifier les éléments qui pourraient être supprimés du budget pour économiser de l'argent », a déclaré M. Riddlesperger. Mais en fin de compte, les réductions doivent passer par le processus d'affectation des crédits budgétaires au Congrès, et M. Riddlesperger ne s'attend pas à ce que les représentants de la Chambre du Texas du Nord, quel que soit leur parti, soient favorables à l'arrêt du programme F-35. « Je pense qu'il serait très difficile d'amener le Congrès à accepter de réduire le projet F-35 parce que les membres du Congrès verront des coups de sabot tonitruants visant les programmes de contrats de défense qu'ils ont dans leurs districts également », a déclaré M. Riddlesperger. Musk et Ramaswamy ont écrit qu'ils « serviront en tant que bénévoles extérieurs, et non en tant que fonctionnaires ou employés fédéraux ». « Contrairement aux commissions gouvernementales ou aux comités consultatifs, nous ne nous contenterons pas de rédiger des rapports ou de couper des rubans », peut-on lire dans l'article. « Nous réduirons les coûts. Ils se concentreront sur « la conduite du changement par une action exécutive basée sur la législation existante plutôt que par l'adoption de nouvelles lois », selon l'article. Musk et Ramaswamy pensent également que « le processus de passation des marchés publics est très défectueux », selon l'article. « De nombreux contrats fédéraux n'ont pas été examinés pendant des années », peut-on lire dans l'article. « Des audits à grande échelle menés pendant une suspension temporaire des paiements permettraient de réaliser d'importantes économies. Le Pentagone a récemment échoué à son septième audit consécutif, ce qui suggère que les dirigeants de l'agence n'ont aucune idée de la manière dont son budget annuel de plus de 800 milliards de dollars est dépensé. » Musk et Ramaswamy ont déjà commencé à rencontrer des républicains au Congrès, notamment le sénateur du Texas John Cornyn, qui a rencontré Ramaswamy, selon Fox News. Musk a l'oreille de Trump, ce qui pourrait être une menace pour le F-35 étant donné que Musk abordera les réductions d'une manière différente de celle du Congrès, a déclaré Jillson, professeur de sciences politiques à la SMU. « Musk va agir d'un point de vue qui ne tient pas compte de la perspective du Congrès, qui consiste à distribuer les largesses budgétaires à travers le pays, à s'assurer que chaque district du Congrès est touché et à veiller à ce que les membres du Congrès les plus importants obtiennent ce qu'ils veulent sur les questions de crédits », a déclaré M. Jillson. Il est important que le programme F-35 soit examiné de près et avec scepticisme, a déclaré M. Jillson. « Le F-35 a depuis longtemps besoin d'un véritable nettoyage car l'avion a des problèmes, et ce depuis longtemps, et ils doivent être réglés afin que nous ne nous contentions pas de déverser des milliards de dollars dans les égouts ou dans un avion dont les capacités sont compromises », a-t-il déclaré.
  15. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    'Flop': Proponents of the F-35 can't tell you that it works Un « flop » : Les partisans du F-35 ne peuvent pas vous dire qu'il fonctionne Quand on en est réduit à dire que « c'est un créateur d'emplois », on sait qu'il n'y a pas beaucoup d'utilité militaire. Elon Musk s'est intéressé au programme F-35, et il n'est pas impressionné. L'homme le plus riche du monde - qui possède SpaceX, le seul fournisseur de lancements spatiaux américains fiables - a jeté l'opprobre sur le programme d'armement le plus coûteux de l'histoire dans un message publié sur X le 25 novembre. « La conception du F-35 était défaillante au niveau des exigences, parce qu'on lui demandait d'être trop de choses pour trop de gens. Cela en a fait un projet coûteux et complexe, où tous les métiers sont représentés, mais où personne n'est maître de rien. Le succès n'a jamais fait partie des résultats possibles », a déclaré Elon Musk sur X. Elon Musk a tout à fait raison... et pas seulement parce que je dis exactement la même chose depuis une décennie ! Le peuple américain doit se rendre à l'évidence : le programme F-35 est un échec total. Il est peu probable que la plupart des dirigeants de l'establishment de la sécurité nationale le disent en termes aussi directs, mais certains d'entre eux admettent désormais tacitement la vérité, probablement sans s'en rendre compte. Le Fort Worth Star-Telegram, qui est en fait le journal local du programme F-35, a récemment