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ARPA

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Tout ce qui a été posté par ARPA

  1. En fait pour que ce soit possible il faut déjà trouver le moyen d'une victoire de l'Allemagne donc d'une paix avec le reste du monde. Éventuellement si en juillet 40 Hitler meurt et qu'une démocratie (de droite dure, mais pas raciste) s'installe en Allemagne, cela pourrait se réfléchir. L'Allemagne propose une paix générale qui est accepté par (presque) tout le monde. Les français reperdent l'Alsace et la Lorraine (de toute façon on les a récupéré illégalement en 18) qui suite à un vote seront indépendant ou allemand. La Pologne, la Tchécoslovaquie, l'Autriche n’existent plus et font partie de la "grande Allemagne". En pratique on transforme la seconde guerre mondiale en une nouvelle guerre européenne comme celle de 1870. La France serra encore un peu plus traumatisé et on va se concentrer un peu plus sur notre empire (donc assez rapidement nouveau conflit avec les japonnais, mais au coté des américains et peut-être même des russes)
  2. ARPA

    [Rafale]

    Tu veux dire un APACHE dont les 10 sous-munitions auraient un guidage qui se rajouterait à celui du missile ? Une "simple" reprogrammation logicielle permettant de mieux gérer le largage des sous-munitions pourrait probablement suffire à atteindre la plupart des cibles.
  3. On pourrait les installer dans les lacs artificiels construit pour nos plus gros barrages hydrauliques. En avantages, on n'a plus de problème de protection contre des forces navales étrangères et c'est même plus facile à protéger qu'une simple centrale nucléaire. Et en plus on a même déjà branché sur le réseau et on peut faire varier la puissance fournit en régulant la production électrique dans le barrage (qui peut même se remplir pendant les période de très basse consommation) Le défaut, c'est qu'en concentrant (encore plus) nos sources de productions d'énergies, on risque d'augmenter les risques en cas d'accident. Une simple panne sur le câble électrique déconnecterait du réseau à la fois la centrale nucléaire et le barrage hydraulique. Et "accessoirement" on risque d'avoir un très gros problème pour amener les réacteur sur place, et si on les construit sur place, on perd l'avantage d'une production "à la chaine" chez DCNS (qui a ou aura déjà de l'expérience avec 22 SNA/SNLE de produit ou commandé)
  4. ARPA

    [Rafale]

