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De toute façon tu voudrais qu'on fasse quoi ? Le mamba n'est pas un système anti-missile, c'est juste un système anti-aérien capable d'intercepter des petits missiles. Je ne suis même pas sur qu'on puisse intercepter un classique V2 vieux de presque 70 ans. Maintenant si un terroriste a les moyens de produire des missiles balistiques en nombre suffisant ou avec un armement suffisamment puissant (tête nucléaire ?) pour nous faire vraiment mal (un unique V2 ne ferra même pas une centaine de mort) c'est que nos services de renseignements sont incompétents ou qu'il a été aidé par un pays étranger.
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Et accessoirement c'est le premier avion qui répond parfaitement à notre cahier des charges depuis très longtemps. L'avion polyvalent date même de l'entre deux guerres avec le programme BCR (bombardier, chasse reconnaissance) et le chasseur bimoteur est un vieux rêve de l'armée de l'air et Dassault. A l’origine Dassault voulait faire du mirage IV un équivalent du F4 plutôt qu’un bombardier et l’armée de l’air a du se passer des mirage 4000 et G8 (qui aurait été les équivalents des F15 et F14) a contre cœur. Et je soupçonne que si le Jaguar a été autant apprécié (et en particulier pour les OPEX africaines) c’était bien plus pour ses qualités de bimoteur (donc fiabilité, sécurité des vols, autonomie …) que pour ses performances. D’ailleurs il n’y a cas voir les critiques du rafale. Quel que soit la mission dont on parle, on ne veut pas qu’il soit différent et changer le compromis, on voudrait juste qu’il soit mieux, plus moderne. Jusqu’à présent nos avions était l’objet de compromis et on regrettait la concurrence (pour certaines mission) mais maintenant je doute qu’un pilote de rafale souhaite vraiment changer d’avions même pour une mission particulière. En fait à part des avions beaucoup plus cher et beaucoup moins polyvalent comme les F22 et B2, je doute que l’on puisse espérer mieux. Même à long terme, le rafale pourrait rester ce qui se fait de mieux. On aura besoin d’avion non furtif et le plus économique (et facile à déployer en OPEX ou sur PA) possible pour toutes les missions de basse intensité. Pour ça le rafale pourrait rester longtemps plus adapté que le F35. Pour les missions de haute intensité, on parle de missions assez rares et un armement plus performant (comme les AASM, SCALP, ASMP, mica IR, météor …) une suite électronique plus performante (SPECTRA, radar RBE2, OSF …) voir des pilotes plus performants (car volant plus sur un avion moins cher) et des stratégies plus performantes (comme les pénétration en basse altitude que seul les pilotes des FAS française savent encore faire) devraient permettre au rafale d’être aussi performant que des avions aux performances théoriques supérieures comme les F35, T50 ou J20. La place de membre permanent au conseil de sécurité dépend (enfin devrait dépendre) de la puissance mondiale d’un pays. Oui la Turquie a une puissance militaire en Turquie et même probablement supérieure à celle de la France, et alors ? Quand on parle de la puissance mondiale de la France, on regarde notre arsenal nucléaire (n°3), notre aéronavale (n°2) notre nombre de SNA (n°4, on n’est pas brillant pour ça) et ensuite on regarde le nombre de moyens qu’on peut utiliser pour un conflit. Notre présence aux 4 coins de la planète grâce à nos DOM/TOM (et nos bases permanentes en Afrique et au Moyen Orient) fait de la France la ou une des plus puissante force militaire pour plus de la moitié de la planète. Nos avions ravitailleurs (peu de pays en ont plus de 14 et si on compte les C160NG on doit faire partie des meilleurs probablement n°2 ou n°3 et la situation devrait s’améliorer avec les futurs A330MRTT et A400M) nos avions de transport (en nombre réduit, mais on s’en sert et l’A400M devrait très fortement arranger les choses) et nos navires de transport (BPC, pétroliers, roulier …) font de la France une des premières forces expéditionnaires. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, en Europe ou en Océanie, la France est la première puissance militaire locale. Même concernant les exercices ou les missions militaires réelles, la France est encore une des principales puissances militaires (même en Amérique du Sud on déploie régulièrement des E3F et quelques chasseurs avec leur ravitailleur pour un exercice et en Océanie on est n°3) Quelques autres pays font mieux que la France, mais uniquement à leur frontière. Et c’est vrai que notre puissance militaire conventionnelle ne nous permet plus de justifier notre place au conseil de sécurité pour les discussions concernant l’Asie. Mais les problèmes asiatiques concernent surtout des puissances nucléaires (Chine, Corée du Nord, Pakistan, Inde, Iran, Russie …) donc nos 4 SNLE et nos FAS (discrètement présentes aux EAU et au Tchad) nous permettent de justifier notre place. C’est facile de dire qu’on ne mérite pas notre place de membres permanents, mais on est encore un des pays qui la mérite le plus (actuellement je dirais même qu’on est les n°2)
