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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Donc on tarit l'immigration en soignant ces putains de toxico et de nympho d'américains c'est ca ?! Parce que l'appel d'air de la drogue des putes c'est bien la consommation de tous ces putains de pervers d'américains non? Par consommateur pas de dealer ... Le probleme ce ne sont pas les cartels ce sont les américains... ... Pour l'immigration c'est pareil, s'ils ont besoins d'étrangers pour faire le sale boulot chez eux. C'est bien parce que ces branleurs ne veulent pas le faire eux meme. Quand à ERO et HSI, non ca n'a absolument rien à voir, ce sont deux branches qui ont était regroupé artificiellement sous le meme label pour vendre la soupe que tu nous sert, les étrangers sont des dangers, aussi toxique que le cancers. Donc chassons les comme ont chasse les coyotes. Après on sait tous que tu adhere à ce narratif ... et donc que tu nous va nous resservir la soupe de ces abrutis. On est pas surpris. Mais il est toujours important d'expliquer aux autres que c'est un mensonges, et de la propagandes essentiellement racistes - ou du moins différentialiste, expliquant que certain mérite et d'autre non en fonction de leurs origines -.
  2. Ce qui est mis en avant dans l'ICE c'est l'ERO - anciennement INS "la migra"- qui rafle les clandos ... quel rapport avec les "cartels" ?! L'HSI une branché complétement séparé aussi vieille que les USA ... seule l’appellation ICE les relient.
  3. g4lly

    Le F-35

    Ca détonne parce qu'il y a un mélange compatible fuel oxygene ... en l'absence d'oxygene du fuel c'est une sorte d'huile. Pour les fluides hydraulique il y a des exigence force sur la tenue en température et la conservation des qualité de lubrification, donc de viscosité, qui protegent les pieces métaliques de l'usure. On utilise donc des huiles de synthese assez complexe pour qu'elles supporte sans trop changer de qualité de plage de température et de pression importante. Une huile de voiture doit avoir des qualité acceptable de -20 à +200°C, trop visqueuse elle circule mal dans le circuit donc ne lubrifie pas bien, trop fluide elle ne crée plus un film assez épais pour protégé les contact métal/métal. Je suppose que c'est le meme probleme pour le fluide hydraulique d'un avion. Pour la température c'est un peu surprenant parce qu'en général sur les systeme avec un usage un peu intensif on fait passer l'huile dans un échangeur ... pour qu'il monte rapidement en température à la mise en route, et qui soit refroidi en usage intensif. C'est le cas des huile de transmission par exemple, elle dispose d'un radiateur huile/eau à minima. C'est un peu étonnant qu'il n'y ait pas ca sur le F-35. Je pense surtout que l'huile présente dans le circuit de train ne circulant pas en vol, elle stagne et donc n'est pas conditionnée. Il suffirait de la faire circuler tout les X minute pour régler le probleme. Il faut voir si un bouclage du circuit est possible, pour que le train reçoive du liquide conditionné régulièrement. Pour l'eau dans le fluide hydraulique c'est toujours un gros souci ... ca modifie largement les qualité du fluide et ca peut meme se vaporiser, transformant le fluide en ressort ... c'est le cas sur les circuit de freinage automobile par exemple, avec perte de puissance de freinage et pédale spongieuse.
  4. Il y a les bons et les mauvais islamistes ... ceux instrumentalisés par nos concurrents et ceux instrumentalisé par nos clients. Ceux qui soutiennent les extremes droites européennes et les autres. L'épouvantail frériste est avant tout une instrumentalisation par les ennemis Quatar et EAU des tensions en Europe. Les EAU avec la complicités des extremes droites européennes ont lancé une campagne de dénigrement du Quatar sur fond de frérisme et ca a super bien fonctionné. Pendant que les projecteurs sont braqués sur le Quatar et les FM, les EAU peuvent tissé leur toiles de dictatures islamistes partout en Afrique, Soudan, Yemen etc. et le wahabisme le salafisme et les autres courants radicaux peuvent s'en donner à coeur joie.
  5. Difficile de sucer le Maroc et l’Algérie en meme temps ... meme pour Macron.
  6. Disons que c'est encore assez modéré comme interventionnisme ...
  7. Et surtout quand est ce qu'ils vont faire pareil ailleurs... En Europe par exemple.
  8. Il y a aussi un doux mélange entre nature et fonction ...
  9. Pas si on utilise des termes précis au lieu de termes générique ...
  10. La soumission est bien plus confortable et bien moins exigeante que la liberté...
  11. Techniquement les drones one way sont des missiles... Bombe disposant de son propre système de propulsion, autoguidée ou téléguidée.
