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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. https://www.lemonde.fr/international/live/2025/07/02/guerre-a-gaza-attaque-du-7-octobre-gouvernement-netanyahou-notre-journaliste-samuel-forey-raconte-ses-annees-de-correspondance-a-jerusalem_6617391_3210.html Je ne suis pas en Israël actuellement. Haaretz y reste un journal très peu lu. L’évolution la plus significative de l’opinion reste pour moi, par exemple, les positions de l’institut INSS, classé à droite, qui pointe l’impasse stratégique à Gaza. Cela peut augurer d’une sortie de crise à moyen terme, après de nouvelles élections, avec un éventuel nouveau gouvernement israélien, moins radical. A suivre… ... C’est exact, et le 7-Octobre n’a fait qu’accentuer ce glissement. Plus de 80 % des Israéliens sont favorables au nettoyage ethnique de la bande de Gaza. Encore une fois, il serait possible de sortir de ce blocage si une solution politique crédible était mise sur la table. Mais seuls les Etats-Unis peuvent exercer ce genre de pression sur Israël. Or la politique erratique et court-termiste de Donald Trump n’encourage pas à l’optimisme. ... La plupart des médias israéliens ne parlent pas des exactions commises à Gaza par l’armée et se concentrent sur le sort des otages ou des questions de politique intérieure. Même si les médias israéliens en parlaient, il leur faudrait affronter un déni constitué depuis des décennies. Je renvoie à l’expert israélien Oren Persico, cité dans cet article : « Le public ne veut pas savoir. Le mécanisme de déni est très ancré, dans un endoctrinement qui date de plusieurs décennies. Bien sûr, il faut montrer la réalité, mais c’est un processus très long pour changer la façon dont les gens la perçoivent. » ... Nombre d’organisations humanitaires, comme Human Rights Watch ou Amnesty international, considèrent que l’Etat israélien a mis en place une politique d’apartheid en Cisjordanie, territoire occupé depuis 1967. Cette situation n’a fait que s’aggraver depuis que Bezalel Smotrich, suprémaciste juif et colon de deuxième génération, est devenu en décembre 2022 ministre des finances et ministre délégué à la défense, chargé à ce titre des colonies en Cisjordanie et de certaines responsabilités au sein de l’administration civile de Cisjordanie et du Cogat (acronyme anglais désignant le coordinateur des activités gouvernementales dans les territoires occupés). Ces deux administrations militaires israéliennes gèrent les civils palestiniens en Cisjordanie et à Gaza. ... Benyamin Nétanyahou, en jouant cette partition messianique, s’adresse à son électorat, mais aussi aux évangéliques américains, grands soutiens d’Israël. C’est une façon de se placer en tant que leader idéologique. ... Sur le plan de la politique interne, Israël est pris au piège entre l’instabilité et la radicalisation. Les fractures qui divisent la société israélienne sont de plus en plus béantes. Du côté palestinien, la souffrance atteint des degrés jamais vus. Et l’Autorité palestinienne est plus que jamais contestée. Il n’y a aucune amélioration à venir sur les deux points. Ce conflit risque d’être suspendu une fois de plus dans une non-résolution destructrice pour les deux camps, et en particulier pour les Palestiniens. ... Le Hamas continue de contrôler, de façon très étroite, Gaza. Mais les Gazaouis considèrent que leur premier ennemi reste Israël. Si une meilleure réponse humanitaire était mise en place, et qu’une alternative politique palestinienne leur était offerte, je suis persuadé qu’ils l’accueilleraient favorablement. Mossoul a été reprise par les forces irakiennes. Les gens ont vite compris que s’ils fuyaient ils étaient traités correctement. Et c’est l’Etat irakien qui a remis en place une administration locale, non pas la coalition internationale. Ce conflit souffre d’absence de solutions politiques. ... Tentative d’explication : ce conflit perdure depuis cinquante ans, soixante-dix ans, voire depuis plus ou moins un siècle (cela dépend d’où l’on met le curseur), et il ne semble pas près de s’éteindre. Même s’il s’arrêtait aujourd’hui, les traumatismes se perpétueraient pour des générations. ...