publié un article truffé de citations de législateurs, de responsables de la défense et de professeurs d'université. Tous ont invoqué des arguments économiques pour défendre le programme. Cela devrait faire frémir tous les dirigeants de Lockheed Martin. Lorsque le meilleur argument en faveur d'un programme d'armement est son impact économique, il est clair que ce programme a une valeur militaire limitée. Pour un programme en développement depuis plus de 23 ans, qui a coûté jusqu'à présent près de 300 milliards de dollars, le peuple américain n'a reçu que peu de choses en retour. Les nouveaux F-35 qui sortent de la chaîne de montage de Fort Worth n'ont que des capacités de combat limitées. Il faudra des années aux ingénieurs pour mettre au point le matériel et les logiciels nécessaires pour que les nouveaux F-35 atteignent leur pleine capacité de combat. Les avions déjà en service ont fait preuve d'un manque de fiabilité effarant. Pendant toute l'année 2023, la flotte de F-35 n'a réussi à atteindre qu'un taux de 30 % de capacité de mission complète. Le F-35 s'est avéré être un avion profondément défectueux qui est loin de répondre aux besoins des services et qui met donc en péril la sécurité nationale. Mettre l'accent sur l'impact économique du programme n'est qu'une tentative désespérée d'empêcher le Congrès de réduire le financement. Une telle stratégie a déjà été utilisée par l'industrie, mais elle ne fait que retarder l'inévitable. Au cours de la dernière décennie, les responsables de la sécurité nationale ont tenté de sauver le Littoral Combat Ship de la marine avec des arguments similaires. Le programme LCS a d'abord été salué par ses partisans comme un navire de surface révolutionnaire capable de remplir plusieurs rôles à un prix abordable. Au fur et à mesure que les navires étaient construits et entraient en service actif, il est devenu de plus en plus évident que le programme ne répondait pas aux attentes et que les dirigeants de la marine souhaitaient réduire leurs pertes. Mais les législateurs ont maintenu le programme quelques années de plus en raison de son impact économique. La défense commune est inscrite dans le préambule de la Constitution. Le peuple américain tolère, même si c'est souvent à contrecœur, que le gouvernement dépense l'argent de ses impôts pour construire des armes pour l'armée. On attend du Congrès qu'il dépense judicieusement pour acheter des produits qui fonctionnent et qui comblent les lacunes en matière de capacités. Les législateurs ne devraient pas acheter des armes dans le seul but de stimuler l'économie. Il existe de bien meilleurs moyens de stimuler l'économie avec l'argent des contribuables que les dépenses inutiles en matière de défense. Imaginez l'effet sur l'économie globale si une fraction seulement de l'argent dépensé pour le F-35 était consacrée au réseau de transport du pays. La valeur militaire d'un programme d'armement est la seule justification valable de ses dépenses. Si quelqu'un ressent le besoin de défendre un programme, l'argument doit être basé sur l'efficacité démontrée de l'arme et sa centralité pour la défense de la nation. Si une arme ne fonctionne pas ou ne peut pas être achetée en nombre suffisant pour répondre aux besoins des services, à quoi bon ? Les Américains dépensent aujourd'hui beaucoup plus pour la défense qu'ils ne le faisaient il y a à peine une génération. Les dépenses du Pentagone ont augmenté de près de 50 % par rapport à l'an 2000. Cet argent supplémentaire a été englouti dans de nombreux échecs d'acquisition. Le Littoral Combat Ship, le Future Combat System de l'armée, le destroyer de classe Zumwalt, l'avion ravitailleur KC-46 et l'Expeditionary Fighting Vehicle du corps des Marines ne sont que quelques-unes des déceptions significatives de ces 25 dernières années. Le système est manifestement défaillant. La nouvelle administration Trump devra prendre des mesures radicales pour mettre un terme aux excès des 25 dernières années. Le fait que des personnes influentes admettent désormais, au moins involontairement, les échecs du F-35 pourrait constituer un bon point de départ. Il serait très difficile d'annuler purement et simplement le programme en raison de tous les liens avec l'étranger qui y ont été intégrés dès le départ. Mais limiter la production jusqu'à ce que les ingénieurs aient achevé la conception du F-35 pourrait envoyer le bon signal à l'industrie de la défense, à savoir que le statu quo est intolérable.
