Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

g4lly

Administrateur
  • Compteur de contenus

    73 277
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    432

Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. La a la base il fallait détruire des bâtiments abritant des terristes. C'est typiquement la logique prompt global strike... D'autant que ces missions de merde doivent s'effectuer avec des RoE de merde. Tellement que les USA avait développé des drones armés exprès pour ça ou presque. Pouvoir intervenir matériellement chez l'autre en "temps de paix" sans y y intervenir humainement.
  2. Coté Pokrovsk les russes poussent le saillant au sud de la ville vers l'ouest, et semble se désintéresser de la ville elle même pour le moment. Coté Toretsk, les russes ont semble t il réussi à consolider suffisamment leurs positions au nord de la ville, dans la campagne - notamment à l'est du lac - pour interdire toute attaque direct sur Toretsk. D'autant que les russes semblent pousser fort pour rejoindre aussi le lac depuis l'ouest. Si ca fonctionne c'est toute la zone au sud du lac qui serait encerclé ou quasi. Nécessairement ça interdirait de grosse action sur Toretsk, puisque la ville serait tenu depuis quasiment trois coté. L'autre probleme dans le coin de Toretsk c'est au sud du Chasiv Yar, Predtechyne ... les russes y poussent vers l'est ... et s'approchent salement de Kostiantynivka. On est à 5km ... Certes la ville n'est pas un petit morceau - c'est 65 000 habitants avant guerre, et probablement bien plus avec l'agglomération -, mais c'est un endroit symbolique, dans le sens ou c'est les marches vers Kramatorsk, l'enchainement d'agglo étant quasi continue jusqu'à Kramatorsk - mais s'il y trois gros morceaux sur le chemin -. Comme dans le meme temps les russes sont pas loin de Lyman qui conditionne l'accès par le nord à Sloviansk. A terme les russes peuvent espérer menacer sérieusement les deux grosses ville qui manque dans l'Oblast de Donetsk. En gros les russes peuvent commencer à espérer à moyen terme d'envahir effectivement tout Donetsk, Luhansk, Kherson oriental, et presque tout Zapo. Disons qu'on commence à voir poindre du possible concernant cette issue.
  3. g4lly

    [Rafale]