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C'était pour généraliser, les milliards de tonnes me parraîssent être dans la limite de l'envisageable. Mais si un fou souhaite se construire un pays volant, c'est possible. Avec une hauteur de 2 km (pas loin de la limite maximale sur terre), ça laisse une charge utile de presque 2 tonnes par m² donc de quoi faire un minimum de cultures et d'industrie. D'ailleurs pour construire un pays ou une ville volante presque immobile, il vaut mieux privilégier la forme sphérique (et toujours 2 km de haut) et on peut se "contenter" d'une ville de 26 km de diamètre pour avoir un aérostat de 1 milliard de tonnes. Enfin à moins de vouloir faire des villes flottantes, je ne vois pas trop l'intérêt de tels monstres. Si on veut "juste" un dirigeable de 1 millions de tonnes, il "suffit" de multiplier les dimension de l'Hindenburg par 16 et on se contente d'un dirigeable de 4 km de long donc à peine plus grand qu'un aéroport. De toute façon pour pouvoir charger et décharger des vaisseaux aussi imposant (d'une charge utile suffisante pour transporter toute l'armée de Terre et tous les navires de la marine), il vaut mieux qu'ils soient assez grands avec une multitude de portes.
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Tout dépend de ce que tu appelles une limite. Pour un avion, la taille est limité par celles des aéroports. Un avions de 500m ou 1 km de large risque d'être très difficile à exploiter. Même s'il peut décoller en moins de 2 ou 3 km, ilrisque de créer des turbulences tellement énorme qu'il ne serra pas possible à un avion "normal" de le suivre et d'utiliser le même aéroport. Concernant le poids, il doit être relativement proportionnel à la surface de l'avion. Je doute qu'on puisse dépasser la tonne par m² donc si on veut se limiter à une taille correcte, il ne faudra pas dépasser plusieurs milliers de tonnes. (le record "théorique" est quand même de 1 400 tonnes pour le projet Pélican de Boeing) Par contre si on passe aux aérostat, le poid du dirigeable dépend de son volume donc il devient assez facile d'en faire des énormes. Le Hindenburg (1936) avait une "masse" de presque 250 tonnes, un dirigeable 10 fois plus grands (2,5 km de long et 500m de diamètre ce qui reste exploitable) ferrait déjà 250 000 tonnes. J'ai du mal à concevoir plus gros, mais théoriquement, rien ne l'interdit. Un aérostat de plusieurs millions ou milliards de tonnes est peut-être envisageable.
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Le nombre d'avion acheté est presque sans rapport avec le nombre d'avions en ligne et encore moins avec le nombre d'avions capable de décoller pour une mission. Dans les années 80, les spécialistes considéraient qu'une escadrille française de mirage F1 en valait 3 irakiennes sur le même avions. Je pense qu'avec 200 rafale bien géré, on arrivera à faire bien mieux que ce qu'on prévoyait de faire en 1990 avec 300 rafales. Je pense qu'à budget égal, il vaut mieux avoir moins d'avions et plus s'en servir que d'avoir des avions qu'on n'a pas de quoi exploiter.
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+1 Mais il n'y a pas que les M51, les ASMP peuvent aussi être utilisé et c'est pour ça qu'il faut protéger certaines bases d'une attaque à coup de missile de croisière ou de bombardiers. Vu le budget actuel accordé à l'armée, je ne crois pas que ça vaille la peine de protéger nos villes contre une attaque pouvant causer la mort de plusieurs centaines ou quelques milliers de personnes. Pour faire si peu de morts, les terroristes peuvent attaquer n'importe quel ville (y compris dans nos DOM/TOM) donc une couverture totale de la France risque d'être beaucoup trop cher. Une attaque plus massive ne peut même pas être envisagés vu qu'on réagira nucléairement. Un 11 septembre en France aurait eu plus de chance de se conclure par une frappe nucléaire que par une invasion.
