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A priori, je dirais qu'on a entre 5 et 10% de chances de réussite si l’État canadien nous demande vraiment des informations et qu'on a officiellement la possibilité de gagner. Donc même si on investi jusqu'à 5% des bénéfices qu'on pourrait tirer du marché, ça peut valoir le coup. Enfin jusqu'à il n'y a pas longtemps, le F35 était déjà choisi et commandé par les Canadiens donc l'appel d'offre est loin d'être évident.
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Faut pas non plus demander l'impossible. Cela fait depuis des mois qu'on attend qu'une équipe de professionnel finisse de rédiger le livre blanc, alors demander à Tancrède de te donner une version réduite de son livre blanc ...
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Pourquoi pas. Les Canadiens n'ont pas forcement une opposition de principe vu qu'ils utilisent des airbus comme ravitailleurs. Bon il faudra probablement de grosses concessions industrielles de notre part (comme une production sous licence pour seulement 65 à 80 rafale) si on veut avoir une petite chance. On n'a pas beaucoup de chance, mais s'ils disent qu'il s'agit d'un vrai appel d'offre, on peut toujours tenter. Les USA ont bien failli s'équiper d'A330MRTT.
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Il suffit que l’abri permette de se protéger de la première série de radiation et ça protège de la plupart des dangers nucléaires. En plus, il est probable que cet abri ne serve jamais contre une attaque nucléaire mais plutôt contre des risques plus conventionnel. Contre un cyclone ou l'explosion d'une usine à proximité, ça devrait suffire. Même face à des bombardements conventionnels ou des attentats à proximité, cela protégera du souffle de l'explosion. Et ce que je trouve dommage aussi, c'est que personne ne pense à vendre ces abris comme des maisons "écolo". C'est un moyen pour avoir une maison qui ne défigure pas le paysage (enfin une fois que les travaux sont finis) Parmi les autres avantages "écolo" d'une telle maison est de permettre de se passer de la clim, avec un abri enterré sous terre on se retrouve dans une sorte de cave, donc presque toujours à la même température, on ne crains plus la canicule.
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Faut croire que tout le monde n'a pas mon humour. Vouloir faire du "combat de rue" et se cacher dans le relief me paraît presque impossible et sans intérêt pour un avion de combat à plus de 100 millions pièce.
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+1 on compare des SNLE mis en service en 81 en pleine guerre froide avec des SNLE qui devront être mis en service vers 2030 et rester le principal vecteur de la dissuasion américain probablement jusqu'en 2080. Déjà les nouveaux SNLE devront être mixte (ou en tout cas pouvoir l'être) et bien plus confortable que ceux d'aujourd'hui si on ne veut pas avoir de crise des vocations dans un futur potentiellement très pacifique. En fait je trouve même que les nouveaux SNLE sont plutôt petits. En France, on a eu presque 50% d'augmentation de taille entre nos 2 générations de SNLE.
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Mais non, le vol stationnaire (et le tir de missile en stationnaire) c'est très utile pour le combat de rue. Le F35B se cache dans une ville entre des buildings et affronte l'aviation ennemie. Bon le problème c'est que dans ces conditions un F35B a du soucis à se faire face à un tigre (ou même face à un simple char) et dés qu'il quittera la ville, il aura du soucis à se faire s'il y a un chasseur plus traditionnel en l'air. Mais on ne va pas s’arrêter à ce petit détails ...
