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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. Pas s'ils sont sous l'écran de fumée initialement mis en place par des moyen jetable ... c'est toujours une question de doctrine, de tactique, de tempo etc. De la même maniéré que les fantassins ou les blindés procèdent d'appui mutuel, les enfumer peuvent se masquer mutuellement. En général il sont d’ailleurs conçu pour cela. On souffle la fumée contre le vent de manière à ce quel enveloppe le générateur de fumée sur au moins 100m. C'est encore utilisé mais pas pour les petites opération qu'on voit actuellement. Crée un brouillard sur 30km² pour faire avancer cinq blindé c'est d'une rentabilité logistique pas évidente par exemple.
  2. g4lly

    Génie

    Parfois ce qu'il ce passe c'est que la roue avant passe à coté de la mine, mais pas la roue arriere. Je sais que ca peut paraitre étonnant, mais d'une les voies ne sont pas forcément aussi large à l'avant et à l'arriere, mais en plus il n'est pas si courant qu'on fasse une trajectoire strictement droite, encore plus en tout terrain. C'est souvent un probleme du déminage à "roller" notament. Sinon souvent les mines sont connecté entre elle horizontalement pour que certaine ne s'active que quand une autre est pressé - elle est en mode esclave - . Passer vite du la première peut faire péter toute la chaine, ou au contraire activer tout la chaine qui pétera au prochain passage. Il n'y a pas de limite tactique à l'emploi de piège., c'est un vrai mécano qu'on peut monter de tas de manière. D’où les solution de nettoyage pyrotechnique par "décapage" thermobarique du sol, qui enlève le plus gros, et les connexion entre les mines, puis le passage d'une charrue pour enlever le reste. Je ne sais pas si ces déminage pyrotechnique sont efficace contre les mine hors route. En gros à quel distance le souffle souffle les trépied et autre affut des mines hors route.
  3. Tous les prêts bancaires produisent de l'euro ex-nihilo c'est le principe même de la banque !!! Quand tu souscris un prêt immobilier, ta banque fabrique des euros - monnaie secondaire - en échange de l'émission de la créance ... et d'une imputation au bilan de la baque.
  4. Enfin ... il y a un fil sur les remorques pour fantassin.
  5. Les munitions - obus et fusée - servent à mettre en place l'écran chez l'ennemi. Mais chez toi tu peux avantageusement utiliser des générateur de "fumée" sur des petit véhicule genre pickup comme toute les armées l'ont toujours fait. Les générateur de fumée c'est très basique c'est du gasoil pulvérisé sur une surface chaude - sur l'échappement dans les blindés par exemple -. Donc on est pas sur de la haute technologie du tout, et ce sont quasiment des moyens jetable, chaque véhicule générateur doit couter meme cher qu'un ATGM. Exemple https://www.twz.com/news-features/russian-troops-deploy-huge-smokescreen-to-hide-from-marauding-drones https://fr.topwar.ru/207753-dymovaja-mashina-tda-3.html
  6. https://www.boursorama.com/actualite-economique/actualites/netanyahu-durcit-ses-critiques-contre-la-france-qui-appelle-a-la-desescalade-523b46625be9c87ed9e81a53334c7f2f Netanyahu durcit ses critiques contre la France, qui appelle à la désescalade Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a accusé les dirigeants français, britannique et canadien, coupables à ses yeux d'avoir menacé Israël de "mesures concrètes" en cas de poursuite de son offensive à Gaza, de se ranger du "mauvais côté de l'humanité" et de "l'Histoire". Paris a rejeté ces accusations et appelé à la désescalade. Ces attaques verbales de Benjamin Netanyahu s'ajoutent à celles de son chef de la diplomatie Gideon Saar, qui a accusé jeudi sans les nommer des responsables européens d'"incitation toxique à l'antisémitisme", après le meurtre de deux employés de l'ambassade d'Israël à Washington, des propos jugés "outranciers" par le Quai d'Orsay. En durcissant le