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Tout ce qui a été posté par Titus K
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RAPPORT D’INFORMATION Les satellites : applications militaires et stratégies industrielles https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/17/rapports/cion_def/l17b1425_rapport-information
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La Coast Guard grecque souhaite acheter 2 Patrouilleurs pour 180 Millions € (+ 2 Options) Au moins 80 mètres, un hangar hélicoptère léger. Ca pourrait être l'occasion pour NavalGroup/Kership de s'installer définitivement en Grèce en construisant dans un chantier local partenaire ... OPV85, OPV90 ? https://www.kership.com/navires/
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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
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Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Naval Group propose son navires de guerre mines aux pays baltes https://www.navalnews.com/naval-news/2025/05/naval-group-offers-mine-warfare-vessels-to-baltic-countries/ La production en cours [pour B/NL/FR] suscite un intérêt considérable en mer Baltique, les trois pays baltes (Estonie, Lettonie, Lituanie) et la Finlande étant à différents stades de discussions avec l'entreprise. -
Pour cette dernière, le canon du RapidFire est légèrement plus lourd pour l'adapter aux contraintes de tir de la munition KE-AB dédiée à la lutte anti-aérienne et pour assurer une très grande précision de visée et de tir lors de l'engagement de cibles rapides. Son dispositif de centrage dans le berceau a également été modifié.
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Elle a été reposté par Vincent Groizeleau, je viens de l’ajouter au message.
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Il indique aussi à 42 minutes que l'armement des FDI Françaises (Brouilleurs, Leurres, VLS supplémentaires...) peut et devra évoluer pour s'adapter aux menaces actuelles. Il va jusqu'à dire "on pense dans la Marine qu'il est nécéssaire de renforcer la létalité du bateau" Il y aurait également des discussion en cours avec Naval Group pour densifier le plan de couchage et embarquer plus de marins si besoin.
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Dans cet extrait de quelques secondes on ne remarque pas d'affichage couleur, or il me semblait que le scorpion du Rafale en est doté ? Bon c'est peut-être la situation tactique de l'instant qui veut ca aussi ...
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On l'espère, mais avec 12 C-130J supplémentaires ca réduit le besoin je pense ...
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C'est les C-130J britanniques qui seraient revendus aux Turcs ?
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La Marine teste un nouvel atout pour la chasse aux mines : le drone sous-marin R7 https://beldefnews.mil.be/la-marine-teste-un-nouvel-atout-pour-la-chasse-aux-mines-le-drone-sous-marin-r7/?lang=fr L’ exercice de lutte contre les mines Spanish Minex permet à la Marine de mettre à l’épreuve, en Espagne, le R7 Compact ROV. Ce nouveau drone sous-marin, développé par Exail, identifie les mines sous-marines rapidement et avec une grande précision. Six exemplaires complètent depuis avril les Remus déjà en service. Quels sont les atouts respectifs de ces différents drones ? Compact, avec 78 cm de long pour 32 kg, le R7 peut être déployé facilement par une petite équipe, depuis un navire ou à partir de la côte. Contrairement au Remus, un drone autonome qui explore des zones prédéfinies à l’aide de sonars, le R7 est piloté manuellement via une console intuitive qui combine image en direct et sonar, pour inspecter un lieu bien précis. Il réagit rapidement et avec une grande précision. C’est un outil complémentaire idéal, particulièrement utile pour identifier une mine potentielle en l’absence d’une équipe de plongeurs. Des tests en conditions réelles Le Spanish Minex a offert une occasion unique de tester le R7 dans des scénarios opérationnels réalistes. Le drone a été mis à l’épreuve sur différents types de mines d’exercice – Manta, Rockan, mines cylindriques posées au sol – ainsi que sur une épave. Les images sont transmises en temps réel aux opérateurs embarqués grâce à un câble en fibre optique de 300 mètres. Accélérer le passage de la détection à l’identification Au cours de l’exercice, le drone a démontré toute sa valeur en inspectant efficacement les mines d’entraînement. L’analyse instantanée des images permet d’intervenir plus rapidement sur un contact suspect, sans avoir recours à des plongeurs. Des zones plus vastes sont ainsi couvertes en un temps réduit. « Il est essentiel de suivre l’évolution technologique et d’oser innover pour rester pertinents », souligne l’Adjudant René, chef de l’équipe Very Shallow Water (VSW), en charge des essais. Un système modulaire tourné vers l’avenir Le R7 repose sur une architecture numérique qui permet l’intégration de capteurs supplémentaires ou de bras manipulateurs. « Si le Remus se retrouve bloqué, un bras préhenseur permet de couper ou de récupérer un objet. Le R7 ouvre tout un éventail de possibilités intéressantes », explique l’équipe VSW. Il est également capable de déposer des charges explosives à distance, en collaboration avec les plongeurs. Grâce à cette flexibilité, le R7 se montre non seulement performant pour les missions actuelles, mais aussi parfaitement adapté aux opérations maritimes de demain. Ce type d’investissement technologique permet à la Marine de conserver toute sa pertinence en tant qu’experte dans le domaine de la guerre des mines navales.