    A une époque il était envisagé que le remplaçant du mica soit un missile polyvalent air-air et air-sol léger. Sa forte énergie cinétique compenserait sa faible charge explosive. Le surcoût du missile pourrait être compensé par une production plus importante et surtout une facilité d'utilisation qui permettra de mieux gérer nos stock de missiles et d'avoir un avion vraiment omnirôle (actuellement nos rafale sont chasseur pur ou chasseur/bombardier suivant leur armement, un rafale avec des missiles polyvalent sera véritablement omnirôle) Le problème de l'ASMP anti-radar est le même que pour l'ASMP air-mer, air-air ou air-sol en conventionnel. Notre missile serrait trop performant (et cher) pour le peu de cible à moins de vouloir dire que nos alliés sont aussi des cibles potentiels. En air-mer, les seuls cibles "autorisées" valant un ASMP sont les PA russes et chinois (2 ou plutôt 1,5 vu que le chinois n'est pas vraiment opérationnel) et quelques (4 ?) croiseurs lourds. Pour les autres cibles "autorisées" (donc on ne compte pas les CVN ou LHA américains, ni même les PA indiens) le missile exocet est largement suffisant. Vu qu'une attaque des navires amiraux russes ou chinois risque de nous rapprocher d'une frappe nucléaire, ce n'est peut-être pas utile d'avoir un vecteur dédié. En air-air, en cible "autorisé" (hors allié et hors Chine ou Russie) et en valant la peine (plutôt qu'un météor bien plus maniable et rapide) on doit avoir moins d'une vingtaine de cibles (tanker ou AWACS) valant un ASMP air-air. En air-sol, le nombre de cible justifiant un ASMP plutôt qu'un SCALP (donc nécessitant un missile furtif et supersonique) et acceptant une charge offensive assez réduite (probablement pas plus de 100 ou 200 kg à comparer avec les 400 kg du SCALP) risque d'être vraiment réduite. Vu le petit nombre de cible, je crois qu'on pourrait se contenter de risquer un peu plus la vie de nos pilotes. En l'absence de besoin pour notre armée, on risque de vouloir l'exporter et dans ce cas on risque d'avoir des problèmes. Un pays anciennement allié à qui on aurait vendu des armes air-air capable de détruire nos AWACS et ravitailleur ainsi que des armes anti-navires capables de couler nos PA sans oublier les missiles de croisières capable de franchir nos défense aérienne et de toucher notre capitale. Déjà qu'on n'ose toujours pas affronter l'Iran qui a pu acheter les meilleurs avions et missiles air-air longue portée il y a plus de 30 ans, je préfère ne pas imaginer comment on réagira en cas de changement de camp d'un pays à qui on aurait vendu des ASMP conventionnels. Sachant qu'on n'est toujours pas capable d'intercepter les ASMP de 1986 (qui ont failli exister en version anti-navire) j'ai peur qu'il faille attendre longtemps avant de pouvoir gérer la menace représenté par des ASMP conventionnel même à un standard export.
  5. La question ne serrait pas plutôt est-ce que les avions de combat vont être remplacé et est-ce que ce type d'avions garde encore son intérêt. Actuellement en Europe, il y a presque plus de projet d'avion de combat "civils" que militaire. En plus des A400M lance SCALP (avion civil vu qu'il a une homologation civil, il manque juste d'un client civil comme FedEX), il y a les A320 et Falcon de patrouille maritime avec un armement air-mer plus ou moins complet sans oublier les C295 de patrouille maritime et les Airbus ravitailleurs. La marine anglaise s'entrainent (ou s'entrainaient ?) à résister à des attaques de falcon porteur d'exocet, un E3F équipé de météor ou guidant des drones (type prédator) équipés de mica serrait très redoutable en air-air. J'ai l'impression qu'on est actuellement dans une période de paix ou on se contente d'une production très réduite pour maintenir notre niveau technologique. On développe des avions multirôle (ou même des chasseurs qui vu leurs besoins air-air sont très performant en air-sol) pour se permettre le nombre le plus réduit d'avions. Mais si un jour on a à nouveau besoin d'avions d'attaques, on va découvrir que nos avions d'entraînement moderne sont plus performant que les anciens avions d'attaque. Un SuE, un AMX ou même un jaguar peuvent avantageusement être remplacé par des M346 ou équivalent. Pour les Tornado, F111, mirage IV ... on doit pouvoir dire qu'ils sont remplacés par des avions un peu plus polyvalent comme les F35 et rafale.
  6. ARPA

    Le JSF menacé au Canada !!!!