  2. L'isolation n’empêche pas le bâtiment de devenir une bouilloire ... au contraire parfois elle conserve la chaleur de la journée plus que de la dissiper pendant la nuit. Le seul moyen d'éviter au bâtiment de devenir une bouilloire c'est de faire sortir la chaleur. --- Beaucoup de pays meme pas très riche ont des taux d'équipement "particulier" en climatisation de plus de 90% oar exemple. Typiquement les pays ou les gens prennent soin de leur confort, et/ou le climat peut être chaud ou humide. Le plus ridicule c'est que tout le monde à une clim' dans sa bagnole ... https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/la-france-est-elle-absurdement-contre-la-clim-2173904 Canicule : la France est-elle absurdement contre la clim ? La France fait face à une nouvelle vague de chaleur, la 50e recensée depuis 1947 et déjà la 33e du XXIe siècle. Et cela ne va pas aller en s'améliorant, les canicules à répétition étant un marqueur sans équivoque du réchauffement de la planète dû aux activités humaines, comme le montrent les études scientifiques. Ecoles fermées, gratuité des piscines ou des musées, adaptation des horaires de travail, parcs ouverts tard, cartes indiquant les endroits climatisés… L'arsenal de mesures déployées met en lumière une tendance : la France semble sous-équipée en matière de climatisation, alors même que la ministre de la Transition écologique rappelle « qu'une vague de chaleur, c'est plusieurs milliers de morts ». Le point en cinq questions. 1 - La France est-elle un cas à part dans le monde ? Oui, la France se distingue par un taux d'équipement en climatisation (environ 25 % selon l'Ademe) nettement plus faible que dans d'autres pays, en particulier les Etats-Unis, le Japon et la Corée du Sud, où neuf foyers sur dix disposent de l'air conditionné (d'après les derniers rapports de l'Agence internationale de l'énergie). Toutefois, elle n'est pas un cas à part en Europe du Nord, où peu de ménages disposent d'un climatiseur (seulement une minorité en Allemagne et au Royaume-Uni par exemple). En réalité, la climatisation est aujourd'hui concentrée dans un petit nombre de pays. Sur les 2,8 milliards de personnes habitant dans les pays les plus chauds de la planète, seuls 8 % vivent actuellement dans des logements climatisés. Mais cette tendance est sur le point de changer : d'ici 2050, environ deux tiers des foyers mondiaux pourraient être équipés. La Chine, l'Inde et l'Indonésie représenteront ensemble la moitié de ce total, toujours d'après l'AIE. Outre le réchauffement climatique, l'adoption croissante des pompes à chaleur réversibles, capables de fournir à la fois des services de chauffage et de climatisation, est un autre facteur de croissance. 2 - Les Français sont-ils anti-clim ? Culturellement, les Français ont longtemps montré une certaine résistance à la climatisation, comme le montrait encore en 2021 un sondage OpinionWay pour France Energie : 75 % des sondés y déclarent qu'ils n'envisagent pas de se munir d'un climatiseur, tant pour des raisons économiques (à 66 %) qu'écologiques (41 %). Près de six Français interrogés sur dix (58 %) disent préférer « souffrir de la chaleur plutôt que d'installer un climatiseur afin de protéger l'environnement ». Ainsi, seuls 47 % estiment que tous les lieux publics devraient être climatisés et 48 % considèrent que les climatiseurs devraient être tout bonnement interdits en raison de leur impact écologique. Mais la tendance est en train de changer, les taux d'équipements en climatisation chez les ménages étant en constante augmentation, a constaté l'Ademe, passant de 14 % en 2016 à 25 % en 2020. C'est en particulier le cas des foyers du Sud-Est et de la Corse, dont la moitié est équipé d'un système de climatisation. Concernant les bâtiments du secteur tertiaire, les centres commerciaux diffusent systématiquement de l'air conditionné, comme la majorité des bureaux des grandes entreprises, mais ce n'est pas le cas des écoles (7 % de bâtiments climatisés selon l'Ademe), ni même des hôpitaux ou des Ehpad, dont certains services sont dépourvus. 3 - Quel est l'impact écologique de la climatisation ? En France, la climatisation est responsable de près de 5 % des émissions de CO2 du secteur du bâtiment, notait l'Ademe en 2021. Au niveau mondial, elle génère environ un milliard de tonnes de CO2 par an sur un total de 37 milliards de tonnes émises mondialement, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE), soit près de 3 %, un chiffre comparable à celui du trafic aérien et qui correspond en ordre de grandeur à l'équivalent des émissions de CO2 du Japon. De plus, les climatiseurs utilisent généralement des gaz réfrigérants (de type HFC) qui peuvent être des milliers de fois plus puissants que le CO2 en matière de réchauffement lorsqu'ils s'échappent dans l'atmosphère. « Des émissions de gaz frigorigène sont possibles à diverses occasions : en fabrication, en maintenance, sous forme de fuites pendant la durée d'utilisation et en fin de vie », souligne l'Ademe. En rejetant de l'air chaud dans les rues, l'air conditionné contribue en outre à des effets d'îlots de chaleur urbains. Une étude de 2014 a simulé la hausse de température, de nuit, à +1 °C en centre-ville. 4 - Combien ça consomme ? Un climatiseur domestique consomme en moyenne 300 à 500 kWh par an, selon la région et la fréquence d'utilisation, ce qui peut dépasser la consommation annuelle d'un réfrigérateur, d'après l'Ademe. Mais cela dépend du choix du modèle. Comme le souligne l'agence gouvernementale, lors des vagues de chaleur, bon nombre de Français se précipitent pour acheter un climatiseur mobile, rapide à installer chez soi. Mais les systèmes les moins efficaces sont ceux qui consomment le plus d'électricité. « L'utilisation d'un climatiseur mobile monobloc pour rafraîchir une pièce de 25 m² coûte environ 30 euros pour douze heures d'utilisation quotidienne pendant deux semaines. » C'est d'ailleurs pourquoi l'AIE plaide pour la mise en place de « normes minimales de performance énergétique obligatoires » et « d'étiquettes indiquant l'efficacité énergétique des appareils ». « De telles politiques pourraient rapidement doubler l'efficacité moyenne des climatiseurs vendus », lorsque l'on sait que « le climatiseur standard vendu est deux fois moins efficace que le produit le plus performant du marché ». 5- Quelles perspectives pour l'avenir ? Plusieurs équipes de scientifiques à travers le monde planchent sur le développement de réfrigérants solides. Contrairement aux systèmes actuels qui utilisent des gaz polluants, cette nouvelle technologie exploite des « cristaux de plastique » dont la température varie sous pression, offrant une alternative plus écologique et potentiellement plus économe en énergie. Mais climatisation ou pas, les experts martèlent le besoin simultané de mesures d'aménagement du territoire : multiplication des espaces verts et plans d'eau, trottoirs et toits réfléchissants les rayons du soleil et, bien sûr, une meilleure isolation des bâtiments.
