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  1. ARPA

    Marine indienne

    Le PA Vikramaditiya est en effet issus de la classe kiev (de l'ex Baku ex Admiral Gorshkov) mais on peut aussi dire qu'il n'a rien à voir avec cette classe de navire. Il y a eu 8 ans de travaux pour un coût proche des 2 milliards d'€ soit quasiment le prix proposé par la DCN pour un PA neuf (et CATOBAR et peut-être même nucléaire) de taille équivalente. Avec une modernisation de ce prix, on peut rajouter des ascenseurs, élargir les pistes agrandir le hangar... il s'agit plus d'une reconstruction que d'une modernisation. Ils ont gardé le moteur et la coque extérieure, mais tout le reste a pu être changé.
  2. Concernant les finances, je ne suis pas sur que ce soit le plus gros problème. Le traité de Washington interdit justement de construire autant de cuirassé ou croiseur qu'on veut, donc on se trouve "obligé" de construire des PA (qui font parti d'un autre tonnage) ou des sous-marins (qui n'ont pas de limitation) Pendant cette période, la France a pu construire 31 sous-marins "océanique" de classe "1500" tonnes (et plus de 2000 en plongé) et un croiseur sous-marin de 4 000 tonnes soit l'équivalent de presque 50 000 tonnes (65/70 000 tonnes en plongé) de sous-marins "océaniques" qui n'ont servi à rien. On aurait probablement eu les moyens financier de construire moins de 35 000 tonnes de PA (avec le Béarn on a déjà 25 et des 60 000 tonnes autorisé) tout en conservant une sous-marinade correcte (on avait 47 autres sous-marins en 39) quitte à perdre le transport d'hydravion de 10 000 tonnes. Ce qui est dommage c'est qu'un PA comme ceux de la classe Joffre commandé en 38 ou comme les Yorktown aurait était bien plus performant que nos PA d’après guerre (y compris que l'Arromanches qu'on a gardé jusqu'en 74) donc on aurait probablement pu les conserver jusqu'à l'arrivée des Foch.
  3. "L'avantage" du traité de Washington, c'est qu'on n'avait plus le droit de construire de nouveau croiseur ou cuirassé donc il y avait des moyens de disponibles à "gaspiller" dans des PA pas forcement très appréciés. Bon c'est vrai qu'il restait possible de moderniser la flotte et de toute façon on sortait d'une guerre mondiale donc on n'avait pas forcement envie de dépenser trop d'argent dans l'armée. Mais c'est vrai qu'à part pour l'Indochine, on n'a pas vraiment besoin d'un PA. On doit même pouvoir déployer notre aviation dans nos colonies du Moyen Orient ou d'Afrique plus rapidement qu'un PA. Surtout pour de l'aéronavale qui était loin d'avoir fait ces preuves. Le Royaume-Uni c'est trouvé dans l'interdiction de construire de nouveau navires hors porte-avions. Il y avait donc assez de budget de disponible (c'était d'ailleurs le but du traité) et ils ont pu en réaffecté une partie à la construction de PA.
  4. ARPA

    Appel d'offre brésilien

    Bof, le besoin "urgent" est là depuis presque 50 ans, maintenant c'est devenu une habitude de la part du Brésil de ne pas avoir d'armée de l'air crédible. Si comme ça a l'air d'être le cas, le Brésil a des ambitions de politique internationale (c'est bien de ça dont tu parles ?) oui il a un besoin "urgent" d'une armée crédible et capable de participer à des OPEX. Mais dans ce domaine l'aviation n'est pas forcement prioritaire par rapport à la marine. Une aviation limitée à des F5 modernisés (pour la PO) et une aéronavale puissante serrait même plus adaptée au besoin du Brésil. D'ailleurs c'est quasiment le cas, leur A4 embarqués sont presque plus récent que leurs F5 et plus performant que les AMX. En fait s'il n'y avait pas eu de mirage 2000 ou que l'aéronavale se soit équipé d'un avion supplémentaire (des Sea Harrier ont été envisagé, les rafale F1 auraient pu être proposé et des F18 auraient presque pu être envisagé) on aurait pu voir une aéronavale plus performante que l'armée de l'air. Ces dernière années l'aéronavale a commandé des AWACS et des ravitailleurs (dérivé de C1/E1 ou S2) alors que l'armée de l'air à plutôt stagné.
  5. ARPA