  12. Qu'appelle tu un drones ... c'est tout le probleme. L’Ukraine a déjà mis en oeuvre des drones à réaction certes plus petit, mais à priori ils ont taper un déport de muntion dans le nord de la Russie, sans plus de souci que ca. https://en.wikipedia.org/wiki/Palianytsia_(missile)
  13. g4lly

    Génie

    Le systeme intègre deux robots ... je suppose qu'ils travaille en flèche, pour défricher presque 4m de voie. En dehors de la fraiseuse, le robots peut être équipé de tout un tas de matériel standard en génie civil, tarière, cribleuse, godet, pelle, lame, fourche etc. De toute évidence il s'agit plus d'un systeme de dépollution que de bréchage à proprement parler d'ailleurs.
  14. g4lly

    Génie

    Ce qui est amusant c'est que ca ressemble comme deux gouttes d'eaux çà un rouleau de défrichage mécanique agricole ...
  15. La gauche productiviste est de retour Comment les démocrates américains se réinventent autour de l’idée d’« abondance » Né en Californie et emprunté à la tech, le concept séduit les jeunes du parti. Il prône un Etat interventionniste associé à une déréglementation pour faciliter les investissements et accroître l’offre de biens essentiels tels que le logement, l’énergie, les transports et les soins. L’idée est partie de Californie, le terme a été emprunté à la tech. L’« abondance » est le mantra de la nouvelle gauche américaine. Bâtir plus, produire plus, développer, aller plus vite. L’abondance, c’est l’opposé de la décroissance. Le mot a surgi dans le débat public à la mi-mars, avec la publication du livre Abundance (Simon and Schuster, non traduit) par deux journalistes : Ezra Klein, Californien d’origine, chroniqueur au New York Times et podcasteur à succès, et Derek Thompson, journaliste pendant dix-sept ans au magazine The Atlantic, essayiste et lui aussi animateur de podcast. Leur credo : mettre au centre de la politique, non pas une revendication – égalité, justice, prospérité –, mais une projection. Celle d’un avenir où logements, énergies, transports et soins seraient disponibles à profusion. Aux élus de proposer comment y arriver. « La question de base, c’est : de quoi voulons-nous davantage ? », expliquait Ezra Klein lors d’une conversation avec le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, après la sortie du livre. Alors que le Parti démocrate traverse un épisode de déprime, la thématique de l’abondance est tombée à pic. Le livre est devenu un best-seller et une bénédiction pour des élus en mal de message positif. « La gauche se caractérise souvent par des freins, des limites, remarque un militant démocrate de San Francisco. Là, il s’agit de dire oui. » L’engouement a gagné les élus, pour la plupart modérés, comme les gouverneurs Kathy Hochul (New York), Tim Walz (Minnesota), Wes Moore (Maryland), Jared Polis (Colorado), et Gavin Newsom. Un groupe parlementaire s’est formé au Congrès. Baptisé « Build America » et surnommé « Caucus Abondance », il rassemble dix-sept démocrates et douze républicains. « Nous savons qu’il faut construire des logements, développer le réseau électrique et investir dans la recherche scientifique, notait le représentant démocrate de Californie Scott Peters, en présentant le nouveau groupe, le 9 mai. Pourtant, nous laissons des groupes prétendument écologistes prendre en otage la transition énergétique dans des décennies de contentieux juridique. » Le rêve américain 2.0 La Californie est le lieu de naissance du nouveau paradigme. L’Etat, qui était devenu le modèle à ne pas suivre, entre crise du logement, coût de la vie élevé et insécurité urbaine, a repris son rôle d’incubateur de nouveaux mouvements sociaux. Après la révolte antifiscale des années 1980, après l’émergence du mouvement écologiste, après le combat pour les droits civiques des homosexuels, l’abondance est la boussole de la nouvelle coalition qui se construit dans les villes américaines. La ligne de partage n’est plus entre démocrates et républicains, progressistes et conservateurs. Elle oppose maintenant les « Nimby » (« Not in my backyard ! », « pas dans mon jardin ») aux « Yimby » (« Yes in my backyard ! », « oui, dans mon jardin »). Les « Nimby » sont écologistes, anticroissance, antiforage, adeptes du principe de précaution. Leurs contradicteurs ont émergé dans la sphère des entreprises technologiques à San Francisco. Ils portent la revendication des jeunes en mal de logement malgré leurs salaires mirobolants – en trente ans, l’âge de la primo-accession à la propriété est passé de 28 ans à 38 ans aux Etats-Unis. Les « Yimby » réclament des maisons, de l’énergie pour leurs réseaux, des panneaux solaires, des