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Tout ce qui a été posté par Alexis
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Je crois que c'est Jacques Sapir qui a fait remarquer que puisque la Russie est le seul coupable envisageable, si ce n'est pas la Russie il ne reste qu'à conclure que c'était les Martiens Il y a pourtant un autre suspect assez évident, et dont on ne parle jamais ! L'Allemagne, bien sûr. En effet, Nord Stream II était essentiellement un projet Russie-Allemagne, que ces deux pays ont porté à bout de bras pendant des années contre une forte opposition politique. Ces deux pays sont donc tout naturellement les principaux suspects du sabotage, suivant le principe "A qui le crime nuit" Si ce n'est l'un, il faut donc envisager l'autre -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Alexis a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
A garder en mémoire, cette information originellement publiée par le Wall Street Journal début décembre comme quoi les Himars livrés par les États Unis en Ukraine ont été au préalable modifiés pour les rendre incapables de tirer des Atacms. De peur que d'autres pays n'en fournissent à Kiev, qui pourrait alors impliquer Washington dans ce genre de frappe en utilisant les Himars fournis par les États-Unis. Washington pourrait il revenir sur cette décision ? Théoriquement oui. Mais remodifier les Himars dans l'autre sens prendrait un temps indéterminé. Et surtout le soin avec lequel les Américains se protègent de toute situation qui risquerait de les impliquer dans une escalade avec la Russie... est remarquable. Non qu'ils aient forcément tort, d'ailleurs. Qui est Hodges ? Eh bien, c'est un général à la retraite. Est-il si âgé ? Peut-être pas tant que ça. Peut-être même est-il plus jeune que le président américain ? Mais il y a une différence fondamentale entre les deux. Joe Biden n'est pas à la retraite, lui. Il est aux responsabilités. Il prend les décisions, il définit les risques à prendre et les risques à refuser, et il a à en porter le poids. C'est un peu plus difficile pour lui que de parler à des journalistes -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
La reconversion facile, un exemple Voici Bill Kristol, le 22 décembre 2022 La droite anti-Ukraine est une droite anti-américaine Le même, vers début 2003 La guerre en Irak sera terminée en deux mois Y a t il des Américains qui n'ont pas oublié qui est cet homme ? A lire les commentaires sous son tweet, il semble y en avoir quelques uns -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Alexis a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Un conseiller municipal de St Petersbourg demande à la justice d'enquêter sur Poutine pour diffusion de fausses nouvelles En effet, lors de son allocution le 21 décembre, le président russe a utilisé le mot "guerre" pour désigner l'opération militaire spéciale en Ukraine Voilà un petit malin J'espère qu'il n'aura pas de pépin de santé -
USA - Criailleries 2 - Rumeurs, controverses, polémiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de rogue0 dans Politique etrangère / Relations internationales
Bien sûr c'est absurde. Le plus probable est que la CIA a effectivement été impliquée dans l'assassinat. Mais que ça n'a pas été mis dans les archives ! Et ce n'était pas forcément l'ensemble de la CIA. Et elle n'était pas nécessairement la seule partie impliquée. Et puis il ne faut pas oublier que Kennedy ne l'avait pas volé ! Puisque comme le révélait cet agent de la CIA à l'époque "Il aim(ait) les femmes... beaucoup" -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Ca reste une question à mon avis. Le nouveau parlement élu en novembre prendra ses fonctions le 20 janvier, avec une courte majorité républicaine. Or, si les Républicains ne remettent pas en question le principe du soutien à l'Ukraine, une partie d'entre eux critiquent son montant qu'il