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Tout ce qui a été posté par g4lly
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Qu'est ce qui est irréel que l'ambiance à Afrique du Sud est ultra tendue? Que les blancs ne représente que 9% de la population? Qu'ils sont courtisé à l'expat' par tous les pays anglosaxon? Qu'etre fermier blanc au milieu de nulle part attire les criminel? Que Ramaphosa veut corriger les inégalité lié à l'Apatheid en redistribuant les terres? Le probleme du sujet, c'est que si Trump en fait des tonnes, le fond n'est pas faux pour autant, c'est d'ailleurs pour cela qu'il peut en faire des tonnes...
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Pourtant Ramaphosa s'est bien engagé à redistribuer les terres pour corriger les inégalités héritées de l'apartheid ... https://www.bbc.com/news/articles/cvg9w4n6gp5o South African President Cyril Ramaphosa has signed into law a bill allowing land seizures by the state without compensation - a move that has put him at odds with some members of his government. Black people only own a small fraction of farmland nationwide more than 30 years after the end of the racist system of apartheid - the majority remains with the white minority. This has led to frustration and anger over the slow pace of reform. While Ramaphosa's ANC party hailed the law as a "significant milestone" in the country's transformation, some members of the coalition government say they may challenge it in court. The law "outlines how expropriation can be done and on what basis" by the state, the government says. It replaces the pre-democratic Expropriation Act of 1975, which placed an obligation on the state to pay owners it wanted to take land from, under the principle of "willing seller, willing buyer". Anger over land set to explode in South Africa The new law allows for expropriation without compensation only in circumstances where it is "just and equitable and in the public interest" to do so. This includes if the property is not being used and there's no intention to either develop or make money from it or when it poses a risk to people. The president's spokesperson Vincent Magwenya said that, under the law, the state "may not expropriate property arbitrarily or for a purpose other than... in the public interest". "Expropriation may not be exercised unless the expropriating authority has without success attempted to reach an agreement with the owner," he added. The signing of the law comes after a five-year consultative process as well as the findings of a presidential panel set up to look into the issue. The pro-business Democratic Alliance (DA), the second largest party in the government of national unity (GNU), says it "strongly opposes" the law and was consulting with its lawyers. It says that while it supports legislation addressing land restitution, it takes issue with the process followed by the country's parliament to enact this law. The Freedom Front Plus, a party which defends the rights of the white minority and is also in the GNU, vowed to challenge the constitutionality of the law and do "everything in its power" to have it amended if it is found to be unconstitutional. One of the sticking points for the party was the law's possible threat to private ownership. Outside of the coalition government, the Economic Freedom Fighters, known for its radical views on nationalisation and land distribution, has called the move a "legislative cop-out" by the governing party. The party also says the law will not help resolve the contentious issue of land restitution in South Africa.
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[Inde/Pakistan 2025] Opération Sindoor et conséquences
g4lly a répondu à un(e) sujet de bubzy dans Politique etrangère / Relations internationales
Normalement, le missile signale le déclenchement de la fusée de proximité ... et ça ne se déclenche pas sur un "vulgaire" nuage de paillette, ni même sur un leurre tracté à ma connaissance - sinon le risque d'endommager l'avion tracteur serait important -. -
Mais seulement par lot de 10 ...
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Donc on a le droit de mettre autant de sous munition de 20kg qu'on veut ... ... après on peut inventer le concept de sous-sous-munition.
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C'est ce qu'on fait déjà avec les sous munition Bonus. Sauf que c'est allemand et ça s'appelle M32 SmArt
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A la base il était discutait qu'on impose un taux de fiabilité des sous munition ... mais les auteurs du texte, on vu ça comme une manière de le contourner, et donc l'interdiction a été totale. Les USA eux s'engage à ne déployer que des sous munitions fiable à plus de 99% ... moins de 1% ne s'autodétruit pas.
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Bien sur que c'est possible ... le plus compliqué à mon sens c'est d'interfacer le "systeme de combat" du SAAB, vers le systeme de combat client. Il faut un pont qui convertit la messagerie "OTAN" en messagerie "chinoise compatible", mais ce sont des choses qui se font régulièrement entre différent systeme voir même entre différente liaison de données.