  3. Climatiser ne sert à rien si le bâtiment n'est pas conçu pour. A la défense les usines de froid qui servent le réseau de froid du quartier - eau glycolée à 4°C - produisent de moins en moins de froid ... même en cas de canicule. Pourquoi ? parce que les utilisateurs du réseau de froid ont pris tout un tas de mesures pour moins consommer de froid. Rénovation thermique des bâtiments, mise ne place plus rigoureuse de règles de fonctionnement élémentaire, modification des habitudes de climatisation 26 au lieu de 22°C etc. etc. et à priori les utilisateur n'ont pas vu de changement notable de leur confort. Donc avant de climatiser - ou de chauffer d'ailleurs - il faut engager de vraies études de confort thermique pour comprendre ou ça chauffe ou ca refroidi. Le B A ba par exemple c'est le contrôle des flux d'air. Aérer en grand la nuit, fermer le jour, pour la canicule par exemple - si la nuit la température baisse -. Si les ouvrants ne sont pas ouvrables on se prive de ce contrôle. On peut associer l'étanchéité de l'air et un systeme double flux etc. mais qui n'interdise pas d'aérer en grand quand c'est nécessaire. Empêcher le soleil de frapper directement le bâtiment aux heures chaudes. Le soleil du petit matin c'est agréable mais en cas de canicule le bâtiment devrait prévoir des brise soleil pour qu'à partir de de 10 ou 11h le bâtiment soit protégé du soleil jusqu'en soirée. Inertie thermique. Est ce qu'on souhaite un bâtiment qui accumule la chaleur mais qui refroidi très doucement ou au contraire un bâtiment qui n'accumule rien mais qui refroidi très vite. Ca aussi c'est un choix de conception qui conditionne le reste, flux d'air notament. Évidement une isolation de contact/convection ensuite mais pensée avec tout ce qui précède. Un bâtiment avec une isolation externe et une grosse inertie thermique ... va devenir un four à pain une fois chauffé, donc cette solution impose une solution de refroidissement d'une manière ou d'une autre pour que la chaleur ne finisse pas par s'y accumuler pour des jours et des jours. Si on ne peut pas le faire autant prendre un bâtiment dépourvu d'inertie thermique, rapide à chauffer rapidement à refroidir. C'est seulement après tout ca qu'on peut commencer à se demander avec quoi on va le faire ... de la géothermie, un réseau de froid collectif ... une PAC réversible ... ou quoique ce soit d'autre.
  4. g4lly

    Le successeur du CdG

    Concernant les NGF très probablement. Néanmoins : les catapultes électrique on l'avantage d'optimiser la mise en vitesse des appareil avec une poussée qui peut être linéaire à contrainte maxi toute la course. Avec la meme longueur de piste, et la meme force maximale admissible, le meme appareil à meme masse, doit pouvoir sortir notablement plus vite. les NGF pourrait peut être s’accommoder d'une vitesse de sortie plus modeste que les avions opérés actuellement. C'est une hypothèse. Autre hypothèse la vitesse de la plateforme qui pourrait avantageusement gagner quelques nœuds si elle était plus longue et un peu plus optimisé. En gros il n'est pas évidant qu'il soit indispensable de prendre plateforme infiniment plus grande juste pour faire décoller un engin avec un MTOW notablement supérieure, meme si ca faciliterait probablement les choses. Concernant les CATAPO ... il faut penser dans un environnement dronisé autant ami d'ennemi. Et cela peut changer pas mal de chose. Peut être qu'envoyer un NGF pendant qu'on en récupère un autre n'est pas absolument indispensable ... mais peut être bien qu'envoyer un drone intercepteur - équipé de missile air air pour la défense de la flotte contre d'autre drone par exemple - pendant qu'on récupère un NGF pourrait bien l’être. Parce que d'un coté la "dronisation" accroit à mon sens nettement la menace ... menace étant la raison de base de la solution CATAPO, quand il faut envoyer des jet en défense alors que tes jet en vol sont à cours de carburant/munition et DOIVENT se poser. A l'avenir n'importe quel trou du cul risque de pouvoir produire un drone capable de menacer un GAN ... il suffit de voir les Houthis en slapette mettre la pression au la flotte US pour se convaincre que dans 10 ou 20 ca deviendra la norme.
  5. g4lly

    Le successeur du CdG

    Les futur porte aéronef - en général - risquent d'opérer de nombreux aéronef autonome de toute taille. Le nombre de NGF emportable risque d'etre alors réduit, les aéronef autonome pouvant presque faire la taille d'un Rafale - 10x15m -. Pour la propulsion il est possible de prendre les réacteur des futur SNLE ... avec de petite adaptation probablement lié à l'espace supplémentaire sur le PA.
