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Tout ce qui a été posté par g4lly
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Le souci est le même que le Caesar en base feu... C'est pss pensé pour ça donc ce n'est pas forcément super pratique. Le 2R2N existe sur plateau sinon, c'eût été une solution presque plus utilisable en base feu, sans limitation du champ par exemple. Après en base feu un MO120RT fait très bien l'affaire... Ça mobilisera juste plus de personnels.
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Un peu moins, dans le sens ou le mortier en tourelle est entierement automatisé, donc on a pas besoin de personnel en caisse arriere si on veut. En cas de coup au but, le pilote et le chef peuvent rester protégé dans le compartiment dédié à l'avant. a court terme ce genre d'engin sera complétement automatisable, tir, mais aussi conduite. Certes ca fait une belle cible, mais la doctrine peut etre un peu différente aussi puisqu'on peut s'en servir de canon d'assaut. On peut tirer vers le haut dans des immeuble par exemple, ou vers l'avant contre des tranchée etc. il est pas cantonné au role d'artillerie indirect NLOS. C'est cette polyvalence qui le rendu à mon sens plus utilisable. L'autre petit point c'est qu'il me semble que Nemo tire en roulant, ca permet encore de gagner un peu de temps et de diluer la trace qu'on laisse sur le champ de bataille. --- Pour la base feu dissimulé et distribué c'est pas très original, c'est juste que par confort on a oublié. Mais effectivement laisser le mortier à droite, les servant à gauche et les munitions encore ailleurs, et le meilleur moyen de ne pas tout perdre en meme temps. Rien que le tube chaud après le tir est un appeau à drone de reco ... donc inutile de rester à coté sauf à vouloir prendre la foudre. --- Pourquoi vois tu l'emploi d'un engin d'artillerie en convoi ? J'ai un peu de mal à saisir ? Normalement on fait l'inverse, l'artillerie étant "chez nous" elle n'est pas sensé être prise en embuscade, donc on peut la laisser gambader librement sur l’arrière. Ca permet de la diluer dans la verte et de la rendre plus survivable, jusqu'au moment ou elle se dévoile en tirant. La guerre du Haut-Karabagh a été assez édifiante sur ce point. Les drones de reco peuvent détecter et pister de l'artillerie de très loin ... voir meme longtemps après les départs de coups. Les chances d'arriver à échapper à la surveillance après le tirs sont assez modeste si l'adversaire dispose d'un tant soit peu de moyen dronique de reco. Sauf à quitter rapidement la zone surveillée ... ou surveillable ... en gros à se replier assez loin de la ligne de contact. --- Aujourd'hui on focalise sur les drones FPVs, mais tout ce qui vient du haut est une menace pour un mortier en cuve. Obus airburst, bomblets, mitraille tiré d'un point haut etc. etc. C'était déjà le cas avec le mortier remorqué. Mais le mettre en cuve ne change in fine pas grand chose, à part la rapidité de mise en batterie.
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[OTAN/NATO]
g4lly a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
Un petit argumentaire pour étayer ton propos ? -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
g4lly a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est possible, et d'ailleurs le contrôle était peut être parfaitement motivé. Ce qui m'ennuie c'est qu'on laisse à penser que l'état aurait un droit naturel à l'arbitraire. Je prefere préciser le droit. Et dans le cadre du droit il est fort possible de trouver des motifs pertinent contrôler plus ou moins intrusivement un navire étranger dans une zone sous notre contrôle. On peut imaginer que la navigation particulière - un peu comme un individu qui tituberais dans la rue - soit une motivation à entamer un contrôle par exemple, qui lui meme apporte d'autre éléments qui motive à leur tout une visite etc. D'ailleurs le PR motive le contrôle "délit maritime" le procureur est dans la boucle etc. "défaut de justification de la nationalité du navire/pavillon" et "refus d'obtempérer". A partir du moment ou il y a flagrance on peut enquêter plus intrusivement, pour voir s'il n'y aurait pas d'autre délit associé. D'autant que des pays avec lesquels on coopère concernant l’enquête danoise lié au survols illégaux, et pour laquelle le navire pourrait être impliqué. Un procès est programmé on verra si le contrôle était juridiquement discutable ou pas. -
Et la menace viendra d'obus airburst ou de bomblets... ... ce n'est pas un probleme technique en soit, c'est plus conceptuellement que c'est compliqué de proposer à des artilleur de sortir dehors à deux pas de l'ennemi, dans un machin relativement peu discret. En 2025 ca fait un peu décalé comme proposition.