    [Rafale]

    Je crois qu'en exercice, un missile air-air "tiré" correspond à une victoire pour l'attaquant. Bon il y a aussi des problèmes concernant le domaine de tir de l'avion qui n'est pas forcement adapté au missile (il n'y avait pas un problème au sujet de mica qui n'étaient pas reconnu aussi performant qu'on l'annonçait alors que les amraam de ceux d'en face pouvaient bénéficier pleinement de leur capacité à longue portée ?) C'est sur que pour les exercices, on ne va pas s'amuser à tirer des missiles réels et à voir si le pilote doit ou non s'éjecter. Mais un PK de 100% à la portée maximale est aussi un peu trop optimiste.
  6. En 1922 le traité de Washington limite le tonnage de la marine française à 220 170 tonnes pour ses cuirassés et croiseurs (ce qui devait quasiment être le tonnage officiel de cette catégorie de navire en France) mais laisse libre le tonnage pour les sous-marins (ce qui permettra la construction d'une flotte de presque 80 sous-marins dont un croiseur sous-marins) et permet d'atteindre les 60 000 tonnes pour la flotte de porte-avions (alors qu'on ne comptera que les 25 000 tonnes du Béarn et éventuellement les 10 000 du transport d'hydravion) Je me demande pourquoi la France n'en a pas profité pour s'équiper d'un ou deux porte-avions "moderne". Parmi les conséquence qu'aurait entrainé l'achat d'une flotte de porte-avions par la marine, il y aurait aussi eu une aéronavale décente. Déjà rien que pour le Béarn (40 places et une disponibilité assez médiocre), il y avait presque une centaine d'avions (et pas tous obsolète avec par exemple les LN401) Donc avec une flottille de 3 PA avec presque 200 place pour des avions embarqués, il aurait pu y avoir un impact sur la construction aéronautique française et peut-être même augmenter significativement le nombre d'avions moderne de disponible en 40 (avec une industrie aéronautique militaire un peu plus développé en temps de paix donc une montée en puissance bien plus rapide) C'était vraiment inconcevable que les Français s'équipent de quelques porte-avions moderne entre 1922 et 1939 ? Et cela aurait vraiment pu avoir un impact sur le déroulement de la guerre ?
  7. Enfin 600 ou 1000 personnes, même avec un profil très spécifique, ça doit pouvoir se trouver pour un pays de 20 millions d'habitants. Bon il faudra probablement des primes assez élevées, mais ce n'est pas non plus insurmontable vu le nombre. Le problème actuel vient peut-être aussi du fait que les sous-mariniers ont peur de naviguer (avec des colins "non-viables") n'ont aucune estime de leurs collègues militaires ou des civils (leurs colins ne font rien d'extraordinaire et sont souvent à quai) et ils n'ont même pas le plaisir de jouer avec des équipements modernes ou au moins hight tech pour l'époque (avec des colins "obsolètes") Je ne dis pas que ces raisons sont suffisante pour démotiver les marins, mais ce serrait quand même mieux avec des navires récents, performant et célèbre.
  8. ARPA

    Appel d'offre brésilien

    Je dirais plutôt que c'est presque sur. Ou au moins que l'accord peut perdre une grande partie de son sens en cas d'abandon du FX-2. Rafale International (on ne parle pas de Dassault aviation) ne peut conclure que des accords associés au domaine militaire. Sauf que dans ce domaine, c'est encore l'état français qui a le dernier mot. Il est presque évident qu'en cas de non achat du rafale, le Brésil ne pourra pas participer à la construction et à l'exportation des rafale.
  9. ARPA

    [Rafale]