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C'est la séparation du booster qu'on voit à 2:25 ou l'interception ? J'ai l'impression que c'est l'interception mais dans ces cas là, pourquoi ne pas tirer un aster 15 vu la distance ?
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Normalement la munition devrait être en cours d'essais a bord du Jacques Stosskpof en ce moment si on en croit l'article : le développement de l'A3B est en cours depuis 2023 ; un marché « munitions moyens calibres » (MMC) a été lancé en 2024 pour commander les premiers lots de munitions A3B destinés aux BRF et aux patrouilleurs hauturiers ; les essais en environnement terrestre ont déjà donné de « très bons résultats » contre des attaques de drones, selon KNDS ; les essais en mer devraient avoir lieu à bord du deuxième BRF, Jacques Stosskopf, durant ses essais à la mer ; ces essais permettront d’ajuster la munition, de corriger les données et de les intégrer au logiciel du canon RAPIDFire ; l’objectif est d’achever le développement de la munition A3B et de valider la dernière version logicielle du canon RAPIDFire en 2026 ; la DGA a passé une commande fin 2024 pour poursuivre le développement de l’A3B et pour équiper les futurs bâtiments. Sur l'aspect technique : l'A3B fera 1,4 kg contre 1 kg actuellement ... pour conserver les mêmes performances (vitesse initiale de 900 m/s et portée efficace de 3 500 m), un nouveau type de poudre est en cours d’optimisation ; l’A3B aura un nez profilé, ce qui implique une adaptation du sabot ; Pour la date de 2026 ca correspond a l'ASA du Jacque Stosskopf justement
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KNDS outlines the next steps of the RAPIDFire program —> https://www.navalnews.com/event-news/idex-navdex-2025/2025/02/knds-outlines-the-next-steps-of-the-rapidfire-program/
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Exail to equip Airbus SIRTAP tactical UAS with advanced inertial navigation technology https://www.exail.com/news/exail-to-equip-airbus-sirtap-tactical-uas-with-advanced-inertial-navigation-technology
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Thales et Exail continuent de se partager les contrats guerre des mines ! --> Singapour choisi la Tool Box Thales issue du programme SLAMF Franco-Britannique https://www.navalnews.com/event-news/imdex-asia-2025/2025/05/thales-to-provide-its-pathmaster-mine-warfare-system-to-singapore/ The M-Cube mission management system, An undisclosed number of T-SAS towed sonars (featuring Thales’s new compact SAMDIS NG synthetic aperture sonar), The MiMap sonar data analysis tool. Les systèmes seront déployés par des drones de surface embarqués sur les futurs MRCV Chose interessante, Singapour souhaite intégrer au M-Cube les K-Ster d'Exail déjà en service dans la RSN... c'est peut-être une aubaine pour la France qui pourra ainsi aussi utiliser des K-Ster ?
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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Lancement d’un deuxième fonds pour renforcer la chaîne d’approvisionnement nucléaire française https://www.world-nuclear-news.org/articles/second-fund-launched-to-boost-french-nuclear-supply-chain À la suite d’un premier tour de financement, EDF et le spécialiste du capital-investissement Siparex ont annoncé un deuxième tour de financement destiné à renforcer les entreprises stratégiques de la chaîne d’approvisionnement nucléaire en France. Ce premier tour de financement, baptisé Fonds France Nucléaire (FFN), avait été lancé en octobre 2021. À sa clôture fin 2024, 100 millions d’euros (112 millions de dollars) avaient été investis dans 11 entreprises du secteur nucléaire, avec la participation d’EDF, Framatome, Orano, TechnicAtome, de grands donneurs d’ordre du secteur nucléaire, ainsi que de Siparex Associés, promoteur des fonds du groupe Siparex. Un deuxième tour de financement – appelé Fonds France Nucléaire 2 (FFN2) – a désormais été lancé dans la continuité du FFN, avec un objectif de levée de 300 millions d’euros. « L’objectif du FFN2 est de soutenir les PME et ETI disposant d’un savoir-faire important dans le secteur nucléaire, afin de répondre aux besoins croissants de la filière, qui participe aux enjeux de souveraineté énergétique et de défense », a indiqué EDF. « Le FFN2 prévoit d’investir des tickets pouvant aller jusqu’à 50 millions d’euros, seul ou en co-investissement, en position majoritaire ou minoritaire. » EDF a précisé que le FFN2 réunira également de nouveaux investisseurs institutionnels, industriels et privés de premier plan, « désireux d’investir dans les enjeux de souveraineté industrielle et énergétique, de réindustrialisation et de décarbonation de l’économie, et de bénéficier de la dynamique associée. En effet, avec plus de 2 000 entreprises et 220 000 salariés contribuant à la vitalité économique des territoires, la filière