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Le problème de ce sujet, c'est qu'une nouvelle version se limite souvent en une "simple" nouvelle configuration. Et si on doit garder la "même" cellule, il s'agira juste de Rafale B/C/M avec des équipements différents. Le Rafale E pour entrainement (ou T pour trainer ou transport ou Rafale B standard E ou T 3+ quand il est associé au F3+) Un Rafale biplace, sans radar, sans SPECTRA (ou juste une version très légère) mais avec des outils de simulation permettant de simuler les capacités du radar et de SPECTRA. En fait il s'agit presque d'un Rafale B avec un "faux" RBE2 et un "faux" SPECTRA. Ce Rafale Biplace aurait un coût (d'achat et d'exploitation) presque 20% plus faible que celui du vrai Rafale (en tout cas, c'est ce qui était prévu pour le Mirage 2000T) Ce Rafale biplace servirait principalement à la formation. Vu le nombre d'utilisateurs du Rafale (à 35 Rafale par ans, dans 20 ans il y aura presque 1000 Rafale) on aurait intérêt à disposer d'un avion d'entraînement pour équiper l'ETR (l'Escadron de Transition Rafale) qui va avoir de plus en plus de travail (surtout si on vend les Rafale et qu'on propose de former les pilotes) En plus des missions d'entraînement, le Rafale T pourrait aussi servir aux missions de soutient à l'exportation. Avec des Rafale simulant toutes les versions possibles du Rafale et facile à déployer et à prêter au clients potentiels, on pourrait encore augmenter le nombre de clients. En cas de besoin (surtout pour l'export), il s'agit d'un vrai Rafale. Donc il peut transporter des bombes ou des missiles (dans un gros raid, il peut servir d'ailier, ses armement étant guidé par les autres avions) vu qu'il est équipé d'un canon, il peut aussi servir pour la PO. Et ça reste la même cellule que les autres Rafale, donc il peut assurer les mission de ravitailleurs. Cette version pourrait quasiment servir d'avion civil (sans SPECTRA et sans canon) ou de transport. On obtient un supersonique avec une autonomie correcte (surtout avec CFT) et s'il faut emporter des bagages, il faudra modifier un bidon ou créer des pod de transport à installer à la place des bombes. Ce serait à étudier, mais il serait peut-être possible de modifier un bidon ventral pour emporter "quelques" (3/4 ? passagers) Pour le Rafale S (spatial) lanceur de satellite, je ne suis pas trop pour. Je préfèrerai qu'on utilise un Rafale M (ou C/B) qui sera déployé à 3/4 exemplaires en Guyane pour répondre instantanément aux besoins spatiaux mais pour pouvoir aussi assurer la PO et protéger le site de Kourou. Pour un version light à l'export... j'ai l'impression qu'il s'agit "juste" d'un Rafale B/C/M à un standard export avec un SPECTRA réduit, éventuellement pas d'OSF et un radar d'ancienne génération. Pour moi ça ne fait pas pour autant une "vrai" nouvelle version. Le passage du radar PESA au AESA n'implique pas de changement de version, l'installation d'un RDY ne devrait pas non plus impliquer un changement de version. La version de l'OSF, ou la base de donnée (et les options) de SPECTRA ne change pas non plus la version. Pour le Rafale/A10... je n'y crois pas trop. L'absence de post-combustion risque de ne servir à rien (actuellement on n'est pas obligé de voler avec la PC) mais de coûter très cher en capacité (distance de décollage, masse max au décollage, survivabilité en cas de panne d'un des 2 moteurs...) Ce qui pourrait être "intéressant", c'est un Rafale V (Vertical). Ce Rafale doté de capacité VTOL servirait surtout à concurrencer le F35B. Donc à partir d'un Rafale M (ou d'un B/C ?), il faudrait installer 2 "bidons de sustentation" sous les ailes au niveau des points humide externe. Je m'inspire des F104 équipés de "réservoirs externe" équipé de 6 ou 7 réacteurs de sustentation RB181. Il me paraitrait plus "propre" de faire une nouvelle version avec des petites soufflantes installés dans les ailes. Le Rafale STOVL avec 2 pod de sustentation d'une tonne (c'est la masse des bidons supersonique) devrait avoir une masse au vol vertical de plus de 16 tonnes (masse à l'appontage du M) Le Rafale D (drone) pourrait dans un premier temps être juste un Rafale B/C/M équipé d'un nouveau "pilote automatique" mais très rapidement il devrait être possible d'alléger l'avant du Rafale (pas de siège éjectables, de système de pressurisation, de tableau de bord...) et il pourra être un peu plus aérodynamique. A terme, il pourra y avoir 2 versions, le D et le DM.