    D'un autre coté, je préfère un rafale avec une com minimaliste et des problèmes à l'export plutôt que le même avion avec une bonne com mais vendu 30% plus cher à cause du coût de la pub (et en plus on ne pourrait même pas lui reprocher son prix quand on voit ce que propose la concurrence) La pub c'est bien, mais on a besoin d'un avion, pas de l'image d'un avion.
  10. ARPA

    Le F-35

    Je dirais que c'est le gros défaut du rafale. On pourra aider un autre pays utilisateur du rafale au cours d'un déploiement en OPEX (de toute façon s'ils y vont, il est presque sur qu'on participe aussi) sauf qu'on a déjà à peine assez de munitions ou de pièces détachés pour nous, donc on ne peut pas leurs en vendre en cas de besoin. L'aide française se limitera quasiment à une aide technique ou on "prête" des techniciens ou des pilotes mais on a besoin de leurs pièces détaché et de leurs munitions (comme ça a été le cas pour le Qatar en Libye) Le pire c'est que si la France avait des réserves suffisante, en plus du gain opérationnel, ça encouragerait les exportations (vu qu'on peut compter sur nous) et ça permettrait même de faire de nouvelles exportations sur le marché de "l'occasion" avec livraison express (je me demande d'ailleurs si ce n'est pas grâce à ça que l'Allemagne arrive à être un grand exportateur de matériel militaire) ce qui à terme paiera quasiment le stock surdimensionné. Sur ce point, même les typhoon font mieux que le rafale, vu qu'il est presque sur qu'un pays utilisateur du typhoon participe à l'OPEX et il est aussi probable qu'un des autres pays utilisateur du typhoon ne participe pas et puisse donc revendre son stock de pièces détachés et de munition qui ne seront pas directement impacté par le conflit.
  11. ARPA

    Eurofighter

    Avec un raisonnement assez basique, on se dit qu'il n'y a pas beaucoup de place sous les ailes, donc autant mettre dessus. C'est quasiment le principe des CFT des F16, rafale, typhoon ... De nos jours avec des bidons largables qu'on ne largue jamais, on pourrait quasiment gagner un point d'emport en les installant sur les ailes. Bon c'est sur que le point lourd doit avoir du mal à emporter un bidon de 2000L dessus et un scalp dessous, mais ça libère de la place. De même pour les missiles lancé sur rails, qu'ils soient au-dessus ou au-dessous ne change pas grand chose. Les mettre dessus peut permettre de doubler le nombre de missile (c'est du bénef par rapport à ceux qui sont en dessous) ou de laisser les points d'emports de disponible pour les munitions air-sol ou pour les pods de désignations (que j'ai du mal à concevoir au dessus de l'aile) Le gros défaut que je vois, c'est que c'est beaucoup plus compliqué pour la maintenance. Il doit falloir probablement 2 fois plus de temps (et plus d'équipements) pour monter une charge dessus que dessous.
  12. A priori les Tu 142 devraient pouvoir emporter bien plus qu'un Su30. Je ne suis pas sur que ce soit prévu, mais une capacité d'emport de 6 brahmos ne me surprendrait pas. De toute façon ça ne change pas grand chose à la problématique, les indiens pourraient aussi envoyer une flotte de 50 Su30 équipé chacun de 3 Brahmos et utiliser tous ces missiles en une seule fois contre une seule cible et saturer les défenses du GAN. (maintenant dire que 50 avions modernes peuvent couler un GAN et ses 20 chasseurs n'est pas vraiment impressionnant et on devait s'en douter)
  13. 20 000 fantassins (même disponible en permanence donc 2 ou 3 fois plus de monde) ça reste très loin des effectifs qu'apporterait une conscription (800 000 personnes par classes d'âges) et on est bien plus dans le domaine de la réserve citoyenne et volontaire. (et si la réserve dure en moyenne 10 ans, on ne devrait pas avoir trop de mal à trouver de quoi disposer de 20 000 volontaires)
  14. Avec Israël, oui probablement (c'est presque prouvé pour le nucléaire) mais avec la France, j'ai des doutes. Surtout que dés 1985, on était en train de passer au M4A (donc presque la génération suivante par rapport aux S3) donc je ne vois pas trop l'intérêt de la France de collaborer avec l'Afrique du Sud (avec qui on n'a pas particulièrement d'affinité même si on leur a vendu un peu de matériel)
  15. ARPA