  16. Les Rafale c'est plus cher que ça, parce que tu dois équiper les bases marines et les portes avions (alors je ne sais pas si c'est un ou deux) et tu as du développement pour adapter les Rafales aux normes russes pour l'appontage en particulier. Pour les Scorpène tu dois intégrer l'AIP et pour cela tu rajoute une tranche ce qui modifie la longueur et le comportement du sous marin. C'est donc un développement c'est à dire des coûts et des délais.
  17. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Oui je le savais, le prétexte c'est pour compenser l'attrition. Par contre ils ont l'air d'avoir des difficultés pour upgrader leur SU-30 MKI vers ce qu'ils appellent Super SU-30 MKI, ou du moins ça prend beaucoup de temps. Pour les 12 SU-30 MKI tu ne crois pas que les Russes auront besoin de toute leur capacité de production pour la guerre en Ukraine?
  18. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    On est d'accord car "Proche/moyen-avenir" et "après le MRFA" est une impossibilité: je voulais dire non pas après l'appel d'offre MRFA mais après la signature du contrat et les premières livraisons et même peut être la livraison complète des MRFA. En plus ce serait sans doute un appel d'offre fake pour une sorte de plan B qui occupe les Babous le temps que l'AMCA soit prêt.
  19. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Et Elon Musk tu le remplace par qui?
  20. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Don't Knock The F-35: Why The US Air Force Secretary Says Elon Musk Needs To Learn More Ne frappez pas le F-35 : Pourquoi le secrétaire de l'armée de l'air américaine estime qu'Elon Musk doit en savoir plus Elon Musk s'est trouvé un nouvel adversaire avant sa prise de fonction officielle au sein du cabinet du président Trump : le F-35 Lightning II et le secrétaire de l'armée de l'air américaine. Le jet, produit par Lockheed Martin , a attiré l'attention à la fois pour son coût d'acquisition élevé et pour ses capacités à changer la donne dans la guerre aérienne moderne. Le secrétaire sortant de l'armée de l'air, Frank Kendall, a déclaré : « Il n'est pas un combattant militaire ». Il a ajouté que les commentaires de M. Musk sur les jets pilotés n'étaient pas pertinents. Les sceptiques s'inquiètent du processus d'acquisition et des lacunes technologiques, tandis que les partisans mettent en avant les caractéristiques de furtivité, la suite de capteurs avancés et les performances élevées de l'appareil. Comme indiqué précédemment sur Simple Flying, les pilotes expérimentés restent convaincus de la valeur d'une présence humaine dans le cockpit. De nombreux analystes de la défense et membres des forces armées sont d'ardents défenseurs du Joint Strike Fighter (JSF), comme en témoigne une citation de la branche britannique de Lockheed Martin : Paul Livingston, directeur général de la branche britannique du géant de la défense, a déclaré que les capacités du F-35 étaient encore « supérieures à tout ce qui existe », rappelant les centaines de commandes de l'avion américain passées par 19 alliés, dont la Grande-Bretagne. Une cinquième génération conçue pour le combat Le processus d'optimisation, de dépannage et d'adaptation à l'avenir du plus récent chasseur de cinquième génération (et le seul capable de prendre en charge des porte-avions) de l'arsenal occidental a été long. Des rapports récents indiquent qu'une réduction des livraisons de F-35 pour l'exercice 25 pourrait se profiler à l'horizon, mais le jumelage numérique pourrait rationaliser les mises à jour futures. Alors que les objectifs de production à court terme ont pu fluctuer, les efforts de production visant à tirer parti des dernières technologies d'ingénierie ont contribué à améliorer l'efficacité et la résilience d'un cycle d'acquisition extrêmement complexe et sensible. La capacité de déploiement flexible du F-35, son ensemble de capteurs avancés, ses qualités de furtivité et sa capacité à partager des données en temps réel avec d'autres plateformes sont autant d'atouts pour la stratégie des armes combinées lors d'opérations menées en coalition. Les observateurs notent que les complications liées à la chaîne d'approvisionnement et les obstacles techniques inattendus sont fréquents dans les grandes acquisitions de défense telles que l'avion de combat furtif de nouvelle génération ; mais chaque itération s'appuie sur la précédente pour offrir des solutions basées sur les enseignements tirés. Joint Strike Fighter tech Les spécifications du Lockheed Martin F-35A Lightning II sont les suivantes : Moteur: Un turboréacteur Pratt & Whitney F135-PW-100 Poussée : 191 kN (43 000 livres) Envergure : 10,7 mètres (35 pieds) Longueur : 51 pieds (15,7 mètres) Hauteur : 4,38 mètres (14 pieds) Masse maximale au décollage : 31 751 kg (70 000 livres) Capacité en carburant : Interne : 8 392 kg (18 498 livres) Charge utile : 8 160 kg (18 000 livres) Vitesse : Mach 1,6 (~1 200 mph ou ~1 930 km/h) Autonomie : Plus de 1 350 miles avec du carburant interne (1 200+ miles nautiques), illimité avec le ravitaillement aérien. Plafond : Au-dessus de 15 kilomètres (50 000 pieds) Les plaintes spontanées et mal informées de Musk Certains partisans des drones pensent que l'avènement des véhicules aériens de combat sans pilote (UCAV) signifie l'inutilité et la disparition des avions pilotés sur le champ de bataille. Le Glass Almanac suggère qu'un rapport déclassifié a déclenché des réactions immédiates de la part de Musk, qui a remis en question la viabilité du programme dans des scénarios futurs. De nombreux analystes de la défense reconnaissent que les systèmes aériens sans pilote offrent la possibilité d'engagements rentables et à moindre risque, mais cela ne suffit pas pour se passer des armes les plus puissantes dans le ciel. De nombreux experts de l'aviation et de la défense s'accordent à dire que des avions à réaction comme le F-35, avec un homme dans la boucle pour fournir un jugement humain avec des données de capteurs en temps réel, sont difficiles à reproduire dans un système entièrement autonome. De nombreux points de débat portent sur la question de savoir si la technologie peut progresser au point que le contrôle à distance ou autonome surpasse la capacité du pilote à interpréter les scénarios de combat au fur et à mesure qu'ils se déroulent et à faire le bon choix au moment où il le faut. Le facteur humain confère une validité morale et juridique aux décisions prises sur le champ de bataille dans la chaîne d'exécution, depuis l'acquisition de la cible jusqu'au déploiement des armes. Amélioration continue et valeur stratégique Le F-35 bénéficie d'un soutien permanent afin de garantir qu'il offre les meilleures performances sur le champ de bataille. Selon Air & Space Forces, les négociations du lot 18 indiquent un engagement continu à affiner les étapes de l'approvisionnement, ce qui suggère que la planification de la production évolue en réponse aux exigences budgétaires. Les projets de défense à grande échelle s'appuient souvent sur des mises à jour progressives pour suivre l'évolution des exigences techniques. La collaboration de Lockheed Martin avec le ministère de la défense permet de maintenir une boucle de rétroaction continue entre la direction et l'atelier de production. On pense que les modifications de la prochaine génération pourraient intégrer l'apprentissage automatique, alias l'intelligence artificielle (IA), et des réseaux électroniques plus résistants. Certains responsables envisagent également une synergie entre les différents systèmes de défense. Des efforts sont actuellement déployés pour optimiser la communication des réseaux de données avec les stations terrestres, les satellites, les aéronefs et les plates-formes navales. La complexité de ces développements recouvre des défis techniques, logistiques et politiques qui peuvent tous avoir un impact sur les délais d'acquisition. Les critiques s'inquiètent de l'augmentation des dépenses de maintenance et de maintien en condition opérationnelle, tandis que les partisans soulignent que ces coûts reflètent la nature évolutive de la technologie de défense. Résultat final La principale source d'argumentation concernant le programme F-35 est le conflit entre le coût et la valeur dans l'espace de combat de la cinquième génération. Certains contestent le bien-fondé de la priorité accordée aux chasseurs pilotés dans un monde où la technologie des drones se développe rapidement. La réponse du secrétaire de l'armée de l'air à M. Musk, rapportée par de nombreux médias, reflète son point de vue selon lequel un homme dans la boucle est essentiel pour les réalités opérationnelles sur le champ de bataille réel, où les décisions sont prises et décident de la vie et de la mort. Un compromis probable pour combler le fossé consisterait à investir dans des systèmes complémentaires sans pilote, tels que l'avion de combat collaboratif (CCA), également connu sous le nom de Loyal Wingman. L'évolution continue du F-35 implique des mises à jour logicielles, l'optimisation des composants et l'affinement de la formation des pilotes. Les rapports précédents, comme ceux de Simple Flying et Glass Almanac, confirment que, malgré les controverses, le jet reste un outil précieux et éprouvé dans l'arsenal de planification stratégique des États-Unis et de leurs alliés. Elon Musk peut croire que sa position d'autorité lui confère soudainement une expertise supérieure à celle de tous les hauts gradés du ministère de la défense et de tous les grands esprits de l'aérospatiale américaine, mais c'est peut-être un peu plus compliqué que « jet bad, drone good » (avion mauvais, drone bon).
