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Tout ce qui a été posté par g4lly
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C'est une forme de libération ... les pieds devant.
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Opérations dans la stratosphère (20 / 50 km) et la mésosphère (50 / 80 km)
g4lly a répondu à un(e) sujet de herciv dans Divers air
Toi tu n'as pas la foi ... 100,000' sinon rien ! -
Opérations dans la stratosphère (20 / 50 km) et la mésosphère (50 / 80 km)
g4lly a répondu à un(e) sujet de herciv dans Divers air
Avec le kit turbofan AASM XLR x6 plus les x2 T-Rex ... On le satellise le Rafale... Le reste on le fait au canon a l'ancienne ! -
Opérations dans la stratosphère (20 / 50 km) et la mésosphère (50 / 80 km)
g4lly a répondu à un(e) sujet de herciv dans Divers air
Comme il n'y aura pas guerre pendant 15/20 ans ça tombe pile comme prévu dans la LPM bidule truc ... En attendant... On bricolera. Ça se trouve daddy aura pitié de nous et nous dépannera avec ses jouets si on est sage -
TP15 aura une voie IIR pour le recalage DSCMAC au moins, plus probablement un radio altimetre pour le TERCOM, plus la classique centrale INS/GNSS. Probablement une datalink sérieuse permettant de retasker ... et peut être une capacité de suivi/recherche de cible "pas complétement immobile" ou "pas tout a fait au bon endroit". On parle d'une capacité anti-navire envisageable par exemple. RJ10 aura un radar AESA, dont l'antenne a priori assez large bande pourra aussi servir en capteur passif - anti-radiation -. Autrement le mode d'attaque classique est celui de l'Exocet ... INS/GNSS+datalink puis radar pour la recherche terminale. Mais a priori la mission SEAD/DEAD et "high value airborne assets" ne serait pas si secondaire que cela, de sorte qu'il servirait autant en air-sol contre des radar, qu'en air-air contre des tanker ou des AWACS.
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Mk41 sur les navire équipé. Donc le RJ10 rentre dans un conteneur 25". Ramp Lauch sur les navires n'ayant pas de Mk41 pour le RJ ... et visiblement à terme une intégration sur d'autre VLS s'ils sont assez grand - le RJ10 ne rentre pas dans 22" il n'est pas déclinable en TLT ni en Sylver. Eurofighter Rafale NGF ... Les sous-marins utiliseront donc le nouveau SM40, portée contre navire 120km environ - le MM40 dont il dérive porte à 200km j'ai pas bien compris la différence -. Le SM39 à poudre porte à 45km seulement. Concernant le MdCN "sublauch" aucune idée pour le moment ... mais ni RJ10 ni TP15 ne rentre dans un TLT. Ils pourrait être pérennisé d'une manière ou d'une autre.
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USA - Criailleries 2 - Rumeurs, controverses, polémiques
g4lly a répondu à un(e) sujet de rogue0 dans Politique etrangère / Relations internationales
Tu pourrais étayer comment tu construit un rapport de causes à effet entre marge de manoeuvre en politique intérieure influence internationale, influence sur qui d'ailleurs? Sur les politiques qui s'en inspirent? -
La technologie contre la démocratie ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
On se sent tout de suite protégé sous l’œil de Sauron. Sinon amusez vous sur la novlangue du capitalisme de la surveillance ... Les dispositifs de vidéoprotection filment la voie publique et les lieux ouverts au public : rue, gare, centre commercial, zone marchande, piscine etc. Les dispositifs de vidéosurveillance filment les lieux non ouverts au public : réserve d'un magasin, entrepôts, copropriété fermée etc. -
C'est pas plutot un S-400 indien qui a détruit un guet aéroporté Pakis au dessus de Muridke ?