    L'Inde

    Si je ne me trompe pas, ce n'est que le Sidewinder qui a été utilisé en dorsal, pas le Magic.
  16. On peut aussi se dire que si on doit faire une mobilisation générale, on a déjà perdu économiquement. La tranche des 20-25 ans (ou peut même aller jusqu'à 35) est souvent active (même s'il y a beaucoup de chômeur) et sa disparition brutale du marché du travail risque d'entraîner une crise économique (qui serra malheureusement négligeable face à la crise militaire) Pour peu que la mobilisation soit suivie d'un conflit massif avec un grand nombre de morts et blessés, la crise durera très longtemps avec un nombre non négligeable de pension à verser et de blessé de guerre ce posera problème pour la future relance économique d'après guerre. Bref, pour toute guerre face à un pays étranger ou se déroulant sur un territoire étranger, il devrait être bien plus intéressant d'utiliser l'arme nucléaire que de faire une mobilisation générale permettant de disposer de 5 millions de soldats. A par pour une guerre contre le terrorisme, ou le but serrait d'avoir un très grand nombre de soldats en arme déployés un peu partout sur le territoire (un très gros vigipirate) j'ai du mal à voir une véritable utilité à une armée de masse. Et même dans ce cas, on se dit qu'il y a un problème politique et qu'on a dépassé le stade de la dictature, ça ferait quasiment plus de soldats par habitants que pendant la guerre d'Algérie.
  17. Je dirais même qu'il suffirait d'en former plus et/ou de prolonger leur durée obligatoire de service. Certains atomiciens de la marine sont entrée avec à peine le bac, la formation d'atomicien (reconnue dans le civil) ne doit pas être gratuite et tout le monde n'a pas la chance d'avoir ses études de payé.
  18. Le plus gros problèmes, c'est qu'on ne saurait pas quoi en faire. Une armée de terre avec un demi million d'appelés par ans demanderait un changement de doctrine. Surtout que ces 500 000 soldats seront presque tous déployables (si on accepte d'en prendre le risque) en OPEX ou OPINT, vu qu'on renouvelle les effectifs tous les ans, on n'a pas besoin de laisser les 2/3 des effectifs en "repos" et pour une période de courte durée on peut rappeler les réservistes des années précédentes (donc jusqu'à 5 millions de soldats si on rappelle les 10 dernières années) et pour une opération de longue durée on peut allonger la durée de service (si on passe à 5 ans ça permet d'avoir 2 millions de soldats) Vu qu'on parle uniquement d'augmenter les effectifs en soldat à "contrat court", il leur faudra une formation rapide donc on se limite quasiment à l'infanterie (de toute façon ni la marine ni l'armée de l'air n'ont besoin d'augmenter significativement les effectifs à moins d'augmenter le nombre de navires et d'avions ce qui demanderait encore une fois de changer de doctrine) Et je dirais même à l'infanterie légère. Donc oui ça revient quasiment à faire des soldats sous-équipés. Mais je ne suis pas sur que ça en fasse de la chair à canon pour autant, leurs missions risquent de se limiter quasiment à des missions de police et de contre