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Tout ce qui a été posté par g4lly
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Le MAD a une portée ridicule ... en général il sert de confirmation aux signaux récupéré par les bouée ou un sonar trempé, pour avoir une position précise sous le porteur. On parle d'une portée d'une centaine de mètres autour du porteur, pour un sous marin à profondeur raisonnable. Certes tu peux faire des patterns de recherche pendant des heures, mais comme la revisite et le tuilage est faible la cible risque de passer entre les mailles du filet. La logique meme pour les sous marin lent comme les SSK, c'est d'abord de circonscrire une zone avec les solutions sonar, puis de parcourir cette zone de manière très serrée avec un motif particulier pour que le SSK ne se glisse pas entre deux passes MAD, spiral, creeping line etc. selon les hypotheses que tu poses sur sa vitesse, sa direction etc. Un SSK sur batterie à 4kts ... mets 50 secondes pour faire 100m ... donc il faut que le tuilage et les revisite soient assez serré pour qu'il ne passe entre les mailles. La munition russe 90R - programmable en profondeur - ou SG - guidé sonar - pèsent 120kg il me semble, certes il y a le moteur fusée qui l'envoie à quelques kilomètre dedans, mais ça reste un gros machin. Je ne sais pas trop ce que donne 20kg d'explosif sous l'eau, en onde de choc pour la première, et en shape charge par contact pour la seconde. Les torpilles légere semblent avoir entre 35 et 45kg que charge militaire par comparaison.
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Ou le faire défourailler à missile anti aérien ...
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C'est le systeme de communication, et l'autre le systeme de détection ... c'est symbolique. La FREMM DA assure ici la détection, la poursuite, et l'engagement en "téléguidant" les missiles de la FDI. C'est déjà ce qui est possible avec les FDA vers les FREMM. Il y a deux faisceaux parce qu'il y a deux missile, un déjà loin dont on voit le reste de fumée ronde, un qui vient d'etre mise à feu et dont on voit le panache principal.
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Très étrange cette charge de profondeur ... ça fait pensé a des solutions russes contre les plongeurs et autre petit drone sous-marin. L’intérêt, avoir un objet un peu offensif sur un drone incapable d'emporter une torpille ... et faire un peu de harcèlement, mais je ne suis pas convaincu que ce soit le rôle principal de cet armement.
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Mais la doctrine peut évoluer en fonction des nouveaux besoins nouvelles menaces etc. C'est ce qu'il se passe aux USA. Le P8 n'est pas un Patmar c'est un avion largement multi missions dorénavant... Et ce n'est pas par hasard. Les basses couche au dessus de l'océan vont être de plus en plus contestées y compris par les sous marin eux même.
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Pourquoi veux appliquer les même procédure au P8 et au P3 par exemple ? Le choix de la plateforme s'associe au choix tactique et à la doctrine, qui elle même évolue en fonction du besoin de la menace etc. Accessoirement le P8 est sensé être infiniment plus multi mission que le P3 donc a besoin d'autres capacités comme voler haut et voler vite notamment en usage SIGINT ou JSTAR like, pour éviter de servir de victime du champ de bataille. Pour le reste il y a tout un tas de mesures prises pour mitiger la perte des avantages d'un turboprop lent. Les voilures guidées sur torpilles par exemple, Les bouées géolocalisée, les drones pour faire la recherche MAD... Et cette nouvelle doctrine n'est pas idiote du tout.
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Le radar La nacelle multi mission, ici vide ... Et remplie
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Le P8 est capable d’emporter diverse tres grosse nacelle ventrale. Une très gros radar APS-154 ... et à priori il y a une gros pod SIGINT aussi mais c'est plus ou moins secret pour le moment. Peut être que le très grand fairing à l’arrière sert à emporter ce genre de charge utile. Cette solution de très grosse nacelle ventrale sous P8 rend l'avion ultra polyvalent ...