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Opérations dans la stratosphère (20 / 50 km) et la mésosphère (50 / 80 km)
g4lly a répondu à un(e) sujet de herciv dans Divers air
Les programmes d'avion de combat du futur - francais - intégraient deux besoins particuliers. Pouvoir combattre à haute altitude et haute vitesse. Aussi bien pour réduire la vulnérabilité face au la DSA et les missile aéropiloté, que pour pouvoir interdire cette espace à l'ennemi. Pourvoir combattre dans l'espace, ie la ou l'avion ci-dessus ne peut plus intervenir - en propre ou via ses effecteur -. Donc autour de 100km - surement aussi plus bas peut être depuis 50 ou 60km - jusqu'à des orbites à quelques centaines de kilometre probablement. A priori le premier besoin devrait être couvert en partie par le NGF. Le second besoin par une petite navette spatiale servant de cargo pour des effecteurs type petit satellite remorqueur et autre fouineur de satellite ennemi, plus probablement des satellite kamikaze ou équivalent pour l'ASAT. -
Plombe comment ? Pour le moment c'est l'absence d'énergie nucléaire qui coute une fortune à bruler du pétrole plutôt que de le valoriser... C'était d'ailleurs l'argument massue à l'époque du Shah en 1957, le pétrole est bien trop précieux qu'on ne le brule pour faire un peu d('énergie alors qu'on pourrait le valoriser pour l’agriculture, la plasturgie, la chimie fine etc. etc. Le besoin de dissuasion était à cette époque un besoin de maintenir sa liberté d'action, et ca s'est cristallisé rapidement avec la guerre contre l'Irak notament. Irak qui s'en ait pris directement au programme nucléaire civile d'ailleurs - c'était de bonne guerre vu que l'Iran bombarda aussi Osirak -. Aujourd'hui c'est plus ou moins la meme chose, l'Iran est entouré d'ennemi ... et ne peut compter que sur la dissuasion nucléaire pour regagner une certaine liberté d'action, y compris concernant un programme civil. Est ce que cela déplait aux dominants... de toute évidence oui... mais on voit bien que le double standard s'applique souvent, Inde, Pakistan, Israel ... L'Iran aurait bien tord de ne pas essayer de poursuivre son chemin vers la souveraineté, les autres ne l'ont obtenu qu'en essayant plus que les autres.
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La technologie contre la démocratie ?
g4lly a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
La reconnaissance faciale, puissant outil de contrôle et de répression dans les régimes autoritaires Cette technologie, en plein essor, est utilisée sans frein dans les pays répressifs, qui en ont fait une arme pour surveiller, cibler et réduire au silence les opposants et les minorités. Depuis quelques semaines, les manifestations antigouvernementales en Géorgie ont des airs de carnaval, la liesse en moins. Loup vénitien à paillettes, bandeau noir en dentelle, masque de clown, lunettes géantes en forme de cœur… A Tbilissi, les protestataires rivalisent de créativité pour tenter d’échapper aux caméras à reconnaissance faciale que le régime fait installer massivement depuis le début du mouvement de contestation, en novembre 2024. « On est prudent, il faut éviter d’être identifié par les caméras. Sinon on reçoit une amende de 5 000 laris [1 587 euros] », explique un manifestant anonyme, masque chirurgical et lunettes de soleil sur le nez, malgré la nuit tombée. Visibles aux abords du Parlement, l’épicentre des protestations, la plupart de ces caméras de haute technologie ont été achetées à l’entreprise chinoise Dahua, sanctionnée par les Etats-Unis, en 2019, pour son implication dans la répression des Ouïgours dans la région chinoise du Xinjiang. Selon le ministère de l’intérieur géorgien, 30 nouvelles caméras ont été installées rien qu’à Tbilissi, officiellement pour remplacer celles endommagées pendant les manifestations et « pour assurer une sécurité efficace des actions de protestation ». Leur multiplication en Géorgie, qui a signé un partenariat stratégique avec la Chine en 2023, inquiète les militants de la société civile. L’Association des jeunes avocats géorgiens (GYLA) dénonce une tactique d’intimidation et de contrôle des manifestants, avec un inquiétant « effet dissuasif » au moment où cette ex-république soviétique du Caucase