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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Vive le relativisme. Sans lui il y deux ans il y en a plein qui n'aurait pas compris que la situation actuelle n'est pas une grande surprise. On ne sait pas encore si Koursk est une situation durable avec des implications stratégiques ou si çà sera un nouveau Robotyne. Tenir cette tête de pont impliquent une logistique qui fait forcément défaut ailleurs. Quoiqu'il en soit l'armée Ukrainienne a gardé des capacités offensives qu'elle utilise de mieux en mieux et c'est en soit un élément qui va dans le bon sens. Les Russes ne pourront plus se permettre de dégarnir leur front. Néanmoins la situation des ukrainiens dans le sud-est du front n'est pas folichonne et c'est un euphémisme. New-York et Toresk sont menacées ainsi que plusieurs autres grandes villes si ces deux verrous tombent.
  2. Et un risque non neglugeable d'entrée en guerre de la Bielorussie si Poutine se sent trop bousculé.
  3. Pour rappel puisqu'on parle beaucoup de drone à fibres optiques : https://air-cosmos.com/article/chimera-le-drone-francais-plebiscite-par-l-ukraine-mais-bloque-par-la-france-69079 Le Chimera exploite des concepts déjà bien connus et démontrés, mais l'accumulation de toutes les innovations et leur mise en œuvre sur un appareil au coût très faible fait aujourd'hui l’unanimité dans les unités ukrainiennes équipées d’une machine jugée résiliente, simple et efficace "comme un AK47". Le drone existe en version quadra ou hexacoptère de 50 pouces et peut être contrôlé par deux opérateurs , mais son gros facteur différenciant est sa capacité à voler même en environnement totalement brouillé, grâce à l’utilisation d’un câble de fibre optique pouvant atteindre jusqu'à 50 kilomètres de longueur en volant à une altitude d’environ 400 mètres. Le système de filoguidage interdit en effet tout risque d'interception des signaux, ne permet pas aux systèmes ennemis de détecter le drone via leurs capteurs de guerre électronique associé à la radio-goniométrie, évite de mettre en danger les télépilotes dont la position est souvent dévoilée par leur puissante antenne, le tout en offrant une capacité opérationnelle et un taux de survie très supérieurs. Comme tous les drones à voilure tournante, le Chimera pouvant décoller verticalement puis bénéficier d’une grande mobilité, une caractéristique qui renforce sa capacité à être discret tout en étant plus difficile à détecter par les systèmes de défense ennemis, les radars ayant du mal à détecter des cibles très lentes voire stationnaires.
  4. Je ne questionne pas Guida sur des sujets qu'elle ne peut aborder que comme des impressions.
  5. Un autre article de Lagnau très intéressant : https://www.opex360.com/2024/08/13/londres-na-pas-autorise-kiev-a-utiliser-des-missiles-de-croisiere-storm-shadow-pour-son-offensive-a-koursk/ Londres n’a pas autorisé Kiev à utiliser des missiles de croisière Storm Shadow pour son offensive à Koursk par Laurent Lagneau · 13 août 2024 FacebookXLinkedInGoogle TranslateEmailCopy LinkPartager Le 12 août, le commandant en chef des forces ukrainiennes, le général Oleksandr Syrskyi, a assuré que ses troupes contrôlaient désormais 1000 km² de territoire russe, une semaine après avoir lancé une offensive dans la région de Koursk. Soit deux fois que les chiffres avancés par Moscou, où l’on a admis que 28 localités avaient changé de main. Seulement, l’effet de surprise étant passé, la « front » semble se stabiliser à environ 15 km de la frontière En tout cas, c’est ce qu’affirme le ministère [français] des Armées, dans un point de situation publié ce 13 août. « Les combats se poursuivent aux environs de Soudja, dans l’oblast de Koursk, où les forces armées ukrainiennes semblent avoir réduit le rythme de leur progression initiale » et « consolident leurs positions », avance le ministère. De leur côté, poursuit-il, les forces armées russes chercheraient à acheminer des renforts sur zone » tandis que les « frappes, tant sur la ligne de front que sur les arrières, se poursuivent, occasionnant des pertes importantes d’un côté comme de l’autre ». Par ailleurs, si elle visait à contraindre la Russie à réduire sa pression dans la région de Donetsk, alors l’offensive vers Koursk n’aura pas permis d’atteindre cet objectif. Du moins pour le moment. Selon l’évaluation du ministère des Armées, les forces russes ont finalisé le contrôle de la localité d’Ivanivkha dans le secteur de Prokrovsk et