  6. Déjà il faudrait qu'il y ait une chaudronnerie pour la ventilation ... la plupart du temps il n'y en a pas. Après un échangeur géothermique à l'échelle d'une école, autant faire une vrai géothermie verticale pour le chauffage et le froid vu qu'il y a tout à refaire. Après il faut tout repenser au niveau des bâtiments ... l'accessibilité est à chier en général. Thermiquement il n'y a meme pas de brise soleil, pourtant c'est la base. Les ouvrant ne s'ouvre pas donc pas de ventilation, ou quasiment pas, la nuit. Pour la plupart on parle de bâtiment construit il y a plus de 50 ans ... une époque ou la seul préoccupation était de construire vite et propre. C'est une période ou avoir des sanitaires correcte dans une école était un luxe.
  7. g4lly

    Ici on cause MBT ....

    Pour l'instant c'est d'un conservatisme absolu le marché des MBT neuf ... on remplace un Leo par un Leo avec trois truc en plus.
  8. Ca ca peut toujours s'arranger ... entre homme de paille et changement du code électoral.
  9. Guerre à Gaza : l’armée israélienne interpellée sur sa faillite morale Ces témoignages de soldats, recueillis par le journal israélien « Haaretz » sur les fusillades autour des centres de distribution alimentaire dans l’enclave, ont ouvert un débat en Israël. En quête de nourriture, des milliers de personnes tentent, chaque jour, désespérément, d’approcher l’un des quatre centres de distribution alimentaire ouverts par la controversée Gaza Humanitarian Foundation, avec le soutien d’Israël et des Etats-Unis, dans l’enclave palestinienne depuis fin mai. Et, chaque jour, ou presque, des Gazaouis y perdent la vie. En moins d’un mois, 19 incidents impliquant des tirs de l’armée israélienne ont été recensés, provoquant la mort de 549 Palestiniens et en blessant 4 000 autres, selon un bilan établi le 24 juin par le ministère de la santé du Hamas et corroboré par l’Organisation des Nations unies. Dans un long article paru le 27 juin, le journal israélien Haaretz a recueilli le témoignage accablant de soldats et d’officiers israéliens chargés de la sécurité de ces centres. Et tous, sous le couvert de l’anonymat, décrivent des scènes passibles de crimes de guerre. « Là où j’étais posté, entre une et cinq personnes étaient tuées chaque jour, raconte l’un d’eux. Elles sont traitées comme des forces hostiles : pas de mesures de contrôle des foules, pas de gaz lacrymogènes ; juste des tirs à balles réelles avec tout ce qu’il est possible d’imaginer, mitrailleuses lourdes, lance-grenades, mortiers. Puis, une fois le centre ouvert, les tirs cessent et [les Gazaouis] savent qu’ils peuvent approcher. Notre moyen de communication, c’est la fusillade. » Une stratégie appelée, selon lui, dans sa zone de service, « Poisson salé », équivalent israélien du jeu « Un, deux, trois, soleil ». Souvent désorientée par les consignes de sécurité contradictoire qu’on lui donne aux abords de ces centres (trois se trouvent près de Rafah dans le sud et un autre au centre, à proximité du corridor de Netzarim), la foule s’y précipite bien avant leur ouverture – parfois même la nuit –, sans toujours discerner les corridors attribués. « Travailler avec une population civile alors que le seul moyen d’interaction est d’ouvrir le feu est pour le moins problématique, déplore un officier. Il n’est ni éthique ni moralement acceptable que des personnes soient obligées d’atteindre une [zone humanitaire] sous le feu des chars, des snipers et des obus de mortier. » « Usage disproportionné de la force » Ces témoignages ont provoqué une onde de choc rarissime en Israël sur la faillite morale de l’armée, contraignant le gouvernement à réagir le soir même de la parution de l’article. Dans un communiqué commun, publié sur X, le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, et le ministre de la défense, Israel Katz, ont nié « catégoriquement » les récits publiés, qualifiés de « mensonges malveillants visant à diffamer l’armée la plus morale du monde ». Le ministère de la défense a également rejeté les faits décrits, tout en laissant entendre que la procureure générale militaire, responsable des enquêtes disciplinaires, avait saisi le mécanisme d’évaluation des faits, chargé de mener des enquêtes préliminaires rapides, et qu’elle allait « tirer les leçons » de sa mission de sécurisation des lieux. Sollicitée par Le Monde pour savoir si le parquet militaire allait diligenter une enquête, l’armée n’a pas répondu. Lundi 30 juin, elle a néanmoins annoncé qu’un nouveau centre de distribution allait ouvrir, en remplacement de celui « temporairement fermé » de Tel Al-Sultan, théâtre d’une fusillade meurtrière le 31 mai, « afin de réduire les frictions avec les civils et d’assurer la sécurité des soldats ». La parole de plusieurs de ces soldats a jeté une lumière crue sur des pratiques que la société israélienne, dont nombre d’enfants sont envoyés combattre dans la bande de Gaza pendant leur service, ne peut pas ou ne veut pas voir. « Ce n’est évidemment pas la première fois que l’armée utilise les armes à feu contre la population palestinienne, souligne Nadav Weiman, directeur exécutif de Breaking the Silence, une association fondée en 2004 par des vétérans israéliens dans le but de sensibiliser l’opinion publique à la situation