  21. Guerre en Ukraine : la nouvelle stratégie de Trump face à Poutine Le nouveau président américain a estimé qu'en continuant la guerre en Ukraine, Vladimir Poutine est en train de « détruire son pays » sur le plan économique. « Il faut un deal ! » a de nouveau martelé Donald Trump, lundi soir, en évoquant un accord entre la Russie et l'Ukraine pour mettre fin à la guerre, ce qui correspond à l'un de ses engagements majeurs. Dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche qu'il a retrouvé pour la première fois depuis quatre ans, le nouveau président a estimé devant la presse que l'invasion de l'Ukraine par la Russie était source « de gros ennuis » pour Vladimir Poutine. Ce qui est évident sur le plan militaire, avec notamment la perte de la moitié des blindés russes en trois ans de combats et l'incapacité à reprendre la totalité de la poche de Koursk aux forces ukrainiennes, malgré cinq mois d'assauts intenses, mais aussi sur le plan économique, sans doute l'élément le plus important aux yeux de Donald Trump. Il a d'ailleurs précisé : « Je pense que la Russie a de gros problèmes. Regardez leur économie, regardez l'inflation. » Recul du rouble Cette dernière, en raison du déficit budgétaire suscité par la guerre, de la suspension d'importations occidentales et de la surchauffe du complexe militaro-industriel, dépasse actuellement 9,5 % en rythme annuel. Le troisième niveau le plus élevé parmi les cinquante plus grandes économies du monde derrière l'Argentine, en passe de la juguler, et la Turquie. Les loyers flambent à Moscou, tout comme le prix de certains aliments de base, de 40 % depuis un an. Pour la brider, la banque centrale a dû se résoudre à augmenter les taux d'intérêt jusqu'à 21 % récemment, là encore le niveau le troisième plus élevé des grandes économies. Le coût des emprunts empêche tout nouveau projet d'investissement d'être rentable et rend prohibitif le fonds de roulement de la plupart des entreprises. Le rouble a perdu 8 % face au dollar sur le seul mois de novembre, au plus bas depuis le début de la guerre. Donald Trump a ajouté : « Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, m'a dit qu'il voulait conclure un accord, je ne sais pas si Poutine le veut […]. Je pense qu'il devrait conclure un accord. Je pense qu'il est en train de détruire la Russie en ne concluant pas d'accord. » En saluant la volonté de Kiev de chercher un compromis et en évoquant les « gros ennuis » de Poutine, le nouveau président américain semble ainsi mettre légèrement plus la pression sur le Kremlin, sans évoquer toutefois pour autant la possibilité d'armer l'Ukraine. Volodimir Zelensky a, de son côté, dit mardi travailler à une rencontre avec Donald Trump pour discuter d'un accord de paix avec la Russie, lors du Forum économique de Davos. Il a au passage affirmé qu'il faudrait une force de maintien de la paix européenne, en cas d'accord, d'«au moins 200.000 hommes». «C'est le minimum, sinon ça ne sert à rien», a-t-il dit. « Je m'entends très bien avec Poutine » Le principal conseiller de Donald Trump sur l'Ukraine, Keith Kellogg, avait présenté sa doctrine en la matière : menacer l'Ukraine de suspendre les livraisons d'armes et munitions si elle ne se montre pas sincèrement prête à un compromis, et à l'inverse menacer le Kremlin de fournir une aide militaire massive à Kiev s'il ne cherchait pas la paix. Les contours d'un accord restent toutefois difficiles à imaginer, les positions de Vladimir Poutine et du régime ukrainien s'avérant antagonistes. On peut même estimer qu'il s'agit d'une question de vie ou de mort pour la nation ukrainienne, comme pour le président russe. « Je m'entends très bien avec Poutine, j'espère