progressé de « manière limitée » aux abors de Toretsk. Quoi qu’il en soit, l’un des enjeux pour Kiev sera sans doute de conserver les positions conquises à Koursk afin de s’en servir de monnaie d’échange lors d’éventuelles négociations de paix avec Moscou. Si, » au bout d’un certain temps », l’armée russe ne parvient pas à reprendre les territoires qu’elle a perdus, alors ces derniers « pourront être utilisés à des fins politiques », a en effet expliqué un haut responsable ukrainien à l’AFP. Mais encore faut-il que les forces ukrainiennes puissent utiliser les armes qui leur ont été livrées afin d’entraver le déploiement de renforts russes et / ou de frapper des infrastructures militaires utilisées pour des opérations en Ukraine, comme la base aérienne de Khalino, laquelle abrite notamment des chasseurs-bombardiers Su-30 SM pouvant emporter des bombes planantes KAB de trois tonnes. En clair, Kiev voudrait employer des missiles à longue portée, comme les SCALP EG / Storm Shadow franco-britanniques et les ATACMS américains. Or, c’est là que le bât blesse. En mai, après l’offensive russe contre la région de Kharkiv, on pensait que cette question était en partie réglée. « De la même façon que la Russie frappe l’Ukraine, il est tout à fait compréhensible que l’Ukraine ressente le besoin de se défendre », avait ainsi déclaré David Cameron, alors chef de la diplomatie britannique. Le président Macron n’avait pas dit autre chose, lors d’une conférence de presse donnée au côté d’Olaf Scholz, le chancelier allemand. « On doit leur permettre de neutraliser les sites militaires depuis lesquels l’Ukraine est agressée. Si on leur dit vous n’avez pas le droit d’atteindre le point d’où sont tirés les missiles, en fait on leur dit, on vous livre des armes mais vous ne pouvez pas vous défendre. Mais on ne doit pas permettre de toucher d’autres cibles en Russie et évidemment des capacités civiles », avait en effet plaidé le locataire de l’Éysée, le 28 mai. D’abords réticents, les États-Unis finirent par s’aligner sur cette position. Enfin presque… « Ce n’est pas une question de géographie, c’est une question de bon sens. Si la Russie attaque ou est sur le point d’attaquer l’Ukraine depuis son territoire, il est logique de permettre à l’Ukraine de riposter contre les forces qui l’attaquent depuis l’étranger », avait expliqué Jake Sullivan, le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, en juin dernier. En revanche, avait-il précisé, l’interdiction faites aux Ukrainiens d’utiliser des missiles à longue portée pour frapper des cibles en Russie restait en vigueur. Visiblement, et contrairement à ce qu’avait laissé entendre M. Cameron, cela valait aussi pour les missiles Storm Shadow livrés par le Royaume-Uni. Ainsi, début juillet, le ministre britannique de la Défense [MoD], par la voie de l’amiral Tony Radakin, précisa que ces munitions ne pouvaient être utilisées que contre des cibles militaires situées dans les territoires ukrainiens occupés par la Russie, dont la Crimée. Depuis, le Royaume-Uni a changé de gouvernement. Et même si le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a tenté de forcer la main à Keir Starmer, le nouveau locataire du 10 Downing Street, la position britannique n’a pas évolué. D’autant plus que, désormais, il ne s’agit plus d’utiliser les Storm Shadow pour se défendre et récupérer des territoires mais pour en conquérir chez le voisin russe. « Le gouvernement britannique n’a pas donné son accord à l’Ukraine pour utiliser des missiles Storm Shadow dans le cadre de son offensive à Koursk », a indiqué le quotidien The Telegraph, le 12 août. « Il n’y a eu aucun changement », lui a confié une source gouvernementale. « La position du Royaume-Uni n’a pas changé. Nous avons fourni une aide militaire pour soutenir le droit évident de l’Ukraine à se défendre contre les attaques illégales de la Russie, conformément au droit international et humanitaire. Nous sommes clairs sur le fait que l’équipement fourni par le Royaume-Uni est destiné à la défense de l’Ukraine », a par ailleurs fait valoir un porte-parole du bureau du Premier ministre britannique. Pour le moment, on ignore la position de la France sur ce sujet. De son côté, l’Allemagne, qui n’a pas livré de capacités de frappes dans la profondeur à l’Ukraine, a fait savoir qu’elle ne voit aucun inconvénient à ce que les équipements qu’elle a fournis à l’armée ukrainienne soient utilisés à Koursk, tant que leur usage est conforme au droit international.