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Suite à ce brilant RETEX, tu en déduis qu'il faut augmenter le nombre de rafale ? Personnellement j'ai vu qu'on a déployé 12 de nos 200 avions de combats et qu'on a eu assez de chasseurs pour assurer la mission sans demander d'aide, qu'on a déployé 5 de nos 14 ravitailleurs et qu'on a demandé l'aide des alliés (en apparence quelques vols de KC135, le KC767 italiens devrait bientôt pouvoir être utilisé, le KC10 neerlandais devrait finir par avoir le droit de survoler le Mali et un A310MRTT allemand pourrait venir) que pour les missions de transports on n'a pu en faire que 25% le reste étant accompli par nos alliés ou par des entreprises privées à nos frais et on a aussi déployé 2 des 3/4 drones à notre disposition. S'il y a quelque chose qui nous manque, j'ai peur que ce ne soit pas le rafale. Bon en cas de crise ou on devrait passer en économie de guerre pour affronter l'ennemi, notre président pourra toujours dire qu'on ne veut pas jouer. Si on a des armes nucléaires, c'est aussi pour pouvoir ne pas utiliser nos armes conventionnelles. Ce qui compte, c'est d'avoir des avions de disponible quand on en as besoin. Un taux de disponibilité en métropole pour faire des mission inutiles n'a pas trop d'intérêt. Ce qu'il faut, c'est que 100% des missions réelles qu'on souhaite effectuer puissent être effectué. Le reste c'est de la paperasse pour les administratifs ou pour comparer avec des avions (et/ou des armées) de papiers.
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Je me demande si le premier client export du rafale ne pourrait pas être un petit pays auquel personne ne pense. Quand on regarde les ventes de mirages, la plupart des clients ne se sont contenté que d'un nombre très réduit d'avions. Un succès export aux EAU (60 full option), en Inde (plus de 126 construit sous licence) ou même au Brésil (36 avions mais avec les options, on dépasse les 100 et avec le soutient pour le reste de l'Amérique du Sud ça peut faire encore plus) seront suffisant pour justifier le programme. En fait actuellement il n'y a que le Qatar (une douzaine mais certaines sources ont parlé d'une trentaine d'exemplaires avec les options) en petit contrat. J'ai l'impression qu'on s'est investis surtout sur des gros contrat. Je ne me rappelle pas qu'on se soit investis pour la Hongrie, la république Tchèque, Thaïlande, la Bulgarie ou la Croatie qui font pourtant partis des clients (potentiels/envisagé/en location/en seconde main) du gripen. Pour les utilisateurs du mirage 2000, on a eu 4 des 8 clients export qui ont commandé moins de 20 avions. Pour le mirage F1, 9 des 11 clients en ont eu moins de 50 exemplaires et 3 en ont même eu moins de 20. Pour le mirage 3, on a eu plusieurs très petits clients comme le Zaïre, le Gabon ou le Liban. On pourrait aussi parler du Jaguar dont 3 de ses 4 clients exports se sont contentés de moins de 20 avions ou du typhoon dont 2 des 3 clients n'ont commandé que 15 exemplaires. On aurait peut-être intérêt a encourager et faciliter la vente (location ?) de rafale à des micro aviation. Quand on voit que plusieurs pays se sont contentés de moins d'une vingtaine d'avions non polyvalent et avec une disponibilité assez médiocres, on devrait pouvoir trouver des clients pour moins d'une dizaine de rafale. Si l'armée de l'air et/ou Dassault s'engagent à fournir une assistance technico opérationnelle permettant de les exploiter à un prix raisonnable même pour un petit nombre ce serrait peut-être envisageable. J'ai récemment appris qu'un des plus du rafale était sa doc complètement numérique (faite par l'armée et non directement par les industriels), mais elle a couté le prix d'un avion à l'armée et est donc quasiment inabordable pour une armée étrangère. De même les réserves de pièces détachés ou d'outils spécifiques (et même d'armement) qui ne serviront presque jamais seront trop cher pour une armée de moins d'une dizaine d'avions. Un accord permettant d'effectuer l'entretien en France ou d'envoyer les techniciens spécialisés et de pouvoir livrer "rapidement" les équipements manquants pourrait permettre d'encourager la vente/location de rafale. Le marché n'est peut-être pas très important en nombre