tourne le dos à l’Union européenne (UE) et s’enfonce dans l’autoritarisme. Les images captées lors des rassemblements sont souvent les seules preuves utilisées pendant les procès des manifestants, s’alarme GYLA. « C’est leur nouvelle méthode pour effrayer les gens, remarque Tata Tchankvetadze, experte juridique au sein de cette organisation. En zoomant, ces caméras permettent même de lire ce qui est écrit sur une feuille de papier tenue par un manifestant. Les autorités rassemblent beaucoup d’informations sur nous, qu’elles peuvent utiliser comme elles le veulent. » La Géorgie est loin d’être le seul pays à avoir succombé à l’attrait de cette technologie alimentée par l’intelligence artificielle (IA). « Nous constatons une utilisation de plus en plus répandue des technologies de reconnaissance faciale par tous types de gouvernement », affirme Damini Satija, responsable d’Amnesty Tech, le programme technologie et droits humains d’Amnesty International. D’après plusieurs cabinets de conseil, le marché est estimé à 6,8 milliards d’euros, et pourrait dépasser 15 milliards d’euros en 2030. Qu’ils soient démocratiques ou autoritaires, les Etats sont séduits par la promesse des industriels vantant des gains d’efficacité et des économies de main-d’œuvre dans l’application de la loi et le maintien de l’ordre. Progrès de l’IA Mais, à la différence de l’Europe, en particulier de la France, où la reconnaissance faciale dans l’espace public est une ligne rouge, cette technologie est utilisée sans restriction dans les pays autoritaires, où elle est devenue un puissant outil de contrôle et de dissuasion. De la Chine à la Russie, en passant par l’Ouganda, l’Iran, les Emirats arabes unis ou le Venezuela, tous en ont fait une arme pour surveiller, cibler et réduire au silence les opposants ou les minorités. « Il est difficile d’avoir une vue d’ensemble précise sur les pays qui l’utilisent, parce que c’est souvent fait de façon très opaque, remarque Anna Bacciarelli, spécialiste de l’IA à Human Rights Watch. Il n’existe pas non plus de traité international pour encadrer son usage et poser des lignes rouges. » L’UE est la seule à avoir légiféré avec une loi sur l’IA, adoptée en mars 2024. Tata Tchankvetadze, experte IA auprès de l’Association des jeunes avocats géorgiens, à Tbilissi, le 17 mai 2025. Technologie longtemps balbutiante et confidentielle, la reconnaissance faciale, explorée dès les années 1960 par des scientifiques américains, a pris son envol entre 2010 et 2020 grâce aux progrès de l’IA. La plupart des systèmes fonctionnent en détectant un visage sur une image (photographie ou flux vidéo) et en calculant un certain nombre de points (emplacement des yeux, espace entre le nez et la bouche…) avant de les comparer avec ceux d’autres visages. Le système fournit ensuite un taux de similarité : au-dessus d’un certain seuil, la correspondance est validée. Si la technologie a notamment été développée aux Etats-Unis, c’est la Chine qui, la première, l’a adoptée massivement. Les capacités de reconnaissance faciale sont venues s’ajouter à un réseau dense de caméras de surveillance installées dans le pays. Dès 2005, le ministère de la sécurité publique lance le programme « Skynet », qui vise à installer 20 millions de caméras de surveillance dans les grandes villes. Onze ans plus tard, en 2016, les autorités veulent mieux connecter les millions de caméras supplémentaires : elles lancent le programme « Sharp Eyes » (« yeux perçants »), qui fait de la reconnaissance faciale une priorité. Le nom est emprunté à un slogan popularisé pendant la Révolution culturelle (1966-1976), « le peuple a des yeux perçants », appelant les Chinois à la surveillance mutuelle. Le but, assumé, est d’atteindre une couverture par la vidéosurveillance à 100 %, « sans points aveugles ». Des géants des technologies, comme Alibaba et Huawei, des start-up spécialisées, comme SenseTime et Megvii, et les champions des caméras de surveillance, comme Hikvision et Dahua, respectivement premier et deuxième producteurs mondiaux, proposent tous des outils de reconnaissance faciale. A Shanghaï et dans d’autres métropoles, on voit fleurir, entre 2016 et 2019, des caméras au-dessus des trottoirs, aux carrefours, à l’entrée des