trouvent trop élevé au regard de l'intérêt que représente le succès de l'Ukraine pour les Etats-Unis. Donc la question de l'intensité du soutien américain dans l'année 2023 est bien posée... Ce qui est d'ailleurs une raison de faire approuver 45 milliards pour l'Ukraine par l'ancien parlement Au sujet de ce voyage, voici un extrait de la conférence de presse conjointe Biden-Zelenski que je trouve intéressant QUESTION (Olga Koshelenko, chaîne de télévision 1+1) Lorsque l'invasion à grande échelle a commencé, les responsables américains ont déclaré que l'Ukraine ne pouvait pas recevoir de Patriots car, comme vous l'avez dit, cela pourrait constituer une escalade inutile. Et maintenant, c'est le cas. En ce moment même, aujourd'hui, c'est en train de se produire. Et maintenant l'Ukraine a désespérément besoin de plus de capacités, y compris des missiles à longue portée - ATACMS. Peut-être ai-je l'air naïve, mais pouvons-nous faire court et donner à l'Ukraine toutes les capacités dont elle a besoin et libérer tous les territoires plutôt tôt que tard ? Je vous remercie. PRESIDENT BIDEN : Eh bien, sa réponse est oui. (Il désigne le Président Zelenskyy) (Rires.) PRESIDENT ZELENSKYY : (Rires.) Je suis d'accord. (Rires.) PRESIDENT BIDEN : Laissez-moi être franc avec vous. Ecoutez, le fait est qu'il est important de se rappeler qu'avant l'invasion de la Russie, nous avions consacré une énorme quantité d'aide à la sécurité à l'Ukraine. (...) Maintenant, vous dites, "Pourquoi ne donnons-nous pas simplement à l'Ukraine tout ce qu'il y a à donner ?" Eh bien, pour deux raisons. D'abord, il y a toute une Alliance qui est essentielle pour rester avec l'Ukraine. Et l'idée de donner à l'Ukraine un matériel fondamentalement différent de ce qui existe déjà là-bas risquerait de faire éclater l'OTAN, l'Union européenne et le reste du monde. Nous allons donner à l'Ukraine ce dont elle a besoin pour se défendre, pour réussir et pour réussir sur le champ de bataille. Par ailleurs, vous vous souvenez peut-être que l'une des raisons pour lesquelles j'ai passé - je ne vous dirai pas le montant, mais j'ai passé plusieurs centaines d'heures en tête-à-tête avec nos alliés européens et les chefs d'État de ces pays, à expliquer pourquoi il était dans leur intérêt, à une écrasante majorité, de continuer à soutenir l'Ukraine. Ils le comprennent parfaitement, mais ils ne cherchent pas à entrer en guerre avec la Russie. Ils ne veulent pas d'une troisième guerre mondiale. Et je pense que tout cela peut être évité en s'assurant que l'Ukraine est capable de réussir sur le champ de bataille. Je crois y lire deux messages, dans des sens très différents : - Les Etats-Unis respectent des limites étroites dans le type de matériel qu'ils fournissent à l'Ukraine afin de ne pas "faire éclater" l'OTAN ni l'UE. Ce qui suggère fortement qu'il existe de fortes divergences parmi les alliés européens, sous les proclamations généralement consensuelles. Emmanuel Macron fait entendre une petite musique un peu divergente - bref, il l'ouvre, au moins un peu - mais ces (légères) dissensions apparentes ne sont peut-être que la partie émergée d'un beaucoup plus grand iceberg. Et Biden dit en somme qu'il en tient compte, qu'il donne la priorité à l'unité de l'Alliance atlantique par rapport à la défense de l'Ukraine - La dernière phrase de Biden est pour le moins ambiguë... Prise littéralement, elle peut être comprise comme : si l'Ukraine échoue sur le champ de bataille, il y aura une guerre contre la Russie ! J'ai du mal à imaginer que c'est ce que Biden voulait dire, il pourrait s'agir d'une de ses fameuses "gaffes" et imprécisions, mais enfin c'est quand même ce qu'il a dit. Faut-il le rapprocher de la sortie de Macron contre ceux qui refusent de parler de garanties de sécurité pour la Russie lorsqu'elle recherchera la paix ? « Que quiconque me reproche de me projeter sur un tel sujet m’explique