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Tout ce qui a été posté par Titus K
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Le Canada et sa place sur la scène internationale
Titus K a répondu à un(e) sujet de Hornet62 dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est quand même curieux avec la presence d'airbus au Quebec justement ... -
(Re)structuration du tissu industriel européen de défense
Titus K a répondu à un(e) sujet de Skw dans Economie et défense
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[Hélicoptère Guimbal Cabri G2]
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères Civils
Cabri G4 bientôt ? https://www.aerobuzz.fr/helicoptere/helicopteres-guimbal-a-lheure-americaine/amp/ « Les propriétaires de Cabri veulent progresser vers un appareil plus grand, comme l’ont fait en leur temps les possesseurs de R22 en passant sur R44. Un appareil plus grand sera plus polyvalent et donnera la possibilité aux écoles de pilotage de compléter leurs activités de formation par d’autres missions, vols touristiques, travail aérien, offrant du même coup des heures de vol supplémentaires à leurs instructeurs. Le passage des privés du G2 à un quadriplace permettrait aussi de vivifier le marché de l’occasion ». Bruno Guimbal est lui-même très souvent interrogé sur la date d’arrivé du futur appareil et comme il arrive qu’Aerobuzz fasse parfois preuve de conformisme, nous lui avons nous-même posé la question. La réponse classique est arrivée : « On y travaille… » -
Mer et Marine a l'air de dire que l'antenne ne sera pas montée sur de dispositif de ravalement Les différents sonars retenus pour les Orka Les Orka disposeront d’une antenne cylindrique à l’avant pour la détection, le pistage et l’analyse, ainsi qu’une antenne de flanc qui aura les mêmes fonctions avec en plus la classification et la localisation des bruits détectés. Cette antenne de flanc présentera la particularité, sur ces bâtiments, d’être double. « Il y aura deux lignes de panneaux au lieu d’une de chaque côté. Cette configuration résulte de la volonté de la marine néerlandaise d’avoir un niveau de détail acoustique et de précision extrêmement élevé ». Pour répondre à cette exigence, Thales avait le choix entre développer de nouveaux panneaux équipés de plus de capteurs ou bien d’augmenter le nombre de panneaux. Pour des questions de coûts, la seconde solution a été retenue. Et le système sera tellement performant que les Orka n’auront pas besoin d’avoir en plus une antenne distribuée (capteurs généralement installés à l’avant, au centre et à l’arrière des sous-marins). Comme tous les bateaux noirs, les futurs bâtiments néerlandais seront également équipés (sur le massif) d’une antenne d’interception permettant d’analyser les émissions sonars d’autres bateaux, ainsi qu’un sonar d’évitement de mines et d’obstacles (Mine & Obstacle Avoidance Sonar - MOAS) situé à l’avant. Ce dernier est un sonar actif, très précis mais dont la portée est peu importante afin de limiter au maximum les indiscrétions acoustiques dont pourrait profiter un adversaire (les autres systèmes sonars du sous-marin sont uniquement passifs, c’est-à-dire qu’ils se contentent d’écouter et chercher les indiscrétions d’autres navires). Le MOAS sert à détecter des objets qui pourraient se trouver juste devant le sous-marin, par exemple dans une zone potentiellement minée. Mais ce sonar sert aussi à localiser, lors d’opérations spéciales, des nageurs combat lorsqu’ils reviennent de mission et doivent être récupérés par le sous-marin à un endroit donné. Le MOAS, enfin, a une fonction de cartographie, qui permet au bâtiment, en scannant les fonds qu’il survole, de pouvoir vérifier sa position par comparaison avec les cartes marines. S’y ajoute un sondeur acoustique pour déterminer, au besoin, la profondeur d’eau sous la coque. Une nouvelle antenne remorquée dotée de capteurs à technologie optique Les Orka seront, de plus, équipés d’une antenne linéaire remorquée, ce qui est rare sur les sous-marins conventionnels (aucun Scorpène n’en est par exemple équipé à ce jour). Ces équipements bardés d’hydrophones, qui peuvent courir à des centaines de mètres en arrière du bâtiment, sont généralement l’apanage des plus gros sous-marins, dits expéditionnaires, à l’image des SNA du type Barracuda. Ce qui est aussi le cas des futures unités néerlandaises, qui seront de véritables plateformes océaniques. Longs de 82 mètres pour un diamètre de 8.2 mètres et un déplacement en surface de 3300 tonnes, ces bateaux, capables de franchir 15.000 nautiques, vont donc être dotés d’une « flûte » remorquée permettant d’accroître encore leurs capacités de détection, de pistage, d’analyse et de classification. Un système pour lequel Thales va travailler avec la société néerlandaise Optics11, qui avait été repérée par Naval Group lorsque l’industriel français, dans le cadre de la compétition, a passé au crible l’industrie néerlandaise pour développer des partenariats locaux. « C’est une très belle startup qui a mis au point des senseurs optiques permettant de détecter des signaux acoustiques. C’est une technologie très intéressante, différente de celle employée pour les antennes des sous-marins français et qui complètera utilement notre portefeuille de produits à l’export, la France ayant ses propres systèmes », précise Emmanuel Michaud, qui rappelle que produire un tel équipement n’est pas un sport de masse : « L’intégration d’une antenne linéaire remorquée sur un sous-marin est quelque chose de très compliqué, qui mêle la performance des senseurs mais aussi d’importantes contraintes physiques, comme la pression sous l’eau et la flottabilité du système. Peu de pays dans le monde ont ce savoir-faire ». L’antenne des Orka consiste à ce stade en un système clipsé à la poupe des bâtiments lors de leur départ en mission (puis déclipsé au retour) plutôt qu’un dispositif de ravalement de câble. Elle sera fabriquée avec le concours de Thales aux Pays-Bas par Optics11, qui y intègrera ses capteurs. Un nouveau partenariat (et le seul sur ce programme) pour le groupe français qui prévoit donc intégrer d’ajouter cette technologie à son offre pour les sous-marins export. La collaboration entre les deux entreprises (qui n’implique pas de transfert de technologie de la part de Thales) a été conclue en novembre 2024 à Rotterdam.