résidences. Certaines sont même équipées d’éclairages, pour pouvoir mieux identifier les passants la nuit. Au tournant de 2020, même les villages reculés ou les plages touristiques sont équipés de caméras. Aujourd’hui, il y en aurait entre 550 millions et 650 millions dans le pays. « Quadrillage » du territoire La reconnaissance faciale change la manière de surveiller. « Ce ne sont plus des dizaines de personnes dans une pièce, rivées sur des écrans. Les caméras récoltent des données : la position des gens, plusieurs fois par jour, où ils vont, qui ils rencontrent. Ensuite, ces données sont intégrées avec d’autres sources d’information », décrit Conor Healy, directeur de recherche pour IPVM, un média spécialisé dans les outils de surveillance. Exemple : le 26 novembre 2022, quand des centaines de jeunes se rassemblent dans le centre de Shanghaï pour protester pacifiquement contre l’interminable politique zéro Covid. Au milieu de la foule, on peut voir des agents en civil tendre leur smartphone vers les visages des participants. Le soir même, la police fait preuve de retenue : les arrestations sont rares. Mais, les jours suivants, beaucoup de manifestants sont arrêtés à leur domicile. D’après une enquête du New York Times de décembre 2022, les autorités ont utilisé la reconnaissance faciale et les données de bornage téléphonique des participants pour déterminer leur présence à ces rassemblements. En Géorgie, les manifestants pro-européens se couvrent le visage pour éviter d’être reconnus par les caméras dotées de la reconnaissance faciale et éviter ainsi les amendes, à Tbilissi, le 21 mai 2025. Différents modèles de caméras installés sur l'avenue Roustaveli, à Tbilissi (Géorgie), le 21 mai 2025. La caméra ronde et blanche est celle dotée de la reconnaissance faciale. En Géorgie, les manifestants pro-européens se couvrent le visage pour éviter d’être reconnus par les caméras dotées de la reconnaissance faciale et éviter ainsi les amendes, à Tbilissi, le 21 mai 2025. Si les médias d’Etat chinois vantent les succès de la reconnaissance faciale dans des affaires criminelles, les premières victimes de ces systèmes sont les minorités ethniques, à commencer par les Ouïgours, les Tibétains et les Mongols, que Pékin accuse de séparatisme. Au Xinjiang, le système de camps de rééducation mis en place à partir de 2016 a été soutenu par l’installation d’un « quadrillage » du territoire par la vidéosurveillance et des stations de police mobiles. Les résidences ont été équipées de systèmes d’accès à reconnaissance faciale. Aux portes des villes et des villages, des checkpoints obligent les habitants à scanner leur carte d’identité et leur visage. Dans leur documentation commerciale, plusieurs entreprises comme Huawei, Hikvision, Dahua ou Tiandy ont proposé des outils de « reconnaissance ethnique » capables de prévenir la police si un Ouïgour ou un Tibétain pénètre dans une zone donnée. Pionnière dans l’utilisation à grande échelle de la reconnaissance faciale, la Chine est aussi la première exportatrice mondiale de cette technologie. Grâce à la demande massive de la sécurité publique chinoise, qui permet des économies d’échelle, et à de généreuses subventions, les entreprises chinoises proposent leur produit bien moins cher que la concurrence étrangère. La Chine a même fait des exportations un objectif politique avec les « routes de la soie numériques ». Les solutions de « smart cities » et de « safe cities » bénéficient ainsi de facilités de financement offertes par des grandes banques chinoises. Les entreprises chinoises ont aussi les mains libres pour vendre à n’importe quel régime. « Les Emirats arabes unis ou l’Arabie saoudite, par exemple, se fournissent auprès de la Chine quand ils cherchent des outils pour contrôler la dissidence, car les entreprises américaines sont soumises à des restrictions contre les pays qui malmènent des droits humains », explique Steven Feldstein, chercheur au groupe de réflexion Carnegie Endowment for International Peace, à Washington. « Graves violations des droits humains en Russie » La Russie est également une grande adepte de cette technologie, répandue dans les mégapoles jusqu’aux coins les plus reculés du pays. Plus de 1 million de caméras de surveillance