terrorisme plutôt que de véritable guerre. Pour ces missions, je crois qu'il vaut mieux avoir plus d'hommes moins bien équipés que quelques soldats d'élites en nombre trop réduit. En plus vu que ces soldats seront presque gratuit (le montant de leur solde risque d'être comparable à celui des allocations chômage qu'on pourra éviter en créant un demi million d'emploi) il ne faudra que payer l'armement de base. Je ne suis pas sur qu'un fusil et 2/3 tenues complètes soit ce qu'il y a de plus cher pour une armée. Actuellement rien que la solde annuelle d'un soldat pro doit permettre d'équiper plusieurs appelés. Vu que la plupart des équipements peuvent servir à plusieurs générations de soldats (rien que le FAMAS a presque 40 ans) je doute que le problème de l'équipement soit le problème le plus important. Une réduction de nos effectifs pro d'à peine 5 000 hommes (calcul à la louche) devrait quasiment suffire à entretenir une armée d'appelés. (bon il y a aussi le problème de la formation et de l'encadrement de ces appelés qui pourrait mobiliser beaucoup de pros et fausser tous les calculs)
  19. Tu sais combien il y a d'hommes en face ? D'après une estimation française (donnée en page 2) il y aurait à peine 1000 rebelles et membres d'Aqmi. Donc avec 200 vrais soldats motivés et soutenus par des moyens lourds (l'aviation par exemple), oui il doit être possible (pas facile, mais possible) de reprendre le nord du pays. Déjà personnellement j'ai du mal à comprendre comment les "troupes occupantes" arrivent à le tenir avec des effectifs aussi réduit et c'est à se demander s'il n'y a pas plus de soldat ou forces de l'ordre déjà sur place que de rebelles.
  20. +1 En pratique ce qu'on veut c'est que la cible ne puisse pas traverser la "cordelette" et survivre. Donc on a le choix entre des gros obus (à faible cadence) ou on n'a besoin que d'un coup au but et des plus petits (à forte cadence) ou on a besoin de plusieurs coups au but. Maintenant l'avionneur se contente souvent de ce que l'armurier lui propose et peut juste choisir d'avoir un ou plusieurs canons. Dans le cas de la France, on n'a que le choix du calibre 30 mm. Jusqu'au 2000, la cadence était trop faible donc il fallait 2 canons pour que la "cordelette" soit assez serré pour une vitesse relative de la cible supérieure à mach 2 (2 avions qui se foncent dessus à mach 1) Pour le canon du rafale, la cadence a été fortement augmenté ce qui permet de n'avoir qu'un seul canon. Mais en pratique la "cordelette" du rafale est moins serrée que celle du mirage 2000 donc un avion cible avec une vitesse relative de mach 2 et un peu de chance peut la traverser et survivre (ce qui a fait contesté le choix du mono canon dans certains milieu) Maintenant si on veut se servir du canon pour de l'air-sol ou pour de la PO (ou le chasseur suit sa cible et la vitesse relative est presque nul) on n'a pas du tout le même problème de cadence. C'est pour ça qu'on envisage de n'équiper les M2000D modernisés que d'un pod mono canon (contrairement au bi-canon des B export qui devait aussi servir en air-air)
  21. ARPA