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Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est pas non plus responsable d'avoir aucun "gras" ... Un exemple : si par malchance 1 des 6 SNA est victimes d'un incident lors de son arrêt technique (ex:Perle) et que 1 des 6 subit un sabotage ou une attaque de drone pendant une escale ... Est-ce que la MN peut encore assurer le strict minimum pendant 1/2 ans, c'est a dire la protection de la FOST et permettre le déploiement du GAN avec seulement 4 SNA, en attendant le retour des 2 SNA ? Peut-être, mais alors un autre problème va être de maintenir les competences des 10 equipages sur 4 navires pendant cette période ... La France est déjà une des rares marines a pratiquer le double equipage sur l'essentiel de ses bâtiments ... s'il y a une marine en Europe qui pourrait se permettre d'augmenter un peu son nombre de bâtiments c'est bien la MN. Un exemple en ce moment pour les bâtiments de surface : https://www.meretmarine.com/fr/defense/la-marine-nationale-pourrait-recouvrer-un-format-a-18-fregates-de-premier-rang-et-muscler-d-autres Une activité à flux tendu et plus aucune marge de manoeuvre Mais ces bateaux, même si leur taux de disponibilité est très élevé, n’ont pas le don d’ubiquité et, compte tenu du planning opérationnel, tout besoin supplémentaire ou avarie non prévue peut sa traduire immédiatement par des choix cornéliens. « C’est tendu, il n’y a aucune marge de manœuvre, même les arrêts techniques sont calculés au jour près », confie une source militaire à Mer et Marine. L’activité actuelle de la Marine nationale illustre d’ailleurs parfaitement le manque criant de frégates de premier rang. Ainsi, à Toulon, il n’y a actuellement plus aucune FDA ou FREMM disponible. L’une des deux FDA, le Forbin, évolue ces jours-ci en mer de Chine méridionale avec le porte-avions Charles de Gaulle dans le cadre de la mission Clemenceau 25. Et le groupe aéronaval, parti fin novembre de Toulon et qui doit y rentrer en avril dans le cadre de la mission Clemenceau, comprend également deux des quatre FREMM varoises, la Provence et l’Alsace. L’autre FDA, le Chevalier Paul, entre en arrêt technique cette semaine, alors que sur les deux autres FREMM basées à Toulon, l’une est déjà au bassin (la Lorraine) alors que l’autre (le Languedoc) est mobilisée en mer Rouge pour la mission européenne Aspides de sécurisation du trafic maritime. Pour permettre à la flotte française de maintenir une présence en Méditerranée orientale afin de surveiller l’évolution de la situation au Proche-Orient et l’activité russe dans cette zone, c’est l’une des quatre FREMM brestoises, l’Aquitaine, qui a été dépêchée sur place (elle a fait escale au Liban du 10 au 13 février). Quant aux trois autres FREMM basées à la pointe bretonne, une est en arrêt technique (la Bretagne) et une autre (l’Auvergne) est déployée dans le Grand Nord où la flotte française est maintenant présente de manière quasi-permanente. Il ne reste ainsi plus, dans la cité du Ponant, que la FREMM Normandie pour tenir l’alerte et assurer notamment les missions de surveillance sous-marine au large de la Bretagne, où la marine russe est très active. Quant aux cinq FLF, toutes stationnées à Toulon, plusieurs sont ou vont entrer en arrêt technique, dont le Courbet qui, préalablement à son passage au bassin, a participé le 25 février, devant Toulon, à un essai de choc comprenant l’explosion d’une mine à proximité de la frégate. Le Surcouf est quant à lui parti la veille, avec le porte-hélicoptères amphibie Mistral, pour un déploiement de cinq mois en Atlantique dans le cadre de la mission annuelle Jeanne d’arc. Ces activités démontrent à la fois la remarquable disponibilité de la flotte, illustrée par le fait que les quais des bases navales sont souvent vides, mais aussi l’évident manque de frégates de premier rang. Un autre exemple c'est les batteries de defense Sol-Air, en avoir quelques unes en reserve c'est pas déraisonnable par les temps qui courent. -