d'avions, mais ça nous permettrait d'avoir une forte influence politique et le rafale devrait y gagner en expérience (plus d'armée l'utilise dans des conditions différentes et un affrontement de forte intensité devient plus probable) Le coût à l'heure de vol du rafale n'est pas significativement plus cher que celui d'un autre avion (même plus ancien) et si on loue les appareils à un prix raisonnable (ce n'est que l'usure de l'avion et les pertes qui coûteront cher à l'armée de l'air si on a assez d'avions pour répondre à nos besoins en augmentant la disponibilité) presque tous les pays disposant d'une aviation devrait pouvoir se payer une location de rafale. Par exemple le Mali dispose d'une escadrille de Mig 21, la Tunisie une de F5, l'ex Zaïre (RDC) dispose d'une dizaine de mirage 5 et Su25, la cote d'Ivoire aurait disposé (source wiki et ça doit être d'avant qu'on fasse le ménage) de presque une dizaine de mig23/mig25 et Su25, le Gabon vient de racheter une demi escadrille de mirage F1, l'Angola dispose de presque 3 escadrille (Mig21, Mig23 et quelques Su27), le Liban a failli s'équiper d'une escadrille de Mig29, le Tchad disposerait de Su25, la Guiné disposerait de Su25, l’Éthiopie et l’Érythrée se sont affronté avec des Mig29 et Su27, Le Burkina Faso une petite escadrille ... même si la plupart de ces pays ne sont pas intéressés, on pourrait assez facilement trouver de quoi caser une dizaine d'avions (un an de production) dans des petits pays.
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Il n'y en as pas, plus de sous. Je crois qu'on en a une ou deux pour assurer la protection de nos bases des FAS (c'était Luxeuil et Istres) et on peut en déployer (provisoirement) pour chaque théâtre (en France ou non) qui en vaut la peine.
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En France ? ça ne fonctionne pas. Aux USA, en Suède ou en Angleterre, ça concerne des avions retiré du service. Pour le cas des F16 italiens, en cas de perte l'avion n'était ni remplacé ni facturé. Pour les Tornado F4 (toujours italiens) la formation associé ne devait concerné qu'un nombre réduit de pilotes (ce qui a entrainé le passage sur F16 par manque de pilotes) pour les gripen, je crois que c'est directement Saab qui loue les avions après les avoir racheté (à un prix symbolique) à l'armée de l'air suédoise (qui a décidé de réduire de presque 50% ses effectifs donc dispose de gros surplus moderne) Pour le rafale, on pourrait faire ce qu'on veut. On parle d'un avion encore en production (donc possible location d'avions neufs) mais avec déjà 7 ans pour les plus vieux (voir 10 pour les MF1) et plusieurs milliers d'heures. Vu le budget de l'armée française, nos avions peuvent être revendu et on acceptera aussi de ne pas recevoir ceux en cours de production qui nous était destinés (enfin jusqu'à un certains nombre) et vu qu'un rafale modernisé est aussi performant qu'un rafale neuf on acceptera de recevoir des rafale d'occasion pendant encore au moins 10 ans.
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Pour la Louisiane, si Napoléon a poussé à la vente, c'était en grande partie parce qu'il ne pensait pas pouvoir la protéger d'une invasion anglaise (et encore moins américaine) Vendre la Louisiane a permis d'éviter de se la faire conquérir. La seule autre possibilité aurait été d'avoir un accord de défense (et commercial) avec les américains.
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Le rafale pourrait aussi servir d'avions de transition en étant commandé à peu d'exemplaires (une seule escadrille) mais permettant d'attendre plus patiemment la maturité du F35. Bon pour que ce soit possible et qu'il n'y ai pas trop de problèmes avec l'entretien de 2 "petites" flottes, il faudra que l'armée de l'air française signe des accords avec les Canadiens pour faciliter l'exploitation du rafale. Même pour participer aux OPEX, le Canada pourra choisir de déployer des F35 (pour participer à une coalition OTAN comme en Afghanistan) ou des Rafale (pour une opération plus française comme la Libye) Je pense qu'on a "raté" une occasion en Australie ou les F18F ont servis d'avions de transition pour attendre les F35, mais au Canada on n'est peut-être pas si mal parti.