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La M30A2 ... 182 000 fragments de tungstène, et fuszeyde proximité. Par contre je ne vois pas trop la fusée avec 7 sous munitions ?
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(Re)structuration du tissu industriel européen de défense
g4lly a répondu à un(e) sujet de Skw dans Economie et défense
Pour le payer moins cher ?- 284 réponses
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2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/international/article/2025/05/21/en-israel-depuis-le-7-octobre-2023-la-banalisation-des-discours-aux-accents-genocidaires_6607612_3210.html En Israël, depuis le 7 octobre 2023, la banalisation des discours aux accents génocidaires Les propos vengeurs, appelant à l’éradication des Palestiniens de Gaza, proférés dans la foulée de l’attaque terroriste du Hamas par les plus hautes autorités de l’Etat, ont fait tache d’huile au sein de la majorité et prospèrent désormais sur les plateaux de télévision et dans les think tanks. Les mots accompagnent les actes, les préparent et les expliquent. En Israël, depuis le 7 octobre 2023, les discours de déshumanisation des Palestiniens et d’éradication de Gaza se sont banalisés sur la scène politique et médiatique. Prononcées par des membres du gouvernement, des parlementaires, des experts militaires ou des personnalités publiques, ces paroles ont justifié la mort massive de civils palestiniens, en particulier des femmes et des enfants, la destruction de villes entières, la concentration de plus de deux millions de personnes dans un espace jugé invivable par les organisations internationales, l’incitation à une émigration forcée et le blocus de l’aide alimentaire et humanitaire jusqu’au risque de famine. Après plus de dix-neuf mois de guerre à Gaza, le bilan est exceptionnellement lourd à l’échelle de l’enclave : plus de 53 000 morts, dont une majorité de femmes et d’enfants, 120 000 blessés et plus de 60 % des bâtiments détruits. Le discours sur la déshumanisation s’est exprimé au plus haut niveau de l’Etat d’Israël, dans la foulée immédiate de l’attaque terroriste du Hamas, à l’origine de la mort de plus de 1 200 personnes côté israélien. Yoav Gallant, alors ministre de la défense, avant d’être écarté du gouvernement, en 2024, avait justifié le début du siège : « Nous combattons des animaux humains, et nous agissons en conséquence. » Le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, avait, lui, opposé les « fils des lumières », qui relèvent de la « barbarie » et de la « loi de la jungle », et les « fils des ténèbres », puis comparé le Hamas à des « monstres ». A plusieurs reprises, le chef du gouvernement avait fait référence à l’éradication d’Amalek, un peuple nomade présenté dans la Bible comme ennemi des « israélites », afin d’évoquer le destin futur de Gaza. Le président, Isaac Herzog, avait, de son côté, justifié le fait de vouloir « déraciner le mal » de l’enclave, sous contrôle du Hamas depuis 2007 : « C’est une nation entière qui est responsable. Tous ces discours sur les civils qui ne savaient rien et qui ne faisaient rien sont absolument faux. » Le chef de l’Etat, qui remplit une fonction essentiellement symbolique, avait ajouté : « Nous nous battrons jusqu’à leur briser la colonne vertébrale. » « Ils devraient mourir de faim » De nombreux ministres, membres de la coalition la plus extrémiste de l’histoire d’Israël, ont exprimé publiquement leur désir de destruction, au-delà des objectifs militaires affichés de libération des otages – 251 avaient été capturés le 7-Octobre – et de démantèlement du Hamas. « Dans quelques mois, nous pourrons déclarer que nous avons gagné. Gaza sera totalement détruite », a déclaré le leader d’extrême