dans les territoires occupés. Les forces israéliennes ont deux doctrines à Gaza : la première, “Dahiya” [du nom d’un quartier dans le sud de Beyrouth ravagé par l’aviation israélienne en 2006, elle fut mise au point par le général Gadi Eisenkot], prône un usage disproportionné de la force lors de représailles contre des zones civiles servant de base à des attaques ; la seconde est “zéro victime parmi nos soldats”. » Pratiques « hors les clous » « L’atmosphère, poursuit-il, reste la même que lors de la guerre [de Gaza] de 2014, mais depuis le 7 octobre 2023 [date de l’attaque terroriste du Hamas sur le sol israélien], les forces israéliennes sont hors des clous. » Nadav Weiman en veut pour preuve le nombre sans précédent de victimes civiles – la majorité des plus de 56 000 morts dénombrés par le ministère de la santé de Gaza, un chiffre jugé fiable par les organisations internationales. « Avant, dit-il, quand l’armée voulait tuer une cible, elle visait la bonne personne, même si, dans certains cas, les dommages pouvaient aller bien au-delà. Mais, aujourd’hui, nous constatons, à travers les témoignages que nous recueillons, que pour atteindre un chauffeur de camion censé être lié au Hamas on peut tuer jusqu’à plusieurs dizaines de personnes. » Et, ajoute-t-il, « il n’y a jamais de sanction ». La destruction systématique des habitations fait aussi partie des pratiques « hors les clous » mises en avant par l’ONG. « Vous combattez dans le territoire le plus peuplé de la région et vous faites comme si c’était le désert du Sinaï ou le plateau du Golan ! Après avoir envoyé des ordres d’évacuation par SMS ou par tracts, les forces israéliennes traitent Gaza comme un champ de tir ouvert. » Un constat que partage Samy Cohen, auteur du remarquable essai Tuer ou laisser vivre. Israël et la morale de la guerre (Flammarion, 368 pages, 22 euros). « Les règles d’engagement rédigées par l’état-major, explique le politiste, joint par téléphone à Paris, sont communiquées oralement aux unités sur le terrain. De fait, chaque commandant, dont l’objectif prioritaire est de protéger ses soldats, élabore ses propres règles. Dans certains secteurs, dits “stériles” – de vraies “kill zones” –, ces derniers autorisent l’ouverture du feu sans sommation sur chaque civil qui s’approche, ce qui est contraire au droit international et au code éthique de l’armée. » « Avant le 7-Octobre, relève encore cet expert, détruire un immeuble nécessitait l’autorisation du chef d’état-major. Désormais, un commandant de division ou de brigade peut en décider. On leur laisse cette liberté parce que, pour la première fois, l’armée a déployé 300 000 réservistes en plus des unités régulières et que le chef d’état-major ne peut pas tout contrôler. Cette liberté est complètement folle. Ce n’est plus “tuer ou laisser vivre”, c’est tuer tout court. » Peu d’écho Ex-cheffe adjointe du corps du renseignement de combat, Miri Eisin est l’une des premières femmes à avoir atteint le grade de colonel dans l’armée israélienne. Aujourd’hui chercheuse et enseignante sur les questions militaires à l’université Reichman, elle met en avant « une guerre horrible » qui ne peut être critiquée, selon elle, sans prendre en compte « le contexte ». « Contre le type de modus operandi adopté par le Hamas le 7-Octobre, nous n’avons pas de bonne réponse, personne n’en a, affirme-t-elle. Il n’y a aucune règle d’engagement internationale lorsqu’il s’agit d’un Etat contre un acteur non étatique. Chaque pays, la Russie, la Chine, les Etats-Unis, la France ou l’Allemagne, définit différemment ce qu’est le terrorisme. Nous ne sommes pas meilleurs ou pires que les autres. » « La seule question qui importe est : ce que nous faisons est-il légal ? Or, légal ne veut pas dire moral », insiste Miri Eisin, en écartant toute dérive institutionnalisée : « Les forces israéliennes n’ont pas pour instruction de tirer sur des civils. » Sur le terrain, des figures de l’armée sont pourtant mises en cause, tel le général de brigade Yehuda Vach, 46 ans, commandant de la division 252, déjà soupçonné d’exactions dans le corridor de Netzarim et décrit comme un idéologue, un officier « messianique ». « Le politique ne doit pas imposer à l’armée des missions illégales », dénoncent Tammy Caner et Pnina Sharvit Baruch, chercheuses à l’Institut pour les études sur la sécurité nationale à Tel-Aviv. « Alors que l’inquiétude de l’opinion publique quant à la résilience de la démocratie israélienne se concentre principalement sur les évolutions politiques internes, la mise en œuvre d’actions illégales et contraires à l’éthique contre les Palestiniens de Gaza constitue une menace tout aussi grave pour l’identité démocratique et juive d’Israël », écrivent-elles dans une note publiée le 29 mai. L’écho rencontré par l’enquête d’Haaretz, y compris sur le plan international, ne semble cependant pas avoir produit d’effet. Lundi, la défense civile palestinienne a annoncé la mort de 22 personnes après des tirs de l’armée israélienne, « près de points de distribution d’aide dans le centre et le sud du territoire » de Gaza. https://www.lemonde.fr/international/article/2025/07/01/guerre-a-gaza-l-armee-israelienne-interpellee-sur-sa-faillite-morale_6617174_3210.html
  10. g4lly

    Ici on cause MBT ....