  6. VZ met la pression sur Poutine pour forcer la négociation. VP a déjà répondu ce matin qu'il ne voulait pas négocier. https://www.lefigaro.fr/international/guerre-en-ukraine-l-offensive-ukrainienne-en-territoire-russe-s-arretera-si-moscou-accepte-une-paix-juste-declare-kiev-20240813
  7. Plan B en cours au cas où les soum ne serait pas disponibles pour l'Australie. Article de Laurent Lagneau. https://www.opex360.com/2024/08/13/en-australie-lidee-dacquerir-des-bombardiers-strategiques-americain-b-21-raider-revient-dans-le-debat/ En Australie, l’idée d’acquérir des bombardiers stratégiques américain B-21 Raider revient dans le débat par Laurent Lagneau · 13 août 2024 FacebookXLinkedInGoogle TranslateEmailCopy LinkPartager Selon le pacte AUKUS, conclu par l’Australie, le Royaume-Uni et les États-Unis en septembre 2021, la marine royale australienne [RAN – Royal Australian Navy] devrait recevoir trois sous-marins nucléaires d’attaque [SNA] appartenant à la classe Virginia entre 2032 et 2038. Les cinq autres qu’elle compte acquérir seront issus du programme SSN-AUKUS, lancé par Londres afin de remplacer les SNA de type Astute de la Royal Navy. Seulement, cet échéancier ne pourra être respecté que si les chantiers navals américains parviennent à surmonter leurs difficultés [capacités industrielles insuffisante, chaînes d’approvisionnement déficientes, manque de main d’œuvre qualifiée, etc.]. Actuellement, le rythme de production des SNA de type Virginia [un par an au lieu de deux, ndlr] est insuffisant pour répondre aux besoins de l’US Navy et de la RAN. Pour autant, Canberra veut croire que cette situation va s’améliorer. En tout cas, le gouvernement australien y met les moyens, une subvention de 3 milliards de dollars devant être débloquée au cours des cinq prochaines années pour aider l’industrie navale américaine à étendre leurs capacités de production. Par ailleurs, trois autres milliards de dollars ont été engagés pour financer les études conceptuelles du programme SSN-AUKUS. Justement, le 5 août, les trois pays du pacte AUKUS ont signé un accord autorisant l’échange d’informations et d’équipements en matière de propulsion nucléaire navale. « Les sous-marins constituent un maillon essentiel de la capacité navale australienne, offrant un avantage stratégique en termes de surveillance et de protection de nos approches maritimes », a rappelé ce texte qui, selon Richard Marles, le ministre australien de la Défense, « satisfera les normes les plus élevées en matière de non-prolifératon » nucléaire. Pour rappel, les SNA américains et britanniques sont dotés de réacteurs nucléaires fonctionnant avec de l’uranium hautement enrichi à plus de 90 % [et donc de qualité militaire], contrairement aux SNA français… D’où le commentaire du ministre autralien au sujet de la non-prolifération. Reste que le projet de doter la RAN de sous-marins nucléaires d’attaque est encore incertain. Probablement qu’il finira par se concrétiser… mais dans doute pas dans les délais prévus. D’où l’idée d’un « plan B », avancée dans un rapport intitulé « La sécurité nationale et la défense du Nord de l’Australie » et récemment publié par l’Institute for Public Affairs [IPA], un centre de recherche australien à but non lucratif. Ainsi, l’IPA recommande l’achat du nouveau bombardier stratégique B-21 Raider, développé par Northrop Grumman… et d’accueillir un escadron de l’US Air Force doté de cet appareil en Australie afin de « renforcer la dissuasion dans les années 2020 et de gérer le risque de retards dans le programme AUKUS de sous-marins ». « L’achat du B-21 Raider permettrait à l’Australie de disposer d’une force de dissuasion non nucléaire et une capacité de frappe à longue portée significative plus rapidement qu’avec