droite, ministre des finances, Bezalel Smotrich, le 6 mai, devant des représentants des colons, en pariant sur le « désespoir » des Gazaouis pour provoquer leur exode définitif. « Nous lançons maintenant la Nakba de Gaza », a proclamé Avi Dichter, ministre de l’agriculture, en novembre 2023, en référence au déplacement forcé de la population palestinienne en 1948. Le ministre du patrimoine, Amichai Eliyahu, célèbre pour avoir appelé à plusieurs reprises, depuis octobre 2023, à lancer une bombe nucléaire sur Gaza, s’est de nouveau distingué, début mai, en suggérant de bombarder les dernières réserves de nourriture à Gaza. « Ils devraient mourir de faim », a-t-il déclaré. Au sein du Likoud, le parti de Nétanyahou, comme dans les formations d’extrême droite, piliers de la coalition, cette rhétorique a fait tache d’huile. Les propos incendiaires proférés par les élus sont recensés un par un, comme autant d’éléments à charge, dans les rapports des ONG, comme Amnesty International, qui estiment que la guerre à Gaza s’apparente à un génocide. Un terme rejeté avec force par les autorités israéliennes, qui rappellent la création de l’Etat hébreu en 1948 au lendemain de la Shoah et imputent l’étendue des pertes civiles au Hamas, accusé de se cacher parmi la population. Justifier l’étendue des destructions Le vice-président de la Knesset, Nissim Vaturi, étiqueté Likoud, a multiplié les diatribes antipalestiniennes, appelant à « effacer la bande de Gaza de la surface de la terre ». D’autres parlementaires ont défendu la nécessité de tuer des enfants, de « raser » ou de « détruire » le territoire – certains, en évoquant, comme Benyamin Nétanyahou, Amalek, afin de justifier l’étendue des destructions. L’audition, le 8 mai, devant une commission de la Knesset, de la médecin Sharon Shaul, responsable de l’ONG humanitaire Natan, témoigne de la violence assumée des discours au sein de la majorité. « J’imagine que tous ceux qui siègent ici ne veulent pas qu’un enfant qui souffre soit dans l’incapacité de recevoir des antidouleurs ou un traitement médical minimum », a déclaré Mme Shaul, dans une scène rapportée par le journal Haaretz. Un député du Likoud, Amit Halevi, s’est alors emporté : « Je ne suis pas sûr que vous parliez pour nous quand vous dites que nous voulons soigner chaque enfant et chaque femme. J’espère que vous ne défendez pas cette idée non plus. Quand on se bat contre un groupe comme celui-ci, la distinction qui existe dans un monde normal n’existe plus. » Lorsque la médecin a insisté sur l’impératif moral d’apporter des traitements à un jeune enfant amputé, une autre députée, Limor Son Har-Melech, du parti d’extrême droite Otzma Yehudit (« puissance juive »), l’a coupée : « C’est vous qu’il faut soigner ! » Ces discours aux accents génocidaires sont également portés par de hauts responsables militaires, en poste ou à la retraite. Dans sa plainte devant la Cour internationale de justice (CIJ), l’Afrique du Sud cite le coordinateur des activités gouvernementales dans les territoires occupés, le général Ghassan Alian : « Les hommes qui se comportent comme des animaux doivent être traités comme tels. » L’ancien major général, Giora Eiland, également cité dans la plainte devant la CIJ, a plusieurs fois réclamé de rendre l’enclave invivable : « L’Etat d’Israël n’a pas d’autre choix que de faire de Gaza un lieu où il sera temporairement, ou pour toujours, impossible de vivre. » Le même officier, figure médiatique, a justifié le fait que des femmes puissent être victimes des frappes : « Qui sont ces “pauvres” femmes de Gaza ? Ce sont les mères, les sœurs ou les épouses des meurtriers du Hamas. » Incitation à la violence Ces discours prospèrent aussi sur les réseaux sociaux ou les plateaux de télévision, en