    Après la bataille c'est toujours avant la suivante ... on le voit dans les plans de réorganisation de l'US Army, pas mal de chose pourrait être largement bouleverser meme à court terme. J'ai toujours du mal à comprendre pourquoi certain achète encore des engin dont l'architecture et la doctrine remonte à la seconde guerre mondiale ... et qui ont en pratique assez peu évolué conceptuellement. Cette forme de conservatisme extreme m'interroge ... parce que d'évidence il ne donne pas de si bon résultat au combat - sauf quand tu joue à 10 contre 1 -.
  11. g4lly

    Défense sol-air multicouches

    Oui et non ... le systeme de contrôle des missile oblige le radar de poursuite à poursuivre jusqu'à l'impact puisque le missile est piloté par radiocommande. Pendant les quelques seconde d'engagement d'une cible il n'est pas disponible pour en engager une autre, sauf si elle est dans son champ de vision. C'est un radar à balayage électronique donc le champ de vision n'est pas super étriqué, il est sensé couvrir autour de 90°. Dans ce secteur si la cible et le missile n'en sorte pas, le systeme peut poursuivre et engager 3 cible. Normalement la tourelle optronique peut engager une cible aussi, elle peut etre rallié par le radar de veille, mais pour envoyer le missile dans la bonne direction il faut qu'à un moment la tourelle soit dans la bonne direction - ce qui oblige à tourner le radar d'engagement, donc que celui ci ne soit pas occupé dans un secteur trop différent -. En gros idéalement il faut une batterie de 4 ... chacun en charge d'un secteur de 90° environ. Ca permet d'avoir entre 12 et 16 missile en l'air en meme temps.
  12. Il faudrait l'avis d' @ARMEN56 ... mais ca me semble occuper un espace énorme est avoir de grosse perte de charge, on sait si c'est le meme cheminement à l'admission ?!
  13. Même la 2017 n'a jamais été respecté sur les ERP ... j'ai quantité d'ERP post 2000 sans bilan thermique sérieux, sauf le chauffage parce que c'était la hantise du client. Quant à climatiser le bâtiment ... oublie. Même pour climatiser quelques salle avec plafond bas sans fenêtre c'est déjà un supplice. La clim' ça se paie au volume ... chez Leclerc c'est le client qui la paie, mais dans les bâtiments public il n'y a pas vraiment de client pour payer. Il faut voir aussi comment sont fait les appel d'offre marché public ... pour que ca passe on projette un budget ridicule ... le cout de base explose, le chantier s'allonge jusqu'au prochaine élection, et en général ca triple ... t'imagine bien que la dedans le "confort" thermique est un peu la dernière roue du carrosse.
  14. On paie une fois pour l'éducation ... et une fois pour l'hébergement. Tu n'as jamais remarqué que dans les lycée c'est du personnel du conseil régional qui s'occupe de tout ce qui est non-éducatif - entretien, maintenance, petite rénovation, chauffage, restauration etc. - ? C'est la décentralisation qui a voulu ça. Pareil pour le transport scolaire.
  15. L'admission et l'échappement sont routés comment depuis le fond ?! On parle de conduite de plusieurs mètre de diamètre, avec des gaz chaud en sortie - sauf si c'est une turbine à échangeur mais il ne me semble pas que ca ait plus l'adhésion que cela dans les usage marine -. Sur les QE ... et la TAG est juste en dessous.
  16. Il se pose ou ton avion dans un environement contesté par des missile air air longue portée ? Et des infrastructure endommagé ? A la sauvette après un coup de dozer pour boucher les trous dans la piste ? La problématique est la même dans tous les cas ... tu n'approches pas un gros cargo tactique d'un espace largement contesté comme ça. Et le temps que l'espace en question soit moins contesté tu peux acheminer du matériel par tout un tas de moyen y compris combiné. Dans tout les cas tu ne vas pas avoir une QRF qui va se déployer sous quelques heures par avion avec 13 Leclerc 13 VBL ... au moins autant de VBCI ... et tout le tralala d'appui qui va bien derrière.
  17. Disons que ca va manger une partie de place libéré par les réacteur nucléaire ... ... pour les TAG le GROOOOS souci ce sont les pertes de charge admission et échappement donc il faut router les deux tres large et tres droit ... ca induit aussi de grosse perte de volume si les TAG sont dans le fond. Sur QE ils les avaient foutu dans le sponson pour cette raison, c'est un endroit vulnérable mais ca économise énormément de volume par rapport aux aux emplacement, évidement les TAG pas aligne sur les arbres d'hélice ca imposait une propulsion électrique etc.