sont installées à travers le pays – dans le métro, la rue et les immeubles résidentiels –, dont la moitié sont connectées à des systèmes de reconnaissance faciale. Le Kremlin met les moyens : depuis 2011, les dépenses liées à l’identification vidéo se sont élevées à 3,6 milliards de roubles (environ 39,1 millions d’euros), dont un tiers (1,2 milliard de roubles) après le début de l’invasion de l’Ukraine en février 2022, a calculé The Moscow Times dans une enquête parue en 2023, qui a analysé des milliers d’achats gouvernementaux, un registre de logiciels spécifiques et des bases de données spécialisées. Avec ses 217 000 caméras à reconnaissance faciale, Moscou est désormais l’une des villes les plus surveillées du monde. Dès 2017, la ville a développé un réseau tentaculaire de vidéosurveillance baptisé « Safe City », en s’appuyant notamment sur les entreprises russes NtechLab, Tevian, Kipod et VisionLab. Officiellement destinées à lutter contre la criminalité et le terrorisme, ces caméras servent surtout à identifier et à poursuivre les militants de la société civile et les représentants de l’opposition. Après l’invasion de l’Ukraine, les autorités russes ont encore étendu leur système de surveillance. Des documents secrets du Kremlin, obtenus par l’agence estonienne Delfi en mars 2024, ont révélé que le régime de Vladimir Poutine finançait un projet, à hauteur de 12 milliards de roubles, pour établir un immense réseau national de surveillance alimenté par l’IA d’ici à 2030. La reconnaissance faciale vise à traquer les individus jugés « déloyaux et destructeurs ». Selon l’organisation russe de défense des droits humains OVD-Info, qui recense les arrestations à caractère politique, elle a été utilisée pour arrêter des citoyens ayant assisté aux funérailles de l’opposant russe Alexeï Navalny, le 1er mars 2024, à Moscou. Au moins 19 personnes ont été interpellées ce jour-là, d’après ses calculs. La reconnaissance faciale a aussi été utilisée pour traquer les Russes cherchant à échapper à la mobilisation militaire, selon Human Rights Watch. « La loi russe ne restreint pas de manière significative l’utilisation de la technologie de reconnaissance faciale, déplore l’ONG. Il y a donc peu, voire aucune protection pour les personnes sous surveillance. » En juillet 2023, l’UE a imposé des sanctions contre NtechLab et Tevian pour leur implication dans de « graves violations des droits humains en Russie », notamment des « arrestations et détentions arbitraires ». Mais cela n’a pas freiné l’essor de cette technologie : trois mois plus tard, le PDG de NtechLab annonçait que son système de reconnaissance faciale fonctionnait dans 60 régions russes, contre seulement cinq en 2021. Et la Russie ne compte pas s’arrêter là. En février, les autorités de Saint-Pétersbourg ont annoncé vouloir installer 8 000 caméras à reconnaissance faciale pour identifier l’origine ethnique des individus afin de « surveiller » les migrants. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/06/28/la-reconnaissance-faciale-puissant-outil-de-controle-et-de-repression-dans-les-regimes-autoritaires_6616221_3210.html -
Ce ne sont pas a proprement parler les impôts qui sont à 50% PIB mais les prélèvement obligatoire qui sont grosse partie des services assurantiel, ou des revenus différé. Et la part Etat - +UE - plus collectivité locale, est stable depuis des lustres à 22/23%, c'est la parti sécurité sociale qui explose, on est passé de 10% jusqu'en 1975 à 25% aujourd'hui. --- Le fond du probleme dont personne ne veut parler c'est l’appauvrissement de la France. Collectivement. Le PIB per capita n'a pas évolué depuis 2007 ... il y a 18 ans. Il n'y a donc aucune raison qu'un pays qui ne produit pas plus de richesse qu'il y a 18 ans puisse en tirer plus de ressource. Or entre temps tout coute plus cher ... les modèle de transition "écologique", la démographie, la concurrence internationale. Forcément que c'est insoutenable. Il y a deux issue... Produire beaucoup plus mais dans la mythologie écolo-bobo c'est un impensé. Le sujet n'a meme pas été abordé lors de la réforme des retraites alors que c'est le coeur du probleme. Accepter de vivre avec beaucoup moins ... et ca c'est aussi un impensé. Donc il n'y a pas d'issue.