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Le RAM actuel le Block 2 c'est 90kg ... on est presque au niveau d'un Mica VL - 110kg -. Comparé à un Mistral 3 de moins de 20kg le RAM b2 est un monstre. Concernant le guidage c'est pareil le RAM est tout temps pas le Mistral, dont l'autodirecteur ne voit pas forcément à travers les nuages.
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[Démonstrateur RACER By Airbus Helicopters]
g4lly a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Hélicoptères militaires
Tu veux dire en Admiralty nautical mile per hour ? La différence c'est 1 cm ! -
D'autant qu'avec probablement 200km de portée et des modestes de guidage "terrestre" ca fait je job d'un petit missile de croisière littoral pour taper des radars, ou des batterie cotiere.
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C'est intéressant de voir que l'industriel markette plutôt une version sous marin du MM40b3c plutôt qu'aéroportée ... il n'y a pas beaucoup d'utilisateur du SM39 actuellement. Quelques client Scorpène, Inde, Malaisie, Chili et quelques autres comme le Pakistan - sur Agosta - c'est à peu près tout non? Une proposition pour les néerlandais qui pourraient équipé leurs Orkas avec ?
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C'est moi qui est bugué effectivement il n'y a jamais eu de version turbopropulsé aéroporté, je confonds avec le Scalp EG.
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Il ont réussi à intégré l'accélérateur initial ou ? Dans le missile lui même ? Dans le corps de transport sous marin ? Pour rappel le SM39 n'a pas d'accélérateur initial largable, c'est un moteur à poudre d'un seul tenant. Tout le missile monobloc est logé dans le véhicule sous marin. Mais il n'y avait pas de rab de place pour le meme gros accélérateur que la version surface. La version aéroporté n'a pas d'accélérateur la vitesse de largage suffit.
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Si le 2R2M était automatisé ... il n'aurait même pas besoin de tourelle. Ca deviendrait un armement en superstructure, qui n'expose pas les servants puisqu'il n'y en a pas. Mais a mon sens c'est pas la logique de 2R2M ... le chargement par la bouche notament n'est pas adapté un un chargeur automatique. Et à terme si les munitions de mortier n'évolue pas, la solution risque de devenir obsolète fasse à des petits drones assez bon marché mais précis. Un obus de 120mm c'est ~7km de portée ... déjà pour une solution sous blindage ça va devenir cavalier à l'usage. Alors en cuve ... et sans capacité de tir direct.
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On peut faire des stocks roulant de produit grand public ou industriel. Si tu stockes du DJI pendant un ans ou deux et que tu le revends NOS ... tu ne perds pas forcément grand chose en valeur, avec le bon tarif obtenu par l'achat en volume.
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C'est quand même vraiment étonnant qu'on ait besoin d'autant de pont hardware pour un truc aussi basique?! Pourquoi ces boîte ne sont pas polyvalente ou reconfigurable a la volée ? Pourquoi il faut passer un câble par boîte ? On ne sait pas multiplexer ?! L'architecture semble d'une modernité très très relative... Pour ne pas dire volontairement complexe pour interdire l'intégration d'équipements sans repassé chez le constructeur initial.