particulier de la chaîne 14, relais de l’extrême droite, mise en cause, devant la justice, par des organisations de défense des droits humains, à propos des centaines d’incitations au génocide, à la violence ou au racisme diffusées sur ses ondes. « A la télévision israélienne, affamer les bébés de Gaza n’est pas un problème. Aussi longtemps qu’il n’y a pas de photos d’eux », résume, mardi 20 mai, le Haaretz, en écho au débat lancé par Yaïr Golan sur les enfants tués par l’armée. Même chose au sein de certains think tanks, nombreux en Israël sur les questions de sécurité. Lors d’une conférence en ligne, organisée le 11 mai par le Jerusalem Institute for Strategy and Security, un des intervenants, le colonel de réserve Gabriel Siboni, a plaidé pour une émigration massive des Palestiniens : « Si nous ne voulons pas que nos petits-enfants et les petits-enfants de nos petits-enfants se battent dans Gaza, nous devons suivre la vision de Trump (…). Nous devons être certains que Gaza est vide des Gazaouis. C’est la seule manière pour que nous ne versions pas notre sang pendant des dizaines d’années. » Au cours de ce séminaire, l’universitaire Efraim Inbar a renchéri : « Si l’expansion de la campagne militaire à Gaza fonctionne, ce sera le chaos. Mais je ne crois pas que cela doive nous effrayer, parce que le chaos donnera à Israël la liberté d’action. Et pas seulement : une version somalienne de Gaza (…) encouragera l’immigration. » Des ONG pointent aussi le fait que ces paroles ultraradicales visent désormais la Cisjordanie, où plus de 900 Palestiniens ont été tués depuis octobre 2023. Elles redoutent que ces propos préparent le terrain à une offensive de grande ampleur dans ce territoire, semblable à celle en cours à Gaza. Dans un long discours, prononcé le 27 avril, à Jérusalem, Benyamin Nétanyahou a couvert du même opprobre les habitants des deux territoires. « Les Palestiniens (…) continuent de dire qu’ils veulent un Etat palestinien sur notre terre ancestrale dans le but de détruire l’Etat juif. Ils le disent à Ramallah, ils le disent à Gaza, ils l’enseignent à leurs enfants à Ramallah, ils l’enseignent à Gaza », a déclaré le premier ministre. -
Roumanie - histoire, politique, armée
g4lly a répondu à un(e) sujet de Zalmox dans Politique etrangère / Relations internationales
~41% mais aucune réserve de voix ou presque ... https://fr.wikipedia.org/wiki/Élection_présidentielle_roumaine_de_2025#Résultats Dan à récupéré les votes des modérés, ses 21%, les 20 d'Antonescu et les 13 de Ponta ... ca donne les ~54% du second tour. En gros il n'y a pas eu de surprise les électeurs modérés ont voté modéré en nombre suffisant, et Simion n'avait pas de réserves de voix. --- La question c'est plutôt pour les prochaines élections. Si les modérés déçoivent encore et mobilisent moins dans les urnes, il n'est plus impossible que le second tour soit vraiment serré. C'est le même "probleme" chez nous. Quand l'électeur à l'impression que l'élu crée plus de probleme qu'il n'en résout il finit pas ne plus aller voter pour lui ... ou carrément par voter contre lui. -
Pourtant les faits sont têtus ... et c'est la même chose dans toutes les institutions. Il y a souvent une vraie tolérance au comportement déviant, avec comme fond, toujours le même ne pas nuire à l'institution. La question c'est pourquoi il n'y a pas de moyens plus élégants de sélections et de déselections que la maltraitance institutionnelle - on retrouve ça dans l'entreprise aussi d’ailleurs - et surtout qui décide ce ceux qui sont compatible ou non avec l'institution, parce que la aussi on a un probleme. Si la RH est faite avec des intérêts particuliers par certains harceleurs ... on peut rapidement se retrouver avec des unités très connotées ...