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Je crois que la sélection est la même. C'est juste qu'il y en a un qui n'a pas eu de chance lors de sa mutation. Enfin ça changera peut-être, mais à l'origine c'était juste une qualification de type (prédator plutôt que F15, F16, F22 ou B52)
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Le Mindef/Minarm - Successeurs - Nomination - bilan et actions
ARPA a répondu à un(e) sujet de zx dans Economie et défense
A ma connaissance un général est toujours considéré en activité et ne peut pas être en retraite, c'est juste qu'il n'a plus de poste. Donc même ceux qui ont 80 ans sont toujours en "activité" avec la solde associée. Bon de toute façon un général doit avoir son cota d'annuité même s'il n'a pas 60 ans, donc sa retraite serrait probablement équivalente à sa solde en activité. -
Le Mindef/Minarm - Successeurs - Nomination - bilan et actions
ARPA a répondu à un(e) sujet de zx dans Economie et défense
Parce que les généraux ne prennent pas leur retraite et son toujours en service (en tout cas payé comme tel) dans l'armée. S'ils veulent avoir une seconde carrière, il faudrait peut-être qu'ils ne soient plus autant payé par l'armée sinon c'est s'appelle un cumul du travail. Quand on interdit au soldat de base de faire des petits à coté (j'ai entendu parlé d'une interdiction à donner des cours du soir) c'est choquant qu'en plus de son travail (même si c'est proche de 0 pour les vieux généraux) un général puisse faire un second boulot à temps plein et très largement rémunéré. Évidemment les politiques et les industriels ne font pas mieux, mais ce ne sont pas franchement des exemples à suivre. Pourtant je suis plutôt pour que d'anciens militaires soient recruté par les industriels, ça leur permet de connaître un peu mieux les besoins de l'armée. Dassault à longtemps été réputé grâce à ses contacts avec l'armée de l'air et donc sa connaissance des besoins bien souvent avant les autres industriels. Mais je ne suis pas sur que l'industriel ait besoin de recruter de vieux généraux avec 40 ans de carrières, des colonels ou même des moins gradés avec 20 ans de service devraient être aussi performants (voir plus vu que les généraux ne sont plus sur le terrain depuis longtemps) -
Tant qu'à faire, je préfèrerais qu'on utilise des alpha jet, des T38, des T50 ou même quelques rafales ou mirage. De toute façon on a quasiment besoin d'un déploiement permanent de chasseurs pour protéger notre base spatiale. Actuellement on se contente d'y envoyer un détachement pendant presque 1 mois pour chaque lancement "stratégique". L'an dernier il y a eu 11 lancements d'Ariane, on aurait donc besoin 11 fois par ans d'assurer la protection aérienne du site. Une petite escadrille de 3/4 chasseurs suffirait largement à assurer la lutte contre les orpailleurs et ça nous permet aussi d'assurer la défense aérienne de la Guyane.
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A ma connaissance F. Mitterrand n'était pas vraiment favorable à la réunification allemande. Enfin vu la volonté allemande, c'était peut-être plus facile de suivre le mouvement et d'accepter la réunification que de s'y opposer sans succès et passer pour un con ou un incapable. Déjà qu'à la réunification on allait livrer une limousine présidentielle à la RDA et qu'il restait encore 4 ans sur l'accord de coopération de 5 ans avec la RDA...
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Brésil qui est 3 fois plus peuplés que nous, c'est un peu normal. Par contre l'Iralie et la Corée du Sud sont quasiment aussi peuplés que nous, mais leur économie en est loin. Même avec la crise, on reste plutôt bien placé.
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Je ne suis pas sur que l'exportation d'un réacteur nucléaire servant uniquement à la propulsion soit interdite par le TNP. Au contraire même, le TNP oblige presque d'aider à la construction de navires civils à propulsion nucléaire. Bon pour un navire à usage militaire, ça reste assez proche d'une arme. Mais un simple réacteur nucléaire n'est pas au même niveau qu'une bombe A ou H. Je ne suis pas sur que la vente de SNA, de PAN ou de croiseur nucléaire soit beaucoup plus réglementé (en plus du fait qu'il s'agit de matériel militaire) que celle de brise-glaces et de cargo à propulsion nucléaire dont on peut difficilement interdire l'exportation. D'ailleurs DCN essaie bien d'exporter des réacteurs nucléaires submersibles et des SSK, c'est très proche de la vente de SNA.