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Pour la boule optronique frontale servant pour l'air-sol, non c'est une bonne idée. Mais c'est aussi possible de la mettre dans un Pod positionné sous le Rafale pour beaucoup moins cher. Concernant la soute, elle ne se justifie que s'il s'agit d'un avion furtif. On aboutit donc à un F117 équipé de mica IR d'auto-défense et d'un canon... C'est assez loin du A10.
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3 membres d'équipages... 3 fois plus de monde à récupérer en cas d'éjection. Pas de radar... ça risque d'être dur pour retrouver le ravitailleur. Bon maintenant avec le GPS et une L16 retransmettant les positions, ce n'est peut-être pas bien grave. 2 M88... on va obtenir un avion quasiment du prix du Rafale (sur lequel on aurait oublié de monter le RBE2) Pas de post-combustion... vitesse subsonique donc temps de transit important et incapable de faire une mission air-air (même face à un avion de ligne) On a déjà le Rafale B (avec CFT ?) qui pourrait réunir la quasitotalité de ton cahier des charges. Il faut juste proposer une version éco sans radar, sans SPECTRA, sans OSF mais avec un POD de reconnaissance.
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Utilisation du dirigeable pour du transport stratégique
ARPA a répondu à un(e) sujet de ARPA dans Matériels: à l'épreuve du feu
Abattre un dirigeable aurait été un acte de guerre. Face à des mig, le DC3 (qui vole en ligne droite dans un couloir parfaitement connu) doit être aussi vulnérable qu'un dirigeable. Le pont aérien a été possible uniquement parce qu'il était autorisé par l'URSS. Bon on peut aussi dire que si l'URSS interdit les trains et les camions, il n'y a pas de raisons que les dirigeables soient autorisés (les avions l'ont été parce qu'ils n'auraient pas du être capable d'assurer ce pont aérien) Concernant l'approvisionnement en Hélium, il sera peut-être moins contraignant de "juste" compléter le gros dirigeable que gonfler un "petit" ballon. Par contre si tu as un lien détaillant les ravitaillements en hélium, je suis intéressé.- 54 réponses
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Avec l'annonce de l'augmentation de la cadence de production du Rafale, on a des nouvelles sur le prochain client du Rafale ? Je présume que si Dassault a décidé maintenant d'augmenter la cadence, c'est qu'il doit y avoir du nouveau.
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Concernant le "manque à gagner", je crois bien que c'est la bonne expression. Pour le contrat fait avec la Russie, le but était clairement de faire des bénéfices et c'est la seule raison qui devait justifier de vendre à un "ennemi" potentiel. Pour le contrat avec l'Egypte, il s'agit d'une livraison à un "allié" (il l'est devenu suite aux achat de FREMM et de Rafale) et le but est juste de ne pas perdre d'argent. Que DCNs ne puisse pas faire de bénéfice suite à cette vente ne me choquerait pas.
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En configuration opérationnelle, je ne suis pas sur. Mais le Rafale a 5 points humides donc ça reste envisageable. Et encore, on ne parle pas des réservoirs conforme... A ma connaissance, il y a juste la configuration "nounou" avec la nacelle de ravitaillement en point centrale et sous chaque ailes un gros et un petit bidon. D'ailleurs vu la masse de la nacelle de ravitaillement (6 ou 800 kg) je me demande pourquoi ils n'ont pas envisagé de l'installer en point externe (et donc d'avoir 3 gros bidons et 1 petit) L'appontage en configuration dissymétrique doit être trop contraignant pour seulement 800L.
