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Tout ce qui a été posté par herciv
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C'est possible. Mais admet que les deux scénarii sont possibles. Et que le moins probable est que la commission ne donne pas son aval au processus. Il faudrait de gros changements géopolitiques pour stopper le processus ou un référendum clair. On verra.
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C'est quand même un moment délicat pour ce gouvernement qui voit sa parole remise en cause par un partenaire industriel qui explique en gros qu'il n'y aura pas de B si les A ne sont pas commandé aussi. C'est tout ou rien si on lit entre les lignes. Soit les Espagnols renoncent au scaf soit ils renoncent à leur aeronaval ... Je pense que le gouvernement voulait les B mais pas les A. Donc les B sont un moyen de pression idéal tellement simple à utiliser que c'est Lm qui répond en direct et par voie de presse de surcroît suprême affront.
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Je crois que l'environnement stratégique évolue très vite autour de l'indo-pacifique. Trop vite sûrement pour beaucoup qui ne veulent pas à avoir à se positionner aussi tôt. Il y avait quelques années un contrat f-35 n'aurait pas été conditionné à ce point à un rejet de la Chine. Maintenant c'est net et plus on se rapproche de la mer de chine plus la pression à ce positionnement est évidente. La Finlande pourra plus facilement rejeter le f-35 que les EAU. Mais choisir le f-35 s'accompagne maintenant de conditions drastiques de positionnement contre la Chine et la Russie. Oui les EAU voudraient accéder à cet engin mais maintenant le deuxième effet kiss-cool est peut-être trop violent pour eux.
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Il en a parlé bien avant : ce sont les rapport d'activité de l'armée Norvégienne. "Unless someone (and no-one has so far) contradicts, the Norwegian MoD data is pretty hard: total budget NKr326bn ($37.3bn), procurement NKr90bn ($10.3bn, $198m per aircraft). Take ops costs (NKr236bn), divide by 52 and then 37 (years of ops): $27bn/52/37 = $14m per aircraft p/a." https://www.newsinenglish.no/2021/10/25/new-fighter-jets-costing-even-more/ Un élément de contexte qui date d'hier (au mêmes moment que la parution de cet article) : https://www.defense.gov/News/News-Stories/Article/Article/2845606/us-norwegian-defense-leaders-discuss-high-north-strategy-dealing-with-russia/ EN tous cas les US ont jugé ses tweets suffisamment problématiques pour demander à une unité précise de l'armée norvegienne de réagir. Torpillant ce faisant un rapport tout à fait officiel. Evidemment il faut savoir lire les chiffres mais l'effet est bien là. D'un côté un rapport d'activité et de l'autre une étude à l'arrache à l'échelle d'une unité ... Cet article plus le voyage aux US çà ressemble à un rappel à l'ordre.
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Cà c'est dans le cas où les conditions géopolitiques sont stables. Dans le cas contraire le sourcing des pièces détachées risque d'être un problème important. Même si pour le coup le f-35 a un sourcing mondiale, il est peu probable qu'il n'y ait pas de conséquence sur les "petites flottes" qui ne voudront pas entrer en guerre avec le grand frère. C'est je pense ce problème qui a été identifié par les Finlandais. Tu crois vraiment qu'il y avait une législation adéquat en Australie ? Une législation appropriée peut évidemment être montée dans la durée de tels contrats. Encore une fois c'est un problème de volonté politique uniquement et je précise au gouvernement principalement. Parce que le parlement australien n'a pas franchement été consulté.
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Comme les soums français en Australie ? Nul doute que c'est toujours possible. ce n'est qu'un problème de volonté politique.
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Oui c'est bien pour çà que cet article me semblait important pour qu'on ne s'enflamme pas trop sur les chances de Dassault là-bas. Cà dépendra beaucoup d'une décision stratégique des EAU concernant la présence chinoise chez eux (Huaweï n'étant que le symbole visible) Soit les EAU choisisse le f-35 et ils doivent fermer leurs portes aux chinois Soit ils choisissent Russe (ou Chinois) et ils se ferment les US Soit ils choisissent Rafale et ils ne se ferment personne ... officiellement.