ce qu’il propose », a ajouté le président français. « Ce que les gens qui refusent de préparer cela et d’y travailler proposent, c’est la guerre intégrale. Elle impliquera tout le continent », a-t-il mis en garde, ajoutant qu’il était évidemment contre. Je trouve les craintes de "guerre intégrale" impliquant "tout le continent" fortement exagérées puisqu'il serait absolument contre les intérêts de la Russie d'étendre la guerre au-delà de l'Ukraine tandis que les Etats-Unis ont refusé et continuent de refuser de s'impliquer directement dans le conflit - si aucun des côtés ne décide d'étendre la guerre, alors elle ne sera pas étendue, la conclusion me paraît sans appel. Ai-je tort ? Y a t il quelque chose que je ne vois pas ? Comment comprendre ces remarques de Biden et de Macron ? -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Spéculation infondée ? En fait, une simple coïncidence ? Peut-être. Mais la remarque est intéressante tout de même, il me semble Donc tout ça à peu près en même temps : - Poutine va en Biélorussie pour voir Lukashenko en personne. - Medvedev se rend en Chine pour voir Xi en personne. - Zelenskyy va à Washington pour voir Biden en personne. Tout cela pour la première fois depuis le début de la guerre. Ouais, il se passe quelque chose. Si quelque chose se prépare, ça pourrait être pour le meilleur comme pour le pire. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Absolument. Quand j'observe par exemple ces trois pays : Inde, Pologne et France, je vois des politiques bien différentes vis-à-vis de l'Ukraine, mais toutes sensées et éminemment défendables - L'Inde non seulement s'abstient de toute mesure antirusse, elle se rapproche de Moscou à qui elle communique une liste de produits et domaines où elle pourrait jouer le rôle de source alternative ==>C'est bien compréhensible. Les Indiens ne sont pas obligés d'approuver ce que la Russie fait en Ukraine, mais enfin c'est à 5 000 km de chez eux, ça ne les concerne guère, et il y a des opportunités commerciales qu'il serait dommage de laisser passer - non, plus précisément ce serait une faute. Les Indiens ne dont là rien d'extraordinaire ni de condamnable. Les pays européens n'ont pas négligé le commerce avec l'Arabie saoudite du fait de sa guerre au Yémen. Nous n'avons pas mis fin à nos relations commerciales avec les Etats-Unis quand ils ont fait la guerre d'Irak - La Pologne non seulement a donné à l'Ukraine beaucoup de matériels (soviétiques anciens et obusiers modernes de production locale), elle soutient à fond l'Ukraine politiquement : si cela dépendait de Varsovie, Kiev rentrerait déjà dans l'UE et l'OTAN ce serait très bientôt. ==>C'est bien compréhensible. Les Polonais voient un empire agressif s'en prendre à l'un de leurs voisins - l'Ukraine c'est à 0 km ! - et ils se demandent s'ils pourraient être le prochain sur la liste, d'ici quelques petites années qui sait ! Pour la même raison, ils s'engagent dans un effort d'armement terrestre à grande échelle. La protection du pays contre un potentiel danger mortel est LE sujet de politique internationale - comment pourrait-il ne pas l'être ! - La France soutient l'Ukraine par des dons de matériels, une aide économique par le biais de l'UE et surtout la participation à la guerre économie de l'UE contre Moscou, supportant les conséquences négatives notamment pour son industrie avec l'objectif de détériorer l'économie russe pour qu'elle cesse cette guerre. Mais Paris reste prudent sur tout emballement "Kiev in NATO now!", n'hésite pas à exprimer ouvertement ses doutes sur la sagesse d'objectifs territoriaux totaux (Crimée), affirme fortement son refus de toute extension du conflit et ne perd pas de vue l'objectif final d'un accord de paix intégrant y compris l'agresseur. ==>C'est bien compréhensible. On revoit une guerre de conquête en Europe, guerre à grande échelle risquant de déstabiliser le continent, et la France pays principalement européen ne peut y être indifférente. Mais l'Ukraine, c'est à 2 000 km. Et le pays, contrairement à la Pologne, est protégé par des armes nucléaires. Et la France ne s'intéresse pas seulement aux pays européens mais à tous les pays du Monde - dont > 80% par la population ne participent aucunement à la guerre économique contre la Russie non merci - la France ne peut pas penser la politique mondiale de manière univoque comme si la guerre en Ukraine était le seul sujet. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Alexis a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est un détail certes, mais une petite rectification pourrait être utile La Russie n'a pas déployé ni ne compte déployer à l'avenir aucun missile du nom de "Satan" ni "Satan 2". Ce pour une raison bien simple. Il n'existe aucun missile de ce nom Ce dont Poutine a parlé, c'est du déploiement de missiles intercontinentaux SSBS lourds Sarmat. Ceux-là existent bel et bien, Poutine les avait déjà vanté lors d'une adresse au peuple en 2018 comme de missiles "imparables" car pouvant faire le tour de la Terre pour frapper les Etats-Unis après avoir survolé le pôle Sud, et un chanteur a même publié récemment une vidéo à leur gloire. Quant à l'idée d'affubler les missiles Sarmat d'un nom ridicule du genre "Satan", elle vient exclusivement de quelque haut gradé ou quelque commission de l'OTAN. Cette idée est à peu près aussi stupide que de taxer le bloc occidental de "satanisme" comme le fait la propagande russe, et elle mérite le même sort ! -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Et dans la foulée, vote du Congrès américain sur une déclaration de guerre à la Fédération de Russie. Je plaisante bien sûr, cela n'arrivera pas. Reste un exercice de communication de guerre, sans doute utile pour Kiev afin d'alimenter l'intérêt pour sa cause. Mais qui ne va pas révolutionner le cours des choses -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Bien sûr, les Ukrainiens iront jusqu'au bout. Leur situation est celle de la France en 1914. Le souci, c'est que leur situation ne ressemble pas vraiment à celle du Vietnam contre les Américains, des Afghans contre les Soviétiques ou des Algériens contre nous. Le régime d'en face n'estime pas avoir l'option d'arrêter les frais en acceptant la perte de ce qui n'est au fond qu'un enjeu limité, comme Nixon, De Gaulle ou Gorbatchev l'ont fait à raison. Poutine semble croire que l'enjeu pour son régime est existentiel - il se pourrait d'ailleurs fort bien qu'il ait raison. Et les Russes le suivent. Si à la fois Ukraine et Russie vont jusqu'au bout, jusqu'à ce qu'un côté soit écrasé, le risque est quand même élevé que ce soit Kiev qui finisse par l'être. A terme j'entends, il pourrait s'agir de moins d'un an, mais aussi peut être de beaucoup plus. Le principal scénario alternatif est que la population russe finisse par se révolter contre le régime, du fait des pertes, si bien que l'armée russe s'écroulerait à la 1917. Ce n'est pas impossible, et je comprends que les Ukrainiens tentent cette possibilité - que peuvent ils faire d'autre ? - mais j'ai du mal à penser que ce soit le plus probable. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Je comprends. Ca me rappelle aussi une analyse que Anna Colin Lebedev avait retweeté qui essayait d'estimer le nombre réel des mobilisés en regardant le nombre des mariages en urgence ! L'estimation - évidemment imprécise - était plutôt 500 000 que 300 000. Ca reste très partiel à l'échelle de la Russie, mais avec "partiel" pas précisément défini. Et un fort risque d'augmentation en fonction des événements. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est vrai... quand on a décrété la mobilisation générale. Mais comme la Russie ne l'a pas fait A côté des mobilisés, je suppose que l'armée russe continue à avoir besoin d'un flux régulier de volontaires, comme dans les années précédentes... mais en plus grande quantité, vu les pertes, bien sûr. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Ben si justement c'était la peine de faire des étincelles dans le débat ! La baisse durable de la conso de 9%, elle vient d'où au juste ? C'est le genre de situation où parler d'un risque - à ce moment bien réel - aide à l'éviter Lukashenko est un dictateur non seulement modèle relativement bénin, il est aussi très habile en effet. Quant à l'éventualité que tu cites, cela fait une raison de plus pour les dirigeants russes de refuser tout autre issue à cette guerre que victorieuse. La Russie, du fait de Poutine, joue dans cette partie le plus clair de sa position géopolitique. Je ne sais pas que Poutine ait repris explicitement le "Quoi qu'il en coûte" macronien, mais c'est clairement sa position. Il ne cherche d'issue que vers l'avant -
[OTAN/NATO]
Alexis a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
Oui. Et il est vrai qu'une partie d'entre eux se trouvaient à l'ouest. Important de ne pas l'oublier. Je pense utile de rappeler aussi qu'une partie se trouvaient en Russie -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Alexis a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Une crève surprise... Bravo ! -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Oui, je sais ce qui te tarabuste. Mais je ne peux que te répondre, avec le Général "Vaste programme" -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Alexis a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Que fait Zelensky, président ukrainien de confession juive ? Ben, il raconte des blagues juives, pardi ! "Deux Juifs parlent à Odessa. L'un dit : La Russie est en guerre contre l’OTAN. L'autre : Et comment ça se passe ? - Les Russes ont perdu 70.000 hommes, ils n'ont plus de missiles, leurs équipements militaires sont détruits. - Et l'OTAN ? - Ben, l'OTAN n'est pas encore arrivé" -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Un degré de plus dans la folie collective furieuse Une chanson en l'honneur du nouveau missile intercontinental Sarmat -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Alexis a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Je ne sais plus si avait parlé de cette anecdote, mais il y a quelques temps Medvedev visitait une usine de chars et... Il en a profité pour faire une imitation d'un personnage d'un film français connu -
Allemagne
Alexis a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
(déplacé du fil guerre en Ukraine - géopolitique, écrit par @Manuel77) J'ai repensé à cette conversation en voyant cette information Changement de nom de salle au ministère des Affaires étrangères - La famille Bismarck attaque Annalena Baerbock Au lieu de la salle de Bismarck, une pièce du ministère des Affaires étrangères s'appelle désormais la "salle de l'unité allemande". La famille de l'ancien chancelier du Reich se montre indignée - et reproche à la ministre des Affaires étrangères son "manque de conscience historique". (...) "La ministre des Affaires étrangères moralisatrice a manqué à ses devoirs", a déclaré la famille dans un communiqué. "Non seulement elle traite négativement de nombreux autres pays, mais elle déforme également l'histoire de son propre pays." (...) "Les réalisations du premier chancelier allemand, Otto von Bismarck, dont l'Allemagne bénéficie encore aujourd'hui, sont ainsi ignorées." De ce que j'ai compris, la gauche soutient, la droite attaque la décision de Baerbock d'annuler Bismarck d'éliminer le nom Bismarck des références publiques allemandes - enfin au moins d'une certaine salle. Suis-je surpris ? Hmmm pas forcément -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
Alexis a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
L'opération militaire spéciale pourrait s'étendre en fin de semaine jusqu'au Qatar ! -
Cela chauffe en Centrafrique.