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C'est tout l’intérêt de la dualité d'usage c'était sensé faire peser une menace suffisante SANS avoir besoin de démontrer la possession effective. Force est de constaté que cela n'a pas fonctionné. A mon sens la seule issue est alors un essai nucléaire. L'AIEA ne s'est jamais plaint plus que cela de la détention par l'Iran d'uranium enrichi d'ailleurs.
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L'arme nucléaire ou le seuil nucléaire est la seule chance que l'Iran puisse présider à son propre destin ... donc elle doit forcément menacer de l'avoir. Néanmoins l'uranium hautement enrichi est indispensable pour les centrale énergétique à neutron rapide type russes, les usage médicaux, la propulsion navale - compacité - etc.
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Israël et voisinage.
g4lly a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est pas a proprement parler une maladie... C'est un comportement violent favorisé par l'évolution pour permettre d'évacuer les hormones du stress cortisol etc. Qui elles provoquent des maladies somatiques de manière certaine... Mais heureusement il existe d'autres mécanismes évolué permettant de gérer les situations de stress intense. L'évitement est la plus simple quand c'est possible. Mais il existe d'autres solutions comme les divers sublimations etc. -
Israël et voisinage.
g4lly a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
Elle en pense quoi ta psy, parce qu'un moment il faut en parler. La colère est le moyen le plus primitif de décharger son stress excessif... En général ce n'est pas bon signe de ne pas avoir accès aux modes plus évolués/civilisés. -
Israël et voisinage.
g4lly a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est l'organisation qui a libéré Gaza de la longue occupation israélienne ça devrait suffire a en faire une organisation de résistance... Après si tu nous expliques qu'Israël n'est pas l'occupant... Si tu nous expliques que la Naqbah n'est pas un quasi génocide - ne manque que l'intention collective du gouvernement de l'époque, et ce n'est pas moi qui le dit ce sont les historiens israéliens -... Toute discussion est vaine... -
[OTAN/NATO]
g4lly a répondu à un(e) sujet de zx dans Politique etrangère / Relations internationales
Cela a toujours été la plus grosse crainte des européens entre eux de devoir appeler daddy leur voisin ... Pour tous il est infiniment plus confortable d'appeler daddy l'oncle d'amérique. Et a mon sens à ce sujet rien n'a changé. Les américains eux meme ne souhaite pas que les européens appelle le chancelier allemand daddy, ca a toujours été une grosse crainte chez les conservateur US la reconstruction d'un empire central en Europe, d’où l'inquiétude quasi psychotique du rapprochement avec la Russie. -
Israël et voisinage.
g4lly a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
On avait bien compris que monsieur avait choisi sont camp celui de l'oppresseur ... -
Israël et voisinage.