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J'adore les chiffres, on peut leur faire dire ce qu'on veut. Donc en résumé, un fonctionnaire (dans un secteur concurrentiel avec le privé) fait le boulot de 1,5 salarié du privé et quand on dit que cet emploi public crée 0,33 chômeur, ça veut surtout dire que ça permet à 0.17 salarié du privé de produire en plus. Virer 1 millions de fonctionnaire nous coûtera 1,5 millions d'emplois privées pour les remplacer (donc c'est presque 50% plus cher pour le même service) et détruira 170 000 emplois qui servaient à la compétitivité française à l'export et réduiront nos exportations ou le niveau de vie des français. On peut aussi calculer que pour l’État, utiliser des sociétés privées pour remplacer des fonctionnaires aboutira à une augmentation de coût de 50% (ou un peu plus de 10% si on compte qu'en plus des fonctionnaires l'état doit payer les chômeurs) et réduira les rentrées fiscales (on a 0,17 unité de production civile en moins) J'ai bon ? :lol: et vive les fonctionnaires :oops:
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Pour remplacer les 11 Victor, on doit pouvoir se contenter de 3/4 A330. Et à capacité égale de carburant transféré, plutôt que 2 Vulcan on doit pouvoir ravitailler 6 F35 ou tornado. Un raid aussi complexe que le Black Buck mais avec 14 A330 (et quelques A400M ou KC130) pourrait permettre de déployer une vingtaine de chasseurs et un E3. Les A330 sont des avions "civils", ils doivent être plus facile à déployer que des Victor. Et en plus les A400M ravitailleur (plus performant que des Victor) devraient pouvoir se contenter de pistes rustiques. Ce serra dur de faire pire qu'en 82. A cette époque la RAF n'avait pas de ravitailleurs à grande portée, la RN devait se baser sur un concept de chasseurs qui n'avait pas fait ses preuves (au contraire même vu les exercices précédents) et en face l'Argentine n'était pas si pauvre que ça (les SUE en cours de livraison n'étaient en service que depuis 4 ans en France et l'exocet était un missile plutôt récent)
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Pilotes français dans des avions irakiens (1980-1988) ?
ARPA a répondu à un(e) sujet de Kiriyama dans Histoire militaire
C'est déjà beaucoup et il y a aussi un approvisionnement en pétrole. L'autonomie ou l'indépendance de la France se doit en grande partie à notre armée. Un client comme l'Irak nous aurait permis de rentabiliser certains programmes et aurait pu nous faire une bonne pub. Bon avec la guerre l'Irak n'était plus solvable. Donc le mirage 4000 n'a pas pu être développé (on a même refusé la vente de 2000 pour non solvabilité) on n'a pas non plus développé de missile anti-navire supersonique (on ne pouvait financer qu'une modernisation de l'électronique des exocet ou un passage sur la cellule de l'ASMP, mais avec un riche client export c'était possible) et la carrière du Leclerc ou du FAMAS a été plutôt désastreuse. L'avantage d'un bon client est aussi d'avoir un effet d'entraînement. Si l'avion est déjà exporté et a déjà fait ses preuves au combat, ça devient plus facile de l'exporter. Les conséquences politiques de ventes exports peuvent être très importante et parfois presque inimaginable. Déjà il y a les conséquences purement économique et financière (balance commerciale, état des entreprises d'armement comme Giat ou Dassault) donc agissant sur la politique intérieure mais il pourrait aussi y avoir des conséquences opérationnelles (mise en service du mirage 4000 par exemple) ce qui influencera directement notre politique étrangère (on n'a pas les même moyens militaire et financier et en plus on peut faire pression sur notre client pour qu'il fasse pression sur d'autres pays) -
Le cas d'un ravitaillement au dessus des malouines par des avions venant de l'Ascension est probablement un des pires cas imaginables. Et vu que la RAF était arrivé à faire ravitailler un Vulcan par des Victor, je pense que ce serra largement possible de ravitailler des petits F35 (consommant presque 3 fois moins que des Vulcan) par des A330 (presque 3 fois plus gros que des Victor et avec une autonomie bien plus importante)
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Homologation d'une victoire aérienne
ARPA a répondu à un(e) sujet de Luner21 dans Histoire militaire
On ne l'homologue pas. C'est tout juste si on sait que pendant Harmattan l'armée française a détruit un avion libyen. D'ailleurs on ne sait même pas combien d'avions on a abattu et on sait encore moins qui les a abattu. -
Bah, pas de SNA donc pas de maîtrise de la mer et puis ils ne s'attendaient pas vraiment à une attaque anglaise. Sinon même sans PA, il leur aurait suffit d'adapter la piste des Malouines (ils avaient presque 2 mois pour ça) pour y baser des mirage III et SuE. Et puis leur PA était quand même très limité (pas de SuE, impossibilité de lancer des A4 à pleine charge en l'absence d'un vent suffisant...)