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italie Réorganisation de l'industrie militaire italienne
herciv a répondu à un(e) sujet de gianks dans Economie et défense
Oui mais çà rééquilibrerait la situation de KNDS dans le MGCS face à Rheinmetal. Comprendre les italiens vont vouloir avoir un ou plusieurs piliers du programme. A priori un tier. KNDS serait dans ces conditions grâce au partenaire Italien dans la même situation que AIRBUS dans le SCAF. -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Une autre video du même évènement avec un montage différent : https://www.dvidshub.net/video/821739/laffut-toujours-always-ready -
La commission arrivera à une conclusion avant le référendum je pense. Ca peut arriver à une validation.
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Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Tu peux développer stp ? Pourquoi le CAESAR va mieux dans la nouvelle doctrine amphipie de l'USMC que le M777 ? -
italie Réorganisation de l'industrie militaire italienne
herciv a répondu à un(e) sujet de gianks dans Economie et défense
Merci c'est intéressant à lire : Leonardo, Guerini l'assure : la présence italienne à l'ancien Oto Melara ne doit pas être compromise C'est ce qu'a précisé aujourd'hui le ministre de la Défense, interrogé sur le dossier de l'entreprise de La Spezia, qui pourrait être vendu à des groupes étrangers. L'objectif, a-t-il ajouté, est de maintenir la présence nationale ouverte à une dimension de coopération industrielle européenne et de le faire avec les bonnes mesures. par Francesca Gerosa le 16/11/2021 14:25 temps de lecture 2 min Entreprise Italie Leonardo, Guerini l'assure : la présence italienne à l'ancien Oto Melara ne doit pas être compromise Leonardo, Guerini l'assure : la présence italienne à l'ancien Oto Melara ne doit pas être compromise La présence italienne à l'ancien Oto Melara ne doit pas être compromise. C'est ce qu'a précisé aujourd'hui le ministre de la Défense Lorenzo Guerini, interrogé sur le dossier de l'entreprise de La Spezia, qui pourrait être vendu à des groupes étrangers. "Il est clair que le gouvernement est très attentif aux choix qui seront faits concernant l'unité commerciale Leonardo, qui est très importante pour nous car la division Oto Melara fabrique des produits d'une excellence reconnue au niveau international", a déclaré M. Guerini en marge du Conseil de défense de l'UE. Il a ajouté que l'objectif "est de travailler à maintenir la présence nationale ouverte à une dimension de coopération industrielle européenne et de le faire avec les bonnes étapes également du point de vue de la comparaison avec les réalités industrielles potentiellement impliquées, avec les institutions locales et avec les syndicats". En tout état de cause, il s'est dit "confiant dans le fait que ce jeu peut avoir une issue positive dans la direction que nous avions espérée". Hier, les groupes PD et Lega du conseil régional de La Spezia ont présenté deux ordres du jour dans lesquels ils demandent qu'Oto Melara ne soit pas dégroupée et reste italienne. Le secrétaire de l'Uilm de Gênes, Antonio Apa, est également intervenu sur le dossier : "si la nouvelle de la vente était confirmée, ce serait une nouvelle gifle de la France à l'Italie, une terre de conquête comme même à l'époque de Napoléon, après l'attaque de Macron sur les chantiers navals de Stx, arrachés à Fincantieri, et la présence de Vivendi à Tim en ce qui concerne le nuage national, et d'autres colonisations. Oto Melara reste italien. Pour le monde politique, Oto Melara et Wass, mis en vente par Leonardo, doivent rester en mains italiennes afin de protéger les intérêts nationaux, surtout dans un secteur aussi délicat que la défense. La vente à des groupes industriels étrangers doit également être exclue afin de protéger l'innovation, la capacité de production et les emplois hautement qualifiés. Toute vente à des entreprises européennes signifierait la perte d'un secteur hautement stratégique qui est l'un des principaux fournisseurs des forces armées et qui emploie 1 500 travailleurs directs et indirects. Plus précisément, l'ancienne Oto Melara produit le canon 76/62, le plus courant sur les navires de guerre (acheté par 53 pays, dont la France et l'Allemagne) et