    Pourquoi donc ?
  4. C'est assez nébuleux la définition de VLEO ... niveau altitude !!! Pour eux c'est plutôt 90 ou plutôt 350km ? Parce que visiblement leur engin semble plus dédié à voler vraiment très très bas. Des satellite classique on orbité par exemple à 170km il y a déjà longtemps sans autres souci majeur que la consommation de carburant pour maintenir le couple vitesse/altitude et éviter la désorbitation trop précoce. Visiblement ici l'ambition est plus proche des 100km ... --- Les organismes de sécurité nationale s'intéressent de plus en plus aux opportunités et aux défis du VLEO. Les satellites en VLEO promettent des images terrestres haute résolution et des communications à faible latence. Cependant, rester en orbite VLEO nécessite des allumages fréquents des propulseurs embarqués pour contrer la traînée atmosphérique...." Sauf qu'en contrepartie le "champ de vision" est ridiculement petit ce qui impose des constellations vraiment très importante pour obtenir une couverture correcte. --- Pour la propulsion électrique c'est assez simple. L'énergie est solaire->électrique. La masse c'est l’air présent en "quantité" ... qu'il suffit de dynamiser électriquement pour obtenir une poussée. https://cordis.europa.eu/article/id/451370-new-orbits-are-on-the-horizon-with-air-breathing-engines/fr Le probleme de l’oxygène atomique https://fr.wikipedia.org/wiki/Allotropie_de_l'oxygène#Oxygène_atomique
  5. Exactement le territoire est viable ... il dispose de ressource gazière importante, d'eau - le probleme principal dans la région et de loin - et de débouché vers le monde libre. Le confettis palestiniens de Judée Samarie sont non viable, ils ne disposent même pas de ressource en eau suffisante pour la population, aucune liberté de commercer quoique ce soit, et toutes les terres agricoles un peu intéressante ont été annexé de fait. --- L'avenir de la Judée Samarie est l'exode par nécessité parce qu'à moyen terme l'autorité palestinienne sera rapidement incapable d'y assurer la substance basique des palestiniens. --- Et si les gazaoui avaient réussi à chasser l'occupant israélien et les colons c'est avant tout parce que le Hamas imposait une confrontation particuliere insoutenable à l'occupant. The Gaza Strip disengagement occurred seven months after the Sharm el-Sheikh Summit, which ended the Second Intifada. Israeli officials, historians, and legal analysts cited several motives behind the country's decision to withdraw from the territory, with the two most significant factors being: the unsustainable cost of persistent and intensive fighting with Hamas and other Palestinian militant organizations; and demographic concerns rooted in the discrepancy between the Israeli birth rate and the Palestinian birth rate, as the latter greatly outpaced the former. According to Sharon, the disengagement plan was aimed at addressing Israel's long-term security challenges by shifting the country's resources to focus on strengthening the areas that "will constitute an inseparable part of the State of Israel in any future agreement" with the Palestinians. https://en.wikipedia.org/wiki/Israeli_disengagement_from_the_Gaza_Strip
  6. L’opération « Trident », un fiasco sans précédent des policiers marseillais pour faire tomber un narcotrafiquant Les policiers de l’Office antistupéfiants marseillais rêvaient d’attirer un caïd dans leurs filets grâce à plusieurs centaines de kilos de drogue. Mais cette « livraison surveillée » a tourné à la débâcle. « Imagine si un article sort comme quoi l’Ofast [Office anti-stupéfiants] a importé du produit stupéfiant sur le territoire français et certaines personnes se sont servies (…) en faisant vendre ces produits par leurs propres informateurs. » Le 22 mars 2024, en quelques mots prononcés au cours d’une conversation téléphonique avec son épouse, Hervé (son prénom a été modifié) résumait l’affaire qui fait trembler l’antenne marseillaise de l’Ofast depuis un an. Les révélations de ce serrurier de 60 ans, réserviste opérationnel de la police, sont à l’origine d’une vaste enquête à double fond ponctuée de chausse-trapes, d’entorses à la loi, de rebondissements. Création de toutes pièces d’un trafic de cocaïne, rémunération d’indicateurs en kilos de came, manipulation de drogue et d’argent sale, le tout sous le contrôle pour le moins souple des responsables locaux de la police antidrogue : aveuglés par l’espoir de réussir le « coup » d’une carrière, faire tomber Mohamed Djeha, alias « Mimo », l’un des plus importants narcotrafiquants en France, des policiers marseillais ont franchi ligne rouge sur ligne rouge. L’institution pensait avoir habilement réduit ce dossier, rocambolesque et navrant, à la dimension d’une ces affaires de corruption devenues presque banales : une poignée de flics ripoux agissant hors de tout contrôle, quelques pains de drogue envolés, « business as usual ». Mais au fil d’une procédure de plus de 3 000 pages, que Le Monde a pu consulter, l’enquête produite par la police des polices, désormais menée sous l’autorité de la juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée, dévoile une autre réalité. Fin 2022, l’Agence fédérale de contrôle des stupéfiants américaine (Drug Enforcement Administration, DEA) transmet à l’Ofast une information de première main : une cargaison de plusieurs centaines de kilos de cocaïne s’apprête à traverser l’Atlantique, dissimulée parmi deux conteneurs de bananes à destination de Marseille. L’exportateur colombien, qui opère via une société d’import-export, est un narcotrafiquant chevronné, bien connu des enquêteurs américains. Cartons de bananes Le tuyau vaut le coup. Pour le « Groupe 8 » de l’antenne marseillaise de l’Ofast : pas de doute, un tel appât intéressera forcément l’objectif numéro 1, Mohamed « Mimo » Djeha, parrain de la cité marseillaise de la Castellane (15e arrondissement), dont un point de deal pouvait générer le chiffre d’affaires le plus élevé d’Europe, avec près de 80 000 euros raflés chaque jour. Le caïd, sous le coup de mandats d’arrêts internationaux, est en fuite depuis 2018. La perspective de mettre la main sur une marchandise dont la revente au détail avoisinerait un chiffre d’affaires d’une dizaine de