nucléaire française est le troisième secteur industriel du pays. » EDF a indiqué que le fonds FFN2 avait déjà réalisé son premier investissement dans Ekoscan Integrity Group, fournisseur mondial de solutions avancées de contrôle non destructif pour des applications industrielles et d’infrastructure critiques, aux côtés du fondateur et de l’équipe dirigeante de l’entreprise, d’Eurazeo et d’ALIAD (Air Liquide Venture Capital). « La mise en place du Fonds France Nucléaire 2 s’inscrit dans la continuité de ce qui a été accompli avec succès par le premier fonds, démontrant tout l’intérêt de viser à la fois des objectifs stratégiques pour les acteurs industriels et des objectifs de performance financière », a déclaré Benoît Desforges, Managing Partner du Fonds France Nucléaire. « Je me réjouis de voir les grands donneurs d’ordre de la filière s’engager dans le FFN2 aux côtés d’EDF, et de constater l’arrivée d’investisseurs institutionnels, renforçant ainsi à la fois le dispositif de soutien et la capacité d’investissement. » Xavier Ursat, Directeur Exécutif du Groupe EDF, en charge de la Stratégie, des Technologies, de l’Innovation et du Développement, a ajouté : « Avec le Fonds France Nucléaire 2, l’objectif est de préparer l’avenir en accompagnant les entreprises de la filière nucléaire et en leur donnant dès aujourd’hui les moyens de se développer, d’innover et de gagner en souveraineté. » En février 2022, le président de la République Emmanuel Macron avait déclaré que le moment était venu pour une renaissance du nucléaire en France, appelant à prolonger l’exploitation de tous les réacteurs existants sans compromis sur la sûreté, et dévoilant un programme prévoyant la construction de six nouveaux réacteurs EPR2, avec une option pour huit supplémentaires. Les trois premières paires de réacteurs EPR2 sont prévues, dans l’ordre, sur les sites de Penly, Gravelines et Bugey. Le début des travaux est attendu en 2027. -
En effet, par contre le prix annoncé par Trump est évidement faux https://boeing.mediaroom.com/2025-05-14-Boeing-and-Qatar-Airways-Announce-Historic-Order-for-up-to-210-Widebody-Airplanes 130 Boeing 787 30 Boeing 777X 50 options Il vont peut-être également commander des nouveaux A350 bientôt.
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https://www.nammo.com/nammo-selected-to-re-establish-ammunition-production-in-denmark/ Dans le même genre, Nammo va ouvrir une ligne de production chez son voisin Danois.
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Lutte pour vendre de nouveaux navires de guerre à la Norvège : ils traqueront les sous-marins russes https://www.nrk.no/norge/fire-land-kjempar-om-norsk-fregattavtale_-rundt-125-milliardar-i-potten-1.17402037 La décision sur le fournisseur des nouveaux navires de guerre pour la Norvège est imminente, selon le ministre de la Défense Tore O. Sandvik. Voici les quatre concurrents en lice. Les autorités norvégiennes s’apprêtent à réaliser ce qui pourrait devenir le plus grand investissement public de l’histoire du pays, avec un budget estimé à environ 125 milliards de couronnes. La Norvège prévoit d’acquérir cinq à six nouvelles frégates pour remplacer les quatre navires-sœurs du KNM « Helge Ingstad », bien connu après sa collision et son naufrage en 2018. Ces nouveaux navires de guerre auront pour mission de surveiller et patrouiller les zones maritimes le long de la côte norvégienne. Leur objectif principal est la surveillance des sous-marins russes et autres activités. Le montant vertigineux est un aspect. Mais cette affaire est soudainement devenue bien plus qu’un simple achat de navires, à la lumière des signaux envoyés récemment par les États-Unis à leurs alliés européens. Donald Trump a semé le doute en Europe quant à l’engagement des États-Unis envers leurs obligations. « Dans les temps » Le choix se joue désormais entre les frégates de quatre alliés proches, dont justement les États-Unis. « L’Europe doit désormais assumer une plus grande part de sa propre sécurité. Il nous faut donc apprendre à coopérer davantage sur les plans bilatéral et multilatéral pour faire baisser les coûts, » déclare le ministre de la Défense Tore O. Sandvik (Parti travailliste). « Nous posons des exigences strictes, » ajoute-t-il. Cette semaine, il a été transporté en hélicoptère pour une brève visite à bord de la frégate britannique HMS St. Albans, actuellement dans le fjord d’Oslo après avoir participé à l’exercice OTAN Dynamic Mongoose dans le Grand Nord. Quand la décision sera-t-elle prise ? « Elle le sera par ce gouvernement, c’est l’objectif. Le processus est dans les temps et avance bien, » déclare Sandvik à NRK. Si le Parti travailliste ne remporte pas les élections législatives cet automne, cela signifie qu’une décision devrait être prise très bientôt. Les autorités norvégiennes souhaitent des frégates principalement conçues pour la lutte