les SNA AUKUS », fait valoir l’IPA, en notant que le futur bombardier américain pourrait entrer en service d’ici 2027. « Notre première recommandation politique est que le gouvernement a besoin d’un Plan B, qui permettrait d’obtenir une capacité militaire plus tôt et d’avoir une solution de repli dans le cas où les circonstances feraient que les sous-marins nucléaires ne pourraient pas être livrés », insiste l’institut australien. En réalité, l’IPA ne fait que reprendre une idée qui avait été évoquée par Frank Kendall, le secrétaire de l’US Air Force, en août 2022. Interrogé par The Strategist, une publication affiliée à l’Australian Strategic Policy Institute [ASPI], il avait en effet avancé, au sujet du B-21 Raider, que les États-Unis seraient prêts à en discuter avec l’Australie si celle-ci exprimait le besoin de disposer d’une capacité de frappe à longue portée. À l’époque, la Royal Australian Air Force [RAAF] n’avait pas totalement exclu cette idée. « Si nous devions investir dans une capacité de frappe à longue portée, alors cela devra être fait de façon équilibrée. Nous devrions être en mesure de protéger et de maintenir ces plateformes […]. Donc, bien que nous puissions travailler avec les États-Unis sur le B-21, ce ne sera qu’une petite partie de la capacité de frappe globale dont nous avons besoin », avait en effet expliqué l’Air Marshal Robert Chipman, qui était lors son chef d’état-major. Cela étant, encore faut-il que Canberra ait les moyens d’acquérir des B-21 Raider, dont le prix unitaire est actuellement estimé à 700 millions de dollars [coût de recherche et de développement compris].
  8. Il ne m'a parlé que de quelques cas. Il n'y a pas d'impasse dans les états-majors. Les allemands ne sont pas des boulets à cause de leur matériel mais à cause de leur mentalité de questionner le job sans donner de réponse quand il s'agit de tuer. Le problème semble profond à l'entendre. Encore une fois nous on a déjà mis en branle le chantier et ce que tu cites semblent bien en cour de résolution. Rappels-toi les interviews récentes du CEMA parlant spécifiquement de la menace des drones.
  9. Fitch baisse la note d'Israël à cause de l'allongement probable de la guerre jusqu'à 2025 https://www.hurriyetdailynews.com/fitch-downgrades-israel-citing-war-in-gaza-199463
  10. Guida dixit. A prendre ou à laisser comme toujours.
  11. Il se dit dans les etats-major actuellement que la russie aura achevé sa modernation dans 2 ou 3 ans, comme la France, que les anglais font peurs à tout le monde et qu'il n'ont plus vraiment d'armée, que les Allemands remontent en puissance mais que çà n'est toujours pas des militaires, que les américains ne seront vraiment prêt que début 2030.
  12. https://www.lefigaro.fr/international/washington-prevoit-une-attaque-iranienne-consequente-contre-israel-dans-les-prochains-jours-20240812
  13. Et le Canada demande a ses ressortissants d'evacuer tant que c'est encore possible.
  14. Oui possible. Mais les signaux en vue d'une négo me semble quand même très faibles. Les Ukrainiens semblent aussi faire des incursions très profondes histoire de mettre un peu la pagaille chez les russes. Mais c'est tellement profond qu'on se dit que c'est sans lendemain.
  15. C'est un peu tôt pour faire un bilan. Ca va dans tous les sens et d'une heure à l'autre une zone peut être reprise par l'un ou par l'autre. Ensuite il commencerait à y avoir des renforts ukrainiens qui partent en face de la Biélorussie qui commence à s'agiter. Pour moi les ukrainiens ont deux objectifs : - mettre de l'incertitude sur toute la ligne de front pour forcer les russes à diluer leurs force - monter en compétence pour mener des offensives majeurs, pour l'instant ils se testent sur des objectifs mous.