millions d’euros, pensent-ils, pourrait bien le faire sortir de sa cavale. Comme l’a raconté le Canard enchainé, la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Marseille autorise l’Ofast de Marseille à procéder à une « LS », une livraison surveillée : laisser la marchandise faire son chemin sous étroite surveillance policière pour remonter le réseau d’acheteurs. Le reste de l’histoire, tiré de la procédure toujours en cours, tient d’un scénario de polar particulièrement retors. Afin de hameçonner « Mimo », réputé extrêmement prudent, les policiers de l’Ofast mettent dans le coup plusieurs indicateurs. La mission de ces individus, familiers de ce milieu interlope, consiste à se faire passer pour indispensables à la logistique si particulière du trafic et à s’introduire au sein d’un réseau en tant qu’intermédiaires. Organiser la sortie d’un conteneur « contaminé » du port de Marseille, trouver un lieu de stockage temporaire, caler des rendez-vous de remise d’échantillons, jouer les traducteurs… D’un côté et de l’autre de l’Atlantique, ces « tontons » sont parfaitement au courant des objectifs de l’opération. Le 4 mars 2023, les pains de cocaïne, estampillés « RR » – pour Rolls-Royce – ou « Monastery », sont dissimulés parmi 1 080 cartons de bananes d’un conteneur chargé à bord du Olivia I, un navire de l’armateur CMA CGM sous pavillon des Îles Marshall qui appareille du port colombien de Carthagène. Sa rotation habituelle lui fait toucher les ports d’Algésiras, en Espagne, de Malte, puis ceux de Livourne, Gênes, en Italie, et enfin, Marseille. Mais un énième mouvement social des dockers du port de la ville y retarde l’arrivée de la cargaison. Détournée vers Barcelone, la cocaïne est transbordée sur un nouveau navire, l’OPS Hamburg, qui entre finalement à Marseille le 26 mars. Jour et nuit, une semaine durant, les flics marseillais surveillent la drogue comme le lait sur le feu. C’est finalement tout début avril, en plein milieu de la nuit, que le conteneur « contaminé » sort du port. Après quarante-cinq minutes de route, il est déposé dans un entrepôt isolé au beau milieu des champs. La cocaïne – au moins 360 kilos selon l’inspection générale de la police nationale (IGPN), alors que moins de 200 kilos étaient attendus – est « dépotée » par des intermédiaires en lien avec des enquêteurs de l’Ofast, avant d’être stockée dans une camionnette blanche Mercedes Vito qui repart au petit matin, direction Marseille. « Faut pas être regardant » Pour les policiers, la suite devait relever du tout cuit, ou presque. Leurs indicateurs, censés ferrer le réseau « Mimo », activent leurs contacts : une remise d’échantillon est réalisée. Problème : la transaction n’ira pas plus loin. Le gros poisson ne mord pas. En cavale, le boss de la Castellane a-t-il reniflé le mauvais coup ? Dispose-t-il d’informateurs au sein de la police ? Les enquêteurs marseillais avaient pourtant joué la carte de la discrétion. A Barcelone, l’un d’eux avait même suggéré à une collègue de ne pas en dire trop devant les renforts dépêchés par l’office central de Nanterre, maison-mère de l’Ofast, pour surveiller le transbordement de la marchandise. Toujours est-il qu’une équipe hétéroclite mêlant flics et indics se retrouve avec plusieurs centaines de kilos de cocaïne sur les bras. Ou, plutôt, stockés dans un utilitaire échoué sur un parking à ciel ouvert de la cité phocéenne. Une option évidente consisterait alors à saisir la drogue, et en rester là. Le Groupe 8 opte pour une autre solution, autrement aventureuse : écouler coûte que coûte la marchandise auprès d’autres équipes de trafiquants. A défaut de coincer Mimo, subsiste l’espoir de pouvoir démanteler d’autres réseaux. A la demande des policiers, des indics se transforment alors en vendeurs à la criée pour tenter de refourguer la marchandise piégée. « Les enquêteurs réagissaient comme étant les dépositaires/ayants droit de la cocaïne, s’inquiétant du fait de devoir écouler celle-ci au plus vite », constatera plus tard l’IGPN. Pendant une quinzaine de jours, un ballet inédit se déroule de parkings de fast-foods ou de centres commerciaux en stations de lavage automobile à Marseille, dans le quartier de la Valentine ou à Plan-de-Campagne (banlieue nord). Le Mercedes Vito chargé de cocaïne devient le véhicule le plus surveillé de France, à grand renfort de balises GPS, de caméras et de flics en planque, une véritable « coke-mobile » qui va servir de point de ravitaillement itinérant pour un livreur, qui vient y retirer la marchandise avant d’aller la dispatcher à une clientèle très diversifiée. Dealeurs marseillais des cités Félix-Pyat ou de la Busserine, trafiquants venus de Nice, de la cité Berthe de La Seyne-sur-Mer (Var), de Montpellier… Neuf équipes viennent s’approvisionner en cocaïne. Mais si les acquéreurs sont nombreux, c’est aussi parce qu’ils repartent avec peu, quelques kilos la plupart du temps. Les policiers peinent à identifier de gros acheteurs, et se résignent à faire démarcher des réseaux bien éloignés de leur juridiction, jusqu’à Mulhouse (Haut-Rhin). Alors qu’il est question de vendre à une équipe lyonnaise, le major D. s’inquiète de la quantité qu’il reste à écouler, et écrit un SMS à un collègue : « Faut pas être regardant… faut que ça parte… » Malgré leurs maigres emplettes, d’importants moyens sont mobilisés pour prendre en filature les acheteurs. Certains regagnent leur base arrière sans savoir que, tout au long de leur voyage retour, d’autres services prennent le relais des policiers marseillais, parfois sur plusieurs centaines de kilomètres. Opération en circuit fermé Bientôt, des rumeurs de détournement de drogue par les indics chargés de la revente viennent s’ajouter aux errements d’une enquête qui ne mène décidément nulle part. La méfiance s’installe entre policiers. Epicentre du malaise, une partie du Groupe 8, qui pilote l’opération « Trident », tourne en circuit fermé autour du brigadier-chef G. et du major D., à l’origine de l’opération, et de leur chef, le capitaine P., qui ne rend compte qu’au patron de l’antenne Ofast sans en référer à son supérieur direct, un commandant divisionnaire. Celui-ci expliquera par la suite avoir été systématiquement exclu des