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Ca dépendait beaucoup de ou en Afghanistan... mais toutes les zones un peu vallonnée posait beaucoup de probleme de tir fichant, avec des fusée, des RPG, de la PKM ... y compris à plus de 1000m. On peut retrouver le meme probleme en localité, si elle est un peu étendu, et qu'on doivent tirer très lobé pour tomber droit, la cuve va se retrouver dans un zone grise ou l'ennemi peut très bien tirer de plus haut. C'est pas un no-go définitif ... mais ca montre que les contraintes d'emploi ne sont pas très éloigné d'un mortier porté ou tracté, parce que la protection des servant est assez modeste si l'ennemi n'est pas très loin, ou plus bas. Avec comme pénalité l'encombrement du Griffon qui ne permet pas de la cacher n'importe ou à la débottée. Et accessoire je faisais déjà ce reproche avant la seconde invasion d'Ukraine ... à mon sens l'engin tire trop près pour que ce soit encore compatible en terme de protection des servant. C'est un engin développé juste à la fin de la guerre froide dans un contexte ou il fallait accélérer la mise en oeuvre pour mettre en échec certain la contre batterie de l'époque - radar de trajecto puis artillerie -. Mais a partir du moment ou l'environnement ne s'y prête pas, ou que l'ennemi dispose de moyen de surveillance - la guerre du Haut-Karabagh a été édifiante à ce sujet -, l'engin devient très vulnérable. Le Caesar passe entre les gouttes parce qu'il peut tirer à 40 bornes ... mais à 8000m c'est plus la meme musique.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
g4lly a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Si les contrôles doivent nécessairement être motivé c'est la base du droit ... indice apparent d'infraction pénale requête du procureur de la république, très limité dans l'espace et dans le temps, et en lien avec une ou plusieurs infraction pénales particulières. les contrôles dit administratif doivent être motivés, en général par tel ou tel risque d'atteinte à l'ordre public, mais il faut que ce soit explicite. contrôle aux frontières, du moins dans la "zone des 20km", les règles sont un peu plus souples, et cela dépend de la frontière et des espaces de libre circulation associé ou pas. Mais les contrôles ne doivent être pas ni systématique ni durable au sein d'une zone de libre circulation, comme Schengen par exemple. contrôle "douanier". La aussi les agents doivent expliquer la raison du contrôle. De la meme manière l'intensité du contrôle doit être motivé. C'est un des bons cotés de l'Europe d'ailleurs, avoir obliger la France à remettre un peu d’ordre dans ses mauvaises manières... -
J'ai cherche en diesel sur un voiture et le seul diesel sortant 500ch c'est le V12 TDI 6L Audi, dérivé des voitures des 24h du mans à l'époque ou certain le courrait en diesel - R10 Audi -. V12 6L, 48 soupape, deux gros turbo soufflant 3 bar ... common rail +2000bar ... On est quand meme plutôt dans l'ovni que dans le machin robuste qui va durer des année. C'est un moulin de course ?! Le reste de la production raisonnable c'est plutôt 300/370ch en gros turbo diesel, et à des regimes assez élevé, on est dans les 3000rpm, loin des 2000/2300rpm d'un moteur heavy duty de PL. Le V8 Scania il sort 1200ch en ronronnant à 2300rpm ... https://www.scania.com/content/dam/scanianoe/market/cn/experience-scania/features/882kW.pdf --- Après on peut toujours changer de doctrine. Partir du principe que le bidule est largement attritionable, et prendre des moteurs dont la durée de vie sera limité mais qu'on a en quantité en réserve parce qu'ils ne coutent rien et sont facile à remplacer. Coté masse c'est pas non plus forcément très avantageux. Le Cummins 6.7 qui sort 360ch il pèse quasi 600kg ... il t'en faut trois. on est pas loin de 1800kg. Le Scania V8 Marine de 1200ch HD il est à 1660kg ... Il faudrait fouiller les tarif et les emmerdement d'intégration mécanique - transmission primaire - de la bimotorisation pour etre sûr. Mais j'ai peur que la "mise en robustesse militaire" et l'accessoirisation d'un moteur civil de pickup ne coute pas beaucoup plus cher que le moteur lui meme. J'ai vu ca sur des moteur de voiture de sport ... le bloc d'origine coute peanuts et il y a 10 fois plus d'argent dépensé autour pour le fiabilisé une fois poussée, a tel point qu'il est parfois moins cher d'acheter un bloc moteur complet neuf dédié.