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g4lly

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Tout ce qui a été posté par g4lly

  1. La piste des mines anti aérienne n'a jamais été suivie? Les Bulgare produisaient ça contre les hélicoptère et les missile de croisiere notament, pour interdire des couloir d'approche ou des zones difficile à défendre? Un petit panel des moyens selon la menace. https://fr.topwar.ru/182668-razvitie-i-perspektivy-protivovertoletnyh-min.html On a de la Claymore mais orienté vers le ciel en mode barriere. Des multi-EFP éveillé par le bruit, puis aligné par l'image. Pour interdire un assaut comme sur Hostomel c'est assez intéressant par exemple - aussi bien quand la menace survole que quand elle touche terre - . Et évidement en config barrière, pour interdire le franchissement du périmetre ou au moins canalisé la menace. --- Mais je reste persuadé que la solution la plus polyvalente contre la menace petit drone ce sont des drones intercepteurs "attritionnables".
  2. https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20241102-guerre-à-gaza-un-black-out-médiatique-sans-précédent-et-un-nombre-record-de-journalistes-tués Guerre à Gaza: un black-out médiatique sans précédent et un nombre record de journalistes tués Dès le début de la guerre dans la bande de Gaza, Israël a imposé ses règles : interdiction des journalistes étrangers et traque des reporters palestiniens. Une situation inédite dans l’Histoire contemporaine. « Chaque matin quand je me réveille, je pense que c'est peut-être le dernier jour de ma vie », témoigne depuis la bande de Gaza Maha Hussaini, journaliste palestinienne. Il n’y a jamais eu autant de gilets portant le logo « presse » ensanglantés que depuis le 7 octobre 2023. Et les journalistes qui sont toujours en vie, qui travaillent malgré les coupures d’électricité et d’internet, qui sont souvent déplacés comme Maha Hussaini, sont désormais craints des populations car ils sont devenus de véritables cibles de l’armée israélienne : « Ma simple présence en tant que journaliste fait courir des risques à mon entourage. » Une décennie s’est écoulée après l’adoption par l’Assemblée générale de l’ONU de la résolution « La sécurité des journalistes et la question de l’impunité », proclamant à la date du 2 novembre* la Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes. Cette résolution exhorte les États membres à prendre des mesures précises pour combattre la culture actuelle d’impunité. Elle condamne, entre autres, toutes les attaques et violences perpétrées contre des journalistes et des travailleurs des médias, exhorte les États membres à faire tout leur possible pour prévenir cette violence, en rendre compte, traduire en justice les auteurs des crimes commis, et veiller à ce que les victimes disposent de recours appropriés. Un black-out médiatique délibéré Cependant, depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, mais aussi en Cisjordanie occupée, en Israël, au Liban, en Syrie, pas moins de 182 journalistes ont été tués. Du jamais vu dans le monde dans un laps de temps si court, treize mois. Le plus lourd tribut est payé par les journalistes palestiniens dans l’enclave assiégée de Gaza où plus de 130 d’entre eux ont été tués, dont au moins 32 dans l’exercice de leurs fonctions. « Au rythme où les journalistes sont tués, le droit à l'information libre et indépendante est en péril », alerte l’ONG Reporters sans frontières. Dans la bande de Gaza, la présence de journalistes étrangers est interdite par Israël, sauf si ces derniers sont « embarqués » aux côtés de l’armée israélienne. Armée qui contrôle par la suite chaque image et chaque son et qui donne, ou pas, l’autorisation de diffusion. Ainsi depuis plus d’un an, seuls les journalistes palestiniens qui étaient présents lors du déclenchement de la guerre, et qui sont bloqués sur le territoire, peuvent documenter ce qu’il s’y passe. Ils sont présents sur la quasi-totalité de l’enclave pour témoigner du drame