    Mais arrêtez de critiquer la taille d'un avion. On s'en fout de sa taille, ce qui compte ce sont ses performances (charge utile, rayon d'action, SER, coût ...) Et dans ce cas le rafale fait presque aussi bien voir mieux que le F15. Évidemment pour avoir la même autonomie que des F15E avec CFT, il faudra au moins installer des CFT sur nos rafales. Bon dans l'absolu, c'est vrai que pour l'autonomie le rafale fait un peu moins bien que le F15E, mais le F15E est quand même presque 50% plus gros (et plus cher surtout en entretien et il doit consommer 50% de plus) et vu que les Canadiens n'ont que deux petits ravitailleurs, l'autonomie avec ravitaillement sur A310 pourrait même être plus importante pour une flotte de rafale que pour une flotte de F15.
  7. Parce qu'un unique canon plus gros est plus performant (à masse égale et surtout à masse égale de munitions) que 2 petits canons. Vu la taille de nos navires et le petit nombre de canons qu'on a, on n'est pas limité par la taille de nos canons. Plutôt que 2 canon de 127, on ferrait mieux d'en avoir un de 150. Vu que le Surcouf de 3/4 000 tonnes avait une tourelle double de canons de 203 mm, on pourrait même avoir plus qu'un canon de 200 sur les FREMM.
  8. Le pire c'est que le NX-01 de Starfleet n'avait que 80 passagers pour 80 000 tonnes. Ce sont les Enterprise suivant qui en auront autour de 1000 mais ils auront aussi une masse plus proche du million de tonne.
  9. Le problème c'est que sans la possibilité de passer en vitesse supraluminique, le vaisseaux perd beaucoup de son intérêt. Avec une accélération maximale de 0,0001 g (j'ai peut-être lu trop rapidement et il y a aussi une accélération de 0,002 g mais ça ne change pas grand chose) on est assez loin d'un vaisseau suffisamment réactif pour être vraiment utile ou pour explorer assez loin. J'ai aussi quelques doutes sur la réalisation de la gravité artificielle et il manque un système pour se rejoindre les planètes à proximité (j'ai des doutes pour la mise au point de la téléportation) 1 000 Md$ en 20 ans, ça ne fait que 50 Md$ par ans. Ce n'est que 3 ou 4 fois le budget de la NASA ou juste le budget militaire français, si on considère qu'il s'agit d'une commande de l'armée de l'espace américaines (ou OTAN ou ONU) c'est financièrement réalisable. Une fusée capable de mettre 500t en orbite, ce n'est que 4/5 fois plus que les Saturne V ou Energia, c'est parfaitement crédible technologiquement. 200/300 lancements en 20 ans pour la construction, ça ne fait qu'un lancement par mois. C'est encore technologiquement faisable. Et même pour le prix, si on se base sur les Ariane V on tourne autour de 30 Md$ par ans pour les mises en orbite, ça laisse 20 Md$ par ans pour 10 blocs de 500 tonnes de vaisseaux. C'est peut-être une estimation financière crédible (4 million la tonne) Enfin ça fait cher pour avoir une maquette à l'échelle 1 du NX-01 de Starfleet avec presque un siècle d'avance. Parce que d'un point de vue opérationnel, j'ai l'impression qu'on pourrait faire d'autres type de vaisseaux au moins aussi performant.
  10. ARPA

    [Rafale]

    Bah, on va dire que le B1B fait du suivi de terrain alors que les rafale des FAS font de l'évitement de terrain.
  11. ARPA

    [Rafale]

    Je pense que c'est plus bas en temps de guerre. Enfin le suivi de terrain est aussi défini par le nombre de G utilisé pour éviter un obstacle. Et je crois que pour le rafale, on peut aller jusqu'à 3 ou 4,5 G en suivi de terrain.
  12. J'ai vraiment du mal à comprendre ton raisonnement contre les engins étagés. Bah oui, mais sans largage, on se retrouve très vite à performance égale avec un vaisseau bien plus gros que ce qu'on aurait pu avoir après un largage. En plus les vaisseaux spatiaux consommant 80 à 90% de leur masse pour leur mise en orbite on finit par avoir un vaisseaux qui une fois dans l'espace ne pourra pas utiliser ses moteurs à fond s'il ne veux pas tuer ses passagers à cause de l'accélération. Ou alors ta solution c'est d'attendre que nos vaisseaux soient matures (vers le 40eme siècle ?) et qu'on consomme moins de 10% de la masse du vaisseau pour une mise en orbite ? C'est vrai que le lancement verticale pose problème, mais ce n'est pas lié avec un vaisseau à étage multiple. On pourrait très bien envisager d'utiliser des AN225 ou A380 pour servir de premier étage à des navettes de 100 à 250 tonnes. Et un vaisseau utilisant plusieurs étages très fiables n'est pas forcement moins fiable qu'un vaisseau tellement gros et compliqué qu'on a du être à la limite de notre technologie pour le construire. Euh, pour la navette, il y a eu 2 accidents. L'un à cause de la mise en orbite (donc en effet à cause du lancement vertical) et l'autre lors du retour sur terre donc c'est plutôt à cause de son monde d'atterrissage en tant "avion spatial" alors que je crois que les 100 derniers retour sur terre en mode "vertical" ont été des succès. Tu crois que c'est plus facile d'avoir une piste (d’atterrissage et avant le premier atterrissage) qu'un site de lancement ? Donc il faut rester au même niveau de ce qu'on fait dans le domaine militaire ? Bon, on va comparer avec le mirage IV (si on se base sur un A330MRTT, on est un peu loin de l'avion avec des performances exceptionnelle) donc on commence avec des fusée JATO fournissant 5,52 tonnes de poussée supplémentaires ainsi qu'une post combustion (presque assimilable à une fusée placé à l'extrémité des réacteurs) qui permet de rajouter 4,6 tonnes de poussée pour les 2 réacteurs qui ont chacun une poussée de 4,7 tonnes. Les JATO permettent de passer de 14 à presque 20 tonnes de poussées. Bon une fois en vol, après le largage des 780 kg de fusée il restera encore les 2 réservoirs de 2500L à larguer. Bon je reconnais qu'on est assez loin du shuttle dont les 2 JATO fournissent 2 500 tonnes de poussées sur un peu plus de 3 000 et le réservoir externe de plus de 2 millions de litres emporte 750 tonnes de carburants soit presque 7 fois la masse du vaisseau, mais dans le principe c'est la même chose.
  13. ARPA