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2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
La légitime défense n'est qu'une forme d'exemption de peine ... Elle est établi a l'issue du proces, pas a priori. Et elle est largement conditionné a la proportionnalité par exemple. En gros que le prévenu invoque la légitime défense ne change rien a l'instruction... Et au mandat d'arrêt s'il y a lieu. -
Guerre Israël-Hezbollah 2024+
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/10/30/liban-nous-vivons-un-moment-de-danger-veritablement-existentiel-alors-que-notre-etat-est-en-ruine-et-notre-peuple-epuise_6366275_3232.html Liban : « Nous vivons un moment de danger véritablement existentiel, alors que notre Etat est en ruine et notre peuple épuisé » Amal Ghandour, autrice libanaise, met en garde, dans une tribune au « Monde », devant les risques mortels qui menacent son pays, confronté à une multiplicité de crises graves depuis 2019. C’est un déchirement lorsqu’un peuple danse perpétuellement entre deux tempéraments opposés, d’un côté se lamentant sur sa disparition inexorable, de l’autre se délectant de sa résilience. Mais telles sont nos humeurs, versatiles, à nous, Libanais, depuis que notre pays a été officiellement déclaré indépendant en 1943 : à chaque coup dur, nous croyons notre ruine imminente ; ensuite, tandis que nous pansons nos blessures, nous nous grisons du sentiment d’avoir réchappé à la mort. Dans ces humeurs, nos dirigeants se balancent avec nous, mais en direction opposée. Dans leur force, nous ressentons avec acuité notre malheur ; dans notre ténacité, ils ressentent avec vivacité leur faiblesse. Un soir, récemment, alors que le bourdonnement des drones israéliens se mourait dans le silence pesant de Beyrouth et que nous attendions l’avalanche de bombes du jour, j’ai songé à des questions que personne ne veut se poser sur son pays. Ce Liban que j’aime tant malgré moi restera-t-il toujours un endroit si périlleusement instable, flirtant en permanence avec toutes sortes d’abîmes ? Pour ceux qui peuvent partir, existe-t-il une raison un tant soit peu valable de rester, ou bien cette mère torturée qui est la nôtre est-elle finalement en train de nous dire de fuir, une bonne fois pour toutes ? Remèdes brouillons A première vue, ces questions paraissent rhétoriques, nous semblons déjà en connaître les réponses, même. C’était le cas. Pendant des décennies, des remèdes brouillons et intéressés ont succédé aux crises et aux guerres, permettant à cette démocratie consociative en lambeaux de poursuivre son chemin. Et, au fil du temps, l’idée que nous ne pouvons changer qu’au niveau le plus superficiel s’est muée en conviction. Si l’accord de Taëf de 1989 [traité interlibanais destiné à mettre fin à la guerre civile commencée en 1975], un tant soit peu audacieux mais vite abandonné, qui était censé tourner la page de quinze années de guerre civile, fait figure d’exception, ce n’est que pour mieux renforcer cette conviction. Mais qu’importe, nous nous sommes consolés. Nous sommes une minuscule bande de terre ouverte sur la Méditerranée, après tout ; aussi inextricables soient nos problèmes, il nous suffit d’un rien pour nous remettre sur pied, nous serrer les coudes et reprendre ensemble notre route. « Hayda Lubnan » (« tel est le Liban »), n’avions-nous de cesse de répéter, comme pour abandonner au destin toute responsabilité de nos errances. ... -
Guerre Israël-Hezbollah 2024+
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/10/30/guerre-au-proche-orient-la-politique-du-deux-poids-deux-mesures-rend-nos-pays-inaudibles-a-l-echelle-de-la-planete_6366627_3232.html Guerre au Proche-Orient : « La politique du “deux poids, deux mesures” rend nos pays inaudibles à l’échelle de la planète » L’inégalité de traitement des Occidentaux entre les guerres en Ukraine et celles à Gaza, en Cisjordanie et au Liban renforce l’idée que la diplomatie des pays du Nord est restée figée à l’heure coloniale, s’inquiètent plusieurs personnalités, dont Rony Brauman, Agnès Levallois et Noël Mamère, dans une tribune au « Monde ». Avec l’attaque terroriste du Hamas du 7 octobre 2023 et la mort de son instigateur, Yahya Sinouar, un