anti-sous-marine, livrables à partir de 2029, et qui bénéficieront à l’industrie norvégienne. Exigences des autorités norvégiennes Elles recherchent des frégates : capables de détecter et combattre les sous-marins, avec la possibilité d'accueillir des hélicoptères maritimes ; dont la première livraison pourrait intervenir en 2029 ou 2030, la dernière idéalement avant 2040, afin d’éviter d’investir davantage dans l’entretien des frégates actuelles ; offrant une certaine flexibilité en matière d’équipage, le personnel étant une ressource limitée dans la marine norvégienne ; et dont l’investissement serait en partie restitué sous forme de revenus et d’emplois pour les entreprises norvégiennes (composants, construction partielle, maintenance ou autres contrats). Un accent sur la livraison et les coûts Même si le ministre insiste sur une évaluation globale, il met particulièrement en avant deux critères : les délais de livraison et le coût. « Le calendrier de livraison est crucial pour remplacer nos frégates actuelles. Ensuite, les coûts sur le cycle de vie et la coopération stratégique comptent. Il faut pouvoir opérer ensemble et maintenir des coûts raisonnables, » précise Sandvik. NRK a interrogé les quatre concurrents, qui se différencient notamment sur les exigences du gouvernement. Tous mènent une intense campagne pour séduire les autorités norvégiennes. Royaume-Uni : Type 26 de BAE Systems Argumentaire Frégate spécialisée dans la lutte anti-sous-marine. Le Royaume-Uni (8), l’Australie (9) et le Canada (15) en ont commandé, ce qui accélère la production, réduit les coûts et simplifie la maintenance. Déplacement : ~7 600 tonnes Équipage : 157, capacité jusqu’à 208 personnes Spécialisation : Lutte ASM avec propulsion électrique silencieuse et sonar avancé Armement : Mk41 VLS pour divers missiles, dont l’Evolved Sea Sparrow Statut : En production pour la Royal Navy, également commandée par le Canada et l’Australie Coopération industrielle BAE souhaite coopérer avec Kongsberg Gruppen, Nammo, Umoe Mandal pour l’équipement, et avec des chantiers norvégiens pour la maintenance. Cette coopération pourrait concerner les 37–38 frégates si la Norvège choisit le modèle britannique. Umoe Mandal construirait également 26 vedettes rapides pour l’armée britannique. Livraison Première frégate livrable à la Norvège d’ici 2029. Intérêts stratégiques La Norvège et le Royaume-Uni ont des intérêts communs dans l’Arctique, où leurs forces s’entraînent ensemble depuis plus de 50 ans. Le navire est conçu pour résister aux conditions climatiques des eaux nordiques. Problèmes de maintenance La Royal Navy a eu des difficultés à maintenir plusieurs classes de navires opérationnelles, notamment les destroyers Type 45, souvent à quai à cause de pannes, manques de pièces détachées ou effectifs insuffisants. « Quand nous aurons ces frégates, nous devons être capables de les faire naviguer et de les maintenir opérationnelles. Cela implique une gestion efficace du personnel et de la maintenance, » rappelle le ministre. Hélicoptères Les Britanniques souhaitent que la Norvège achète également leurs hélicoptères AgustaWestland, adaptés à la Type 26. Mais la Norvège a déjà commandé six Seahawks américains, principalement pour la garde côtière mais aptes à la lutte ASM. Les Britanniques peuvent adapter la frégate pour accueillir les Seahawks (comme pour l’Australie), moyennant un surcoût. Ils soulignent néanmoins que la Norvège utilise déjà leur hélicoptère pour les missions de sauvetage (SAR Queen). France : FDI de Naval Group Déplacement : ~4 460 tonnes Équipage : 125, jusqu’à 153 personnes Spécialisation : Haute disponibilité opérationnelle, lutte ASM efficace Livraison : 1 frégate par an dès 2029, selon Naval Group Argumentaire Déjà à flot et presque en service dans la Marine nationale, cette frégate est proche d’une solution « sur étagère ». Naval Group affirme pouvoir livrer la première en 2029 et les quatre autres d’ici 2035. Maintenance Déjà adoptée par la France (5), la Grèce (3), elle pourrait bénéficier d’un réseau logistique partagé. La Marine française maintient une très bonne disponibilité de ses unités. Coopération industrielle Naval Group collabore avec Oshaug Metall (Molde) pour les hélices des frégates françaises et grecques. Des discussions sont en cours avec des entreprises norvégiennes pour la maintenance. Naval Group a aussi signé des protocoles d’accord avec Norce et Sintef pour la R&D. Prix La frégate française est la plus petite, et présentée comme l’option la plus économique. Problème de taille Plusieurs personnes se sont demandé si la frégate française, qui est la plus petite des quatre options, serait capable d’affronter les conditions météorologiques et maritimes du secteur où elle doit opérer. Le capitaine de vaisseau Strømmen met en garde contre les limitations physiques, précisément en raison de la taille et du