qu'il veut conclure un accord », veut toutefois croire Donald Trump. L'impact des sanctions Reste aussi à savoir si l'impact des sanctions économiques, que Donald Trump n'avait pas approuvé jadis, sera suffisant pour pousser Poutine à un règlement politique. Certes, elles commencent à faire mal, comme l'illustre le fait que la « flotte fantôme » de pétroliers permettant de contourner les sanctions ne peuvent plus accoster nulle part depuis quelques jours, même en Chine. Vladislav Inozemtsev, un des auteurs d'un rapport du Centre pour l'analyse et la stratégie en Europe, estime toutefois que les sanctions « ne contraignent pas substantiellement la capacité du Kremlin à faire la guerre ». Pour lui, les capacités d'emprunt de Moscou, dont la dette dépasse à peine 18 % du PIB, restent importantes, et la politique de taux d'intérêt élevés n'a pas encore provoqué de vagues de faillites. A l'inverse, les économistes du cabinet Capital Economics considèrent que « la Russie court désormais un risque élevé de crise bancaire […] avec la hausse des taux d'intérêt et du service de la dette, une augmentation des défauts de paiements d'entreprises ». Tandis qu'Alexandra Prokopenko, de Carnegie Politika, affirme que « nous assistons à une marche irréversible de la Russie vers la stagnation économique ».
  22. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Elle est dans le futur A moins que tu sache la déceler dans cette vidéo: Mais il faut savoir lire entre les lignes !
  23. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Les Indiens ne veulent pas mettre tous leurs œufs dans le même panier et s'orienteraient vers les US pour développer le moteur de l'AMCA en coopération. Selon les médias Indien, Trump viendrait en Inde avec une offre de F-35. Quelque chose est en préparation. Les Indiens pourraient acheter 36 F-35 Block 4, au moment où celui ci sera au point et complet c'est à dire avec le nouveau moteur et le nouveau radar ainsi que des capacités de refroidissement et de génération électrique adaptées. Les Indiens achèteraient aussi les 114 MRFA qui seraient des Rafale F5. Tout cela n'aurait rien à voir avec la deuxième tranche de 36 Rafale F4 qu'ils doivent commander pour l'IAF, pour eux, il est évident que c'est ce qu'ils feront puisqu'ils ont déjà payé les ISE et les bases aériennes pour qu'elles soient prêtes à accueillir 72 avions de ce type. Ils estiment que si ils achètent un jour le F-35, ce sera probablement la version C ou B, surtout la première pour les porte-avions d'un déplacement de 65000 tonnes qu'ils ont l'intention de construire au cours de la prochaine décennie, date à laquelle, le F-35 sera probablement une plateforme mature ayant obtenu toutes les certifications nécessaires. Toutefois le F-35 est monomoteur et l'Indian Navy ne veut que des bimoteurs...Le problème c'est qu'ils ne comptent pas développer une version navale de l'AMCA, il y a trop peu d'avions concernés. Quoi qu'il en soit, il faut prendre cela avec des pincettes. Même si Trump propose le F-35, que l'IAF soit intéressée ou non, le F-35 doit encore obtenir des autorisations et des validations. L'IAF pourrait donc toujours acheter 36 F4 à la place ou attendre le MRFA ou les deux. L'IAF continuera à donner la priorité à la voie MRFA + AMCA. Ils pourraient laisser entendre que le F-35 les intéresse un peu comme ils ont fait avec le Gripen qui a participé à beaucoup de compétitions jusqu'à ce que les Indiens mettent la priorité sur le LCA: c'était donc un plan B, alors le F-35 pourrait être le plan B de l'AMCA. En attendant ils envisageraient de faire une compétition entre le SU-75 et le F-35 après le MRFA.
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