a développé la technologie Vulcano qui permet de rendre les obus d'artillerie semblables à des missiles (guidage autonome et portée accrue). En revanche, Wass produit des torpilles, des contre-mesures pour la guerre sous-marine et des drones sous-marins. Parmi les acheteurs intéressés, il y aurait Fincantieri, dans le but de créer un centre pour les navires de guerre, et le colosse franco-allemand Knds (union entre le français Nexter et l'allemand Krauss-Maffei Wegmann), chargé de la production du nouveau char européen. Par conséquent, grâce à cet accord, l'Italie pourrait rejoindre le consortium. Les Allemands de Rheinmetall et les Britanniques de Bae Systems sont plus distants. Le jeu semble déjà être à double sens, Knds ayant offert 650/700 millions d'euros pour les deux actifs et Fincantieri 200 millions d'euros de moins (450 millions), mais le groupe italien est en mesure de les reprendre en supposant l'intervention de Cassa Depositi e Prestiti, l'actionnaire principal de Fincantieri avec 71,3%. Les offres finales sont attendues d'ici la fin du mois. Plus généralement, en référence à la "Boussole", le nouveau document stratégique présenté par le Haut représentant pour la politique étrangère commune, Josep Borrell, qui prévoit, entre autres, la création d'une force d'intervention rapide européenne de 5 000 hommes, Guerini a expliqué qu'elle devrait "donner à l'Europe plus d'outils pour pouvoir être cohérente avec son ambition d'être un fournisseur de sécurité globale", mais "en complémentarité avec l'OTAN". Travailler au renforcement de la défense européenne, a souligné le ministre, signifie travailler au renforcement du pilier européen de l'Alliance atlantique. "Une plus grande conscience du rôle de l'Europe signifie une plus grande responsabilité, mais dans le cadre de la dimension stratégique indissoluble de la relation transatlantique", a conclu M. Guerini, alors qu'en bourse, l'action de Leonardo était en baisse de 0,06% à 6,544 euros. (reproduction confidentielle) -
Jusqu'à là tout va bien : le rafale n'est pas favori du tout , à peine mieux que le gripen... Comfortable cette position finalement. On n'a rien à perdre d'autre que notre fierté ... Décision en décembre. https://www.iltalehti.fi/paakirjoitus/a/1328af91-a3b5-4cc3-af5f-d2bef5813e1c La finlandisation désigne l'influence d'un grand pays sur les affaires d'un pays voisin plus petit et plus faible. Ce terme, bien connu dans le monde entier, a été inventé pour décrire les relations de la Finlande avec l'Union soviétique pendant l'ère Kekkonen. D'une manière générale, le terme ne peut être considéré comme très flatteur. La Finlande est sur le point de faire un achat de dix milliards d'euros pour remplacer les Hornets actuels par de nouveaux chasseurs. Avec les coûts d'exploitation, le prix des avions de combat s'élèvera à plus de 20 milliards d'euros pendant leur durée de vie. Dès le départ, les décideurs ont assuré que la décision concernant les chasseurs sera prise sur la base de l'option disponible offrant les meilleures performances et qu'il n'y a pas de place pour la politique dans la décision. À l'approche de la décision, il semble que la décision de la Finlande concernant les chasseurs arrive rapidement à la fin de sa vie. Le chasseur F-35, construit par Lockheed Martin, a été considéré par la communauté de la défense comme l'option d'avion la plus performante. Dans une comparaison effectuée par le magazine d'aviation Siivet, par exemple, le F-35 était numéro un, suivi du F/A-18 Super Hornet américain en deuxième position, de l'Eurofighter construit en Europe en troisième position, du Français en quatrième position et du Saab Gripen suédois en dernière position. Malgré cela, le Saab Gripen est apparu comme une alternative de plus en plus viable dans les discours de nombreux politiciens finlandais au cours de l'automne. Iltalehti a révélé mardi que le Gripen fait l'objet d'un lobbying intense au sein des partis gouvernementaux, notamment face aux alternatives américaines. Selon IL, le parti du centre, le parti de gauche et certains démocrates ont du mal à justifier le choix du combattant américain auprès de leurs propres groupes de référence. Dans le passé, le vieux sentiment anti-USA et anti-OTAN et le soutien aux