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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Un avis éclairé sur zonebourse auquel il faut rajouter ce matin la démission de la directrice chargé de ces stats dégagée par Trump qui trouve mensonger ces chiffres : L'emploi américain passe mal les révisions https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/l-emploi-americain-passe-mal-les-revisions-ce7c5fd3d880f222 Comme souvent avec l'emploi américain, tout se joue dans les révisions. Le chiffre du jour est décevant, mais ce sont surtout les révisions des mois précédents qui ont frappé les esprits, entraînant à la baisse les indices actions et les taux. Mais si ces mauvais chiffres font craindre un affaiblissement du marché du travail, ils pourraient simplement être révélateur d'un nouvel équilibre. Antoine Alves d'Oliveira Publié le 01/08/2025 à 16:06 - Modifié le 01/08/2025 à 17:24 Les bonnes nouvelles sont-elles des mauvaises nouvelles ? Les mauvaises nouvelles sont-elles des bonnes nouvelles ? Autant de questions existentielles que l’équipe de recherche macro de Zonebourse se pose tous les premiers vendredis du mois, à la lecture des chiffres de l’emploi américain. Au mois de juillet, l’économie américaine a créé 73 000 emplois contre 104 000 attendus par le consensus. Une surprise à la baisse que le marché aurait pu interpréter positivement : des chiffres d’emploi un peu moins bons, c’est un peu plus de place pour une baisse des taux de la Fed, sans pour autant que l’activité ne s’effondre. Ça, c’est la logique "les mauvaises nouvelles sont des bonnes nouvelles". Lorsque les données économiques s’affaiblissent, on anticipe davantage de baisse de taux. Cette logique a une limite, c’est que les données ne soient pas trop mauvaises. Les investisseurs veulent bien voir un ralentissement de l’activité mais pas une économie qui va en récession. Et c’est un peu le problème des données du jour. Car au-delà de la surprise à la baisse en juillet, il y a surtout d’importantes révisions sur les chiffres de mai et de juin. En juin, les créations de poste n’ont été que de 14 000, contre 147 000 en première estimation. En mai, la révision à la baisse est de 125 000 (soit seulement 19 000 postes créés sur ce mois). C’est ce qui explique l’ouverture dans le rouge des indices américains. Le S&P500 perd environ 1.5% à l’ouverture. Les taux courts, de leur côté, chutent. Le 2 ans perd environ 20 points de base. Faut-il s’inquiéter ? Si on cumule les révisions à la baisse de mai et juin ainsi que le chiffre en dessous des attentes du jour, l’écart par rapport aux prévisions est de 289 000. Sachant que la moyenne sur les 12 derniers mois est de 128 000, c’est un peu plus de deux mois de créations de poste de différence. Si le gap est important, il ne faut pas pour autant en conclure que l’économie américaine va tout droit en récession et vendre toutes ses actions comme un seul homme. Les chiffres du jour nous renvoient aux deux lectures qui sont faites de la dynamique actuelle du marché du travail américain. D’un côté, il y a ceux qui pointent les signes de ralentissement : créations de postes en net ralentissement, inscriptions continues au chômage qui sont sur des niveaux plus vus depuis la sortie de la période Covid… De l’autre, ceux qui regardent le taux de chômage, stable sur les 12 derniers mois. Sur cette période, celui-ci est resté entre 4 et 4.2%, soit un niveau de plein emploi. C’est ce que soulignait Jerome Powell mercredi soir, et ce qui lui permet de justifier un maintien des taux directeurs. Alors que retenir de tout cela ? Essentiellement que le marché du travail américain se fige, c’est-à-dire qu’il y a moins de demande de travail de la part des entreprises, qui sont plus prudentes sur les embauches, et dans le même temps il y a moins d’offre car la politique migratoire agressive de l’administration Trump a réduit à zéro les flux migratoires. On pourrait donc rester, dans les prochains mois, sur un équilibre où les créations de poste sont faibles mais sans que le chômage ne remonte. Et c’est bien cela qui compte. Tant que cette économie reste au plein emploi, les Américains touchent un salaire et le dépensent ; l’activité économique tient.