réunions stratégiques et n’avoir appris l’existence du dossier « Trident » que par des propos happés dans les couloirs début avril 2023, avant d’en être officiellement informé quelques jours plus tard. Devant l’IGPN, il se fait direct : « On comprenait rien dans ce dossier (…), honnêtement j’ai compris que c’était merdique. » Il n’est pas le seul à partager ce sentiment. Un gendarme détaché à l’Ofast envisagera sa réintégration dans la gendarmerie pour fuir une ambiance devenue suffocante, un de ses collègues rêve de quitter la police judiciaire pour rejoindre la brigade équestre. Au 52, boulevard des Dames, siège de l’antistups marseillais, le petit manège du Groupe 8 commence à faire tousser, voire à franchement agacer. « On n’est pas en train de se faire baiser ? Ils nous prennent pour des cons ! », lâche un enquêteur d’un autre groupe, appelé en renfort sur l’enquête. A Nanterre aussi, siège de l’Ofast central, on estime que « Trident » « pue ». D’autant que les relations se tendent entre enquêteurs marseillais et leurs collègues de la « centrale », dépêchés sur place et lassés d’une opération qui s’éternise sans résultat. A l’Evêché, QG de la police marseillaise, on insiste pourtant : la participation d’effectifs centraux aux filatures et aux surveillances est indispensable car la brigade de recherche et d’intervention locale est mobilisée par une vague de règlements de comptes sans précédent. Et puis, s’alarme un policier dans un SMS, comment se priver d’un tel concours compte tenu du « risque de porosité en interne » ? Dans la soirée du 12 avril 2023, à 23 h 30, un événement inattendu va précipiter le retrait de l’Ofast central. L’un des indicateurs du Groupe 8 regagne son domicile du 4e arrondissement de Marseille à bord d’une Peugeot 5008 lorsqu’une Mercedes l’intercepte. Plusieurs silhouettes cagoulées et armées en jaillissent et se ruent vers la Peugeot. Coups de crosse, coups de feu, la carrosserie de la voiture est percée de trois impacts de calibre 9 mm. Le reste est raconté sur procès-verbal par un témoin, qui a assisté à une partie de la scène depuis son balcon : « J’ai vu un individu cagoulé, ganté, habillé en noir avec une capuche noire sur la tête (…). Cet individu avait un sac dans la main et il est immédiatement rentré dans une Mercedes Classe A noire avec deux autres individus et (…) ils ont quitté les lieux. » Tentative d’assassinat ? D’enlèvement ? De vol de cocaïne ? L’indic, couvert de sang, se réfugie au 5e étage d’un immeuble voisin et refuse d’être pris en charge par les marins-pompiers. Il en est quitte pour la frayeur de sa vie. Une opération en pleine déroute, un informateur qui manque de se faire « fumer », les signaux d’alerte se multiplient. Un commandant divisionnaire de l’Ofast, qui découvre officiellement l’affaire à cette occasion, affirmera plus tard qu’il ne s’est pas fait prier pour donner son avis : « On décide d’aller voir la commissaire divisionnaire G. [cheffe de la division stupéfiants et proxénétisme, qui coiffe l’antenne de l’Ofast] et je lui propose, sans connaître les tenants et aboutissants de l’affaire, d’arrêter cette LS pour qu’il n’y ait pas un mort au milieu. » En saisissant la came encore présente dans l’utilitaire, il serait même possible de faire tomber les équipes déjà passées pour se servir, histoire de ne pas avoir travaillé pour rien. « On doit jouer jusqu’au bout », estime alors le chef du Groupe 8 dans un message. La commissaire divisionnaire G., par ailleurs compagne du patron de la police judiciaire marseillaise, valide cette analyse et autorise la poursuite de la « LS ». « Où est passée la marchandise ? » L’opération continue donc jusqu’au 27 avril 2023, lorsque l’ordre finit par tomber : il est temps de suspendre la surveillance du Mercedes Vito. La hiérarchie de la police judiciaire marseillaise comprend-elle enfin que toute cette affaire, pour reprendre les mots d’un enquêteur, est « gérée n’importe comment » ? Cette décision est en tout cas immédiatement suivie d’une nouvelle surprise : quelques heures plus tard, en pleine nuit, la balise installée sur la camionnette indique qu’elle a été déplacée jusqu’à la commune voisine de La Penne-sur-Huveaune (Bouches-du-Rhône), dans un quartier résidentiel où toute surveillance physique est impossible. Une caméra est installée en urgence, « la seule (…) déposée dans ce dossier avec une autorisation légale », d’après l’enquête. Cette énième péripétie incite Stéphanie Cherbonnier, alors cheffe de l’Ofast central, à plaider à son tour pour une interruption immédiate de l’opération « Trident », avec saisie de la cocaïne restante. Mais, au cours d’une visioconférence, la magistrate qui suit l’affaire à la juridiction interrégionale spécialisée de Marseille arbitre en faveur de la poursuite de l’opération. En pure perte. Cinq jours durant, le Vito est à l’arrêt. Jusqu’à sa mise en fourrière comme une vulgaire voiture ventouse par des policiers municipaux. Pendant des semaines, l’utilitaire va rester remisé sur le parking d’un garage près de Marseille. Le véhicule mascotte de l’opération et son contenu ne paraissent guère intéresser les enquêteurs car il ne sera fouillé que près de deux mois plus tard, le 3 juillet 2023. Pis, faute de télécommande pour ouvrir le compartiment arrière, censé contenir la cocaïne, deux policiers doivent se contenter de visiter l’habitacle. Il faudra encore patienter jusqu’au 18 août pour qu’un concessionnaire Mercedes livre un double du passe électronique. Enfin, les portes de la camionnette s’ouvrent sur le très modeste butin de l’opération « Trident » : un carton de bananes vide et un unique pain de cocaïne de 990 grammes. Moins de 1 kilo restant sur près de 400 kilos de drogue importés ? Un tel reliquat semble difficilement compatible avec les maigres transactions observées en temps réel par les yeux multiples de l’Ofast. « Je me questionne : mais où est passée la marchandise ? », s’interrogera plus tard un gradé devant l’IGPN. Pas la moindre interpellation à Marseille, plusieurs centaines de kilos de drogue envolés sous l’œil de la police et revendus dans les points de deal de la région et d’ailleurs, soupçons de détournements par certains indics chargés de la revendre : le fiasco est inédit. Pied de nez de l’histoire, au moment où l’opération s’effondrait, sa cible initiale, « Mimo », était condamnée par contumace, en mai 2023, à trente ans de prison pour l’assassinat d’un rival en 2017. Il sera finalement interpellé quelques semaines plus tard… par la police algérienne, près d’Oran. De source judiciaire française, on indique qu’« aux dernières nouvelles, il se trouvait toujours en détention dans son pays d’origine ». « Passe-Partout » A l’Ofast, depuis la fin des opérations, des effectifs lessivés par la séquence sont soulagés. L’affaire aurait pu en rester là. Mais, fin 2023, un coup de pied dans la fourmilière va donner une nouvelle dimension au dossier. Ce n’est pas un policier qui en est à l’origine mais le plus dévoué et loyal collaborateur de l’Ofast : Hervé le serrurier. Réserviste au moment de l’affaire, le quinquagénaire est un visage connu de l’Evêché depuis une quinzaine d’années. « Passe-Partout », c’est son surnom, y a fait ses premiers pas comme prestataire externe, en répondant à des réquisitions pour des ouvertures de porte. Mais ce bidouilleur de talent s’est rapidement rendu indispensable. Une pose de caméra dans des conditions acrobatiques ? Hervé est là. Le visionnage, des nuits entières, d’images de vidéosurveillance ? Il répond présent. Sans que les policiers sollicitent toujours d’autorisations de la justice, indispensables à l’utilisation de dispositifs d’enregistrement. Il investit même ses économies dans l’achat de matériel de pointe et transforme une Twingo en caméra roulante, avec captation vidéo intégrée. En décembre 2023, il révèle au commissaire L., alors chef de l’antenne Ofast à la police judiciaire de Marseille, des comportements douteux du major D., qui se serait notamment fait remettre devant lui un sac rempli de billets… S’il ne dispose d’aucune preuve formelle de corruption de ses collègues, il a cependant été aux premières loges de leurs pratiques suspectes. Prévoyant, ce geek a même enregistré des conversations, effectué des captures d’écran d’échanges sur des messageries sécurisées, stocké des images de vidéosurveillance sur son téléphone portable. Ses confidences font l’effet d’une bombe. La hiérarchie policière, très coulante jusque-là, s’emballe soudain, enchaîne rapports et comptes rendus. En janvier 2024, le parquet de Marseille ouvre une enquête préliminaire puis se dessaisit neuf mois plus tard au profit de la juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée. Chargée des investigations, la redoutée division nationale des enquêtes de l’IGPN, les spécialistes de l’anticorruption, va rapidement découvrir les coulisses de l’opération « Trident ». Pilotage de la logistique, rendez-vous avec de potentiels acheteurs, transport d’argent liquide et de coke, implication de « tontons » non déclarés… La police des polices estime avoir découvert « une participation active des policiers et de leurs sources, de l’importation du produit et de sa manipulation jusqu’à la revente de la cocaïne ». Les enquêteurs auraient également cédé, selon les conclusions de l’IGPN, de 80 kilos à 100 kilos de cocaïne à leurs indicateurs respectifs, en guise de rémunération, en dehors de tout cadre légal. De longues semaines après ses révélations, Hervé est l’objet de toutes les sollicitudes. Le brigadier-chef G. et le major D., les deux chevilles ouvrières du Groupe 8, insistent pour le rencontrer. Mais, désormais échaudé, il décline ; le commissaire L. en personne se montre fébrile et propose obligeamment de le briefer avant son audition par la police des polices ; même l’ancien chef de l’antenne Ofast le prie d’accepter une invitation à domicile. Certains « collègues » du serrurier-réserviste le conseillent sur la conduite à tenir devant les enquêteurs de l’IGPN : « Ils m’ont dit, explique-t-il pendant une conversation téléphonique avec sa femme, “la seule chose qui compte c’est que toi, tu sauves ton cul”. » Sans trop s’épancher face à la police des polices, si possible. « Logique de corruption » D’après un rapport de l’IGPN, Hervé a beau se tromper sur certains détails, ses déclarations sont confirmées par les premiers éléments de l’enquête, dès le 26 avril 2024. Des faits susceptibles de relever d’« une logique de corruption » appuyée sur des « pratiques professionnelles dévoyées (…) avec une validation de la chaîne hiérarchique ». Pourtant, un an après ces conclusions, l’intérêt de la justice pour la « chaîne hiérarchique » policière s’est interrompu à ses premiers maillons. Outre les deux principaux indicateurs de la police, poursuivis pour « importation et trafic de stupéfiants », seuls les deux policiers du Groupe 8, le brigadier-chef G. et le major D., qui pilotaient l’enquête avec leur chef, ont été incarcérés après leur mise en examen, le 4 avril, pour « importation et trafic de stupéfiants en bande organisée, blanchiment, association de malfaiteurs, faux en écriture publique » et captation illégale d’images. Une sévérité sélective, selon Karim Bouguessa, avocat de brigadier-chef G. : « Soit le dossier est construit avec l’idée qu’il n’y a que deux brebis galeuses au sein du service et l’histoire ne sera pas difficile à écrire, soit c’est un peu plus compliqué et il y a d’autres responsables. Le levier est entre les mains des magistrats. » Sous le couvert de l’anonymat, certains policiers et magistrats redoutent désormais d’éventuelles conséquences des « pratiques professionnelles dévoyées » et leur « validation par la hiérarchie » sur des dossiers judiciaires en cours. Qu’en est-il des dizaines d’autres affaires traitées par l’antenne Ofast de Marseille, l’un des symboles de l’action de l’Etat dans la lutte contre le narcotrafic ? Par l’intermédiaire de son service de communication, la direction générale de la police nationale n’a pas donné suite aux questions du Monde, « une procédure judiciaire étant en cours ». https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/05/11/l-operation-trident-un-fiasco-sans-precedent-des-policiers-marseillais-pour-faire-tomber-un-narcotrafiquant_6605142_3224.html
  7. C'est la que tu te dis que des missiles balistiques longue portée à précision "métrique" c'est bien aussi ...
  8. g4lly