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+60 des EAU +45 de la France +36 à 200 pour l'Inde +... En 3 ans, on a le temps de recevoir un paquet de commandes (voir le topic sur le 12eme client export). En soit, il suffit qu'on reçoive plus de 33 commandes par ans pour justifier un passage à 3 avions par mois. On a déjà 3 ans de production d'assurés, les EAU rajouteraient plus de 2 ans, la France pourra rajouter presque 2 ans de production ... Le passage à 33 avions par ans est un paris sur l'avenir, mais s'il n'y a pas d'augmentation de cadence et que le prochain client va devoir attendre plus de X ans pour être livré, on risque de perdre le contrat.
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+1 ils viennent d'en parler au JT de la 2. Par contre j’attends toujours les détails...
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Utilisation du dirigeable pour du transport stratégique
ARPA a répondu à un(e) sujet de ARPA dans Matériels: à l'épreuve du feu
Les tréfonds du forum sont assez difficile à fouiller. Sinon le problèmes des projets, c'est qu'on se "contente" de montrer du matériel, mais pas ce qu'on pourrait ou aurait pu faire avec. S'il faut investir plusieurs milliards pour faire ce qu'on n'a pas besoin de faire et qu'on peut se permettre de faire assez facilement avec d'autres moyens... l'intérêt devient très limité. S'il s'agit juste de faire du transport aérien, on a d'autres vecteurs et il faut donc un exemple pour pouvoir comparer. A l'époque du pont aérien de Berlin, une vingtaine de dirigeables auraient pu suffire pour desservir Berlin et pour un coût bien plus réduit ce qui permettait de maintenir ce pont plus longtemps tout en facilitant l'activité économique de Berlin. L’embargo soviétique serait devenu ridicule vu que la voie aérienne n'aurait pas été tellement plus cher que la voie ferré et routière. Pour ce type de mission très spécifique, le dirigeable offre des capacités que n'ont pas les autres vecteurs. Le dirigeable pourrait nous être très utile en Afrique (pour le soutien logistique de la base au Tchad, mais aussi pour des convoi logistique intra-théatre au Sahel à relativement basse altitude. Mais en Afghanistan vu l'altitude de la région, les performances des dirigeables auraient été assez réduite et la hauteur du dirigeable par rapport au niveau du sol aurait été assez réduite ce qui aurait augmenté sa vulnérabilité.- 54 réponses
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Concernant l'ADV, le fuselage plus long n'était pas une solution plus "propre" pour augmenter la quantité de carburant que de rajouter des bidon largable ou des réservoirs conforme ? Le Tornado avait une grosse charge utile associée à sa mission air-sol, mais pour une mission air-air son armement se limite à quelques missiles donc on n'a pas besoin de plus d'une ou deux tonnes d'armement (le reste étant utilisé pour le carburant) Un fuselage allongé permet d'augmenter la quantité de carburant sans augmenter la trainée (contrairement aux bidons, conformes ou non) et si la conséquence c'est juste de réduire la quantité d'armement emporté, ce n'est pas bien grave. Je dirais qu'on peut se demander si ça valait le coût de faire un Typhoon juste pour compenser ses capacité de dogfighter. Surtout que les pays du Typhoon ont aussi participé aux développements des Alpha Jet A et AMX (et même presque du Harrier de seconde génération ou du Jaguar) donc il aurait probablement été possible de financer un avion plus léger avec "peu" d'électronique mais plus performant en dogfight et moins cher pour les missions basique de le Tornado (une sorte de F20 avec un RB199).