qui s’y déroule, qu’ils vivent eux-mêmes, et qui a fait plus de 43 000 morts et plus de 100 000 blessés depuis le 7 octobre 2023. Pour Israël, un accès aux journalistes internationaux sur le territoire « met en péril les forces en action sur le terrain et la sécurité des soldats », en dévoilant par exemple leur localisation. C'est donc un black-out médiatique international. Des rédactions détruites volontairement Pour empêcher l'information de circuler librement, l’armée israélienne vise particulièrement les locaux des rédactions. Dès le 19 octobre 2023, une frappe détruit une rédaction éphémère sous tente abritant des équipes de la BBC, Reuters, Al Jazeera, l'AFP, et des agences de presse locales, à proximité de l'hôpital Nasser de Khan Younès. Le 2 novembre suivant, l’armée israélienne bombarde dans la ville de Gaza les tours abritant plusieurs médias internationaux, dont la célèbre tour Hajji qui abrite les locaux de l’AFP. Le 2 novembre, c'est-à-dire le jour de la Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes. Quelques mois plus tard, début 2024, c’est au tour de la Maison de la presse à Gaza, soutenue financièrement par la Norvège et la Suisse, d’être anéantie. « Lorsqu’il y a une forte probabilité qu’un crime de guerre soit commis, le flux en direct devient évidemment une preuve essentielle », explique Irene Khan, rapporteur spécial des Nations unies sur la promotion et la protection du droit à la liberté d’opinion et d’expression. Le collectif Forbidden Stories, qui a coordonné une enquête impliquant cinquante journalistes de treize médias internationaux, révèle en juin dans « Gaza Project » que les bombardements israéliens sont délibérés et ciblés, contrairement au discours officiel israélien affirmant que ces locaux ont été classés comme « à ne pas cibler ». Des journalistes délibérément ciblés Des bâtiments mais aussi les journalistes. « Parce que nous sommes la voix des victimes, nous sommes délibérement ciblés », observe Maha Hussaini depuis Deir el-Balah. Dans la bande de Gaza, porter un gilet estampillé « Press » et un casque fait courir des risques mortels. Depuis le 7 octobre 2023, dès qu’un journaliste y est tué, RSF enquête. « On essaie de savoir d'abord s'ils sont vraiment journalistes et pour quels médias, explique Jonathan Dagher, responsable du bureau Moyen-Orient de RSF. Puis ce qu'ils faisaient quand ils ont été tués. Après on essaie d'avoir des témoignages sur les crimes, s'il y a eu des témoins, pour essayer de savoir s'ils ont été tués dans l'exercice de leurs fonctions ou s'ils ont été ciblés. » L’enquête de Forbidden Stories montre qu’au moins 40 journalistes ou travailleurs des médias ont été tués alors qu’ils se trouvaient à leur domicile, quatorze ont été tués ou blessés ou présument visés alors qu’ils portaient leur veste de presse à Gaza, en Cisjordanie ou dans le sud du Liban, 18 ont été tués ou blessés dans des frappes de drones à Gaza. Quatre ont été tués ou blessés dans des frappes de drones alors qu’ils portaient leur gilet « presse ». Et au moins 40 journalistes travaillant pour des médias affiliés au Hamas ont été tués, selon cette étude. L’armée israélienne réfute ces accusations et répond au consortium avoir respecté ses règles d’engagement, « conformes au droit israélien et au droit international ». Elle argue régulièrement que s’ils ont été tués, c’est parce qu’ils étaient au mauvais endroit au mauvais moment ou bien tout simplement qu’ils n’étaient pas journalistes. « Les journalistes à Gaza sont des journalistes, des locaux pour la plupart, qui travaillent pour des chaînes locales et internationales. Ils ont durant plus d'un an fait preuve de professionnalisme. C’est grâce à eux qu'on a accès à ce qui se passe dans la bande de Gaza », insiste le responsable du bureau Moyen-Orient de RSF. « Certains médias occcidentaux très favorables à Israël remettent en cause notre objectivité, mais nous sommes également des victimes », rappelle Maha Hussaini. Le palmarès de l’édition 2024 du