  18. Sauf qu'il peuvent s'y balader a poil sous un brumisateur et un ventilateur pour les prolos, et dans la piscine ou dans un bureau climatiser pour les plus classe moyenne. L'autre souci c'est que d'un coté on veut que les enfants passe plus de temps à l'école - en cours, en péri et/ou para scolaire - pour éviter qu'ils soient désœuvré dehors. Le temps passé "à l'école" est d'autant plus avantageux pour les classes défavorisés ou c'est pas la joie à la maison au au pied u HLM. Évidement on ne pas pas avoir des enfants à l'école - ou dans des structures sportive ou culturelle accueillant des enfants - si ces structures sont insupportable 4 mois de l'année. Meme probleme pour les hébergement que ce soit des internats college/lycée ou des logement étudiants ... ne pas avoir à faire des heures de transport en commun pour aller à l'école c'est avoir plus de temps pour apprendre, grandir, dormir. Si les hébergement collectif des élèves et étudiant sont aussi des bouilloire thermique le probleme est le meme. etc. C'est absolument débile de produire des ERP et autre logement collectif accueil collectif ... qui ne soit pas accueillant 4 mois de l'année. Parce que meme si on veut adapter la journée à la météo - exemple à l'équitation on travail essentiellement tot le matin en ce moment pour laisser les chevaux tranquille sous les brumisateur quand il fait 35°C - à un moment on ne pas ne rien faire de midi à minuit pour faire comme s'il ne faisait pas chaud. Parce que meme dormir est insupportable à ce moment là. Accessoirement rapidement va se poser le probleme de la production en général ... parce que le probleme ne concerne pas seulement les élève/étudiant/professeur ... le probleme est le meme partout, à part en EPHAD ... Dans les pays du sud les périodes chaude conduise à une baisse de production notable par exemple. On peut aménager le travail pour compenser en partie à la saison fraiche ... mais ca ne rattrape pas tout. J'ai dirigé des chantiers de TP en Espagne j'embauchais à 5h pour éviter au maximum les grosses chaleur ... mais meme comme ca tu vois le rythme baisser à mesure que la température monte dans la matinée, c'est source d'erreur, d'incident voire d'accident.
  19. C'est pas négligeable comme volume et comme consommation des chaudières dédiées ... il faut chauffé 30t d'eau à 250°C par heure par catapulte en continue ... pour un lancement par 60 secondes - préchauffage non inclus -. https://www.tecnicaindustrial.es/thermodynamic-analysis-of-the-c-13-1-steam-catapult-for-aircraft-launching-from-an-aircraft-carrier/
  20. Certains sites ont pu être atteints plusieurs fois.
  21. Ja, zusätzlich dazu werfen an Frontabschnitten in einer nächsten Phase immer wieder russische Drohnen chemische Reiz- oder Kampfstoffe ab. Yes, in addition to this, Russian drones are repeatedly dropping chemical irritants or warfare agents on sections of the front in the next phase. Il s'agit de gaz lacrymogène ou d'autre agent irritant du meme genre ... mais de l'autre coté les ukrainiens déversait de la thermite sur les tranchée, il me semble que c'est comme le WP associé a des "armes chimiques" lorsque ce n'est pas pour un usage éclairant ou masquant. On a eu le cas d'autre gaz irritant comme l'ammoniac il me semble, mais ca n'avait pas été une réussite russe d'évidence. Pour les lacrymogène - puissant à la russe - dans les tranchée c'est largement documenté. Mais parfois on ne sait pas trop ce qui incommode les ukrainiens en défense. Surtout au contact. Difficile de savoir si les assaillant envoient des grenades lacrymogène - on devrait les retrouver -, si les combat on mis le feu à un truc suffoquant etc. Mais c'est régulièrement un probleme pour les défenseurs installé dans les sous sol des habitations des villages rasés. Et il n'y a pas de parade à part attendre que ca passe. A priori on ne voit jamais de masque à gaz ... c'est probablement que ce n'est pas une menace si notable que ca. Mais c'est utilisé pour harceler les défenseurs enterrés.
  22. Et comment on alimente les gourmandes catapultes à vapeur ? En mettant des catapultes électrique ?
  23. g4lly

    La Force aérienne suisse

    Oui bien juste les simulateurs...
  24. La situation est pourrie du coté de réservoir Kleban-Byk. Les russes sont quasi au contact du réservoir au sud, pas tres loin à l'est et à l'ouest, ce qui crée une grosse poche au sud-est qui pourrait etre compliqué d'évacuer. Les ukrainiens ont lancés une contre attaque contre les forces russe au contact du réservoir au sud pour laisser un peu d'air au encerclés, mais probablement juste le temps de se replier en ordre. Coté Novoekonomichne, les russes contrôle un large front nord-sud à l'est de la ville et tout le front sud. Ca pourrait prendre du temps, mais la ville est clairement la cible d'un prochain gros assaut russe. Mais les russe ont déjà des "fire control" sur plusieurs point de la ville, à l'est et au sud. Pokrovsk, les russes testent les défense de la ville depuis le sud-ouest avec une certaine réussite. Au nord de Zelene Pole, les russes cherchent toujours à s'installer dans l'Oblast de Dnipro, pour le moment il sont sur la frontière de l'oblast mais tienne assez fermement Komar et Schevchenko. Une "drole" d'offensive dans Kamianske soutenues par plusieurs hélicopteres à amener les russes à améliorer leur positions dans la ville nettement au delà de la riviere. Si ca tient la "ville" pourrait être prise à court terme.