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Face l'immensité de tes certitudes je préfère capituler Ce qui est amusant c'est que j'entendais déjà les même connerie lors de la construction du premier ... c'est désespérant. --- Juste qu'on rigole un peu tu sais ou se place la "membrane" que tu présentes ? -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est une incompréhension. L'intérieur est seulement hors d'eau hors d'air ... ce n'est pas étanche à proprement parler. C'est la peau de l'arche qui est gonflée. En fait l'arche est composé d'une face interne et d'une face externe. Et l'intérieur de cette peau - épaisse de plusieurs dizaine de metre - est mis en pression comme un jouet de plage. La mise en pression permet d'obtenir une plus grande rigidité malgré l'usage de matériaux assez léger, une peu comme les tentes gonflables autoporteuse. A aucun moment ni l'ancien ni le nouveau sarcophage n'ont été étanche, il ne sont pas construit pour cela. Leur seul role c'est de protéger les restes du réacteur des intempéries notament la pluie et le vent, qui pourrait transporter de la matière activée ailleurs. Sous l'arche il y a un chantier qui vise à terme à démanteler ce qui est démantelable, donc des gens qui bosse avec des engins etc. Le gros des matériaux devrait rester sur place, mais une partie - ce qui peut être facilement transporter -, devrait être déplacer dans un usine de traitement des déchet puis être vraiment confiné - enfouissement, stockage surface contrôlé etc. -. Pour comprendre l'inutilité de l'étanchéité ... le dessous du réacteur n'est pas confinable. En gros le niveau de la nappe aquifère monte et descend au gré des pluies, et ca on ne pas l’empêcher. Donc les matériaux se fond naturellement la malle via l'aquifère dans lequel il baigne. Par la peine de s'emmerder à dépressuriser le "hangar" sauf à vouloir faire encore plus remonter la nappe. Pour éviter les dommages sur l'ouvrage l'air est contrôlé, notament l'humidité - en gros éviter que ca rouille -, pour cela une ventilation forcé assure la circulation et la dessication mais cela n'a pas d'effet notable sur "l'étanchéité" de la partie basse, du moins pas plus que dans une maison avec une VMC double flux. -
Aucune idée ... c'est aussi un probleme de doctrine, et d'unité équipé. Moi j'aime beaucoup la solution qu'il y avait sur Wiesel, servi sous blindage, je trouvais ca assez élégant. Mais la guerre en Ukraine nous montre que balader les munitions et le canon ensemble n'est pas nécessairement une riche idée par exemple. La meme guerre nous explique que les personnel sous blindage son moins à l'écoute de menace, et se retrouve de joli victime des munitions anti-blindé dont ils n'ont meme pas conscience de l'arrivé. Donc y a t il une bonne solution à mon sens non. Comme souvent il faudrait un panel d'outil, et la tactique imposerait l'usage de l'un ou de l'autre en fonction du contexte et du besoin. Le probleme c'est que cette vision assez naturelle des choses s'oppose au processus d'acquisition échatillionnaire, qui contraigne à trouver le bidule bon a tout, bidule qui n'existe pas. Mais idéalement il faudrait si on trouve le 120mm indispensable - parce qu'on pourrait faire sans aussi -. un canon d'assaut en collant un modèle automatisé