an plus tard, une dynamique de guerre tous azimuts est lancée, comme un chaos en expansion constante. Les frappes israéliennes sur l’Iran et tous ses alliés régionaux ainsi que l’offensive sur le Liban donnent en effet cette impression d’accélération. Localement, la Cisjordanie est l’un de ces fronts de guerre. La coalition au pouvoir en Israël à laquelle participe l’extrême droite veut resserrer l’étau : nouvelles colonies, expulsions en série… on compte plus de 700 victimes palestiniennes depuis un an dans cette confrontation à bas bruit dont l’objectif est de rendre irrémédiable l’occupation de toutes les terres palestiniennes à l’ouest du Jourdain. Le Grand Israël est à l’ordre du jour. Sur le plan régional, les raids israéliens ne connaissent aucune limite dans le ciel du Moyen-Orient. Le premier ministre israélien cible déjà l’Iran, ses installations militaires et, au-delà, le régime de Téhéran. En réalité, Benyamin Nétanyahou reprend ici un logiciel manichéen imaginé voici un quart de siècle par les néoconservateurs américains. Peu après l’attaque contre le World Trade Center, le 11 septembre 2001, les stratèges de la Maison Blanche ont lancé une « guerre contre le terrorisme ». Ils prétendaient remodeler le Moyen-Orient en imposant la démocratie par la force. On a vu une coalition conduite par Washington balayer le régime de Saddam Hussein, en Irak, créant ainsi un terreau fertile à l’expansion du djihadisme par la naissance de l’organisation Etat islamique, comme Al-Qaida était née de l’invasion russe en Afghanistan. A l’époque, le président de la République Jacques Chirac (1995-2007) n’avait pas souhaité que la France rejoigne cette coalition. Une image restera, celle du 27 septembre. Dans son discours devant les Nations unies, Nétanyahou rejette un projet de trêve avec le Hezbollah présentée par Washington et Paris avec l’aval de plusieurs pays du Golfe. Peu après, il ordonne le bombardement sur Beyrouth qui allait tuer Hassan Nasrallah. Aujourd’hui, certains s’interrogent pour savoir si la disparition de Yahya Sinouar sera considérée par le premier ministre israélien comme une « victoire suffisante » pour modifier sa course folle. Insupportable indignation sélective Depuis le 7-Octobre, tous les appels au cessez-le-feu à Gaza ou au Liban sont restés lettre morte. Depuis un an, il n’est question que de la « sécurité d’Israël ». On a peu entendu parler du droit des Palestiniens à leur propre sécurité, qu’elle soit physique, alimentaire ou sanitaire. ... -
TCM pour Top Charge Module ... ils sont combiné par 3 à 6 pour tirer les zone 3 à 6 ... pour les zones 1 et 2 ... On utilise des module de meme forme mais de composition différente appelé Bottom charge, par un ou deux module. https://www.msm.sk/app/uploads/2024/02/msm-leaflet-bi-modular-small.pdf
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2023 Guerre de Soukhot
g4lly a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/10/29/amos-goldberg-historien-israelien-ce-qui-se-passe-a-gaza-est-un-genocide-car-gaza-n-existe-plus_6364702_3232.html Amos Goldberg, historien israélien : « Ce qui se passe à Gaza est un génocide, car Gaza n’existe plus » Face à l’ampleur des massacres et des destructions perpétrés par l’armée israélienne à Gaza, l’historien israélien, spécialiste de la Shoah, estime, dans un entretien au « Monde », que son pays « a surréagi de manière criminelle » aux massacres du 7-Octobre. L’historien Amos Goldberg, titulaire de la chaire Jonah M. Machover d’études sur la Shoah à l’Université hébraïque de Jérusalem, a publié, en avril, dans le magazine en ligne Local Call (Siha Mekomit en hébreu), un article accusant Israël de commettre un « génocide » à Gaza. Il s’en explique dans un entretien au « Monde ». En avril, vous avez accusé votre pays de commettre un « génocide » à Gaza. Comment en êtes-vous arrivé à cette conclusion, six mois après le début de la guerre ? Cela m’a pris du temps. Le 7-Octobre a été un choc, une tragédie, une attaque horrible. Cela a été douloureux et criminel, d’une magnitude telle que nous n’en avions jamais connue. Quelque 850 civils [1 200 personnes au total] ont été tués en un jour. Des hommes, des femmes, des enfants, et