prestigieux prix Bayeux des correspondants de guerre a fait la part belle aux journalistes de la bande de Gaza, dont Rami Abou Jamous qui a remporté trois récompenses pour son « journal de bord » depuis le territoire asphyxié. Al-Jazeera en ligne de mire En juillet dernier, l’armée a tout de même ouvertement revendiqué l’assassinat du journaliste d’Al-Jazeera Ismaïl al-Ghoul, 27 ans, se targuant sur X– anciennement Twitter –, d’avoir éliminé « un terroriste » et « un journaliste ». Depuis plus d’un an, Al-Jazeera diffuse en direct le drame qui se déroule dans la bande de Gaza, 24h/24, grâce à son immense réseau de journalistes présents sur le territoire assiégé. Mais la chaîne internationale qatarienne est dans le viseur des autorités israéliennes depuis bien longtemps et subit de nombreuses menaces et pressions de Tel Aviv. En 2022, une reporter palestino-américaine de la chaïne Shireen Abu Akleh est tuée d’une balle dans la tête par un soldat israélien alors qu’elle couvre une opération militaire à Jénine, en Cisjordanie. En mai dernier, la chaîne dont le siège est à Doha est interdite en Israël, les autorités estimant qu’elle est « un organe de propagande du Hamas » et qu’elle porte atteinte à la sécurité de l’Etat. Quant à ses bureaux de Ramallah, en Cisjordanie occupée, ils sont fermés manu militari, en direct à la télévision ce 22 septembre, pour 45 jours renouvelables. La fermeture du bureau d’Al-Jazeera « confirme les efforts de l’occupation [par Israël] pour perturber le travail des médias diffusant [des informations sur] des violations de l’occupation contre le peuple palestinien », déclare à l’AFP Mohammed Abou Al-Roub, directeur du bureau des médias du gouvernement de l’Autorité palestinienne. Aujourd’hui, six de ses journalistes sont nommément menacés par Israël qui les accuse d’être des membres du Hamas et du Jihad islamique, dont Anas al-Sharif, visage bien connu des téléspectateurs de la chaîne. Israël refuse par ailleurs d’évacuer de la bande de Gaza deux autres journalistes d’Al-Jazeera grièvement blessés, dont un est dans le coma depuis plusieurs semaines. « C'est très dangereux de douter de l'intégrité des journalistes, et encore plus de les accuser de terroristes, des accusations infondées qui en fait ne menacent pas seulement les journalistes qui sont à Gaza, mais les journalistes qui travaillent pour ces chaînes partout. Cette accusation est faite principalement par le côté israélien, celui-là même qui empêche la presse étrangère de rentrer. Mais alors, s'il y a ce souci, pourquoi empêcher la presse étrangère de rentrer dans la bande de Gaza ? Parce que le but est vraiment d'empêcher l'information », décrypte Jonathan Dagher. Crimes de guerre Le 8 octobre dernier, une trentaine de sociétés de journalistes majoritairement basées en France ont réclamé « de nouveau l'accès à Gaza, où ils doivent être protégés ». « Nous demandons donc aux autorités israéliennes de préserver la sécurité des journalistes qui tentent actuellement de travailler à Gaza et d’ouvrir ce territoire à la presse internationale pour qu’elle y fasse son métier : informer sans entrave et témoigner de la marche de cette guerre, l’une des plus meurtrières et violentes de ce début du XXIe siècle. » De son côté, RSF réclame encore et encore l’application du droit international, « et nous demandons plus largement à la communauté internationale, aux gouvernements, de monter la pression sur les autorités israéliennes pour que s’arrête le massacre des journalistes, que ce soit à Gaza ou au Liban. Vraiment, ça doit s'arrêter. C'est déjà trop tard. » Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a déclaré en mai dernier que les crimes contre les journalistes étaient inclus dans son enquête sur les crimes de guerre à Gaza. « Les journalistes sont protégés par le droit international humanitaire et le Statut de Rome (texte fondateur de la CPI, NDLR) et ne doivent en aucun cas être pris pour cible dans l'exercice de leur importante mission. » La guerre qui