sous tourelle. Typiquement Nemo. un modèle numérisé porté/portable. ->en cuve ou meme sur plateau de camion, déposable. un modèle numérisé "léger" pour suivre les unité légère. Moi j'ai bien le systeme sur Wiesel. Ici le chargement se fait par la bouche, mais en modifiant la cinématique un chouilla on peut charger par la culasse, apres l'un n'interdit pas l'autre, les mortiers chargeable par la culasse le sont aussi gravitionnellement par la bouche. On aurait une communalité de munition de de systeme de control de tir, et probablement des actuateur etc. On aurait un mortier idéalement chargé par la culasse dans les trois cas. Donc meme tube meme mécanisme. A partir de ce tryptique quand tu élagues, les couts les probleme de chapelle, et les usage plus de niche, les deux qui saute c'est le léger, et celui en tourelle... c'est malheureusement assez logique. On aurait pu compenser la perte de la tourelle mortier, par l'acquisition d'un 105 d'artillerie coup monobloc en tourelle ou en casematte avec un large champ ... mais la aussi. Guéguerre de chappelle, une munition de plus, concurrence Caesar. Un obusier G7 en 105 artillerie ca tir à 24km du HE ... à 30km du BB, et à 36km du RAP. Et bien sur en tir direct sur char à 8km - du moins du HEAT capable de faire bobo en tir direct à un char ou une consstruction -.
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Rien que le role de logistique de l'avant semble pas si simple qu'il n'y paraisse ... comme quoi meme un petit chenillé peu en chier pour rallier une tranchée au milieu d'un espace labouré par la guerre.
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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est pas bien grave s'il continue sans etre pilotable et seulement quelques centaine de metre. Un char qui pète sur une mine aussi continue sa route, en général tout droit et sur 200m ... ... après c'est un exercice, on est pas forcément là pour casser tout les outils d'entrainement, et la com' n'est pas non plus là pour tout montrer. Mais au moins on voit qu'une dizaine d'obus tombent dans les 5m autour du bidule, au pire tu mets une deuxième Rafale. -
Quelle surprise On le savait déjà ... meme pour un environnement type Afghanistan c'était déjà douteux à cause des tirs plongeant de l'adversaire. En pratique ce n'est qu'un MO120RT numérisé et porté. Un truc qui existe depuis 1993 ... qui était proposé sur VZAB 6x6 à l'époque. En 1997 il a était mis en oeuvre pour l'engin, de l'USMC Drgaon Fire. Finalement l'acquisition n'a pas été effective mais le produit est toujours au catalogue. C'est en 2020 que l'AdT a enfin décidé de mettre le truc en service. On a pas mal de retour utilisateur parce que depuis 1993 le produit à largement été distribué. Arabie, Italie, Malaisie, Oman, USA, Japon, Belgique. Le probleme n'est pas que ce soit un mauvais produit ... loin de là. Le "probleme" c'est qu'on ne pourra l'employer guère différement du MO120RT, parce qu'il est aussi vulnérable en pratique. Il a certes quelques avantage en protection, et rapidité, mais des désavantage en discrétion et compacité. Exemple on ne peut pas mettre vraiment mettre le Griffon dans un pit avec un couvert en base feu, ou dans une "tranchée". De la meme maniere le Griffon est plus difficile à dissimuler. En contrepartie s'il est pris à parti le Griffon peut quitter la position immédiatement, mais ca met fin à la mission. --- Est qu'il y avait un autre choix possible ... oui et non. Les mortiers automatisé en tourelle semble nettement plus cher, et la guerre de chapelle avec la cavalerie n'a pas du aider à pousser un canon d'assaut potentiel. Un obusier de 105... on se retrouve en concurrence avec le Caesar et ca fait un peu double emploi. En gros c'est la manière dont on va l'employer qui nous dira si on arrive à le valoriser ou pas.