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Le 25 de Mayo n'est pas resté à quai, il a juste fuit puis il s'est planqué dans un port quand il a vu que les SNA anglais qui pouvaient couler des croiseurs n'hésiterait probablement pas longtemps devant un PA. De même les SuE ne pouvaient pas encore opérer depuis le 25 de Mayo. Ils venaient tout juste d'être livrés (et encore pas tous, ni tous les exocet) et le porte-avions n'avait pas encore été modifié pour permettre l'emport des SuE. Bon c'est sur que quelques mois plus tard il y aurait eu un 25 de mayo avec 14 SuE et un nombre suffisant d'exocet face à une marine anglaise avec un PA en moins ...
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Si vous faîtes un PA submersible, il va en grande partie changer de fonction. Il ne s'agit plus d'un PA qu'on déploie au large d'un pays pour lui faire peur ni même d'un PA chargé de la protection aérienne de la flotte (en cas d'attaque sa principale défense est de se cacher, pas de faire surface pour lancer les avions trop tard) Il s'agira presque d'un porte-avions de force spécial destiné presque exclusivement à des raids surprises. Une sorte de SNLE (de 15 à 40 000 tonnes) capable d'opérer une dizaine d'avions de combat (voir plus, il y a jusqu'à 24 missiles de 58 tonnes donc pour des avions deux fois plus petits ...) pourrait être suffisamment performant pour effectuer quelques raids massifs. Le CdG doit "gaspiller" presque la moitié de sa capacité à assurer des patrouilles air-air de défense de la flotte, en pratique il doit rarement pouvoir lancer des missions de plus d'une dizaine d'avions. L'avantage du PA submersible serra aussi de réduire sensiblement la taille de son escorte qui pourrait être presque nulle (pas besoin de frégates qui ne feront que montrer la position du PA, le SNA devient superflu et même le navire ravitailleur devient beaucoup moins important vu que la taille du GAN est beaucoup plus réduite (moins d'avions, moins de sortie, pas de frégate à ravitailler ...) Dans le principe un SNPA avec X bombardiers remplacera quasiment un PA avec les X bombardiers et une dizaine de chasseurs et E2C, 3/4 frégates ASM et AA et un ou deux SNA. Cela permet aussi d'utiliser le PA même sans avoir une vrai supériorité navale. Pour les USA, ce n'est pas très utile, mais pour les Chinois, Russes ou Indiens ce serrait plus envisageable. D'ailleurs un PA submersible servant exclusivement à la projection de force serrait complémentaire avec leurs PA (héritiers des croiseurs porte-aéronefs) servant presque uniquement à la défense aérienne de la flotte. En fait même pour la France, un PA2 submersible pourrait être envisageable. Le prix risque d'être comparable avec celui d'un PA2 (il n'y aura pas le même nombre d'avions, mais presque le même nombre d'avions à lancer pour un gros raid) et ça permet d'avoir un deuxième GAN pour le prix du seul PA. En plus vu que le PA submersible emporte peu d'avions, on aura de quoi former 2 GAN. On aurait un premier GAN bien visible avec le CdG et un plus furtif (pouvant être n'importe ou) avec le SNPA. Pendant les indisponibilités du CdG, on aurait quand même un PA (mais très limité) pour le remplacer.