vues de la Russie ont déjà transparu dans les opinions de nombreux politiciens de gauche. - C'est une pensée dangereuse si nous choisissons notre combattant en fonction des intérêts des autres États. Alors nous retournerons volontairement aux années 1960 et au marécage", a déclaré un porte-parole des démocrates à Iltalente. Il semble que certains politiciens choisissent un destroyer pour la Russie plutôt que pour la Finlande. La Finlande ne fait face à aucune menace militaire, sauf celle de la Russie. Il est inutile d'imaginer que la menace russe disparaîtrait si la Finlande choisissait un avion américain aux performances supérieures ou un avion suédois perçu comme plus sûr en termes de réactions russes. La menace russe subsistera tant que la Russie existera, quoi que nous fassions, nous les Finlandais. Par conséquent, suivre les réactions supposées de la Russie ne peut pas être une considération lors de la décision d'un achat ou même d'une alliance militaire qui est cruciale pour la sécurité de la Finlande. Lorsque nous prenons ces décisions, il nous suffit de réfléchir à la solution qui nous aidera le mieux à contrer cette menace. Si l'avion de combat américain est le meilleur choix global pour la défense de la Finlande, il doit être choisi. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) ET Francis TUSA en remet une couche (à prendre au second degré si j'ai bien compris) : la critique du rafale serait qu'une vente à la Finlande permettrait de financer l'ADLAE et la royale ... Bon j'ai dit que c'était du second degré.
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Voilà la concurrence des russes évacuée parle washingtonpost : https://www.washingtonpost.com/world/american-official-us-fully-committed-to-f-35-sale-to-uae/2021/11/16/c9a35fee-46e2-11ec-beca-3cc7103bd814_story.html Les États-Unis restent "pleinement engagés" dans un projet de vente d'avions de combat furtifs F-35 aux Émirats arabes unis, malgré le fait que l'administration Biden ait ralenti le processus, a déclaré mardi un haut fonctionnaire américain chargé de superviser les exportations d'armes. Mira Resnick, secrétaire d'État adjointe au sein de l'administration Biden, a également déclaré à l'Associated Press, lors du salon aéronautique de Dubaï, que les partenaires arabes du Golfe ne cherchaient pas à acheter des armes à la Russie pour se protéger des inquiétudes américaines concernant les droits de l'homme dans la région. Une délégation russe de haut niveau a rencontré mardi le puissant prince héritier d'Abou Dhabi, le cheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan, lors du salon aéronautique, où figurait en bonne place le concurrent moscovite du F-35, le Sukhoi Su-75 Checkmate. "Le F-35 est déjà présent dans cette région, que ce soit les Israéliens qui pilotent le F-35 ou les Américains", a déclaré M. Resnick. "Nous aimerions que les Émirats arabes unis soient en mesure d'exploiter le F-35 de manière à ce qu'(ils) puissent être nos partenaires en matière de sécurité et dissuader les menaces, notamment celles de l'Iran." => En fait les US ont besoin de partenaire dans la région pour se désengager Publicité La vente proposée de 50 F-35 est intervenue à la fin de l'administration du président Donald Trump, découlant d'un accord qui a vu les EAU reconnaître Israël. La vente de 23 milliards de dollars comprenait également des drones armés et d'autres équipements de défense recherchés par les Émirats, une fédération de sept cheikhs à régime héréditaire abritant également Dubaï. Après l'entrée en fonction du président Joe Biden, sa nouvelle administration a mis en suspens cette vente d'armes et d'autres. Cette décision s'explique en partie par les critiques formulées à l'encontre des Émirats arabes unis et de l'Arabie saoudite concernant la guerre qu'ils mènent depuis des années au Yémen, qui a provoqué la pire crise humanitaire au monde et qui se poursuit encore aujourd'hui. Seul Israël fait voler le F-35 dans la région, dans le cadre de son "avantage qualitatif" accordé par les États-Unis après qu'Israël a mené plusieurs guerres contre ses voisins arabes depuis sa fondation. Mme Resnick a déclaré qu'elle n'avait entendu aucune inquiétude de la part d'Israël ou d'autres alliés concernant la vente de F-35 