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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Il y a au moins un coup au but sur la premiere rafale ... ... après il faut se méfier des vidéos d'entrainement, parfois on ne veut justement pas toucher l'engin cible, pour le réutiliser. Donc on peut donner des consignes de viser x metre derriere ou plus près etc. -
Il existe des solution a distance pour envoyer des charge de nettoyage ... on en avait dans l'armée française. Ce sont des petite bombe FAE sur un mortier "spigot". On peut imaginer les envoyer autrement, plus loin. Des drones électrique qui porte 100kg par exemple c'est courant ca pourrait distribuer des charges de nettoyage comme les drones d'en face distribueront des mines pour les remplacer.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
En général c'est comme cela qu'on gere la déconfliction 3D. On affecte des boites aux amis ... boites dans lesquelles ont ne tirera pas. Le reste ce ne sont probablement pas des amis ... ... l'intelligence ici c'est la mise en place des boites dans l'espace et dans le temps, et la capacité à les modifiés rapidement avec l'évolution de la situation, et surtout à faire descendre l'info. A priori cette déconfliction dronique est pas mal éprouvé en Ukraine. Ils arrivent assez bien à diffuser les infos sur la présence ou l'absence de drone ennemi par exemple. Et l'intervention de drone amis. Il semble que ce soit fait basiquement sur des pagers ou des smartphones. -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Pendant ce temps là : Poltavka, la bataille dans le village à commencé. L'objectif est toujours le meme, tourner Huliaipole. Pokrovske, pareil qu'au dessus les russes poussent vers l'ouest pour essayer de couper Huliaipole de l'arriere. Les ukrainiens ont contre attaqué depuis Pokrovske sur la pointe du dispositif. On à vu des BMP2 notament attaquer les lignes russes. Pokrovsk. Les russes consolident leur position dans la partie sud de la ville. Les ukrainiens ont lancé un nouvel assaut mécanisé sur Dorozhnie - la gare -. Le premier n'avait visiblement pas réussi à prendre toutes les position dans la petite zone industriel. A priori les combats s'y poursuivent encore. C'est la base à l'ouest du "saillant" nord du front "Pokrovsk". De l'autre coté du saillant, à l'est, vers Shakhove ce sont les russes qui repassent à l'attaque, et sont à nouveau proche de cette ville clef ce front. Siversk. Le grignotage continue depuis le sud. C'est toujours aussi laborieux... mais ca avance. Les russes attaquent désomrais Zvanivka. En gros Siversk est flanqué par les russes au nord, au sud et à l'est. Le probleme principale est la menace permanente sur les routes logistiques qui desserve Siversk dorénavant. La route sud était encore relativement épargné car un peu loin des russes... mais elle devient dangereusement proche maintenant. Vovchansk. Les russes commencent à parler de prendre la ville, et donc de menacer à suivante, le petit village d'à coté nommé Vilcha. On ne sait pas trop si les russes comptent réactiver la zone, ou si c'est juste une activité habituelle permettant d'immobiliser des défenseur ukrainiens dans ce coin plutôt qu'ailleurs. -
Il existe déjà en base-bleed et en RAP ... c'est ce qui permet d'atteindre 13km. Sans ces artifices pyrotechnique c'est 8200m ... Avec moteur fusée 13 000m ... mais la pénalité est énorme, elle emporte moitié moins d'explosif.