s’étend désormais aux pays voisins fait craindre le pire aux journalistes. Déjà, le 13 octobre 2023, une frappe israélienne près de la frontière libanaise tuait le vidéaste de l'agence Reuters, Issam Abdallah, blessant six autres reporters. Des enquêtes indépendantes, dont l'un menée par l'AFP, ont conclu à l'utilisation d'un obus de char de 120 mm d'origine israélienne. Plus récemment, des organisations de défense des droits des journalistes au Liban ont comptabilisé la mort de cinq photographes et personnel travaillant pour des plateformes médiatiques locales, dans des frappes israéliennes sur le sud du Liban et la banlieue sud de Beyrouth. Le 25 octobre 2024, Israël a tué trois journalistes au sud du Liban. Le Premier ministre libanais, Najib Mikati, a dénoncé un « crime de guerre » et une attaque « délibérée » visant à « terroriser les médias pour dissimuler les crimes et les destructions ». « Mettre fin à l’impunité pour les crimes commis contre les journalistes est l’un des défis les plus importants et les plus complexes de notre époque, affirme l’ONU à l’occasion de cette Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes. Il s’agit d’une nécessité fondamentale pour garantir le plein exercice du droit à la liberté d’expression ainsi que la possibilité pour tous et toutes de participer à un échange d’idées ouvert, libre et dynamique. » La résolution 2222 (2015) appelle au renforcement de la protection des journalistes, de plus en plus victimes d’attaques meurtrières dans les zones de conflit. Mais depuis sa création en 1948, l'État d'israël a déjà fait fi de 229 résolutions onusiennes, portant sur la colonisation, le statut de Jérusalem ou le retour des réfugiés. * La date de cette journée internationale a été choisie en mémoire de deux journalistes français de RFI, Ghislaine Dupont et Claude Verlon, assassinés le 2 novembre 2013 au Mali.
  3. https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20250507-nous-sommes-visés-et-tués-par-israël-plus-de-200-journalistes-sont-morts-dans-la-guerre-à-gaza «Nous sommes visés et tués par Israël»: plus de 200 journalistes sont morts dans la guerre à Gaza À Gaza, les bombardements du mercredi 7 mai ont notamment coûté la vie au journaliste palestinien Yahya Sobeih, sur place pour raconter l'enfer, il était devenu papa d'une petite fille la veille. Gaza est devenue, de très loin, la zone la plus dangereuse pour la profession, comme le racontent deux reporters de terrain, joints par téléphone par Alice Froussard. Zareefa, 21 ans, est une journaliste-pigiste gazaouie. Et elle a l'impression que plus personne n'entends ceux qui s'expriment depuis l'enclave bombardée par l'armée israélienne. Comme ses confrères et consœurs, elle répète toujours ce même message, en vain : « Nous, journalistes de Gaza, sommes visés et tués par Israël. » « La raison est simple. Tout simplement parce que (les journalistes) sont les seuls sur le terrain, et ce sont ceux grâce à qui l'information sort. Ils racontent ce que fait Israël, qu'il s'agisse d'affamer des enfants ou de les tuer. Nous ne demandons qu'une chose : une pleine protection, comme le requiert le droit international. » À Gaza, les journalistes palestiniens se battent pour documenter l'horreur, minute par minute. Ils affirment que porter un gilet pare-balle avec l'inscription « Presse », c'est comme porter une cible dans le dos. Nahed, une journaliste de la télévision gazaouie, ajoute que quasi tous les reporters ont dû annoncer la mort de proches en direct : « En tant que journaliste, j'ai dû couvrir la mort de mon frère, et c'était incroyablement difficile pour moi. J'ai toujours été journaliste et c'était comme ça ; à Gaza, on rapporte la mort des autres. Mais cette fois-là, c'est moi qui suis devenue l'actualité. C'était atroce. » Depuis le 7 octobre 2023, « les forces armées ont tué près de 200 journalistes, réduisant au silence des témoins professionnels d’une opération militaire responsable de la mort de dizaines de milliers de civils, en majorité des femmes et des enfants », indique l'ONG Reporters sans frontières dans son communiqué, déplorant la mort de Yahya Sobeih. Du jamais-vu, tous conflits confondus.