même des bébés et des personnes âgées ont été pris en otage. Des kibboutz ont été totalement détruits. Puis les témoignages ont commencé à affluer sur la cruauté de l’attaque, les violences sexuelles, les destructions commises par le Hamas. Je connais personnellement des gens, certains très proches, qui ont été touchés. Il y en a qui ont été tués, d’autres ont été pris en otage, certains ont tout juste survécu. Je n’avais pas les mots pour expliquer cet événement, pour le digérer, pour en faire le deuil. C’était révoltant, traumatisant, personnel. Je comprenais bien le contexte de l’occupation, de l’apartheid [en Cisjordanie], du siège [de Gaza], mais, même si cela pouvait expliquer ce qu’il se passait, cela ne pouvait pas justifier de telles atrocités. Immédiatement après l’attaque, les bombardements israéliens massifs ont commencé et, en quelques semaines, des milliers de civils gazaouis sont morts. Et il n’y avait pas seulement les bombardements. Une rhétorique génocidaire est apparue et a dominé dans les médias, l’opinion publique et la sphère politique : « Nous devons les supprimer [les Palestiniens], ce sont des animaux humains » [Yoav Gallant, ministre de la défense, le 10 octobre 2023] ; « C’est toute une nation qui est responsable » [Isaac Herzog, président d’Israël, le 14 octobre 2023] ; « Nous devrions larguer une bombe nucléaire sur Gaza » [Amichai Eliyahu, ministre du patrimoine, le 5 novembre 2023] ; « C’est la Nakba de Gaza 2023 » [Avi Dichter, ministre de l’agriculture, le 11 novembre 2023, en référence au déplacement forcé et à l’expulsion de 700 000 Palestiniens, pendant la guerre de 1948, après la création d’Israël]. Ces propos étaient tellement choquants que, pour cela non plus, je n’avais pas de mots. ... -
Les objets connecté ... et la défense ou les forces de sécurité ?!!!! Ca me fascinera ce manque de rigueur ... j'ai beaucoup de mal à comprendre si on se trouve face à une forme d'impensé, ou à une forme de toxicomanie "connectée" ... https://www.lemonde.fr/strava-leaks/ ... Les années passent, mais rien ne change : les militaires, les gardes du corps des plus hautes personnalités et les membres des services de renseignement, censés être rompus à la discrétion, ne peuvent s’empêcher de partager avec le monde entier leurs exploits sportifs sur l’application et le réseau social Strava. C’est ce que révèle une enquête du Monde, qui démontre que des hommes chargés de la protection d’Emmanuel Macron, de plusieurs présidents américains et de Vladimir Poutine peuvent être identifiés grâce à leur utilisation de l’application de suivi sportif, mettant en danger leur mission et la vie de ceux qu’ils protègent. La révélation de failles de sécurité de ce type jalonne l’existence de Strava, la principale application du genre avec plus de 125 millions d’utilisateurs. ...
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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
g4lly a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Une fois bien formés, correctement équipés, et un peu aguerris forcément ... mais c'est long de faire de bon fantassin. Le résultat risque de ne pas être pour tout de suite. Il faut voir aussi dans quelle mesure il y a des démobilisations, et de quel volume. S'il y a autant de démobilisés aguerri, que de bleu bite qui arrivent ... il n'y a pas forcément de gain. Or la démobilisation semble être un problème avec des soldats qui se battent pour certains depuis plus de 2 ans sans être relevé comme c'était le cas à Vuhledar par exemple. De toute évidence l'Ukraine manque d'homme pour tenir le front tel qu'il est ... et les aventures vers Koursk etc. n'ont semble t il étaient possible qu'en dégarnissant des zones pas si paisible que ça. Donc il ne doit pas y avoir massivement de réserve. A mon sens une bonne partie des nouveaux mobilisés vont permettre de démobiliser les soldats ayant le plus donnés, pour qu'au moins symboliquement les ukrainiens voient les soldats les plus dévoué rentrer à la maison, ce qui permet de recréer l'espoir pour ceux qui partent ou risque de partir. Si tu ne vois jamais personne revenir, et pas de victoire ... difficile d'emmener de nouveau soldat dans la lutte.