    [ CVF ]

    A l'époque des projets, ce n'était pas si sur que ça qu'il n'y aurait pas de PA2. Le PA2 qu'on n'a pas commandé (et encore moins reçu) nous a quand même coûté plusieurs centaines de millions, de quoi financer une petite équipe d'un BE.
  22. ARPA

    Coopérations franco-britanniques

    Il faut quand même préciser que les 6 A400M kit MRTT sont en réalité 6 kit de MRTT pouvant être monté sur 50 A400M. Sinon seulement 6 A400M ravitailleur, ça ferait peu pour remplacer nos 23 C160 NG. Bon on gagne énormément en qualité et en nombre de litre délivré, mais on a actuellement 14+23=37 ravitailleurs qu'on veut remplacer par "seulement" 20 ravitailleurs. Si pour la coopération, on ne parle de coopération qu'avec les Allemands et les Pays Bas. Donc en résumé il y aura 4/5 avions en plus des nôtres qui représenteront 75% du parc. Cela me paraîtrait énorme si le pays qui fournit quasiment tous les avions peut se retrouver sans avoir un avion à sa disposition. Déjà si sur nos 12 à 17 futur MRTT on se permet de prêter tous ceux qui sont opérationnels (et non déployé en OPEX) sauf, nos alliés pourront nous remercier et auront des performances sans rapport avec leur flotte actuelle.
  23. Que la réponse soit oui ou non, ça ne changera pas grand chose pour les politiciens. Avec des grosses élections seulement tous les 5 ans, il est probable que la population ait le temps d'oublier avant de voter. Ensuite on peut avoir un échec militaire et dire que c'est de la faute du gouvernement précédent (ou au moins du ministre de la défense) Et même en cas de défaite ayant des conséquences aux urnes (c'est à dire écarter un parti pour 5 ans), ça n'aura pas beaucoup plus d'incidence qu'une "victoire" (qui ne serra qu'une opération normale) ayant nécessite une augmentation du budget militaire qui déplaira à la population qui ferra un vote sanction.
  24. Une version modernisé du Surcouf ? Avec un siècle de progrès. Je ne sais pas ce que tu as prévu pour l'appontage, mais ça risque d'être sportif. :lol:
  25. J'aurai tendance à dire que l'argument du matériel militaire hors de prix et en trop petite quantité est hors sujet. Cela fait croire que c'est le budget militaire (un des principaux budget de l'état si on prend en compte les pensions et les forces de l'ordre, loin devant les 512 autres surtout si on sépare le budget des grandes et des petites écoles ainsi que tous les autres budgets un peu conséquents) qui est la cause de la dette (ce que de nombreux bisounours affirment) alors que pour la France le déficit actuel correspond à plusieurs fois le budget militaire qui n'a jamais été aussi faible (en % du PIB) Maintenant je crois que le problème du budget ou de la dette est très virtuelle et n'a pas vraiment de sens concret. On parle de la gestion d'un pays, pas seulement du budget d'un "roi" qui doit financer certains service et dispose de certaines recettes. L'argent est devenu virtuel et se compte bien plus en pixel qu'en kg d'or. Parmi les "détails" économiques/financiers que je ne comprends pas, c'est que depuis une quarantaine d'années (et les premiers endettement hors circonstances exceptionnelles) la banque de France (puis la BCE) a arrêté de "faire tourner la planche à billet" et de donner quelques milliards à l'Etat. C'est probablement un moyen "sain" pour éviter que l'Etat ne fasse n'importe quoi et produise trop d'argent ce qui dévaluerai la monnaie, mais en cas de croissance économique il n'y a pas plus d'argent en circulation. La seule solution qui existe, c'est de s'endetter (la banque de France ou la BCE peut prêter de l'argent presque sans limite) ou d'utiliser une monnaie étrangère (pour le plus grand plaisir des Etats étrangers qui ne respectent pas nos les règles) De ce point de vue, l'endettement de l'état (indirectement vers la banque nationale) est le seul moyen de rajouter des liquidités pour faire fonctionner une économie en pleine croissance qui a besoin de plus d'argent en circulation. Bon ce qui est con, c'est qu'à cause des intérêts (qui en cumulé depuis 40 ans ne sont pas loin de représenter le montant de la dette) on finance les banques qui prêtent à un taux bien plus élevé que celui de la banque nationale. Je n'ai peut-être pas tout compris, mais je crois qu'un déficit de l'état (alimenté par la banque nationale) correspondant à la croissance du PIB est en réalité transparent sur l'économie du pays. Avec un PIB de presque 2 800 milliard de $ et une croissance de 1%, on pourrait se permettre un déficit de 280 milliard de $ (à croire qu'un pays avec une bonne croissance économique pourrait voir sa défense payé gratuitement et si ce même pays profite de sa croissance pour se payer des bons du trésor d'un pays étranger ça veut dire qu'il finance l'armée du pays étranger qui peut donc se permettre d'avoir une armée surpuissante) D'ailleurs vu qu'on n'a pas assez de déficit (surtout qu'il ne faudrait pas compter les intérêts qu'on rembourse vu que la banque a emprunté à taux 0) on a le problème d'un euro qui devient de plus en plus fort. J'ai évidement beaucoup trop simplifié et je n'ai pas du tout comprendre ce qu'on m'a expliqué, mais à priori une dette ou un déficit publique n'est pas forcement signe de crise économique. Si les pays les plus endettés sont aussi les plus riches, ce ne serrait pas que une coïncidence et parce que leurs dirigeants sont des incapables.
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