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Le Tornado a actuellement la réputation d'être un bon "bombardier" mais un plutôt "mauvais" chasseur. Ses capacités air-sol sont plus impressionnantes que ses capacité air-air. Mais est-ce que ça a toujours été le cas ? Et est-ce que c'est du au cahier des charges ? A sa mise en service en 82, les chasseur "type" de l'OTAN étaient des F4 phantom (dernier exemplaire produit en 81) le F14 (toujours en production) éventuellement le F15 (mis en service en 76) et le F16 qui commençait tout juste sa carrière. (les F18, Mirage 2000 n'était pas encore en service) Et les principaux adversaires devaient être des Mig21/23 et 25. Les Su27 et Mig29 n'étant pas encore connu. Vu les avions en service en 82, je ne suis pas sur qu'on puisse dire que le Tornado ait vraiment des lacunes en air-air. Ce serait juste qu'il a mal vieilli et qu'il avait presque une génération de retard (je le compare aux F4 quand même donc c'est possible qu'il réponde à un cahier des charges relativement exigeant (pour 1982) en air-air. Sinon concernant le cahier des charges du Tornado, le but des armées européennes n'étaient pas tant de réussir à détruire les troupes russes qu'à les impressionner et éviter toute guerre. Dans les années 70 lors du développement du Tornado, tous les pays participant cherchait un vecteur nucléaire pour remplacer leur bombardiers nucléaire (F104, F4 ? et Buccaneer) qui étaient assez loin des références de l'époque (F111, mirage 4 ?, Su24...) C'est donc possible que le cahier des charges favorise la capacité nucléaire aux capacité air-air. On connait le cahier des charges du Tornado ?
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Avec le Rafale, les noms des configurations sont toujours les mêmes ? Ce sera un peu plus complexe, déjà il y aura jusqu'à 5 bidons. En plus s'il n'y a que 2 supersoniques, ils peuvent être à plusieurs endroits.
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Vu le type d'exercice, il peut être intéressant que les non initiés ne comprennent pas de quoi il s'agit. Des nom comme Fasex1 et Fasex2 serait peut-être trop facile à identifier. Bon, les Banco et Poker n'ont pas du faire illusion très longtemps, mais si ça a permis de maintenir le secret quelques années, c'est déjà ça.
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FAS : La permanence de la dissuasion nucléaire
ARPA a répondu à un(e) sujet de zx dans Dissuasion nucléaire
En fait les avions sont déjà dispersé (il y a en permanences quelques biplaces à Mont de Marsan) il faudra juste disperser le personnel. Sinon la crise n'est pas si imprévisible que ça. En pratique la crise, c'est qu'un SNLE vient d'avoir un accident et la France est censé le savoir avant ses adversaires potentiels donc on devrait avoir les quelques heures nécessaires à cette dispersion. En pratique actuellement les FAS sont à la limite d'être inutiles, à mon avis on ne leur demande plus d'être efficace, mais juste d'exister et donc d'offrir une capacité que n'a pas la FOST (précision, usage possible sans dévoiler la position du SNLE, visibilité pour une gesticulation politique) et potentiellement de pouvoir remonter rapidement en puissance en cas de crises. Vu la "faible" utilité actuelle des FAS, on doit essayer d'avoir un système le plus économique possible. Je ne sais pas combien ça économise de baser tous les escadrons nucléaires au même endroit, mais si c'est significatif ça me parait plus intéressant que de devoir faire des escadrons plus petits. Avec 2 escadrons nucléaires de 20 Rafales (avec les équipages et mécaniciens associés) on devrait pouvoir en "quelques" semaines (ou mois) passer à 10 escadrons de 4 avions déployés sur 10 bases distinctes. -
Utilisation du dirigeable pour du transport stratégique
ARPA a posté un sujet dans Matériels: à l'épreuve du feu