    [Cavalerie/Arme combat embarqué]

    Le "duel" engin blindé contre engin blindé existe toujours, on le voit encore en Ukraine des qu'un camp engage des blindé à l'offensive l'autre camp engage des blindés en défensive/embuscade. Ce qui y ait intéressant c'est que c'est un combat ou c'est souvent le premier qui défouraille qui gagne ... peu importe qu'il tire avec un 30mm ou un 120mm. Souvent sa ressemble plus à du combat de rue, qu'à un duel à distance mettant en œuvre toute la panoplie technologique moderne. On voit aussi que l'agilité de la tourelle, la conscience de la situation, et la capacité à toucher en premier font l'essentiel de la décision.
  9. g4lly

    [Cavalerie/Arme combat embarqué]

    Pourquoi donc ? L'idée n'est pas strictement la même ?
  10. Un zoom sur le zonage de la Judée Samarie ... seul les zone "jaune" sont "palestinienne". On sent tout de suite la puissance d'un état ainsi constitué ... même les réserves indiennes étaient moins radical dans le découpage.
  11. @Boule75 Tu peux lever les yeux au ciel autant que tu veux la réalité c'est que l'immense majorité de la Judée Samarie est sous contrôle Israélien, et que les confettis sous contrôle partiel de l'autorité palestinienne son non viable, ils n'ont pas de ressource naturelle, pas d'eau, pas d’accès à l'extérieur, pas le droit à avoir une défense, pas de liberté de circulation etc. La seule zone viable avec des ressource naturelle, du gaz, de l'eau, un accès à la mer et à l'étranger, une liberté de circulation c'est Gaza. En Judée Samarie, les "Colonie Israélienne", les partie "annexée" et les "Territoire cis-jordanien sous contrôle Israélien" - on parle d'un contrôle total et militaire -, forme un toile d'araignée qui prend littéralement au piege les quelques zone urbanisé dont l'administration et partiellement laissé à l'autorité palestinienne, sans liberté de circulation entre les zones. C'est comme si du devait demander à chaque fois l'autorisation a un policier allemands pour aller du 8e au 17e et pareil au retour.
  12. g4lly

    [Rafale]

    Il y a quand meme beaucoup de chose pour le moins surréaliste sur la vidéo, l'élasticité des élingues, l'entrée d'air de l'avion, et l'effet optique sur les pale du rotor, l'absence de downwash ... et je ne me suis intéressé à la vidéo que 10 seconde.
  13. D'un autre côté c'est le seul élément politique a avoir pu préserver une pays viable ... Du seul tenant ouvert sur l'extérieur par la mer et l'Égypte. Le reste du territoire palestinien préservé par la gentille autorité palestinienne ce sont une multitudes de petites cages dans un zoo administré par Israël...
  14. Ce qui est amusant c'est qu'hier on vouait au gémonies les tourelles motorisé parce que trop cher a entretenir et pas fiable ... au profit des lanceurs fixes, que ce soit pour les missiles, et autre contre mesure, leurre, bruiteur etc. ... et que le lendemain c'est une rupture technologique.
  15. Ça c'était vrai il y a un moment quand l'autorité palestinienne avait encore un peu de substance en dehors de servir de gardien du zoo. Mais depuis presque 20 ans - depuis le retrait de Gaza - ... l'autorité palestinienne n'est plus qu'un objet du projet de colonisation et se résume à servir de faire valoir à l'annexion de la Judée Samarie. D'ailleurs c'était intégré par les pays arabes voisin sous influence US ... le deal c'était l'intégration d’Israël dans un nouveau PO sunnite en échange de la lutte tout azimut contre l'arc chiite. Intégration qui prévoyait déjà des déportation de palestienien un peu partout dans les pays arabes alentour, mais en douceur, financer par les riches pays du coin etc. Les printemps arabes ont mis le bordel dans le beau projet les pays du coin ayant alors d'autres soucis bien plus important, et plus trop envie d'accueillir des populations exogènes.
  16. Merde encore un marketeux en mal d'inspiration ... En pratique c'est un grosse tourelle avec différente cases ... la tout de suite tu sens la rupture technologique digne de la fusion froide. La question c'est surtout pourquoi les marketeux et surtout les clients n'ont pas proposé/réclamer ça plus tôt ? Parce qu'en soit ça n'a rien d'exceptionnel. Les lanceurs Mk10 et Mk26 pouvait par exemple aussi bien lancer des SM, des Harpoon, des Tartar ou des ASROC ... Bon il parait que c'était mal que c'était beaucoup d'entretien... On est passé au VLS fixe avec une cases par bidule mais rien qui gigote c'était sensé être le paradis. Et la on nous pond un VLS mais qui gigote ... parce que gigoter finalement c'est mieux quand même.
  17. Il y a plusieurs sujet, celui de la violence et de la réponse à la violence, et la géopolitique. Géopolitiquement certain prônent des visions universalistes. En gros je suis le bien, et mon bien devrait s'appliquer partout, et quand ca m'arrange je m'efforce de le faire appliquer ici ou là... Personnellement j'ai toujours trouver cela douteux, et essentiellement au service d’intérêt particulier. Concernant la violence ... c'est un autre sujet. Beaucoup plus basique, et qu'on peut facilement individualiser. En gros si tu es victime de violence ou témoin de violence, est que tu trouve normal ou juste d'user de violence pour faire cesser la violence qu'on t'impose. Si oui alors il faut qu'il y ait une "industrie" qui te propose des outils pour pouvoir t'opposer à cette violence de manière raisonnablement sûre. Si non ... tu risque d’être le mouton qu'on égorge tout simplement parce qu'on peut l'égorger. C'est très moche mais les humain finissent par faire ce qu'il peuvent faire ... c'est un trait de du développement de l’espèce lié à la sélection naturelle. Pour faire simple tu es la parce que t'a ligné d’aïeux a été suffisamment curieuse pour faire des trucs qui lui ont permis de survivre et se reproduire. Et c'est cette curiosité importante qui à contrebalancer leur peur de l'altérité, et qui leur a permis d'explorer le monde à la recherche de moyen de mieux vivre même si c'est au détriment d'autrui. En gros tes aïeux ne se reproduisaient pas assez vite pour être des proies ... c'est parce qu'ils étaient des prédateurs qu'en pondant un môme tous les x année ils ont fait perdurer ta ligné. Tout un tas d’espèce proie on eu d'autre mode de préservation ... soit en se reproduisant comme des lapins, soit en développant l'art de la fuite - et donc de la peur -. Mais comme le singe coure moins vite que l'antilope et se reproduit moins que la mouche ... il a fallu valoriser d'autre comportement permettant d'assurer la survie de l’espèce. En pratique rien a changé ... les émotions basiques continuent à largement piloter nos comportement aussi bien individuellement que collectivement.
  18. g4lly