    Su-34/F-15E

    Ils ne dorment pas, mais ça permet quand même de faire plus de 16H de vols sans trop de difficulté. Dans les autres avions les pilotes ont remplis leur couche depuis longtemps sont vraiment engourdis et n'ont eu qu'un repas assez médiocre (enfin pour les Américains et encore plus pour les Anglais, ils sont habitués)
  14. Chaque chose en son temps ... A priori, on ne se trouve pas sur terre (sinon pourquoi vouloir réguler la concentration de CO2 sur une petite zone) donc : * soit on se trouve dans une station orbitale, il suffit dans ce cas d'ouvrir ou de fermer les volets. * soit on est sur la Lune et il faut utiliser l'énergie nucléaire (ou les batterie) pendant les 2 semaines que dure la nuit ou alors on utilise l'énergie solaire et des câbles électriques assez long pour récupérer l'énergie des panneaux solaires placés de l'autre coté de la Lune. * soit on se trouve sur Mars et on a de toute façon une source d'électricité pour résoudre nos autres besoins. Il faut juste dépenser notre surplus d'électricité en lumière. Le solaire (avec un système d'accumulation de l'énergie pour la nuit) l'éolien (il y a bien un peu de vent sur Mars, donc c'est théoriquement possible) le nucléaire (on installera probablement une centrale nucléaire avec la première ville martienne) et on pourrait même envisager de l'hydrolien (bah oui, on va créer de l'eau douce pour nos besoins, donc si dans la serre on arrive à créer un cycle de l'eau on peut aussi créer un barrage hydraulique) * soit on se trouve enterré sous terre et on a là aussi besoin de beaucoup d'électricité donc on doit avoir une source d'électricité (géothermie ou nucléaire s'il ne faut pas être en surface)
  15. Il suffit d'avoir des plantes vertes et on ne règle que la durée des jours et des nuits. Si la journée dure plus ou moins longtemps, les plantes vont produire plus ou moins d'oxygène. Dans le papillon des étoiles, de Werber, ils décident d'augmenter la durée des jours dans le vaisseaux de quelques minutes pour réduire le taux de CO2 et essayer de calmer une rébellion. Avec plusieurs serres dont on gère artificiellement la luminosité (et dont on peut déplacer certaines plantes), ça doit être possible d'avoir un contrôle assez précis du taux de CO2 dans la zone habitée.
  16. ARPA

    Mirages III et V

    L'armée française était bien plus puissante (proportionnellement) qu'aujourd'hui, mais ceux d'en face était eux aussi très bien équipé.
  17. ARPA