J'ouvre ce fil pour parler des missions de transports qui pourrait ou aurait pu être effectué par des dirigeables géant. Les gros dirigeables ont été retirés du service un peu avant la seconde guerre mondiale et ils n'ont vraiment servi que pendant la première guerre mondiale et par un seul camps. On a donc assez peu de RETEX et il devient difficile d'envisager des missions réelle vu qu'on s'en ait jamais servi. Je voudrais savoir ce qu'un dirigeable aurait pu apporter au cours des différents conflits ou opérations militaires passé. Concernant les caractéristiques du dirigeables de transport, on peut utiliser les retex de la première guerre mondiale. Les dirigeables on pu effectuer des missions de bombardement au dessus de l'Angleterre sans avoir "trop" de pertes (par rapport à l'époque) Pour limiter ces pertes, ils se sont contentés de faire des raids de nuit et de voler de plus en plus haut (au point d'avoir besoin d'équiper les zeppelin de masque à oxygène) Bon il n'y avait pas vraiment d'opposition aérienne en 1915 ou 1916, mais ça veut dire qu'il doit être possible de s'en servir pour des missions de transport face à des entités sans aviation. En plus à cette époque les dirigeables allemands utilisaient de l'hydrogène facilement inflammable. L'utilisation de l'hélium était possible pour un pays allié des USA ou après la seconde guerre mondiale quand on aura découvert d'autres sources d'approvisionnement en hélium) En mission de transport "stratégique" le premier exemple (et l'unique réel à ma connaissance) correspond à une mission de ravitaillement des troupes de la colonie allemande de Tanzanie qui étaient presque en déroute en novembre 1917. Le dirigeable L59 devait leur apporter 15 tonnes de matériel (armes, munitions, produit médicaux, nourriture) l'équipage (dont l'équipe médicale) qui devait renforcer la garnison et même le reste du dirigeable (donc le reste du carburant, 5 gros moteurs, presque 20 tonnes de métal, des km de toiles...) Cette mission qui aurait peut-être pu sauver la colonie allemande (les effectifs n'étaient pas très important) n'a pas pu être achevé vu que les services secrets anglais sont arrivés à faire croire à l'équipage que la garnison allemande était déjà perdu donc le dirigeable a fait demi tour (ce qui lui a permis de faire la mission la plus de l'histoire) Des gros dirigeables de transport auraient pu être utilisés en 1948 pendant le pont aérien de Berlin. Pour une si courte distance (2 à 400 km) les dirigeables auront une charge utile assez importante (pour le L59 de 1917, ça aurait pu faire 20 à 30 tonnes, pour un dirigeable de la taille du Hindenburg ce serait presque 90 tonnes) et on peut aussi espérer faire 4 aller-retour par jours. Avec un dirigeable "moyen", il doit être possible de compter sur presque 100 tonnes par jours, avec un "gros" (au moins de la taille du Hindenburg) ce serait plus de 300 tonnes par jours. Par rapport aux 8 000 tonnes quotidiennes (ou aux 2 millions de tonnes globales) du pont de Berlin, ce ne sera pas suffisant mais ça commencera à être significatif et c'est possible sans encombrer l'aéroport. En tout cas, ce sera plus utile que les 400 vols français de Ju52. En autre mission utile, j'envisage la préparation de la bataille de Dien Bien Phu. Le dirigeable permettrait d'augmenter significativement la quantité de matériel transportée et donc de disposer d'un nombre de blindés plus important (les 10 M24 ont nécessité au moins 80 rotations, je ne suis pas sur qu'on avait les moyens d'en déployer beaucoup plus) de moyens d'artillerie nettement plus important et peut-être même de béton pour construire des casemates pour protéger les troupes. Pour que ça change le court de la bataille, il aurait fallu une transporter une quantité vraiment plus importante mais ça me parait envisageable vu que la capacité de transport des dirigeables est bien plus importante que celle des Ju52 et C47 (qui n'allait pas beaucoup plus vite que les dirigeables) Si on rajoute que les dirigeables risquent d'être une cible, la bataille va peut-être commencé plus tôt avec un camps Viêt Minh un peu moins bien préparé qui dévoile sa position plus tôt pour pouvoir interrompre les vols de dirigeables (dès l'apparition d'une DCA Viêt Minh, il faudra suspendre les vols de dirigeables trop vulnérables) Est-ce que vous pensez à d'autres missions ?- 54 réponses
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+1 Avec le Rafale, on utilise un bombardier très performant en air-air, il ne serait pas absurde que certains des Rafale B/ASMP puissent servir en air-air pour faire une diversion si la patrouille est repérée. Pour l'instant ça ne doit pas être dans les habitudes, mais ça doit valoir le coût de s'entraîner.