design avec l’étrave inversée. Cela peut affecter la vitesse et l’utilisation des systèmes d’armes. En même temps, il souligne des avantages tels qu’un fonctionnement silencieux et une haute efficacité énergétique par mer modérée. Le général Gwyn Jenkins, du concurrent britannique, a déclaré au DN que la frégate française n’était pas adaptée. --> Le nouveau First Sea Lord L’attaché de défense français Sébastien Chatelain rejette cette affirmation avec agacement. --> https://www.nrk.no/video/fnyser-av-britisk-kritikk_0d5e9647-1d87-4759-87c9-0e4f7ce577f1?t=27 Allemagne L'alternative allemande est la frégate F127, du groupe industriel allemand ThyssenKrupp. Déplacement : Environ 10 000 tonnes attendues. Spécialisation : Principalement une frégate de défense aérienne avec le système AEGIS. Statut : En développement ; première livraison attendue au plus tôt en 2034. Fournisseur : Thyssenkrupp Marine Systems Argument de vente La Norvège et l’Allemagne ont déjà une coopération étroite sur le développement, l’équipement et l’achat de sous-marins. Les sous-marins allemands et norvégiens seront entretenus à Haakonsvern. Les Allemands invitent à une coopération similaire pour les frégates. Le ministre de la Défense Bjørn Arild Gram a signé un accord de coopération renforcée en matière de défense et de sécurité avec son homologue allemand Boris Pistorius. Interopérabilité La frégate pourra bien interagir avec les sous-marins et utilisera le système de contrôle d’armement américain AEGIS. L’AEGIS est déjà utilisé par la marine norvégienne. Coopération industrielle La frégate sera équipée de systèmes de missiles du groupe Kongsberg. Une partie du navire pourra être équipée au chantier naval d’Ulstein à Ulsteinvik. Multi-rôle La frégate est conçue pour le combat sous-marin mais aussi pour le combat aérien. Comme elle n’est pas encore construite, la Norvège peut encore participer activement à sa conception. Problème de livraison La frégate allemande est la seule des alternatives à ne pas encore être en construction. Il y a donc un doute sur la capacité à livrer la première frégate à la Norvège d’ici 2029 ou 2030, et les Allemands ne peuvent pas donner de date de livraison précise. Jasper Wieck, directeur politique au ministère allemand de la Défense, et une importante délégation étaient récemment en visite à Oslo pour promouvoir leur offre. – Je peux seulement dire qu’il y a une énorme accélération dans la production de matériel de défense en Allemagne et en Europe actuellement, donc je suis optimiste quant à la livraison des frégates dans les délais pour répondre aux besoins de la Norvège, a déclaré Jasper Wieck à NRK. Problème américain La frégate allemande utilise le système d’armement américain AEGIS, bien connu de la marine norvégienne. Mais il existe une certaine inquiétude quant à savoir si les États-Unis continueront à partager les mises à jour logicielles avec les pays acheteurs de leurs systèmes d’armes. États-Unis Les Américains souhaitent vendre à la Norvège la frégate Constellation, du constructeur naval italien Fincantieri. La marine américaine a déclaré ce qui suit à NRK : – La frégate Constellation remplira ou dépassera les exigences de la Norvège. Conception : Basée sur le design européen FREMM, mais avec des modifications importantes (environ 85 % modifié). Déplacement : Environ 7 300 tonnes. Équipage : Environ 200 personnes. Capacité anti-sous-marine : Dépend largement des hélicoptères ; pas de tubes lance-torpilles intégrés. Statut : La production est retardée, et des incertitudes pèsent sur les engagements à long terme des États-Unis envers leurs alliés européens. Fournisseur : Fincantieri Marinette Marine Argument de vente Les États-Unis sont parmi les alliés les plus proches de la Norvège, et la marine américaine souligne qu’ils partagent les mêmes intérêts stratégiques et objectifs dans l’Arctique que la Norvège. La frégate est équipée du système d’armes AEGIS, bien connu de la marine norvégienne. Coopération industrielle La frégate pourrait être construite au chantier naval norvégien Vard Langsten à Tomrefjord, car Vard et le chantier qui construit la frégate américaine ont le même propriétaire, le géant naval italien Fincantieri. Les États-Unis ouvrent également la voie à un entretien des frégates américaines et norvégiennes dans des chantiers navals norvégiens. Entretien Les États-Unis ont eux-mêmes commandé au moins 20 frégates. Les Américains soutiennent que la Norvège pourrait ainsi bénéficier de leur programme de modernisation des équipements, de grands stocks de pièces de rechange et d’une expertise technique importante capable de mettre à niveau tous les systèmes. Cela pourrait aussi faire baisser les coûts. Hélicoptères La frégate américaine est conçue sur mesure pour accueillir l’hélicoptère Seahawk, que la Norvège a déjà commandé pour la Garde côtière. Problème de prix et de