  2. C'est une façon de dire "Messieurs les français, tirez les premiers". (cf le corsaire français Surcouf affrontant un vaisseau anglais).
  3. Ca me semble très plausible. Il ne se passe pas grand chose en août en France. Tout le monde est en vacance. Même Macron fait une pause dans le var à Brégançon.
  4. De toute façon le misnistre français a demandé à faire le point des deux côtés. Le point est fait. Dont acte, Les carottes sont cuites
  5. ABer wir sind Franzozen. Chauvismus ist unserve genom.
  6. Bon çà ils savent encore faire et ont accès à des volumes de données importants. Ca ils sont à la traine et leur données ops ne sont pas énormes. Là j'ai un doute, ils sont peu présent sur les grands océans
  7. Sauf que pour concevoir correctement maintenant il faut un big data très large dont l'Allemagne ne dispose pas forcément contrairement à Dassault/ONERA et autre centre de test de l'armée de l'AIr et de la DGA. Le big data généré par le F-35 partira au US pas en Allemagne. Ils n'ont que le big date de L'EF qui doit être très segmenté entre chaque participant.
  8. Aux admin : J'aime pas du tout la nouvelle présentation de AD.net. Elle est beaucoup moins clair et on passe beaucoup plus de temps à scroller.
  9. Cette phrase me semble sorti de nul part. Je ne vois pas comment ChatGPT peut l'argumenter. Le reste me semble parfaitement correspondre à mon propre point de vue. Je pense surtout que maintenant cette analyse comparative a été menée dans plusieurs états-majors et que les résultats seront très proches de ce que ChatGPT a produit. D'où un changement de narratif par les US sur le rafale qu'on a commencé à percevoir dans le cas de l'Inde. En gros "le rafale est bien mais on a beaucoup mieux". Ce discours néglige toujours autant la MCO beaucoup trop intensive autour du F-35 qui le rend impotent au-delà des quelques premiers jours d'engagement et forcera tout état possesseur de F-35 à baisser les bras très rapidement si une guerre longue devait se mettre en place.
  10. EN fait on la connait déjà. Airbus va réunir au moins trois pays européens autour de lui pour avoir accès au budget européens. Mais il va devoir refaire une répartition façon eurofighter avec des partenaires qui vont pour la plupart devoir apprendre le taf. Dans le même temps ils vont tâcher de débaucher les Italiens pour avoir une coalitions ALL/Esp/Ita/Pol(?). Au final le résultat sera extrêmement complexe et aussi inutile que le F-35 tellement la MCO sera lourde et quasiment unitaire. Bref en terme programmatique les européens vont partir sur un programme ressemblant plus à un B-21 que chacun achètera à une douzaine d'exemplaire max tellement le coût unitaire sera monstrueux. Airbus a en plus déjà montré que face à une dérive des coûts ils étaient capable de désitariser un programme sans le monidre état d'âme. Kratos nous le rappel encore aujourd'hui. Il n'y a que SAAB dont l'avenir me semble incertain. Compte tenu de leur réel savoir-faire j'ai toujours pensé qu'ils avaient intérêt à se tourner vers Dassault ou a minima vers safran et ses petits moteurs. Il restera donc le tryptique Habituel Dassault/Thalès/Safran très habitué à fonctionner ensemble qui fournira une solution complète et équilibrés bien avant AIRBUS mais qui ne sera pas vendable en Europe. A mon sens Dassault et SAAB devrait s'entendre pour développer une famille de produit ayant en commun des sous ensembles. On pense immédiatement aux moteurs mais on pourrait rajouter les armes et sûrement une avionique modulaire voir un cockpit commun.
  11. Alleluia. Ils sont d'accord qu'ils se seront jamais d'accord. Si j'ai bien compris Lecornu, il attendait d'avoir établi ce constat. Je crois que cette fois c'est la bonne. Un SCAF franco/indien ?