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Les besoins et surtout les solution qui en découlent sont liés aux moyens du pays. Tu voudrais quoi ? Un livre blanc qui dirait qu'on a besoin de 3 PA avec leurs avions et leur escorte ainsi qu'une armée de l'air à plus de 500 chasseurs sans oublier l'armée de terre et le nucléaire ... mais ce livre blanc serrait inutilisable car absurde avec les moyens proposé par Bercy. Au point ou on en est, il faut un livre blanc qui nous fixe ce qui est vraiment indispensable de conserver et tout ce qui serrait utile de conserver. A moins de vouloir appliquer la politique de l'autruche il faut être conscient que le livre blanc devra se contenter de moins de 2% du PIB.
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On a failli leur vendre des SNA rubis, il s'agit d'un des pays qui maitrise le mieux le nucléaire civil et la vente de SNA n'est pas un acte de prolifération nucléaire (il s'agit juste d'une centrale nucléaire embarquée dans un sous-marin pas d'une arme) donc oui on pourrait largement leur vendre des SNA si ils le souhaitaient et qu'ils sont d'accord d'en payer le prix. Le même raisonnement peut s'appliquer pour l'Australie. Concernant la vente des missiles de croisières SCALP, ce serra en effet impossible vu qu'il s'agit d'une arme de plus de 250 km de portée. Mais rien n'interdit de coopérer avec eux pour leur vendre un dérivé du SCALP qui serra aussi performant mais on ne parlera plus d'exportation mais de co-production. L'autre solution serrait aussi de leurs louer ou tout simplement de se contenter d'enfreindre les règles.
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Bof, tant qu'à faire autant faire un avion complètement nouveau utilisant les moteur de l'A400M. Une version patrouilleur de l'A400M pourrait même être étudié en reprenant les ailes, les moteurs, le cockpit ... mais elle risque d'être un peu trop grosse.
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Les 2 CFT dorsaux ne sont pas comptés comme des points d'emports. Mais personnellement je considère qu'il s'agit de points d'emport qui méritent d'être comptabilisés. Ils sont spécifique aux CFT, mais dans ce cas il y a aussi les points en bout d'aile qui ne peuvent être utilisé que par des missiles air-air IR et le 14eme point au niveau de la crosse ne peut être utilisé que sur la version terrestre et à condition qu'on installe des mica sous le fuselage et pas un autre type de charge qui transformerait ces 2 points en un seul (mais le plus solide du rafale) de même les points 3 sous voilures sont encore moins ouvert que ceux du CFT. Et il y a aussi ceux à l'avant des réacteurs qui servent pour les pods, mais il est peu probable qu'on installe 2 pods. Pour les point d'emport je crois qu'on peut dire ce qu'on veut entre 8 (configuration opérationnelle actuelle ?) et 16 (en full option chez les publicitaires de Dassault)
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On pourrait peut-être le terminer ? On a un rafale avec 16 points d'emport dont seulement 11 sont théoriquement utilisable. Je n'ai même jamais vu de configuration réelle utilisant ses 11 points d'emport. Un rafale qui remplace ses bidons supersonique par les CFT et se contente de 5/6 missiles air-air (2 mica IR en bout d'aile, 2 météor "noyé" sous les réacteurs et suivant la version 1 ou 2 mica EM sous le fuselage) serra vraiment très proche (et sans "nouveau" développement) de ta configuration avec deux coques furtives embarquant 2 missiles air-air. Ensuite la furtivité n'est pas un but en soit. Ce qu'il faut c'est juste que le système d'arme soit capable de frapper l'adversaire avant de se faire détruire. L'usage de météor permet de frapper de plus loin et/ou plus vite notre cible. Un rafale équipé d'un météor risque d'être bien plus dangereux qu'un F35 limité à l'AMRAAM. Pour les missions air-sol, l'usage de SCALP, d'ASMP ou d'AASM nous permet de rester à distance de sécurité. Et surtout le but d'un avion de combat en ces temps de crises financières, et de pouvoir pour un coût raisonnable être utilisé là ou on en a besoin pour des missions qui risquent de n'être que de basse intensité. C'est peut-être terre à terre ce que je vais dire, mais je préfère largement qu'on reçoive et maintienne à niveau nos rafale et leurs armement plutôt qu'on envisage de faire une réponse aux avions de type F22 qu'on n'affrontera jamais car ils seront trop cher pour être disponible en grand nombre et ensuite ils seront encore trop cher pour être bien utilisé. D'ailleurs je doute que les pilotes du F22 connaissent aussi bien leur avions que les pilotes de F14 ou F15 ne connaissait le leur après être passé dans des école de pilote spécialisé sur leur avions et utilisant des retex issus de l'utilisation intensive de ces avions. Les CFT ne demandent qu'à être acheté. Ensuite un rafale pourrait très bien se passer de ses bidons externe. C'est juste que dans ce cas il aura aussi peu d'autonomie qu'un mirage ou qu'un typhoon. Pour remplacer les missions air-air effectué par des mirage se contentant d'un seul petit bidons supersonique, on pourrait probablement se contenter d'envoyer un rafale sans bidon, mais on a des bidon donc ça permet au pilote de rester bien plus longtemps sur zone pour un coût négligeable.