  4. Non c'est de TERCOM - qui pourrait se faire au laser d'ailleurs - ... le DSMAC c'est - essentiellement - de l'optique - meme si la aussi on sait faire de l'imagerie radar comme sur Pershing 2, ou optique active comme du Lidar - par corrélation de scene - essentiellement des images, jour ou IR aujourd'hui -. Certes le DSMAC on peut le "brouiller" un peu en "masquant" ou en modifiant les "scenes", sauf qu'on ne fait pas le recalage de l'inertiel tout le temps on le fait quand ça nous arrange, et donc l'adversaire ne peut pas tout masquer. L'inertiel d'une puce de drone suffit largement a viser un batiment apres quelques dizaine de seconde de vol, ca ne dérive pas rapidement. Pire les petit drone de surveying à moins de 2000 balle dispose de capteur de proximité qui recompose l'environnement et se recale dans le modele, le modele peut meme se construire lors du voyage allé pour un retourne to home en pleine foret par exemple. Si tu ajoute la correlation de scene "visuelle" DSMAC et une model de surface proche via capteur de proximité - comme ceux des bagnole autonome ou des aspirateur - tu arrives a naviguer automatiquement dans un environnement complexe. Contre un cible statique reconnu à l'avance ca le fera tres bien pour trois franc six sous. Pour cibler des objets distribué de maniere aléatoire sur une "zone de recherche" ça demande plus de ressource informatique et donc ça sera un peu plus couteux, mais on sait faire. Accessoirement ce sont des concept vieux comme Hérode. Juste d'auparavant ce n'était pas démocratisable facilement parce que ça demandais des puces un peu spécifique et parfois encombrante. Mais aujourd'hui on a suffisamment de puissance de calcul dans nos smartphone pour le faire ... ... la démo que j'ai posté plus haut c'est un vulgaire Rasperry Pi tout pourri.
  5. Avec un drone bon marché - moins de 2000€ - tu fais de la navigation DSMAC sans probleme ... donc le brouillage ... Et il n'y a pas besoin de beaucoup de ressource ca utilise OpenCV et les différente solution sont disponible librement sur internet. On le fait même pour les écoliers https://dojofordrones.com/opencv-drone/
  6. Le mec qui a commis un attentat en tirant au RPG contre un bâtiment réacteur ... est élu en Suisse. https://fr.wikipedia.org/wiki/Chaïm_Nissim Pendant 10 ans, Nissim, convaincu que les surgénérateurs à neutrons rapides pouvaient exploser[7], s'est entraîné clandestinement à la guérilla et au sabotage à l'explosif[1]. Le 18 janvier 1982, Nissim tire cinq roquettes sur la centrale nucléaire Superphénix alors encore en construction, alors que des ouvriers travaillent sur le site. Seules deux de ces roquettes touchent la structure et causent des dommages, mais elles manquent toutes le cœur du réacteur encore vide de combustible. Le lance-roquette, un RPG-7, a été obtenu de la part de la Fraction armée rouge grâce à Carlos et aux Cellules communistes combattantes belges[8],[9]. Chaïm Nissim a déclaré : « Je sais qu’il peut paraître bizarre de considérer les roquettes comme un moyen d’action non violent. Pourtant, nous avons pris toutes les précautions imaginables pour être bien sûrs qu’aucun ouvrier ne risquait d’être touché, nous avons donc commis un attentat non violent.[1] » Mais M. Maurice Barbeger, chef de l'aménagement de la centrale, déclare de son côté : "C'est la sécurité des travailleurs qui est en cause. C'est intolérable. Une vingtaine de personnes travaillaient à l'intérieur du réacteur. Un des projectiles qui est passé à travers une brèche du bâtiment - nécessaire pour la pose du matériel technique - est tombé à 20 mètres d'un employé."[10] Le 8 mai 2003, Nissim a rendu publique sa responsabilité de l'attaque à la roquette commise en 1982[8] en publiant un livre sur le sujet et sur ses relations avec les groupes terroristes[1],[11],[12].
  7. g4lly