    [Rafale]

    L'image vu la déformation de l'ultra grand angle et la résolution dégueux aide pas. Mais les ombrages sur la partie basse sont plutôt bien fait on a du mal à y voir un faux grossier. Pour la partie haute, la déchirure, c'est moins évident. Pour les ombres portée il faudrait vérifier les heures à laquelle l'image aurait du être prise et la hauteur du soleil. Mais j'ai la flemme de chercher. Le truc surprenant c'est qu'il n'y en ait qu'une seule alors qu'il y a douze mec avec des téléphones autour ...
  19. C'est ouvertement ça : On rétablit un Israël biblique plein de juif dedans pour satisfaire les textes. Satisfaire les textes rendra possible de retour du Messie. Quand le Messie reviendra ils se convertiront - ou mourront comme les arabo/musulmans du coin, arabos/musulmans qui ne sont pas considérés comme "convertibles" -. L'espoir des israéliens c'est justement que le Messie "arrive" le plus tard possible, Et que les sioniste chrétiens ne se lassent pas d'attendre. --- Est ce répandu ... assez ... d'autant plus que même si c'est pas revendiqué par tous, cet axe est quand même largement suivant passivement. Quel chrétien ne souhaite pas le retour du Messie ? Pour comprendre les racismes très anciennes et les courants plus moderne du sionisme chrétien. https://en.wikipedia.org/wiki/Christian_Zionism Et concernant l'entrisme de l'idée de "dieu à donné Israël aux juifs" - comprendre Israël biblique - la moitié de la population américaine la soutien. C'est à dire que globalement les américains soutiennent un Israël donné aux juifs par dieu lui même, plus que les juifs américains eux même!!! En gros les américains sont plus sionistes que les juifs américains. https://www.pewresearch.org/short-reads/2013/10/03/more-white-evangelicals-than-american-jews-say-god-gave-israel-to-the-jewish-people/
  20. C'est délirant comme propos ... C'est essentiellement les USA qui soutiennent le génocide palestinien pour pousser le sionisme chrétien et convertir les impies que sont les juifs. Parce que c'est ça l'avenir des juifs sous la domination américaine...
  21. Quelques nouvelles du front. Chernihiv. Dans tout l'est de la region des bombardements plus important qu'à l'habitude. Selon les russes ca dénoterait une plus forte présence de troupes ukrainiennes dans la zone. En gros le message serait, les ukrainiens amassent des troupe à l'est de Chernihiv, pour lancer une opération en russie, nos les bombardons par prévention. On a pas grand chose de plus que les vidéo des frappe FPV et artillerie, dans un secteur qui est d’habitude nettement plus calme. Tyotkino ... On se bat en bordure de la ville, quasiment sur la frontiere. Les ukrainiens avaient réussis à rentré dans la ville il y a une semaine, mais depuis ils ont reculés. Les attaques contre attaques semblent ne pas cesser pour autant. Demidovka ... les russes repartiraient à l'attaque dans Marine, juste de l'autre coté de la frontiere. Nord Lyman les opérations se poursuivent patiemment sur la ligne de défense ukrainienne. Ca fait des semaines que les russes grignotent les positions ukrainiennes c'est tres laborieux mais ca avance méthodiquement vers le nord vers Borova. On peut supposer que l'objectif final est à la fois Zarichne et Kupiansk puisque le saillant qui se dessine se glisse entre les deux. Si le saillant arrive a s'enfoncer jusqu'à l'Oskil il suffirait alors que longer les rives pour menacer sérieusement Zarichne puis Sloviansk d'un coté ... Borova puis Kupiansk de l'autre. Mais à la vitesse actuelle qua peut prendre encore des semaines. Siversk toujours pareil ... la ville tient depuis des lustres. Les russes ont beau grignoter tout ce qu'ils peuvent autour ca n'aboutit pas à grand chose. La foret de Serebrianka semble aussi solidement tenue - du moins la partie qui intéresse les ukrainiens -. Les russes semblent vouloir lancer une attaque directe sur le village de Serebrianka qui est sur la rive sud. En gros la situation n'est pas rose pour les ukrainiens mais vu le peu de réussite des russes dans le coin on peut douter de leurs chances de réussite à court terme. Même Verkhnokamianske n'est tenu qu'à peine à la moitié par les russes à priori alors que l'effort russe semblait s'y porter depuis des semaines.
  22. Les relations sont devenus détestables entre les afghans et les pakistanais. Ça fait un moment que ça dure et c'est structurel ça n'est pas près de se tasser. Le Pakistan accuse l'Afghanistan de soutenir le terrorisme en hébergeant les terroristes à la frontière. Et dans le même temps expulse à tour de bras les réfugiés afghans.
  23. g4lly