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En France on en fait 2 par siècles ou par millénaires (d'après les 2 dernières périodes de temps) aux USA, je crois que c'est tous 4 ans (ou tous les ans ?) Dans les années 70, les allemands en produisaient un tous les 2 ans.
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Bof, une sonde capable d'aller à environ 0,1 c devra utiliser un système de propulsion probablement nucléaire comme le système Orion. On aura probablement un vaisseaux énorme pour un coût pharaonique et d'une utilité toute relative (juste quelques photos) A ce niveau un vaisseau habité ne serra pas beaucoup plus gros et la présence d'humains permet de pouvoir améliorer ses chances d'être encore opérationnel au bout d'un siècle. Reste à connaitre la taille minimal pour un tel vaisseau. Si on prévoit d'utiliser massivement l'insémination artificielle, on n'a plus besoin d'avoir un nombre suffisant de colon pour éviter une dégénérescence de l'espèce. Il faut juste des effectifs suffisants pour entretenir le vaisseau et transmettre le savoir (avec l'aide des ordinateurs et partiellement de la Terre) aux générations futures.
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L'avenir de la péninsule coréenne
ARPA a répondu à un(e) sujet de Andromeda dans Politique etrangère / Relations internationales
Juste après 1 ou 2 minutes de fonctionnement de son moteur quand il quitte l’atmosphère. C'est un peu plus compliqué pour les gros missiles à plusieurs étages. Mais de toute façon on a un missile qui dépasse les mach 10 (enfin ça dépend des modèle) Rien que les V2 de 1945 avaient une vitesse de plus de 6000 km/h. Il y en as 2. Le premier, c'est de prier pour que la technologie du missile soit trop complexe et que le missile s'auto détruise avant d'atteindre sa cible. Le second, c'est de bombarder le site de lancement avant le lancement des missiles. Sinon on peut toujours faire une course en lançant un missile intercepteur, mais je crois qu'actuellement le seul système qui ait vraiment été opérationnel était un antimissiles à tête nucléaire. Du coup la deuxième vague ne pouvait pas être intercepté vu que l'EMP produite par la première interception aura détruit les radar devant permettre la seconde interception. Un obus peut s'intercepter comme un vulgaire missile balistique, mais on considère qu'il ne peut pas s'intercepter car il peut trop facilement saturer les systèmes défensifs. Concernant les Nord Coréens, on se pose encore la question de savoir si leur bombe a été assez miniaturisé pour être embarquée dans une fusée, alors penser en faire des obus est encore prématuré. Je crois qu'on n'est pas encore sur que la bombe soit une bombe H, s'il s'agit juste d'une bombe A de 6KT, elle risque d'être assez lourde. Il s'agit peut-être encore de bombe au plutonium plutôt qu'à l'uranium. Cet essai de 6KT est un essai de bombe de faible puissance, mais c'est aussi le plus puissant qu'ils aient réalisé. A ce demander s'ils sont capable de faire plus. En fait il est probable que la bombe puisse à peine rentrer dans leurs missiles. -
On aura le droit de moderniser nos E2C ? Si je me souviens bien le congrès a annulé la dernière modernisation de nos E3F et on a du payer des pénalités pour rupture de contrat ...