politique Les Américains ont commencé à construire la frégate avant que le processus de conception ne soit complètement terminé. Cela a entraîné des retards de construction et rendu la frégate beaucoup plus chère, selon Amund Lundesgaard, maître de conférences à l’École supérieure de défense. Lundesgaard souligne également l’incertitude quant à la fiabilité des mises à jour logicielles en cas de crise ou de conflit. – D’un point de vue politique, c’est quelque chose qu’il faut désormais considérer beaucoup plus sérieusement, déclare Lundesgaard. Il estime que « choisir la frégate américaine serait un pari politique risqué », et il n’est pas le seul à le penser. – Pensez-vous que Trump pourrait punir la Norvège si elle ne choisit pas la frégate américaine ? – Si cela est médiatisé, cela pourrait aussi devenir une affaire pour Trump. Mais c’est difficile à dire, j’ai déjà été surpris plusieurs fois par ce qui s’est passé à la Maison Blanche, dit Lundesgaard. Le Premier ministre Jonas Gahr Støre a rendu visite au président Donald Trump à la Maison Blanche il y a quelques semaines. La question de l’achat des frégates n’a pas été abordée lors de la rencontre, selon Støre. NRK a posé la question suivante au ministre de la Défense : est-il alors naturel de se tourner vers un fournisseur européen cette fois-ci ? – Le Royaume-Uni est notre plus proche allié en Europe, nous avons une coopération étroite avec l’Allemagne et la France. Les Américains sont notre plus grand et plus important allié. C’est une évaluation globale, déclare Sandvik.
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C'est l'homme en charge de la campagne Type 26 en Norvège ... celui qui affirme que la FDI n'est pas capable de naviguer en mer du nord / arctique ...
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Hélicoptères militaires polonais( Armée Air, Marine, Armée de terre )
Titus K a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Hélicoptères militaires
En tout cas l'offre d'Airbus qui repose sur partenariat avec Babcock et CAE a l'air prometteuse. Le H145M étant utilisé par les US ... ca devrait forcement plaire aux polonais https://www.babcockinternational.com/fr/news/babcock-joins-forces-with-airbus-and-cae-for-comprehensive-multi-role-helicopter-offering-for-poland/ -
Non pour l'instant aucune information officielle n'est encore disponible sur ce qu'il adviendra des 18 chars loués une fois que les nouveaux Leopard 2A8 seront mis en service. Les scénarios possibles seraient le retour des chars loués à l'Allemagne, leur maintient à des fins de formation, les garder â disposition pour des déploiements dans le cadre de l'OTAN sur le flanc Est... voire un don à l'Ukraine ? Mais reste-il seulement une expertise MBT en Belgique ? Je le demande car c'est justement la raison pour laquelle on a continué de louer 18 char pendant la période de disette post-guerre froide... Mais quelques unités belges sur CV90/Léopard ca pourrait être sympa en effet ! Bon il faudrait que les budget suivent ...
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Avançons ensemble ! https://www.naval-group.com/en/naval-review-1 La relation entre Naval Group et le ministère néerlandais de la Défense a encore progressé avec la sélection de Naval Group pour le remplacement des sous-marins de classe Walrus par quatre sous-marins Barracuda conventionnels. Ce programme ambitieux est connu sous le nom de Replacement Netherlands Submarine Capability (RNSC). Comment le programme de remplacement des sous-marins néerlandais (RNSC) va renforcer les liens déjà étroits entre Naval Group et le ministère néerlandais de la Défense et, plus largement, les relations stratégiques entre les Pays-Bas et la France Une discussion orchestrée par l’équipe de la Naval Review. Qu’est-ce qui a lancé le programme RNSC ? Sylvain Perrier : Le 30 septembre 2024, Pierre Éric Pommellet, Président-directeur général de Naval Group, et Gijs Tuinman, secrétaire d’État néerlandais à la Défense, ont signé l’accord de livraison des futurs sous-marins de classe Orka (Orka, Zwaardvis, Barracuda et Tijgerhaai), qui remplaceront les actuels sous-marins de classe Walrus. La signature de cet accord de livraison a lancé le programme RNSC et ouvert la voie à des décennies de collaboration entre Naval Group et le ministère néerlandais de la Défense. Toutefois, nos efforts de préparation avaient débuté bien avant le lancement officiel, lors de la phase de précontrat, notamment par l’identification des partenaires néerlandais clés qui seront impliqués dans le programme. Environ dix entreprises ont été associées jusqu’à présent, dont Verebus et Van Halteren Technologies, avec lesquelles des contrats ont déjà été signés. L’entreprise entretient également une coopération active avec les instituts de recherche néerlandais, dont certains deviendront partenaires dans le cadre du programme RNSC, à la suite