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FAS : La permanence de la dissuasion nucléaire
ARPA a répondu à un(e) sujet de zx dans Dissuasion nucléaire
Je ne suis pas sur qu'on puisse vraiment dire que tous les oeufs sont dans le même panier. Les 2 escadrilles des FAS seront sur la même base, mais ce ne sera que la configuration "temps de paix". Et ça voudrait quand même dire que les forces nucléaires française sont réparties en au moins 3 endroits distincts entre la pleine mer (au moins un SNLE), Brest (avec probablement un SNLE à quai mais capable de tirer) et St Dizier. Et je suis encore pessimiste en considérant que les FANu ne sont pas opérationnelles. Les FAS ne sont plus prévus pour être les seuls garantes de notre dissuasion. Mais si par malheur, il faut renforcer les FAS, il restera toujours possible de placer des avions en alerte à Mont de Marsan ou ailleurs pour un coût presque nul (les ASMP y sont basés, une partie des mécano Rafale aussi, il suffira juste de déplacer des pilotes et des spécialiste nucléaires travaillant habituellement à St Dizier pour assurer l'alerte nucléaire) -
On peut aussi dire le contraire. Le typhoon n'a pas besoin de tricher en emportant des réservoirs externes pour avoir une autonomie suffisante pour sa mission. À ma connaissance, on n'a jamais reproché aux B1, B2 ou TU 160 de ne pas avoir de réservoirs externes...
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Je n'ai pas encore tout lu, mais je suis surpris, le F/A 50 coréen est oublié ? Je ne suis pas sur qu'il faille vraiment l'ignorer, ça reste un avion pseudo américain avec des performances presque correct pour un prix raisonnable. Il peut espérer remplacer une partie des F5. Et la version T50 est assez crédible. Bon je continue ma lecture.
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Pour la fusion de données, on peut prendre l'exemple des centres terrestre qui fusionnent des traces fournis par différents radar pour en faire des pistes. Suivant le niveau de précisions souhaité on peut accepter des latences de plus de 10 ms sans que ça ne se voit sur les calculs. Si on dépasse cette durée, il "suffit" d'utiliser un protocole qui permet de "dater" puis on peut tenir compte du décalage pour le calcul. Pour info à mach 1, une raté de 10 ms ça ne fait que 3 m. Même si on envisage une conversation entre deux avions supersonique en rapprochement, quelques ms de retard ne devraient pas être trop problématiques.
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Et si on cassait les légendes urbaine , mythe de l'histoire militaire .
ARPA a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Histoire militaire
Cette faible mobilisation peut aussi s'expliquer par une très faible population indigène. Dans l'absolue on parle d'une population équivalente à celle de la métropole, mais la densité de population était ridicule. Il n'y avait déjà pas assez de travailleurs pour exploiter les ressources de l'Afrique, une mobilisation plus importante aurait probablement réduit les productions locales. Actuellement nos anciennes colonies sont presque 10 fois plus peuplés et on parle encore d'un continent sous-peuplé. Il faudrait comparer avec les recrutement "d'indigènes" anglais. Je crois que la plupart des troupes venait de régions "suffisamment" peuplés (Inde, Népal ...) -
La révolution industrielle a permis de créer de nouveaux objets et donc de créer de nouveau besoins qui ont pu être couvert par la production plus importante. La révolution numérique modifie notre façon de consommer, mais pas la quantité qu'on consomme (à part le nombre de smartphone) ce qui fait que la consommation (donc la croissance) ne devrait pas significativement augmenter suite à la révolution numérique. Si on rajoute que la révolution numérique permet quand même des gains en productivité (les robots et les outils informatiques peuvent remplacer presque toutes les taches répétitives) on va avoir des besoins en travailleurs de plus en plus réduit (donc croissance du chômage). A part l'industrie de service, toutes les autres industries vont voir une réduction de leur effectifs. Augmenter le taux de chômage (moins d'emploi et pas de croissance) posera