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Tant que l'ennemi sera libre de "recharger" les champs de mines via l'artillerie ou une supériorité dronique c'est mort 100m ou pas. On n'y pense peu parce qu'on le fait peu, mais en Europe de l'est disperser des mines apers et ac via des fusée ou des obus "était" une procédure de contre mobilité courante, rendant le "bréchage mines" pas durable pour un sous. Le probleme va se poser de la meme manière avec les drones, qui peuvent être vu comme des mines mobile d'une certaine manière. Dans ce cadre réfléchir bréchage dans un contexte statique dans l'espace et le temps est voué à l'échec. D'ailleurs meme si les assauts un peu massif n'ont plus vraiment cours, les champs de mine non plus. La supériorité dronique l'a quasiment remplacé, en plus souple et moins consommateur de ressource matériel.
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Récupération/lancement d'UAV à voilure fixe
g4lly a répondu à un(e) sujet de BPCs dans Divers marine
https://fr.wiktionary.org/wiki/scalable -
S'il avait vu du rouge il serait parti les jambes à son cou voyons
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[Ministère des Armées, MINARM]
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Economie et défense
Problème réglé on a déjà plus de gouvernement ... -
2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Regavim c'est quoi ... c'est un organisation - financé essentiellement par des fonds publics - qui soutient activement la colonisation en Judée Samarie notament, et qui vise à rétablir le grand Israel. L'organisation est accusé aux USA d'avoir incité/aidé à la déportation/déplacement forcé de palestiniens hors de leur terre. https://en.wikipedia.org/wiki/Regavim_(NGO) -
co² Effondrement écologique et civilisationnel en ce siècle ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Plusieurs petites chose concernant les observations. La surface de la terre n'est pas fixe, elle monte et descend avec les marée par exemple - à certain endroit on a des marnage de 30 à 40cm. Évidement comme on est dessus, et qu'elle nous sert de référence on ne le voit pas. L'épaisseur de la croute terrestre change tout doucement avec les mise en compression et en détente en fonction des événement géologique ou tectonique. Pour ces raisons on ne prend plus comme référence la surface de la terre dans les calculs globaux d'altitude de la surface de l'eau, ou de volume des océans. Parce que oui la mer n'est pas plate et forme bien des collines et des vallées. On prend les modèles géodésiques terrestres, soit des géoïdes de référence. Ensuite on fait des mesure, depuis l'espace, depuis le fond de la mer - pression->hauteur de la colonne d'eau -, bouée de mesure, marégraphe de port etc. Sauf que tout ca on le "corrige" pour le rapporter à nos géoïdes de référence, de manière à ce qu'on puisse les comparer entre elle, et qu'on arrive à savoir de manière absolue de quoi on parle. Il y a d'autre petit souci dans la représentation ce sont les effets. On peut très bien par temps calme avoir des hauteurs d'eau qui ne semblent pas varier, mais se retrouver avec des hauteurs d'eau très supérieur aux temps passé quand il y a du mauvais temps. Les cumuls dépression - qui presse moins sur l'eau donc elle monte -, vente qui pousse l'eau vers la cote, urbanisation des cotes, lors de phénomène climatique de plus en plus intense peuvent avoir des effets très supérieurs à ce qu'on connaissait avant. Résultat une forme de dissonance entre ce qu'on observe par temps calme lorsqu'on pêche à pied, une situation semblant inchangée, et le chaos qu'on peut observer lors d'une tempête, comme si là au contraire on ne vivait plus dans le meme monde. --- C'est le meme souci avec le réchauffement climatique et les températures synthétique de moyenne globale de surface machin bidule. Comme la plupart des moyennes ca fait très peu sens, et ca provoque des malentendu. Et bien la "montée" des océan c'est pareil... pourtant en pratique il est trivial de dire que le meme volume d'eau dans le meme récipient, si on le chauffe et qu'il se dilate il va occupé plus de place, souvent in situ ca ne saute pas au yeux. Mais c'est essentiellement parce que la somme de détail fait rarement le tout. On observe dans certaine condition, à certain endroit, avec ses propres biais etc. des phénomène suffisamment lent pour que meme notre inconscient puisse nous les dissimuler.- 2 392 réponses
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