ton, le gouvernement de Benjamin Netanyahu cherche à parer aux critiques de plus en plus fermes de la communauté internationale à l'égard de sa campagne militaire dans la bande de Gaza, qu'il a soumise pendant plus de deux mois à un blocus humanitaire total. Les responsables israéliens s'inquiètent en particulier d'appels croissants de pays européens, dont la France, à emboîter le pas de l'Espagne ou de l'Irlande qui ont reconnu un Etat palestinien. "Vous êtes du mauvais côté de l'humanité et du mauvais côté de l'Histoire", a déclaré Benjamin Netanyahu à l'adresse du président français Emmanuel Macron et des Premiers ministres britannique Keir Starmer et canadien Mark Carney. MONTÉE EN TENSION Dans une déclaration conjointe publiée le 19 mai dernier, les trois dirigeants avaient notamment fustigé "le refus du gouvernement israélien d'apporter une aide humanitaire essentielle à la population civile, le langage odieux utilisé récemment par des membres du gouvernement israélien et la menace agitée d’un déplacement forcé des civils confrontés à la destruction désespérante de Gaza". "Nous avons toujours soutenu le droit d'Israël à défendre les Israéliens contre le terrorisme. Mais cette escalade est totalement disproportionnée", avaient-ils souligné. Dans un message sur X, Benjamin Netanyahu a accusé les trois pays de soutenir "les meurtriers de masse, les violeurs, les tueurs de nourrissons et les kidnappeurs", par allusion aux attaques du Hamas le 7 octobre 2023 dans le sud d'Israël. Pour le Premier ministre israélien, qui dirige le gouvernement le plus à droite de l'histoire de l'Etat hébreu et dépend du soutien des partis ultranationalistes, l'existence d'un Etat palestinien menacerait celle d'Israël. "Je ne pourrai jamais comprendre comment cette simple vérité échappe à la France, à la Grande-Bretagne, au Canada et à d'autres", a-t-il dit. Toute reconnaissance d'un Etat palestinien par les pays occidentaux serait selon lui "une récompense donnée à des meurtriers". "Nous n'acceptons pas ces accusations", a répondu la porte-parole du gouvernement français, Sophie Primas, lors du compte rendu du conseil des ministres vendredi, appelant à "désescalader cette montée en tension" entre la France et Israël. "Notre relation avec Israël est toujours la même. Nous défendons le droit d'Israël à se défendre (...) mais nous n'acceptons pas la situation à Gaza et nous n'acceptons pas que l'aide humanitaire aujourd'hui soit bloquée à Gaza. Nous demandons un cessez-le-feu, nous demandons l'entrée massive d'aide humanitaire à Gaza et nous avons toujours la même recommandation, depuis très longtemps, qui est la reconnaissance de deux Etats pour assurer une paix durable", a-t-elle dit.
  7. Je n'ai rien vu de tout ça ... Les russes tiennent Shevchenko et Zvirove ... en envoie des scouts dans les faubourg de Pokrovsk comme ils faisait au début de l'offensive sur Pokrovsk. Et à l'est la situation à l'air presque aussi pourrie.
  8. Pendant ce temps là : Le front de Vovchansk se réactive, avec quelques conquête russe à l'est de la ville. La ville pourrait finir par etre prise finalement. Coté Kupiansk on se bat dans Kindrashivka ... les russes essayant de contourner Kupiansk par le nord-ouest. Coté Zarichne ... les ukrainiens semblent avoir forcé les russes à abandonner leurs positions dans Torske. C'est encore à l'état de supposition parce qu'il n'y a pas beaucoup de source vidéo, mais les russes bombarderaient bien des positions dans Torske, donc forcément pas les leurs. Coté H-32 les russes continuent à progresser le long de la route coté sud vers Kleban-Byk, de meme qu'à l'ouest vers Novoekonomichne. Coté trois fontieres, Zelene Pole et Novopil serait conquis par les russes.
  9. L'offensive d'été ? Ou ? Quand ? Comment ?
  10. Trump annonce l'échec des négociations avec l'UE et la mise en place de taxe douanière à hauteur de 50% sur tout les produits venant de l'Union à partir du 1 juin.