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[Inde/Pakistan 2025] Opération Sindoor et conséquences
g4lly a répondu à un(e) sujet de bubzy dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est du vulgaire kerozene ... pour empecher de mettre du carburant il faudrait construire un réservoir plus petit. Mais ca changerait aussi la masse de l'engin donc il faudrait refaire les qualifications ... ou bien foutre un lest à la place du réservoir, ou bien carrément un lest dans le réservoir d'origine. Ca me semble assez nébuleux. Franchement à part faire ca dans le préparateur de mission je ne vois pas trop. Le meme missile selon les trajectoire haute ou basse va par exemple pas du tout consommer la meme chose. De plus un missle de croisiere est fait pour attaquer apres avoir gentiment navigué entre la DCA, profitant du terrain etc. En gros sans approche direct de la cible parfois carrément à rebrousse poil. Pour toucher une cible à 250km le missile peut très bien faire 500km de trajet... --- Dans le cas indien vu la densité d'avion indiens en l'air ... je ne suis pas sur qu'un guidage midcourse fut nécessaire si ?! Tu tirs dans le tas ... et tu attends qu'un missile accroche un truc. Si les Pakis on effectivement tiré 100 missiles et toucher seulement 5 chasseurs, c'est qu'ils n'ont pas du tous les tirer en position extrêmement avantageuse. -
[Inde/Pakistan 2025] Opération Sindoor et conséquences
g4lly a répondu à un(e) sujet de bubzy dans Politique etrangère / Relations internationales
Pourquoi le J-10 ou le JF-17 ne pourrait pas alimenter le PL15 en donnée à 140km? La question c'est ou récuperent ils les donnée, peut etre tout simplement de l'AWACS ... qui les pousses vers les chasseurs, servant de bridge vers les missiles pour les corrections midcourse. Le temps de vol du missile ça doit être 2 minutes ou à peine plus. -
[Inde/Pakistan 2025] Opération Sindoor et conséquences
g4lly a répondu à un(e) sujet de bubzy dans Politique etrangère / Relations internationales
J'aimerai bien qu'on m'explique comment il sont "bridés" d'ailleurs ?! -
Oui oui ...
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Les obus à bord ne servent qu'à la prochaine mission de tir. Le reste est mise à disposition par la logistique au coin du bois. C'est la doctrine d'emploi du Caesar 6x6 ... un petit engin aussi compact que possible avec juste de quoi effectuer une ou deux missions de tir de manière organique - 18 coups complets max -. En Ukraine ils n'emportent même pas leur 18 coups, juste le minium, parfois ils n'emporte rien ... les munitions de la mission de tirs sont prépositionné sur la futur position de tir. L'idée c'est d'exposer plutôt les élément de log - des pickup, qui font le gros du boulot en prépositionnant des munitions partout ou on doit être capable de tirer - plutôt que le canon lui même qui échappe à la mission réapprovisionnement puisqu'elle est court-circuité les munitions étant déjà à terre - voir équipé pour le tir - à la prochaine position de tir. A priori cette doctrine est efficace en Ukraine, alors que les engins qui emporte beaucoup de munition finisse par s'exposer trop, avec des dommages au combat bien plus grave à cause des munitions à bord.
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Je ne dis pas que ça ne marche pas, mais que l'industriel a fait des choix différents, probablement pour se distinguer sur le marché.
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Des nouvelle du front. Coté Zelene Pole et Novopil, les combats se sont déplacé dans ces localité. C'est l'intersection des frontiere des trois oblast, Donetsk, Zapo et Dnipro. Coté sud Pokrovsk les russes semblent concentrer leur opération en direction de Novopavlivka, en essayant de contourner les défense ukrainienne établies dans les villages, à travers champs. De toutes évidences les ukrainiens arrivent très bien à tenir les canevas de petits villages et donc les russes ont appris à leur dépend qu'il est plus simple et moins coûteux de couper à travers champ plutôt que d'essayer de prendre les position ukrainienne dans toutes les petites localité. A ce moment de la guerre, les zone lacunaire semble être moins facilement défendable par minage ou artillerie, que les villages tenus par l'infanterie. Coté est Pokrovsk les russe font l'effort de pousser vers le nord, entre Pokrovsk et le "Kleban-Bykske Reservoir" de sorte d'imposer une incertitude tactique sur leur intention, étant donnée qu'ils pourraient aussi bien valoriser le saillant à l'est pour connecter le front au Kleban-Bykske Reservoir" et donc fermer la poche au sud du lac, ou vers l'ouest pour menacer Pokrovsk. L'hypothese plus probable c'est un mouvement vers le réservoir, pour consolider le front Toretsk et menacer directement Kostinatinyvka par l'ouest. Les russes serait quasiment devant Poltavka et Rusyn Yar selon les blogger russes. Depuis c'est position ils pourraient avoir un "fire control" sur la route O0520 qui alimente Kostinainyvka depuis l'ouest, ce qui compliquerait la logistique, et obligerait de passer par Druzkkivka. -
Les 3P disposent d'une fusée de proximité... Ce qui doit les rendre plus cher. L'autre différence c'est la pre-fragmention acier contre les bâtonnets de tungstène... Je suppose que la gerbe est différente et les effets aussi.