    [Cavalerie/Arme combat embarqué]

    Le systeme 120 FER sur tourelle POLE semblait installable sur une caisse à partir de 18t ... notament le futur EBRC 6x6.
  8. Ce qui est suprenant c'est qu'ils aient choisi de le faire non réutilisable ... alors qu'ils semble que ce ne soit pas tres compliqué d'en faire quasi le même mais réutilisable. Un corps en carbone, une surface de frappe, nez et ailes en alu, des hélices en mode pousseur et dépliable par inertie ... et normalement ça devrait pas trop prendre à l'impact, et pouvoir se poser ensuite.
  9. C'est bien tout le probleme des coréens ... Ils sont en plein dans la "First Island Chain". La première cible de l'expansion chinoise à l'est. En gros ils sont en mode retenez moi ou je fais un malheur. Et comme leur position implique la Russie dans l'équation ça risque de se rappeler un moment ou un autre à l'agenda US.
  10. g4lly

    Marine Néerlandaise

    La différence de masse est immense ... pour des cellules 40% plus grandes ...
  11. Ils envoient beaucoup de signaux au USA ... avec un rappel récent de leur capacité rapide à atteindre le seuil nucléaire par exemple, à s'équiper de porte avion, de produire - avec l'aide US certes - des F-35 like etc. A mon sens ce sont des messages à destination des USA pour le mettre un peu le couteau sous la gorge ... s'il le faut on s'occupera nous même de notre sécurité y compris en matière de dissuasion conventionnelle et nucléaire ... vis à vis de la Chine.
  12. Ce qui st intéressant ici c'est l'évolution et le signal envoyé. A la base la corée à présenté un "drone Carrier" en V ... biscornu, et à coté une sorte de porte avion. Aujourd'hui fini le drone carrier bizarre ... on a une sorte de LHA ... mais qui peut envoyer et récupérer des drones de plusieurs tonnes. A mon sens la question c'est surtout quel est le signale envoyé et à qui ...
  13. g4lly

    Génie

    Pour le radar je n'ai rien vu, mais dans ma vie d'avant j'ai utilisé des radar a pénétration de sol pour le TP et ça marche pas mal. Je suppose que ça a dû bien évoluer depuis. En gros selon la position et la puissance du radar on peut faire de l'imagerie du sol et du sous sol a plusieurs mettre ou dizaines de mètres de profondeur. C'est assez précis et assez discriminant selon les matériaux qui compose le sous sol. A priori une irrégularité comme une mine AC doit facilement sauter au yeux d'un tel dispositif. Sauf que dans le civil on utilise le radar au dessus de la zone a explorer. Ce qui n'est pas envisageable dans le militaire... Et je ne sais pas si la portée de pénétration est conservé si on utilise le radar a "distance" de la zone a explorer.
  14. Episode 1 https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/lsd-la-serie-documentaire/je-ne-me-suis-pas-battu-pour-ca-6878508 Episode 2 https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/lsd-la-serie-documentaire/survivre-a-la-guerre-survivre-a-la-paix-4955940 Episode 3 https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/lsd-la-serie-documentaire/des-memoires-encombrantes-7803666
  15. Quatre documentaire radio sur le sujet ... chez France Culture ... toujours aussi bien fait. https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/lsd-la-serie-documentaire/je-ne-veux-pas-me-souvenir-je-veux-me-venger-1995465 Comment lutter dans un pays où l’impunité est la règle et où s’opposer au pouvoir peut vous mettre en danger ? Panorama des luttes en cours en Bosnie-Herzégovine. Combien de fois a-t-on entendu parler de l’apathie des Bosniens ? Surement bien plus souvent que de leurs multiples luttes grandes et petites. Il n’est pas aisé de se mobiliser dans un pays divisé où tout est fait pour empêcher le collectif. Il n’est pas non plus aisé de se battre alors que les institutions sont à la merci de partis politiques corrompus et d’une communauté internationale omnipotente mais passive. Pour quoi faire puisque tout semble joué d’avance ? Quelques victoires dans des luttes visant à préserver des rivières ont relancé des dynamiques locales, les associations environnementales ont acquis de nombreuses compétences et commencer à mieux travailler en réseau. Pour la génération née après la guerre, les luttes environnementales représentent un espoir d’unité comme le dit justement Kasja Jerlagić : « Je me suis dit mais c’est là que ça se passe, c’est là qu’on peut faire bouger les choses parce que les problèmes environnementaux transcendent les frontières et les divisions. » Artiste et activiste, Kasja espère pouvoir réformer son pays et se débarrasser de ceux qui rendent la vie impossible aux Bosniens. Leila Bičakčić, directrice du centre de journalisme d’investigation, pourtant peu encline à l’optimisme analyse les mobilisations dans le pays de la façon suivante : « Je pense que c’est le message le plus important que nous recevons ces temps-ci : les discours politiques de ces 3 dernières décennies comme quoi tout le monde est contre nous, que tous sont nos ennemis, que tout le monde nous veut du mal, tout ça est en train de disparaitre et je pense que la promesse d’un avenir meilleur réside dans ce message-là. » L’unité par les mouvements sociaux, la prise de conscience que les intérêts des citoyens sont les mêmes et ne dépendent pas d’une identité ethnique représente un pas en avant énorme à l’échelle de la Bosnie-Herzégovine qui, en dépit de tout, continue de panser ses plaies.
  16. g4lly