  11. La notion de planche à billet est assez fausse ... ... il s'agissait surtout de racheter des créances un peu pourrie, et d'essayer de les recouvrer plus tard - ce qui fait disparaitre l'argent prêté en pratique -. Il se trouve que beaucoup plus que prévu a été recouvré ce qui a rendu le risque quantitatif bien moindre qu'anticipé, et comme les créances avait des taux d’intérêt assez important il y a même eu des gains. La planche à billet c'est plutôt l'étape d'avant ... quand des banques produise des lignes de crédit, et donc des prêts ... avec des chance de rentrer dans leur argent assez modeste, puis se refile la patate chaude sous forme de titre.
  12. Il n'est pas impossible que cette interdépendance ait largement retarder la cristallisation des conflits ... mais la conflictualité peut très bien déborder au delà de ce que les liens du business peuvent apaiser. A mon sens c'est pour cela que ce conflit intervient si tard dans l'expansion à l'est du "bloc occidental".
  13. Poutine annonce la nécessité de créer une zone tampon de sécurité au nord est de l'Ukraine pour protéger Moscou des attaques ukrainienne. La zone formerait une certaine épaisseur au delà de la frontière - donc en territoire ukrainiens qui serait alors occupé, d'épaisseur indéfinie pour le moment - depuis Chernihiv jusque Kjarkiv en gros. Aujourd'hui Moscou est à 400km à vol d'oiseau de la frontière ukrainienne la plus proche. Si ça se réalisait il n'y aurait plus de frontière commune entre la Russie 94' et l'Ukraine libre. En pratique ça doublerait la longueur de front active - les deux belligérant étant obligé de considérer leur frontière commune comme un front froid ... c'est un front potentiel donc ça mobilise un minimum de force quand même, on peut même supposer que l’Ukraine mobilise, ou du moins laisse disponible, un minimum de force face à la Biélorussie au cas ou -. Raisonnablement activer un nouveau front aussi long ne semble pas envisageable coté russe ... mais on peut supposer qu'ils vont essayer d'en activer les secteurs les plus critique concernant les lancement d'attaque vers Moscou. Les trajectoires supposées des drones attaquant Moscou...
  14. https://www.lemonde.fr/pixels/article/2025/05/22/accusations-d-ingerence-a-quoi-joue-pavel-durov_6607799_4408996.html Accusations d’ingérence : à quoi joue Pavel Durov ? Le patron de Telegram a accusé la France d’ingérence en Roumanie, dans une manœuvre qui semble surtout liée à sa mise en examen par la justice française. Quelle mouche a donc piqué Pavel Durov ? Dimanche 18 mai, alors que la Roumanie vote pour élire son nouveau président, le patron de Telegram a publié une série de messages accusant la France, et plus spécifiquement le directeur de la DGSE Nicolas Lerner, de lui avoir demandé de censurer des « voix conservatrices en Roumanie ». Les accusations, à l’appui desquelles M. Durov ne présente aucune preuve, ont été immédiatement démenties par le Quai d’Orsay puis, cas rarissime, par la DGSE. Pourquoi donc, si M. Durov a bien fait l’objet au printemps, comme il l’affirme, de pressions qu’il juge illégales, a-t-il attendu la toute dernière ligne droite du deuxième tour de l’élection présidentielle roumaine, au moment où les premiers sondages sortis des urnes annonçaient la victoire du candidat pro-européen, pour en révéler l’existence ? Le moment choisi par M. Durov, de nature à inciter les électeurs « anti-système » à se rendre aux urnes, donne à son message toutes les caractéristiques d’une tentative de peser sur le résultat du scrutin. Quelles « voix conservatrices » aurait-il, d’ailleurs, bien pu « faire taire » ? Ni l’ancien candidat Calin Georgescu, ni George Simion, battu ce 18 mai, n’ont de compte officiel sur Telegram – M. Simion préférait jusqu’à peu WhatsApp, la messagerie honnie par M. Durov. Si les sympathisants des deux candidats anti-européens ont bien utilisé l’application pour s’organiser, y compris pour coordonner la diffusion de messages mensongers, c’est sur Facebook et TikTok que M. Simion a mené sa campagne en ligne : sur chacune de ces deux plateformes, bien plus populaires que Telegram en Roumanie, il compte 1,7 million d’abonnés, un chiffre conséquent dans un pays d’environ 20 millions d’habitants. Brouillage des lignes avec la Russie Alors que Pavel Durov a passé une décennie à tenter de se distancier de la Russie, à quoi joue-t-il à s’aligner avec un candidat d’extrême droite pro-russe ? Ce 20 mai, il a proposé à