    La revanche des petits

    Le J10 est bien plus un avion moyen qu'un petit avion. Ou alors le rafale (le plus gros avions de combat français après le mirage IV) n'est qu'un petit avion. Parce que si on compare on a un monoréacteur de 129 KN contre 2 de 75 KN (donc à peine 10% moins puissant) et sa masse à vide est équivalente. En petit avion, on n'a que le LCA, le JF-17 ou alors il faut voir du coté des avions d'entraînements supersonique. Et dans ce cas les L15, T50 (ou même des T38 modernisés) sont ce qui se rapproche le plus du petit avion de combat. En tant qu'avion supersonique capable d'emporter un armement (quelques bombes ou missiles air-air) on arrive à l'avion de combat le plus petit possible. Je pense que Dassault aurait vraiment intérêt à développer un avion d'entraînement supersonique capable de servir d'avion de combat léger. Déjà il y aurait une réponse à tous ceux qui accuse le rafale d'être trop cher et/ou trop sophistiqué, et il y aurait aussi une chance pour remplacer les Alpha jet (et zéphir qui n'ont toujours pas été remplacé) Un M346 avec un M88 (le même poids que ses 2 F124) devrait avoir assez de poussée pour faire du supersonique et emporter une charge utile suffisante pour être crédible comme avion de combat léger.
  18. ARPA

    Air quiz

    C'est le Mig 31, c'était facile pour une fois.
  19. ARPA

    Mirages III et V

    Les derniers ont été livrés à la France en 1976. Il s'agit d'avions avec une vitesse et une maniabilité toujours correct pour des avions de combats. Même de nos jours, il s'agirait d'une plateforme suffisante pour la plupart des missions défensives (enfin il manque de l'autonomie) et le mirage IV qui n'était qu'un mirage III avec une très grande autonomie c'est avéré performant jusqu'à la mise en service du rafale moins cher à entretenir. Il devait être aussi performant que des Mig21 et Northrop F-5. Son armement air-air était encore moderne, avec le même magic que mirage F1 et 2000 jusqu'à la mise en service du magic II en 86 et pour le R530, c'est presque pareil vu qu'il n'a été remplacé qu'en 1980 par le super 530F. Nos mirage 2000C d'aujourd'hui sans mica sont bien plus obsolète que ne l'était les mirage III en 1980. Et l'armement air-sol de l'époque était principalement constitué d'armement non guidé, donc c'était surtout l'expérience des pilotes qui comptait et pour ça un avion bien connu était un plus. Sinon actuellement il y a toujours des dizaines de pays qui sont encore équipés de mirage III, de Mig 21 ou de Northrop F5 et en nombre plutôt important (plus d'une centaine de mirage au Pakistan par exemple) et avec une avionique et un système d'arme modernisé, il s'agirait d'avions encore performant.
  20. Il s'agit d'un programme pour envoyer 80 000 personnes et en moins d'une dizaines années (si on veut que ce soit finis dans 15/20 ans et qu'on compte le temps de développement, même 10 ans ça fait beaucoup) donc il faudra complètement réformer notre industrie spatiale (qui lance autour de 100 tonnes par ans) et soit la faire passer de l'artisanat à la production industrielle (avec une production de fusée nettement plus importante) ou changer le type de fusée qu'on produit avec des "monstres" capables de mettre en orbite des centaines ou des milliers de tonnes lors d'un seul lancement. Qu'on passe à une production en très grande série comme en 45 pour produire des milliers de petite fusée, ou que ce soit l'industrie navale qui se charge de produire des fusées (une tous les 2 ans) de plusieurs dizaines de milliers de tonnes, on arrivera à des coût à la tonne assez loin de ceux d'une Ariane V. Le coût "énergétique" d'une mise en orbite est d'à peine quelques euros par kilo (au prix d'EDF) donc on peut "facilement" réduire le coût d'une mise en orbite de plusieurs milliers à quelques dizaines d'euros.
  21. ARPA

    [Rafale]