  25. Tu peux poster des articles de gauchistes tu sais ... https://www.npr.org/2025/06/27/nx-s1-5448863/birthright-citizenship-supreme-court-ruling What is birthright citizenship and what happens after the Supreme Court ruling? After the Supreme Court issued a ruling that limits the ability of federal judges to issue universal injunctions — but didn't rule on the legality of President Trump's executive order on birthright citizenship — immigrant rights groups are trying a new tactic by filing a national class action lawsuit. The lawsuit was filed on behalf of two immigrant rights organizations whose members include people without legal status in the U.S. who "have had or will have children born in the United States after February 19, 2025," according to court documents. One of the lawyers representing the plaintiffs, William Powell, senior counsel at the Institute for Constitutional Advocacy and Protection at Georgetown Law, says his colleagues at CASA, Inc. and the Asylum Seeker Advocacy Project think that, with the class action approach "we will be able to get complete relief for everyone who would be covered by the executive order." The strategic shift required three court filings: one to add class allegations to the initial complaint; a second to move for class certification; and a third asking a district court in Maryland to issue "a temporary restraining order or preliminary injunction asking for relief for that putative class," Powell said. In the amended complaint, filed two hours after the Supreme Court's ruling, the immigrant rights attorneys said that Trump's effort to ban birthright citizenship, if allowed to stand, "would throw into doubt the citizenship status of thousands of children across the country." "The Executive Order threatens these newborns' identity as United States citizens and interferes with their enjoyment of the full privileges, rights, and benefits that come with U.S. citizenship, including calling into question their ability to remain in their country of birth," reads the complaint. Rights groups and 22 states had asked federal judges to block President Trump's executive order on birthright citizenship. Issued on his first day in office, the executive order states, "the Fourteenth Amendment has never been interpreted to extend citizenship universally to everyone born within the United States." But after three federal district court judges separately blocked Trump's order, issuing universal injunctions preventing its enforcement nationwide, the Trump administration asked the Supreme Court to block universal injunctions altogether. The Supreme Court did not rule on the birthright issue itself. But after the ruling, Trump called it a "monumental victory for the Constitution, the separation of powers and the rule of law," in a briefing at the White House. The president said the ruling means his administration can now move forward with his efforts to fundamentally reshape longstanding U.S. policy on immigration and citizenship. Friday's ruling quickly sparked questions about how the dispute over birthright citizenship will play out now — and how the ruling on universal injunctions might affect other efforts to push back on executive policies, under President Trump and future presidents. "Nationwide injunctions have been an important tool to prevent blatantly illegal and unconstitutional conduct," the National Immigrant Justice Center's director of litigation, Keren Zwick, said in a statement sent to NPR. The decision to limit such injunctions, she said, "opens a pathway for the president to break the law at will." Both Zwick and Powell emphasized that the Supreme Court did not rule on a key question: whether Trump's executive order is legal. At the White House, Attorney General Pam Bondi would not answer questions about how the order might be implemented and enforced. "This is all pending litigation," she said, adding that she expects the Supreme Court to take up the issue this fall. "We're obviously disappointed with the result on nationwide injunctions," Powell said. But, he added, he believes the Supreme Court will ultimately quash Trump's attack on birthright citizenship. "The executive order flagrantly violates the 14th Amendment citizenship clause and Section 1401a of the Immigration and Nationality Act," Powell said, "both of which guarantee birthright citizenship to nearly all children born in the United States, with only narrow exceptions for ambassadors [and] invading armies." The court's ruling set a 30-day timeframe for the policy laid out in Trump's executive order to take effect. "The Government here is likely to suffer irreparable harm from the District Courts' entry of injunctions that likely exceed the authority conferred by the Judiciary Act," a syllabus, or headnote, of the Supreme Court's ruling states. The majority opinion, written by Justice Amy Coney Barrett, also discusses the differences between "complete relief " and "universal relief." "Here, prohibiting enforcement of the Executive Order against the child of an individual pregnant plaintiff will give that plaintiff complete relief: Her child will not be denied citizenship," Barrett wrote. "Extending the injunction to cover all other similarly situated individuals would not render her relief any more complete." In her dissenting opinion, Justice Sonia Sotomayor said the ruling suggests that constitutional guarantees might not apply to anyone who isn't a party to a lawsuit. The concept of birthright citizenship has deep roots, dating to the English common law notion of jus soli ("right of the soil"). The doctrine was upended for a time in the U.S. by the Supreme Court's notorious Dred Scott ruling. Current legal standing for birthright citizenship in the U.S. extends back to the 1860s, when the 14th Amendment of the Constitution was ratified, stating, "All persons born or naturalized in the United States, and subject to the jurisdiction thereof, are citizens of the United States." "Any executive order purporting to limit birthright citizenship is just as unconstitutional today as it was yesterday," Wendy Weiser, vice president for democracy at the Brennan Center for Justice at NYU Law School, told NPR. "There is nothing substantively in the decision that undercuts those lower court opinions. The opinion just undercuts the tools available to the courts to enforce that constitutional mandate."
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