M. Simion de venir témoigner dans la procédure demandant l’annulation du second tour de l’élection – cette dernière a été rejetée, ce 22 mai, par la justice roumaine. M. Simion conteste être un allié du Kremlin, mais ses positions sont alignées avec celles de Moscou, et sa candidature était ouvertement soutenue par la Russie. Or, Pavel Durov a consacré énormément d’énergie, ces dix dernières années, pour tenter de faire oublier les origines russes de Telegram, et à assurer qu’il était, sinon un opposant politique, au moins la victime de persécutions de la part de l’appareil d’Etat russe. « Je ne comprends pas pourquoi des médias écrivent que Telegram est basé en Russie. Nous n’avons ni serveurs, ni développeurs, ni compte en banque, ni bureau dans ce pays », écrivait-il en 2023. En 2011, M. Durov avait rendu publique une demande de blocage de plusieurs groupes de discussion sur son précédent réseau social, Vkontakte, émise par le FSB (service fédéral de sécurité de Russie), pour dire qu’il ne l’appliquerait pas. Trois ans plus tard, il avait quitté la Russie, après avoir perdu le contrôle de Vkontakte, au terme d’une opération complexe derrière laquelle M. Durov avait dit voir la main du Kremlin. En 2018, Telegram a été partiellement bloqué en Russie, pour défaut de collaboration avec le FSB. Mais ses critiques dénoncent une opposition de façade : Telegram a été débloqué en 2020 en Russie après des concessions de l’entreprise pour « combattre le terrorisme et l’extrémisme », selon l’agence publique russe Tass ; M. Durov s’est rendu en Russie à au moins 50 reprises depuis 2014, comme l’avait révélé le magazine Istories ; et son frère Nikolaï, concepteur de l’algorithme de chiffrement de Telegram, a continué d’être listé parmi les employés de l’université de Saint-Pétersbourg jusqu’en 2023. Rapport de force judiciaire M. Durov est un animal politique difficile à classer. Il se dit libertarien, croit à une version maximaliste de la liberté d’expression, a une aversion pour l’Etat et l’impôt. En 2023, un porte-parole de Telegram expliquait au Monde que M. Durov appréciait les politiques mises en place par Emmanuel Macron depuis 2017 – M. Macron a reconnu, l’an dernier, qu’il avait validé l’octroi d’un passeport français à M. Durov. Mais le fondateur de Telegram a aussi des accointances avec l’extrême droite. En 2015, après les attentats de Paris, il s’en prenait, dans un message depuis effacé, au gouvernement socialiste de l’époque, accusé d’avoir fait de la France un « paradis social parasitique pour les immigrés d’Afrique du Nord ». Les droites dures européennes et américaines l’adorent, à commencer par Elon Musk – ce qui peut être bon pour les affaires. Musk et Durov ont annoncé, fin mars, que l’IA Grok appartenant à Musk serait désormais disponible sur Telegram – les détails de l’accord financier entre ces deux champions autoproclamés de la transparence n’ont pas été communiqués. C’est au journaliste pro-Trump Tucker Carlson que M. Durov a accordé sa dernière interview, dans laquelle il assurait que Telegram devait rester une plateforme neutre et ne pas devenir un « acteur géopolitique ». Une affirmation difficilement conciliable avec ses récentes interventions dans la politique roumaine. Mais M. Durov n’est pas seulement le patron de Telegram : il est aussi, depuis l’an dernier, mis en examen en France, pour une série de délits liés à l’absence de collaboration de Telegram avec la justice et à des manquements présumés dans la modération de la plateforme. M. Durov, présumé innocent, est astreint à un contrôle judiciaire relativement clément mais qui lui interdit de se déplacer à l’étranger sans l’autorisation d’un juge. Or, comme l’a révélé Politico, il s’est vu refuser le 12 mai l’autorisation de se rendre aux Etats-Unis, où il devait rencontrer des investisseurs. En début d’année, il avait été autorisé à se rendre à Dubaï, où se trouve le siège de Telegram. C’est sans doute à cette aune qu’il faut lire cet autre message publié ce 20 mai, dans lequel il accepte publiquement une invitation à se rendre à Oslo pour participer à une conférence sur les droits de l’homme organisée par une ONG américaine. Un refus fournirait à M. Durov l’occasion de se plaindre qu’on le censure ; une acceptation serait une victoire. Pile je gagne, face tu perds : la manœuvre est habile, mais M. Durov sait certainement que ce n’est pas via des provocations publiques que se règlera sa procédure judiciaire en cours.