    [Rafale]

    En général ils fonctionnent en mode répéteur réflexe... Contre les fox 3.
  24. g4lly

    Les FREMM de la Marine Nationale

    Il n'est pas impossible de tirer des Aster depuis des Sylver A70 modifié/upgradé/développé avec sérieux... Alors plutôt que de jeter bébé avec l'eau du bain finançons enfin des VLS aussi polyvalent que les Mk41... De toute façon on aura besoin d'un VLS de 6.70m pour envoyer les missiles associé a la BMD autant faire le travail sur les VLS maintenant pour proposer une solution pérenne et polyvalente. On pourrait même en profiter pour repenser la taille des cellules...
  25. https://www.wsj.com/world/greenland-spying-us-intelligence-809c4ef2 U.S. Orders Intelligence Agencies to Step Up Spying on Greenland Effort underscores seriousness of Trump’s intent to acquire the island from Denmark The U.S. is stepping up its intelligence-gathering efforts regarding Greenland, drawing America’s spying apparatus into President Trump’s campaign to take over the island, according to two people familiar with the effort. Several high-ranking officials under Director of National Intelligence Tulsi Gabbard issued a “collection emphasis message” to intelligence-agency heads last week. They were directed to learn more about Greenland’s independence movement and attitudes on American resource extraction on the island. The classified message asked agencies, whose tools include surveillance satellites, communications intercepts and spies on the ground, to identify people in Greenland and Denmark who support U.S. objectives for the island. The directive is one of the first concrete steps Trump’s administration has taken toward fulfilling the president’s often-stated desire to acquire Greenland. A collection-emphasis message helps set intelligence-agency priorities, directing resources and attention to high-interest targets. The Greenland order, which went to agencies including the Central Intelligence Agency, the Defense Intelligence Agency and the National Security Agency, underscores the administration’s apparent commitment to seek control of the self-governing island. It forms part of the Kingdom of Denmark, a North Atlantic Treaty Organization member and a decadeslong ally. James Hewitt, a National Security Council spokesman, said the White House doesn’t comment on intelligence matters, but added, “The president has been very clear that the U.S. is concerned about the security of Greenland and the Arctic.” In a statement, Gabbard said: “The Wall Street Journal should be ashamed of aiding deep state actors who seek to undermine the President by politicizing and leaking classified information. They are breaking the law and undermining our nation’s security and democracy.” Nuuk harbor in Greenland, with snow-covered mountains in the background and cargo ships at the docks. The Danish Embassy in Washington declined to comment, and the prime minister of Greenland didn’t immediately respond to a request for comment. The Arctic island of some 56,000 people hasn’t historically been a key target for U.S. intelligence collection, according to a former American intelligence official and a former senior intelligence officer focused on Europe. “Intelligence collection resources are inherently limited,” the former intelligence official said, meaning they have typically been pointed toward “perceived threats, not allied countries.” Since his first term, Trump has emphasized his determination to purchase, annex or conquer Greenland’s 836,000 square miles of territory—to the consternation of Denmark and many Greenlanders. “We need Greenland for national security and even international security, and we’re working with everybody involved to try and get it,” Trump said in a joint address to Congress in March. “One way or the other, we’re going to get it.” Vice President JD Vance, then-National Security Adviser Mike Waltz and Energy Secretary Chris Wright traveled to Greenland in late March, sparking outrage from Danish leaders and Greenlandic residents. The visit puts “completely unacceptable pressure on Greenland, Greenlandic politicians and the Greenlandic population,” as well as on Denmark, Danish Prime Minister Mette Frederiksen told Danish television in advance of the delegation. “President Trump is serious,” she said. “He wants Greenland.” Asked by NBC News in an interview that aired Sunday whether he would rule out seizing Greenland by force, Trump demurred. “I don’t rule it out,” he said. “I don’t say I’m going to do it, but I don’t rule out anything. No, not there. We need Greenland very badly. Greenland is a very small amount of people, which we’ll take care of, and we’ll cherish them, and all of that. But we need that for international security.” The island is home to substantial deposits of rare-earth minerals necessary for the production of everything from electric vehicles to wind turbines, as well as untapped oil and natural-gas reserves. Mining those underground assets has proven logistically difficult.
×
×
  • Créer...