  12. herciv

    Marine Britannique

    Ca va pas plaire aux norvégiens : https://www.opex360.com/2025/08/01/dedie-aux-operations-amphibies-le-navire-britannique-rfa-argus-a-ete-juge-trop-dangereux-pour-naviguer/
  13. Franchement @Manuel77 tu crois vraiment que des bombes US prépositionnée en Allemagne ou en Belgique ont une chance d'être utilisée ou même qu'elles servent la dissuasion face à la Russie ?
  14. herciv

    La Force aérienne suisse

    C'est très possible. Là tout de suite les suisses sont face à un ultimatum. Nous on a à peine résisté d'autre comme le brésil ou l'inde ont envoyé Trump se faire cuire un oeuf. Bref les jeux ne sont pas forcément fait.
  15. Eh ben tu fais comme certain commerçant avec la déclaration de TVA. Tu fais une déclaration au poids ou au volume.
  16. Oui bon bof pour les arguments de TLF. C'est pas parce qu'il y a une taxe sur la TV que les gens arrêtent d'acheter une TV. Perso vu le volume que prennent ces colis et la logistique au pied de la porte qu'il engendre je trouve çà très bien. 2 euros çà me semble même un peu lège.
  17. C'est rigolo. Je pense que pour aller au US depuis le Bresil, il faudra d'abord passer par les UK pour changer l'étiquette de la provenance ! «Mettre fin à une faille catastrophique» : Washington supprime l'exemption de taxes sur tous les petits colis https://www.lefigaro.fr/conjoncture/mettre-fin-a-une-faille-catastrophique-washington-supprime-l-exemption-de-taxes-sur-tous-les-petits-colis-20250801 Avec la suspension de cette exemption, les colis seront désormais taxés au même niveau que les autres produits provenant du pays d’origine ou avec un taux spécifique selon le type du produit et son origine. La Maison-Blanche a annoncé mercredi la publication d'un décret du président Donald Trump annulant l'exemption de droits de douane pour l'ensemble des petits colis entrant aux États-Unis à compter du 29 août prochain. Appelées «de minimis», ces exemptions permettaient jusqu'ici d'envoyer par colis postal des biens d'une valeur inférieure à 800 dollars sans avoir à payer de surtaxe lors de leur entrée sur le sol américain. Avec la suspension de cette exemption, les colis seront désormais taxés au même niveau que les autres produits provenant du pays d'origine ou avec un taux spécifique selon le type du produit et son origine. Il s'agit selon la présidence américaine de «mettre fin à une faille catastrophique utilisée, entre autres, pour éviter des droits de douane et envoyer des opioïdes synthétiques ainsi que d'autres produits dangereux». En particulier, ces petits colis représenteraient 98% des narcotiques, 97% des contrefaçons et 70% des produits dangereux pour la santé qui ont été saisis durant l'année 2024, selon l'Agence de protection des frontières (CBP). Le gouvernement américain justifie cette mesure par l'explosion de l'envoi des colis postaux, qui est passé, selon ses données, de 134 millions d'unités en 2015 à plus de 1,36 milliard en 2024. Ce n'est pas la première fois que la Maison-Blanche prend des mesures visant les colis bénéficiant de cette exemption. Après une enquête lancée sous le gouvernement précédent de Joe Biden, celui de Donald Trump a dans un premier temps visé les petits colis provenant de Chine, qui représentent la majorité de ceux envoyés aux États-Unis, en particulier ceux provenant des vendeurs comme Temu, Shein ou AliExpress. Un premier décret a ainsi annulé début avril l'exemption sur les colis provenant de Chine, avant que Donald Trump n'annonce, une semaine plus tard, tripler les droits de douane qui leur sont appliqués, pour les faire passer de 30%, comme le reste des produits chinois à ce moment-là, à 90%, effectifs début mai. Mais les négociations entre Pékin et Washington afin d'aplanir les différends commerciaux entre les deux premières puissances économiques mondiales ont ramené ces droits de douane à 54%.