  15. Au début du conflit c'était largement employé ... mais je suppose que les munitions se faisant rare ... les fumigènes deviennent la dernière roue du carrosse.
  16. Les drones d'observation ne verrais pas a travers ... s'il faut s'approcher à 100m pour voir quelques chose ca limite drastiquement l'usage des drones aérien quand même ...
  17. At the Anzio beachhead in 1944, US Chemical Corps troops maintained a 25 km (16 mi) "light haze" smokescreen around the harbour throughout daylight hours, for two months. The density of this screen was adjusted to be sufficient to prevent observation by German forward observers in the surrounding hills, yet not inhibit port operations.
  18. Les chinois sont pas plus con que les autres ... le machin va envoyer régulierement son état, et tous ses changements d'état pour alimenter le BDA, sinon la liaison bidirectionnelle ne sert à rien. Or le changement d'état le plus important c'est le déclenchement de la fusée. C'est la que tu sais que tu as fait but sur un truc qui permette le déclenchement de la fusée, donc un truc assez gros au moins de la taille de missile de croisière par exemple.
  19. Il existe des leurre déporté électronique ... en général des leurre remorqué. Mais ils sont justement conçu pour ne pas déclencher la fusée de proximité du missile, parce que comme ils sont tracté il ne sont pas loin de l'avion a défendre et faire exploser le missile pas loin de l'avion à défendre c'est risqué aussi. C'est pour ça que je ne comprends pas l'argumentation de l'indien ... un leurre attire ou aveugle un missile, mais ne le déclenche pas. Donc les pakis même s'ils ont récupéré les donnée de poursuite de leur missile sur une cible, données qui auraient pu conduire à une mauvaise interprétation, n'ont probablement pas reçu le signal du déclenchement de la fusée de proximité si le missile a bien attaqué un leurre - ou plutôt l'image produite par un leurre ou un systeme de leurre -. Et s'il n'ont pas reçu le signal de la fusée de proximité ... c'est qu'il n'y a presque certainement pas eu de coup au but. Je suppose que s'ils revendiquent vraiment un coup au but avec un missile disposant d'une liaison de donnée bidirectionnelle, c'est qu'ils ont eu le signal de la fusée de proximité - qui sert au aussi de détection d'impact - ... chose qui ne s'est très probablement pas produit en croisant un "leurre" - au sens de ceux embarqué dans des jet -. --- Tout ça pour dire que l’hypothèse de l'indien me semble en carton. --- Accessoirement si les avions ciblés étaient bien dans le champ de l'avion de guet, il a du aussi les voir tomber après le coup au but... Et si les avions n'étaient pas dans le champ qui à fait la DO? JE suppose que les avions n'ont pas été engagé alors qu'ils fuyaient loin frontière, mais plutôt en s'en rapprochant. C'est pas les deux ou trois minute de temps de vol du missile - si on parle bien d'un machin volant 200km - qui ont du changer drastiquement la distance entre l'avion de guet et les chasseurs cibles.
  20. g4lly

    Remplacement des alphajet?

    C'est Barzan Holding qui finance le développement de l'entreprise ... donc forcément. Et Barzan est propriété du Ministère de la Défense Qatari.