Alexis a répondu à un(e) sujet de Fenrir dans Politique etrangère / Relations internationales
Ca voudrait dire que les rumeurs seraient vraies ? Il existerait bien un groupe paramilitaire français défendant manu militari les intérêts de Paris, tout en s'en mettant plein les fouilles au passage, et dirigé par Jo le Trembleur, ancien détenu à Fleury-Mérogis et cuisinier du président Macron ? De ce que j'ai compris, le ministère de la Défense a pourtant clarifié : Debussy n'existe pas ! Edit : le nom pourra surprendre, étant donné que Debussy n'était pas précisément le genre de compositeur qui produisait du Boum-Boum-Tsoin-Tsoin genre chevauchée des Walkyries. En fait, selon la petite histoire, c'est le premier tireur d'élite du groupe qui serait fana d'écouter le Clair de Lune en préparant ses coups -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques
Alexis a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Pour alimenter le débat - et parce que c'est intéressant en soi naturellement ! - voici quelques extraits de l'entretien que Valery Zaluzhny le général commandant l'armée ukrainienne a accordé à The Economist. Je n'ai pas accès au texte lui-même, mais on trouve des citations un peu partout Chez Tass, on met évidemment en valeur ce qui est intéressant pour la Russie La mobilisation partielle en Russie a permis à la Russie de ralentir la contre-offensive ukrainienne près de Kremennaya et Svatovo, en LPR, a déclaré le commandant suprême ukrainien, le général Valery Zaluzhny, dans une interview pour The Economist. "La mobilisation russe a fonctionné", a déclaré Zaluzhny. Le commandant des forces terrestres ukrainiennes, Alexandre Syrsky, est d'accord. "Ils ont un très grand potentiel en termes d'effectifs", a déclaré Syrsky, ajoutant que les forces mobilisées ont ralenti la contre-offensive ukrainienne à Kremennaya et Svatovo. Selon Syrsky, la mobilisation a permis à la Russie de faire tourner ses forces plus souvent, allouant plus de temps pour la récréation et la récupération. "À cet égard, ils ont un avantage". Parlant de la nouvelle vague de mobilisation en Ukraine, Syrsky a déclaré qu'actuellement, plus de 700 000 Ukrainiens se battent d'une manière ou d'une autre, et 200 000 se préparent à prendre part aux combats. (...) Zaluzhny et Syrsky estiment que l'issue des hostilités dépendra de l'évolution de la situation dans les mois à venir. Chez Yahoo, on a retenu encore d'autres précisions Valery Zaluzhny, chef des forces armées ukrainiennes, avertit que le Kremlin n'a pas capitulé. Pire, selon lui, à l'image des premiers mois de l'invasion en février et mars dernier, les Russes "feront une autre tentative pour prendre Kiev." "Nous estimons qu'ils ont une réserve de près de 1,5 million de personnes. Les Russes préparent environ 200.000 nouveaux soldats" (...) "Les mobilisés font un minimum de trois mois pour se préparer. Cela signifie qu'ils essaient de lancer la prochaine vague de l'offensive probablement en février, comme l'année dernière. C'est leur plan" (...) "Ils ont gaspillé leur potentiel de guerre sans obtenir pratiquement aucun résultat, alors maintenant, ils doivent repenser comment sortir de cette situation", insiste-t-il. (...) "Ils cherchent un moyen d'éviter une confrontation directe entre les troupes, alors ils bombardent. Ils en ont besoin dans un seul but: ils ont besoin de temps pour rassembler de nouvelles ressources et créer un nouveau potentiel", ajoute le militaire. (...) "Un tsar leur dit d'aller à la guerre, et ils partent en guerre. J'ai étudié l'histoire des deux guerres tchétchènes, c'était la même chose", martèle-t-il. "Ils ne sont peut-être pas très bien équipés, mais ils posent quand même un problème pour nous", conclut-il. Le Kyiv Post a aussi noté Une "tâche stratégique très importante consiste à créer des réserves et à se préparer à la guerre qui peut avoir lieu en février, au mieux en mars, et au pire à la fin du mois de janvier". (...) "Les Russes préparent quelque 200 000 soldats supplémentaires. Je n'ai aucun doute sur le fait qu'ils vont tenter une nouvelle fois d'attaquer Kiev," (...) "Je ne suis pas un expert en énergie mais il me semble que nous sommes à la limite", a-t-il déclaré, affirmant que la destruction du réseau électrique était "possible" par des frappes de missiles et de drones. (...) "Je sais que je peux battre cet ennemi", a poursuivi le général. "Mais j'ai besoin de ressources. "J'ai besoin de 300 chars, 600-700 ifvs (véhicules de combat d'infanterie) 500 Howitzers." Bien sûr, le commandant de l'armée ukrainienne a aussi un rôle politique, et on n'est pas obligé de tout prendre au pied de la lettre. Une partie de cette description pourrait être un appel à de nouvelles donations occidentales. Mais il n'est pas non plus de l'intérêt bien compris de Zaluzhny à moyen terme de dire n'importe quoi, sous peine de perdre sa crédibilité. L'ensemble doit être pris avec des précautions, mais est quand même significatif.