    Ou au contraire, ils pourraient se concentrer sur leur mission principale qui est l'attaque des navires (le tir d'exocet et il ne serra plus du tout question que l'armée de l'air s'en charge) ou le combat au dessus des flots, mais ils seront beaucoup moins concernés par les missions au dessus de l'Afghanistan quand sur un vol de plus de 10 heures il n'y a que l'appontage, le catapultage et un vol assez court au dessus des flots. Personnellement je préfèrerais que la marine ait moins d'avions et de pilotes mais plus de PA (l'armée de l'air compensant pour les missions de projection forces qui ne concerne pas le combat maritime) et qu'elle se servent vraiment de son aéronavale (pour la défense aérienne de la flotte par exemple, ce n'est pas forcement plus cher que des frégate AA) L'éjection ça existe aussi (si les cours sur simulateur ne suffisent pas) Et ce n'est pas plus dangereux que d'effectuer un appontage "manuel" alors que le pilote est vraiment fatigué après des semaines de missions intensive. Vu qu'on a qu'un seul PA et qu'on est en guerre les rares pilotes qui ont eu le temps de s'entraîner sont en permanence en mission surtout s'il y a eu des pertes et on n'a plus le temps d'en former de nouveaux. Avec un système automatique, on a autant de pilotes qu'on veut (et même d'avions si l'armée de l'air remplace quelques dizaines de C par des M)
  22. ARPA

    [Rafale]

    Les données GPS sont une information supplémentaire. Si on connait la position (et donc la vitesse) de l'avion et du PA (ainsi que son inclinaison vu qu'on connait la position des extrémités du PA) ça permet de fortement compléter les informations disponible autrement. En plus utiliser un radar en courte finale n'est pas très bon pour la santé des mécanos. Et je crois Tu parles du GPS de ta voiture qui a une dizaine d'année ? Parce que le GPS utilisé par les militaires américains est beaucoup plus précis. Je crois qu'on atteint actuellement une précision de l'ordre de 20 cm pour la version militaire. Maintenant avec le principe du GPS, on peut significativement améliorer sa précision en doublant le nombre de satellites (ceux du GPS, ceux du Galileo et pourquoi pas ceux du Glonass) et si on rajoute des signaux émis par le PA, ça doit nous permettre d'avoir une précision bien plus que métrique. Cela sous-entendait que l'armée de l'air changerait ses rafales C pour des M.
  23. ARPA

    [Rafale]

    C'est très loin d'être facile à faire et c'est encore plus dur à le rendre opérationnel pour une armée non US. Si on ne veux pas utiliser le GPS (système américain pouvant être coupé ou brouillé sur la zone d'opération ou les américains ne veulent pas qu'on opère) il faudra attendre la mise en service du gallileo pour avoir l'équivalent. Sinon ce serra beaucoup plus compliqué. Mais je crois que les F18 ont un système d'appontage automatique, il ne doit pas être vraiment au point et est encore en essai, mais c'est un début. Cela permettrait aussi/surtout d'utiliser des pilotes "non formés" de l'armée de l'air et donc d'avoir assez facilement assez d'avions et de pilotes pour remplir autant de porte-avions que la marine pourrait se payer. Sinon avant qu'on voit des UCAV d'opérationnels (pour les UAV presque consommable c'est pas grave s'il se rate à l'appontage) sur le pont d'un porte-avions français, on devrait assister à la mise en service de gallileo donc on pourra se baser sur un système utilisant le GPS (enfin gallileo)
  24. Un AN-10 000, ça reste un "vaisseau" de la classe des 10 tonnes. Pour affronter les océans et les tempêtes, c'est assez peu. Les hydravions, les navires et même les hélicoptères qu'on envisage pour cette missions sont bien plus lourds. Personnellement j'envisagerais plutôt des dirigeables encore plus gros, au moins dans les 50 tonnes. Concernant les dirigeables, plus ils sont gros, plus ils peuvent aller vite, moins ils sont vulnérables aux conditions météo et moins ils consomment.
  25. L'A-N 1800 est peut-être le plus gros de sa "catégorie", mais ça reste un mini dirigeable, à peine plus gros qu'un ULM. Le prix d'un tel dirigeable serrait très réduit. En pratique si la marine nationale veut vraiment se doter d'un dirigeable pour surveiller ses ZEE, il s'agira d'un dirigeable bien plus gros. Rien que le Zeppelin NT que la police française a déjà loué (pour surveiller un salon du bourget si je me souviens bien) était 5 fois plus gros. Un véritable dirigeable rigide de 150 à 200 m de long serrait vraiment plus performant et permettrait d'emporter des commando ou de ravitailler les îles isolées.
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