  21. Friedrich Merz veut remettre les Allemands au travail Et c’est reparti pour un tour. Les accusations selon lesquelles les Allemands ne travailleraient pas assez ont été relancées la semaine dernière par le nouveau chancelier en personne. Certes, Friedrich Merz ne fait que répéter ce qu’il disait lorsqu’il était chef de l’opposition, mais désormais c’est en tant que chef de gouvernement qu’il dresse le constat. Devant les députés fédéraux, lors de sa première déclaration de politique générale, il a appelé ses concitoyens à faire un « énorme effort » pour rendre le pays à nouveau « plus compétitif ». « Nous ne pourrons pas maintenir la prospérité de ce pays avec la semaine de quatre jours et l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée », a-t-il lancé, avec une certaine pointe de provocation. Manque de main-d’œuvre Quelques jours plus tard, une nouvelle étude venait confirmer ses propos. Selon l’institut de recherche IW de Cologne et des chiffres de l’OCDE, en 2024, les Allemands âgés de 15 à 64 ans auraient travaillé en moyenne 1 036 heures, soit dix de plus que les Français mais près de 200 heures de moins que les Suisses et 140 heures de moins que les Grecs. Dans ce classement de 27 pays, l’Allemagne occupe la 25e place. « En Allemagne, nous exploitons notre potentiel de main-d’œuvre en dessous de la moyenne, alors que les défis démographiques y sont plus importants », commente Holger Schäfer, auteur de cette étude, en référence notamment au manque de main d’œuvre, déjà en cours et à venir. L’institut IW estime à 20 millions le nombre de personnes qui partiront à la retraite d’ici 2036. La semaine de 40 heures à la place de la journée de 8 heures Pour inciter les Allemands à travailler davantage, le chancelier chrétien-démocrate et ses alliés sociaux-démocrates ont annoncé une série de mesures. Parmi elles, l’exemption d’impôts sur les heures supplémentaires et les heures travaillées par les retraités actifs. Opposé à la semaine de quatre jours – qui n’existe que de manière très limitée, notamment pour les conducteurs de trains et dans certaines entreprises –, le libéral Friedrich Merz promet aussi de revenir sur la règle de la journée de 8 heures, datant de 1918. Le nouveau gouvernement prévoit de la remplacer par une « semaine de 40 heures », qui permettrait de flexibiliser le temps de travail, selon les besoins. Certaines fédérations d’entreprises appellent par ailleurs à la réduction d’au moins un jour férié annuel, une mesure pas encore reprise par le gouvernement. Enfin, la ministre sociale-démocrate du travail, Bärbel Bas, souhaite inciter les femmes à travailler davantage, via un meilleur accueil de leurs enfants en crèche et en octroyant des primes non imposables à ceux et celles qui passeraient d’un temps partiel à un temps plein. Une question centrale dans ce pays où une femme sur deux travaille à temps partiel, bien plus qu’en France (29 %). Critiques des syndicats et de certains économistes Ces mesures, et surtout le changement de ton apporté par Friedrich Merz, ont été très positivement accueillis par les représentants des milieux économiques, mais suscitent des critiques de la part des syndicats et de certains économistes, comme Marcel Fratzscher, président du centre DIW de Berlin, selon qui le procès en paresse fait aux Allemands est un faux procès. « Les faits démentent très clairement cette affirmation : on n’a jamais autant travaillé en Allemagne que ces dernières années, les heures travaillées ont atteint un sommet, écrit l’économiste sur X. Les Allemands ne sont donc pas devenus paresseux, ils se répartissent simplement le travail différemment. La pénurie de travailleurs en Allemagne ne sera pas résolue par la suppression de jours fériés ou de privilèges fiscaux pour les heures supplémentaires à temps plein. La clé de la pénurie de main-d’œuvre réside dans la suppression des nombreux obstacles à l’activité professionnelle des femmes, des réfugiés et d’autres personnes venant de l’étranger », précise-t-il, en demandant des réformes plus larges. 46 millions d’actifs pour 84 millions d’habitants Au premier abord, les chiffres prêtent en effet à confusion. Si les Allemands travaillent moins en moyenne que la plupart de leurs voisins européens, ils n’ont jamais été aussi nombreux à travailler en chiffres absolus. Le pays compte 46 millions d’actifs, un record pour ce pays de 84 millions d’habitants. Or selon l’IW de Cologne, le pays semble arrivé au maximum de ses capacités, en raison du vieillissement de sa population, d’où l’enjeu « d’augmenter le temps de travail individuel en Allemagne ». L’une des particularités de ces débats est toutefois qu’il intervient en pleine période de doutes économiques. L’Allemagne devrait vivre une année 2025 sans croissance après deux années dans le rouge, et le nombre de licenciements et de restructurations augmente, notamment dans l’industrie. Pas sûr que ces incitations à travailler plus tombent au meilleur moment.