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En plus des limites technologiques, il faudrait aussi des limites budgétaires (ou au moins rester cohérent) sinon on va finir par avoir une aviation adhérente (par exemple 100 B2 et 500 F22 pour l'Argentine) Pour la France : On continue avec le rafale en avion de combat principal. C'est déjà un des meilleurs avions de sa génération et il me paraît très difficile de faire mieux pour un pays de notre taille (même les américains ne font pas mieux avec leur F22 qui ne peut pas se poser sur leurs CVN) Je pense qu'il faudrait rester avec des effectifs comparables à ceux d'aujourd'hui (à moins d'avoir plus de budget, ça risque de ne pas être possible) Il faudrait peut-être favoriser un peu plus la marine (pour former 2 GAN, enfin si on trouve le moyen d'avoir un PA2) Je rajouterais quand même un avion de combat léger type T/A 50, propulsé par un M88, non furtif, légèrement supersonique (entre mach 1,4 et 1,8) servant principalement à la formation mais pouvant aussi servir à des missions de combat de faible intensité. Son développement serra lancé en parallèle de celui du rafale (ou plutôt du novi avion serbe abandonné en 91) mais sa mise en service pourra être plus rapide vu que l'avion coûtera bien moins cher à développer (presque pas de système d'armes pour la version d'entraînement et on se passe de la furtivité) Une mise en service à partir 94 (date de retrait des zéphir) pourrait même être envisagée (les M88 sont testé depuis 90 et en 91 les plans du novi avion serbe ont pu être récupéré et l'Alpha jet est abandonné) Concernant la version de combat, je verrais bien une mise en service dés 99 pour remplacer les rafale MF1 (et succéder aux crusader). Accessoirement la mise en service d'un T/A 50 embarqué permet de conserver le Foch comme PA2 et donc donne quelques arguments supplémentaires en faveur d'un PA2. Cet avion remplace les zéphir de la marine (ou plutôt la formation sur T45 américain) ainsi que certains alpha jet (ceux de la PAF mais aussi pour la fin de la formation) et peut aussi servir pour des missions de basse intensité (police du ciel, CAS en Afghanistan ou au Sahel ...) qu'on peut confier à n'importe quel avion de disponible. La commande d'une centaine d'exemplaire (50 d'entraînement dont 20 en version marine et 50 de combat dont 20 en version marine) permettrait de répondre à nos besoins (la formation, les OPEX de basse intensité et les missions de présence dans nos DOM) mais surtout de lancer la carrière export. Le rafale couvrant le marché haut de gamme, cet avion parfaitement compatible permet de couvrir le marché bas de gamme et d'offrir une réponse économique même face au gripen. En plus de l'export, le gros avantage de cet avion serrait de nous permettre d'avoir des détachements à l'étranger (ou en outre mer) de longue durée pour pas trop cher quitte à faire venir très rapidement quelques rafale si les tensions augmentent et que les T/A 50 deviennent trop juste. Pour le transport, en plus des CASA, des A330MRTT (principalement par conversion d'A330 civil) et des A400M (qui commencent a arriver) je verrais bien quelques AN124. Il manquerait aussi un bombardier lourd/stratégique, mais je vois pas trop comment on pourrait le financer (on aurait pu le financer il y a 30/40 ans avec une sorte de concorde, mais maintenant ...) Pour les autres pays, je verrais ça plus tard.
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Euh ... tu n'avais pas parlé du M01. Tu a donné des info sur le M1 (premier avion de (pré)série) et lui, il en donne sur le M01 (premier des 2 prototypes de rafale M) Le M1 est bien plus récent que les rafale A, C01, M01, B01 et même M02.
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Pour qu'un rafale B/C de l'armée de l'air puisse opérer d'un porte-avions, il faudrait déjà qu'on ait un porte-avions avec de la place. Actuellement on a un unique PA avec 24 places et la marine va recevoir le M37. Même si on en a perdu quelques uns, il en reste assez pour remplir le PA. Avant de réquisitionner l'armée de l'air, on pourrait sortir du cocon les 9MF1 puis on pourrait arrêter de prêter le M1 à Dassault, puis on pourrait réquisitionner le M02 (quasi opérationnel vu qu'il a servi à valider quasiment tous les armements) Ensuite si on avait un second PA pour ranger nos avions, il nous faudrait encore des pilotes. Très peu de pilotes de l'armée de l'air peuvent opérer sur un PA sans une longue formation. Déjà qu'on a du mal à former et maintenir les compétences de nos pilotes de l'aéronavale. Sinon en cas de besoin, je crois que Dassault pourra transformer des rafale C en M plus rapidement que l'on arrivera à former de nouveau pilotes. D'ailleurs les rafales B/C sont dotés d'une petite crosse d'appontage qui serrait probablement suffisante pour permettre un appontage. Et j'attends avec impatience le prochain exercice avec le porte-avions indien ou un de nos pilotes arrivera bien à démontrer que le rafale peut se poser puis redécoller (presque à vide dans un premier temps) du PA. En pratique, un rafale B doit pouvoir apponter sur le CdG (enfin pas trop souvent sinon la crosse risque de casser) et ensuite il doit même pouvoir décoller seul en utilisant toute la longueur du pont (presque 250m avec plus de 50 km/H de vent, ça vaut bien une piste de 400m sans vent, surtout que l'avion ne doit pas passer un obstacle de 15m après le décollage, mais seulement ne pas descendre 15m sous la piste)