L’ONERA DÉVOILE LE ROS NG À EURONAVAL : DÉMONSTRATEUR DE RADAR TRANSHORIZON À ONDE DE SURFACE NOUVELLE GÉNÉRATION https://onera.fr/fr/actualites/onera-devoile-le-ros-ng-a-euronaval-demonstrateur-de-radar-transhorizon-a-onde-de-surface-nouvelle-generation À l’occasion du salon Euronaval, l’ONERA dévoile la dernière version de son démonstrateur de radar transhorizon sur le stand du ministère des Armées. L'ONERA, avec le soutien de l’Agence de l’innovation de défense (AID) et de la Direction générale de l'armement (DGA), franchit une nouvelle étape dans le domaine de la surveillance maritime avec le ROS NG, démonstrateur de radar transhorizon nouvelle génération capable de détecter des cibles maritimes jusqu'à 400 km. Fruit de plus de 20 ans d'expertise, ce radar intègre des technologies de rupture pour offrir des performances exceptionnelles en matière de détection des petites cibles maritimes. Des évaluations plus poussées, financées par la DGA, sont programmées dans les prochains mois afin d’explorer en profondeur les performances du ROS NG. Depuis 2007, l’ONERA améliore continuellement les performances de son concept pour en faire un système pré-opérationnel. Un premier démonstrateur a été installé à Biscarrosse entre 2007 et 2010. En 2011, une version à antenne synthétique a été déployée sur l’île du Levant, mais sans émission continue. En 2021, l’ONERA a initié l’installation d’un ROS NG sur le site des Salins du Midi pour réduire les interférences ionosphériques et optimiser le réseau d’antennes. Une architecture innovante pour une meilleure performance Implanté dans une zone classée Natura2000, le ROS NG se distingue par une architecture quasi-monostatique novatrice. Ce radar de 3ème génération, est constitué de : Un réseau d'émission surfacique compact de 18 antennes conçues pour optimiser la propagation des ondes au-dessus de la mer. Quatre sous-réseaux de réception équipés de 8 antennes chacune, ils sont spécifiquement étudiés pour atténuer les retours ionosphériques et sont alimentés par des panneaux solaires. Une antenne synthétique 2D en réception qui repose sur une architecture innovante conçue en alliant sciences physiques et mathématiques avancées. Des performances accrues pour une surveillance maritime optimisée Cette nouvelle génération de ROS, plus performante, bénéficie de l’expérience accumulées lors du développement des versions précédentes. Grâce à des études statistiques approfondies des données recueillies durant plusieurs années, l’ONERA a acquis une compréhension fine du comportement du fouillis de mer, permettant de concevoir une nouvelle architecture qui intègre des approches scientifiques innovantes. Les premiers résultats obtenus avec le ROS NG montrent une réduction significative des interférences ionosphériques et une amélioration du rapport signal-fouillis, rendant ainsi plus aisée la détection des petites cibles maritimes. Le ROS NG, avec une puissance globale émise inférieure à 1 kW et une empreinte au sol de 2500 m, atteint des performances équivalentes à celles d’un réseau synthétique 1D de 15 km de long, tout en étant plus compact et économe en énergie. Début 2025, une campagne d’évaluation complémentaire, financée par la DGA, permettra d’explorer en profondeur les performances et le potentiel du ROS NG, constituant une étape essentielle dans le développement de ce système innovant. Parmi les essais, certains seront réalisés pour des applications duales avec le soutien financier de l’AID et en collaboration avec le laboratoire MIO de l’Université de Toulon.