  16. J'ai pas besoin qu'on me l'explique. Plus tu es compact plus tu peux t'approcher. Il n'y a pas non plus de magi.
  17. Je ne remet pas en question cette dispersion. Je dit que la dispersion du CEASAR et sa compacité lui permette d'obtenir des résultats opérationnels supérieurs aux autres tout en permettant à ses équipages de survivre plus longtemps.
  18. Ok il n'a pas de pouvoir magique. Mais si il est juste normal pourquoi donc s'emmerder à en envoyer aux ukrainiens ? Tu comprends qu'entre ces deux constats il y a une réalité qui fait que ce canon a des taux de perte très bas et que les ukrainiens sont dithyrambiques sur ses résultats à l'inverse des russes.
  19. Tu comprends bien que ce genre de remarques laisse ce débât aux seuls opérationnels. Inutile donc de discuter entre non opérationnels ce qui m'étonnes de ta part. D'autre part je n'ai pas l'impression à force de lire justement ces fameux professionels que le débât soit si simple à résoudre sans valeurs concrètes. A toute fin utile je rappel que les ukrainiens fabriquent leur propre canons qui semblent avoir des caractéristiques très proches du CAESAR. Pourtant on continue à leur en envoyer. Pourquoi ?
  20. C'est clair que cette offensive en territoire russe est beaucoup plus sérieuse en ambition que les précédentes compte tenu des moyens engagés. Elle me fait plutôt penser à l'offensive sur robotyne. Les russes vont finir par la stabiliser. Mais ils vont devoir traiter chaque mètre du front avec des défenses plus sérieuses qui ne seront donc pas disponible pour des offensives ailleurs. La seule manière de ne pas trop dégarnir sera une mobilisation beaucoup plus conséquente. En tous cas les biélorusses sont nerveux. D'autant plus qu'ils ont été accusé de ne pas avoir soutenu le front en faisant reculer leur défense quand les ukrainiens ont massé leurs troupes face à la frontière ukrainienne il y a quelques semaines. https://www.opex360.com/2024/08/11/la-bielorussie-deploie-des-pieces-dartillerie-et-des-missiles-iskander-pres-de-lukraine-et-de-la-russie/
  21. Ce qu'il y a de bien avec cette discussion c'est qu'on comprend bien que : - les chiffres publics de la dispersion sont à géométrie variable - que le savoir-faire des artilleurs permet d'effectivement obtenir des tirs de très grande précision avec des munitions non guidées. (retex afghan et Irak) - d'autre retex en provenance des US montrent que les test du CAESAR avec Excalibur ont permis d'obtenir de nouveaux records pour cette munition (entendre par rapport à d'autres canons). - que le gain en précision permet de compenser un approvisionnement trop léger. - que le gain en précision et en compacité du CAESAR permet de donner un gain de survivabilité par rapport à d'autres solutions (retex ukrainiens) puisque pour une dispersion en mètre identique le CAESAR peut tirer de plus loin et que sa compacité lui permet d'être moins visible que d'autres solutions mobiles. Il n'y a pas d'autres solutions d'artillerie canon qui puissent afficher ce taux de survie.
  22. ENcore une négo sabordée par les uns ou les autres. Ca n'a plus d'importance. Tout est prêt. https://en.mehrnews.com/news/219325/Next-24-hrs-most-horrible-time-for-Zionist-occupiers On ne sait juste pas combiien de temps çà va durer. L'Iran voudrait juste quelques jours. Mais Israël çà m'étonnerait qu'elle en reste là. https://allisrael.com/iranian-surprise-attack-on-israel-could-last-several-days La Jordanie tente de rester neutre : https://allisrael.com/iranian-surprise-attack-on-israel-could-last-several-days
  23. 80000 coup de 155 livrés en 2024. https://x.com/aidefranceukr/status/1819813780336832519 Si on considére que le 67 CAESAR livrés jusqu'à maintenant tire une dizaine d'obus par jour, cette production représenterait un tier de leur besoin. Maintenant si chaque fois qu'un obus de 155 tiré par un CAESAR fait mouche ... On peut considérer qu'il y a des dégâts importants en face.
  24. Image de combat : https://x.com/KanKaneki54065/status/1820921539702718659
  25. Depuis le temps qu'on en parle la livraison des bastions commence enfin : https://x.com/aidefranceukr/status/1822347842259673294
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