aux Émirats. Publicité "Nous sommes pleinement engagés envers le F-35 et le transfert du F-35, qui change la donne pour les Émiriens", a-t-elle déclaré. "Nous travaillons avec eux en ce moment même pour nous assurer qu'il y a des clarifications aux diverses assurances qui ont été faites à l'administration précédente." Mme Resnick a refusé de décrire quelles clarifications l'Amérique recherchait, ni quelles assurances les Émirats avaient offertes. Les Émirats arabes unis n'ont pas non plus discuté des conditions de vente. Les préoccupations relatives aux droits de l'homme ont également affecté les ventes d'armes à l'Arabie saoudite voisine sous l'administration Biden. Ce dernier s'est lui-même engagé pendant sa campagne à faire du prince héritier saoudien Mohammed bin Salman un "paria" après que les agences de renseignement américaines ont déclaré qu'elles pensaient qu'il avait ordonné le meurtre et le démembrement en 2018 du chroniqueur du Washington Post Jamal Khashoggi. "Nous avons travaillé avec avec l'Arabie saoudite pour nous assurer qu'ils sont capables de se défendre. Nous savons qu'il y a des complications dans (...) cette relation et dans les relations à travers le monde ", a déclaré Resnick. "Mais nous continuons à réinvestir et à faire en sorte qu'ils puissent investir dans leur propre défense". Publicité Des fragments de munitions américaines larguées par des avions de chasse saoudiens ont également été retrouvés sur des sites au Yémen où des civils ont péri dans les bombardements du royaume. Interrogée sur ces attaques, Mme Resnick a déclaré que les États-Unis voulaient s'assurer que les armes américaines étaient "utilisées de manière à faire progresser la sécurité nationale des États-Unis". Elle a ajouté que les États-Unis continuaient à travailler avec leurs partenaires pour tenter d'empêcher les meurtres de civils. Lorsque les visiteurs entrent dans le salon aéronautique de Dubaï, ils voient d'abord l'entreprise de défense émiratie EDGE qui présente une grande variété de ses propres munitions. Ces dernières années, les Émirats arabes unis et l'Arabie saoudite ont tous deux cherché à améliorer leur propre industrie de l'armement, en partie pour éviter de voir leurs approvisionnements en armements interrompus en raison des préoccupations occidentales. La Russie a également cherché à faire impression lors du salon, en faisant voler un nouvel hélicoptère d'attaque et en montrant l'avion de combat Checkmate dans une présentation aux journalistes sur le tarmac, à la manière d'un clip vidéo. Mais M. Resnick a rejeté ces efforts, affirmant catégoriquement que le Checkmate n'avait "absolument pas" été évoqué dans les discussions avec les Émirats. "Nous n'avons vu aucun concurrent stratégique capable de remplir le type de rôle que nous jouons ici dans la région", a déclaré M. Resnick. 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Voilà suite à cette guéguerre, la décision sur le nouveau chasseur pour le Canada est reportée sine die : https://ottawacitizen.com/news/national/defence-watch/federal-government-wont-commit-to-fighter-jet-timetable-as-industry-worries-about-delays Le gouvernement fédéral ne s'engage pas à respecter le calendrier des avions de chasse alors que l'industrie s'inquiète des retards. Services publics et Approvisionnement Canada dit que "le Canada continue de travailler en vue d'une attribution de contrat en 2022." Auteur de l'article : David Pugliese - Ottawa Citizen Date de publication : 15 nov. 2021 Une annonce sur les nouveaux avions de chasse attendue ce mois-ci semble être dans les limbes, car les fonctionnaires fédéraux maintiennent qu'ils continuent de travailler sur le programme de 19 milliards de dollars, mais ne s'engagent plus à respecter le calendrier établi précédemment. Le gouvernement fédéral a informé par écrit les trois entreprises aérospatiales soumissionnaires du programme d'avions de chasse qu'une décision serait prise ce mois-ci concernant la sélection des entreprises qui seraient autorisées à passer à la phase finale de la compétition. Cette décision ouvrirait la voie à l'annonce du soumissionnaire gagnant en mars ou avril 2022. Mais maintenant, Services publics et Approvisionnement Canada est resté silencieux quant au respect de ce