innovations, et surtout, des résultats. L’abondance, c’est le rêve américain 2.0, si possible à vitesse accélérée. Les auteurs du livre dressent un réquisitoire accablant contre la gestion des affaires dans les collectivités démocrates. Les Etats-Unis, qui ont érigé des ouvrages aussi gigantesques que le barrage Hoover, sur le fleuve Colorado, entre l’Arizona et le Nevada, ou le réseau d’autoroutes inter-Etats, ont perdu leur capacité à construire, regrettent-ils. Lancé en 2008, le TGV californien, qui devait relier Los Angeles à San Francisco, reste à l’état embryonnaire dans la vallée Centrale, malgré plusieurs milliards de dollars d’investissements et le soutien de l’opinion – mais 2 270 terrains à exproprier, soit un nombre incalculable de litiges en justice, se défend le gouverneur Newsom. Dans le même temps, la Chine a construit 37 000 kilomètres de liaisons ultrarapides. En Allemagne, 1 kilomètre de voie ferrée à grande vitesse coûte 384 millions de dollars (328 millions d’euros) ; au Japon, 267 millions de dollars ; aux Etats-Unis, 609 millions de dollars… « Des obstacles désuets » Ezra Klein et Derek Thompson accumulent les exemples. Pourquoi le kilomètre de métro coûte-t-il douze fois plus cher à New York qu’à Paris ? Pourquoi les cinq Etats possédant le taux le plus élevé de personnes sans abri sont-ils tous gouvernés par des démocrates ? Pourquoi les métropoles californiennes accordent-elles si peu de permis de construire, par rapport à celles du Texas ? Dix-huit nouvelles constructions pour 1 000 habitants en 2022 à Austin contre 2,5 pour 1 000 habitants la même année à San Francisco et à Los Angeles. Réponse : les réglementations, les rapports de consultants, les délibérations d’organismes publics divers et, pour ce qui concerne le logement, le zoning ou plan d’occupation des sols, jalousement surveillé par les « Nimby », soucieux de préserver leur tranquillité et leur vue sur la mer. Des développements indispensables, comme des panneaux solaires ou parcs d’éoliennes, sont « bloqués ou ralentis jusqu’à l’immobilisme par des obstacles désuets et d’un localisme étroit », déplore l’organisation Inclusive Abundance Initiative, à l’origine de la conférence Abundance 2024, qui s’est tenue en octobre, à Washington. A San Francisco, pour qu’un projet immobilier soit approuvé, il doit satisfaire tout un catalogue d’exigences : réserver les contrats aux petites entreprises, obtenir l’aval du Bureau de la diversité et de la Commission des arts, embaucher localement, acheter l’électricité auprès de la compagnie municipale. Sur le plan fédéral, les projets d’infrastructures dans les énergies renouvelables doivent franchir plus de soixante procédures d’examen distinctes, dont l’une analyse leur conformité avec le traité sur les oiseaux migrateurs de 1918. Pour les adeptes de l’abondance, la gauche freine le progrès à force de s’en réclamer. Aux « Nimby » qui pensent protéger la planète en freinant le développement, ils répondent que le sentiment de pénurie alimente le vote populiste. In fine, la démocratie pâtit quand le gouvernement n’arrive pas à produire de résultats. Coalition hétéroclite Les « Yimby » prêchent l’« optimisme radical », par opposition au langage doom and gloom (« morosité et pessimisme ») qui caractérise, selon eux, les défenseurs d’une planète en sursis. Leur coalition est hétéroclite. Elle rassemble des figures de la tech, comme Reid Hoffman, le fondateur de LinkedIn, des libertariens, des conservateurs hostiles à l’Etat comme Charles Koch, dont la fondation finance le programme Abundance Agenda. Dès 2020, le gourou-investisseur de la Silicon Valley Marc Andreessen, aujourd’hui rallié à Donald Trump, publiait un essai intitulé It’s Time to Build, appelant l’Amérique à construire davantage d’infrastructures et plus vite. En octobre 2023, dans son « Manifeste techno-optimiste », il assurait que la technologie parviendra à résoudre le « problème de la pauvreté » et à « créer l’abondance ». Des années plus tôt, en 2012, un autre des grands noms de la Silicon Valley, Peter Diamandis, médecin, entrepreneur dans le spatial et proche du transhumanisme, publiait un livre développant le même thème (Abundance. The Future Is Better than You Think, Free Press, non traduit). Il y faisait miroiter un avenir technologique qui répondrait aux besoins fondamentaux de l’humanité « à une échelle inédite ». Cette proximité avec les adeptes du « solutionnisme technologique » n’enthousiasme pas tout le monde, dans le camp démocrate. Les progressistes notent l’absence de réflexion sur le rôle de la finance et de la consolidation des secteurs économiques. Pour