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Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
https://www.meretmarine.com/fr/defense/thales-va-fournir-une-suite-sonar-complete-pour-les-futurs-sous-marins-neerlandais Naval Group, dont Thales équipe tous les sous-marins vendus en France ou à l’international, compte pas moins d’une douzaine de campagnes actives pour des sous-marins en ce moment. Un potentiel extrêmement important, qui représente des dizaines de bâtiments. Alors, avec les dernières évolutions de la famille Scorpène et la première version conventionnelle des Barracuda vendue aux Pays-Bas, l’équipe France a de solides atouts pour décrocher de nouvelles commandes. « Nous voyons clairement le marché export comme un relais de croissance et espérons bien des concrétisations sur les campagnes en cours », dit Emmanuel Michaud, qui rappelle que Thales équipe à ce jour « 50 sous-marins dans le monde » et détient « 50% du marché accessible ». -
Je reposte l'article partagé par @herciv dans le fil RN, traduis par Mistral cette fois-ci Doit convaincre la Norvège : « Nous avons l’habitude des situations difficiles » https://www.forsvaretsforum.no/forsvarsdepartementet-frankrike-fregatt/ma-overbevise-norge-vi-er-vant-til-toffe-situasjoner/429044 La France envisage un partenariat de défense de plus en plus étroit avec la Norvège. Elle espère ainsi être choisie comme partenaire pour les nouvelles frégates de la marine norvégienne. Le travail de persuasion des décideurs norvégiens se poursuit pour le Royaume-Uni, les États-Unis, l’Allemagne et la France, tous en lice pour fournir ces nouvelles frégates. Pour cette dernière, les efforts battent leur plein. L’attaché de défense français en Norvège, Sébastien Chatelain, affirme que l’engagement significatif de la France joue en sa faveur. « La Norvège entretient une relation solide et de longue date avec les quatre pays concernés. Cela continuera indépendamment du choix des frégates. La France est fortement impliquée dans l’OTAN, l’UE et l’Arctique, ce qui nous distingue des trois autres. La Norvège est un partenaire clé pour la France, et nous souhaitons renforcer encore davantage notre coopération », explique-t-il. Chatelain souligne que ces pays prévoient de collaborer étroitement pendant plusieurs décennies. « Un partenariat de long terme a une grande valeur. Nous partageons des intérêts communs dans la région et devons garantir notre capacité à opérer et à sécuriser nos activités économiques dans l’Atlantique Nord et l’Arctique. » Un pont entre les industries L’attaché de défense se montre passionné lorsqu’il évoque la coopération franco-norvégienne, son rôle étant précisément de renforcer ce partenariat. « Nous avons des intérêts communs très forts, et au vu de l’évolution des menaces dans le Grand Nord, ceux-ci ne vont pas diminuer. » Selon lui, la marine française est l’une des plus performantes au monde et bénéficie d’une grande expérience en opérations de combat, ce qui en ferait un candidat de choix pour la Norvège. « Nous sommes habitués aux situations difficiles, ce qui pourrait être un atout majeur pour la marine norvégienne dans ces zones. » En janvier, le ministre français des Armées, Sébastien Lecornu, et son homologue norvégien de l’époque, Bjørn Arild Gram, ont signé un accord d’intention visant à renforcer la coopération dans plusieurs domaines. « Cela signifie plus d’équipements, plus d’échanges d’expérience et plus d’entraînement conjoint », affirme Chatelain. Il mentionne également que la France soutient le Royaume-Uni en lui fournissant du personnel pour pallier ses pénuries. « Nous envoyons des marins sur les navires britanniques pour les aider à surmonter leurs difficultés. Nous nous soutenons en tant qu’alliés pour renforcer l’OTAN. » Si la frégate française FDI est choisie, certaines parties du navire seront fabriquées en Norvège, bien que l’assemblage final ait lieu à Lorient, en France. « Aucun pays ne peut innover seul, ni Kongsberg ni Naval Group. Nous voulons être un pont entre les industries pour relever les défis posés par les nouvelles menaces », explique Chatelain. Un choix stratégique pour la Norvège ? Ståle Ulriksen, expert et chercheur à l’Académie navale norvégienne, estime qu’un partenariat avec la France pourrait être un choix judicieux. « La France a toujours été fiable envers ses alliés. Son armée est en bien meilleure posture que celles du Royaume-Uni ou de l’Allemagne, qui connaissent de nombreuses difficultés. Le modèle français semble plus solide. » Il met également en avant le rôle de leader de la France au sein de l’UE. L’Allemagne ne prend pas autant de responsabilités, tandis que le Royaume-Uni et les États-Unis sont en dehors de l’Union. « La France a d’énormes engagements à travers le monde, mais ses forces armées restent relativement limitées », ajoute Ulriksen. Un partenariat avec la Norvège pourrait présenter plusieurs avantages. Les troupes de montagne françaises, par exemple, s’entraînent régulièrement en Norvège. De plus, selon Ulriksen, la marine française est plus présente dans les eaux norvégiennes que la britannique. « Combien avons-nous de Norvégiens qui parlent français ? Il serait plus facile de coopérer avec les Britanniques sur ce point », note-t-il. Il juge néanmoins que la frégate française est une candidate solide, notamment grâce à ses capacités en défense aérienne. Selon lui, la France et le Royaume-Uni sont en bonne position pour décrocher ce contrat stratégique. La Norvège devrait prendre sa décision sur son futur partenaire pour les frégates d’ici la fin de l’année.