calendrier. Dans sa réponse à ce journal, le ministère s'est contenté de dire que "le Canada continue de travailler à l'attribution d'un contrat en 2022". Ni PSPC ni son sous-ministre, Bill Matthews, n'ont voulu faire d'autres commentaires. Les questions adressées au ministère pour savoir si le calendrier initial serait respecté et si une sélection en aval serait effectuée ce mois-ci sont restées sans réponse. Les nouveaux avions de chasse sont destinés à remplacer les CF-18 actuels de l'Aviation royale du Canada. Les sources de l'industrie disent qu'elles s'inquiètent des retards dus à la pandémie de COVID-19, car le personnel fédéral a eu un accès limité à leurs installations et aux systèmes informatiques sécurisés pour examiner les offres. En outre, le gouvernement libéral est toujours en train de mettre en place son personnel ministériel à la suite de la nomination des nouveaux ministres. Toute décision d'éliminer l'une des entreprises en lice devrait être approuvée par le Cabinet. La société suédoise Saab et les sociétés américaines Lockheed Martin et Boeing sont en lice. Alors que le projet d'achat des 88 avions devrait coûter entre 15 et 19 milliards de dollars, les opposants à l'achat ont fait remarquer que le coût total du cycle de vie des avions est estimé à 77 milliards de dollars. Le gouvernement conservateur avait choisi le chasseur furtif F-35 comme nouveau jet de l'armée de l'air, mais a fait marche arrière après des inquiétudes concernant la technologie et les coûts croissants. Pendant la campagne électorale de 2015, le chef libéral Justin Trudeau a juré que son gouvernement n'achèterait pas le F-35. Mais le gouvernement libéral est revenu sur cette promesse de geler le F-35 et l'avion est maintenant considéré comme un candidat de premier plan dans la compétition, car il a de nombreux partisans dans l'ARC. Les trois avions envisagés sont le F-35 de Lockheed Martin, le Super Hornet de Boeing et le Gripen de Saab. Dans une mise à jour du ministère de la Défense nationale sur le projet, il est indiqué que des contrats ont déjà été attribués pour la construction d'une nouvelle infrastructure destinée à soutenir l'avion. Le ministère prévoit que la livraison des premiers avions aura lieu en 2025. Saab et Boeing ont tous deux mis en avant les aspects de création d'emplois de leurs offres. Saab a promis que les avions à réaction seraient construits au Canada. En outre, elle établirait à Vancouver une société spécialisée dans le développement de radars spatiaux et d'autres équipements de haute technologie. Boeing a cité une étude réalisée par des économistes de la société Doyletech Corp d'Ottawa, selon laquelle la sélection du Super Hornet pourrait se traduire par 250 000 emplois pour l'économie canadienne pendant la durée du programme. Lockheed Martin a souligné les contrats que les entreprises canadiennes ont déjà obtenus pour le F-35. En outre, d'autres nations avec lesquelles le Canada est allié acquièrent le F-35. Mais le F-35 a fait l'objet de préoccupations constantes. En février, le chef d'état-major de l'armée de l'air américaine, le général Charles Brown Jr., a déclaré qu'il souhaitait développer un nouvel avion de cinquième génération, plus abordable, qui présenterait certaines des caractéristiques du F-35, mais dont l'exploitation serait moins coûteuse. Les commentaires de Brown ont suscité une grande couverture médiatique, le F-35 étant qualifié d'"échec". On estime que le F-35 coûte environ 33 000 dollars américains par heure pour maintenir l'avion en vol, mais Lockheed Martin espère réduire ce coût. En mars, Adam Smith, président de la commission des services armés de la Chambre des représentants des États-Unis, a demandé l'arrêt complet du programme F-35. L'avion "ne fonctionne pas particulièrement bien" et est trop coûteux à entretenir. "Je veux arrêter de jeter de l'argent dans ce trou à rats particulier", a déclaré M. Smith. M. Smith a toutefois admis que les États-Unis ne fermeraient pas le programme F-35, car ils y ont trop investi. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
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Oui d'ailleur c'est ce que j'évoque ici : On voit bien que pour les US le véritable concurrent est le checkmate, pas le rafale.