  18. Droits de douane : les États-Unis ont récolté 87 milliards de dollars en six mois, davantage que sur toute l’année 2024 https://www.lefigaro.fr/conjoncture/droits-de-douane-les-etats-unis-ont-recolte-87-milliards-de-dollars-en-six-mois-davantage-que-sur-toute-l-annee-2024-20250731 Par Le Figaro avec AFP Les données du Trésor américain montrent une hausse spectaculaire depuis avril 2025, quand Donald Trump a lancé sa vaste guerre commerciale. Les États-Unis ont tiré davantage de recettes des taxes douanières au cours des six premiers mois de 2025 que sur l’ensemble de l’année 2024, selon des données du Trésor américain compilées par l’AFP. Au total, les recettes dépassent 87 milliards de dollars contre près de 79 milliards en 2024, selon les données mensuelles à fin juin, actualisées mercredi, qui montrent une hausse spectaculaire depuis avril 2025, quand Donald Trump a lancé sa vaste guerre commerciale. Un précédent pic a été enregistré en 2022, avec 98 milliards de dollars, selon des calculs de l’AFP. En juin, les revenus nets liés aux douanes ont atteint 26,6 milliards de dollars, soit presque quatre fois plus qu’en janvier et dépassent la somme des trois premiers mois de l’année, avec 22,8 milliards de dollars. Ces recettes pourraient encore progresser avec la hausse programmée de certains droits de douane, que Donald Trump a de nouveau défendu jeudi, affirmant que sa politique commerciale permettait de rendre les États-Unis «GRANDS et RICHES à nouveau». Son gouvernement utilise les droits de douane comme moyen de pression économique mais aussi politique à l’encontre de plusieurs partenaires commerciaux, notamment le Canada, le Brésil et l’Inde. Au 1er août, un certain nombre de surtaxes doivent être appliquées sur la plupart des partenaires commerciaux des Etats-Unis, dont certaines, sectorielles, très lourdes, à l’image des 50% prévues sur le cuivre. «Tout sera fait vendredi», a assuré le secrétaire au Commerce, Howard Lutnick. «Le 1er août est le jour où nous mettons en place ces taux et ils ne seront plus sujet à discussion après». Pour environ 80 pays, dont les 27 de l’Union européenne (UE), les droits de douane appliqués à leurs produits devraient donc augmenter dès vendredi, pour se situer entre 11% et 50%, selon l’origine des produits.
  19. Le second BRF le Jacques Stosskopf est à Toulon https://www.opex360.com/2025/08/01/second-batiment-ravitailleur-de-forces-de-la-marine-le-jacques-stosskopf-a-rejoint-son-port-base-de-toulon/
  20. Pour le point 1 ok mais partiellement parce que le rafale a bien reçu un traitement particulier dans la communication paki mais également US et chinoise. D'autre part il n'y a pas eu de franchissement de frontière importants par des troupes au sol. J'ai donc un peu de mal à croire à une grosse offensive paki avec des objectifs territoriaux. On est d'accord que le rafale n'aurait pas percé 30 mêtres de roche dure. Mais la triplette rafale/Hammer/SCALP a permis d'élargir très notablement l'éventail des frappes indiennes ce qui était beaucoup plus compliqué pour le F-35 tellement ils se sont concentré sur des cibles de peu d'intérêt ou qui ont été frappé majoritairement par des drones. Sans savoir exactement comment NUR KHAN au pakistan qui contenais les moyens nucléaire des indiens a été frappé très durement et avec une très grande précision au point de mettre entre parenthèse la dissuasion paki pour un moment indéterminé. Je rappel que sur 1500 sortie seule 350 ont été menée par des F-15/F-16/F-35. Je rappel également que NEVATIM et également TEL HOF ont été frappée et ont ne sait pas comment cette frappe aurait influencée la poursuite des sortie du f-35. Je rappel surtout que le rafale a continué a donner sa pleine mesure pendant tout le conflit.
  21. herciv

    L'Inde

    C'est de la pure provoc. Mais l'info importante est celle que les indiens ne veulent pas de f-35 et que le message a été reçu haut et clair en Chine.
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