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Les frégates françaises ont 80% de disponibilité, on peut donc imaginer avoir 2 des 3 FDI à la mer. 5 NH90 pour 2 FDI c'est 40% de disponibilité des NH90 ... malheureusement c'est dans les clous ... https://www.opex360.com/2024/10/11/selon-le-senat-le-taux-de-disponibilite-des-helicopteres-nh-90-caiman-est-inferieur-aux-besoins-de-la-marine/ Certes, des progrès ont été obtenus… mais pas point d’atteindre l’objectif des 50 % de disponibilité évoqué en 2022. Aussi, dans une réponse à un questionnaire que lui avait adressé M. de Legge, l’état-major de la Marine nationale estime que le taux de disponibilité des NH-90 Caïman NFH est encore « inférieur [à ses] besoins pour conduire l’ensemble des activités opérationnelles et d’entraînement ».
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Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Bon ca sent bon pour l'armement européen au Danemark Conservative MP in Denmark. Chairman of Denmark's Defence Committee. Spokesperson on Greenlandic Affairs for the Conservatives. Repost fil F35 --> -
Au Danemark --> Je ne sais pas s'il y a un Kill Switch dans le F35 ou non. Nous ne pouvons évidemment pas vous croire sur parole. En tant que l'un des décideurs derrière l'achat de F35 par le Danemark, je le regrette. Les États-Unis peuvent certainement désactiver les avions en arrêtant simplement l'approvisionnement en pièces de rechange. Ils veulent renforcer la Russie et affaiblir l'Europe et montrent qu'ils sont prêts à faire d'énormes dégâts à des alliés pacifiques et loyaux comme le Canada simplement parce qu'ils insistent pour exister en tant que pays. Je peux facilement imaginer une situation où les États-Unis exigeront le Groenland au Danemark et menaceront de désactiver nos armes et laisseront la Russie nous attaquer lorsque nous refusons (ce que nous ferons même dans cette situation). Par conséquent, l'achat d'armes américaines est un risque de sécurité que nous ne pouvons pas courir. Nous ferons d'énormes investissements dans la défense aérienne, les avions de chasse, l'artillerie et d'autres armes dans les années à venir, et nous devons éviter les armes américaines si possible. J'encourage nos alliés et amis à faire de même.
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1er tir d’un missile Akeron LP depuis un Tigre banc d’essai réalisé sur le site de Cazaux de DGA EV https://x.com/ForcesOperation/status/1902450614497689793
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énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
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Le Canada et sa place sur la scène internationale
Titus K a répondu à un(e) sujet de Hornet62 dans Politique etrangère / Relations internationales
Faut que le Canada arrete de se réclamer proche de l'Europe sinon Trump va pourvoir commencer à recycler le narratif moscovite sur l'expansion de l'OTAN vers la Russie l'UE (wokiste et liberticide) vers l'Amérique -
Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Oui si la Pologne veut s'acheter des NSM norvégiens, l'UE pourra financer une partie de l'achat et donc financer la BITD norvégienne... mais on va pas financer le MINDEF norvégien avec des fonds européens ? Ou alors j'ai mal compris ?? De la même façon le japon y participe, mais on va pas aider les japonais a se payer des Mogami ... Selon les termes du projet, les pays de l’UE pourraient néanmoins utiliser les fonds pour acheter des produits utilisant des composants provenant de Norvège, deCorée du Sud, du Japon, d’Albanie, de Moldavie, de Macédoine du Nord et d’Ukraine, ont précisé les responsables. EDIT : Tu as modifie ton message j'avais pas vu l'info supplémentaire ... bon alors peut-être ! -
Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
J'ai peut être mal compris, mais l'UE va pas aider au financement de l'achat de fregates d'un pays hors UE comme la Norvège ? -
Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
EU to exclude US, UK and Turkey from €150bn rearmament fund https://www.ft.com/content/eb9e0ddc-8606-46f5-8758-a1b8beae14f1 Victoire pour l'approche « Buy European » soutenue par la France en matière de dépenses de défense Les entreprises d'armement des États-Unis, du Royaume-Uni et de la Turquie seront exclues d'un nouveau plan de financement de la défense de l'UE de 150 milliards d'euros, à moins que leurs pays d'origine ne signent des accords de défense et de sécurité avec Bruxelles. Le fonds prévu, destiné aux États membres pour l'achat d'armes, ne serait ouvert qu'aux entreprises de défense de l'UE et à celles de pays tiers ayant signé des accords de défense avec le bloc, ont déclaré des responsables