g4lly a répondu à un(e) sujet de loki dans Politique etrangère / Relations internationales
Le génocide est avant tout une question d'intention pas de volume... J'ai reposter mille fois la définition ici ... On trouve tout sur l'article de wikipédia avec les sources des définitions les jurisprudence etc. -
C'est pas un problème de vote mais de long consensus sous divers régime et divers périodes... C'était déjà le cas à l'époque du Shah et cela s'est toujours poursuivi aussi bien la branche énergie que la branche dissuasion. A l'époque du Shah - 1957 - les autorité anticipaient déjà l'après pétrole... Et là dissuasion vu les tensions avec le voisin irakien notamment. L'AIEA par exemple avait mis en place un programme de formation pour que l'Iran enrichisse son propre combustible. C'est essentiellement la guerre avec l'Irak qui a gelé le programme... Et les milliards qu'on récupérer les industriels de l'atome sur le dos de l'Iran sans jamais leur livrer ni le matériel ni le combustible ni la centrale nucléaire.... Résultats les Iraniens se sont finalement tourné vers les Russes et les Chinois pour obtenir ce qui leur manquaient. Et commode toute évidence la dissuasion nucléaire est devenu un préalable a l'énergie nucléaire... On pourra difficilement leur reprocher de franchir le seuil.
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https://www.nytimes.com/live/2025/06/27/us/birthright-citizenship-supreme-court
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Il y a eu pas mal de travaux sur le sujet au plus fort de la guerre froide. Ca a été mis de coté ensuite parce que ce sont des armes trop dangereuse dans un monde ou tout est électronique et donc vulnérable. A un moment on avait meme peur que ca rende obsolete la dissuasion nucléaire en menaçant l'électronique des bombes nucléaires. Je ne parle meme pas de l'impact sur les population. Le comportement quasi psychotique des survivaliste américain est lié à ca d'ailleurs. Mais en pratique effectivement pas grand chose. Les américains disposent ouvertement de quelques armes, les missile canon-EM CHAMP. Et depuis très peu de canon à micro-onde qui sont encore plutôt des démonstrateur. Mais coté NNEMP pyrotechnique - c'est à courte portée certes - il y a eu pas mal d'essai, et ce n'est pas ultra compliqué à produire. Exemple : https://irp.fas.org/agency/army/mipb/1997-1/merkle.htm According to a report drafted by conservative members of the French National Assembly in 1992, EMP weapons testing was a recommended goal during France's 1995 underground nuclear tests.6 Some really scary parts of the EMP story did not make it into James Bond's latest adventure. Weapons designers specializing in high-energy physics can now create electromagnetic pulses without going into outer space. One approach involves harnessing the force of a conventional explosion. Others are simply just modifications of radar, which bounces pulses of energy off aircraft in flight, vehicles on the ground, and other objects.7 Crank up the power and you have an EMP weapon, ready to point at the computers of your favorite enemy. -
C'est ce que je disais, les USA ne sont plus un interlocuteur fiable du tout - on le savait déjà, mais maintenant plus personne ne s'en cache - ... et le seul moyen de s'en prémunir est la dissuasion nucléaire. A mon sens ca ne peut que pousser la prolifération ... ... un monde ou la violence devient ouvertement la loi, est un monde ou la seule défense est la promesse de violence maximale, ce qui se traduit aujourd'hui pas un doctrine type MAD. Ca donne raison à la Corée du Nord par exemple, ca justifie le programme militaire nucléaire iranien de fait. Et ca justifiera les autres. Les pays au seuil nucléaire sont nombreux, leur capacité de nuisance sont plus que notable, et tout un tas sont des vassaux US ... ce qui pourrait fini par mal tourné s'il récupère des leviers aussi puissant que la dissuasion. La Corée du Sud par exemple menace ouvertement de devenir un pays "nucléaire", le Japon, Taiwan, le Brésil et l'Argentine ... et probablement quelques pays d'Europe centrale. C'est tout le probleme de la domination explicite ... elle fini par produire des contre domination explicite. La soumission est pathologique ... elle conduit à la perte de l'individu.