    [Rafale]

    Si l'avion est furtif tu peux même voler au dessus de l'objectif ...
  17. g4lly

    [Rafale]

    Si l'avion est furtif tu peux même voler au dessus de l'objectif ...
  18. g4lly

    [Rafale]

    Je ne suis même pas sur qu'il y ait une réelle différence souvent la charge est exprimé une fois en livres une fois en kilogramme d’où des approximations. Il est possible que ce soit strictement la même, ça serait assez logique d'ailleurs. A delà de la masse,c 'est surtout le type de charge qui est peu adapter contre des bâtiments un peu solide. Les charge antinavire sont souvent des multi-EFPs ... en gros un gros EFP qui produit des multiples petit boulet qui percent facilement les tôles d'un navire de guerre moderne, plus un effet incendiaire. Sauf que les petits boulets en question sont sans effet notable notament contre des bâtiments en béton un peu épais.
  19. g4lly

    [Rafale]

    Le JSM a une charge militaire de 125kg ... c'est pas ridicule face aux 165kg de celle de l'exocet. Certes c'est nettement moins que le Harpoon avec ses 220kg ou qu'un LRASM avec ses 455kg. Le Kh-35 russe par exemple n'a que 145kg de charge militaire, c'est bien que ça doit être suffisant.
  20. Pour rentrer du blé... Comme en Europe depuis des années a partir de 1€ droit de douane plus TVA...
  21. Pas seulement universitaire d'ailleurs pas mal de professionnel refuse d'aller travailler aux USA ... et ça a commencé avant Trump 1 et ça n'a fait qu'empirer à mesure, des changements dans le traitement des étrangers aux USA, y compris des bon petits blancs canadiens, norvégiens, ou argentins.
  22. Mais ce n'est pas nouveau ... et je doute que les américains achètent des produits Shein initialement fabriquées en France ?! Que le produit soit passé entre douze intermédiaires entre la Chine et les USA n'y changera pas grand chose d'ailleurs, c'est souvent des intermédiaires de papier qui servent avant tout à contourner les réglementations défavorable, ça ne renchérit pas tant que ça le prix, au contraire parfois. Le gros de l'export vers les USA c'est des produits médicaux - dispositif et médoc - des bagnoles et des machine ou équipement industriel... Pas des petite jupe kawaii à 5€
  23. Mataris ... le javelot gaulois.
  24. Jusqu'en 1988 c'était une dictature militaire - avec un président - ... la démocratie ne s'est installé en Corée que timidement depuis 1988. Pas très étonnant que la politique du pays soit encore un peu sauvage.
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