mercredi. Il exclurait également tout système d'armement avancé sur lequel un pays tiers détiendrait une « autorité de conception » — c'est-à-dire des restrictions sur sa construction ou l'utilisation de certains composants — ou un contrôle sur son utilisation finale, ont ajouté ces responsables. Cela exclurait, par exemple, le système de défense aérienne et antimissile américain Patriot, fabriqué par le groupe de défense RTX, ainsi que d'autres systèmes d'armement américains soumis à des restrictions imposées par Washington sur leur utilisation ou leur destination. Cette politique représente une victoire pour la France et d'autres pays qui réclamaient une approche « Buy European » pour les investissements de défense du continent, notamment en raison des inquiétudes concernant la fiabilité à long terme des États-Unis en tant que partenaire et fournisseur de défense, exacerbées par l'influence de Donald Trump. Au moins 65 % du coût des produits financés par le programme devraient être dépensés dans l'UE, en Norvège ou en Ukraine. Les États membres de l'UE ne pourraient pas utiliser ces fonds pour acheter des équipements « soumis à un contrôle sur leur utilisation ou leur destination… Il serait problématique que des équipements achetés par des pays ne puissent pas être utilisés parce qu’un pays tiers s’y oppose », a expliqué l’un des responsables. Le Royaume-Uni en difficulté pour intégrer l’initiative Le Royaume-Uni a fait pression pour être inclus dans l’initiative, notamment en raison de son rôle clé dans une « coalition de volontaires » visant à renforcer les capacités de défense européennes. Les entreprises de défense britanniques, comme BAE Systems et Babcock International, sont fortement intégrées dans l'industrie de défense de plusieurs pays de l'UE, notamment l'Italie et la Suède. Si des pays tiers comme les États-Unis, le Royaume-Uni et la Turquie souhaitent participer à cette initiative, ils devront signer un partenariat de défense et de sécurité avec l’UE, ont précisé les responsables. Des négociations ont été entamées entre Londres et Bruxelles sur un tel accord, mais elles se heurtent à des demandes plus larges, notamment sur des sujets sensibles comme les droits de pêche et l'immigration. L’exclusion du Royaume-Uni et de la Turquie compliquera la situation pour les grandes entreprises de défense européennes qui ont des liens étroits avec des producteurs ou fournisseurs basés dans ces pays. Réactions et obstacles Interrogé mardi sur la position britannique concernant les règles du nouveau fonds européen, un responsable britannique a déclaré : « Nous sommes prêts à collaborer sur la défense européenne dans l’intérêt de la sécurité du continent, afin d’éviter une fragmentation du marché européen de la défense et de créer des cadres juridiques permettant aux États membres de coopérer avec des pays tiers. » Cette décision suscite de vives inquiétudes dans le secteur britannique de la défense. Un haut responsable de l'industrie de défense du Royaume-Uni a exprimé son inquiétude en déclarant : « C'est un sujet de préoccupation majeur. Nous voyons d'énormes opportunités, et il est juste que le Royaume-Uni soit perçu comme une partie de l’Europe. Mais si l’UE — et surtout la France — adopte une approche purement transactionnelle, cela remet en cause toute la philosophie d’une Europe unie et coordonnée en matière de défense et de sécurité. » Les tentatives précédentes de la France pour restreindre les dépenses de défense aux seules entreprises européennes ont rencontré une forte opposition de la part de pays comme l’Allemagne, l’Italie, la Suède et les Pays-Bas, qui entretiennent des liens étroits avec des producteurs de défense non européens. La proposition devra être approuvée par une majorité des États membres de l’UE. Selon les termes du projet, les pays de l’UE pourraient néanmoins utiliser les fonds pour acheter des produits utilisant des composants provenant de Norvège, de Corée du Sud, du Japon, d’Albanie, de Moldavie, de Macédoine du Nord et d’Ukraine, ont précisé les responsables. -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Je vous crois volontiers , je suis juste très surpris des chiffres annoncés ... Si une forge française peut produire 20 000 obus par jour j'ose même pas imaginer combien de millions d'obus la Chine pourrait produire par jour ! Probablement des Milliards par an ! -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Oui enfin là ca fait un obus de 120mm toutes les 4 secondes en 24h/24h ... -
Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Titus K a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Ils ont pas un peu abusé des 0 la ? 20 000 obus par jour ? -
Europe de la Défense ?