de leur participation réussie à des projets de navires de surface. Par exemple, une lettre d’intention a été signée avec Marin en novembre dernier. La signature d’un accord de coopération industrielle (Industrial Cooperation Agreement – ICA) le 10 septembre avec le ministère néerlandais des Affaires économiques a formalisé cette stratégie de coopération industrielle de Naval Group avec les secteurs néerlandais de la défense et du maritime. Danny van den Bosch : Le processus visant à trouver le partenaire le plus adapté a débuté il y a plusieurs années. Avant de lancer l’appel d’offres, nous avons eu de nombreuses discussions avec les parties prenantes clés pour évaluer le paysage industriel et déterminer ce qui était réalisable. Nous ne cherchions pas uniquement une capacité industrielle – dont nous savions qu’elle n’existait plus aux Pays-Bas – pour construire les meilleurs sous-marins de leur catégorie, mais aussi un partenaire avec qui nous pouvions entretenir un dialogue d’experts, productif et durable. L’idée était de nous enrichir mutuellement afin de renforcer nos expertises respectives : partager nos connaissances et nos ressources, bâtir une relation de confiance et pouvoir compter les uns sur les autres aujourd’hui, demain et à l’avenir. Dans quel contexte et avec quels objectifs l’appel d’offres a-t-il été lancé ? D. v. d. B. : Les quatre sous-marins d’attaque diesel-électriques actuellement en service dans la Marine royale néerlandaise, mis en service au début des années 1990, ont subi plusieurs modernisations pour prolonger leur durée de vie, mais doivent désormais être remplacés. La signature de l’accord constitue l’aboutissement d’un rigoureux processus de sélection visant à trouver le meilleur partenaire industriel pour les Pays-Bas. Notre décision s’est fondée sur quatre objectifs clés : accroître notre influence stratégique, renforcer notre capacité de frappe maritime, améliorer notre aptitude à recueillir, analyser et partager du renseignement à l’échelle mondiale, et augmenter notre capacité à mener des opérations spéciales. La France et les Pays-Bas partagent une longue histoire maritime et d’ingénierie. Les deux pays s’appuient sur une flotte sous-marine solide dans leur politique de défense, et sont membres de l’OTAN. Les sous-marins néerlandais sont une capacité de niche au sein de l’Alliance, car ils sont expéditionnaires et adaptés aux opérations en eaux littorales comme en haute mer. Cela vaut pour la classe Walrus, et ce sera aussi le cas pour la classe Orka – un point que nous tenons à souligner dès le départ. Nous représentons une part importante des capacités sous-marines de l’OTAN, et cela sera encore vrai dans 30 ans. Nous avons une responsabilité envers la prochaine génération, et nous voulons leur fournir le meilleur sous-marin possible. Pourquoi avoir choisi Naval Group ? D. v. d. B. : Nous avons lancé l’appel d’offres avec des objectifs très clairs, et Naval Group y a répondu avec une proposition correspondant au niveau d’excellence requis pour maintenir les Pays-Bas à la pointe de la guerre sous-marine, avec une nouvelle flotte de quatre sous-marins diesel-électriques de dernière génération. L’expérience considérable de Naval Group dans la construction et le maintien en condition opérationnelle des sous-marins, sa capacité à soutenir les capacités stratégiques et l’autonomie néerlandaises, ainsi que son engagement à intégrer la base industrielle néerlandaise dans la conception, la construction et la maintenance de la future classe de sous-marins, ont fait de la proposition française le meilleur choix. La classe Orka s’inscrit dans la famille Barracuda. En s’appuyant sur les capacités des sous-marins de la classe Suffren issus du programme français Barracuda, et en adaptant la conception de cette famille à nos besoins spécifiques grâce à des échanges approfondis avec Naval Group, les sous-marins de classe Orka offriront à la force sous-marine néerlandaise un avantage décisif dans les combats futurs. Nous avons toujours visé l’excellence absolue pour nos sous-marins. Avec la classe Orka, nous savons que nous resterons à la pointe de la guerre sous-marine. Sylvain Perrier : Il y a sans doute plusieurs raisons pour lesquelles la proposition de Naval Group a été retenue. D’abord, notre expertise dans les sous-marins conventionnels comme non conventionnels, démontrée notamment avec la famille Barracuda, nous distingue. Ensuite, notre proposition s’est appuyée sur une compréhension affinée des besoins de COMMIT, grâce à une phase de dialogue très constructive. Nous avons également porté une attention particulière à l’intégration, dès les premières étapes du projet, d’un éventail de compétences disponibles aux Pays-Bas. Des accords ont d’ailleurs été signés à peine un mois après la signature du Delivery Agreement avec plusieurs partenaires néerlandais. Enfin, notre