  22. Et donc toujours rien concernant l'offuscation du champ de bataille ... ça m'étonnera toujours.
  23. On a un probleme de production de richesse ... au sens collectif. On a construit un mode de vie sur un PIB per capita qui augmentait très vite ... et ce jusqu'en 2008 en gros. Depuis il stagne. Le PIB per capita allemand tourne autour de 50k$ depuis 15 ans par exemple. Or le taux d'emploi allemand est déjà très élevé, donc on ne pas vraiment mettre plus de monde au travail. La solution - à supposer qu'il y ait un probleme - c'est de faire travailler les gens plus longtemps. Soit par semaine comme c'est proposé ici. Soit au cours de la vie, comme l'age de départ à la retraite, l'éternel débat en France. Le probleme de l'Allemagne, c'est le temps de travail effectif le plus faible de l'OCDE ... en gros tout le monde travail, mais pas forcément longtemps, et le temps partiel est très largement utilisé. Le travailleur allemand moyen fait 1.343h par an, le travailleur OCDE moyen 1.742h ou 1.592h en France - pour 1.607h temps plein légal -. En gros il y a une forme de dérive de l'usage du temps partiel en Allemagne, ce qui concerne 1/3 des actifs Pourquoi travailler à temps partiel ... parce qu'il y des avantages fiscaux et des complément de revenu sur le temps partiel, et donc on gagne plus à l'heure qu'à temps plein. En gros le salarié n'a pas forcément avantage à travailler plus, et l'employeur pas forcément non plus - l'employé à temps partiel est exonéré d'une partie des charges -. D'autant que vu le taux d'emploi en Allemagne l'employeur n'est pas forcément en position de force pour demander à son employé de travailler plus. Et comme en plus travailler moins ça permet de ne pas avoir à payer la nounou, de passer plus de temps avec ses gosses etc. on y prend vite gout. En gros on est passé d'un temps partiel imposé - au femme - par le cout du travail - garde d'enfant coté salarié, et réduction de charge coté employeur - à un temps partiel bienvenu finalement parce qu'on ne gagnerait pas vraiment plus à bosser plus. Et comme le chômage est très faible, à priori incité la population active à travailler plus ne devrait pas produire de chômage. D’où l'idée de ne plus favoriser autant le temps partiel, mais à la place d'assouplir l'organisation du travail coté horaire. --- Exemple une femme qui fera 4x10h - plutôt que 4x8 en temps partiel, ou 5x8 en temps plein mais avec le cout de la garde d'enfant - aurait un revenu temps plein seulement 4 trajet domicile travail, et pourtant 3 jours à la maison. Ça peut intéresser celle qui souffre du temps partiel subit lié à la garde d'enfant par exemple, et qui donc sont à 70 ou 75% pour économiser la garde le mercredi. Ce genre de possibilité de semaine de 4 jours a été proposé en Belgique, ça n'a pas susciter un immense engouement, mais au moins ça laisse le choix. --- En France le probleme c'est l'activité ... en gros le taux d'emploi, et même la population active avant tout. C'est la raison pour laquelle modifier la durer hebdomadaire de travail n'est pas réclamé par grand monde. 40h payées 40 n'arrangerait pas forcément les employeurs qui ont tous annualisés de toute façon... et 40h payé 35 ça risque de fâcher du monde.
  24. On se focalise sur la "livraison" de fantassin sur l’arrière de l'ennemi ou dans un espace lacunaire. Mais on envisage peu la "livraison" d'automate terrestre au meme endroit. De la meme maniere que certaines zones du front sont pollués par des drones FPVs, ont pourrait très bien vouloir interdire la zone interdite, via des automates. Imaginons une mules suicide par exemple, avec quelques capteur basique tel que ceux qu'on a sur un smartphone ... elle pourrait traquer puis détruire des cibles d'opportunité dans la zone. Et si on en "largue" suffisamment la zone pourrait être virtuellement interdite à l'ennemi. L'avantage avec les automates c'est qu'ils sont moins fragile que les paras et qu'ils n'ont pas forcément besoin d'etre baladé en A400M ... on peut les balader avec n'importe quoi, un drone cargo "furtif" par exemple.
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