Titus K a répondu à un(e) sujet de samson dans Politique etrangère / Relations internationales
Les pays européens participants a la flotte "Multinational MRTT Fleet" pourraient commander une 10aine d'A330 MRTT + (version Neo) ... ils se partagent pour l'instant 10 MRTT pour 6 pays et 130 Millions d'habitants ... on va pas aller loin avec ca. Ca permettrait au passage de faire de l'Europe le client de lancement du MRTT+ ... -
Volocopter racheté par une entreprise automobile chinoise dans le cadre d'un accord de 10 millions d'euros https://verticalmag.com/news/volocopter-acquired-by-chinese-automotive-firm-in-e10-million-deal/ Once a frontrunner in the European eVTOL industry, German startup Volocopter may have found a financial lifeline through an acquisition by China-based Wanfeng Group. The €10-million (US$10.9-million) deal, disclosed in a recent stock exchange announcement, comes after Volocopter faced mounting financial difficulties that led to its insolvency. On March 10, Zhejiang Wanfeng Auto Wheel Co., Ltd. confirmed its acquisition of Volocopter, following the signing of an asset purchase agreement on March 6. According to a translated announcement reported by China eVTOL News, the transaction will be funded entirely through Wanfeng’s own capital or self-raised funds. Wanfeng’s German subsidiary, Heptus 591 GmbH, has signed an asset purchase agreement to take over Volocopter’s tangible assets, intellectual property rights, and specific contractual obligations. This agreement was reached with Volocopter’s court-appointed administrator, Tobias Wahl. According to the stock market filing, Wanfeng is acquiring Volocopter for €10 million, even though the company’s assets and intellectual property are valued at €42 million (US$45.9 million). Founded in 2011, Volocopter was on the verge of securing aircraft type certification from European aviation authorities for its two-seat VoloCity multicopter. However, financial setbacks forced the company to file for insolvency in December 2024. Initially, Volocopter had aimed to launch commercial operations in time for the 2024 Paris Olympics, hoping to establish itself as a leader in Europe’s eVTOL sector. Yet, funding shortfalls, certification delays, and local opposition prevented the company from debuting its air taxi service on the world stage. Now, an acquisition offers the potential for financial stability, allowing Volocopter to continue its certification efforts and advance its eVTOL technology. However, Wanfeng Group has yet to clarify how it plans to integrate Volocopter into its broader business strategy, leaving the company’s long-term direction uncertain.
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Les sonars de Thales pour les nouveaux sous-marins néerlandais https://premium.marineschepen.nl/de-sonars-van-thales-voor-de-nieuwe-nederlandse-onderzeeboten/ Quels seront les capteurs des nouveaux sous-marins néerlandais ? Plus de détails ici. Grâce à l'accord signé par Naval Group et Thales, il est désormais certain que S-Cube sera également mis à la disposition de la classe Orka néerlandaise. On s'y attendait déjà, puisque les sous-marins indiens et brésiliens Scorpène, entre autres, naviguent également avec S-Cube. L'Indonésie recevra également S-Cube. Le S-Cube se compose d'une gamme de sonars et d'autres systèmes. Selon le communiqué de presse de Thales, l'entreprise fournira à Naval Group « des sonars de flanc et d'étrave, des sonars spécifiques pour l'évitement d'obstacles, un réseau d'interception, un sonar remorqué passif, un système de communication vocale sous-marine, un échosondeur et des systèmes de traitement du signal, entre autres ». Dans le cadre de l'exposition Euronaval à Paris, Thales a donné aux médias internationaux plus d'informations sur cette suite sonar. --> Selon Thales, le sonar de flanc de la classe Orka est «très unique », a déclaré Naval News : “The flank array sonar is very specific to the Dutch contract” Michaud added, “it will be a double line of flank arrays, it will be a very very powerful flank array system”. --> La classe Orka reçoit un sonar remorqué qui peut dérouler et rouler le sous-marin lui-même. On ne sait pas encore quelle technologie sera utilisée. En 2024, un contrat a été signé avec Optics 11, une société néerlandaise qui veut offrir un sonar remorqué basé sur la fibre optique. Le contrat ne consituait pas la fourniture des sonars définitifs, mais un produit d'essai. Plus tard, il a fallu déterminer si la technologie arriverait réellement sur les bateaux néerlandais. --> Barracuda et Scorpène Selon les lignes de communication officielles, la classe Orka est directement dérivée du sous-marin nucléaire français Barracuda (classe Suffren). Techniquement, ce n'est pas possible en raison des différences majeures entre un sous-marin diesel-électrique et un sous-marin nucléaire. Toutefois, la suite de sonars pourrait être la même. Cependant, la classe Orka ne recevra pas exactement la même suite sonar que le Barracuda. « Toutes les composantes matérielles proviendront du Barracuda », a déclaré M. Michaud. Dans les couloirs, un membre de l'équipe de projet a ajouté que les bateaux néerlandais disposeront des mêmes sonars, du même traitement et de la même analyse du mouvement de la cible (pour calculer la position exacte d'un contact) que les bateaux français. Toutefois, il existe des différences « en raison des restrictions à l'exportation », a déclaré M. Michaud. Il y a une famille de sonars d'exportation et une famille de sonars français. Si les marines indienne, brésilienne et chilienne utilisent également S-Cube pour leurs sous-marins diesel-électriques, cela ne signifie pas non