engagement sur le respect des délais a été un point fort pendant toute la procédure : nous avons garanti de répondre aux exigences dans le calendrier imposé. Cet aspect est crucial car il s’agit d’assurer la continuité opérationnelle de la force sous-marine néerlandaise, avec quatre livraisons prévues entre 2033 et 2037 – les deux premiers espacés de 12 mois, les deux suivants de 18 mois. Quel est le périmètre de responsabilité de Naval Group dans ce programme ? S. P. : En tant que maître d’œuvre du programme RNSC, Naval Group assume l’entière responsabilité de la conception, de la construction et de la livraison des sous-marins. Cela comprend l’identification et la sélection de nouveaux fournisseurs, ainsi que la mise en place d’un cadre solide pour les accompagner tout au long du cycle de vie des bâtiments. Naval Group collabore activement avec la base industrielle et technologique de défense néerlandaise (NL-DTIB), en mobilisant son réseau existant de partenaires néerlandais sur les systèmes et composants critiques, tout en soutenant le développement et le maintien des compétences dans l’écosystème néerlandais sur la durée de vie complète des sous-marins. Ce réseau composé d’instituts de recherche, d’entreprises et de PME offre un large éventail de technologies et de savoir-faire. La sélection de Naval Group dans le cadre du programme RNSC ouvre une nouvelle ambition pour cette relation et représente une opportunité de croissance pour la NL-DTIB comme pour Naval Group, qui bénéficiera de l’expertise de niche de l’écosystème néerlandais. Quelle est la stratégie industrielle du programme ? S. P. : Les activités seront réparties sur l’ensemble des sites de Naval Group, pas seulement à Cherbourg, qui reste historiquement notre site de production de sous-marins. Chaque site se verra confier des rôles spécifiques selon son expertise approfondie. Les entreprises et centres de recherche néerlandais – avec lesquels des contrats ont été signés ou le seront bientôt – contribueront selon leur domaine d’excellence (Royal IHC pour la fabrication de modules, RH Marine pour les systèmes de gestion de l’énergie et de la plateforme, Van Halteren pour les systèmes hydrauliques et les groupes frigorifiques, Bolidt pour le traitement acoustique, Optics 11 pour le sonar remorqué, Marin et TNO pour les études de performance…), en complément de l’expertise de Naval Group. De cette manière, nous répondrons aux exigences de COMMIT, avec l’objectif de fabriquer une classe de sous-marins répondant aux standards élevés de la force sous-marine néerlandaise. Comment envisagez-vous, vous et COMMIT, les prochaines décennies de coopération ? D. v. d. B. : Aller de l’avant ensemble est le principe qui fonde notre coopération – et nous voulons qu’il aille au-delà des mots. Cela ne peut se faire que dans le cadre d’une collaboration étroite, où chaque partie bénéficie de l’expertise et de la méthodologie de l’autre, afin de mener le programme au succès et de créer un sous-marin de niche à la pointe de la technologie, répondant aux besoins des générations à venir. C’est dans cet esprit qu’un collègue et moi-même nous sommes installés à Cherbourg pour être au plus près de l’équipe de Naval Group – d’autres nous rejoindront bientôt. Nous faisons aussi très souvent des allers-retours avec l’équipe de Naval Group aux Pays-Bas, à Utrecht, où se trouve le siège de COMMIT, afin d’assurer une cohésion forte et un environnement de travail transparent. Bien sûr, cela signifie que chacun doit faire un pas vers la culture de l’autre ! Mais nous avons un objectif commun. Je dis toujours que ces sous-marins ne sont pas pour moi : je travaille pour mes enfants et les générations futures – ensemble, nous créons des sous-marins qui resteront pertinents jusqu’aux années 2070. Dans quel état d’esprit êtes-vous maintenant que le programme est lancé ? S. P. : Pour tenir nos engagements dans le cadre du programme RNSC, nous mobilisons toutes nos forces. Tous les sites industriels de Naval Group en France sont désormais impliqués, tout comme plusieurs partenaires industriels en France et aux Pays-Bas, afin qu’ils soient pleinement préparés à contribuer à la réussite du programme. Des actions concrètes ont déjà été menées, et l’anticipation a été notre mot d’ordre dans les mois qui ont précédé la signature de l’accord de livraison. Nous avons tout mis en œuvre pour être prêts à relever ce défi exceptionnel. D. v. d. B. : Nous sommes prêts à renforcer encore notre collaboration. Des jalons concrets ont déjà été franchis, et nous travaillons dur pour faire de ce programme un succès. Nous visons rien de moins que l’excellence : nous voulons pousser toutes les industries impliquées à aller encore plus loin, à chercher comment faire encore mieux. Nous attendons de chaque acteur de cette coopération qu’il donne le meilleur de lui-même et aille au-delà des attentes.