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Coronavirus - Covid 19
herciv a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
Propagation comparée de la cinquième vague dans différents pays d'Europe. Attention la météo pourrait être une facteur faisant penser que le risque est moindre pour les pays du Sud. Mais le risque pourrait être non négligeable. La Belgique pourtant très vaccinée est touchée. Dernier point à la limite on s'en .... Ce qui compte c'est la saturation des hôpitaux, c'est-à-dire la capacité à traiter les cas grave. https://www.lefigaro.fr/sciences/pourquoi-l-europe-fait-face-a-un-regain-de-l-epidemie-20211115 -
D'après les média US les EAU ne s'intéresse pas à autre chose que la cinquième génération Russe (Sukhoi Su-75 Checkmate) ou US (f-35). https://www.avionews.com/?item=1240379 https://www.reuters.com/business/aerospace-defense/uae-waits-us-f-35s-russia-pitches-new-warplane-dubai-2021-11-14/?rpc=401& https://breakingdefense.com/2021/11/will-the-uae-actually-get-f-35-how-huawei-russia-factor-into-decision/
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J'ai quand même trouvé que la presse finlandaise produisait des articles d'un très bon niveau. Mais tu vois moi je ne cherche pas des critiques. J'aime pas ce mot "critique" il a un côté trop comptoir de bar, trop sentiment personnelle. Je cherche des analyses comme celle de corporalfrisks. C'est à dire qui apporte une approche différente de ce que je peux trouver ailleurs. Le point de vue finlandais est original en Europe. Votre pays doit trouver un équilibre avec un voisin un peu encombrant. Votre armée est une des plus combat ready et vous n'avez pas, comme chez nous, de constructeur nationaux qui entrave votre affect. Cà rend les articles des gens qui s'intéressent à l'armée vraiment intéressant. Maintenant je ne suis pas complètement naïf. Je sais qu'on ne peut jamais complètement retirer l'affect dans un article.
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Alors toi tu as très mal analysé Corporal Frisk. C'est un pro du camouflage. Il est capable de te faire croire qu'il est pro quelque chose sur un forum et pro autre chose sur un autre. Son but je pense est d'arriver à discuter avec les fan club de tous les bords sans se fâcher avec les uns ou les autres. Et je pense qu'il s'en sort très bien avec cette méthode. Ses analyses sont vraiment très complètes et c'est ce qui peut te faire penser qu'il a un parti pris. Il est officier et connaît parfaitement le rôle d'une doctrine d'emploi d'un materiel. Dis-toi simplement que dans chacun de ces articles il essaye d'imaginer cette doctrine comme si un de ses collègues/ amis/ connaissances du programme Hx le faisait.
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Tiens ce sont les écran de Kopin qui sont dans le casque du F-35. https://www.businesswire.com/news/home/20211110005557/en C'est bien parce que çà veut dire qu'on sait faire en France. il y a au moins deux spinoff du CEA qui peuvent produire ces écrans. @Patrick @prof.566 Cet article est pour toi puisque c'est toi qui a suivi l'affaire depuis le début. Le gvt US paye Thales visionix pour arrèter le conflit sur le casque du F-35. https://www.law360.com/articles/1439372
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Un fake ... Pas forcément. Une tentative d'influencer certaines parties sûrement. Actuellement l'enjeu c'est la participation de l'espagne dans le NGF plus tellement maintenant en terme de volume mais bien en terme de réalisations concrètes. J'ai l'impression qu'une simple visite d'un secrétaire d'état US à fait l'objet d'un rappel à l'ordre.
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C'est Vincent Lamigeon. Il est journaliste spécialisé défense chez Challenge. C'est son article qui a enflammé les média et fanions US.
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blague en cours ....
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L'Espagne dit Niet au f-35 :