plus qu'elles naviguent avec exactement la même configuration entre elles. Le S-Cube est adapté aux besoins du client, selon M. Michaud. "Il s'agit d'un système assez flexible, basé sur différents modules que l'on peut assembler en fonction des besoins du client et avec lesquels on peut gérer de grandes et de petites antennes, par exemple. Les sonars des sous-marins Barracuda ont été mis au point il y a un certain temps, mais Thales travaille déjà sur la prochaine génération qui équipera les sous-marins à propulsion nucléaire dotés de missiles nucléaires. Ces SNLE sont normalement dotés des équipements les plus avancés, en raison de leur importance stratégique. Le logiciel de la suite sonar peut être amélioré « grâce au travail que Thales effectue sur les SNLE ». Cela ne signifie pas que les Pays-Bas, les autres clients de Naval Group ou Thales obtiendront la technologie des SNLE, a précisé M. Michaud : « Nous n'exporterons jamais la technologie des SNLE. » Malgré les restrictions à l'exportation, « nous ferons le meilleur usage de la technologie dont nous disposons pour offrir à Naval Group ce qu'il y a de mieux pour la marine néerlandaise et les autres clients ». --> Subtics Toutes les données provenant des capteurs doivent être agrégées et présentées, après quoi l'équipage du sous-marin peut agir. Les données des capteurs sont présentées dans le système de gestion des combats (Combat Management System - CMS). Au départ, la marine voulait son propre CMS sur les sous-marins, Guardion. Ce CMS est également présent sous différentes formes sur les frégates, les LPD et les Karel Doorman et Den Helder. Le système Guardion a également été introduit sur les sous-marins lors de la modernisation de la classe Walrus. Cela prendra fin avec l'introduction de la classe Orca, car les Orcas recevront Subtics, le CMS de Naval Group. Un CMS commercial donc, auquel la Défense elle-même n'est pas favorable en principe, comme cela a été révélé à la Chambre des représentants en avril de l'année dernière. Néanmoins, cette option a été choisie afin d'assurer la meilleure intégration possible de tous les capteurs, croit savoir Marineschepen.nl. « Un sous-marin est bon s'il a un bon sonar, mais le sonar est bon s'il est intégré sur un bon sous-marin », a déclaré M. Michaud. "Nous travaillons avec Naval Group depuis 50 ans. Et nous sommes très fiers de travailler exclusivement avec les sous-marins de Naval Group. Nous avons donc l'expérience de l'intégration des sonars sur les sous-marins de Naval Group. --> Performances Le service sous-marin ne connaîtra la qualité de la suite sonar que dans une dizaine d'années, lorsque le premier bateau sera mis à l'eau. Comme nous le savons, la suite sonar n'est pas la suite sonar 2076 vantée par de nombreux membres de la marine, qui est également installée sur la classe Astute. Il s'agit également d'un sonar de Thales, mais de la branche britannique strictement distincte. Les experts en sous-marins interrogés par Marineschepen.nl sont divisés sur la question de savoir si les performances des deux sonars diffèrent beaucoup l'une de l'autre. Toutefois, selon un initié néerlandais, il n'y a pas de différences majeures entre les sonars français et britanniques, pour autant qu'il puisse en juger. Selon lui, la préférence pour le sonar britannique est principalement liée aux données collectées par les différentes marines. « En général, les pays qui possèdent des sous-marins nucléaires dépensent plus d'argent pour avoir de bons sonars », explique-t-il. Une grande partie de cet argent est consacrée au traitement des données, c'est-à-dire au traitement du signal. En effet, l'immense quantité de données reçues par un sonar doit être traitée de manière à ce que même les sous-marins et les frégates silencieux soient repérés à grande distance. Ceux qui pensent que les Pays-Bas entrent dans une nouvelle ère avec les sonars français se trompent. Alors que la classe Walrus navigue avec un sonar remorqué britannique, les bateaux eux-mêmes sont équipés d'un sonar de Thomson-Sintra, le prédécesseur de la branche française de Thales qui développe actuellement le S-Cube. Différence importante : le traitement a été effectué par les sociétés norvégiennes Kongsberg et TNO. Toujours à propos des radars. Les radars sont une note de bas de page pour les sous-marins. Thales à Hengelo ne joue aucun rôle dans le domaine des petits radars pour sous-marins. La classe Orka devrait être équipée d'un radar italien. Thales fournira une suite de sonar haute performance pour les sous-marins néerlandais de classe Orka https://www.navalnews.com/naval-news/2025/03/thales-to-provide-high-performance-sonar-suite-for-dutch-orka-class-submarines/ --> This major contract (value: >100M euros) is the first submarine sonar suite export contract in 15 years. Speaking in a media call ahead of the announcement, Emmanuel Michaud, VP Sonar Systems at Thales, said this is the most comprehensive sonar suite Thales can deliver to a customer. “Anything related to a sonar acoustic system is delivered by Thales in this program”. --> ... recent contract with the Dutch company Optics11, to use its OptiArray technology in the passive towed-array sonar. “As far as the platform is concerned, obviously, the sonar suite that will be delivered [to the Netherlands] is highly derived from our developments made on the French Suffren-class SSN […] While we are still working on the last three submarines of the Suffren-class, we are starting this new contract, so it is an incremental development […] We keep improving our product coming from the French program with this export contract submarine with very tough requirements from the Dutch navy.”