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Si la masse passe de 1kg à 1.4kg ... et que la vitesse initiale reste la même ?! D'ailleurs sur le site du constructeur ils ont changé la portée utile ... c'est 3500m maintenant.
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Le ramjet est sensé est plus optimisé que le le moteur fusée ... puisqu'il doit délivrer plus d'énergie pour la même masse, en utilisant l'air comme comburant. Donc on devrait avoir une réserve de charge utile plus importante que sur les obus propulsé par moteur fusée. Du moins pour la même portée. L’intérêt ici avec le canon comme lanceur c'est que la munition est mise en mouvement suffisamment vite pour qu'on puisse allumer le ramjet sans aide extérieure. En gros le canon sert d'accélérateur initiale pour atteindre Mach 3 ... vitesse à laquelle le ramjet peut facilement se mettre à fonctionner. Sur un engin "fusée" il faudrait mettre un accélérateur initial à poudre, jusqu'à Mach 3 puis enclenché le ramjet. En gros le canon semble un bon moyen de tester d'utilisabilité d'une solution munition ramjet parce que c'est probablement le systeme le plus simple. Pour le guidage la dérive est essentiellement lié au temps de vol. Ici on a un engin qui va voler Mach 3 une bonne grosse partie du temps, puisque la vitesse initiale va être entretenue par le ramjet. Donc on devrait avoir un time on target raisonnable. Autour de 3 minute. Soit le double d'un Obus tiré à 40km environ. Et nettement moins que les munition planante type SDB-1. Pourtant les munitions planante GPS/INS arrive bien a taper un hangar aviation par exemple avec une précision bien suffisante. Il y a peut être un peu plus de contenu techno dedans que dans un simple obus, mais le temps de vol est aussi nettement plus long. Ce qui est intéressant ici c'est que la munition peut évoluer bien plus vite que le lanceur, et donc faire évoluer l'obus de 155 plutot que le canon de 155 est à mon sens une riche idée ... On peut plus ou moins retrouver cela dans l'artillerie fusée, sauf qu'en pratique ca ne semble pas évoluer aussi agilement que pour les munition canon. Moins de concurrence? Plus de barrière d'entrée via des brevet licence ou autre? Pour le systeme M270 par exemple on a pas vu quantité de munition différentes de la part de plein de fournisseur. Les armées clientes ont demandé des évolutions mais souvent au même fournisseur, et les proposition ont été très largement espacé dans le temps. Concernant le 155 il y a des nouveaux obus tous les ans ... meilleur aéro ... meilleur envelope ... nouvelle solution propulsive initial ... guidage plus ou moins complexe ... pyrotechnique muratisée ... nouveau collier de guidage etc. etc.
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Je pense que le canon RapidFire n'a pas la même résistance que le celui des tourelle terrestre. Et que donc on peut y mettre plus de poudre ou de la poudre plus vive, parce qu'il encaisse un pic de pression plus élevé. Ici on a quand même 40% de quantité de mouvement en plus ... ça fait beaucoup.
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Tout dépend qui tu souhaites surveiller. Mais la base de la menace est domestique, donc tu surveilles au maxi chez toi, ensuite la menace ce sont ceux qui intervienne depuis l'extérieur vers chez toi donc les communication intertionale vers chez toi. C'est deux niveau c'est assez simple de tout intercepter, on propose des solutions toute faites à tout les pays du monde qui veulent bien payer nos industriels - Thales en tete -. Ensuite intercepter de la communication international pareil, pour les USA qui contrôlent toute les grosse boite de Telco chez elle ... il faut pas se leurrer il n'y a pas des millions de boite de Telco qui font transiter - soit concernant le hardware genre Ciso, soit via les opérateur genre StarLink - quantité de trafic international, tout est très centralisé pour faire de grosse économie sur le backbone. Reste quoi les communication domestique étrangère. C'est pas vraiment qu'on s'en foute mais si l'objectif c'est bien la défense, a un moment pour venir faire le bordel chez toi ils vont forcément communiquer en dehors de chez eux.