des problèmes de société. Réduire l'age de départ à la retraite posera des problèmes pour certains métier ou le temps d'études est particulièrement long (si le médecin met plus de 30 ans pour se former et qu'il prend sa retraite à 50ans, il ne va pas y en avoir beaucoup en activité) D'ailleurs si on ne veut pas avoir une population d'analphabète, il faut aussi que les années d'études soient récompensées par la période de vie active (qui doit donc être longue et influencer significativement la période de la retraite) De même trop réduire le temps de travail (en deçà des 28 heures et des 4 mois de congé payé) risque d'impacter l'éducation des nouvelles générations (il ne faut pas que les parents aient plus de vacances ou passe moins de temps au boulot par semaines que les enfants si on ne veut pas les dégouter de l'école) La révolution numérique va donc imposer de trouver du travail (plus ou moins subventionné) aux millions de salariés qui seront remplacés par des robots ou des logiciels. L'industrie des service est évidemment une solution, mais à moins de vraiment tout subventionner ça risque d'être relativement limité. Si tout le monde travail dans les services, on risque de finir par embaucher quelqu'un qui fait le même travail que nous... Ce sera à l'état d'assurer (directement ou non) la plupart des emploi. La sécurité sociale avec les médecins, les infirmiers, les pharmaciens, les pompiers, les aides soignants, les chercheurs de l'industrie médicale, les accompagnateurs pour les petits vieux ... pourraient représenter une grosse proportion de la population active mais ça risque de ne pas tout faire. Si on considère que l'économie classique ne suffit plus à fournir assez d'emploi, il restera quelques millions d'emploi à fournir. Actuellement en France il y a presque un demi million de policiers et militaires, mais à une époque pas si lointaine on a eu des effectifs approchant le million. Avec la révolution numérique, on pourrait avoir des cyber division servant à la cyber surveillance (anti-terroriste, mais aussi pour toutes les autres activités illégales du net, il peut s'agir de "militaires" ou de "policier") Les effectifs de militaires, policier, civils et industriel de la défense, service de renseignement, civil assurant des fonctions associé à la sécurité (vigiles...) pourraient être assez important presque illimité si l'économie française n'a pas besoin de ces hommes (et à au contraire besoin que ces masses aient un salaire et un emploi pour s'insérer dans l'économie) Je ne dis pas qu'il faut remplacer les chômeurs par des militaires, mais créer des centaines de milliers d'emplois (avec tous les niveau de qualification) dans la défense/protection permettrait d'occuper "sainement" une population que l'économie classique n'arrive plus à occuper. Bon si j'ai le choix, je crois que je préfèrerai qu'on fasse une sorte de programme Apollo (400 000 emplois) Dans le principe, la "révolution numérique" libère des milliers d'emplois qui "doivent" être utilisés par le gouvernement pour un programme qui n'a pas besoin d'être rentable. A moins d'opter pour une politique de grands travaux permanents, on risque de voir de nombreux pays opter pour une "militarisation" de leur société.
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Si on veut vraiment comparer avec le Rafale... oui on a eu une douzaine de Rafale F1 (les M mais aussi des B et je crois un/des C) mais aussi et surtout un paquet de Rafale F2 qui n'étaient pas dans la "bonne" configuration. Les F2 ont été assez facile et rapide à moderniser, mais ça ne veut pas dire qu'ils n'ont pas existé. Certains des 500 F35 "non conforme" risque de ne pas être plus différent d'un F35 opérationnel qu'un Rafale F2 l'était d'un Rafale F3.
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+1 Même les USA sont en train de n'en avoir qu'un seul (le F22 et le F35 sont du même constructeur) Avoir plusieurs constructeurs suppose de passer des commandes aux deux constructeurs et donc d'avoir plusieurs flottes distinctes. C'est vite du gaspillage de ressource. Autant demander au premier constructeurs de faire plusieurs projet et se contenter de choisir le plus adapté.