eux, l’absence de redistribution et de justice fiscale est autant à blâmer que les carcans réglementaires. Mais la tendance est là. Le 30 juin, les élus démocrates ont émasculé l’un des textes fondamentaux de la Californie, le California Environmental Quality Act. Promulguée par Ronald Reagan, alors gouverneur de l’Etat, en 1970, cette loi prévoit que les citoyens ont un droit de regard sur les mesures touchant à leur environnement. Depuis vingt ans, elle a permis de freiner le développement. La réforme, qui a introduit des exemptions majeures à l’application du texte, a grandement déçu syndicats et écologistes. Un avant-goût des discussions qui risquent d’ébranler la coalition historique de la gauche à l’approche des échéances électorales de 2026 et 2028. Contribuer Réutiliser ce contenu https://www.lemonde.fr/international/article/2025/08/24/comment-les-democrates-americains-se-reinventent-autour-de-l-idee-d-abondance_6634255_3210.html
  16. A un moment il faut arrêter de projeter tes désirs dans le propos de tes interlocuteurs LA modération n'est pas une femme essentialisée malgré qu'elle est genrée au féminin dans la langue française
  17. Il n'est pas opposé, il la nuance c'est très différent. C'est un déterministe qui pense que nous sommes bien plus déterminé par la génétique, l'épigénétique, l'environnement, l'éducation, la collectivté que par nos "propre choix", il ne dit pas que nous ne sommes pas libre de nos propre choix, il dit juste qu'on est bien moins libre que certain ne le pense. Ce n'est pas nouveau c'est déjà très largement théorisé en psychologie, systémique, neuro-psy et bien sur psychiatrie depuis bel lurette. Ce délire de libre arbitre total et de toute puissance qui perdure au delà de l'enfance est d'ailleurs très récent ... et typique des enfants gâtés des sociétés modernes.
  18. Normalement lors d'un rachat d'action les titres disparaissent, ils ne sont donc plus cessible... ... a priori c'est une augmentation de capital. Les nouveaux titre étant vendue à l'administration gratuitement, en échange des aides prévues par l'administration Biden. En gros soit Intel perdait 10 milliards d'aides, soit Intel troquer l'équivalent en action contre 10 milliards d'aides.
  19. Je suis toujours surpris qu'on perpétue le modèle obsolete des tranchées ... il faudrait voir en détail un peu au delà de la vulgarisation, mais à mon sens à l'ere de la transparence, la "tranchée" est morte. Par contre le retour des modèles de contre mobilité automatique - les mines et autre mines dispersable, charge prépositionné, minage hors route etc. - est un plutot bonne initiative, à condition de disposer de moyen de réalimenter les zones d'interdiction régulièrement par artillerie cargo ou drone. Plutôt que des tranchée l'important ce sont des abris d'infanterie souterrain ... de manière pour pouvoir supporter les attaques d'artillerie, de drone et autre bombardement sans souci. Puis à etre à nouveau disponible lorsque l'ennemi vient au contact - l'imbrication réduisant l'effet des effecteurs à distance -.* L'autre élément important ce sont les moyens d'observation déporter... ca peut être bétement une flotte de Tesla garé n'importe ou qui remonte les mouvements de l'ennemi qui passe à coté. Les caméra de surveillance d'habitation, de chasseur, de commerce etc. Une transparence sans drone ... passive. Pendant longtemps on utilisait des périscope de tranchée ou de fortification, dissimulé dans les rocher, des buissons etc. Autre élément importe si ce n'est capitale, le contrôle de la transparence via de large solution de masquage par fumigène. Il faut pouvoir soustraire des pan entier du théâtre à l’œil de l'ennemi pour permettre la mobilité. Soit par fumigène sur de très grande zone ... soit par des long tunnel entre village, ville, quartier, immeuble etc. L'objectif c'est de pouvoir déplacer ou ravitailler sa force sans subir et sans avoir à déployer des moyens important de DSA contre batterie etc. --- Pour les dents de dragon je n'ai jamais compris l’intérêt ?! A priori ca se déplace facilement avec une pelleteuse, une lame dozer ou une bête treuil, voir une coup direct de HESH ?! Sauf à la piéger très lourdement j'ai du mal à voir en quoi ca freine l'ennemi plus de des rail battus verticalement par exemple? --- Un truc trop négligé les zones humides et ou inondable, ce n'est pas applicable partout mais c'est une putain de purge pour les engins terrestre, quasi aucun blindé n'est capable de les franchir proprement, c'est facilement à miner et à interdire tant la vitesse d'évolution dessus et lente, et tant ca saute au yeux quand des engins s'y aventure.