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Quel budget pour quelle Défense en cas de Grande Rigueur ?
ARPA a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
On peut aussi se dire que les A400M peuvent remplacer des A330MRTT alors que des A330MRTT auront du mal à remplacer les A400M pour les missions de transport. Évidemment on aura encore besoin de quelques A330, mais c'est sur qu'on doit pouvoir se contenter de moins de 14 A330MRTT (d'ailleurs on n'a que 14 KC135 à peine plus performant que des A400M et des C160NG ayant des capacité ridicules par rapport aux A400M) Sinon plutôt que de penser tout le temps à faire des économies, il faudrait peut-être envisager d'avoir d'autres rentrée d'argent. On pourrait déjà proposer à la vente la plupart de nos vieux équipements qu'on prévoit de retirer du service à court ou moyen terme. Par exemple on pourrait se passer d'une partie de nos SEM ou mirage F1 et 2000 sans véritables conséquences opérationnelles. Déjà on devrait pouvoir compenser leur pertes par une utilisation plus intensive des aéronefs restant du même type ou par l'utilisation d'un nombre beaucoup plus réduit de rafale. Et de toute façon vu qu'on réduit significativement le budget, il faut bien s'attendre à une réduction de nos capacité. Ensuite dans le même genre d'idée, l'armée a déjà dans son cahier des charges de soutenir nos entreprises d'armement, autant le faire vraiment et proposer la location de la quasi-totalité de nos équipements. La location pourrait ne concerner que les équipements avec presque aucune intervention de l'armée (comme pour les gripen suédois, les F16 italiens ou les F18 que la France a failli louer), ou l'équipement et tout le soutient qui va avec. Dans le principe on pourrait aller jusqu'à déployer des avions à l'étranger avec leurs mécaniciens et armuriers mais ils seront pilotés par des pilotes locaux (formés en France) et aux ordres du gouvernement local qui aura le droit à un certains quota d'heures de vols et un certains nombre d'avions. La location de 2/3 avions "modernes" bien entretenus et pilotés par quelques pilotes formés à la française serra bien plus efficace et économique que d'avoir (au moins) une douzaine de F5, Mig21 ou mirage 3 qui ne seront jamais disponible, mal pilotés et nettement moins performant. Les Russes (ou plutôt les biélorusse et ukrainiens) sont déjà réputés pour vendre/louer des Su25/Mig29/Su27 avec mécaniciens et pilotes (instructeurs) Dans le principe la location de quelques centaines d'heures de vols sur rafale doit être à la portée de la plupart des pays (même de pays pauvres comme le Mali) et l'armée de l'air pourra compenser cette réduction d'effectif en sur-utilisant ses rafales restant à sa disposition puis en récupérant les avions loués qui auront consommé moins de potentiels. Il faudra aussi prévoir les clauses du contrat en cas de pertes. Sinon l'armée peut aussi servir de prestataire de service pour des particuliers ou des entreprises. Les sociétés militaires privées arrivent bien à trouver des clients, il devrait être possible de trouver des clients pour une société militaire publique. -
Opérations au Mali
ARPA a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
La panne de carburant était une caricature, mais faute de budget on ne répare plus certains équipements pourtant "vitaux". On attend d'être en guerre et de risquer d'en avoir vraiment besoin pour les réparer (enfin quand on trouve qu'il est vraiment inacceptable de ne pas utiliser ce matos) Bon je ne m'y connais pas trop en station d'écoute, mais j'ai eu des exemples sur des systèmes vraiment très proche. -
Et même 50% de chances que ce soit à 13 années lumières. A une vitesse de 0,1c, ça ne ferrait que 130 ans pour le voyage. C'est presque envisageable avec notre technologie.
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Opérations au Mali
ARPA a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
Réponse de Bercy: "Ok, pas de problème. Mais maintenant tu n'as plus le droit d'acheter une goute de carburant pour faire tourner tout ça." Accessoirement nos stations d'écoutes toute neuve vont très vite s’arrêter par manque de carburant dans leur groupe électrogène et notre contrat opérationnel sera vraiment très loin d'être respecté. Il faut juste espérer qu'on ne place pas nos SNLE en réserve parce qu'on n'a plus les moyens de payer leur IPER. A force de "trop" vouloir, on n'a plus rien par manque de pièces détachées.