  20. Pour l'exploitation miniere n'est pas rentable en Ukraine ... https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/03/03/la-russie-envahit-elle-l-ukraine-pour-ses-ressources-naturelles_6116020_4355770.html
  21. https://reporterre.net/Un-enjeu-cache-de-la-guerre-en-Ukraine-les-matieres-premieres Qu’en pense la population ukrainienne ? Depuis 2004, les habitants de la région de Marioupol, dans le Donbass, s’opposent à l’exploitation du gisement de terres rares et de zirconium d’Azov en raison des risques de pollution radioactive et ont obtenu deux fois l’interruption de la délivrance d’un permis. La dernière mise aux enchères du gisement en janvier 2021 a déclenché de grandes manifestations dans les districts de Manhoush et de Nikolske. Une fois la guerre terminée, les Ukrainiens n’auront-ils pas la mauvaise surprise de découvrir que pendant qu’ils tentaient de survivre aux assauts et aux bombardements russes, leurs régions ont été vendues aux entreprises minières et gazières ?
  22. https://www.touteleurope.eu/l-ue-dans-le-monde/minerais-terres-rares-pourquoi-le-riche-sol-de-l-ukraine-attire-les-convoitises-des-etats-unis/ Des ressources difficilement exploitables Ces ressources sont également synonyme d'intérêt stratégique majeur pour les Européens, notamment pour réduire leur dépendance vis-à-vis des importations chinoises et sécuriser leur approvisionnement. Actuellement, Pékin contrôlerait 60 à 70 % de la production de terres rares, et même 100 % de l'offre raffinée de graphite naturel, selon l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (AIE). L'utilisation des ressources du sol ukrainien fait par ailleurs face à plusieurs obstacles. À commencer bien sûr par le conflit avec la Russie. Plusieurs gisements majeurs sont actuellement situés sur des territoires occupés par l'armée russe, dans la région de Donetsk par exemple. L'autre difficulté réside dans l'extraction et le raffinage de ces minerais, qui s'appuient sur des procédés coûteux et polluants. Ce qui explique que l'Ukraine n'a, à ce jour, ouvert aucune mine pour les exploiter. Une mise en exploitation impliquerait des investissements d'ampleur, notamment dans les infrastructures (routes, réseaux électriques, etc.) et prendrait une à deux décennies. Peu de chances, donc, de voir la moindre production sortir du sol ukrainien avant la fin du second mandat de Donald Trump. Mais sans aucun doute une garantie, pour les Ukrainiens, que les États-Unis ainsi intéressés mettront tout en œuvre pour maintenir la sécurité dans le pays.
  23. étonnament ce sont des études qui remontent à l'époque soviétique et depuis personne en Ukraine ne s'est donné la peine de les exploiter ... quelle surprise. Les ukrainiens sont vraiment trop con. Ou plutot il y a bien des minérais, mais aucune étude récente ne valide leur présence, et surtout aucun investisseur n'y a vu de rentabilité économique. Parce qu'il ne suffit pas qu'il y ai du lithium quelques part pour qu'il soit rentable de l'extraire. Aujourd'hui par exemple le cours du lithium est tellement volatile que les mines chinoises sont à l’arrêt. CATL n'a meme pas obtenu le renouvellement de son permis concernant la plus grande mine de Chine. Et tout le reste est à l'avenant ... ... les jolies couleurs sur la carte ne représente pas de la production rentable de minéraux. Juste des études concernant leur présence, et dont on a des doutes sur la fiabilité.
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